Veeweyde / Veeweide

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VEEWEIDE - VEEWEYDE

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VEEWEIDE - VEEWEYDE

Twintig jaar samen op de planken

Mijn naam is Leroy, Jean Leroy. Al

77 jaar op deze wereld waarvan

50 gelukkig getrouwd met mijn

Jaqueline. Geboren en getogen in

Anderlecht. Als kleine jongen had

ik vooral mijn handen vol met het

zorgen voor mijn jongere zusjes. Ik

ben de oudste van 12 kinderen en

op mezelf en de jongste na, waren

dat allemaal meisjes. Het gebeurde

dan ook veelvuldig dat ik op een

zonnige dag uit wandelen ging met

één kleine zus in de kinderwagen

en twee iets oudere zusjes aan

weerszijden daarvan. Want in die tijd

was er nog plaats om te wandelen

en te spelen. De ‘boulevard’ was er al

wel maar veel verkeer zag je er niet.

We deden alles te voet of met de

fiets. We hadden er ook de tijd voor.

Het leven was veel eenvoudiger, veel

langzamer.

Ik herinner me nog levendig hoe

we verstoppertje speelden in de

schuur van ons huis en ik daarbij

mijn drie jongste zusters in een

oude linnenkast verstopte, door ze

boven op elkaar te stapelen, zoals ik

mijn moeder met het beddengoed

zag doen. Het bleek niet echt

verstandig dat ik de jongste van de

drie onderaan had gelegd. Maar ach,

we hebben het allemaal overleefd.

Zelfs de oorlog die uitbrak toen ik

pas naar school ging.

Het zal voor velen een harde tijd

geweest zijn want Brussel heeft het

soms zwaar te verduren gehad. Het

enige wat ik mij ervan herinner, is

een avond waarop ik –alweer met

de kinderwagen– een wandeling

maakte, toen plots de hel losbarstte.

Gelukkig was de buurvrouw er om

dat kleine jongetje dat in paniek met

een kinderwagen voor zich in het

rond rende, op te vangen en nadien

weer veilig thuis te brengen. Nadien

hebben mijn ouders besloten om

ons bij een tante op het platteland

onder te brengen.

Al bij al, kan ik stellen een gelukkig

jeugd gehad te hebben. Volgens mij

is dat door de eenvoud van het leven

toen. Ik groeide op, vond werk als

loopjongen en ontdekte de muziek

en die zou mij niet meer los laten.

En zo ook, leerde ik mijn Jaqueline

kennen. Het lijkt wel of het gisteren

was. Na een erg verkeerd gelopen

relatie, was ik ‘op den boemel’, zoals

ze zeggen. In een dancing in Sint-

Pieters-Leeuw, waar ik met enkele

vrienden naartoe ging, trad die

avond de –toen nog piepjonge–

charmezanger Will Tura op. Na het

opkrikken van mijn zelfvertrouwen

met behulp van de nodige

hoeveelheid bier, stapte ik kordaat

op de rij meisjes af, die langs een

muur hadden post gevat. Ze noemen

ze niet voor niets ‘muurbloempjes’,

nietwaar? Tot mijn grote ergernis

echter, kaapte een andere kerel het

meisje van mijn keuze voor mijn

neus weg. Het komt wel erg lullig

over, als je dan met lege handen

afdruipt. Dus wendde ik me gewoon

tot de jongedame ernaast en vroeg

haar ten dans. Het bleek een hele

leuke meid te zijn. En het feit dat we

meer dan vijftig jaar later nog steeds

samen zijn, bewijst dat ik die avond

een goede keuze maakte.

Nadat we getrouwd waren, ben ik bij

het Brussels parket gaan werken en

wat later is ‘Jacqui’ me daar gevolgd.

Soms vraagt men mij hoe we het

destijds uithielden met elkaar, de

hele dag samenwerken om dan in

het weekend weer samen muziek

te gaan maken. Want Jacqueline

vervoegde me ook in het muzikale

gezelschap dat ik had opgericht.

Samen brachten we shows in zalen

over het hele land. Het was een mix

van cabaret, vaudeville en playback

show en ik mag stellen dat we

succes hadden. We staken er dan

ook al onze energie, tijd en geld in.

Kinderen hadden we niet.

Samen met enkele vrienden hebben

we twintig jaar lang op de planken

gestaan. Het is pas nadat mijn

fysieke toestand verslechterde, dat

we ermee zijn opgehouden. Na vier

zware operaties is het beste van mijn

benen er wel een beetje af, heb ik

de indruk. Maar ook nu nog zingen

we samen in een koor. Dat is heel

wat minder vermoeiend dan het

organiseren en opvoeren van een

cabaret show.

Jacqueline en muziek zijn zonder

twijfel de twee grote liefdes in mijn

leven.

Vingt ans ensemble sur les planches

Mon nom est Leroy, Jean Leroy. Il y a

77 ans déjà que je suis sur terre, dont

50 d’un mariage heureux avec ma

Jacqueline. Né et élevé à Anderlecht.

J’ai passé la majeure partie de mon

enfance à m’occuper de mes petites

sœurs. Je suis l’aîné de 12 enfants,

toutes des filles, sauf moi bien sûr

et le petit dernier… Il n’était pas

rare que par beau temps, je sorte

promener avec une sœur dans la

poussette et deux autres plus âgées

de chaque côté. Car à l’époque, il

y avait encore de la place pour se

promener et jouer. Le ‘boulevard‘

existait déjà, mais il n’y avait pas

autant de circulation. Nous faisions

tout à pied ou à vélo. Nous avions

le temps. La vie était beaucoup plus

simple, plus lente.

Je me rappelle encore très bien

nos parties de cache-cache dans

la remise de la maison; je cachais

mes trois plus jeunes sœurs dans

une vieille armoire à linge en les

empilant les unes sur les autres,

comme j’avais vu faire ma mère avec

la literie. Ce n’était pas vraiment

malin de mettre la plus jeune des

trois sous les deux autres. Mais bon,

nous avons survécu à tout. Même à

la guerre, qui a éclaté alors que je

venais d’entrer à l’école.

Des temps très durs pour beaucoup

d’entre nous, car Bruxelles a

beaucoup souffert. Tout ce dont je

me souviens, c’est qu’un soir, je suis

parti faire une promenade – avec la

poussette évidemment – lorsque

tout à coup, l’enfer s’est déchaîné.

Heureusement, la voisine a réussi à

rattraper ce petit garçon qui courait

en rond, paniqué, une poussette

devant lui, et à le ramener chez lui,

en sécurité. Ensuite, mes parents ont

décidé de nous emmener chez une

tante, à la campagne.

L’un dans l’autre, je peux dire que j’ai

eu une enfance heureuse. Je pense

que je le dois à la simplicité de la vie

à cette époque. J’ai grandi, trouvé

un boulot de coursier et découvert

la musique, une passion qui n’allait

plus jamais me lâcher.

J’ai aussi fait la connaissance de

ma Jacqueline. J’ai l’impression que

c’était hier. Je sortais d’une relation

qui avait très mal tourné et je ‘faisais

la java’, comme on dit. Ce soir-là, Will

Tura, le chanteur de charme encore

tout jeune à l’époque, se produisait

dans le dancing de Leeuw-Saint-

Pierre où j’étais allé avec quelques

amis. Après avoir bu la quantité de

bière nécessaire pour requinquer

ma confiance en moi, je me suis

résolument approché de la rangée

de jeunes filles qui avaient pris

poste le long d’un mur. Ce n’est

pas pour rien qu’on dit qu’elles

«font tapisserie», pas vrai? Mais,

à ma grande irritation, un autre

garçon m’a soufflé la fille de mon

choix sous mon nez. Dans ce cas-là,

on a l’air vraiment bête quand on

repart les mains vides. Et donc, je

me suis simplement tourné vers la

jeune dame à côté et lui ai demandé

une danse. Il s’est avéré que c’était

une chic fille. Et le fait que nous

sommes toujours ensemble, plus

de cinquante ans plus tard, prouve

que j’ai fait le bon choix ce soir-là.

Après notre mariage, je suis

entré au parquet de Bruxelles et

quelque temps plus tard, «Jacqui»

m’y a rejoint. On me demande

parfois comment on faisait pour

se supporter; on travaillait toute

la journée ensemble et le week-

end, on repartait faire de la

musique ensemble. Car Jacqueline

m’accompagnait également dans le

groupe que j’avais créé. Ensemble,

nous avons donné des spectacles

dans tout le pays. C’était un mélange

de cabaret, de vaudeville et de play-

back. Je peux vous affirmer que

nous avions du succès. Il faut dire

que nous y consacrions beaucoup

d’énergie, de temps et d’argent.

Nous n’avions pas d’enfants.

Avec quelques amis, nous sommes

restés vingt ans sur les planches.

Nous n’avons arrêté qu’au moment

où mon état ne m’a plus permis

de me produire. Après quatre

opérations, mes jambes ne sont plus

ce qu’elles étaient, j’ai l’impression.

Mais aujourd’hui encore, nous

chantons ensemble dans une

chorale. C’est beaucoup moins

fatigant qu’organiser et donner un

spectacle de cabaret.

Jacqueline et la musique sont sans

l’ombre d’un doute les deux grands

amours de ma vie.

Interview: Nina Vermetten Foto/Photo: Kaat Declerq

Se promener le long du canal jusqu’à l’écluse d’Anderlecht

Il fait encore froid pour la saison. J’ai

rendez-vous avec Wesley Vercaigne,

un sympathique jeune homme de

27 ans. Nous nous retrouvons à la

station Veeweide. Wesley Vercaigne

vient de terminer sa journée à ‘Het

Eiland’, un atelier pour personnes

atteintes d’un handicap mental.

Trois jours par semaine, de dix

heures et demie à quatorze heures, il

y tient une boutique de produits bio

(principalement du thé et du café)

et de bricolages réalisés à l’atelier.

C’est en exposant quelques-unes

de ces œuvres dans le cadre d’un

projet sur la paix dans deux écoles

qu’il s’est retrouvé impliqué dans le

projet «Métro 5».

Pour aller de chez lui, à Anderlecht,

jusqu’à ‘Het Eiland’ à Molenbeek,

il prend le métro. Il aime voyager

en métro, même si les nouvelles

destinations posent parfois

problème, car il n’est pas toujours

évident de trouver la bonne

direction. Il apprécie que d’autres

usagers lui adressent spontanément

la parole, comme l’a fait récemment

une vieille dame qui voyageait avec

son chien. Il est un peu timide et

ne se lie pas facilement, explique-

t-il. Mais rien dans l’interview ne le

laisse paraître, encore moins quand

il en vient à ce qui est son deuxième

travail et sa grande passion: les

foires et les kermesses.

Le week-end et les jours où il ne

travaille pas, vous trouverez Wesley

Vercaigne près du carrousel de

Pol, un homme d’une septantaine

d’années, ou près du stand de

pêche aux canards de la sœur de

Pol, Lisette. En leur compagnie, il

parcourt les environs de Bruxelles.

Le point culminant de son année est

le marché annuel, en septembre. Il

est chargé de ramasser les tickets et

d’accompagner les enfants jusqu’à

la nacelle de leur choix. Il rêve

d’avoir un jour son propre carrousel.

Il habite à Anderlecht depuis près de

douze ans. Il aime l’animation de la

ville et ses parcs pleins d’ambiance.

Quelle différence avec sa ville natale,

Roulers, qu’il a quittée lorsque ses

parents ont divorcé pour venir

s’installer à Bruxelles avec sa mère

et son ami marocain. C’est avec

ce dernier qu’il a appris un peu de

français. Il a perdu tout contact avec

son père.

Aujourd’hui, Wesley Vercaigne

habite à «Ter Linde» à Anderlecht,

il occupe un petit studio dans

cette résidence pour personnes

handicapées exerçant un emploi.

Ils sont six, notamment Gregory,

l’un des amis avec lesquels il allait

à l’école à Laeken. Il aime écouter

du schlager. Avec sa mère et son

oncle Geert, il assiste souvent à

des festivals en Flandre. Le samedi

matin, il fait de l’athlétisme. Le

60 mètres, le saut en longueur

et le softball sont ses disciplines

préférées. En secret, il rêve des Jeux

paralympiques. Parfois, la ville est

tout de même trop bruyante pour

lui. Lorsqu’il veut se détendre, il va

dans un des parcs des environs ou

part se promener le long du canal

jusqu’à l’écluse d’Anderlecht (si le

temps le permet).

Interview: Peter Teirlinck Foto/Photo: Iris Vanderzeypen

Langs het kanaal wandelen tot de sluis in Anderlecht

Het is nog steeds koud voor de tijd

van het jaar en ik heb afgesproken

met Wesley Vercaigne, een

sympathieke jongeman van 27. We

treffen elkaar aan de metrohalte

Veeweide: Wesley heeft er net zijn

dagtaak in ‘Het Eiland’ opzitten,

een werkplaats voor mensen

met een mentale beperking. Drie

dagen in de week tussen haf elf

en twee baat hij daar een winkeltje

uit met biovoeding (voornamelijk

koffie en thee) en knutselwerkjes

gemaakt in het atelier. Het is via het

tentoonstellen van enkele van deze

werkjes in een project rond vrede op

twee scholen dat Wesley betrokken

geraakt is bij het project ‘Metro 5’.

Vanuit zijn woonplaats in Anderlecht

neemt Wesley de metro om naar

‘Het Eiland’ in Molenbeek te gaan.

Hij trekt graag rond met de metro,

al vormen nieuwe bestemmingen

soms een probleem omdat het niet

steeds evident is de goede richting

te nemen. Hij vindt het fijn als

mensen hem spontaan aanspreken,

zoals laatst nog een oudere dame

met een hond. Zelf is hij een beetje

introvert en legt niet zo makkelijk

contact zegt hij. Maar daar is

tijdens het interview totaal niets

van te merken, zeker niet wanneer

we over zijn tweede werk en grote

passie beginnen: jaarmarkten en

kermissen.

Op vrije dagen en weekends is Wesley

te vinden in de kindermolen van Pol,

een man van in de zeventig, of in de

rupsmolen of het eendjeskraampje

van Pol zijn zus Lisette. Met hen trekt

hij rond in de omgeving van Brussel.

Het hoogtepunt is de jaarmarkt

in september. Hij staat in voor de

bonnetjes en het begeleiden van

kinderen op de molentjes. Wesley

droomt er van ooit zijn eigen

molentje te kunnen uitbaten.

Wesley woont nu ongeveer twaalf

jaar in Anderlecht. Hij houdt van de

drukte van de stad en de gezellige

parkjes. Een groot verschil met zijn

geboortestreek Roeselare die hij na

de scheiding van zijn ouders verliet

om samen met zijn moeder en haar

Marokkaanse vriend naar Brussel te

komen. Van die vriend leerde hij ook

een behoorlijk mondje Frans. Het

contact met zijn vader is verbroken.

Inmiddels woont Wesley in Ter Linde

Anderlecht, een studiowerking in

een tehuis voor werkende personen

met een handicap. Ze wonen er met

zes, waaronder ook Gregory, een

van zijn vrienden van zijn vroegere

school in Laken. Wesley luistert graag

naar schlagermuziek. Frequent zakt

hij met zijn moeder en nonkel Geert

af naar een festival in Vlaanderen.

Op zaterdagvoormiddag trekt hij

naar de atletiek. De 60 meter spurt,

verspringen en softbal zijn de

voorkeurnummers. Stiekem droomt

hij van de Paralympics. Soms wordt

het hem toch even te druk in de

stad. Als hij tot rust wil komen gaat

hij naar een van de parkjes in de

buurt of – bij mooi weer - wandelen

langs het kanaal tot aan de sluis in

Anderlecht.

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BERGENSE STEENWEG

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ldin

gen

van

dier

en.

Hij

zett

e te

r ere

van

de

veer

tigst

e ve

rjaar

dag

van

de A

cade

mie

van

And

erle

cht

(201

1)

een

wal

viss

kele

t o

p d

e g

evel

van

het

gebo

uw a

an h

et D

appe

rhei

dspl

ein

17.

De

bolle

kas

seis

tene

n, k

lein

e hu

isje

s,

geve

lpla

nten

en

zich

t op

de

kerk

zor

gen

ervo

or d

at h

et P

orse

lein

stra

atje

wel

vak

er

omsc

hrev

en w

ordt

als

een

stu

kje

‘Bru

gge

in B

russ

el’ o

f he

t ‘B

russ

else

Mon

tmar

tre’.

De

oo

rsp

ron

kelij

ke a

rbei

der

swo

nin

gen

zijn

van

daa

g d

an o

ok

geg

eerd

op

de

vast

goed

mar

kt.

De

filos

oof

Eras

mus

ver

blee

f in

152

1

enke

le m

aand

en i

n di

t hu

is g

eleg

en a

an

de K

apit

tels

traa

t 31

. Je

vind

t er

van

daag

een

mu

seu

m m

et k

un

st u

it d

ezel

fde

peri

ode

en ti

jdel

ijke

tent

oons

telli

ngen

van

hede

ndaa

gse

kuns

tena

ars.

De

tuin

naa

st

het h

uis

best

aat u

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n fil

osofi

sche

tuin

en

een

tuin

met

gen

eesk

undi

ge k

ruid

en d

ie je

grat

is k

an b

ezoe

ken.

Een

com

biti

cket

voo

r

dit

mus

eum

en

het

nab

urig

e b

egijn

ho

f

kost

sle

chts

1.2

5€. G

eslo

ten

op m

aand

ag.

Op

de

Jose

ph

Wyb

ran

laan

vin

d j

e

aans

luit

ing

op d

e G

roen

e W

ande

ling.

Dat

is e

en t

raje

ct v

an m

eer

dan

60 k

ilom

eter

wan

del

- en

fiet

sro

ute

s la

ng

s B

russ

else

par

ken

en

nat

uu

rzo

nes

. H

et t

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s

bew

egw

ijzer

d m

et g

roen

e b

ord

jes

op

hout

en p

aalt

jes.

De

Jose

ph

W

ybra

nla

an

verw

ijst

naar

het

voo

rmal

ig h

oofd

van

de

jood

se

gem

een

sch

ap

in

Bel

gië

. W

ybra

n

was

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do

kter

wer

kzaa

m i

n h

et n

abu

rig

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Eras

mus

ziek

enhu

is t

oen

hij

eind

‘88

om

het

leve

n w

erd

gebr

acht

Het

zie

ken

hu

is v

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e U

niv

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Libr

e de

Bru

xelle

s ki

jkt u

it o

p de

vel

den

en

gloo

iend

e he

lling

en v

an h

et P

ajot

tenl

and.

Van

hie

ruit

zie

je

de

ran

dg

emee

nte

n

Dilb

eek,

Len

nik

en S

int-

Piet

ers-

Leeu

w.

De

Vo

gel

enza

ng

wijk

d

raag

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naa

m v

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eek

en v

alle

i d

ie a

chte

r

het

kerk

hof

gele

gen

zijn

. D

e be

ek w

erd

vern

oem

d n

aar

de

18e

eeu

wse

kro

eg

‘Den

Vog

elen

San

ck’

en v

orm

t va

ndaa

g

de g

rens

van

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est

Brus

sel.

Via

de

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elza

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stra

at e

n M

ijlen

mee

rsst

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fiets

je la

ngs

een

natu

urre

serv

aat.

Dit

met

rost

atio

n o

pen

de

in 2

003.

Het

is

het

eer

ste

stat

ion

dat

ver

no

emd

wer

d na

ar e

en le

vend

per

soon

. Nog

een

pres

tati

e op

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mar

es v

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ijfvo

udig

tour

win

naar

Edd

y M

erck

x. O

h ja

, de

fiets

waa

rmee

hij

in 1

972

het

wer

eldu

urre

cord

tijdr

ijden

bra

k st

aat t

ento

onge

stel

d op

het

perr

on.

De

sch

ole

nca

mp

us

van

C

ERIA

/

CO

OV

I is

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egen

aan

de

Lijs

ters

stra

at.

De

twee

tor

eng

ebou

wen

zijn

dui

del

ijke

herk

enni

ngsp

unte

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anne

er je

op

de ri

ng

rond

Bru

ssel

(R0)

rijd

t of m

et d

e tr

ein

in d

e

rich

ting

van

Gen

t ga

at. D

e m

eest

rec

ente

tore

n is

een

ope

enst

apel

ing

van

lesl

okal

en

en le

skeu

kens

.

De

Ber

gen

sest

eenw

eg (

N6)

is

één

van

de n

egen

ste

enw

egen

die

ver

trek

ken

in h

et c

entr

um v

an B

russ

el e

n lo

pen

tot

de

gre

nze

n v

an h

et l

and.

De

N6

is 6

6

kilo

met

er la

ng e

n lo

opt

tot

de g

rens

met

Fran

krijk

.

Aan

de

Kla

vers

traa

t 30

vin

d je

VEL

OS

VD

D, e

en fi

etse

nwin

kel v

an e

en r

asec

hte

And

erle

chte

naar

. Dit

fam

ilieb

edri

jf be

staa

t

reed

s si

nds

1938

!

Tuss

en h

et k

anaa

l, h

et R

ad e

n d

e

spo

orw

eg l

igt

een

aan

tal

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rtve

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L’es

pac

e co

mp

ris

entr

e le

can

al,

La

Rou

e et

la

voie

fer

rée

est

occ

up

é p

ar

plu

sieu

rs t

erra

ins

de

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rt e

t p

elo

use

s.

L’en

droi

t rê

vé p

our

une

paus

e…

La R

ou

e co

mp

te q

uel

qu

es p

etit

es

perl

es a

rchi

tect

ural

es. L

’éco

le c

omm

unal

e

du

mêm

e no

m a

été

con

stru

ire

dan

s le

styl

e A

rt d

éco

(19

36).

Sa f

açad

e va

ut

assu

rém

ent

le d

étou

r.

La p

lain

e d

es L

ois

irs

se t

rou

ve a

u

cent

re d

e la

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é-ja

rdin

de

La R

ou

e. C

e

quar

tier

, à l’

orig

ine

ouvr

ier,

date

du

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t

du v

ingt

ièm

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ècle

. Les

nom

s de

cer

tain

es

rues

, la

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des

Hui

t H

eure

s et

la

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de

l’Ém

anci

pat

ion

par

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mp

le,

rap

pel

lent

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utt

e so

cial

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enée

par

les

ou

vrie

rs.

Des

tra

vaux

de

réno

vati

on o

nt t

oute

fois

amoi

ndri

l’un

iform

ité

des

mai

sons

de

ce

quar

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.

Le l

ong

du c

anal

, une

pis

te c

ycla

ble

très

co

nfo

rtab

le t

rave

rse

An

der

lech

t et

Mo

len

bee

k p

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r re

join

dre

le

cent

re d

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Brux

elle

s.

La p

lace

Biz

et s

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tue

sur

la t

rès

fréq

uent

ée c

haus

sée

de M

ons,

on

ne p

eut

donc

pas

vra

imen

t la

qua

lifier

d’a

gréa

ble.

Elle

com

pte

cepe

ndan

t un

gra

nd n

ombr

e

de

bo

uti

qu

es,

un

arr

êt i

déa

l p

ou

r fa

ire

quel

ques

em

plet

tes.

Sur

l’ave

nu

e d

u R

oi

Sold

at,

le l

on

g

du

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stri

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ous

pou

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emp

runt

er

un c

hem

in n

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lté

mai

s pr

atic

able

.

Vou

s év

iter

ez a

insi

les

vo

ies

de

tram

s.

L’en

trée

du

parc

à l

a ha

uteu

r de

l’é

tang

est

acce

ssib

le à

vél

o.

Le p

arc

Ast

rid

(191

1), t

rès

pent

u, n

’est

pas

uniq

uem

ent

l’écr

in d

u st

ade

de f

oot

du R

SC A

nder

lech

t. Il

prop

ose

égal

emen

t,

ou

tre

un

éta

ng

po

nct

d’u

ne

île,

un

e

plai

ne d

e je

ux tr

ès a

nim

ée e

t une

terr

asse

accu

eilla

nte

avec

vue

sur

le p

arc.

Le c

afé

«Bel

le-V

ue»

(189

0) a

u nu

mér

o

2 d

e l’a

venu

e Pa

ul J

anso

n a

mar

qué

de

son

em

pre

inte

l’h

isto

ire

and

erle

chto

ise.

En 1

927,

ce c

afé

est

repr

is p

ar u

ne f

amill

e

de b

rass

eurs

, les

Van

den

Stoc

k. Q

uelq

ues

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ées

plu

s ta

rd,

ils b

apti

sero

nt

leu

r

célè

bre

krie

k et

leur

ent

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ise

du n

om d

e

ce c

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La

krie

k Be

lle-V

ue é

tait

née

. San

té!

Ch

aqu

e m

ercr

edi

aprè

s-m

idi,

la

pla

ce d

e la

Vai

llan

ce a

ccu

eille

un

pet

it

mar

ché.

Le

nom

bre

des

étal

s pr

opos

ant

des

pro

dui

ts a

limen

tair

es a

rtis

anau

x ne

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qu’

y cr

oît

re.

Cet

te p

etit

e p

lace

est

cein

turé

e de

caf

és e

t de

res

taur

ants

: un

atou

t co

nviv

ialit

é im

para

ble.

Au

num

éro

7 se

sit

ue l

e ce

ntre

com

mun

auta

ire «

De

Rin

ck»,

un

lie

u d

e re

nco

ntre

tout

le

mon

de e

st le

bie

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u.

L’ar

tist

e de

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bru

xello

is B

onom

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célè

bre

pour

ses

repr

ésen

tatio

ns a

nim

ales

.

Pou

r le

s q

uar

ante

an

s d

e l’a

cad

émie

d’A

nder

lech

t (20

11),

il a

orné

la fa

çade

du

num

éro

17 d

e la

pla

ce d

e la

Vai

llanc

e d’

un

sque

lett

e de

bal

eine

.

Pavé

s bo

mbé

s, m

aiso

nnet

tes,

pla

ntes

en

faça

de,

vu

e su

r l’é

glis

e,

tou

s ce

s

élém

ents

exp

lique

nt p

ourq

uoi l

a pe

tite

rue

Pors

elei

n es

t so

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t qu

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ée d

e «p

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pan

de B

ruge

s tr

ansp

lant

é à

Brux

elle

s» o

u

de «

Mon

tmar

tre

brux

ello

is».

Ses

mai

sons

ouvr

ière

s so

nt a

ujou

rd’h

ui tr

ès c

onvo

itée

s

sur

le m

arch

é de

l’im

mob

ilier

.

En 1

521,

le p

hilo

soph

e Ér

asm

e a

rési

quel

ques

moi

s da

ns l

a m

aiso

n si

tuée

au

31 d

e la

ru

e d

u C

hap

itre

. A

ujo

urd

’hu

i,

on y

tro

uve

un m

usée

con

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é à

l’art

de

cett

e ép

oq

ue,

qu

i ac

cuei

lle é

gal

emen

t

des

exp

osi

tio

ns

tem

po

rair

es d

’art

iste

s

con

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po

rain

s.

Le

jard

in

à cô

de

la

mai

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se

co

mp

ose

d

’un

ja

rdin

ph

iloso

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iqu

e et

d’u

n j

ard

in d

’her

bes

méd

icin

ales

. L’a

ccès

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gra

tuit

. Un

tick

et

com

biné

pou

r ce

mus

ée e

t le

bég

uina

ge

tou

t p

roch

e n

e co

ûte

que

1,2

5€.

Ferm

é

le lu

ndi.

Sur l

’ave

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Jose

ph W

ybra

n se

trou

ve

une

conn

exio

n av

ec la

Pro

men

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Vert

e,

un c

ircui

t cy

clis

te e

t pi

éton

bru

xello

is d

e

plus

de

60 k

ilom

ètre

s tr

aver

sant

des

par

cs

et d

es z

ones

nat

urel

les.

Le

circ

uit e

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é

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oyen

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pann

eaux

ver

ts fi

xés

sur d

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en b

ois.

L’av

enue

Jose

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ybra

n po

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le n

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anci

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rési

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de

la c

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unau

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e d

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iqu

e.

Méd

ecin

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sep

h

Wyb

ran

trav

ailla

it à

l’hô

pita

l Éra

sme

tout

proc

he a

vant

d’ê

tre

assa

ssin

é fin

198

8.

L’h

ôp

ital

de

l’Un

iver

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Lib

re d

e

Bru

xelle

s d

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ne

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ps

et l

es

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nes

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u

Pajo

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lan

d.

D’ic

i, vo

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aper

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la

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érie

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k, L

enn

ik e

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euw

-

Sain

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.

Le q

uart

ier

du C

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d’o

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bap

tisé

d’a

prè

s le

ru

isse

au e

t la

val

lée

situ

ée d

erri

ère

le c

imet

ière

. Le

ruis

seau

tire

son

nom

d’u

n ca

fé a

ppel

é «D

en V

ogel

en

Sanc

k» q

ui s

e dr

essa

it là

au

dix-

sept

ièm

e

sièc

le. A

ujou

rd’h

ui, i

l mar

que

la f

ront

ière

de la

rég

ion

brux

ello

ise.

La

rue

du C

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d’oi

seau

et

la r

ue M

eyle

mee

rsch

long

ent

une

rése

rve

natu

relle

.

Cet

te

stat

ion

d

e m

étro

a

été

inau

guré

e en

200

3. C

’est

la p

rem

ière

qui

port

e le

nom

d’u

ne p

erso

nne

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re e

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Un

haut

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rajo

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au

palm

arès

du q

uint

uple

vai

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ur d

u To

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e Fr

ance

,

Eddy

Mer

ckx,

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r ne

pas

le n

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er. A

h,

oui:

le v

élo

avec

lequ

el il

a b

attu

le re

cord

du m

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du

cont

re-l

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ontr

e en

197

2

est

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sé s

ur le

qua

i.

Le

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VI

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ve d

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uen

t d

es p

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e re

pèr

e

très

cla

irem

ent

visi

ble

s à

par

tir

du

rin

g

de B

ruxe

lles

(R0)

ou

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a lig

ne d

e tr

ain

relia

nt B

ruxe

lles

à G

and.

La

plus

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un v

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t

de c

uisi

nes

où s

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La c

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ssée

de

Mo

ns,

ég

alem

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appe

lée

N6,

est

l’un

e de

s ne

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sées

qui

part

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du c

entr

e de

Bru

xelle

s po

ur

gagn

er l

es f

ront

ière

s de

not

re p

ays.

Elle

fait

66

kilo

mèt

res

de

lon

g e

t re

join

t la

fron

tièr

e fr

ança

ise.

Au

num

éro

30 d

e la

rue

des

Trèfl

es s

e

trou

ve «

VEL

OS

VD

D»,

un

mag

asin

de

vélo

s

tenu

par

un

And

erle

chto

is p

ur ju

s. C

ette

entr

epri

se fa

mili

ale

exis

te d

epui

s 19

38!

11

22

3

3

44

5

5

6

6

7

7

8

8

9

9

10

10

11

11

12

12

13

13

14

14

15

15

16

16

17

17

18

18

19

19

20

20

12

34

4

5

6

789

10

11

12

13

14

1415

16

17

18 19

20

BERGENSE STEENWEG

Mon côté apothicaire

Even is er Babylonische spraak-

verwarring, gekruid met hevig

geblaf van de hond. Ik herformuleer

mijn vraag wat. Het woord ‘diversité’

is ofwel niet het juiste woord of

heeft in het Frans duidelijk een

andere connotatie dan wat ik zag in

het korte stukje metro (van Centraal

station richting Anderlecht): zowat

de hele wereld in één metrowagon:

geel, wit, zwart, mokka,... een kleurig

palet van aardekleuren, allemaal

mensen vreedzaam naast elkaar.

Olivier Aerts, kunstenaar, heeft het

daarentegen over de diversiteit aan

technieken en materialen waarmee

hij eigentijdse creaties maakt. En

de lijst is lang. Het zijn stuk voor

stuk zeer oude recepten die hij zich

eigen heeft gemaakt. ‘‘Om ze niet

te verliezen en om ze door te geven

aan anderen’’, zegt hij. Wanneer hij

me uitlegt wat papierstuc is, kan ik

de passie in zijn woorden voelen.

Hier schuilt een gedreven leraar in

de op andere momenten eerder

stille, zachte, wat afwachtende man.

Voor hem is creëren een noodzaak

in het leven. Op 12 jaar kreeg hij

van zijn vader zijn eerste penseel.

Hij mocht er de schoorsteen mee

schilderen. Sindsdien heeft hij altijd

getekend en geschilderd. Ook al

heeft hij best wel geleden onder het

feit dat hij niet van ’s morgens tot ‘s

avonds, zoals een Picasso destijds,

bezig kan zijn met zijn creatieve

exploten.

De jaren, het leven, zijn gezin met

vier kinderen hebben hem gerijpt.

Hij zal nooit een groot schilder

zijn. Maar dat is niet erg. Hij is niet

geïnteresseerd in het materiële

en heeft heel zijn leven halftijds

gewerkt. Een job, die door iedereen

kan gedaan worden. De andere helft

van zijn tijd spendeert hij wanneer

hij maar kan, in zijn ‘coin’. Want

daar voelt hij zich goed, daar heeft

hij voldoening in wat hij doet. Het

contrast met zijn job kan niet groter

zijn.

Even later, staan we in zijn ‘coin’, na

een museale rondleiding doorheen

huis en traphal. Het blijkt een relatief

kleine zonovergoten ruimte in het

dak te zijn waarin het licht weelderig

weerkaatst op de witte muren. Het

oogt als een knus laboratorium

waarin tal van materialen geduldig

hun beurt staan af te wachten. Al

15 jaar werkt hij hier als een echte

onderzoeker, weegt en mengt

hij hier allerlei ingrediënten; ‘le

côté apothicaire’ noemt hij het

zelf, duidelijk geamuseerd en met

een knipoog naar een traditie van

apothekers langs moeders kant...

De fascinatie bij het prepareren zit

in zowat alles: het visuele, de geur,

de tastzin...

Hij creëert dus niet alleen,

maar maakt ook nog eens de

basismaterialen zelf, zoals olieverf

en tempera. En het liefst werkt

hij met eenvoudige, natuurlijke

materialen zoals eieren en bijenwas.

Bedoeling is om de oude techniek

zo dicht mogelijk te evenaren. Zich

amuseren, noemt hij het; spelen

zoals een kind, ongedwongen.

Misschien dat hij zich binnen 10 jaar

totaal wil wijden aan zijn creatief

werk. Een paar potloden, papier en

hele dagen creëren. Dat is genieten.

Interview: Inge Denayer Foto/Photo: Miles Fischler

Mon côté apothicaire

Tout commence par quelques

instants de confusion linguistique,

encore renforcée par les aboiements

frénétiques du chien. Je reformule

ma question. Soit le terme

«diversité» n’est pas correct, soit il

a en français une autre connotation

qui ne décrit pas ce que j’ai

observé pendant le court trajet en

métro qui m’a amenée jusqu’ici

(de la gare Centrale en direction

d’Anderlecht): le monde entier ou

presque dans une seule rame de

métro. Jaune, blanc, noir, café au

lait… la palette rassemblait toutes

les couleurs de peau imaginables, et

toutes ces personnes se côtoyaient

pacifiquement.

Pour Olivier Aerts, artiste, le

terme évoque plutôt la diversité

des techniques et matériaux

avec lesquels il crée des œuvres

contemporaines. Et la liste est

longue. Il s’agit chaque fois de

recettes anciennes qu’il s’est

appropriées. «Pour qu’elles ne

se perdent pas et puissent être

transmises», précise-t-il. Pendant

qu’il m’explique ce qu’est le carton-

pierre, je ressens toute la passion qui

imprègne ses paroles. Un professeur

enthousiaste se cache derrière cet

homme habituellement calme et

doux, un peu en retrait.

Créer est une nécessité dans sa vie.

À 12 ans, son père lui a offert son

premier pinceau. Il l’a utilisé pour

peindre la cheminée. Depuis, il n’a

plus cessé de peindre ou dessiner.

Même s’il a beaucoup souffert de ne

pas pouvoir laisser libre cours à sa

créativité du matin au soir, comme

Picasso en son temps. Les années, la

vie, sa famille et ses quatre enfants

l’ont fait mûrir. Il ne sera jamais un

grand peintre. Mais ce n’est pas

grave. Le côté matériel ne l’intéresse

pas et il a travaillé à mi-temps toute

sa vie. Un boulot que tout le monde

pourrait faire. L’autre moitié de son

temps, il la passe dans son «coin»

dès qu’il en a l’occasion. Car il s’y

sent bien, là, ce qu’il fait lui donne

satisfaction. Le contraste avec son

emploi ne pourrait pas être plus

grand.

Quelques instants plus tard, au

terme d’une visite muséale à

travers maison et cage d’escalier,

nous arrivons dans ce fameux

«coin». Qui s’avère être un espace

sous les toits, relativement petit,

inondé de soleil, dont les murs

réverbèrent à profusion la lumière.

On dirait un laboratoire douillet

où d’innombrables matériaux

attendent patiemment leur tour.

Il y a 15 ans déjà qu’il travaille ici

en véritable chercheur, pesant et

mélangeant divers ingrédients,

«mon côté apothicaire», comme il

le dit lui-même, visiblement amusé

et avec un clin d’œil à l’adresse de

toute une lignée de pharmaciens

du côté maternel…La fascination

de la préparation se marque

pratiquement à tous les niveaux: la

vue, l’odorat, le toucher…

Il ne se contente donc pas de créer,

il fabrique également les matériaux

de base dont il a besoin, comme

la peinture à l’huile et la tempera.

Plus que tout, il aime travailler

avec des matériaux simples et

naturels comme les œufs et la

cire d’abeille. Son objectif est de

se rapprocher le plus possible des

anciennes techniques. Il appelle cela

«s’amuser», jouer comme un enfant,

avec spontanéité.

Il se peut que dans 10 ans, il décide

de se consacrer entièrement à son

travail créatif. Quelques crayons,

une feuille de papier, et créer des

journées entières. Voilà ce qu’il

appelle profiter de la vie.

Reporter sans frontières

Carly Kanyinda est un peu en retard.

J’ai cru le voir au moins dix fois

avant mais quand il arrive vraiment,

d’un coup je suis sûre que c’est lui.

Kanyinda propose d’aller prendre un

verre au McDonald’s. Il y a des lieux

bien plus chaleureux mais, à dire le

vrai, il se prête à merveille au sujet

de notre conversation: Bruxelles et

le parcours qu’a fait Kanyinda avant

d’y parvenir.

Un peu d’informations préalables:

Kanyinda travaille pour Journalistes

en Danger (JED), une association à

but non lucratif fondée à Kinshasa,

afin de défendre et promouvoir

la liberté de presse, d’abord au

Congo, après dans huit autres pays

de l’Afrique Centrale. En tant que

Reporter-sans-Frontières il travaille

également à un documentaire

sur l’immigration subsaharienne

en Europe. Il est correspondent à

Bruxelles pour Congo Web TV et

il travaille pour la radio nationale

congolaise.

Les activités de Kanyinda le rendent

un interlocuteur plein d’intérêt.

Quand il me parle de la population

indigène du Kinshasa colonial, je

n’ai aucune difficulté à m’imaginer

les conditions sordides dans les

quartiers pauvres, sans électricité,

sans eau potable. Plus surprenant

et honteux encore : jusqu’à ce jour-ci

il y a des zones où il n’y a ni eau ni

électricité et où les gens ne mangent

qu’une fois par jour.

Kanyinda ne cesse de s’y opposer.

Chaque année il retourne une ou

deux fois au Congo pour relater la

situation. Il y a quelques années, les

autorités l’ont arrêté à l’aéroport

mais il l’ont dû libérer comme il était

à peine devenu citoyen belge.

Dans les yeux de Kanyinda les

souvenirs de Congo se lisent

pourtant toujours. Il se souvient

de la sympathie des Congolais

même en situation de guerre et

de privation. Il sent les chants des

travailleur qui rentrent à neuf heures

du soir. Tout cela restera à jamais son

héritage.

Au même temps Kanyinda est

un vrai Bruxellois. Il est arrivé en

Belgique il y a dix-neuf années. Il

s’est installé à Anderlecht et il y vit

encore. Il est membre d’une société

musicale, il a un bon contact avec

les voisins et il apprécie le caractère

presque provincial de notre capitale.

Il n’est nullement incliné à rentrer au

Congo comme ont fait beaucoup de

Congolais une fois que la diaspora

était finie.

Tout comme il suit les actualités

du Congo, Kanyinda observe les

événements politique dans notre

pays de près. Contrairement à

ce que je pense, il fait preuve

d’indulgence envers l’opposition

entre les néerlandophones et les

francophones en Belgique. À son

avis le processus vers l’autonomie est

inévitable. Il ne faut pas s’y opposer

comme, peut-être, quelques années

plus tard nous serons de nouveau

convaincus par l’idée «L’union fait la

force». L’histoire est un mouvement

ondulé; il suffit de se laisser

emporter par les vagues.

Reporter zonder grenzen

Journalist. Verdediger van de

rechten van de mens. Betrokken bij

zijn vaderland, Congo, net zozeer

als bij Brussel, de stad waar hij nu

al negentien jaar woont. We zitten

nauwelijks vijf minuten in de drukte

van de Mc Donald’s aan de Brusselse

Beurs en ik weet wat Carly Kanyinda

bezig houdt, wat hem passioneert,

waar hij ’s nachts van wakker ligt.

Zijn engagement en meningen zijn

uitgesproken.

Als medewerker van Journalistes en

Danger (JED) ijvert hij voor de vrije

meningsuiting in Afrika, Congo in

het bijzonder. Als ‘Reporter zonder

grenzen’ werkt hij mee aan een

documentaire over immigratie in

Europa vanuit de sub-Sahara. Voor

Congo Web TV is hij correspondent

in Brussel, net als voor de Congolese

nationale radio.

Zijn beroep heeft van Kanyinda

een uitgelezen gesprekspartner

gemaakt: dankzij zijn vele reizen

en ervaringen heeft hij over

bijna elk onderwerp wel iets

zinnigs te vertellen. Het gesprek

voert ons via overpeinzingen

over klimaatverandering en

een verdediging van de nieuwe

vreemdelingentaks in Antwerpen

naar het bouwplan van de steden in

het koloniale Congo. Zo waren er in

Kinshasa rijke zones voor Belgen en

andere Europeanen waar je na zes

uur ’s avonds geen enkele Congolese

inwoner meer zag. Ze kwamen er

enkel om te werken en keerden na

de dagtaak naar huis.

Kanyinda probeert minstens een

keer per jaar terug te keren naar

Congo. Ik vraag waar hij zich het

meeste thuis voelt. Dat is een

moeilijke vraag, weet ik al voor ik ze

stel. Wanneer hij in Congo is, mist hij

Brussel, vooral dan de relaties die hij

hier in al die jaren heeft opgebouwd.

In België mist hij dan weer de

Afrikaanse vanzelfsprekende

warmte. Mensen in Congo zijn

altijd vriendelijk, zelfs al zit het hen

niet mee, zelfs al hebben ze maar

een keer per dag te eten, zelfs al

is de situatie in hun land verre van

stabiel. Mensen praten buiten met

elkaar, zijn vrolijk, zelfs gelukkig.

En net dat lijkt in België soms zo

moeilijk, terwijl wij het hier zoveel

makkelijker hebben.

De eerste momenten in België waren

als een ballingschap. Niemand was

voorbereid op het vertrek. De enige

manier om zich te herpakken was

het nieuwe vaderland gewoon te

aanvaarden.

Kanyinda heeft altijd in Anderlecht

gewoond en heeft de veranderingen

kunnen volgen. Heel wat autochtone

Brusselaars trekken de laatste jaren

weg tot de grens van Anderlecht

met Kuregem, omdat ze zich

overvallen voelen door de toevloed

van mensen uit het buitenland en

hun eigen wijk niet meer herkennen.

Ze zien het voedsel in de winkels van

de buurt veranderen, hun buren

veranderen. Maar buiten Anderlecht

wagen ze zich niet, dat blijft hun

thuis.

Kanyinda observeert de gang van

zaken: hij heeft gezien dat dit een

onvermijdelijk proces is, ondanks de

psychologische tegenstand. De wijk

volgt het leven en het leven laat zich

niet beteugelen.

Interview: Inge Bergers Foto/Photo: Bastiaan Van Aarle

Metrolijn 5 anders bekeken

Gebruikers van het openbaar

vervoer, en zeker reizigers met de

metro, beschouwen hun traject vaak

als louter functioneel. Men stapt op

de metro zo dicht mogelijk bij de

vertrekplaats om er pas uit te gaan

bij de eindbestemming.

Brussel is nochtans een stad die

telkens opnieuw kan ontdekt worden

en telt enorm veel interessante en

toffe plaatsen. Waarom niet eens

een halte vroeger op- of afstappen

en een stuk van het overblijvende

traject per fiets of te voet afleggen?

De vraag klinkt eenvoudig, maar

voor velen is de drempel groot.

Ik ondersteun ten volle dit project

dat de bruisende, vaak ondergrondse

wereld van metrolijn 5 in contact

wil brengen met de wijken die zich

rond de 28 metrostations situeren.

Dankzij getuigenissen en foto’s van

de Brusselaars die wonen langsheen

het traject van metrolijn 5, krijgen

buurten een gezicht. Wijken worden

vermenselijkt en nodigen uit om

ontdekt te worden. Uiteraard niet

Un autre regard sur la ligne de métro 5

Les usagers des transports publics,

et en particulier les voyageurs

dans le métro, considèrent leur

trajet uniquement d’un point de

vue fonctionnel. On monte dans

le métro au plus près de l’endroit

de départ pour en descendre à sa

destination.

Bruxelles est pourtant une ville

que l’on peut redécouvrir à chaque

promenade et qui compte de

nombreux endroits agréables

et intéressants. Pourquoi ne pas

descendre ou monter à un arrêt plus

tôt et effectuer une partie du trajet

à pied ou à vélo? Cette question

semble simple, mais de nombreuses

personnes redoutent de faire le pas.

Je soutiens pleinement ce projet

qui a pour objectif de faire entrer

en contact ce monde, trépidant et

souvent souterrain de la ligne de

métro 5, avec les quartiers situés

autour des 28 stations de métro.

Les témoignages et photos des

Bruxellois qui habitent le long de la

ligne de métro 5 confèrent une iden-

tité aux quartiers. Les quartiers sont

humanisés et invitent à leur décou-

verte, et ce non seulement par les

visiteurs de notre ville, mais aussi

par les Bruxellois.

Je vous invite à commencer votre

expédition à l’aide de ce journal

ou de l’application sur votre

smartphone. Quittez cette station

de métro et entrez dans le monde

captivant de Bruxelles à pied ou à

vélo. Les histoires, photos et activités

qui vous sont proposées vous en

donnent déjà un bel aperçu. Mais

partez surtout à la découverte des

quartiers de la manière dont vous le

souhaitez: votre excursion n’en sera

que plus instructive.

Ministre bruxelloise des Travaux

Publics et des Transports

Metro 5: Moving People, Moving Stories

Metrolijn 5 doorsnijdt Brussel van

west naar oost, en heeft precies

28 haltes nodig voor zijn tocht

door een bonte mengeling wijken

en buurten. Tussen september en

december 2013 krijgt elke halte

een eigen krant, gemaakt door een

ploeg enthousiaste gelegenheids-

journalisten. Studenten en

medewerkers van de HUBrussel

en Luca namen de metro naar

een hun onbekende ‘Brusselaar’.

Deze inspirerende ontmoetingen

resulteerden in 112 unieke

portretten. Studenten van ISFC

gaven het geheel mee vorm. Om

metrolijn 5 verder in de bloemetjes

alleen door bezoekers van onze stad,

maar zeker ook door de Brusselaars

zelf.

Ik nodig u uit om met deze krant

in de hand of met de App op uw

smartphone uw ontdekkingstocht

aan te vatten. Verlaat dit metro-

station en stap of fiets de boeiende

wereld van Brussel in. De verhalen,

foto’s en activiteiten die men

aanbiedt zetten u al een flink eind

op weg.

Brussels minister van Openbare

Werken en Vervoer

te zetten zijn bij een aantal stations

leuke activiteiten gepland. Cactus

& Co gidst al wie wil gratis met de

fiets langs het metrolijn 5 parcours

en directe omgeving, met uitstapjes

naar de plekjes die in de interviews

aan bod komen.

Meer info via: www.facebook.com/

metro5be

Metro 5: Moving People, Moving Stories

La ligne de métro 5 traverse Bruxelles

d’ouest en est, et pas moins de 28

stations lui sont nécessaires pour

relier tous ces quartiers très bigarrés.

De septembre à décembre 2013,

chaque station aura son propre

journal, réalisé par une équipe de

journalistes occasionnels débordant

d’enthousiasme. Des étudiants et des

collaborateurs de la HUB et de Luca

ont pris le métro à la rencontre d’un

«Bruxellois» inconnu. Ces rencontres

inspiratrices ont débouché sur 112

portraits exceptionnels, que des

étudiants de l’ISFC ont mis en pages.

Pour garder les projecteurs braqués

sur la ligne 5, une série d’activités

seront organisées dans plusieurs

stations. Cactus & Co se fera un

plaisir de guider gratuitement tous

ceux qui souhaitent découvrir le

parcours de la ligne 5 et ses environs

à vélo et organisera des promenades

vers les lieux évoqués dans les

interviews.

Toutes les informations se trouvent

sur www.facebook.com/metro5be

Verantwoordelijke uitgever / editeur responsable: Dirk De Ceulaer, Warmoesberg 26, 1000 Brussel. Contact: [email protected] - 02 210 12 57. Ne pas jeter sur la voie publique. Niet op de openbare weg gooien.

Met de steun van de