Hermann-Debroux
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Transcript of Hermann-Debroux
HERRMANN-DEBROUX
Le Vicomte de Pétange
Het werd snel duidelijk dat Marcel
Vanderlinden al lang uitkeek naar dit
gesprek. Informatie had hij al gretig
verzameld, vijf volgeschreven A4-tjes
en de foto’s over het Oudergem van
toen lagen klaar. Met Oostenrijkse
muziek op de achtergrond konden
we aan het gesprek beginnen.
Het begin van een nieuw leven!
Met veel enthousiasme stelt Marcel
zich voor. “Ik ben geboren op 18 juni
1924 in Oudergem, als zoon van
Jean-Jacques en Lowee. In de jaren
30 ging ik naar het basisonderwijs
in het Frans, omdat er geen
Nederlandstalige scholen waren in
Oudergem. Zo heb ik dus al mijn
studies tot het middelbaar in het
Frans gedaan. In avondschool heb
ik boekhouden gevolgd en daar heb
ik later mijn job van gemaakt.’’ Hij
vervolgt: “In mijnen tijd bestonden
er geen computers. Wij moesten
nog alles met de hand schrijven.”
“Intussen was ook de oorlog
van 1940-1945 uitgebroken. Met
alle gevolgen vandien. Duitsers
begonnen grote delen te bezetten,
arrestaties en deportaties naar
de concentratiekampen waren
dagelijkse kost. Wat ik mij vooral
herinner, is de controle op de tram.
De Wehrmacht kwam de tram op
en beval ons om onze papieren te
laten zien.”
Marcel leerde zijn vrouw kennen
op de nieuwjaarsreceptie van zijn
werk. “Nadien ben ik haar opnieuw
tegengekomen in de cinema van
Etterbeek. Van het een kwam het
ander, maar op ons werk mochten
ze hier niks van weten. Werken
op dezelfde dienst was in die tijd
niet mogelijk. Samen met mijn
vrouw heb ik een dochter en drie
kleinkinderen.”
Le Vicomte de Pétange
Oudergem was in de hoofdstad
lange tijd bekend voor haar
wasvrouwen en strijksters. Zo
kom ik de grappige anekdote van
‘Monsieur le Vicomte de Pétange’
te weten: “In het jaar 1931 woonde
er in Oudergem een opmerkelijk
figuur, Alphonse genaamd. De
man was een verstokte vrijgezel
en woonde bij zijn familie, die een
wasserij openhield. Op een zomerse
zondag had hij met vrienden een
uitstapje gepland naar de Ardennen.
‘s Ochtends vroeg stelde hij vast dat
hij geen proper hemd meer had.
Geen onoverkomelijk probleem voor
iemand die uit een wasserijfamilie
komt, want zonder aarzelen graaide
hij uit de voorraad netjes gestreken
linnen een passend hemd. Op het
hemd stond echter een kroontje
geborduurd, symbool van de adel.
Zijn vrienden hadden het snel in de
gaten en plaagden hem er de hele
dag mee. Ze spraken hem aan met
‘Monsieur le Vicomte de Pétange’.
Alphonse liet het niet aan zijn hart
komen en speelde het spelletje
gewillig mee. De baas van het
hotel, waar het gezelschap ging
eten, merkte het kroontje op en
dacht dat hij met een echte baron
te maken had. Van de ene dag op
de andere werd de vrijgezel door het
volk Vicomte genoemd. ‘‘Het was
zelfs zo erg”, zegt Marcel al lachend,
“dat wanneer men aan de oudere
Oudergemenaren vroeg of zij
Alphonse kenden, iedereen zei dat
ze hem nooit gekend hadden, maar
de Vicomte daarentegen kenden zij
allemaal.”
Le vicomte de Pétange
Il était bien clair que Marcel
Vanderlinden avait attendu
impatiemment cet entretien. Il avait
déjà fait ces devoirs: cinq pages
complets de notes et les photos
d’Auderghem d’antan. Avec de la
musique autrichienne au fond, nous
abordons la conversation.
Le début d’une nouvelle vie!
C’est avec beaucoup d’enthousiasme
que Marcel se présente. «Je suis
né le 18 juin 1924 à Auderghem.
Je suis le fils de Jean-Jacques et
Lowee. Aux années trente, j’allais
à l’école primaire, tout en français
vu qu’il n’y avait pas des classes
néerlandophones à Auderghem.
Ainsi, j’ai fait toute ma carrière
scolaire en français. J’ai suivi un
cours de comptabilité en école de
soir et j’en ai fait ma profession.»
Il continue: «De mon temps, il
n’existait pas des ordinateurs. Nous
enregistrions tout à la main.»
«Entretemps, la guerre de 1940-
1945 avait éclaté, avec tout ce qui
s’ensuit. Les Allemands ont occupé
des grandes parties de la ville et les
arrestations et les déportations aux
camps de concentration étaient de
tous les jours. Ce que je me souviens
le plus est le contrôle sur le tram. Le
Wehrmacht montait le tram et nous
contrôlait les papiers.»
Marcel a rencontré sa femme à la
réception du nouvel an de son
employeur. «Je l’ai rencontrée de
nouveau au cinéma d’Etterbeek et
la reste est connue. Mais, à notre
travail, ils ne pouvaient rien savoir.
Travailler au même service n’était
pas possible à l’époque. J’ai une fille
avec ma femme et elle nous a donné
trois petits-enfants.»
Le Vicomte de Pétange
Auderghem était depuis longtemps
connu en Bruxelles pour ses laveuses
et ses repasseuses. Ainsi, j’ai appris
l’histoire comique de «Monsieur le
Vicomte de Pétange». «Á l’année
1931, une figure remarquable a vécu
à Auderghem, il s’appelait Alphonse.
Cet homme était un célibataire
endurci et il vivait avec sa famille,
qui tenait une blanchisserie. Un
dimanche d’été, il avait organisé
une excursion aux Ardennes entre
amis. Le matin, il a constaté qu’il
n’avait plus de chemise propre.
Aucun problème pour le fils d’un
blanchisseur et, sans hésitation,
il a pris une chemise de la pile de
chemises repassées. Pourtant, il y
avait une petite couronne brodée
sur la chemise, signe de la noblesse.
Ses amis l’ont remarqués tout de
suite et se sont moqué de lui toute
la journée. Ils l’appelaient «Monsieur
le Vicomte de Pétange».
Alphonse jouait son rôle avec
plaisir. Le patron de l’hôtel où
la compagnie dinait a aperçu la
petite couronne et il pensait qu’il
s’agissait d’un véritable baron.De
l’un jour à l’autre, la population a
commencé à l’appeler le «Vicomte».
«C’était tellement courant» nous
dit Marcel en rigolant, «que si on
demandait aux vieux Auderghemois
s’ils connaissaient Alphonse, ils
répondaient qu’ils ne l’ont jamais
connu, mais le Vicomte par contre,
ils le connaissaient tous.»
Interview: Glen Pirotte Foto/Photo: Celikcan Emre
La ville qui a façonné ma vie
«Une fois sortie de l’école secondaire,
je n’ai pas hésité longtemps avant de
me décider pour la guidance sociale
et culturelle à la Vrije Universiteit
Brussel. Faire chaque jour le trajet
de mon petit village de Kinrooi dans
le Limbourg jusqu’au campus était
mission impossible; j’ai donc loué
un kot», explique Katrien Verbeeck
devant un verre à la Mort Subite.
«Les non-Bruxellois ont des
préjugés à l’encontre de la capitale.
Les médias en parlent parfois de
manière négative, ce qui en donne
une image tronquée. Les premières
semaines et même les premiers
mois, je ne connaissais de Bruxelles
que le trajet du campus à mon kot
et inversement. Mais au fil du temps,
j’ai compris que la réputation de
Bruxelles ne correspondait pas à
la réalité.» Katrien a rencontré des
amis à l’université et ceux-ci lui ont
fait découvrir les bars et cafés de la
ville. Ce qu’on ne peut que conseiller
à tous les étudiants d’ailleurs. Ou
pour reprendre ses propres mots:
«Au début, on considère Bruxelles
comme un îlot entouré de rochers
dangereux, mais au bout d’un
certain temps, on se rend compte
que la vraie menace, c’est cette
fausse impression qu’on a de la
ville.»
Son endroit favori à Bruxelles? Le
«Zonneklop’» un café de Matongé.
Pourquoi? «En fait, j’y suis allée
parce qu’il se trouvait tout près
de mon kot. J’y suis passée parce
que j’avais envie de tout voir de
Bruxelles, et finalement, j’y retourne
encore et toujours. Mes amis y
allaient régulièrement, si bien qu’il
est vite devenu notre café habituel.
Peu de temps après, j’ai également
découvert «De Confrater» et le
«Luigi» mais je retournais toujours
à mon premier amour. Et ce n’est pas
parce que je ne suis plus étudiante
que j’ai arrêté d’y aller!»
Après avoir terminé ses études,
en 2005, Katrien a emménagé
à Auderghem: «J’habitais dans
une maison qui ressemblait tout
à fait à celle de la série «Friends».
Dans l’appartement, nous nous
connaissions tous et nous passions
régulièrement chez les uns et les
autres. Le quartier où j’habitais
ressemblait à un village. On n’y vivait
pas les uns à côté des autres mais les
uns avec les autres. Mohammed du
magasin du coin, Maria qui passe
tous les matins à la boulangerie
de Louis, etc. On avait vraiment
l’impression d’habiter dans un
village, c’était agréable.»
Katrien travaille actuellement dans la
bibliothèque locale de Val Duchesse.
Il y a quelques années encore, la
bibliothèque ne recevait pas de
subventions, mais aujourd’hui, la
Ville de Bruxelles lui alloue une
enveloppe annuelle, notamment
pour acheter des livres. «C’est un
travail à forte charge sociale. Tout le
monde pense qu’une bibliothécaire
passe son temps à classer des livres
dans une pièce sombre. Rien n’est
moins vrai. Je consacre 80% de
mon temps à aider les enfants des
écoles environnantes qui viennent
chercher des livres pour améliorer
leur néerlandais.» En fait, il y a
un tel nombre de nationalités à
Auderghem qu’enseigner le
néerlandais est devenu un travail
permanent. «Avec les bénévoles
de la commune et une boîte de
pralines de temps à autre en signe
de reconnaissance, on peut déjà
réaliser de grandes choses.»
Interview: Joren Vandenputte Foto/Photo: Luc Gees
De stad die m’n leven heeft gevormd
“Toen ik afstudeerde aan de
middelbare school was de keuze
voor Sociale en Culturele Agogiek
aan de Vrije Universiteit Brussel snel
gemaakt. Elke dag pendelen van
mijn dorpje Kinrooi in Limburg naar
de campus was een onmogelijke
opgave, dus ging ik op kot”, vertelt
Katrien Verbeeck tussen pot en pint
in de Mort Subite.
“Als je niet oorspronkelijk van Brussel
bent, heb je wel vooroordelen over
de stad.’’ Ze komt af en toe negatief
in het nieuws, en dat geeft een
vertekend beeld. De eerste weken,
zelfs maanden, kende ik dan ook
enkel de weg van de campus naar
mijn kot en vice versa. Maar na een
tijd merkte ik dat de beeldvorming
van Brussel niet echt klopt.’’ Katrien
leerde vrienden kennen op de
universiteit, en die leerden haar de
verschillende cafés en bars kennen.
Om het met haar woorden te
zeggen: “In het begin zie je Brussel
als een eilandje met gevaarlijke
rotsen eromheen, maar na een tijdje
zie je dat schijn bedriegt.”
Haar favoriete plek in Brussel? De
‘Zonneklop’, een café in de Matongé.
Waarom? ‘‘Ik ging ernaartoe omdat
het vlak tegenover mijn kot lag. Je
gaat er eens binnen omdat je alles
een beetje wil zien van Brussel,
en uiteindelijk ga je er elke keer
opnieuw naar toe. Mijn vrienden
waren ook geregeld daar. Het werd
het mijn stamcafé. ‘De Confrater’ en
‘De Luigi’ leerde ik niet veel later ook
kennen, maar uiteindelijk keerde ik
elke keer terug naar mijn eerste
liefde. En het is niet omdat ik niet
meer studeer dat ik er niet meer
naartoe ga hoor.’’
Na mijn studententijd in 2005 ging
Katrien in Oudergem wonen. “Ik
woonde er in een huis dat je het
best kan vergelijken met de huizen
die je ziet in de serie ‘Friends’.
In het appartement kenden we
elkaar allemaal en kwamen we ook
regelmatig bij elkaar over de vloer.
Waar ik woonde had je toch nog een
samenhorigheidsgevoel. Je leeft er
niet naast elkaar maar met elkaar.
Mohammed van de winkel in de
buurt, Maria die elke morgen naar
bakker Louis stapt,... Zo krijg je een
leuk dorpsgevoel.’’
‘‘Ik werk in de plaatselijke bibliotheek
Hertoginnedal. Tot enkele jaren
geleden was de bibliotheek niet
gesubsidieerd, maar nu voorziet de
stad Brussel een jaarlijkse toelage
om onder andere nieuwe boeken
aan te kopen. Het is een heel sociaal
bewogen job. Iedereen denkt dat
je ergens in een donkere kamer
boeken zit te rangschikken. Niets is
minder waar: 80% van mijn tijd ben
ik bezig met de kleine kinderen van
de nabijgelegen scholen die boeken
komen zoeken om hun Nederlands
bij te schaven.’’ Eigenlijk wonen er
in Oudergem zoveel verschillende
nationaliteiten dat Nederlands leren
een permanente job is geworden.
“Met de nodige vrijwilligers in de
gemeente en af en toe een doos
pralines als blijk van dank geraken
we al heel ver.”
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Brussel, mijn thuis
Op een vrijdagnamiddag kom ik aan
in het station Herrmann-Debroux,
aan het einde van metrolijn 5. Een
lange wandeling brengt mij naar
het appartementsgebouw van John
Willems, een 33-jarige Nederlander
en instructeur van rijschool JoRal.
Hij staat mij al op te wachten. Zijn
vrouw biedt me iets te drinken aan
en we nemen plaats aan tafel.
John Willems is een manusje
-van-alles en enorm leergierig.
Hij studeerde vertaler-tolk, is een
tijdje kok geweest, werkte als
automechanieker en is een hele
poos actief geweest als bus- en
vrachtwagenchauffeur.
De man heeft in zijn jeugd veel
rondgereisd en is uiteindelijk
terechtgekomen in de Brusselse
jeugdherberg ‘Jacques Brel’, waar
hij als barman werkte. Op die
plaats leerde hij zijn Bulgaarse
vrouw kennen. Ze studeerde toen
in België als Erasmusstudent.
“Ze had nog geen kot of woning
gevonden, en was daarom te gast
in de jeugdherberg”, vertelt John.
Terwijl hij aan het werken was,
zijn ze elkaar tegengekomen.
Na een tijdje in de jeugdherberg
gelogeerd te hebben, verhuisde
zijn vrouw. “Ze had uiteindelijk een
verblijf gevonden samen met een
andere kamergenoot, waar ik dan
regelmatig op bezoek kwam.”
De kamergenoot keerde na de
studies terug naar Bulgarije. Zij
bleven samen achter in Brussel
en bouwden er hun leven uit. “We
zijn dan nog even samen in het
kot blijven wonen en verhuisden
erna naar de rue d’Anderlecht.”
Uiteindelijk kwamen ze terecht
in Oudergem waar ze nog steeds
gelukkig wonen.
Johns lievelingsplek in Brussel is het
Woluwepark, dat op vijf minuten
wandelen van zijn appartement ligt.
“Ik hou niet van al die smog, maar
wel van de natuur en het groen.”
Hij komt er tot rust, zeker nu hij een
dochter heeft van 4 jaar oud. “Op
die plaats kan ze spelen en kunnen
we samen een wandeling maken na
schooltijd.” Hij voelt zich echt thuis
in Brussel, en heeft duidelijk geen
heimwee naar zijn geboorteland.
Er zijn heel wat verschillen tussen
Nederland en België. Het enige dat
hij echter beter vindt in Nederland
is dat ze daar beter omspringen
met de verkeersregels. “Hier trekt
niemand zich er iets van aan terwijl
ze dat in Nederland wel doen.” Maar
dat is dan natuurlijk meteen ook
één van de redenen waarom hij rij-
instructeur geworden is.
Interview: Rafaël Cardoen Foto/Photo: Nele Thorrez
Bruxelles, mon «chez moi»
Vendredi après-midi. La station
Hermann-Debroux est la gare
terminus de la ligne de métro
numéro 5. Après une longue
promenade, j’arrive à l’appartement
du Néerlandais John Willems (33),
un moniteur d’auto-école JoRal. Il
m’attendait déjà. Sa femme m’offre
quelque chose à boire, nous nous
mettons à table, l’ambiance est là.
John Willems est un bricoleur et
très avide d’apprendre. Il a fait des
études d’interprète-traducteur, et
a travaillé quelque temps comme
cuisinier et comme mécanicien, puis,
pendant assez longtemps, comme
chauffeur d’autobus et de camion.
Cet homme a beaucoup voyagé
dans son enfance et s’est finalement
retrouvé dans l’auberge de jeunesse
bruxelloise «Jacques Brel», où il a
travaillé comme barman. C’est
précisément à cet endroit qu’il
a connu sa femme bulgare. À ce
moment-là, elle était étudiante
Erasmus en Belgique. «Elle n’avait
pas encore trouvé de chambre ou
d’habitation, et c’est pour cette
raison qu’elle séjournait à l’auberge
de jeunesse», raconte John. Ils
se sont rencontrés pendant qu’il
travaillait. Ils se sont mieux connus
et voilà le résultat. Après avoir logé
quelque temps dans l’auberge de
jeunesse, sa femme a déménagé.
«Elle avait finalement trouvé une
habitation qu’elle partageait avec
un ami, et où j’allais souvent lui
rendre visite.»
L’ami est retourné en Bulgarie après
ses études. Eux ils sont restés à
Bruxelles et y ont construit une vie.
«Nous sommes restés vivre quelque
temps dans la chambre d’étudiant et
plus tard nous avons déménagé vers
la rue d’Anderlecht.» Finalement, ils
se sont retrouvés à Auderghem où
ils vivent toujours heureux.
L’endroit préféré de John à Bruxelles
est le parc de Woluwe, qui se trouve
à cinq minutes de marche de son
appartement. «Je n’aime pas ce
smog, mais j’aime beaucoup la
nature et tout ce qui est vert.» Il y
trouve du repos, surtout maintenant,
car il a une petite fille de 4 ans. «À
cet endroit, elle peut jouer et nous
pouvons faire une promenade après
l’école.»
Il se sent déjà très à l’aise à Bruxelles.
Il est clair qu’il n’a pas le mal du pays.
Il existe beaucoup de différences
entre les Pays-Bas et la Belgique. La
seule chose qu’il préfère aux Pays-
Bas, est le fait qu’on y respecte plus
le code de la route. «Ici, personne
ne se préoccupe du code, alors
qu’aux Pays-Bas si.» Mais c’est
naturellement aussi une des raisons
pour laquelle il est devenu moniteur
d’auto-école.
Auderghem au rythme des saisons
Le trajet vers mon lieu de rendez-
vous s’apparente à un voyage à
travers l’histoire de Bruxelles et de
la Belgique. Quelques-unes des
stations que je vois défiler portent
le nom de personnalités, d’hier
et d’aujourd’hui, qui ont marqué
l’histoire du pays. Les noms d’Eddy
Merckx et de Jacques Brel nous
sont familiers mais l’homme qui
a donné son nom à ma station de
métro est moins connu: il s’agit
d’Herrmann-Debroux. Après
quelques recherches, j’apprends
que Carl Herrmann-Debroux a été
bourgmestre d’Auderghem pendant
la Grande Guerre. Mais cette station
n’est pas ma destination, je ne
m’attarde donc pas davantage sur
la vie de cet homme.
Le métro arrive en surface.
L’environnement de la station de
métro est dominé par une circulation
très dense, digne d’une métropole,
et par un cadre gris fait d’asphalte
et de béton. Un immense viaduc se
détache sur fond de ciel bleu. Est-ce
donc là la fameuse ceinture verte
du sud-est de Bruxelles? Difficile à
croire, pourtant, une minute plus
tard, je pénètre dans le parc Seny. Me
voici dans une oasis de verdure et de
calme où m’attend une Bruxelloise
au tempérament énergique.
Ingrid Chaponan est originaire de
Charleroi. «Je suis arrivée à Bruxelles
il y a vingt ans pour y faire mes
études. Une fois le dernier examen
terminé, j’avais non seulement un
diplôme mais aussi un emploi ainsi
qu’un cercle d’amis. Il n’était plus
question de partir.»
Mais pourquoi Auderghem au
juste? «Eh bien, j’habite à deux
pas de la forêt de Soignes. Un
endroit magnifique pour faire
du vélo, marcher ou emmener
jouer les enfants. La nature y
est surprenante tout au long de
l’année. Le printemps est très
apprécié en raison de la floraison
des anémones des bois, mais je
vous conseille également d’aller
vous y promener en hiver quand il
neige. Avec un peu de chance, vous
apercevrez un chevreuil.» Mon
interlocutrice me donne une foule
d’idées. «Mais ce n’est pas tout: la
Promenade verte qui va de Stockel à
Watermael-Boitsfort est également
à faire si vous voulez découvrir le
Bruxelles vert. Dans la vallée de la
Woluwe, vous longerez des parcs,
des ruisseaux, des étangs.»
Et les voisins? «Le comité de
riverains rapproche les habitants.
Ce comité organise plusieurs projets
en lien avec la mobilité, l’énergie et
l’alimentation. Ce qui nous permet
d’apprendre à nous connaître. L’été
est naturellement la période la plus
propice aux échanges. Chaque
jeudi soir, le voisinage se réunit en
rue pour un repas. Chacun apporte
un plat, une chaise et une table. Les
tables se couvrent d’une multitude
d’entrées, de plats et de desserts.
De temps en temps, certains jouent
aussi de la musique. La rue est
interdite aux voitures, un moment
unique pour les enfants qui ont alors
tout l’espace souhaité pour jouer
ensemble.»
Oudergem op het ritme van de seizoenen
Op weg naar mijn afspraak maak
ik een reis door de geschiedenis
van Brussel en België. Enkele van
de stations waar ik langsrijd zijn
genaamd naar recente en minder
recente figuren uit de vaderlandse
geschiedenis. Eddy Merckx en
Jacques Brel klinken bekend in de
oren, maar de persoon achter mijn
bestemming is minder voor de
hand liggend: Herrmann-Debroux.
Enig opzoekwerk leert me dat
Carl Herrmann-Debroux tijdens de
Grote Oorlog burgemeester was
van Oudergem. Het station is echter
niet mijn eindbestemming. Het
levensverhaal van de burgemeester
laat ik voor wat het is. De bekende
geur van uitlaatgassen dringt
immers al mijn neus binnen.
Ik ben bovengronds. De omgeving
van het metrostation wordt
beheerst door een grootstedelijke
verkeersdrukte in een grijs kader
van beton en asfalt. Het immense
viaduct steekt af tegen een blauwe
hemel. Is dit dan die fameuze
groene gordel in het zuidoosten
van Brussel? Moeilijk te geloven,
maar toch, een minuut later stap ik
al het Senypark binnen. Ik kom er
terecht in een groene oase van rust
en wordt er onthaald door Ingrid
Chaponan.
Mi jn gesprekspar tner i s
oorspronkelijk van Charleroi.
“Twintig jaar geleden kwam ik
studeren in Brussel. Met mijn laatste
examen achter de rug, had ik niet
alleen een diploma op zak maar ook
een job en een hele vriendenkring.
Ik dacht er niet aan om terug uit
Brussel te vertrekken.”
Maar waarom dan juist Oudergem?
“Wel, ik woon op een boogscheut
van het Zoniënwoud. Dat is een
geweldige plaats om te gaan fietsen,
wandelen of spelen met de kinderen.
De natuur verrast je er trouwens het
hele jaar door. De lente staat bekend
voor de bloeiende bosanemonen
maar wandel er in de winter zeker
ook eens door wanneer het heeft
gesneeuwd. Met wat geluk zie je
dan wel een ree voorbij springen.”
Deze dame brengt me alvast op
ideeën. “Maar dat is lang niet alles
hoor, ook de Groene Wandeling van
Stokkel naar Watermaal-Bosvoorde
is een echte aanrader om de groene
kant van Brussel te leren kennen.
In de Woluwevallei loop je langs
verschillende parken, beekjes en
vijvers.”
En de buurtbewoners? “Wel, het
buurtcomité brengt mensen
dichter bij elkaar. Het organiseert
verschillende projecten rond
mobiliteit, energie en voeding.
Daardoor leren we elkaar beter
kennen. De zomer is daarvoor
natuurlijk de periode bij uitstek. Elke
donderdagavond wordt er samen
gegeten op straat. Iedereen neemt
dan een gerecht, een stoel en een
tafel mee. Er komt een gevarieerd
aanbod aan voorgerechten, hoofd-
gerechten en desserts op tafel. Af
en toe wordt er ook live muziek
gespeeld door de bewoners. De
straat wordt autovrij gemaakt, een
uniek moment waarop de kinderen
alle ruimte hebben om samen te
spelen.”
Interview: Ken Radizo Foto/Photo: Anke Vanbelle
Metrolijn 5 anders bekeken
Gebruikers van het openbaar
vervoer, en zeker reizigers met de
metro, beschouwen hun traject vaak
als louter functioneel. Men stapt op
de metro zo dicht mogelijk bij de
vertrekplaats om er pas uit te gaan
bij de eindbestemming.
Brussel is nochtans een stad die
telkens opnieuw kan ontdekt worden
en telt enorm veel interessante en
toffe plaatsen. Waarom niet eens
een halte vroeger op- of afstappen
en een stuk van het overblijvende
traject per fiets of te voet afleggen?
De vraag klinkt eenvoudig, maar
voor velen is de drempel groot.
Ik ondersteun ten volle dit project
dat de bruisende, vaak ondergrondse
wereld van metrolijn 5 in contact
wil brengen met de wijken die zich
rond de 28 metrostations situeren.
Dankzij getuigenissen en foto’s van
de Brusselaars die wonen langsheen
het traject van metrolijn 5, krijgen
buurten een gezicht. Wijken worden
vermenselijkt en nodigen uit om
ontdekt te worden. Uiteraard niet
Un autre regard sur la ligne de métro 5
Les usagers des transports publics,
et en particulier les voyageurs
dans le métro, considèrent leur
trajet uniquement d’un point de
vue fonctionnel. On monte dans
le métro au plus près de l’endroit
de départ pour en descendre à sa
destination.
Bruxelles est pourtant une ville
que l’on peut redécouvrir à chaque
promenade et qui compte de
nombreux endroits agréables
et intéressants. Pourquoi ne pas
descendre ou monter à un arrêt plus
tôt et effectuer une partie du trajet
à pied ou à vélo? Cette question
semble simple, mais de nombreuses
personnes redoutent de faire le pas.
Je soutiens pleinement ce projet
qui a pour objectif de faire entrer
en contact ce monde, trépidant et
souvent souterrain de la ligne de
métro 5, avec les quartiers situés
autour des 28 stations de métro.
Les témoignages et photos des
Bruxellois qui habitent le long de la
ligne de métro 5 confèrent une iden-
tité aux quartiers. Les quartiers sont
humanisés et invitent à leur décou-
verte, et ce non seulement par les
visiteurs de notre ville, mais aussi
par les Bruxellois.
Je vous invite à commencer votre
expédition à l’aide de ce journal
ou de l’application sur votre
smartphone. Quittez cette station
de métro et entrez dans le monde
captivant de Bruxelles à pied ou à
vélo. Les histoires, photos et activités
qui vous sont proposées vous en
donnent déjà un bel aperçu. Mais
partez surtout à la découverte des
quartiers de la manière dont vous le
souhaitez: votre excursion n’en sera
que plus instructive.
Ministre bruxelloise des Travaux
Publics et des Transports
Metro 5: Moving People, Moving Stories
Metrolijn 5 doorsnijdt Brussel van
west naar oost, en heeft precies
28 haltes nodig voor zijn tocht
door een bonte mengeling wijken
en buurten. Tussen september en
december 2013 krijgt elke halte
een eigen krant, gemaakt door een
ploeg enthousiaste gelegenheids-
journalisten. Studenten en
medewerkers van de HUBrussel
en Luca namen de metro naar
een hun onbekende ‘Brusselaar’.
Deze inspirerende ontmoetingen
resulteerden in 112 unieke
portretten. Studenten van ISFC
gaven het geheel mee vorm. Om
metrolijn 5 verder in de bloemetjes
alleen door bezoekers van onze stad,
maar zeker ook door de Brusselaars
zelf.
Ik nodig u uit om met deze krant
in de hand of met de App op uw
smartphone uw ontdekkingstocht
aan te vatten. Verlaat dit metro-
station en stap of fiets de boeiende
wereld van Brussel in. De verhalen,
foto’s en activiteiten die men
aanbiedt zetten u al een flink eind
op weg.
Brussels minister van Openbare
Werken en Vervoer
te zetten zijn bij een aantal stations
leuke activiteiten gepland. Cactus
& Co gidst al wie wil gratis met de
fiets langs het metrolijn 5 parcours
en directe omgeving, met uitstapjes
naar de plekjes die in de interviews
aan bod komen.
Meer info via: www.facebook.com/
metro5be
Metro 5: Moving People, Moving Stories
La ligne de métro 5 traverse Bruxelles
d’ouest en est, et pas moins de 28
stations lui sont nécessaires pour
relier tous ces quartiers très bigarrés.
De septembre à décembre 2013,
chaque station aura son propre
journal, réalisé par une équipe de
journalistes occasionnels débordant
d’enthousiasme. Des étudiants et des
collaborateurs de la HUB et de Luca
ont pris le métro à la rencontre d’un
«Bruxellois» inconnu. Ces rencontres
inspiratrices ont débouché sur 112
portraits exceptionnels, que des
étudiants de l’ISFC ont mis en pages.
Pour garder les projecteurs braqués
sur la ligne 5, une série d’activités
seront organisées dans plusieurs
stations. Cactus & Co se fera un
plaisir de guider gratuitement tous
ceux qui souhaitent découvrir le
parcours de la ligne 5 et ses environs
à vélo et organisera des promenades
vers les lieux évoqués dans les
interviews.
Toutes les informations se trouvent
sur www.facebook.com/metro5be
Verantwoordelijke uitgever / editeur responsable: Dirk De Ceulaer, Warmoesberg 26, 1000 Brussel. Contact: [email protected] - 02 210 12 57. Ne pas jeter sur la voie publique. Niet op de openbare weg gooien.
Met de steun van de