Hermann-Debroux

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HERRMANN-DEBROUX

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HERRMANN-DEBROUX

Page 2: Hermann-Debroux

Le Vicomte de Pétange

Het werd snel duidelijk dat Marcel

Vanderlinden al lang uitkeek naar dit

gesprek. Informatie had hij al gretig

verzameld, vijf volgeschreven A4-tjes

en de foto’s over het Oudergem van

toen lagen klaar. Met Oostenrijkse

muziek op de achtergrond konden

we aan het gesprek beginnen.

Het begin van een nieuw leven!

Met veel enthousiasme stelt Marcel

zich voor. “Ik ben geboren op 18 juni

1924 in Oudergem, als zoon van

Jean-Jacques en Lowee. In de jaren

30 ging ik naar het basisonderwijs

in het Frans, omdat er geen

Nederlandstalige scholen waren in

Oudergem. Zo heb ik dus al mijn

studies tot het middelbaar in het

Frans gedaan. In avondschool heb

ik boekhouden gevolgd en daar heb

ik later mijn job van gemaakt.’’ Hij

vervolgt: “In mijnen tijd bestonden

er geen computers. Wij moesten

nog alles met de hand schrijven.”

“Intussen was ook de oorlog

van 1940-1945 uitgebroken. Met

alle gevolgen vandien. Duitsers

begonnen grote delen te bezetten,

arrestaties en deportaties naar

de concentratiekampen waren

dagelijkse kost. Wat ik mij vooral

herinner, is de controle op de tram.

De Wehrmacht kwam de tram op

en beval ons om onze papieren te

laten zien.”

Marcel leerde zijn vrouw kennen

op de nieuwjaarsreceptie van zijn

werk. “Nadien ben ik haar opnieuw

tegengekomen in de cinema van

Etterbeek. Van het een kwam het

ander, maar op ons werk mochten

ze hier niks van weten. Werken

op dezelfde dienst was in die tijd

niet mogelijk. Samen met mijn

vrouw heb ik een dochter en drie

kleinkinderen.”

Le Vicomte de Pétange

Oudergem was in de hoofdstad

lange tijd bekend voor haar

wasvrouwen en strijksters. Zo

kom ik de grappige anekdote van

‘Monsieur le Vicomte de Pétange’

te weten: “In het jaar 1931 woonde

er in Oudergem een opmerkelijk

figuur, Alphonse genaamd. De

man was een verstokte vrijgezel

en woonde bij zijn familie, die een

wasserij openhield. Op een zomerse

zondag had hij met vrienden een

uitstapje gepland naar de Ardennen.

‘s Ochtends vroeg stelde hij vast dat

hij geen proper hemd meer had.

Geen onoverkomelijk probleem voor

iemand die uit een wasserijfamilie

komt, want zonder aarzelen graaide

hij uit de voorraad netjes gestreken

linnen een passend hemd. Op het

hemd stond echter een kroontje

geborduurd, symbool van de adel.

Zijn vrienden hadden het snel in de

gaten en plaagden hem er de hele

dag mee. Ze spraken hem aan met

‘Monsieur le Vicomte de Pétange’.

Alphonse liet het niet aan zijn hart

komen en speelde het spelletje

gewillig mee. De baas van het

hotel, waar het gezelschap ging

eten, merkte het kroontje op en

dacht dat hij met een echte baron

te maken had. Van de ene dag op

de andere werd de vrijgezel door het

volk Vicomte genoemd. ‘‘Het was

zelfs zo erg”, zegt Marcel al lachend,

“dat wanneer men aan de oudere

Oudergemenaren vroeg of zij

Alphonse kenden, iedereen zei dat

ze hem nooit gekend hadden, maar

de Vicomte daarentegen kenden zij

allemaal.”

Page 3: Hermann-Debroux

Le vicomte de Pétange

Il était bien clair que Marcel

Vanderlinden avait attendu

impatiemment cet entretien. Il avait

déjà fait ces devoirs: cinq pages

complets de notes et les photos

d’Auderghem d’antan. Avec de la

musique autrichienne au fond, nous

abordons la conversation.

Le début d’une nouvelle vie!

C’est avec beaucoup d’enthousiasme

que Marcel se présente. «Je suis

né le 18 juin 1924 à Auderghem.

Je suis le fils de Jean-Jacques et

Lowee. Aux années trente, j’allais

à l’école primaire, tout en français

vu qu’il n’y avait pas des classes

néerlandophones à Auderghem.

Ainsi, j’ai fait toute ma carrière

scolaire en français. J’ai suivi un

cours de comptabilité en école de

soir et j’en ai fait ma profession.»

Il continue: «De mon temps, il

n’existait pas des ordinateurs. Nous

enregistrions tout à la main.»

«Entretemps, la guerre de 1940-

1945 avait éclaté, avec tout ce qui

s’ensuit. Les Allemands ont occupé

des grandes parties de la ville et les

arrestations et les déportations aux

camps de concentration étaient de

tous les jours. Ce que je me souviens

le plus est le contrôle sur le tram. Le

Wehrmacht montait le tram et nous

contrôlait les papiers.»

Marcel a rencontré sa femme à la

réception du nouvel an de son

employeur. «Je l’ai rencontrée de

nouveau au cinéma d’Etterbeek et

la reste est connue. Mais, à notre

travail, ils ne pouvaient rien savoir.

Travailler au même service n’était

pas possible à l’époque. J’ai une fille

avec ma femme et elle nous a donné

trois petits-enfants.»

Le Vicomte de Pétange

Auderghem était depuis longtemps

connu en Bruxelles pour ses laveuses

et ses repasseuses. Ainsi, j’ai appris

l’histoire comique de «Monsieur le

Vicomte de Pétange». «Á l’année

1931, une figure remarquable a vécu

à Auderghem, il s’appelait Alphonse.

Cet homme était un célibataire

endurci et il vivait avec sa famille,

qui tenait une blanchisserie. Un

dimanche d’été, il avait organisé

une excursion aux Ardennes entre

amis. Le matin, il a constaté qu’il

n’avait plus de chemise propre.

Aucun problème pour le fils d’un

blanchisseur et, sans hésitation,

il a pris une chemise de la pile de

chemises repassées. Pourtant, il y

avait une petite couronne brodée

sur la chemise, signe de la noblesse.

Ses amis l’ont remarqués tout de

suite et se sont moqué de lui toute

la journée. Ils l’appelaient «Monsieur

le Vicomte de Pétange».

Alphonse jouait son rôle avec

plaisir. Le patron de l’hôtel où

la compagnie dinait a aperçu la

petite couronne et il pensait qu’il

s’agissait d’un véritable baron.De

l’un jour à l’autre, la population a

commencé à l’appeler le «Vicomte».

«C’était tellement courant» nous

dit Marcel en rigolant, «que si on

demandait aux vieux Auderghemois

s’ils connaissaient Alphonse, ils

répondaient qu’ils ne l’ont jamais

connu, mais le Vicomte par contre,

ils le connaissaient tous.»

Interview: Glen Pirotte Foto/Photo: Celikcan Emre

Page 4: Hermann-Debroux

La ville qui a façonné ma vie

«Une fois sortie de l’école secondaire,

je n’ai pas hésité longtemps avant de

me décider pour la guidance sociale

et culturelle à la Vrije Universiteit

Brussel. Faire chaque jour le trajet

de mon petit village de Kinrooi dans

le Limbourg jusqu’au campus était

mission impossible; j’ai donc loué

un kot», explique Katrien Verbeeck

devant un verre à la Mort Subite.

«Les non-Bruxellois ont des

préjugés à l’encontre de la capitale.

Les médias en parlent parfois de

manière négative, ce qui en donne

une image tronquée. Les premières

semaines et même les premiers

mois, je ne connaissais de Bruxelles

que le trajet du campus à mon kot

et inversement. Mais au fil du temps,

j’ai compris que la réputation de

Bruxelles ne correspondait pas à

la réalité.» Katrien a rencontré des

amis à l’université et ceux-ci lui ont

fait découvrir les bars et cafés de la

ville. Ce qu’on ne peut que conseiller

à tous les étudiants d’ailleurs. Ou

pour reprendre ses propres mots:

«Au début, on considère Bruxelles

comme un îlot entouré de rochers

dangereux, mais au bout d’un

certain temps, on se rend compte

que la vraie menace, c’est cette

fausse impression qu’on a de la

ville.»

Son endroit favori à Bruxelles? Le

«Zonneklop’» un café de Matongé.

Pourquoi? «En fait, j’y suis allée

parce qu’il se trouvait tout près

de mon kot. J’y suis passée parce

que j’avais envie de tout voir de

Bruxelles, et finalement, j’y retourne

encore et toujours. Mes amis y

allaient régulièrement, si bien qu’il

est vite devenu notre café habituel.

Peu de temps après, j’ai également

découvert «De Confrater» et le

«Luigi» mais je retournais toujours

à mon premier amour. Et ce n’est pas

parce que je ne suis plus étudiante

que j’ai arrêté d’y aller!»

Après avoir terminé ses études,

en 2005, Katrien a emménagé

à Auderghem: «J’habitais dans

une maison qui ressemblait tout

à fait à celle de la série «Friends».

Dans l’appartement, nous nous

connaissions tous et nous passions

régulièrement chez les uns et les

autres. Le quartier où j’habitais

ressemblait à un village. On n’y vivait

pas les uns à côté des autres mais les

uns avec les autres. Mohammed du

magasin du coin, Maria qui passe

tous les matins à la boulangerie

de Louis, etc. On avait vraiment

l’impression d’habiter dans un

village, c’était agréable.»

Katrien travaille actuellement dans la

bibliothèque locale de Val Duchesse.

Il y a quelques années encore, la

bibliothèque ne recevait pas de

subventions, mais aujourd’hui, la

Ville de Bruxelles lui alloue une

enveloppe annuelle, notamment

pour acheter des livres. «C’est un

travail à forte charge sociale. Tout le

monde pense qu’une bibliothécaire

passe son temps à classer des livres

dans une pièce sombre. Rien n’est

moins vrai. Je consacre 80% de

mon temps à aider les enfants des

écoles environnantes qui viennent

chercher des livres pour améliorer

leur néerlandais.» En fait, il y a

un tel nombre de nationalités à

Auderghem qu’enseigner le

néerlandais est devenu un travail

permanent. «Avec les bénévoles

de la commune et une boîte de

pralines de temps à autre en signe

de reconnaissance, on peut déjà

réaliser de grandes choses.»

Interview: Joren Vandenputte Foto/Photo: Luc Gees

De stad die m’n leven heeft gevormd

“Toen ik afstudeerde aan de

middelbare school was de keuze

voor Sociale en Culturele Agogiek

aan de Vrije Universiteit Brussel snel

gemaakt. Elke dag pendelen van

mijn dorpje Kinrooi in Limburg naar

de campus was een onmogelijke

opgave, dus ging ik op kot”, vertelt

Katrien Verbeeck tussen pot en pint

in de Mort Subite.

“Als je niet oorspronkelijk van Brussel

bent, heb je wel vooroordelen over

de stad.’’ Ze komt af en toe negatief

in het nieuws, en dat geeft een

vertekend beeld. De eerste weken,

zelfs maanden, kende ik dan ook

enkel de weg van de campus naar

mijn kot en vice versa. Maar na een

tijd merkte ik dat de beeldvorming

van Brussel niet echt klopt.’’ Katrien

leerde vrienden kennen op de

universiteit, en die leerden haar de

verschillende cafés en bars kennen.

Om het met haar woorden te

zeggen: “In het begin zie je Brussel

als een eilandje met gevaarlijke

rotsen eromheen, maar na een tijdje

zie je dat schijn bedriegt.”

Haar favoriete plek in Brussel? De

‘Zonneklop’, een café in de Matongé.

Waarom? ‘‘Ik ging ernaartoe omdat

het vlak tegenover mijn kot lag. Je

gaat er eens binnen omdat je alles

een beetje wil zien van Brussel,

en uiteindelijk ga je er elke keer

opnieuw naar toe. Mijn vrienden

waren ook geregeld daar. Het werd

het mijn stamcafé. ‘De Confrater’ en

‘De Luigi’ leerde ik niet veel later ook

kennen, maar uiteindelijk keerde ik

elke keer terug naar mijn eerste

liefde. En het is niet omdat ik niet

meer studeer dat ik er niet meer

naartoe ga hoor.’’

Na mijn studententijd in 2005 ging

Katrien in Oudergem wonen. “Ik

woonde er in een huis dat je het

best kan vergelijken met de huizen

die je ziet in de serie ‘Friends’.

In het appartement kenden we

elkaar allemaal en kwamen we ook

regelmatig bij elkaar over de vloer.

Waar ik woonde had je toch nog een

samenhorigheidsgevoel. Je leeft er

niet naast elkaar maar met elkaar.

Mohammed van de winkel in de

buurt, Maria die elke morgen naar

bakker Louis stapt,... Zo krijg je een

leuk dorpsgevoel.’’

‘‘Ik werk in de plaatselijke bibliotheek

Hertoginnedal. Tot enkele jaren

geleden was de bibliotheek niet

gesubsidieerd, maar nu voorziet de

stad Brussel een jaarlijkse toelage

om onder andere nieuwe boeken

aan te kopen. Het is een heel sociaal

bewogen job. Iedereen denkt dat

je ergens in een donkere kamer

boeken zit te rangschikken. Niets is

minder waar: 80% van mijn tijd ben

ik bezig met de kleine kinderen van

de nabijgelegen scholen die boeken

komen zoeken om hun Nederlands

bij te schaven.’’ Eigenlijk wonen er

in Oudergem zoveel verschillende

nationaliteiten dat Nederlands leren

een permanente job is geworden.

“Met de nodige vrijwilligers in de

gemeente en af en toe een doos

pralines als blijk van dank geraken

we al heel ver.”

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o

(195

2).

Edm

ond

Thie

ffry

maa

kte

in 1

925

de e

erst

e lu

chtv

erbi

ndin

g tu

ssen

Bru

ssel

en K

ongo

. Dat

geb

eurd

e in

wel

gete

ld 5

1

dage

n. Het

ste

egje

lan

gs

de

met

rolij

n i

s

een

vei

lige

verb

ind

ing

tu

ssen

de

Lou

is

Schm

idtl

aan

en d

e Vr

ijwill

iger

slaa

n. R

ijd

wel

vo

orz

icht

ig w

ant

oo

k vo

etg

ang

ers

gebr

uike

n di

t sm

alle

weg

je.

Stee

k d

e L

ou

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chm

idtl

aan

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r

ter

hoog

te v

an d

e V

liege

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ieff

ryst

raat

.

Dez

e la

an m

aakt

dee

l uit

van

de

Brus

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e

mid

den

rin

g

(R21

),

met

d

agel

ijks

e

filek

lass

ieke

rs

als

Mo

ntg

om

ery,

Mei

ser

en V

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raet

. De

veili

gste

man

ier o

m o

ver

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teke

n is

lan

gs d

e ve

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hten

aan

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met

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atio

n Th

ieff

ry.

In h

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vind

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ansl

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ng o

p

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roen

e W

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ling.

Dat

is

een

traj

ect

van

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an 6

0 ki

lom

eter

wan

del

- en

fiet

sro

ute

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ng

s B

russ

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ken

en

natu

urzo

nes.

Het

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ject

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eweg

wijz

erd

met

gro

ene

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jes

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es.

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een

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Dam

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een

waa

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kind

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elie

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De

deu

ren

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op

en,

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ke

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sela

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et e

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ende

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stin

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een

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tivi

teit

.

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gd

hu

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s g

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n

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Emile

Ste

eno

stra

at.

Het

is

één

van

de

Bru

ssel

se

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hu

izen

ac

hte

r d

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org

anis

atie

va

n

het

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arlij

kse

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ival

Bru

ksel

live.

Afs

pra

ak t

ijden

s h

et l

aats

te

wee

ken

d v

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uli

in h

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roen

thea

ter,

vlak

bij h

et A

tom

ium

.

In d

e sc

hild

erac

htig

e tu

inw

ijk F

loré

al

(193

0) e

rvaa

r je

du

idel

ijk d

at h

et d

e

bas

isb

edo

elin

g w

as o

m m

et d

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elijk

e

wijk

en e

en o

verg

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te

mak

en t

uss

en

de s

tad

en h

et p

latt

elan

d. D

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rate

n zi

jn

alle

maa

l ve

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loem

en.

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jij e

en b

eeld

pla

kken

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Pyr

etru

m e

n

Saxi

frag

e?

Tuin

wijk

Le

Log

is (

1922

) lig

t vl

akb

ij

tuin

wijk

Flo

réal

. Het

hou

twer

k is

hie

r ni

et

geel

maa

r gr

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gesc

hild

erd.

Alle

str

aten

zijn

ver

no

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naa

r d

iere

nn

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. H

et

verw

onde

rt j

e al

licht

nie

t da

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n aa

ntal

van

deze

hui

zenb

lokk

en e

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esch

erm

de

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ten.

Het

Rei

gerb

ospa

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an h

et m

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ssig

e

verl

eden

van

dez

e bu

urt

niet

ver

stop

pen.

Een

beek

je v

erbi

ndt v

ersc

hille

nde

poel

en.

Een

mo

un

tain

bik

epis

te d

oo

rkru

ist

het

par

k.

Een

sp

eelt

uin

, m

oes

tuin

tjes

en

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jes

met

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hert

en m

aken

het

geh

eel

com

plee

t.

Stil

je

ho

ng

er

op

h

et

Eug

ène

Keym

ple

in n

um

mer

15,

Ch

ez J

osy

. D

it

is e

en k

ruis

ing

tu

ssen

een

bio

win

kel

en r

esau

ran

tje.

Je

her

ken

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et a

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e

uit

ges

tald

e g

roet

en

op

h

et

tro

tto

ir.

Ges

lote

n op

zon

dag.

De

Vis

seri

jwijk

lig

t te

n z

uid

en v

an

met

rolij

n 5.

Str

aatn

amen

als

Wit

viss

enla

an

en V

oorn

laan

ver

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n al

sne

l w

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het

hie

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m t

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is.

Zel

f ee

n h

eng

el

Le q

uart

ier

des

Pêc

her

ies

se t

rouv

e

au s

ud d

e la

lign

e 5.

Ave

nue

des

Abl

ette

s,

aven

ue

du

Gar

do

n…

Pas

bes

oin

d’ê

tre

dev

in

po

ur

com

pre

nd

re

de

qu

oi

il

reto

urne

. Vou

s po

uvez

mêm

e vo

us e

ssay

er

à la

pêc

he à

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ligne

d’u

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pont

emen

t

sur

l’éta

ng d

e la

« P

êche

roy

ale

», r

ue d

es

Pêch

erie

s.

Si

vou

s so

uh

aite

z p

arco

uri

r

rapi

dem

ent

la d

ista

nce

entr

e Be

aulie

u et

Her

rman

n-D

ebro

ux,

cett

e p

iste

cyc

lab

le

cons

titu

e la

mei

lleur

e op

tion

. Sép

arée

de

la ro

ute,

elle

s’a

vère

trè

s ag

réab

le. E

lle fa

it

d’ai

lleur

s pa

rtie

de

la P

rom

enad

e ve

rte.

La li

gne

de m

étro

5 e

t la

E411

cou

pent

litté

rale

men

t en

d

eux

la

com

mu

ne

d’A

ud

erg

hem

. Le

s en

viro

ns

abo

nd

ent

égal

emen

t en

imm

eubl

es d

e bu

reau

x, c

e

qui c

rée

une

atm

osph

ère

étra

nge

pour

le

cycl

iste

et

le p

iéto

n.

L’av

enu

e d

e B

eau

lieu

po

ssèd

e u

ne

larg

e p

iste

cyc

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le,

du

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des

sal

on

s

d’ex

posi

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. Que

lque

s pa

ssag

es p

iéto

ns

et f

eux

de s

igna

lisat

ion

vous

per

met

tent

d’y

accé

der

en t

oute

séc

urit

é.

Du

pont

prè

s de

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tati

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elta

, vou

s

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l’im

pres

sion

de

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rder

l’en

vers

du

déco

r br

uxel

lois

. Au

sud,

vou

s ap

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le d

épô

t D

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. A

u n

ord

, vo

us

voye

z le

tron

çon

le p

lus

cour

t en

tre

deux

sta

tion

s

du

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ro b

ruxe

llois

, à

savo

ir D

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Han

kar.

La fi

n d

u b

ou

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rd d

u T

rio

mp

he

déb

ou

che

sur

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imet

ière

d’Ix

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s. A

u

prem

ier

rega

rd, r

ien

ne t

rahi

t le

qua

rtie

r

étud

iant

ple

in d

’ani

mat

ion

de l’

autr

e cô

des

mur

s du

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re.

Ce

cim

etiè

re e

st

con

sid

éré

com

me

le P

ère-

Lach

aise

de

Brux

elle

s. E

rnes

t So

lvay

et

Vic

tor

Hor

ta,

pour

ne

cite

r qu

’eux

, y o

nt l

eur

dern

ière

dem

eure

.

La c

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ssée

de

Wav

re,

égal

emen

t

appe

lée

N4,

est

l’un

e de

s ne

uf c

haus

sées

qui

part

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du c

entr

e de

Bru

xelle

s po

ur

gag

ner

le

s fr

on

tièr

es

de

no

tre

pay

s.

Elle

fai

t 19

2 ki

lom

ètre

s d

e lo

ng

et

relie

Brux

elle

s à

la f

ront

ière

lux

embo

urge

oise

via

Nam

ur, B

asto

gne

et A

rlon

.

Situ

é su

r le

boul

evar

d du

trio

mph

e, le

« Ku

ltuu

rKaff

ee »

n’e

st r

ien

moi

ns q

u’un

e

inst

itut

ion.

Au

prog

ram

me

? D

es c

once

rts,

des

conf

éren

ces,

des

film

s ou

enc

ore

des

com

édie

s.

Les

un

iver

sité

s fr

anco

ph

on

e et

née

rlan

do

ph

on

e se

p

arta

gen

t ce

cam

pus,

un

anci

en t

erra

in d

e m

anœ

uvre

de

l’arm

ée.

Ense

mb

le,

elle

s co

mp

ten

t

plus

de

30 0

00 é

tudi

ants

. Le

cam

pus

est

un

mél

ang

e d

e b

âtim

ents

de

cou

rs,

de

labo

rato

ires,

de

kots

, de

terr

ains

de

spor

t,

de p

elou

ses,

il p

ossè

de é

gale

men

t to

utes

les

infr

astr

uct

ure

s cy

clis

tes

néc

essa

ires

.

Péné

trez

-y p

our

en h

umer

l’at

mos

phèr

e !

Le

po

int

vélo

au

n

um

éro

40

d

u

boul

evar

d du

Tri

omph

e es

t te

nu p

ar le

s «

Ate

liers

de

la r

ue V

oot

». Il

a u

n ca

ract

ère

par

tici

pat

if, c

e q

ui

imp

liqu

e q

ue

vou

s

pouv

ez y

rép

arer

vou

s-m

ême

votr

e vé

lo

sous

la s

uper

visi

on d

’un

prof

essi

onne

l.

Les

stat

ion

s d

e m

étro

Th

ieff

ry e

t

Péti

llon

évoq

uent

le

pass

é co

loni

al d

e la

Belg

ique

. Lé

o Pé

tillo

n a

été

gou

vern

eur

géné

ral

du C

ongo

bel

ge (

1952

). Q

uant

à

Edm

ond

Thie

ffry

, il a

eff

ectu

é la

pre

miè

re

liais

on

aér

ien

ne

entr

e B

ruxe

lles

et l

e

Con

go, e

n 19

25. U

ne li

aiso

n qu

i lui

a p

ris

51 jo

urs…

La r

uelle

qui

long

e la

voi

e de

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ro

per

met

de

relie

r en

to

ute

séc

uri

té l

e

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d Lo

uis

Schm

idt

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’ave

nue

des

Volo

nta

ires

. Ro

ule

z p

rud

emm

ent

tou

t

de

mêm

e, c

ar d

es p

iéto

ns l

’em

pru

nten

t

égal

emen

t.

Trav

erse

z le

b

ou

leva

rd

Lou

is

Schm

idt

à la

hau

teur

de

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ue A

viat

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Thie

ffry

. C

e b

ou

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rd f

ait

par

tie

de

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moy

enn

e ce

intu

re d

e B

ruxe

lles

(R21

),

il re

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uelq

ues-

uns

des

zon

es l

es p

lus

fréq

uem

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t em

bout

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es d

e Br

uxel

les

: M

on

tgo

mer

y,

Mei

ser

et

Van

Pr

aet.

Le m

oyen

le

plu

s sû

r d

e le

tra

vers

er ?

Emp

runt

ez l

e p

assa

ge

po

nct

ué d

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ux

de s

igna

lisat

ion

deva

nt la

sta

tion

Pét

illon

.

Le p

arc

Seny

per

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de

rejo

ind

re

la P

rom

enad

e ve

rte,

un

cir

cuit

cyc

liste

et

pié

ton

b

ruxe

llois

d

e p

lus

de

60

kilo

mèt

res

trav

ersa

nt

des

par

cs e

t d

es

zone

s na

ture

lles.

Le

circ

uit

est

balis

é au

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en d

e p

ann

eaux

ver

ts fi

xés

sur

des

pote

aux

en b

ois.

Le c

entr

e co

mm

unau

taire

« D

en D

am

», a

u cœ

ur d

’Aud

ergh

em, p

ropo

se u

n va

ste

éven

tail

d’ac

tivi

tés

pour

pet

its

et g

rand

s

: de

pièc

es d

e th

éâtr

e à

des

conc

erts

de

mid

i d

ans

le p

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en p

assa

nt

par

des

excu

rsio

ns c

ultu

relle

s et

des

ate

liers

pou

r

enfa

nts.

Ses

por

tes

sont

touj

ours

ouv

erte

s

à to

us le

s Br

uxel

lois

, qu’

une

ques

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les

préo

ccup

e ou

qu’

ils s

oien

t à

la r

eche

rche

d’un

e ac

tivi

té s

ympa

.

La m

aiso

n d

es j

eun

es «

Alle

man

»

est

situ

ée d

ans

la r

ue É

mile

Ste

eno.

Elle

com

pte

au n

ombr

e de

s m

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ns d

e je

unes

qui

org

anis

ent

chaq

ue a

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le

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ival

Bruk

selli

ve. R

ende

z-vo

us le

der

nier

wee

k-

end

de ju

illet

au

Théâ

tre

de V

erdu

re p

rès

de l’

Ato

miu

m.

Arr

ivé

dan

s la

ci

té-j

ard

in

Flo

réal

(193

0), v

ous

sais

irez

tout

de

suit

e l’o

bjec

tif

pri

nci

pal

de

ces

qu

arti

ers,

qu

i ét

ait

de

crée

r u

ne

tran

siti

on

ent

re l

a vi

lle e

t la

cam

pag

ne.

To

ute

s le

s ru

es p

ort

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des

nom

s de

fleu

rs. S

i je

vous

dis

« P

yrèt

hres

» ou

« S

axifr

ages

», q

ue v

oyez

-vou

s ?

La c

ité-

jard

in L

e Lo

gis

(19

22)

est

à

un j

et d

e pi

erre

de

la c

ité-

jard

in F

loré

al.

Ici,

les

boi

seri

es n

e so

nt p

as p

eint

es e

n

jaun

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ais

en v

ert.

Tout

es le

s ru

es p

orte

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des

nom

s d’

anim

aux.

Vou

s ne

ser

ez p

as

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né d

’app

rend

re q

u’un

e sé

rie

de c

es

pâté

s de

mai

sons

son

t pr

otég

és.

Le p

arc

de la

Hér

onni

ère

ne p

eut

pas

cach

er le

pas

sé m

aréc

ageu

x de

ce

quar

tier.

Un

ru

isse

let

relie

plu

sieu

rs f

on

dri

ères

.

Une

pis

te d

e V

TT t

rave

rse

le p

arc.

Pou

r

com

plét

er l’

ense

mbl

e, c

iton

s en

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une

plai

ne d

e je

u, d

es p

otag

ers

et d

e p

etit

s

parc

s pe

uplé

s de

dai

ms.

Une

pet

ite fa

im ?

Ren

dez-

vous

« C

hez

Josy

», a

u nu

mér

o 15

de

la p

lace

Eug

ène

Keym

. Cet

éta

blis

sem

ent

est

un m

élan

ge

de

mag

asin

bio

et

de

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aura

nt.

Vou

s

le r

eco

nn

aîtr

ez f

acile

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t à

l’éta

lag

e

rem

pli

de l

égum

es s

ur l

e tr

otto

ir. F

erm

é

le d

iman

che.

1 2 3 4 5 6 7

8 9 10 11 12 13 14 15

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Page 8: Hermann-Debroux
Page 9: Hermann-Debroux

Brussel, mijn thuis

Op een vrijdagnamiddag kom ik aan

in het station Herrmann-Debroux,

aan het einde van metrolijn 5. Een

lange wandeling brengt mij naar

het appartementsgebouw van John

Willems, een 33-jarige Nederlander

en instructeur van rijschool JoRal.

Hij staat mij al op te wachten. Zijn

vrouw biedt me iets te drinken aan

en we nemen plaats aan tafel.

John Willems is een manusje

-van-alles en enorm leergierig.

Hij studeerde vertaler-tolk, is een

tijdje kok geweest, werkte als

automechanieker en is een hele

poos actief geweest als bus- en

vrachtwagenchauffeur.

De man heeft in zijn jeugd veel

rondgereisd en is uiteindelijk

terechtgekomen in de Brusselse

jeugdherberg ‘Jacques Brel’, waar

hij als barman werkte. Op die

plaats leerde hij zijn Bulgaarse

vrouw kennen. Ze studeerde toen

in België als Erasmusstudent.

“Ze had nog geen kot of woning

gevonden, en was daarom te gast

in de jeugdherberg”, vertelt John.

Terwijl hij aan het werken was,

zijn ze elkaar tegengekomen.

Na een tijdje in de jeugdherberg

gelogeerd te hebben, verhuisde

zijn vrouw. “Ze had uiteindelijk een

verblijf gevonden samen met een

andere kamergenoot, waar ik dan

regelmatig op bezoek kwam.”

De kamergenoot keerde na de

studies terug naar Bulgarije. Zij

bleven samen achter in Brussel

en bouwden er hun leven uit. “We

zijn dan nog even samen in het

kot blijven wonen en verhuisden

erna naar de rue d’Anderlecht.”

Uiteindelijk kwamen ze terecht

in Oudergem waar ze nog steeds

gelukkig wonen.

Johns lievelingsplek in Brussel is het

Woluwepark, dat op vijf minuten

wandelen van zijn appartement ligt.

“Ik hou niet van al die smog, maar

wel van de natuur en het groen.”

Hij komt er tot rust, zeker nu hij een

dochter heeft van 4 jaar oud. “Op

die plaats kan ze spelen en kunnen

we samen een wandeling maken na

schooltijd.” Hij voelt zich echt thuis

in Brussel, en heeft duidelijk geen

heimwee naar zijn geboorteland.

Er zijn heel wat verschillen tussen

Nederland en België. Het enige dat

hij echter beter vindt in Nederland

is dat ze daar beter omspringen

met de verkeersregels. “Hier trekt

niemand zich er iets van aan terwijl

ze dat in Nederland wel doen.” Maar

dat is dan natuurlijk meteen ook

één van de redenen waarom hij rij-

instructeur geworden is.

Interview: Rafaël Cardoen Foto/Photo: Nele Thorrez

Bruxelles, mon «chez moi»

Vendredi après-midi. La station

Hermann-Debroux est la gare

terminus de la ligne de métro

numéro 5. Après une longue

promenade, j’arrive à l’appartement

du Néerlandais John Willems (33),

un moniteur d’auto-école JoRal. Il

m’attendait déjà. Sa femme m’offre

quelque chose à boire, nous nous

mettons à table, l’ambiance est là.

John Willems est un bricoleur et

très avide d’apprendre. Il a fait des

études d’interprète-traducteur, et

a travaillé quelque temps comme

cuisinier et comme mécanicien, puis,

pendant assez longtemps, comme

chauffeur d’autobus et de camion.

Cet homme a beaucoup voyagé

dans son enfance et s’est finalement

retrouvé dans l’auberge de jeunesse

bruxelloise «Jacques Brel», où il a

travaillé comme barman. C’est

précisément à cet endroit qu’il

a connu sa femme bulgare. À ce

moment-là, elle était étudiante

Erasmus en Belgique. «Elle n’avait

pas encore trouvé de chambre ou

d’habitation, et c’est pour cette

raison qu’elle séjournait à l’auberge

de jeunesse», raconte John. Ils

se sont rencontrés pendant qu’il

travaillait. Ils se sont mieux connus

et voilà le résultat. Après avoir logé

quelque temps dans l’auberge de

jeunesse, sa femme a déménagé.

«Elle avait finalement trouvé une

habitation qu’elle partageait avec

un ami, et où j’allais souvent lui

rendre visite.»

L’ami est retourné en Bulgarie après

ses études. Eux ils sont restés à

Bruxelles et y ont construit une vie.

«Nous sommes restés vivre quelque

temps dans la chambre d’étudiant et

plus tard nous avons déménagé vers

la rue d’Anderlecht.» Finalement, ils

se sont retrouvés à Auderghem où

ils vivent toujours heureux.

L’endroit préféré de John à Bruxelles

est le parc de Woluwe, qui se trouve

à cinq minutes de marche de son

appartement. «Je n’aime pas ce

smog, mais j’aime beaucoup la

nature et tout ce qui est vert.» Il y

trouve du repos, surtout maintenant,

car il a une petite fille de 4 ans. «À

cet endroit, elle peut jouer et nous

pouvons faire une promenade après

l’école.»

Il se sent déjà très à l’aise à Bruxelles.

Il est clair qu’il n’a pas le mal du pays.

Il existe beaucoup de différences

entre les Pays-Bas et la Belgique. La

seule chose qu’il préfère aux Pays-

Bas, est le fait qu’on y respecte plus

le code de la route. «Ici, personne

ne se préoccupe du code, alors

qu’aux Pays-Bas si.» Mais c’est

naturellement aussi une des raisons

pour laquelle il est devenu moniteur

d’auto-école.

Page 10: Hermann-Debroux

Auderghem au rythme des saisons

Le trajet vers mon lieu de rendez-

vous s’apparente à un voyage à

travers l’histoire de Bruxelles et de

la Belgique. Quelques-unes des

stations que je vois défiler portent

le nom de personnalités, d’hier

et d’aujourd’hui, qui ont marqué

l’histoire du pays. Les noms d’Eddy

Merckx et de Jacques Brel nous

sont familiers mais l’homme qui

a donné son nom à ma station de

métro est moins connu: il s’agit

d’Herrmann-Debroux. Après

quelques recherches, j’apprends

que Carl Herrmann-Debroux a été

bourgmestre d’Auderghem pendant

la Grande Guerre. Mais cette station

n’est pas ma destination, je ne

m’attarde donc pas davantage sur

la vie de cet homme.

Le métro arrive en surface.

L’environnement de la station de

métro est dominé par une circulation

très dense, digne d’une métropole,

et par un cadre gris fait d’asphalte

et de béton. Un immense viaduc se

détache sur fond de ciel bleu. Est-ce

donc là la fameuse ceinture verte

du sud-est de Bruxelles? Difficile à

croire, pourtant, une minute plus

tard, je pénètre dans le parc Seny. Me

voici dans une oasis de verdure et de

calme où m’attend une Bruxelloise

au tempérament énergique.

Ingrid Chaponan est originaire de

Charleroi. «Je suis arrivée à Bruxelles

il y a vingt ans pour y faire mes

études. Une fois le dernier examen

terminé, j’avais non seulement un

diplôme mais aussi un emploi ainsi

qu’un cercle d’amis. Il n’était plus

question de partir.»

Mais pourquoi Auderghem au

juste? «Eh bien, j’habite à deux

pas de la forêt de Soignes. Un

endroit magnifique pour faire

du vélo, marcher ou emmener

jouer les enfants. La nature y

est surprenante tout au long de

l’année. Le printemps est très

apprécié en raison de la floraison

des anémones des bois, mais je

vous conseille également d’aller

vous y promener en hiver quand il

neige. Avec un peu de chance, vous

apercevrez un chevreuil.» Mon

interlocutrice me donne une foule

d’idées. «Mais ce n’est pas tout: la

Promenade verte qui va de Stockel à

Watermael-Boitsfort est également

à faire si vous voulez découvrir le

Bruxelles vert. Dans la vallée de la

Woluwe, vous longerez des parcs,

des ruisseaux, des étangs.»

Et les voisins? «Le comité de

riverains rapproche les habitants.

Ce comité organise plusieurs projets

en lien avec la mobilité, l’énergie et

l’alimentation. Ce qui nous permet

d’apprendre à nous connaître. L’été

est naturellement la période la plus

propice aux échanges. Chaque

jeudi soir, le voisinage se réunit en

rue pour un repas. Chacun apporte

un plat, une chaise et une table. Les

tables se couvrent d’une multitude

d’entrées, de plats et de desserts.

De temps en temps, certains jouent

aussi de la musique. La rue est

interdite aux voitures, un moment

unique pour les enfants qui ont alors

tout l’espace souhaité pour jouer

ensemble.»

Oudergem op het ritme van de seizoenen

Op weg naar mijn afspraak maak

ik een reis door de geschiedenis

van Brussel en België. Enkele van

de stations waar ik langsrijd zijn

genaamd naar recente en minder

recente figuren uit de vaderlandse

geschiedenis. Eddy Merckx en

Jacques Brel klinken bekend in de

oren, maar de persoon achter mijn

bestemming is minder voor de

hand liggend: Herrmann-Debroux.

Enig opzoekwerk leert me dat

Carl Herrmann-Debroux tijdens de

Grote Oorlog burgemeester was

van Oudergem. Het station is echter

niet mijn eindbestemming. Het

levensverhaal van de burgemeester

laat ik voor wat het is. De bekende

geur van uitlaatgassen dringt

immers al mijn neus binnen.

Ik ben bovengronds. De omgeving

van het metrostation wordt

beheerst door een grootstedelijke

verkeersdrukte in een grijs kader

van beton en asfalt. Het immense

viaduct steekt af tegen een blauwe

hemel. Is dit dan die fameuze

groene gordel in het zuidoosten

van Brussel? Moeilijk te geloven,

maar toch, een minuut later stap ik

al het Senypark binnen. Ik kom er

terecht in een groene oase van rust

en wordt er onthaald door Ingrid

Chaponan.

Mi jn gesprekspar tner i s

oorspronkelijk van Charleroi.

“Twintig jaar geleden kwam ik

studeren in Brussel. Met mijn laatste

examen achter de rug, had ik niet

alleen een diploma op zak maar ook

een job en een hele vriendenkring.

Ik dacht er niet aan om terug uit

Brussel te vertrekken.”

Maar waarom dan juist Oudergem?

“Wel, ik woon op een boogscheut

van het Zoniënwoud. Dat is een

geweldige plaats om te gaan fietsen,

wandelen of spelen met de kinderen.

De natuur verrast je er trouwens het

hele jaar door. De lente staat bekend

voor de bloeiende bosanemonen

maar wandel er in de winter zeker

ook eens door wanneer het heeft

gesneeuwd. Met wat geluk zie je

dan wel een ree voorbij springen.”

Deze dame brengt me alvast op

ideeën. “Maar dat is lang niet alles

hoor, ook de Groene Wandeling van

Stokkel naar Watermaal-Bosvoorde

is een echte aanrader om de groene

kant van Brussel te leren kennen.

In de Woluwevallei loop je langs

verschillende parken, beekjes en

vijvers.”

En de buurtbewoners? “Wel, het

buurtcomité brengt mensen

dichter bij elkaar. Het organiseert

verschillende projecten rond

mobiliteit, energie en voeding.

Daardoor leren we elkaar beter

kennen. De zomer is daarvoor

natuurlijk de periode bij uitstek. Elke

donderdagavond wordt er samen

gegeten op straat. Iedereen neemt

dan een gerecht, een stoel en een

tafel mee. Er komt een gevarieerd

aanbod aan voorgerechten, hoofd-

gerechten en desserts op tafel. Af

en toe wordt er ook live muziek

gespeeld door de bewoners. De

straat wordt autovrij gemaakt, een

uniek moment waarop de kinderen

alle ruimte hebben om samen te

spelen.”

Interview: Ken Radizo Foto/Photo: Anke Vanbelle

Page 11: Hermann-Debroux
Page 12: Hermann-Debroux

Metrolijn 5 anders bekeken

Gebruikers van het openbaar

vervoer, en zeker reizigers met de

metro, beschouwen hun traject vaak

als louter functioneel. Men stapt op

de metro zo dicht mogelijk bij de

vertrekplaats om er pas uit te gaan

bij de eindbestemming.

Brussel is nochtans een stad die

telkens opnieuw kan ontdekt worden

en telt enorm veel interessante en

toffe plaatsen. Waarom niet eens

een halte vroeger op- of afstappen

en een stuk van het overblijvende

traject per fiets of te voet afleggen?

De vraag klinkt eenvoudig, maar

voor velen is de drempel groot.

Ik ondersteun ten volle dit project

dat de bruisende, vaak ondergrondse

wereld van metrolijn 5 in contact

wil brengen met de wijken die zich

rond de 28 metrostations situeren.

Dankzij getuigenissen en foto’s van

de Brusselaars die wonen langsheen

het traject van metrolijn 5, krijgen

buurten een gezicht. Wijken worden

vermenselijkt en nodigen uit om

ontdekt te worden. Uiteraard niet

Un autre regard sur la ligne de métro 5

Les usagers des transports publics,

et en particulier les voyageurs

dans le métro, considèrent leur

trajet uniquement d’un point de

vue fonctionnel. On monte dans

le métro au plus près de l’endroit

de départ pour en descendre à sa

destination.

Bruxelles est pourtant une ville

que l’on peut redécouvrir à chaque

promenade et qui compte de

nombreux endroits agréables

et intéressants. Pourquoi ne pas

descendre ou monter à un arrêt plus

tôt et effectuer une partie du trajet

à pied ou à vélo? Cette question

semble simple, mais de nombreuses

personnes redoutent de faire le pas.

Je soutiens pleinement ce projet

qui a pour objectif de faire entrer

en contact ce monde, trépidant et

souvent souterrain de la ligne de

métro 5, avec les quartiers situés

autour des 28 stations de métro.

Les témoignages et photos des

Bruxellois qui habitent le long de la

ligne de métro 5 confèrent une iden-

tité aux quartiers. Les quartiers sont

humanisés et invitent à leur décou-

verte, et ce non seulement par les

visiteurs de notre ville, mais aussi

par les Bruxellois.

Je vous invite à commencer votre

expédition à l’aide de ce journal

ou de l’application sur votre

smartphone. Quittez cette station

de métro et entrez dans le monde

captivant de Bruxelles à pied ou à

vélo. Les histoires, photos et activités

qui vous sont proposées vous en

donnent déjà un bel aperçu. Mais

partez surtout à la découverte des

quartiers de la manière dont vous le

souhaitez: votre excursion n’en sera

que plus instructive.

Ministre bruxelloise des Travaux

Publics et des Transports

Metro 5: Moving People, Moving Stories

Metrolijn 5 doorsnijdt Brussel van

west naar oost, en heeft precies

28 haltes nodig voor zijn tocht

door een bonte mengeling wijken

en buurten. Tussen september en

december 2013 krijgt elke halte

een eigen krant, gemaakt door een

ploeg enthousiaste gelegenheids-

journalisten. Studenten en

medewerkers van de HUBrussel

en Luca namen de metro naar

een hun onbekende ‘Brusselaar’.

Deze inspirerende ontmoetingen

resulteerden in 112 unieke

portretten. Studenten van ISFC

gaven het geheel mee vorm. Om

metrolijn 5 verder in de bloemetjes

alleen door bezoekers van onze stad,

maar zeker ook door de Brusselaars

zelf.

Ik nodig u uit om met deze krant

in de hand of met de App op uw

smartphone uw ontdekkingstocht

aan te vatten. Verlaat dit metro-

station en stap of fiets de boeiende

wereld van Brussel in. De verhalen,

foto’s en activiteiten die men

aanbiedt zetten u al een flink eind

op weg.

Brussels minister van Openbare

Werken en Vervoer

te zetten zijn bij een aantal stations

leuke activiteiten gepland. Cactus

& Co gidst al wie wil gratis met de

fiets langs het metrolijn 5 parcours

en directe omgeving, met uitstapjes

naar de plekjes die in de interviews

aan bod komen.

Meer info via: www.facebook.com/

metro5be

Metro 5: Moving People, Moving Stories

La ligne de métro 5 traverse Bruxelles

d’ouest en est, et pas moins de 28

stations lui sont nécessaires pour

relier tous ces quartiers très bigarrés.

De septembre à décembre 2013,

chaque station aura son propre

journal, réalisé par une équipe de

journalistes occasionnels débordant

d’enthousiasme. Des étudiants et des

collaborateurs de la HUB et de Luca

ont pris le métro à la rencontre d’un

«Bruxellois» inconnu. Ces rencontres

inspiratrices ont débouché sur 112

portraits exceptionnels, que des

étudiants de l’ISFC ont mis en pages.

Pour garder les projecteurs braqués

sur la ligne 5, une série d’activités

seront organisées dans plusieurs

stations. Cactus & Co se fera un

plaisir de guider gratuitement tous

ceux qui souhaitent découvrir le

parcours de la ligne 5 et ses environs

à vélo et organisera des promenades

vers les lieux évoqués dans les

interviews.

Toutes les informations se trouvent

sur www.facebook.com/metro5be

Verantwoordelijke uitgever / editeur responsable: Dirk De Ceulaer, Warmoesberg 26, 1000 Brussel. Contact: [email protected] - 02 210 12 57. Ne pas jeter sur la voie publique. Niet op de openbare weg gooien.

Met de steun van de