Forum de l'Innovation France Suisse 2013

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Forum de l'Innovation France Suisse 2013. L'innovation au service de la transition énergétique.

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HES-SO au service de la formation et de l’innovation

Musique et Arts de la scène

Design et Arts visuelsEconomie et Services

Ingénierie et Architecture

Santé

Travail social

PluS DE 18’000 éTuDIAnTES ET éTuDIAnTS En forMATIon DAnS DES DoMAInES DE PoInTE

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Forum de l’Innovation France-Suisse des 3 et 4 juin 2013

Chères Participantes et Chers Participants,

Au nom du comité d’organisation du Forum sur l’Innovation France-Suisse, nous vous sou-haitons la bienvenue à cette première édition dédiée à la transition énergétique. L’approvisionnement en énergie (au sens large) représente la plaque tournante de l’équilibre géopolitique et de la survie du globe, en passant par le respect de la biodi-versité et la santé physique, psychique et sociale de l’humain, pour citer l’OMS. Le méta-bolisme énergétique de la société humaine se mesure à l’aune de ses sources, de ses dépenses et de ses déchets. Il se doit donc d’assurer l’équilibre des besoins du présent et du futur, dans le respect de l’éthique individuelle et sociale. Les défis technologiques sont immenses, passionnants et souvent passionnés. De plus, les décisions d’aujourd’hui paveront le chemin des générations futures. Les bonnes décisions sont donc de la responsabilité de chacune et chacun, mais les propositions viendront sans doute des acteurs experts, de l’économie et des politiques. L’objectif du forum est de faire le point des similitudes et des différences entre nos deux pays sur la manière d’appréhender et de répondre à la question de la transition énergétique. La question est tellement ouverte et en quête de solutions qu’il ne s’agira pas d’une confrontation, mais d’un échange sur l’état de la Nation (des deux Nations), qui devra être l’occasion de discuter les complémentarités plutôt que les oppositions. Les dis-cours ne devront pas souffrir d’utopies et de fausses promesses. Les discussions seront bien sûr techniques, quantitatives, économiques et politiques. L’objectif du Forum est de faire émerger, de ces informations et de ces idées, des voies de développement encore inexplorées, mais réalistes, qui pourraient être bénéfiques pour nos deux régions. D’ores et déjà nous nous réjouissons de votre participation active et des nouvelles idées de développement qui émergeront des discussions.

Avec nos meilleures salutations,

Prof. Philippe MoreillonVice-Recteur de la rechercheUniversité de Lausanne

Prof Dominique Dunon-BluteauAttaché de coopération scientifiqueAmbassade de France

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Bâtir ensemble un cadre de vie durableLa construction durable propose les solutions les plus performantes sur le plan environnemental et économique pour toute la durée de vie d’un ouvrage. Avec nos clients, nous contribuons ainsi à imaginer et à bâtir une vie plus harmonieuse, plus respectueuse pour le bien-être de chacun.www.losinger-marazzi.ch

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07:30 InscrIptIon,café

sEssIonI DEfIsDELatransItIonEnErGEtIQUE

Modérateur: M. Alain Jeannet, Rédacteur en chef de L’HEBDO

08:30–08:55 BIEnvEnUE,proGrammEDELajoUrnéE

08:30–08:40 M. Philippe Moreillon, Direction, Université de Lausanne (UNIL)

08:45–08:55 M. Christian Dupessey, VP commission «Europe, relations et solidarité internationales»

08:55–09:20 EnjEUxDELatransItIonénErGétIQUE Mme Sophie Jullian, IFP Energies nouvelles (IFPEN) (F)

09:20–10:00 sortIrDUnUcLéaIrE,L’aGEnDaDELasUIssE

09:20–09:40 M. Peter Cunz, Office Fédéral de l’Energie (OFEN) (CH)

09:40–10:00 M. Hans B. Püttgen, Energy Center, EPFL (CH)

10:00–10:30 paUsE

10:30–11:20 pErspEctIvEDUmIxénErGétIQUEEnfrancE

10:30–10:55 M. Pierre Fontaine, Direction du système électrique et des énergies renouvelables, Ministère de l’Ecologie du Développement Durable et de l’Energie (MEDDE) (F)

10:55–11:20 M. Philippe Cochet, Président Alstom Thermal Power (F)

11:20–12:15 partIEoffIcIELLE M. Dominique Arlettaz, Direction,

Université de Lausanne Mme Geneviève Fioraso, Ministre de

l’enseignement supérieur et de la recherche M. Johann N. Schneider-Ammann,

Conseiller Fédéral, Chef du DEFR Mme Anne-Catherine Lyon, Conseillère

d’Etat, Cheffe du Département de la formation, de la jeunesse et de la culture, Vaud

Lundi 03 Juin

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M. Jean-Jack Queyranne, Président du Conseil régional de Rhône-Alpes, France

M. Jean-Michel Cina, Conseiller d’Etat, Chef du Département de l’économie, de l’énergie et du territoire, Valais

12:15–13:45 apérItIf–rEpas

13:45–14:25 EvoLUtIonDEsrésEaUx13:45–14:05 M. Jacques Mauron, Directeur

Distribution Energie, Groupe E (CH)14:05–14:25 M. Mario Paolone, Laboratoire

des systèmes électriques distribués (DESL), EPFL (CH)

sEssIonII fInancEmEntDEL’InnovatIon Modérateur: M. Olivier Küttel, EPFL (CH)

14:25–15:45 proGrammEsDEfInancEmEntsDEL’InnovatIon

Format: Présentations de 5–10 minutes, puis table ronde

ANR – Mme Dany Escudié (F) OSEO – M. Claude Sabatin (F) CTI – Mme Klara Sekanina (CH) FNS – M. Marcel Kullin (CH) ANR – Mme Nakita Vodjdani (F) EC-Euresearch – M. Peter Erni (CH) ADEME – Mme Sophie Loquen (F)

15:45–16:30 paUsE

sEssIonIII prospEctIvE Modérateur: M. Olivier Küttel, EPFL (CH)

16:30–18:30 DévELoppEmEntD’UnproGrammE:rhônE-aLpEsvaLLEyforsUstaInaBLEEnErGy

M. Philippe Gillet, Vice-Président de l’EPFL (CH)

M. Laurent Dutoit, HES-SO (CH) M. Jean-Pierre Joly, INES (F) M. Eric Plan, CleantechAlps (CH) Mme Brigitte Ducourtil, Conseil régional

Rhône-Alpes (F) Tenerrdis, Energie Cluster (F)

19:00 BUffEtDînatoIrE

Lundi 03 Juin

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08:00 InscrIptIon,café

sEssIonIv pErspEctIvEsEtEnjEUxsocIEtaUx Modérateur: M. Stéphane Benoit-Godet,

Rédacteur en chef de BILAN

09:15–09:45 vaLorIsatIonDUco2 M. Suren Erkman, UNIL (CH)

09:45–10:15 ImpactEtpErcEptIonsocIoLoGIQUEsLIésàLatransItIonénErGétIQUE

M. Dominique Bourg, UNIL (CH)

10:15–10:45 paUsE

10:45–12:00 noUvEaUxaxEsDEDévELoppE-mEnts,noUvEaUxmarchés,noUvEaUxDéfIspoUrL’InnovatIon

Format: Présentations de 5–10 minutes, puis table ronde

Entreprise M. Marc Florette, GDF SUEZ (F)Entreprise M. Pierre-Alain Urech, Romande Energie (CH)Entreprise M. Jacques Bourgon, Holcim (F)Entreprise Innovaud (CH)Université M. Suren Erkman, UNIL (CH)Université M. Dominique Bourg, UNIL (CH)

12:00 cLôtUrE

Mardi 04 Juin

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Interview avec M. l'Ambassadeur de France en Suisse, S. Exc. Michel Duclos.

Le premier Forum de l’innovation France-Suisse se tiendra les 3 et 4 juin 2013 à l’UNIL. Ambassadeur extraordinaire et plé-nipotentiaire, M. Michel Duclos nous reçoit dans son bureau à Berne sous le portrait du président François Hollande.

Voix douce, sourire affable, Son Excellence M. Michel Duclos s’excuse de la chaleur qui règne dans son bureau de l’ambassade de France à Berne. Nous le recontrons à quelques jours du Forum de l’innovation sur la transition énergétique (entrée libre pour les étudiants UNIL-EPFL), une thématique porteuse qui réunira à l’UNIL des acteurs franco-suisses du monde politique, écono-mique et scientifique, au nombre desquels Mme Geneviève Fioraso, ministre de l’En-seignement supérieur et de la Recherche, et M. le conseiller fédéral Johann Schnei-der-Ammann, chef du nouveau Départe-ment fédéral de l’économie, de la formation et de la recherche.

Quels sont les objectifs du Forum de l’in-novation France-Suisse? S. Exc. Monsieur Michel Duclos: Il s’agit premièrement de dresser l’état des lieux dans nos deux pays sur la question éner-gétique. Du côté suisse, une décision a été prise de sortir du nucléaire mais le débat bat son plein sur les modalités et le calen-drier. Du côté français, on n’a pas pris une

décision aussi radicale mais on a ouvert un débat national pour rééquilibrer notre poli-tique énergétique et sortir du tout-nucléaire. Il y a un marché mondial des sources alter-natives d’énergie et la France n’en sera pas absente. La conversion française aux éner-gies nouvelles était présente dans beau-coup d’esprits depuis plusieurs années et le gouvernement actuel a psychologiquement accéléré la prise de conscience. Cela fai-sait partie du programme du président Hol-lande. La période politique est donc propice pour les entreprises désireuses d’investir ce marché en collaboration avec des centres de recherche. C’est notre deuxième objec-tif: créer de tels partenariats en sachant que les enjeux sociaux, économiques et scien-tifiques autour de la transition énergétique dépassent le cadre national. Notre troisième objectif, encore plus ambitieux, méritera davantage qu’une seule rencontre: il faut réfléchir à une vallée de l’énergie durable entre Lausanne, Genève, Grenoble, Lyon et les régions autour de ces différentes métro-poles.

Comment voyez-vous la relation franco-suisse? Dans une famille, il arrive que les frères et sœurs ou les cousins se disputent plus violemment qu’ailleurs. Depuis quelques temps, la relation politique franco-suisse est trop exclusivement connotée avec le contentieux fiscal, qui ne doit pas être l’arbre cachant la forêt. La relation franco-suisse est beaucoup plus dense et dyna-mique, ainsi que nous allons le montrer. L’innovation est un facteur clé qui peut expliquer les performances de la Suisse à l’exportation. Nous avons là un exemple dont nous pouvons nous inspirer pour amé-liorer la continuité entre la recherche et le tissu économique. Il y a en France des centres de recherche de réputation mon-diale et des entreprises performantes, mais le passage entre les deux se fait moins bien

«La relation franco-suisse est saine et positive»

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qu’en Suisse. Enfant, lorsque je passais des vacances du côté de Morges, j’ai connu un canton de Vaud encore très agricole. Aujourd’hui, autour de Lausanne, c’est une véritable Silicon Valley. Si elle veut pour-suivre sa croissance, la région lémanique doit trouver des partenaires au-delà de son périmètre immédiat et se tourner tout natu-rellement vers la région Rhône-Alpes. Et réciproquement…

Y a-t-il des bémols dans cette coopération transfrontalière? Nous sommes dans une phase d’adap-tation des mentalités, notamment à Genève où beaucoup de Français viennent travailler. Les économies de Genève et du canton de Vaud sont dans une vaste mesure dépen-dantes de l’apport des transfrontaliers, principalement des transfrontaliers fran-çais. Les Genevois prennent aussi l’habi-tude d’aller habiter en France. Tout cela pose des problèmes en matière de trans-port, de logement, de cotisations sociales, de fiscalité, d’indemnisation du chômage… Il faut prévoir une montée en puissance des infrastructures communes et cela peut engendrer des frictions, mais ce sont là des défis que nous sommes parfaitement capables de gérer ensemble. Il faut relever d’innombrables échanges entre la France et la Suisse, par exemple dans le domaine des institutions universitaires et culturelles. Nous sommes un peu victimes de notre succès; en effet, ces échanges se passent si bien que nous oublions de les valoriser médiatiquement et politiquement.

Les universités ont-elles un rôle à jouer pour améliorer la connaissance réciproque entre les deux pays? Il y a le besoin de nourrir la relation familiale historique entre les deux pays, et aussi la nécessité parfois de l’objectiver à travers une voix autorisée, qui rappelle les données de base et la réalité de la relation

bilatérale. Je pense que les universités, de part et d’autre, sont particulièrement bien placées pour faire ce travail pédagogique car elles se connaissent très bien, et sont moins engagées dans les disputes que ne le sont les acteurs politiques ou certains acteurs économiques, je pense à la place financière… Les universités peuvent mettre les choses en perspective et faire ressor-tir ce qu’il y a de fondamentalement sain et positif dans la relation, et surtout là où sont les intérêts communs, les défis à rele-ver ensemble, sans nier ce qui ne va pas, et même en proposant des solutions pour ce qui ne va pas.

L’UNIL a misé notamment sur les sciences humaines et sociales, un secteur particu-lièrement prestigieux en France. Qu’en est-il avec la réforme qui se profile non sans inquiétudes dans votre pays? Je suis certain que le gouvernement actuel n’entend pas sacrifier une dimen-sion de notre enseignement supérieur très liée à notre identité nationale, à notre image à l’étranger. L’humanisme, l’enseigne-

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ment dans ce qu’il a d’élevé et de gratuit, la recherche fondamentale et critique, cela sera préservé, mais il faut poursuivre l’ef-fort de modernisation et aller vers une uni-versité ambitieuse et polyvalente qui puisse couvrir d’autres nécessités, d’autres obliga-tions actuelles et notamment offrir aux étu-diants des formations à vocation profes-sionnelle. Je vais vous faire une confidence; parmi mes trois enfants, il y en a deux qui sont de brillants sujets universitaires et qui ont obtenu des diplômes de philosophie, de lettres et d’histoire. Plus tard, ils ont éprouvé le besoin de réaliser sur une année un mas-ter professionnalisant dans le domaine de la programmation informatique. Dans les semaines qui ont suivi, ils ont tous les deux trouvé un emploi. La réforme portée par Mme Fioraso vise notamment un rappro-chement avec le monde des entreprises et le développement de filières profession-nelles. Notre ministre, qui a été elle-même une élue de Rhône-Alpes, s’absentera une journée pour nous rejoindre en Suisse, le 3 juin, en plein débat parlementaire sur cette question.

Comment voyez-vous «l’Europe au-delà de la crise», selon un thème qui sera évoqué le 6 juin lors d’un événement organisé par la Fondation Jean Monnet à Lausanne? Je suis fondamentalement optimiste car l’Europe se forge à travers les crises. Elle est née après une guerre civile euro-péenne, avec la nécessité de la réconcilia-tion franco-allemande. L’Europe sortira plus forte de la crise actuelle car elle se dotera d’institutions plus adaptées. Cela ne signi-fie pas qu’elle se centralisera davantage. Je crois qu’il y aura une géométrie variable plus importante, avec plus de place pour les régions, pour la subsidiarité, c’est-à-dire des décisions à l’échelon local ou régional. On va vers une Europe plus forte car les décisions seront mieux réparties; il y aura une plus grande autonomie régionale, d’une

part, et d’autre part une plus grande cohé-rence sur certains aspects stratégiques, l’aspect encadrement budgétaire, la sur-veillance bancaire. Les gens ne s’en ren-dent pas compte encore car les mentali-tés évoluent moins vite que les institutions, mais le Parlement européen joue d’ores et déjà un rôle plus grand qu’auparavant, il peut peser sur les choix budgétaires col-lectifs de l’Union. L’Europe de demain sera une Europe plus démocratique.

Propos recueillis par Nadine RichonPhoto: Félix Imhof©UNILInterview publié dans L'Uniscope 584Parution 27 mai 2013

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Département de l’économieet du sport – DECSService de la promotion économiqueet du commerce – SPECoRue Caroline 11 CH-1014 lausanneTél : +41 (0)21 316 58 [email protected] www.vaud.ch

Dans le domaine des technologies de l’environnement, le Canton de Vaud héberge de nom-breuses sociétés allant de la start-up à la multinationale, un parc technologique spécialement dédié (TecOrbe) et de nombreux centres de recherche et instituts académiques. Par son soutien au Forum de l’innovation France-Suisse, le Canton de Vaud entend mettre en évidence le potentiel et le savoir-faire des entreprises et start-ups de la région, ainsi que l’environnement par-ticulièrement favorable et les conditions-cadres attractives dont elles bénéficient.

Le Canton de Vaud est l’un des principaux pôles de recherche et d’innovation en Suisse. Il accu-eille le plus grand campus universitaire du pays, plusieurs centres de recherche privés et publics de renommée mondiale ainsi que des entreprises de réputation internationale dans les secteurs des sciences de la vie, de la micro-nanotechnologie, des TIC et des technologies de l’environnement.

Environ 1’200 entreprises high-techemployant plus de 45’000 personnes (~15% de la population active)

Entrepriseshigh-tech

Environ 70’000 étudiants et chercheurs (~10% de la population du Canton de Vaud)

Etudiantset chercheurs

Environ 1’300 nouvelles entreprises créées chaque année tous secteurs confondus

Nouvellesentreprises

7 incubateurs, technopôles et parcs scientifiques hébergeant plus de 300 entreprises

Parcs scientifiques et technologiques

Innover, un état

d’esprit

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Stéphane Benoit-Godet a étudié le droit à l’Université d’Aix-en-Provence après avoir effectué sa scolarité secondaire à Ferney-Vol-taire. Il débute dans le jour-nalisme en 1995 à la Tribune de Genève puis poursuit au quotidien Le Temps dont il dirige la rubrique économie plusieurs années. Rédac-teur en chef de Bilan depuis 2006, Stéphane Benoit-

Godet intervient régulièrement comme modérateur ou conférencier et donne des cours au Centre de forma-tion des journalistes à Lausanne et à l’Université et à HEG Genève dans le domaine du luxe.

StéphaneBenoît-Godet

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Dominique BOURG est pro-fesseur à la Faculté des géosciences et de l’environ-nement de l’Université de Lausanne depuis le 1er sep-tembre 2006. Il dirige avec Alain Papaux la collection «L’éco-logie en questions» aux PUF et avec Philippe Roch la col-lection «Fondations écolo-giques» chez Labor et Fides; il est membre du comité de

rédaction ou d’orientation des revues Esprit & Ecologie et politique. Il est ou a été membre de plusieurs commissions fran-çaises: la CFDD, la Commission Coppens chargée de pré-parer la Charte de l’environnement désormais adossée à la Constitution française, le Conseil national du dévelop-pement durable; il a vice-présidé la commission 6 du Gre-nelle de l’environnement et le groupe d’études sur l’éco-nomie de fonctionnalité et a participé à la Conférence environnementale de septembre 2012. Il a été membre du conseil scientifique de l’Ademe, participe au conseil scientifique de l’Institut de la Ville en mouvement, a pré-sidé le conseil sociétal d’EDF et préside le conseil des par-ties prenantes de CDC Climat. Il est vice-président la Fon-dation Nicolas Hulot et participe à l’Organe de prospective de l’Etat de Vaud. Ses domaines de recherches sont l’étude de la pen-sée écologique, l’évaluation des choix technologiques et des risques, le principe de précaution, le débat public et la démocratie écologique.

Il a publié une vingtaine d’ouvrages parmi lesquels:L’homme artifice, Gallimard, 1996 – Nature et technique, Hatier, collection «Optiques Philosophie»,1997 – Pour que la Terre reste humaine, avec Robert Barbault et Nico-las Hulot, Seuil, 1999 – Parer aux risques de demain-Le principe de précaution, avec Jean-Louis Schlegel, Seuil, 2001 – Le nouvel âge de l’écologie, Editions Descartes & Cie-Charles Léopold Meyer, 2003 – Perspectives on Industrial Ecology, Foreword by President J. Chirac, Greenleaf Publishing, 2003, avec S. Erkman – Conférences de citoyens, mode d’emploi, avec Daniel Boy, Editions Descartes & Cie-Charles Léopold Meyer, 2005 – Le Développement durable demain ou jamais, avec G.-L. Rayssac, Gal-limard, 2006 – Vers une démocratie écologique. Le citoyen, le savant et le politique, avec K. Whiteside, Seuil, 2010 – Pour une 6ème République écologique, D. Bourg et alii, Odile Jacob, 2011 – La pensée écologique. Une Anthologie, avec Augustin Fra-gnière, à paraître en octobre 2013 aux Puf.

DominiqueBourg

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Jacques Bourgon, French national, graduate of the Ecole Catholique d’Arts et Métiers in Lyon, and post-graduate at Harvard Business School, initiated his professional career in the French Nuclear Industry. He joined the Holcim Group in 1990, holding various Management posi-tions in Mexico and since 2001 in Switzerland. He

became Corporate Functional Manager, Cement Manu-facturing, in 2005 and is currently Advisor to the CEO of Holcim. Jacques Bourgon is a member of both the Industrial Advisory Board of the Department of Mechanical and Pro-cess Engineering and of the Global Advisory Board of the Swiss Federal Institute of Technology Zurich (ETH Zurich).

JacquesBourgon

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Philippe Cochet débute sa carrière en 1986 comme consultant dans l’industrie automobile et en techniques avancées de production. De 1988 à 1994, il occupe diverses fonctions au sein du groupe THOMSON MUL-TIMEDIA pour lequel il diri-gea notamment l’usine de Villingen en Allemagne, puis la division européenne des composants basse et

moyenne tension. Fin 1994, il rejoint le groupe GENERAL ELECTRICS en tant que Vice President Operations de GENERAL ELEC-TRICS Medical Systems Europe (GEMS). En 1998, Philippe Cochet est nommé Vice President GEMS pour l’Europe de L’Est, et est basé à Budapest. En 1999, il accède au Comité Exécutif de GEMS en tant que Vice President de l’activité Rayon-X au niveau mondial. En 2003, il rejoint le group Hager en tant qu’ Executive Vice President Operations, et est membre du Comité Exécutif. En Avril 2006, Philippe Cochet est nommé Président d’Alstom Hydro Holding, et Senior Vice Président d’Alstom Hydro & Wind. Président entre 2008 et 2011 de l’HEA, Hydro Equip-ment Association, association des principaux fabricants d’équipements hydroélectriques, il est également membre du Conseil d’Administration de l’IHA, International Hydro-power Association, et du SER, Syndicat des Energies Renouvelables. A la suite d’une réorganisation du groupe Alstom, le 4 juillet 2011 Philippe Cochet est nommé Président d’Als-tom Thermal Power et Vice-Président Exécutif d’Alstom. Ce nouveau secteur qui comprend les activités de géné-ration d’électricité Gaz, Vapeur, et Nucléaire, ainsi que les activités de Service et d’Automation et Contrôle, regroupe 38.000 personnes et réalise plus de 9 milliards d’euros de chiffres d’affaires.

Philippe Cochet

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Peter Cunz, né en 1949 à St. Gall, est délégué pour des affaires internationales de l’Office fédéral de l’énergie en Suisse (OFEN), et il est fortement actif en fonction de président du Comité pour la Recherche et Technologie (CERT) chez l’Agence Inter-nationale de l’Energie (AIE). Avec son diplôme d’ingé-nieur électricien de l’Ecole Polytechnique de Zurich il

a commencé sa carrière professionnelle internationale comme ingénieur consultant, et il continuait son chemin en tant que responsable pour l’acquisition de projets dans les domaines de l’énergie hydroélectrique et thermique, ainsi que de tunnels d’autoroute et bâtiments, tout particulière-ment au Moyen Orient et en Afrique. Il a ensuite assumé des fonctions importantes dans le domaine de télécommu-nication et informatique. C’est en 1996 qu’il se décide de travailler pour l’Office fédéral de l’énergie (OFEN) comme responsable pour la promotion de l’énergie efficiente en Suisse. Depuis 2008 il est engagé pour représenter l’OFEN dans le contexte inter-national.

PeterCunz

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Après des études de Lettres (philosophie) et de Sciences (biologie) à l’Université de Genève, Suren Erkman a suivi une formation de jour-naliste. Il a travaillé comme journaliste scientifique et économique pour divers médias (L’Hebdo, Journal de Genève, Télévision suisse romande, etc.), avant de créer une première entre-prise au début des années,

l’Institut pour la Communication et l’Analyse des Sciences et des Technologies. Dès le début des années 1990, il a participé à l’émer-gence du domaine nouveau de l’écologie industrielle, ce qui l’a conduit à créer le premier réseau international pour la mise en oeuvre de l’écologie industrielle (Industrial Eco-logy Praxis), actif notamment en Asie, puis à soutenir une thèse sur le sujet à l’Université de Technologie de Troyes.Depuis 2005, Suren Erkman dirige le groupe «Ecologie industrielle» à la Faculté des géosciences de l’Université de Lausanne. Il a également co-fondé le premier institut consacré à l’écologie industrielle dans le contexte des pays en développement, le ROI (Resource Optimization Initia-tive) à Bangalore, en Inde, ainsi que la société de conseil et services en écologie industrielle SOFIES (Solutions for Industrial Ecosystems) à Genève. Il a notamment publié Vers une écologie industrielle, 2004, Editions Charles Léopold Meyer (ouvrage disponible gratuitement sur le site de l’éditeur: www.eclm.fr).

SurenErkman

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Peter Erni est le directeur de l’association Euresearch depuis septembre 2012. Physicien de formation, il a acquis des compétences dans de multiples domaines. Dans le secteur industriel, il a été actif dans le dévelop-pement de logiciels et dans l’industrie pétrolière pour la conception et mise en œuvre de plusieurs projets dans le domaine de la pro-

tection de l’environnement. Il a aussi créé et co-géré une PME spécialisée dans le commerce d’optiques de haute précision. Après un passage dans le domaine nucléaire en travaillant pour l’Inspection fédérale de la sécurité nucléaire (IFSN), il a complété sa formation avec un Exe-cutive MBA pour la gestion commerciale et management de l’Université de St-Gall. Avant de rejoindre Euresearch, Peter Erni a travaillé au Secrétariat d’Etat à l’éducation et à la recherche (SER) qui a été fusionnée avec l'Office fédéral de la formation professionnelle et de la technologie (OFFT) en janvier 2013 pour devenir le Secrétariat d’Etat à la for-mation, à la recherche et à l’innovation (SEFRI).

PeterErni

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Dany ESCUDIÉ est Direc-trice de Recherche au CNRS. Titulaire d’un Doc-torat de thermique éner-gétique de l’Université de Rouen et d’un Doctorat d’Etat ès sciences physiques de l’Université Claude Ber-nard Lyon1, elle a intégré le laboratoire de mécanique des fluides et d’acous-tique de l’Ecole Centrale de Lyon pour développer des

recherches dans le domaine des écoulements turbulents réactifs. En 2003, elle a rejoint l’INSA de Lyon pour assu-mer la direction du laboratoire CETHIL, Centre de Ther-mique de Lyon, également laboratoire commun avec EDF sur la thématique ‘bâtiments à haute efficacité énergé-tique’, fonction qu’elle a occupée jusqu’en décembre 2012. Dany ESCUDIÉ a mis en place et coordonné un pôle national de recherche CNRS sur les carburants et les moteurs, elle a assuré la fonction de Chargée de Mission du département Sciences Physiques pour l’Ingénieur et a été membre de la section 10 du Comité National de la Recherche Scientifique du CNRS. Elle a ensuite succes-sivement présidé la Commission de Spécialistes ‘énergé-tique, génie des procédés’ et s’est vue confier, pendant 4 ans, la vice-présidence du Conseil Scientifique de l’INSA de Lyon. De 2010 à 2012, elle a mis en place et coordonné une fédération nationale de recherche CNRS sur le thème de l’énergie solaire. Dany ESCUDIÉ est par ailleurs membre de plusieurs instances nationales et internationales où elle exerce des fonctions à responsabilité. Depuis Octobre 2011, elle est responsable du département Energie Durable de l’Agence Nationale de la Recherche (ANR).

DanyEscudié

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Marc Florette is Member of the Executive Committee in GDF SUEZ, in charge of Research and Innovation. He has implemented re-search programs in areas such as future natural gas chains, cities and buildings for tomorrow and smart energy systems. Marc Florette has had different positions in the research area, manager of

the operations for electricity and gas distribution but also of services for different segments of customers such as cogeneration for industrial uses. As a manager of Research, Marc Florette has been involved in different European research projects and orga-nized various research conferences in the energy sector. He is a member of The National Academy of Technologies of France.

MarcFlorette

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Administrateur civil hors classe, Pierre Fontaine est sous-directeur du système électrique et des énergies renouve-lables depuis février 2009 à la Direction Générale de l'En-ergie et du Climat (DGEC) du ministère de l'écologie, du développement durable et de l'énergie. Auparavant, il était en charge de la sous-direction électricité de la Direction Générale de l'Energie et des matières premières (DGEMP) du ministère de l'industrie. De 2002 à 2005, Pierre Fon-taine a été conseiller à la Représentation Permanente de la France auprès de l'Union Européenne en charge de l'in-dustrie et de l'énergie.

PierreFontaine

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Naissance à Lausanne le 15 janvier 1958Marié, père de deux enfants

Formation: Bac latin-anglais au Gym-nase de Neuchâtel. Diplôme de fin d’études à la Scituate High School aux Etats-Unis.1981: Licence en Sciences politiques à l’Université de Lausanne

Professionnel:1981–1987 Stagiaire, puis rédacteur à L’Hebdo1987–1990 Chef de la rubrique économique

de L’Hebdo 1990 Envoyé spécial permanent à Berlin

pour l’Hebdo1991–1992 Chef de la rubrique économique au

Nouveau Quotidien 1992 Cofondateur du forum de Glion1993–1996 Chef de projet pour l’Asie chez Ringier.

Création d’une demi-douzaine de journaux et magazines en Chine, Vietnam et Indonésie

1996–1997 Rédacteur en chef adjoint du Nouveau Quotidien

1997–1998 Développement chez Edipresse1998–1999 Rédacteur en chef adjoint de L’Illustré1999–2002 Rédacteur en chef de Bilan

Rédacteur en chef de L’Hebdo depuis janvier 2003.

Loisirs: Musique, ski, tennis.

Alain Jeannet

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Sophie Jullian, Directeur Scientifique d’IFP Ener-gies nouvelles. Ancien audi-teur de l’Institut des Hautes Etudes pour la Science et la Technology (IHEST, pro-motion Hubert Curien 2009), elle est présidente des conseils scientifiques de l’ ENS Lyon et du pôle de compétitivité Axelera et membre des conseils scien-tifiques de l’ADEME, l’INRA

et l’UTC. Elle est aussi administrateur fondateur de l’Ins-titut d’Excellence en Énergie Décarbonnée IDEEL dédié à l’Usine du Futur. A IFPEN, elle a en charge les différents programmes de recherche exploratoire.

SophieJullian

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Marcel Kullin est chef de la Division Carrières au Fonds national suisse de la recherche scientifique (FNS) depuis avril 2008. Il a rejoint le FNS en 1992 tout d’abord en tant que col-laborateur scientifique de la Division Mathématiques, sciences naturelles et de l’in-génieur et a été chef de pro-jet «mySNF» pour le lance-ment d’une plateforme web

permettant le traitement électronique des demandes de subsides. Auparavant, il fut assistant à l’Institut de géologie de l’Université de Berne, en charge notamment d’études pilotes pour diverses compagnies pétrolières internatio-nales sur la diagenèse. Il fut également chef de projet à l’Institut géologique Dr. H. Schmassmann AG où il mena diverses études hydrogéologiques et hydrogéochimiques sur des aquifères et eaux souterraines profondes du nord de la Suisse, ceci sur mandat de la Nagra, société coopé-rative nationale pour le stockage des déchets radioactifs.Il est titulaire d’un diplôme en sciences naturelles de l’ETH Zurich, d’un doctorat en géologie de l’Université de Berne et d’un MBA (Master of Business Administration).

MarcelKullin

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Olivier Küttel studied phy-sics and mathematics and got a PhD in plasma phy-sics from the University of Fribourg, Switzerland. After a Post-Doc in Mon-treal, Canada, he worked many years in the field of nanotechnology and sur-face science at the Univer-sity of Fribourg. From 1999-2000 he served as a patent expert for the Swiss Fede-

ral Institute of Intellectual Property. In fall 2000 he joined the newly created Swiss information network for European R&D Euresearch as its first director. Since August 2012 he is the Head of European Public Affairs at EPFL.

OlivierKüttel

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Née le 12/02/1984.Sophie Loquen est diplômée de Sciences Po Grenoble en 2007 (master Europe, spé-cialité lobbying et société civile ). D'une part elle dis-pense des cours en Mas-ter 2 à l'Université de Cergy et de Lille et d'autre part elle accompagne les cher-cheurs, entreprises, universi-taires et institutionnels fran-çais à travers 3 postes au

sein des directions internationales respectives de l'IRS-TEA (ancien Cemagref), d'OSEO et de l'ADEME. Elle apporte un appui dans l'identification des oppor-tunités que peuvent constituer les programmes de finan-cement européens sur les thématiques Energie, Environ-nement, Agriculture et Transport. Elle oriente les acteurs français, les accompagne dans leurs démarches de mon-tage de projet, de recherche de partenaires au niveau euro-péen. Elle participe aussi à l'animation du réseau français des relais régionaux que constituent entre autres les CCI, conseils régionaux, pôles de compétitivité, universités, agences régionales de l'innovation, DRRT.

SophieLoquen

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Jacques Mauron, 43 ans, est né à Fribourg. Il est Direc-teur Distribution Energie auprès de Groupe E, un des plus importants distribu-teurs de Suisse romande. Les activités de sa direction regroupent l’ensemble des responsabilités du réseau électrique de Groupe E, de la planification à la construc-tion, en passant par l’ex-ploitation et la gestion des

mesures de consommation. Le réseau s’étend sur 11'000 km et couvre les cantons de Fribourg, Neuchâtel et une partie du canton de Vaud. Diplômé en 1996 à l’Ecole Polytechnique Fédérale de Lausanne en physique, son travail de diplôme concernait les techniques biomédicales. Il a débuté ses activités professionnelles dans le domaine de l’électricité, en tant que développeur en infor-matique auprès d’EOS à Lausanne. Après avoir endossé la fonction de chef de projet chez Watt Suisse à Lucerne, il a été nommé responsable Marketing et vente auprès de la Business Unit Energie des CFF à Zollikofen. Il a repris ensuite la responsabilité de la Gestion de Portefeuille à Avenis à Lausanne. Entré à Groupe E en 2004 en tant que responsable de l’Approvisionnement et du Trading, il a été nommé en 2012 en tant que Directeur de la Distribution Energie. Il a obtenu un MBA en Utilities en 2010 auprès de l’Ins-titut International de Management des Technologies (IIMT).

JacquesMauron

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Mario Paolone was born in Italy in 1973. He received the M.Sc. degree (Hons.) and the Ph.D. degree in electrical engineering by the Univer-sity of Bologna, Italy, in 1998 and 2002, respectively. In 2005, he was appoin-ted Researcher in Electric Power Systems at the Uni-versity of Bologna where he was with the Power Sys-tems Laboratory until 2011.

In 2010, he received Associate Professor eligibility from the Politecnico di Milano, Italy. Currently, he is Associate Professor at the Swiss Federal Institute of Technology of Lausanne (EPFL), Lausanne, Switzerland, where he accep-ted the EOS Holding Chair of Distributed Electrical Sys-tems Laboratory. Dr. Paolone is Secretary and Member of several IEEE and CIGRÉ working groups. He was Co-Chairperson of the technical committee of the ninth edition of the Internatio-nal Conference of Power Systems Transients. In 2013, he was the recipient of the IEEE EMC Techni-cal Achievement Award. He is the author or co-author of more than 160 scien-tific papers published in reviewed journals and presented at international conferences. His research interests are in the areas of smart grids, with particular reference to real-time monitoring and ope-ration, power system protections, power systems dynamics, and power system transients with particular reference to LEMP interaction with electrical networks.

MarioPaolone

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Hans B. (Teddy) Püttgen a été nommé Professeur et directeur de la Chaire de Gestion des Systèmes Ener-gétiques à l’Ecole Polytech-nique Fédérale de Lau-sanne (EPFL) en avril 2006. Il prend également la direc-tion de l'Energy Center, lancé lors de son arrivée. Avant 2006, M. Püttgen était professeur en éner-gie électrique au Georgia

Institute of Technology (Georgia Tech, USA) et vice-pré-sident des affaires extérieures à la Faculté d’ingénierie électrique et informatique du Georgia Tech. Il y a créé le National Electric Energy Test, Research and Application Center (NEETRAC) et en fut le directeur et le président du Conseil de direction. NEETRAC est un laboratoire de R&D et d’essais qui développe, pour ses partenaires industriels, des activités de recherche dans le secteur des systèmes et appareils de transmission, distribution et utilisation de l'énergie électrique. Parallèlement NEETRAC réalise des mandats d’essais. Teddy Püttgen était également Président Directeur Général de Georgia Tech Lorraine, le campus européen du Georgia Tech, établi à Metz en France. Créé en 1990, Georgia Tech Lorraine est devenu un modèle de coopéra-tion entre les universités américaines et européennes, pour les formations bachelors et masters en ingénierie et pour la recherche de pointe. Teddy Püttgen a reçu le titre Georgia Power Professor Emeritus du Georgia Institute of Technology. Il a obtenu le diplôme d’Ingénieur en électricité de l'Ecole Polytechnique Fédérale de Lausanne ainsi qu’un diplôme en gestion com-merciale et financière d’entreprise de l’Université de Lau-sanne - HEC. Il a fait ses études de doctorat en ingénie-rie électrique à l’Université de Floride en étant au bénéfice d’une bourse du Fonds National Suisse. Teddy Püttgen est Fellow de IEEE. Il a été Président de la Power Engineering Society of IEEE en 2004 et 2005. Il a également reçu la médaille IEEE Third Millennium et le prix IEEE Outstanding Faculty Advisor. Il a aussi reçu le prix ASEE DOW Outstanding Young Faculty.

Hans B.Püttgen

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Carrières essentiellement autour de l’industrialisation d’innovations (rupture et usage). Délégué Innovat ion OSEO depuis 2007. Chargé du financement sur divers support des projets inno-vants et d'orientation vers des compléments finan-ciers (banques, haut de bilan Business angels, ...). Ingénieur de formation,

j’ai participé à diverses fonctions au sein d’entreprises variées en France et à l’étranger:- Bull, conception développement industrialisation d’ordi-nateurs de gestion aux USA,- Diversification industrielle en outre-mer (agro-alimentaire, matériaux, mécaniques, services)- Valorisation de la recherche issue de programmes euro-péens (UE, PCRD).

ClaudeSabatin

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Au fil de son parcours pro-fessionnel, Klara Sekanina a acquis de vastes connais-sances dans les domaines du transfert de technologie et de la chaîne de création de valeur en matière d’inno-vation. De ce fait, elle connaît parfaitement le point de vue des milieux économiques et politiques, des associations professionnelles et de l’ad-ministration. Elle s’est tou-

jours beaucoup engagée dans des projets de création de structures, notamment à des postes de direction, p. ex. au sein de start-up ou en cofondant une entreprise commune internationale de promotion économique. Actuellement directrice du secrétariat de la Commis-sion pour la technologie et l’innovation (CTI), Klara Seka-nina est responsable de la gestion du secrétariat, des finances, de la communication, des événements ainsi que de l’élaboration et de la mise en œuvre de stratégies. Elle apporte également son soutien à la CTI dans l’évalua-tion des demandes, des start-up et des réseaux. En paral-lèle, elle est membre du conseil de la fondation nationale pour le développement de l’économie nationale suisse au moyen de recherches scientifiques. Auparavant, Klara Sekanina était membre de l’état-major du Conseil des EPF, au sein duquel elle était respon-sable de la planification stratégique et chargée de projets dans le transfert de technologie. Parmi ses autres activités professionnelles, elle a été cofondatrice et conseillère stra-tégique pour la Zürich Orient Foundation, responsable du domaine des sciences de la vie à la Direction de l’écono-mie publique du canton de Zurich. Klara Sekanina a obtenu un Executive MBA à l’Univer-sité de Zurich avec la mention summa cum laude (excel-lent) et reçu en 2005 le prix de l‘innovation de l’Université de Zurich pour son travail de diplôme. Avant de soutenir sa thèse à l’EPF de Zurich et de devenir Dr. sc. nat, elle a étu-dié la chimie.

KlaraSekanina

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Ingénieur civil diplômé EPFZmarié, 2 enfants

1980–1982 Ingénieur au bureau d’études Travaux/Exploitation de la direc-tion générale des CFF à Berne.

1983–1985 Chef de section Région Lausanne: conduite de la construction et de l’entretien des installations ferroviaires fixes (400 colla-borateurs).

1986–1987 Formation complémentaire en exploitation et vente à la Direction générale à Berne et dans différents services extérieurs en Suisse.

1987–1989 Chef de la planification des installations ferroviaires du 1er arrondissement CFF à Lausanne.

1989–1991 Suppléant du chef d’exploitation du 1er arrondissement à Lau-sanne (direction de la production et du contrôle du trafic).

1991–1994 Délégué de la Direction générale des CFF à Rail 2000 à Berne, directeur du projet.

1994–1995 Directeur du 1er arrondissement des CFF à Lausanne, membre de la direction d’entreprise.

1995–1998 Directeur général des CFF, chef du département de l’infrastruc-ture Berne.

1999–2003 Nouvelle organisation des CFF en Société anonyme: Vice-pré-sident de la direction des CFF SA, Directeur de la division de l’infrastructure.

2004– CEO du groupe Romande Energie SA à Morges

Mandats extérieurs, Conseils d’administration (période 1984-2009): Kraftwerk Amsteg AG; Alptransit Gothard AG; EWAG Kraftwerk Etzelwerk AG; KWW Kraftwerk Wassen AG; Electra-Massa SA; Emosson SA; KWG Kraftwerk Göschenen AG; ENAG Schwyz (énergie nucléaire); AKEB Luzern (énergie nucléaire); KKL Kern-kraftwerk Leibstadt; BAM Chemin de fer BAM; Chemin de fer MOB; BN Chemin de fer Berne-Neuchâtel; Deutsche Bahn Netz AG; VMCV SA: président du CA de 2004-2009 Forum Train Europe; Délégation internationale du Simplon; LITRA.

Mandats actuels dans des CA: FMHL SA (Président)FMA SA (Président)Romande Energie Commerce SA (Président)FGB SA (Président)Cisel SA (Vice-président)CTV (Vice-président)Hydro-Exploitation SA (Administrateur)TVG SA Remontées mécaniques Villars (Administrateur)railCare Logistique ferroviaire COOP (Administrateur)

Mandats actuels dans des associations:AES/VSE (Vice-président); regioGrid (Président)

Pierre-AlainUrech

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Nakita VODJDANI est res-ponsable des affaires Euro-péennes et Internationales à l’Agence Nationale de la Recherche ANR. De 2005 à Octobre 2011 elle y a aussi occupé successivement le poste de responsable de programme télécommuni-cations, réseaux du futur et services, puis du programme infrastructures matérielles et logicielles pour le calcul, le

stockage et les communications. Avant de rejoindre l’ANR elle était responsable d’un laboratoire de recherche chez Thales dans le domaine de l’optoélectronique intégrée puis dans le domaine des com-munications optique hyperfréquence et numérique. Docteur en Physique des Solides de l’Université Paris VI et ingénieur de l’Ecole Nationale Supérieure des Télé-communications elle a débuté sa carrière de chercheur dans le laboratoire de physique du LEP chez Philips puis au laboratoire de physique des laboratoires centraux de recherche de Thomson-CSF. Elle y démarre une activité de recherche dans le domaine de la physique des com-posants ultra rapides et leur analyse par la spectroscopie optique picoseconde en collaboration avec l’Université de Rochester aux États-Unis. Auteur de nombreuses publications et brevets, elle a été membre du comité national de la recherche scienti-fique. Elle a participé à de nombreux projets européens, et effectué des expertises régulières pour la CEE et autres organismes internationaux et participé à l’audit de la DG Recherche.

NakitaVodjdani

Page 35: Forum de l'Innovation France Suisse 2013

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Page 42: Forum de l'Innovation France Suisse 2013

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