POMA, LEADER DU TRANSPORT PAR CÂBLE

DOSSIER DE PRESSE 2019

La ligne M du MetroCable de Medellín a été inaugurée en janvier 2019. Mode capacitif et complémentaire, le téléphérique améliore la fluidité des transports en milieu dense et contraint.

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un allié d’avenir pour les villes

55 % de la population mondiale vit aujourd’hui dans les villes, et ce nombre va passer à 70 % en moins d’une génération.

En parallèle, les métropoles et leurs agglomérations vont être confrontées à la saturation de leurs infrastructures de circulation

existantes.

Le transport par câble urbain offre aujourd’hui de nouvelles perspectives pour les déplacements pendulaires tout en apportant une

réponse pertinente aux enjeux de mobilité durable.

Il garantit des capacités de transport élevées (jusqu’à 4 000 passagers par heure et par sens) ; il est accessible aux personnes à mobilité réduite

et aux vélos. C’est la réponse la plus appropriée aux problématiques de franchissement des coupures urbaines (cours d’eau, autoroutes, voies ferrées ou

dénivelés importants). Il se caractérise encore par une intégration facile dans les réseaux de transport existants comme dans le paysage. Solution de mobilité 100 %

électrique, c’est un transport décarboné, qui limite son empreinte environnementale aussi par la légèreté de son infrastructure et grâce à des délais de réalisation très courts.

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Une réponse pertinente

Par l’utilisation de l’espace aérien, le transport par câble urbain présente un fort potentiel pour décongestionner les villes et en particulier les centres urbains. En s’affranchissant des problématiques au sol, il offre aux passagers un temps de transport garanti, mais aussi une expérience unique et un panorama exceptionnel.Outre ses délais de réalisation incroyablement rapides et son bilan environnemental incomparable, le transport par câble en ville contribue au maillage du réseau de transport existant et complète l’offre d e s infrastructures de transport au sol.

UN MODE DE TRANSPORT

COMPLÉMENTAIRE

Pentes à gravir, cours d’eaux, voies ferroviaires ou routes à franchir… Certains territoires sont marqués par des contraintes que les moyens de transports traditionnels ne peuvent résoudre qu’à grands frais avec de lourdes infrastructures. C’est notamment quand les moyens de transport au sol rencontrent leurs limites que s’impose tout naturellement le transport par câble.

CONNECTER, RELIER, COMBLER

LES ÉCARTS

En complément des autres moyens de transport, le transport par câble répond à la fameuse problématique du dernier kilomètre. Vecteur de liaison, il comble les écarts entre des sites éloignés les uns des autres (hôpitaux, usines, zones industriels, parkings…). Il permet aussi bien de désenclaver des sites que d’améliorer les infrastructures de transport existantes, en renforçant le maillage du réseau et en créant une liaison intermodale.

TRANSITION ÉNERGÉTIQUE

Grâce à une faible empreinte au sol, il n’impose ni modification de l’espace routier ni infrastructures souterraines. De plus, ce moyen de transport décarbonné et silencieux — puisque 100 % électrique — s’inscrit pleinement dans le cadre de la transition énergétique, puisqu’il ne nécessite qu’un seul moteur pour entraîner tout le système ainsi qu’un unique système de freinage. Il a d’ailleurs été identifié par le Grenelle I comme une des alternatives performantes pour lutter contre les gaz à effet de serre.

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La première pierre de Téléo, le téléphérique urbain de Toulouse a été posée le 5 juillet 2019. L’appareil sera livré fin 2020.

DE FAIBLES COÛTS D’IMPLANTATION

Le transport par câble urbain présente l’avantage d’avoir de faibles coûts d’implantation comparés aux autres modes de transport du type des bus à haut niveau de service. Son infrastruc-ture légère nécessite en effet moins d’espace au sol et n’implique ni ouvrages d’art onéreux, ni détours d’envergure.De plus, sa mise en œuvre est très rapide (12 à 24 mois) grâce à l’utilisa-tion de techniques de pré-montage et de pré-assemblage hors site. Cela offre

un gain de temps considérable et une nuisance liée aux travaux limitée dans le temps, pour une vie de quartier préservée. Enfin, le téléphérique urbain se démarque par une grande souplesse d’exploitation (nombre et taille des cabines, vitesse, fréquence…), ce qui permet d’ajuster les coûts en fonction des attentes et des contraintes de chaque ville. La maintenance est éga-lement financièrement avantageuse, les contrôles s’effectuant la nuit ou en temps masqué pour les cabines.Les métropoles l’ont désormais compris. Le câble répond aux contraintes des collectivités : rareté du

foncier, maîtrise des coûts, intégration urbaine et intermodalité. Partout où la mobilité, l’organisation des déplacements et la mise en valeur des lieux de vie collective sont au cœur du futur des villes, de nouveaux projets voient le jour et les appels d’offres se multiplient. POMA s’est récemment vu attribuer les appels d’offres de Toulouse, Orléans et Saint-Denis de la Réunion.

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En 15 ans, POMA a installé plus d’une vingtaine de lignes urbaines de transport par câble sur tous les continents et dans des villes aux typologies variées. Medellín, Le Caire, Saint-Domingue, mais aussi New-York, Miami, Alger l’ont déjà adopté. Dans le monde, plus de 6,5 millions de personnes sont transportées chaque heure par les appareils POMA. Les retours d’expérience confirment les performances en ville du câble aérien, intégré aux réseaux des transports en commun. En 2018, aux quatre coins de la planète, POMA a de nouveau démontré son savoir-faire et sa maîtrise dans le domaine du transport par câble. De la Colombie à la République Dominicaine, en passant par l’Equateur et la Réunion, de l’Egypte à l’Inde ou la Corée du Sud, de la Russie à la Géorgie, sans oublier la France, les projets se développent sur tous les continents.

champion du câble urbain à l’international

COLOMBIE, LE PAYS DE TOUTES LES PREMIÈRES

Le réseau de transport public de Medellín est devenu une référence internationale avec 5 lignes de MetroCable qui affichent un taux de disponibilité de 99,8 %. En 2004, pour la première fois au monde, une télécabine, la ligne K, intégrait un réseau de transport public. Aujourd’hui, la sixième ligne en cours de finalisation, la ligne P (Picacho), première télécabine 12 places urbaine au monde, transportera 4 000 personnes par heure jusqu’au centre de la ville. Le MetroCable de Medellín a ainsi libéré le trafic routier de l’équivalent de 100 bus par heure ou 2 000 véhicules par heure, permettant d’épargner ainsi plus de 17 000 tonnes d’émission de CO2.

EN ALGÉRIE, RÉPONDRE À LA DIVERSITÉ

DES TOPOGRAPHIES URBAINES

Présent dans le pays depuis 2014, POMA continue de participer au développement des infrastructures de mobilité par câble dans tout le pays.Restreinte par l’étroitesse des ruelles et la densité de ses villes, l’Algérie a trouvé la solution par les airs. A Alger, la nouvelle télécabine urbaine permet non seulement de faciliter les déplacements des 6,7 millions d’habitants de la capitale mais aussi de désenclaver un village perché sur les hauteurs. 66 cabines 10 places sont connectées au réseau de transport existant, l’exploitation et la maintenance de cette nouvelle ligne de 1,8 km et au débit de 2 400 pph, sont assurées

Medellín (Colombie), ville exemplaire de la mobilité urbaine, compte aujourd’hui 5 lignes de MetroCable toutes interconnectées au réseau de transport urbain.

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par l’ETAC qui exploite et gère déjà de nombreuses lignes dans la capitale et dans tout le pays (Alger, Blida, Annaba, Tlemcen...). L’ETAC (Entreprise de transport algérien par câbles) est une société mixte regroupant la société Métro d’Alger (EMA) et l’Etablissement public de transport urbain et suburbain d’Alger (ETUSA) et le partenaire français POMA.

EN RÉPUBLIQUE DOMINICAINE, CRÉER LA 1ÈRE TÉLÉCABINE URBAINE

DES CARAÏBES

En pleine croissance urbaine, Saint-Domingue doit répondre à de nombreux enjeux de mobilité : circulation dense, embouteillages fréquents notamment au niveau des ponts permettant de traverser la coupure urbaine naturelle du fleuve Ozama. Une des solutions mises en place par la municipalité a été une télécabine urbaine de 5 km. Inaugurée le 22 mai 2018 par le président Danilo Medina, cette ligne 100 % horizontal relie désormais le centre au nord-est de la ville en une vingtaine de minutes seulement. Connecté au métro, le Teleférico Santo Domingo et ses 215 cabines 10 places raccordent plus de 23 quartiers et assure le transport de 3 000 personnes par heure et par sens en traversant deux fois le fleuve.

EN FRANCE, OUVRIR LA VOIE À LA 3E DIMENSION

DANS LES VILLES DE L’HEXAGONE

A Toulouse, c’est POMA qui a été choisi pour équiper la ville rose de son 1er téléphérique urbain, qui sera le plus long de France et dont les travaux viennent de commencer. D’une longueur de 2,8 kilomètres, traversant la Garonne et survolant la colline de Pech David, la ligne de transport aérien était la réponse évidente pour desservir trois pôles majeurs de la ville de Toulouse. Le futur téléphérique urbain connectera l’Oncopole à l’Université Paul Sabatier en passant par le CHU de Rangueil en 10 minutes seulement contre plus de 30 à 40 minutes en voiture.A Lyon, POMA et ses filiales SIGMA, SEMER et COMAG ont entièrement révisé et rénové les 4 rames des emblématiques funiculaires de Fourvière et Saint-Just. Le challenge de cette rénovation était de conserver l’identité des véhicules tout en apportant confort et nouvelles technologies aux usagers. Cette opération a nécessité 5 mois de travaux pour chaque funiculaire, dont 3 uniquement pour la rénovation des 2 véhicules. A Orléans, le téléphérique permettra de relier la gare des Aubray au quartier d’avenir Interives, situé en partie sur la commune d’Orléans, en s’affranchissant de coupures urbaines telles que les voies ferrées et les voies du tramway. Cette ligne aérienne rapide de 380 mètres reliés en 2,5 minutes offrira une capacité de transport de 1  500 personnes par heure et par sens avec une résistance au vent de 70 km/h maximum.De nombreux projets émergent en France ; Ajaccio et Grenoble sont déjà en phase d’appel d’offre.

Saint-Domingue (République Dominicaine) a opté pour le transport par câble pour régler les problèmes liés à la densité de la circulation.

Avec le téléphérique, l’Algérie a trouvé la solution pour désenclaver des quartiers entiers et désengorger le trafic.

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A SAINT-DENIS DE LA RÉUNION, LA 1ERE TÉLÉCABINE URBAINE

DE L’OCÉAN INDIEN

POMA va construire la 1ère télécabine de l’Océan Indien. D’une longueur de 2,68 kilomètres, la télécabine reliera le quartier du Chaudron situé à l’Est du centre-ville de Saint-Denis au quartier de Bois de Nèfles Sainte-Clotilde au nord de la ville en passant par le quartier de Le Moufia. Le trajet durera 14 minutes avec 3 stations intermédiaires. La proximité avec les lycées, le collège et la bibliothèque répond aux besoins de mobilité de la population et facilite le développement des activités autour de cet axe.Composée de 46 cabines de 10 places assises, elle aura un débit de 1 000 personnes par heure et disposera aussi d’une motorisation propre et silencieuse grâce à la technologie DirectDrive. Vitrine réunionnaise de l’expertise française, cette télécabine sera également une référence mondiale du transport urbain. Connectée au réseau de transport public existant, elle tient compte des futurs projets de réseaux intégrés portés par la ville de Saint-Denis. Son ouverture au public est prévue en 2021.

A Saint-Denis de la Réunion, le 1er téléphérique de l’Océan Indien sera ouvert au public en 2020.

UNE CONNEXION INTER-URBAINE UNIQUE EN EQUATEUR

SURVOLE GUAYAQUIL

Le plus important port de la côte Pacifique d ’Amérique latine a fait le choix d’une ligne de transport urbain décarbonée, un tramway aérien 100% horizontal POMA de 5 stations sur 4 km de long, qui complétera son réseau de transport public et permettra d’alléger le trafic péri-urbain. En 2020, la nouvelle télécabine « Aerovía » et ses 154 cabines , aux couleurs de la ville, relieront plusieurs points stratégiques du centre historique et commercial de Guayaquil à la ville de Duran située sur la rive opposée du fleuve Guayas, en 17 minutes contre 45 par le pont extrêmement saturé en heure de pointe. Ce projet de mobilité urbaine durable est porté par la municipalité de Guayaquil, métropole économique de l’Equateur, et soutenu par un financement de l’AFD.

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pour des solutions sur-mesure

L’INNOVATION, MOTEUR DE POMA

Depuis sa création en 1936 à Grenoble, POMA ne cesse d’innover tant en termes de produits que de process pour renforcer son avance technologique.Dernière innovation produit majeure, le DirectDrive ou moteur lent permet d’entraîner la poulie et le câble sans démultiplicateur lubrifié. Cette technologie, beaucoup moins énergivore (-8 %), séduit les villes soucieuses de leur empreinte écologique. Elle permet également de diminuer de 15 décibels le bruit par rapport aux chaînes cinématiques classiques, offrant ainsi un meilleur confort aux voyageurs mais aussi aux opérateurs et aux équipes de maintenance. POMA a par ailleurs multiplié les innovations en termes de process industriels pour raccourcir les délais d’intervention et s’adapter à l’environnement très dense de la ville : un chantier en zone urbaine doit être le plus rapide possible pour éviter de perturber la vie du quartier.

Le Groupe s’appuie ainsi sur des techniques de pré-montage et de pré-assemblage permettant de mettre en service un système en moins de 24 mois. POMA a aussi mis au point un dispositif de secours afin que les passagers restent passifs pendant leur rapatriement en gare : ce « système de récupération intégrée » permet d’éviter une évacuation verticale et le risque de perturbations sur le réseau de transport.

UNE RÉPONSE À CHAQUE ENJEU

Toujours à la pointe de l’innovation, POMA peut ainsi proposer des solutions personnalisées. En Russie, pour relier les villes de Nijni Novgorod (cinquième plus grande ville de Russie avec 1,3 million d’habitants, située à 400 km à l’est de Moscou), et de Bor, de l’autre côté de la Volga, POMA a fait face à des contraintes techniques particulièrement difficiles, entre la largeur du fleuve et le fait de ne pas pouvoir y installer de pylônes, la Volga gelant en hiver. Deux pylônes (sur les dix que compte la télécabine) de 82 mètres de haut sont donc implantés de chaque côté du fleuve, avec une portée exceptionnelle de 900 mètres de câble entre les deux. A New-York, POMA a été confronté à des exigences réglementaires et des contraintes de sécurité drastiques. Résultat, les câbles porteurs sont ainsi séparés de 4 mètres pour garantir la stabilité des cabines, quelles que soient les conditions de vent. Les deux cabines circulent chacune sur une voie indépendante et possèdent deux moteurs distincts. A Toulouse, un tracé de près de trois kilomètres doit permettre de desservir, en 10 minutes (au lieu de 30  minutes en voiture), 3 grands pôles d’activité situés au sud de la ville. Composé de 15 cabines pouvant accueillir 34 personnes, le téléphérique pourra transporter chaque jour jusqu’à 8 000 voyageurs. Grâce à son système de trois câbles (Système 3S) prenant appui sur cinq pylônes, il fonctionnera avec un vent pouvant aller jusqu’à 108 km/h.

A New-York, les deux cabines circulent chacune sur une voie indépendante et possèdent deux moteurs distincts pour répondre aux exigences réglementaires et aux contraintes de sécurité locales.

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Pour ses clients, en France et à l’étranger, POMA met en place des contrats d’exploitation et maintenance et peut notamment assurer l’exploitation des appareils 7j/7. Lorsque le client le souhaite, POMA recrute, forme et met à disposition une équipe dédiée à 100 % à la maintenance et/ou à l’exploitation de l’appareil. Pour répondre à la demande grandissante d’exploitation et de maintenance des appareils que l’entreprise construit, POMA a d’ailleurs créé une nouvelle offre de services : l’ingénierie d’exploitation et de maintenance. POMA développe ainsi une approche d’ingénierie de l’exploitation et de la maintenance inédite, au plus près de ses clients. Pour une maîtrise optimale des coûts, de la qualité comme de la sécurité dans la durée, le Groupe POMA les accompagne en termes d’exploitation et maintenance, qu’il s’agisse du transfert de compétences comme de la formation des personnels exploitants jusqu’à devenir exploitant selon la demande. L’analyse de suivi de la maintenance permet de définir avec précision la

au cœur de la politique de développement de POMA

politique de maintenance la mieux adaptée aux appareils : maintenance préventive, maintenance conditionnelle avec systèmes d’analyses vibratoires, rédaction de plans de maintenance adaptés au profil des appareils, données pour renseigner le logiciel de Gestion de la Maintenance Assistée par Ordinateur (GMAO). Ces contrats d’exploitation et maintenance à la carte permettent d’assurer une disponibilité maximale de tout type d’appareil urbain, 20 heures par jour toute l’année avec un temps de maintenance optimisé, à Saint-Domingue, par exemple, le taux de disponibilité est de 99,8 %. Fort de sa capacité à gérer les interfaces, POMA crée aussi des groupements, s’associant localement à des cabinets d’architectes, des majors du BTP et des sociétés d’ingénierie de transport, comme actuellement à Toulouse, Orléans, la Réunion ou Guayaquil. La forme, la taille et la durée de ces groupements sont propres à chaque projet.

Toujours plus proche de ses clients, POMA propose de former les opérateurs et gère des contrats de maintenance sur plusieurs années.

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POMA investit dans sa chaîne de valeurs. Le Groupe poursuit son objectif de développement avec des équipements toujours plus performants dans des délais toujours mieux maîtrisés. POMA et ses 4 filiales industrielles installées en Rhône-Alpes, berceau du groupe, dimensionne ses sites pour une gestion optimale des opérations, de l’ingénierie, de la fabrication, de l’assemblage, de l’installation pour une maîtrise globale des projets de transports par câble, dont l’ingénierie d’étude ; SACMI gère la production et le pré-montage des sous-systèmes mécaniques ; SEMER réalise les équipements électriques et automatismes industriels ; SIGMA conçoit et fabrique les cabines ; enfin, COMAG a en charge l’installation sur site et la maintenance des appareils. POMA organise son activité centrale par pôles de compétences, en s’appuyant sur une forte mutualisation des savoir-faire.

Un outil industriel

Ainsi, le nouveau site industriel de Gilly-sur-Isère, inauguré en janvier 2018, construit avec 100 % d’entreprises locales et françaises, est l’illustration d’un centre de compétences optimisé, regroupant les activités de la SACMI et de COMAG sur un espace unique de 100 000 m2. En 2019, avec beaucoup d’anticipation, POMA entame la «  phase 2 » d’extension de son site de Gilly-sur-Isère, et investit dans 30 % de surface supplémentaire pour créer de nouvelles activités sur le site. L’objectif étant de renforcer son outil industriel, de réduire les transports dans la chaîne de fabrication et ainsi de permettre à POMA d’être toujours plus rapide et plus vertueux dans sa production. Ainsi, en plus de la surface étendue à 10 hectares occupés par les activités industrielles, de nouveaux bâtiments de 6 000 m2 viendront renforcer les capacités de production. Les travaux devraient débuter rapidement suite aux études pour permettre une mise en route avant la fin de l’année.

C’est à Gilly-sur-Isère, au pied des Alpes françaises, que POMA produit l’ensemble des équipements de transport par câble.

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CONTACT PRESSE :

Isabelle Carassic isabelle.carassic@saatchi.fr04 72 33 85 85 - 06 03 89 61 20 www.poma.net

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