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Samedi 27 Jiiiii 180^. 1% 20. — SS'"' année. rM iX 9 R l/A|ij»XXBM(RkTt «F. _ . , # !J« an . 1 ) fr »• e. p«c« ik Viu«. . . . j g,n 5 . ilX DK8 lK«KKTraH 8 l reàt* i t ligne. ‘ • Id ■ (NOÜCI annonces JUDICUIRRK.. ANNONCFS mvKItSES, ' I - V AN N ONCES JC D IC IA IK Ë S. l»ir S 'À M S K Ë À4*d1J«i lii b tim n dé Jpernni.plAc# de (el-dé>Ville{ — A périeicltr». H- .HAVf9«,nK' Jean^Jei^HM Ru«t(e»u, i|, et.çhç* l.»PmR-BULI.IBnctGMBpy ftacc.dvU^iirte. ' df — ci citct les l.ibnire» an dé|iaXcinçat. CJe Jfturtial jiaf l)|!. 33,'. el liger. lt<wi>Mirenre I ri«, kont ûilèr i kTourrni.I ar>i(i«n' n< I ! ^ KaTrur, la wca nvee nne pt <té loiitc* ..Son pria rf meme rue» KKM JS:. NAFOl.ÉON, Parla'gràce de Dieu ella voloiilé iialiuiule. Ktnpereiir des Français. A (eus présents el A venir, salul : N. Blllaiilt, miiilsln; sans'poriefenilie. eiti nommé ml* iikilre d’Elal, en retnplacemenl de H. le comte Walewski. dont la démission est acceptée. Fait au palais de Fonlainebleau. le ItS.jnin 1863. Par rEmpen ui : NAPOLÉON. Le miniitre d'Elat, A. Walkwski. NAPOLÉON. Par la grâce de Dieu el I» volniilé uatioiiale. Empereur de.s Français, A Ions jirésenls cl é venir, snlul : sur le rap|H)rt de imlre ministre d'E tal, Avons décrété el décrétons ce qui suit : Art. I". Sont pl»C('e.s dans les allribulinns du ministre d’Elnl les fonniions attribuées aux ministres sans porte* feuille par le décret du 34 novembre 1860. Art. 3. Le niinislère de la Alaison de rRmpereiir prend le titre d« Afiawlère de la tiaisoH de f£mj)ereur et des BB(iu.t»At1s. - 3. JSonl dirtriUI» <l« niinUlàw dîElàl Matsoii dé Vcmporeur et des BeauX'Arts. radmiulslratinn<'d^BeaUX-Arls. l’Aca* démie de France à Home. l'Ecole dTfHKnes. l'Ersile sjié* ciide des Beaux*Arls, l<fs écoles graini^s du dessin, les niivrages d'art et de décorations d'étmces publics, les fêles et cérémonies publiques, les encuiirageinenls des beanx*»rls. Kouscriptiniis. iinleinnilés aux artistes, voyages el missions artistiques; Lu lhé.^tro. lu Conservatoire impérial de musique el de décLimalion, le.« succursales du t^uiservaloiie, l’adniiuis* Iraliou supériciiru de l'Opéra, resomeii et ratilnrisalion dus ouvrages dramatiques, les eiicouraguinenls à l'art dra* maliqiic cl niiisical; i'.us luoilutuenis historiques, te musée de.s Tlicnuus et riiétel du Cluuy; L'aduiiûislraliuii des billiiuuuls uivils; L'asile impérial du S.iverue. la dirceliuii générale des Atcliives du rEmpire; La piibliralioii du lu ,('.orrespotidaucu du l'Ëmpcix’ur N.ipiiléüii I" ; Lii graiiilu «'li nirullerie du l'ordre impérial du la Légion d'Iioiiueur. J.CS services liMUs|iorlês un mitiislùru d'Elal par les ar* ticles 3 el 3 du décret du 34 iiuvembru 18Gi). Art. 4. Sont dtsirnils du miiiislèru d'Eiat cl placés dans les-Htlribulioiis de riuslrHuliou putilique : •*' - L’IusIilul impérial dè France. rAcadémie de inêducitio, l'Ecade des rhartes, les bibliulbèques Impériale, Mazariue. de l'Arsenal, de Saiute>tienuvièvu: lu service général dus bibliothèques, le Journal des Savaiüs, les souscriptions aux ouvrages de sciences et de littérature, les eurx)tiragemeuls rl secours aux' savants et hotiiincs de lelti'cs, les missions scicnliflqm^ «I littéraires. Arl. 5. L'administralion. des cultes est distraite du nii tiislère de l'instruction publique et placée dans les allribu* tiouK du ministère de la justice. AU. 0. Los rapports avec le .Voaifciir universel sont plu* rè< dans les allributions du ministère du l'intérieur. Alt. 7. Nolrv'ministre d'Etat el nos ministres de la .Mai* son de l'Empereur êl dus Bcaiix-Arls. de la justice, de l’iii' iéricur et du rinslrnctiou publique sont clint^és, chacun en ce qui le concerne, de rexéculiun du présent décret. Fait au palais du Fontainebleau, le 33 juin 1863. Par l'Emiipraur ; .NAPOI.ËU.N. Le N ii'iitfh '0 d'Etal, U illa u lt. NAPOI.ÉO.N. Par la grâce de Dieu cl ta volonté nalioiiate. Empereur des Français, A tons pr^enls et A venir, salut : Avons décrété et décrétons ce qui suit : A rt. 4**. At. Baroche. ministre, pnbtidenl du conseil d'Etal, est nommé ministre de la justice et des cniles, en reiuplaccnient du .M. Delangle, dont 1» démission est acrsiplée. M. Boudel, préddeiit de scclion au conseil d'Etat, e.sl nommé ministre ^e hnlét'ieur. en remplacement do M. lè comte de Persigny, dont la démission est arrepiée. M. Duriiy, inspecteur général de rimiirncliun publique, est nomme ministre de i insiruclion puiiliqne, en ramida* cernent de M. Routniid. dont la démission est accepiée. M. Béhie. ancien conseiller d’Etat, csl nommé ministre de rngricullnre. du commerce ut dos iravauxpublics.cn rempinremeiit de M. ttonher. appelé A d'.inlres fonctions. Art. 2. Notre minlsire d'Etat est chargé de l'exécution du présent décret. Fait au palais de Fonlalticblenu, le 23 juin 1863. Par l'Emperenr ; NAPOI.ÉDN. Le mmislre d'Etal, Uillault. NAPOLÉON, Par la grâce de Dieu et la volonté iKitionalc, Empereur des Français, A tons présents et A venir, salul : Avons décrété et décrétons rc qui suit : Art. 1*'. .M. Itoidier. ministre de l'agrlcidlure. du rom* merro! el des travaux publies, csl nomiu *ministre prési* daiil le conseil d’Etat, en remplaciununt de M. Baroche, appelé A d'antres fonctions. Art. 2. Notre ministre d'état est chargé de l'exécntinn du présent décret. Fait au palais de Fontainebleau, le 2o jtdn I8')3. < NAPOtÉONT'*’ Le int'ni'sfro d'Etat, Billault. NAPOLÉON. Par la grâce du Dieu et la volonté nationale. Empereur de.s Français, A tons présents el A venir, saint : Vu l'article 43 de la Constitution, Avons décrété e| décrétons ce qui suit * A rt.!". M. le duc de Morny est nommé pré-sidenl du Corps législatif. Art. 2. Notre ministre d'Etat est chargé de rexécution, du pré.sent décret. Fail au palais de Fonluineblean, le 35 juin I8i>3 Par l'Empereur : .N.\l*Itl.ÊO.\. Le ministre d'Etal, Bill.vult. "tous ieS Safnedtii Le pirbisrile sur lequel sc base la Consliliiiinn de 1863, en élablissaiit que les ministres élaiimt respousalilrs envers' l'Emperenr seul, a voulu nirtire nu ieriiu* à ces couipéli* tions d'ambitions parleiiieiitiiirc.s. c.utsrs coiilinurlles d'a* gitaliun el de faiblesse pour les g-iuvei'ui'ineuls passés- Sans altérer en rien la force et la iliirrié d'action uéces* sairésnn pouvoir, l'Empeivur, par le déerel dti 34 novoni- hre, a vonln donner, aux grands corps de l'Etat mie pai U* cipaiioii phis directe dan.s la politique génériilc de son Gonverueinent; mais ce décret n'a pas modiQé les principes fondamenlanx du plébiscite de 1852. (|u'un nouveau pté* biscile seul pourrait clianger. i.a discussion pins large ut plus complète des alîaires publiques devant le Sénat et lu lÀorps législatif avait motivé la création de niiiiislres sans portefeuille. c'est-A-dire du ininistres n'ayant dans les faits A déluiltre aucnnu part personnelle. L’Empereur, par le déci*ul du ce jour, leur snb.slitne lu miuislru chargé di'S ra|>porls du gouverucmenl avec lc.< grands corps du l'Etal, dans le hnl d'organiser plus solide* mcnl la représentation de la pensée gouveriieniontalu du- vant les chambres sans s'éoarlur du l'esprit du la Consti tution. io! ministre d'Etal, dégagé lie toutes attributions admi nistratives, el lu ministre présidant lu conseil d’Etat, avec le concours des membres do eu conseil, sont désormais chargés d'expliquer et du défendre les ipiu.>tions portées devaid lu Sénat et le Corps législatif. {Honileur univorset.) — On prétend que le Corps législatif sera convoqué, dans un délai assez rapproché pour la véritication des pouvoirs. — l.csiionvellesduNuw*York, apportées par le 7mv?. vont jusqu'au '«3 juin. La siliinlion militaire avait peu changé. I.c siège de Wirkshnurg coidinnail. t.es confédérés, sons- les ordres du général Leu, avaient reçu des renforts consi* dérables, cl paraissaient se préparer à envahir lu Maryland cl la IVmisylvanie. Oh lit dans le Moniteur : « Un rapport adressé par M. le général Korey .A l'Empo* reqr njnintu A renx (pii pmi déjà élé publiés dniis lu Afoni* tout; quelques détails curieux Lu 2 mai, le chef cimeini qui commandait le cndru <le Bunta liiez demanda A parlpinèit- ter. io} géiiéral Umiuy ayant imvoyé lu lieutenanl Tnlpin, celiii*ci fut nnssiîôt arrêté, roiidnil devant le chef du cadre, qdi sc tronv.i être nu réfugié iiahen, et menacé de mort. Mais le général Orlrga, informé du fail, lit recondniru le lieutenAiil Tnipin et imuit l'ofllcier coupable de ce gnet* A'pens. AI. le général Forey ajonle qnulc.s discours pronnn* cés nu Corps législatif sur la question mexicaine par SIM. l'icard et Jules Favre ont été trouvés par niilllers, Iradnits en espagnol, dans les cadres tombés au poittdir dé lias soldats. • — On lit dans le Coiislilulioitnel : M. le général Forçy a ndres.sé an ministre de la guerre, par le dernier courrier du Mexique, une sonimu de 33,770 fr. 54 c., montant du la souscription de.s militaires de Ions grades du corps expéditinnii.iirc en faveur des ouvriers cotonniers sans ouvrage. Cette somme a été verilée dgns lus caisses du rriinislcru des fluaiiccs. > •—* On assure, dit la France, que b* président Juarez, en appVènajil la capitniation du Ihiebla. n repdii, le 30 mai, tiÿdéwot.qah irjy n n rtè >li4pi lili>i itd a iu rn ilq iiéffMWWiI :# S.IU Luis Potosi. clief'h'ên de la province oe re nom. Cetlu décision montre que soii ititenlion ne Serait pas de défen dre la ville ce .Mexico. — D’après des uonvellcs de Pnebla transmises à New* York, le 6 juin, l'année françaisK tout entière aurait pris possession de la ville, et le quartier-général serait élubli an palais de l'Ayuntamicnto. I.'armée mexicaine aurait élé provisoirement inlernée dans let^ forts du Gnadainpe, de Sau-Loreuto cl du Carmen. Les habitants commençaient A vaquer A leni*s affaires. L'étal .sanitaire continuait A être s:itisf.iisanl. — üne lettro d'Alexandr'o annonce que les travaux du canal de Suez avancent plus rapi(|umuii: ipie jamais : lu nombre des ouvriers n clé augtiiunlû sur tuns les chantiers. Pour c.rtriiil el nuhctioH : E. IlEG.MEit. HaüVELlLS DÈPÀRîEMSHTâlES. SRM LiIS: D’ÉLÉVATION ET DE DIStD.IDUtlON b’E f d DANS U VILLE hÊ MNUS. Lu ville de Seidis si heureusement silnéc, cl^cnlqtiréQ d’eaü de tous c&téà,c.h eM èependant Privée, p'dnr ses iisAged jôurimliers, poùr l'oHilienlatioti sattié de ses habltlèirisi '' et en mënic léitips pbur tmit cfe qbi lient aitx soins qu'exige ' la snlubrilé publique, aussi üiië sofiiélé du plusieurs habi* - lants de la ville, espérant que -bientôt toute l.i sénéfalilé de la commnné viendrait se joiiidrè A clic, a GtU ÔtiidreV sérieusement un projet de di.strilfnlioii d'eau: Ce projet ' vient d'ètre’terminé, Sus résiiitàts sont des plus (ûilisféi* sauts, cl la société s'empresse d'on cxpdscr le rêsùijiô d ’iiiie manière siiicère A'scs coi^citoyens. . . La prcni|ci.-e cliosé ii réchercher était de Irbiivèi* nii' nib* leur pour élever les eaux à une lianleur siifasablç'pôdi; les déverseï] eiLsuito dans la ville. Ce moteur n été troqfé dand ' le monllii d'Anmont. Des expériences plusieui^ fois rêpé; tecs ont été faites par les hdinmès de l’art, et ild'jT' cmislal^|^|dai.»lBilnnmtnl. ~ - — Polies Oeii ClirmiUM <in fer. Jusqu'A présent, lus cîiumins de fer avaUmt élu laissés en duhoi'S de l’action des commissaires de police raiilounaux. S.'É'xc. >1. le M inistredcriutérîeirr a proptisé ASa Majè>té de leur donner, par une dlspiisition générale, .sur les gares et le.s pid'tious des lignes de fer situées <tans rélondiic de leur circonscription, l'aulorité que le décret du 32 février 1855 a attribué aux coimnLssaires spéciaux de police. Sa Majesté n bien voulu accueillir ccttu propusition et Elle a rendu le 15 avril 1863 un décret ainsi connu : • Dans les localités traversées ou desservies par un che min du fur, un il n’exislerd pas un commissaire spécial de policé, le cummis.saire du pidicu de la résidence, ou, s'il y a plusie.iirs commissaires de police, lu rointnissairc ccnirat do police rxercuia la surveillance du chemin de fer et de ses dépendances, cuiiforiiiéniciit A notre décret du 22 fé vrier 18.55, et sous ta direction des couiinissaires division* naires de pidice des chemins de fer, iiislilués par notru décret tin !" septembre 1862. • i:cttc noiivullu organisation répond A un besoin de sécu rité ut d’tu'drc publies. {.Voniteiir de iOiso). — Par suite d'iiiic modincaliun qui vient d'étrc apportée nu tarif cummiiii des cliemins de fer du Nord, Est i>t Ar* ticmius, le prix du Ir.msporl à pelilu vitesse des sucres bruts, rafthiés cl vcrguoiscs par wagons de 5,000 kilo grammes an moins, e.st lixé A 8 c. iitimeS|par kilomètre pour 1.000 kilugrumincs. — C'est leifiardill août qu’aura lieu à la Sorbonnc, , cette année, la distribution solennelle des prix, A la suite des grands roneoni*s, aux élèves des lycées ut rollégis de Paris <’l tie Versailles, sons ta présidencu de Son Excellence lu ministre de l'insiriiction publique. ^ _ . .. _ viron 400 mètres cubes .dleatt, qiianiitâ jugée iiéc^aire.- en égard au nombre des habitatils, J.«s eaux süraifql .èdrir duiles A une hauteur de 30 mètres siir l'esplanade du rond*. point dë la porte BntuI Bleui, par nue pompé mue par là roue hydran|iqnc du moulin : elles seront reçues dané deux ; bassiris ën Idlc contenant cnsemblé 400 mètres cubes. Ces. bassins on réservoirs feront placés sur une rHarpenié dp manière A dominer la ville cl A foiirnir de l’eau aux habi* tauls, même au premier étage pour le plus grand lionibre des maisons. De CCS réservoirs partira une rqnalisalion de tnyanx dé fonte d’iin développement de 4,200‘ mètres dans les princi* pab'S rues de la. ville. . .. La denxièmo question A examiner était celle du savoir quelles eaux scniraienl d'alimeiilaliol»? Celles dè rÀnnètlc si: préseniaicnl nntnrctlcmciit, mais d’après les observa-- tiuiis des hommes les pins ciimpûicns sur èétiu matière, on. a dû renoncer A s’cn servir. I.i’s eaux de i’.4unetlc sont chargéis de sels calcaires; elles traversent des marais, piilraîiieiit avec ellc.s des dé bris de toutes sortes,' cl ne présentalënt pas par conséqnrift ' la pureté désirable. Celles du la Fontaine de.s Malades semblaient offrir plus de pureté et donnaient la quantité supérieure A celte qu'Aii devait exiger, mais elles traversaient égalémcut des oiut rais, et leur condnito jusqu^ait moulin, par de longues trop profondes tranchées, offrait d’assez grunde.s difilciiltéa. Toutes le.s opinions de cnix qui se sont oeeupé d'eanx étaient qn'on devait irotfver au bas même dii mnniin des nappes d’can dont la recherche facile donnerait la qualité et la quantité des cnnx désirables. Cette opinion s'ral pré cisément trouvée juslifiée par la tisltu qui a été faite paf un habile foreur d’.4miens dont la spécialité est de sn livrer A ces opérations, el qui s’est engagé sous sa-mtponsMbililé A faire parvenir les eaux d'utiu-pitrclé i4Té|iroch;ihie sur le rond-point de la porte Sainl-ilienl. Par un forage il ira chercher l’e'an darfs.Êfosrnnèhes-de terres dites des sables el gré.s vérl^; <*e furage sèra'fbil jnsqn'A ce qn'on semI assuré au moins d>< 1,000 mètreà enl>es d'eau on 34 houres; la quantité cl la qualité sont garanties par te foreur. La dépense tolnle du rc projet, y compris l'acquisition du moulin d'Aumont; la pompe, ta condmln d'ascenxio», les baiuins. la canalisation , s'élèvera au ntaaN/nufn A 110,000 fç., et ne pourra pas être dépassée par l’entre* preneur, avec lequel un traité sérieux sera passé par anë commission nommée par les actionnaires. .Nous venons donc anjnnrd’Iini faire ntt appel A nds-eon* citoyens pour l'e.xécnllon d'un projet qui est d'une utilité évidente. 1.0 société nouvelle, qui déjà ednipte lin grnnd nombre de .souscripteurs, a la conviction qiîe èelle éntf4- prisé, qui déjà se réalise dans-les vllle.s voisines, appo'rtera line grande umélioratiun A ta ville de Sentis; qu'ellè pro curera un bien-être aux habitants en irnr donnant dq l'eau potable Cl apportera une uugnientalion notable à ta pro priété immobilière. ^CouimiiHigué j Il « i '!• S-.cl. îl i ‘8 » 1 M ÿ'l4 m ,#«k \r..r, f i 1 O’ A 1,1 i ! FEÜÏUÆTON. CLÉMENTINE. nbor* .f»! *»':■) 'Il I A la stiite d u h c h imbre de t'.lémunlhic était un salnn Vaste el bien aéré, ouvert par Irois'pnrles-fenôlreM ~sur le parc. Nolis y tronvAme.s un piano: quand j'en approchai la pauvre enfant, elle l'uiivril, s'assil el commença quelques préludes qui Annonçaient des mains exercccs; puis ioul A coup une voix d’ange me Ql entendre le beau morceau inli- tiilé iVoél : c'éinil un chant angélique; je restai eu ^Xt-isc devant i^tlo beauté si puéliqne, cliaiitani le bel air d'une ‘ vnix Konnro et douce qui retentissait dans le vaste salon si solitaire el muet. J’écotilais encore qu'elle ne chantait plus, rl que. Icndaiit ses bras vers mol, elle disait en sonrinnl : • — L'est moniVoe'/f ma iiaiss.mcet ma vie! que je viens de chanter. Mon cieiir comprimé respire A son aise ici... i'y puis nimur quelqu'un qui est bon pour moi. • Je devais passer Ift seuhniicnl trois jpnrspotirles petits arrangements intérieurs et pour faire étudier A Clémentine la topographie du château. Afin qn'ellu pût le parcourir seulu; il ino sembla il qu'ellu avait besoin du moi sans cesse, ' et je ne la quittais pas nu inst.int sans inquiétude. Un jour que je fus obligé de m'éloigner niielquim lieure.s. Je revins en cmirani liinl j'avais besoin do la revoir. Ohoqito jour Je remellids au lendemain A m’uccniirr do mon départ. Clémentine n'cn parlait jantnis et somt^lail heureuse. Ce- ' pendant, j’avais toujours lo projet du partir, de mu séparer d’olle et de ruveiiir à l'orls, et quoique ce (ttl dans mon rs- A <|ui ju -ii'élais lié qnu pour un moment : il y avait méinc quelque chose du paternel dans mes soins viglLuils, el ju ne mu rendais pas ramiptu du col lu espèce de scntimi'iit, qui, malgré l’aitrail du sa beauté, me f.iisait respecter en elle la jeuno tillu innoconle dont ju no voulais |ias faire ma prit A l'élal d’une vague pensive qui s'ctraçail chaque Jour davantage. Je regardais Clémenlinedans les premiers Jonr.É jde iioli'u tnariagu coiime une personnu que jo devais qiiiller. que ju n'avais du droits sur elle qu condiliun de consacrer lonlo ma vie à son amour. • Le bonheur rombelliss.iil encore, les rose.s conlours do la santé brillaient sur «os joncs, tous scs mouvumunls étaient pleins du grâce et du joie. Cepcmiaiit. un jour qdu je l'avais quittée pour donner quelques ordre.'*, elle.tceonrnl pâle, tremblante, el je crus que la vio all>iit| rabaiidunncr. • Qn'nvrz-vous, m'écriai-je? . _ Aht vous êtes lAI... Co n'était pas vous, cl tomb.uit A genoux, elle lendit les mains vurs le ciel on disant : — Mon Dieu Ijo vous n^mercie, il u'cstpascucoru parti ! • i.e bruit d'une voituro l'avait trompée, cl j-: compris qu’elle mourrait de mon départ. • — Oh I ma Clémentine, lui dis jo en la'pressant avec amour dans mes bras, non je no ponrais p.is vivre s.ms loi ! Y a-t-il jamais on pour moi dans le niondu, dus émtdioii* de bonheur semblables A colle qnu tu [tuiix <lonncr? • 0‘ie le dirai-je. mon cher 1*réiléric, lu soir du eu jour- là j'écrivis A Paris pour fairo vraiir mes mciildus, mon ilo- mesliqneet mlllo objets pour Clémentine: ju lis ans-si lur- miner mes nlbtires, car, j’étais déridé A ne jamais quitter ma femnio. > Un air s’est pas.sé, et jo suis mille fi*ls pins henrunx encore que le premier jour. C’est une vus m*n\cllu que ju ne connaissais* pas, nno vie du cænr el du la pciiséu, nue vie idèalo A doux, sans nue minute de séparalioii. nn vrai mariage enfin où l'on n'e.st qu’un seul être en doux per- ! sonnes, et où lea idées se mulliplirnl par les émotions. Elle ' voit dans tnon Ame et moi dans la sienne; il y a lA rinllni. La vie n'est pas assez Inngnu pour un tel bonheur: aussi cspérons-nuns qu'il su conlinnura dans lu ciel. Arma.X d. M"' ANCELOT. ll«iho«lc RIEIbBI^ rOUit I.ËS CO.NCOUItS de musique . A l'orcasion du la fêle musicale duvant avoir lien A Sonlis. dimanche prochain 28 juin, il ne sera pent-élrc pas sans intérêt de faire counniiru A nos nhonués la muthodu simple et iogénien.su dont M. Biédol, rhuf du niusiqno du la Carde impériale, sc .sert, depuis longtemps el avec lu plus grand sucré'*, pour llxcr d'une niaiilèru eu quelque sorto matUématiquu le jugement du jni'y. et rcla séance Iciianto, sans conteslatinns, sans tAtntinuiuents, du Icllo façon que tes médailles peuvent élru déccrnét-s immédi.ite* ment aprè.s le conconr.s. Ou comprend l'aciiRmenI que lorsque des artistes sont appelés A entendre et A apprécier 25 ou 50 morceaux, s'il faut, après chacilii d'eux, qu'ils sn ronsiillunl, qu'ils ha* lancont le fort ut ’o faible, cela fait purdro un temps pré cieux el prolonge lu coucnnrs indéfliiimeut. l’bisnilc il doit arriver forcément ceci : c'usl que, si !«*s jurés ne sou* pas ton.s posilivcineut du même avis, le mumhru lu plu-s iunueut domine ses collègnus et les soumet A son opinion, et renx* ci l'adoptent d'anlatil [)1us f.iuilemunl ({u'ils ont liAto do terminer. Alors lus innsiuiuns sont jugés pur nn suul nu lieu d’avoir lu vote ilu l.i majorît»'. Avec lo procédé du M. Itiédel, tons rus inconvénients smit éludés. En oulru, les lohluaux d-' cliaqnu juré sont nuuis après le eoncours enlru lus mains <Ie lu rom nission do la fêlo el chaque musique peut eonii'ôler si les prix nul élé décernés loyalement : c'osi nnu simple alîaii’u de rhilfre.s. Voici la manière dont est conçu le tableau ipie M. Itiédel remet A chaque Juré : SIMES D’Ari'RKCIATIOX. I Irèfiiirii. 'i bien. .X bien. 4 faibte X irès*rnilile. C'oncoura 4 e NeHl|a, <9 Juin I 9 AS. HARHOtKE ET FANFARES. - NOTA. En rnT itc p.Triié m ire itc-ut MuTiquoi, c*c4(*.T*dtre rcüni«»anl le inrme cbitTrv. i ft <]ni Arrive rarement, Ict Jure* r« Vbntullciit et portent une apprceiation rrrbale. , t. •8 I 3 - i ^ à S <• 1' Si s l= |ih î u s a i 8 ■< ;S I i •3 a 1 a <■« « = i 4 1 10 37 Ainsi lo juré trouve que l’accord cl la jqstcssp .soiil^VJeX bien, il écrit un <1 dans ifl colonne y ddrresjiofidatil; itm tirc cl ensemble, bidn, il Uiet ùu '2 A rôléi ithances.’/'nlèTu, üh 4; soii (s'il y on a), très bien, un t. t'o! qui lui.^otlnÜ ufn^ total do 10 qu'il écrit daits la première (lolimde d’dlldn^ns^it dcniando A scs collègues quels Sdilt lëurs chiffrés (^i'fifr- ment ensemble, supposons, 37; réunis ahv siens, ccl.’i'fbit 37, qu'il itcrit dans la seuotidu'êOlonnc' d'additions. Ifnu antre mnsiqno produira 22, n'iio antre 23, etc. l'ü sera donc la musique dntii lu lolal'do niaiiVaiS points sera lu moins élevé qui ublicifdi’il laanibl.iillc (I). l'.inio mélhodo du M. Itiédel .séra ëmplo'yéo dimnitcffè.'et nous nu doutons pn.s qu elle iro. soit irduptéè par la siiitu dans tons les concour.s. ' CnAKtcs lIEGNkRD. Seuils, 24 juin 4863. - (t) On noiirratl pfrnJre te sjalèmrt intrrte. ce qui wtk'ËA nnire srn« plu» logique ; ii'ne pin» grovac siiinme riant luiijonr.» ptn» a^mbÎQ ({u'titTc plu» petite.

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A N N O N C E S J C D I C I A I K Ë S .

’ l» i r S 'À M S K Ë

À 4*d1J«i lii b t im n d é Jpernni.plAc# de (el-dé>Ville{ — A périeicltr». H- .HAVf9«,nK' Jean^Jei^HM Ru«t(e»u, i|, et.çhç* l.»PmR-BULI.IBnctGMBpy f ta c c .d v U ^ iir te . ' df — ci citct les l.ibnire» a n dé|iaXcinçat.

CJe Jfturtial j i a f

l)|!. 33,'. el liger.

lt<wi>MirenreI

ri«, kont ûilèr i kTourrni.Iar>i(i«n' n<

I !

^ KaTrur, lawca nvee nne p t <té loiitc*

..Son pria

rf meme rue»

K K M J S : .

NAFOl.ÉON,P a r la 'g rà c e d e Dieu e l l a voloiilé iia liu iu le . K tnpereiir

des Français.A (eus présents el A v en ir, salu l :N . B lllaiilt, m iiilsln; san s 'p o rie fen ilie . eiti nom m é ml*

iikilre d ’E lal, en retnplacem enl d e H . le com te W alew ski. dont la dém ission est acceptée.

F ait au pala is d e Fonla inebleau . le ItS.jnin 1863.P a r rE m p e n ui : NAPOLÉON.

L e m in iitre d 'E la t, A. W alkw ski.

NAPOLÉON.P a r la grâce d e Dieu e l I» volniilé uatioiiale. E m pereu r

de.s F rançais,A Ions jirésenls cl é ven ir, snlul : s u r le rap|H)rt de im lre m in istre d 'E t a l ,Avons d éc ré té el décrétons ce qui su it :Art. I " . Sont pl»C('e.s d a n s les a llrib u lin n s du m inistre

d’Elnl les fonniions a ttrib u ée s aux m inistres sans porte* feuille p a r le d éc re t du 34 novem bre 1860.

A rt. 3 . Le n iin islère d e la Alaison d e rR m p ere iir prend le titre d« Afiawlère d e la tiaisoH de f£ m j)e reu r et des BB(iu.t»At1s. -

3 . JSonl dirtriUI» <l« n iinU làw d îE làlMatsoii d é V cm poreur

e t des BeauX 'Arts. radm iulslratinn< 'd^B eaU X -A rls. l’Aca* dém ie d e F ran c e à Home. l'Ecole dTfHKnes. l'Ersile sjié* ciide des Beaux*Arls, l<fs écoles g r a in i^ s du dessin, les niivrages d 'a r t et de décorations d 'é tm c e s publics, les fêles et cérém onies publiques, les encuiirageinenls des beanx*»rls. Kouscriptiniis. iin leinnilés aux a r tis te s , voyages el missions a r tis tiq u es;

Lu lhé.^tro. lu Conservatoire im périal d e m usique e l de décLimalion, le.« succursales du t^u iservalo iie , l’adniiuis* Iraliou supériciiru de l'O péra, re som eii et ra tiln risa lion dus ouvrages dram atiques, les eiicouraguinenls à l 'a r t dra* maliqiic cl niiisica l;

i'.us luoilutuenis h istoriques, te m usée de.s T licnuus et riiétel du C luuy;

L 'aduiiûislraliuii des billiiuuuls uivils;L'asile im périal du S.iverue. la dirceliuii générale des

Atcliives du rE m p ire ;La piibliralioii du lu ,('.orrespotidaucu du l'Ëmpcix’u r

N.ipiiléüii I " ;Lii graiiilu «'li n irullerie du l 'o rd re im périal du la Légion

d 'Iio iiu eu r.J.CS services liMUs|iorlês un m itiislùru d 'E la l p a r les ar*

ticles 3 el 3 du décret du 34 iiuvem bru 18Gi).Art. 4. Sont d tsirn ils du m iiiislèru d 'E ia t cl placés dans

les-Htlribulioiis d e riuslrH uliou putilique : •*' -L’IusIilu l im périal dè F rance . rA cadém ie de inêducitio,

l'Ecade des rh a rte s , les bibliulbèques Im péria le , M azariue. de l'A rsenal, d e Saiute>tienuvièvu: lu service général dus bibliothèques, le Journal des Savaiüs, les souscrip tions aux ouvrages d e sciences et de l itté ra tu re , les eurx)tiragemeuls r l secours aux' savants e t hotiiincs de lelti'cs, les missions scicnliflqm ^ «I litté ra ire s .

A rl. 5 . L 'adm inistralion . d es cultes est d is tra ite du nii tiislère de l'instruction publique et placée dans les allribu* tiouK du m inistère de la justice.

AU. 0 . Los rapports avec le .Voaifciir universel sont plu* rè< dans les allrib u tio n s du m inistère du l'in té rieu r.

A lt. 7 . N olrv 'm inistre d 'E ta t el nos m inistres de la .Mai* son de l'E m pereu r ê l dus Bcaiix-Arls. d e la ju stice , de l’iii' ié ricu r et du rin slrn ctio u publique sont clin t^és, chacun en ce qui le concerne, d e rexéculiun du p résen t décret.

Fait au pala is du Fonta inebleau , le 33 ju in 1863.P ar l'E m iipraur ; .NAPOI.ËU.N.

Le N ii' ii t fh '0 d 'E ta l, U i l l a u l t .

NAPOI.ÉO.N. ■P a r la grâce de Dieu cl ta volonté nalioiiate. E m pereur

des F rançais,A tons p r ^ e n ls et A ven ir, salu t :Avons d éc ré té et décrétons ce qui su it :A rt. 4**. At. Baroche. m in istre , pnbtidenl du conseil

d 'E ta l, est nom m é m inistre d e la ju s tice e t des cniles, en reiuplaccnient du .M. D elang le, d o n t 1» dém ission est acrsiplée.

M. Boudel, p réddeiit d e scclion au conseil d 'E ta t, e.sl

nom m é m inistre ^ e h n lé t 'ie u r . en rem placem ent do M. lècom te de Persigny, dont la dém ission est arrep iée.

M. Duriiy, inspecteur général de rim iirncliun publique, e s t nom m e m inistre de i insiruclion puiiliqne, en ramida* cernent d e M. Routniid. dont la dém ission est accepiée.

M. Béhie. ancien conseiller d ’E ta t, csl nom m é m inistre d e rng ricu lln re . du com m erce ut dos ira v a u x p u b lic s .c n rem pinrem eiit de M. ttonher. appelé A d '.in lres fonctions.

A rt. 2 . N otre m in lsire d 'E tat est chargé de l'exécution du présent décret.

Fait au palais de Fonlalticblenu, le 23 ju in 1863.P a r l 'E m peren r ; NAPOI.ÉDN.

L e m m islre d 'E tal, U illau lt.

NAPOLÉON,P a r la grâce de Dieu e t la volonté iKitionalc, E m pereur

des F rançais,A tons présents et A venir, salul :Avons décrété et décrétons rc qu i su it :A rt. 1*'. .M. Itoidier. m inistre de l 'ag rlc id lu re . du rom*

merro! e l des travaux publies, csl nom iu * m inistre prési* daiil le conseil d ’E tat, en remplaciununt de M. Baroche, appelé A d 'an tre s fonctions.

A rt. 2 . N otre m in is tre d 'é ta t est chargé de l'exécntinn du présent décret.

F ait au palais de Fonta inebleau , le 2o jtd n I8')3. <■ NAPOtÉONT'*’

L e int'ni'sfro d 'E ta t, B il la u lt .

NAPOLÉON.P ar la grâce du Dieu e t la volonté nationale. E m pereur

de.s F rançais,A tons présents e l A ven ir, sain t :Vu l'article 43 d e la C onstitu tion ,Avons décrété e | décrétons ce qui suit *A r t . ! " . M. le d u c de Morny est nom m é pré-sidenl du

Corps législatif.Art. 2 . N otre m in istre d 'E ta t est chargé de rexécution,

d u pré.sent décret.Fail au palais de Fonluineblean, le 35 juin I8i>3

P a r l'E m pereu r : .N.\l*Itl.ÊO.\.Le m inistre d 'E tal, B ill.vult.

"tous ieS Safnedtii

Le p irb isrile s u r lequel sc base la Consliliiiinn de 1863, en élablissaiit que les m inistres élaiimt respousalilrs envers' l 'E m perenr seul, a voulu n irtire nu ieriiu* à ces couipéli* tions d 'am bitions parleiiieiitiiirc.s. c.utsrs coiilinurlles d'a* g italiun el de faiblesse pour les g-iuvei'ui'ineuls passés-

Sans a lté re r en rien la force et la iliirrié d 'action uéces* s a iré sn n pouvoir, l 'E m peivur, p a r le déerel dti 34 novoni- h re , a vonln donner, aux grands corps de l'E tat mie pai U* cipaiioii phis d irec te dan.s la politique génériilc de son G onverueinent; m ais ce décret n 'a pas modiQé les principes fondam enlanx du plébiscite de 1852. (|u 'un nouveau pté* biscile seu l p o u rra it clianger.

i.a discussion p ins large ut plus com plète des alîaires publiques devant le Sénat e t lu lÀorps législatif avait motivé la création de niiiiislres sans portefeuille. c'est-A-dire du ininistres n 'ayant d an s les faits A délu iltre aucnnu part personnelle.

L’E m pereur, p a r le déci*ul du ce jo u r , leu r snb.slitne lu m iuislru chargé di'S ra|>porls du gouverucm enl avec lc.< grands corps du l'E ta l, dans le hnl d 'o rgan iser plus solide* m cnl la représenta tion de la pensée gouveriieniontalu du- vant les cham bres sans s 'éoarlur du l'esprit du la Consti­tu tion .

io! m inistre d 'E ta l, dégagé lie tou tes attrib u tio n s adm i­n istratives, el lu m in is tre présidant lu conseil d ’E tat, avec le concours des m em bres do eu conseil, sont désorm ais chargés d 'expliquer e t du défendre les ipiu.>tions portées devaid lu Sénat et le Corps législatif. {Honileur univorset.)

— On pré tend que le Corps lég islatif sera convoqué, dans un délai assez rapproché pour la véritication des pouvoirs.

— l.csiionvellesduN uw *Y ork, apportées p a r le 7mv?. vont ju sq u 'au '«3 ju in . La siliinlion m ilita ire avait peu changé. I.c siège de W irkshnurg co id innail. t.es confédérés, sons- les o rd res du général Leu, avaient reçu des renforts consi* dérables, cl paraissaien t se p ré p are r à envahir lu Maryland cl la IVmisylvanie.

Oh lit dans le Moniteur :« Un rapport ad ressé p a r M. le général Korey .A l'Empo*

re q r njnintu A renx (pii pmi déjà élé publiés dniis lu Afoni* tout; quelques déta ils curieux Lu 2 m ai, le chef cimeini qui com m andait le cndru <le Bunta liiez dem anda A parlpinèit- te r . io} géiiéral Umiuy ayant imvoyé lu lieutenanl Tnlpin, celiii*ci fu t nnssiîôt a r rê té , roiidnil devant le chef du cadre, q d i sc tronv.i ê tre nu réfugié iiahen , et m enacé d e m ort. Mais le général O rlrga , inform é du fa il, lit recondniru le lieutenAiil T nipin et im uit l'ofllcier coupable d e ce gnet* A'pens. AI. le général Forey ajonle qnulc.s d iscours pronnn* cés nu Corps législatif su r la question m exicaine par SIM. l 'icard et Ju les Favre ont été trouvés p a r niilllers, Irad n its en espagnol, dans les cadres tombés au po ittd ir d é lias soldats. •

— On lit dans le Coiislilulioitnel :• M. le général Forçy a ndres.sé an m inistre de la guerre,

p a r le dern ie r co u rrier du M exique, une sonimu de 33,770 fr . 54 c ., m ontant du la souscription de.s m ilitaires de Ions grades du corps expéditinnii.iirc en faveur des ouvriers cotonniers sans ouvrage. Cette som me a é té verilée dgns lus caisses du rriinislcru des fluaiiccs. >

•—* On assure, d it la France, que b* président Juarez, en appVènajil la capitniation du Ihiebla. n repdii, le 30 m ai, t i ÿ d é w o t .q a h irjy n n rtè >li4pi lili>i itd a iu rn ilq iiéffMWWiI :# S.IU Luis Potosi. clief'h'ên de la province oe re nom. Cetlu décision m ontre que soii ititenlion ne Serait pas de défen­d re la ville ce .Mexico.

— D’après des uonvellcs de Pnebla transm ises à New* York, le 6 ju in , l 'a n n é e françaisK tout en tière au ra it pris possession de la ville, et le quartier-général serait élubli an palais de l'A yuntam icnto. I.'arm ée mexicaine au ra it élé provisoirem ent in lernée dans let forts du G nadainpe, de Sau-Loreuto c l du Carm en. Les hab itan ts commençaient A vaquer A leni*s affaires. L 'étal .sanitaire continuait A ê tre s:itisf.iisanl.

— ü n e lettro d 'A lexandr'o annonce que les travaux du canal de Suez avancent plus rapi(|umuii: ipie jam ais : lu nom bre des ouvriers n clé augtiiunlû su r tuns les chantiers.

Pour c.rtriiil el nuhctioH : E. IlEG.MEit.

HaüVELlLS DÈPÀRîEMSHTâlES.

S R M L i I S :

D’ÉLÉVATION ET DE DIStD.IDUtlON b’E fdDANS U VILLE h Ê M N U S .

Lu ville de Seidis si heureusem ent s ilnéc , cl^cnlqtiréQ d ’eaü de tous c&téà,c.h eM èependant Privée, p 'dnr ses iisAged jôurim liers, p o ù r l'oHilienlatioti sattié de ses habltlèirisi ' ' et en mënic léitips pbur tm it cfe qbi lient aitx soins qu'exige ' la sn lubrilé publique, aussi üiië sofiiélé du plusieurs habi* - lan ts de la ville, espérant que -bientôt toute l.i sén éfa lilé de la com m nné viendrait se jo iiid rè A clic, a GtU ÔtiidreV sérieusem ent un projet de di.strilfnlioii d 'eau : Ce pro jet ' vient d 'è t r e ’ term iné, Sus résiiitàts sont des plus (ûilisféi* sau ts, cl la société s'em presse d'on cxpdscr le rêsùijiô d ’iiiie m anière siiicère A'scs coi^citoyens.. . La prcni|ci.-e cliosé i i réchercher é ta it de Irbiivèi* nii' nib* le u r pour élever les eaux à une lian leu r siifasablç 'pôdi; les déverseï] eiLsuito dans la ville. Ce m oteur n é té tro q fé dand ' le monllii d'Anm ont. Des expériences plusieui^ fois rêpé; tecs ont été faites p a r les hdinmès d e l’a r t, e t i ld 'jT ' c m i s l a l ^ | ^ | d a i . » l B i l n n m t n l . ~ - —

P o l i e s Oeii C lirm iU M <in f e r .Jusqu'A présen t, lus cîiumins de fer avaUmt élu laissés

en duhoi'S de l’action des com m issaires de police raiilounaux. S.'É 'xc. >1. le M in is tre d cr iu té rîe irr a proptisé ASa Majè>té de leu r donner, p a r une dlspiisition générale, .sur les gares et le.s pid'tious des lignes de fer situées <tans rélondiic de leu r circonscription, l 'au lo rité que le décret du 32 février 1855 a attribué aux coimnLssaires spéciaux de police.

Sa Majesté n bien voulu accueillir ccttu propusition et Elle a rendu le 15 avril 1863 un décret ainsi connu :

• Dans les localités traversées ou desservies p a r un che­min du fur, un il n’exislerd pas un com m issaire spécial de policé, le cummis.saire du pidicu de la résidence, o u , s 'il y a plusie.iirs com m issaires de police, lu rointnissairc ccnirat do police rxe rcu ia la surveillance du chemin de fer et de ses dépendances, cuiiforiiiéniciit A notre décret du 22 fé­v rie r 18.55, e t sous ta direction des couiinissaires division* naires de pidice des chemins de fer, iiislilués p a r notru déc ret tin ! " sep tem bre 1862. •

i:cttc noiivullu organisation répond A un besoin de sécu­rité ut d ’tu 'drc publies. {.Voniteiir de iO iso).

— P ar su ite d 'iiiic modincaliun qui vient d 'é trc apportée nu ta r if cummiiii des cliemins de fer du N ord, Est i>t Ar* ticmius, le prix du Ir.msporl à pelilu vitesse des sucres b ru ts , rafthiés cl vcrguoiscs p a r wagons de 5,000 kilo­gram m es an m oins, e.st lixé A 8 c. iitim eS |par kilom ètre p o u r 1.000 kilugrum incs.

— C'est l e i f i a r d i l l août qu’aura lieu à la Sorbonnc,, cette année, la d istribu tion solennelle des prix , A la suite

des grands roneoni*s, aux élèves des lycées ut ro llég is de Paris <’l tie Versailles, sons ta présidencu de Son Excellence lu m inistre de l'insiriic tion publique.

^ _ . .. _viron 400 m ètres cubes .dleatt, q iian iitâ ju g ée i ié c ^ a ir e .- en égard au nom bre des habitatils, J.«s eaux sü ra ifq l .èdrir du iles A une h au teu r de 30 m ètres s iir l'esplanade du ro n d * . point dë la porte BntuI Bleui, p a r nue pom pé m ue p a r là roue hydran |iqnc du moulin : elles seron t reçues dané deux ; bassiris ën Idlc contenant cnsem blé 400 m ètres cubes. Ces. bassins on réservoirs fe ront placés s u r une rH arpenié dp m anière A dom iner la ville cl A foiirnir de l’eau aux habi* tau ls, même au prem ier étage pour le plus g rand lionibre des m aisons.

De CCS réservoirs partira une rqnalisalion de tnyanx dé fonte d ’iin développement de 4,200‘ m ètres dans les princi* pab'S rues de la. ville. . . .

La denxièmo question A exam iner était celle du savoir quelles eaux sc n ira ie n l d'alimeiilaliol»? Celles dè rÀ nnètlc si: p réseniaicnl nntnrctlcm ciit, m ais d ’après les observa-- tiuiis des hom m es les pins ciimpûicns su r èétiu m atière, on. a dû renoncer A s’cn serv ir.

I.i’s eaux de i’.4unetlc sont chargéis de sels ca lcaires; elles traversent des m arais, piilraîiieiit avec ellc.s des d é ­b ris de toutes sortes,' cl ne présentalënt pas p a r conséqnrift ' la p u re té désirable.

Celles du la Fontaine de.s Malades sem blaient offrir plus de pure té et donnaient la quan tité supérieu re A celte qu'Aii devait exiger, m ais elles traversaien t égalém cut des oiut ra is , et leu r condnito jusqu^ait m oulin, p a r de longues trop profondes tranchées, offrait d ’assez grunde.s difilciiltéa.

Toutes le.s opinions de cn ix qui se sont oeeupé d 'eanx étaient qn 'on devait irotfver au bas m êm e d ii m nniin des nappes d ’can dont la recherche facile donnerait la qualité et la quantité des cnnx désirables. Cette opinion s 'ra l p ré ­cisément trouvée juslifiée p a r la tisltu qu i a été faite p a f un habile foreur d ’.4miens dont la spécialité est de sn liv rer A ces opérations, el qui s’est engagé sous sa-mtponsMbililé A faire parvenir les eaux d 'utiu-pitrclé i4Té|iroch;ihie s u r le rond-point de la porte Sainl-ilienl.

P a r un forage il ira chercher l’e'an darfs.Êfosrnnèhes-de terres dites des sables e l gré.s v érl^ ; <*e furage sè ra 'fb il jnsqn'A ce qn 'on semI assuré au moins d>< 1,000 m ètreà enl>es d 'eau on 34 houres; la quantité cl la qualité son t garanties p a r te foreur.

La dépense tolnle du rc projet, y com pris l'acquisition du moulin d'Aum ont; la pom pe, ta condm ln d'ascenxio», les b a iu in s . la canalisation , s'élèvera au ntaaN/nufn A 110,000 fç., e t ne pourra pas ê tre dépassée p a r l’entre* preneur, avec lequel un tra ité sérieux sera passé p a r an ë commission nommée p a r les actionnaires.

.Nous venons donc an jnn rd ’Iini faire ntt appel A nds-eon* citoyens pour l'e.xécnllon d 'u n projet qu i est d 'une u tilité évidente. 1.0 société nouvelle, qui déjà ednipte lin grnnd nom bre de .souscripteurs, a la conviction qiîe èelle én tf4 - prisé, qui déjà se réalise dans-les vllle.s voisines, appo'rtera line grande um élioratiun A ta ville d e Sentis; qu 'ellè p ro ­cu rera un bien-être aux hab itan ts en irn r donnant dq l'eau potable Cl apportera une uugnientalion notable à ta p ro ­p riété im m obilière. ^CouimiiHigué j

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A la stiite d u h c h im bre d e t'.lém unlhic é ta it un salnn Vaste el bien aé ré , ouvert p a r Irois'pnrles-fenôlreM ~sur le parc. Nolis y tronvAme.s un p iano : quand j 'e n approchai la pauvre en fan t, elle l'u iiv ril, s'assil e l com m ença quelques préludes qu i Annonçaient des m ains exercccs; puis ioul A coup une voix d ’ange m e Ql en te n d re le beau m orceau inli- tiilé iVoél : c 'é in il un chan t angélique; j e resta i eu X t-isc devant i^ tlo beauté si puéliqne, cliaiitani le bel a ir d 'une

‘ vnix Konnro e t douce qu i re ten tissa it dans le vaste salon si solitaire el m uet. J ’écotilais encore qu 'elle ne chantait plus, r l que. Icndaiit ses bras vers m ol, elle d isait en sonrinnl :

• — L 'est moniVoe'/f m a iiaiss.mcet m a vie! que je viens de chan ter. Mon cie iir com prim é resp ire A son aise ici... i'y puis nim ur quelqu 'un qu i est bon p o u r moi.

• J e devais passer Ift seuhniicnl tro is jp n rsp o tir le s petits arrangem ents in térieu rs e t pour fa ire é tu d ie r A Clémentine la topographie du châ teau . Afin qn 'ellu p û t le p arcourir seulu; il ino sem bla il qu'ellu avait besoin du moi sans cesse,

' et je ne la q u itta is pas nu inst.int sans inquiétude. Un jo u r que je fus obligé de m 'éloigner niielquim lieure.s. J e revins en cm irani liinl j'avais besoin do la revo ir. Ohoqito jo u r Je rem ellids au lendem ain A m ’u ccn iirr do mon d ép a rt. C lémentine n 'cn parla it jantnis et somt^lail heureuse. Ce-

' pendant, j ’avais toujours lo projet du p a r tir , de mu sép arer d ’olle et de ruveiiir à l 'o rls , et quoique ce (ttl d an s mon rs-

A <|ui ju -ii'élais lié qnu pour un moment : il y avait méinc quelque chose du paternel dans m es soins viglLuils, el ju ne mu rendais pas ramiptu du col lu espèce de scntim i'iit, qui, m algré l’a itra il du sa beauté, me f.iisait respecter en elle la jeuno tillu innoconle dont ju no voulais |ias faire ma

prit A l'é la l d ’une vague pensive qui s'ctraçail chaque Jour davantage. J e regarda is C lém enlinedans les prem iers Jonr.É jde iioli'u tnariagu coiime une personnu que jo devais q iiille r .

que ju n'avais du dro its su r elle qu condiliun d e consacrer lonlo m a vie à son am our.

• Le bonheur rom belliss.iil encore, les rose.s conlours do la san té b rillaien t s u r «os joncs, tous scs mouvumunls étaient pleins du grâce e t du joie. Cepcmiaiit. un jo u r qdu je l'avais qu ittée po u r d o nner quelques ordre.'*, elle.tceonrnl pâle, trem blan te , el je crus que la vio all>iit| rabaiidunncr.

• Qn'nvrz-vous, m 'écriai-je?. _ A ht vous êtes lAI... Co n 'é ta it pas vous, cl tom b.uit

A genoux, elle lendit les m ains vurs le ciel on d isan t :• — Mon Dieu I jo vous n^mercie, il u 'cstpascucoru parti !• i.e b ru it d 'u n e voituro l'ava it trom pée, cl j-: com pris

q u ’elle m o u rra it de m on départ.• — Oh I m a Clém entine, lui d is jo en la 'p ressan t avec

am o u r dans mes b ra s , non je no ponra is p.is vivre s.ms loi ! Y a-t-il jam ais on p o u r moi dans le niondu, dus émtdioii* d e bonheur sem blables A colle qnu tu [tuiix <lonncr?

• 0 ‘ie le d ira i-je . mon cher 1* ré iléric, lu so ir du eu jou r- là j'écriv is A P aris p o u r fairo vraiir m es mciildus, mon ilo- m esliq n eet mlllo objets pour Clém entine: ju lis ans-si lur- m iner m es nlbtires, c a r , j ’éta is d éridé A ne jam ais qu itte r ma femnio.

> Un a i r s’est pas.sé, et jo suis mille fi*ls pins henrunx encore qu e le prem ie r jour. C’est une vus m*n\cllu que ju ne connaissais* pas, nno vie du c æ n r e l du la pciiséu, nue vie idèalo A doux, sans nue m inute de séparalioii. nn vrai m ariage enfin où l'on n'e.st qu ’un seul ê tre en doux per-

! sonnes, e t où lea idées se m ulliplirnl p a r les ém otions. Elle ' voit dans tnon Ame e t moi dans la sienne; il y a lA rinllni.

La vie n 'est pas assez Inngnu pour un tel b o n h eu r: aussi cspérons-nuns qu 'il su conlinnura dans lu ciel. Arma.Xd.

M"' ANCELOT.

l l « i h o « l c R I E I b B I ^

rO U it I.ËS CO.NCOUItS d e m u s iq u e .

A l'orcasion du la fêle m usicale duvant avoir lien A Sonlis. dim anche prochain 28 ju in , il ne sera pent-élrc pas sans in térê t de faire counniiru A nos nhonués la muthodu simple et iogénien.su dont M. Biédol, rhu f du niusiqno du la C arde im périale , sc .sert, depuis longtem ps e l avec lu plus grand sucré'*, pour llxcr d 'une niaiilèru eu quelque sorto m atUématiquu le jugem ent du jni'y. et rc la séance Iciianto, sans conteslatinns, sans tAtntinuiuents, du Icllo façon que tes m édailles peuvent élru déccrnét-s immédi.ite* m ent aprè.s le conconr.s.

Ou com prend l'aciiRmenI que lorsque des ar tis tes sont appelés A en tendre e t A apprécier 25 ou 50 m orceaux, s 'il fa u t, ap rès chacilii d 'eux , qu 'ils sn ronsiillunl, qu 'ils ha* lancont le fort ut ’o faible, cela fait purdro un tem ps p ré ­cieux el prolonge lu coucnnrs indéfliiimeut. l’b isn ilc il do it a r r iv e r forcément ceci : c'usl que, si !«*s ju rés ne sou* pas ton.s posilivcineut du même avis, le mumhru lu plu-s iunueut dom ine ses collègnus et les soumet A son opinion, e t renx* ci l'adoptent d 'anlatil [)1us f.iuilemunl ({u'ils ont liAto do term iner. Alors lus innsiuiuns sont jugés p u r nn suul nu lieu d ’avoir lu vote ilu l.i majorît»'.

Avec lo procédé du M. Itiédel, tons rus inconvénients sm it éludés. En oulru , les lohluaux d-' cliaqnu ju ré sont nuu is après le eoncours en lru lus m ains <Ie lu rom nission do la fêlo el chaque m usique peut eonii'ôler si les prix nul é lé décernés loyalement : c'osi nnu simple alîaii’u de rhilfre.s.

Voici la m anière dont est conçu le tableau ipie M. Itiédel rem et A chaque Juré :

SIMESD’Ari'RKCIATIOX.

I Irèfiiirii.'i bien..X bien.4 faibte X irès*rnilile.

C'oncoura 4 e NeHl|a, < 9 Ju in I 9 AS. HARHOtKE ET FANFARES.

- NOTA. En rnT itc p.Triié mire itc-ut MuTiquoi, c*c4(*.T*dtre rcüni«»anl le inrme cbitTrv. i ft <]ni Arrive rarement, Ict Jure* r« Vbntullciit et portent une apprceiation rrrbale.

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1 a <■« «

= i 4 1 10 37

Ainsi lo ju ré trouve que l’accord cl la jqstcssp .soiil^VJeX bien, il éc rit un <1 dans ifl colonne y ddrresjiofidatil; i tm ti rc cl ensemble, bidn, il Uiet ùu '2 A rô lé i ithances.’/'nlèTu, ü h 4; soii (s'il y on a), très bien, un t . t'o! qui lui.^otlnÜ ufn total do 10 qu 'il éc rit daits la p rem ière (lolimde d ’d lld n ^ n s^ it dcniando A scs collègues quels Sdilt lëu rs chiffrés (^ i 'f if r - m ent ensemble, supposons, 37 ; réunis ahv siens, ccl.’i 'fb it 37, qu'il itcrit dans la seuotidu'êOlonnc' d 'additions. Ifnu an tre m nsiqno p roduira 22, n'iio a n tre 23, etc.

l'ü sera donc la m usique dntii lu lo lal'do niaiiVaiS points sera lu moins élevé qui ublicifdi’il laanibl.iillc (I).

l'.inio m élhodo du M. Itiédel .séra ëmplo'yéo dimnitcffè.'et nous nu doutons pn.s qu elle iro. soit irduptéè p a r la siiitu dans tons les concour.s. '

CnAKtcs lIEGNkRD. Seuils, 24 ju in 4863. - •

(t) On noiirratl pfrnJre te sjalèmrt intrrte. ce qui wtk'ËA nnire srn« plu» logique ; ii'ne pin» grovac siiinme riant luiijonr.» ptn» a^mbÎQ ({u'titTc plu» petite.

Page 2: lK«KKTraH A N N O N C E S J C D I C I A I K Ë Sbmsenlis.com/data/pdf/js/1860-1863/bms_js_1863_06_27_MRC.pdfSamedi 27 Jiiiii 180^. 1% 20. — SS'"' année. rMiX 9 R l/A|ij»XXBM(RkTt

I l

'■41

Y IL l.e W SEM IS.C'«MV*itrB d e IHauilque dH J u in

o n v a x 9 B i>A r f tx s .A onze h eu res , rice p lio n de lou tcs les Musiques. |>!«cc

d e C are , p a r le s A ulorllés. Proroeiuidc dans la vilir.Parcours *. Avenue d e la C.»re. — P orle Compiegiie. —

Ihie Weuvc-do-Paris ju sq u 'au faubourg Sainl M ailiii. — P liiceSain l'M arllh . -wRufi Vleilte-iJo P.irls. — A 11 heure/» i à , hUce d e l'Ilô tel de Ville, où le vin d'honuom* sera uOerl M it Ira, A utorllésA hw»le* les Uu.siqu*‘s. — Rue de rAnport-ttu4*ulfl. Plnco de la — R'Ut UuugiMiMilte. — R ue — Rue Neuve de Pa»*is. — A l ‘i heures eu* tré e ah (^aCbUfÿ.

L’ouverlure du seul b u re au dnnuau t eiiln 'e nu Loiicours, placé à la P orle Compicgne. au ra lieu é uuxc lie u n s .

P rix des p la n » : P rem ière, 1 fr .. Uruxiènies, 50 eoul. —Des conlrem aruues sero iil données A la KorUe.

O uveilurc du Bal A 8 heu res 1/2 — t'eu <1 arnfiec A 10 heures. Poi-te-Cumpiègue.

I.CS Inhit'aiils suni invités ù pavoiser e t U lum iner les ta finies de leu rs muisous.

NOTA. Un tra in supplénieu lalrc p a rlira de Senlis A l t li 40 du so ir. * Sentis,

leV ice -P résiden l, Chartieh.Verxois. l e C/ip/* de musique.

• I^Asma.reiTSCHt UetHAMÿi.: oo ï z w io s t ; V oizart; N. Drix, B ruslk;

I)t8.vcHT père : MitAUo; DwachvIU s; nRCAotv; Coicou- Lag.vrac; Ed. C ia rc b r t ; G oülas ÜIs; amory.

-* Un ü iiv rier éliéuLsle belge, occupé m om euianénienl Ah«s un. ébéuw te de co lle ville, a été m is vendredi 19 en è ù l d 'ârreslH lion, p ris en Oagraiil délit de viol su r uiio petite ftUc d e tro is mis e t dem i.

Dans la iiuU du 18 au 19 ju in , des arbro.s. essences «la (HIenIs, lapp .irtcuanl A'ia ville, oui été m utilés au pmil d é V ilievcrt, p a r tro is individus de Sentis qui oui clé mis «ij é ta l d 'a rrcs ta lio u .

— lu n d i d e rn ie r, pendant que les époux Roycii ctaleni Rlié> à i» iWe d 'àu m o n t, on s 'est in trod iiil dans leiir dom i­cile grande roule d e Coiiipiègiie, près le chem in de Bon- SèCQUW. e l on â p ris différent* objets. On pense que celle lû iia lîv à d e vol a d u av o ir lieu d e dix heures du so ir à uno licqicé d d ih a ^ n .

— St. L ouisL évy, o p ik ie n , v'ieiU d ’arriv e r d an s notre v tik c l a élaW l *ot» donileite. p o u r au m oins six w - in tln e s . runRongcm ^lHe, 13; ou e*l assuré do irouvurche* lu i o n g ra n d a a w lim e iit d e luiielle*. verres cmic;»ves el c o u v e u s c l tout ce qu i a ra p p o rt A la bim blollerie cl m« t i c l o d c P a r i* ü e p u lsp lu » du tln g l année* que M. I.évy v leal dan» nos m ur», 01» a ou qu ’à sc louer d e sa probiie en affaire*.

do t‘iifforti«*n du p.iys qu'ils Inliilonl , vous iliorcliproz comme eux A vous faire nim er cl csliiiie r. et la considérn- lion publique sera un éléineiil de plus aux juics d e volro h ilé rieu r .

• Nous savons Iniis qn une lc rrc bleu cliolsio et bien prép.iréo asèure le» plus riche» moissons. N oire bnu sens itnii* d it qu 'ii no peW en fiiro aulreiiienl dans-le» n u ria sc s

■quo lu solligitude paternelle a prép.iré.s el que l’union dé.s cœ ur» ciniciile.

► Nou» somme» donc ccrl.iin» de voir se réaliRor. Ions le» vœux que noua formons pour vuire houhcur, C csI «e qui f.iil ta joio de ce lte réunion qui vous adresse loiiles ses féticit.itioii». •

Oe discours é ta il roxpresslmi vraie des seulim oiils dé l’assislaiice. Il n élé .accueilli .avec la [dus vivo syiiipalhie cl suivi des applii^udissem uils de lotii l’audito ire.

PONT S.VINTE-MAXENCE. — Ou nous écrit de celle ilie. sous ta date du ’iU juin ; ,

M ousiciir le ré d acte u r. .A ujo iird 'iiiii, un nom breux c««rtège com pose d u n e

grande partie ilc luUrc piqml.aliou el d« personnes veimcî lin dehors, accom pagnait les restes m ortels d nu de nos cuueitoyuJis, M. Vidron. aiinicu ofiieior .au 1“ h issard:chevalier de la Légion d ’Iumncu»-.

Cel lionimc de b ien , enlevé A l’à.i« de o7 .ans à I alT«f.l«‘Ui des Hiens el île ses nom breux am is, éhiit vejiu se IImu’ parm i nous à la sorlie du service uiililRi»’c , e t il av.u»

Senti». 23 ju in .F rnm én l : I " q

î » fr . 5Û;3!* qualité . 00 fr. ........... .S «» g lc .l6 fr. OOIwiOO k i t .— A voine; i '* q u a h ti 15 fr 00. 1 ^ 0 0 hi!.; 2* q u a lité , 14 fr. 50

I " q u a liié , 29 fr . 50 les I 0 0 k i l . ; 2 ' m i.dilé . . . . /.iv r.. 00 ; prix njoyen 29 fr. 00. -

O n t r o u v e , c h e z M *' R E G N IE R , im p r im e u r

.... .

l i b r a i r e , p la c e d e r H ô te i - d e * V iU c .à S c n l i i. , tifis BitIc iR d e l a « R A O I B B I . O T E R I E ( l o t e i u e MüNTEXEnKiNE). — T i r a g e d é f in i t i f l e 3 0 J I J I A . d e p lu s d e 1 0 0 lo t s , d e s l o t s d e 5 .0 0 0 e t tO.UOO fr ., e < d u f tR O S L O T D E « 0 0 , 0 0 0 F R . — P rix l i a B il le t * 5 e .

IIOiNNEtilt.-BN-VALOIS. — P a r a n 6 lé p r i l i r lo r . i l .M. Üesain (Ctieune-Viclnr). ciiU ivateur, cousedler munie»- p at, .a été nom m é adjoint an m.aire du Uonncuil-eu Valuis, en-rum pliiceiueul do .M. latcour, décédé.

C R A M A N T . — L a N e n v it in c d u N u lrc -D a m e de Bon Se- c o u r i.c u n n ttO H c e ra I c j u i t i l i 2 J u i l le t . C h .iq u e je u r , des n te w é * s e ro n t d ite s d e C h e u re » A l u h e u re s d u m a t in . A é n r o jv é o 7 | M r c S t / 2 d u s o ir , s a lu t s o lle u u e l d u l iè s - s a iu l{ 8 a c ro m -‘n l u ré c é d é d 'u n e I n r i r u c l lo u p a r u n F rè re - I 'r é c h e u i Mgr l’E* v è q w d e B e a u va i» , N o jo u c l S e n lis pré.sider;» p lu s ic u i » c ie r d c e s d e I t N e u v a it ie .

CRÊIL. — Nous avons un déplorable accident à «m-egis- iH ir. M ercredi 17, ver.s sep t h eu res »lu m alm , le suuir ItéeioudtLÔiHS-Jacqiies). a m lo u u ie r su r le chem in de fci‘, à.li» g are «le IkcU, éta it occupé avec plusieurs do ses r.ama* rade» à re lir e r les travoN cs «pii riirm eul les ùtagos d unv tm o n à besliaux . i«ir.squc la d ern iè re de ces traverses MfltH bnseuiù, re u lra in a dau* sa chu te . Le s ieu r Rôiuond lo n b a si m alheureusem ent que sa léh* purla la p m iiie re 9 s r ou ra il e t déte rm ina im m édiatem ent un «•paucbemeul SM cerveau . T ran sp o rté chez lui, il m ourut yei’s tmi» b«:nre8 d e l’après-m idi, san.s avoir repris oonuaissaimc. Il é ta il tom bé «l’une h au te u r de 3 inèlr«?s 50 ceulimèire.’ .

LIANCOERT. — t'.citc année comme les précédenlc». la» au to rité s d e ta ville d e Liaocourt n’ont rien épargné M t r donner un b rillan t éclat el on charm e tou t particu lier ^ | 3 là ià pa lrouale qu i au ra li«Mi le» dim anche 5, lundi G cl flM trd lT iu iU elitG S. Les extrait» du program m e que mms alloos Irau se rire peuvent donner nue Idée de rc t |c féle qui atliroéhM U e année un public nom breux, jaloux d* prendre p a r t au'X d ircrtisscm cu ls e t de visilc r les délicieuses pru- n a M d M d e L la ü ^ u i'L

P eodau t le» Iroî» jo u rs do la féle, jeux 1res viiné.s. lo iudl, à 2 heu res, dan» une vaste salle dépendant de

• rim blhw em dnt d e M. U to u r , solennité m usicale et artis- tique orgoiiuée p a r M. Som ary. vioiouceiiistc do la chapelle d e rE n ip e reu r . , . > ^ .

H a rd i 7 . à 10 h e u re s du m atin , g ran d e parité de boule.— A 'S te o re s , tirage de la tom bola s u r la place publique, en présMtM de» auïorilé?» locale», avec inicrnièdc» «Je m«i- tdque vocale e l instrum eiita ie p a r le corps d e m usique cl l 'o rp b éo a de Idancourt.

O u q u e jo u r d e In fètc, but sous une vaste ten te parfai- iQ M n t décorée e t é d a iré e . — L’orchestre sera coihposé

distingués sous la direction de M- Julien.'io t ts le* M in , g ra n d e illu io inaliaira ii g a z su é la belle

« la re de L lancourt. . .s n p rix au fusil se ra t iré à roecasion de ce lte féle pa-

Iro M lê . I e s 5 ,6 , 7 , 8 ,1 2 .1 3 .1 9 c l 20 luillel prochain.

M liX O . — O n nous éc rit de ce lte com m une qii'une inU^^ evaii a t t iré récem m ent une affluence

L fd ib ia t au m aire , donnait sa flile en m ariage à > d u m aire 4e'VII|«urs-»uu» S iiin t.|.eu . On

' « Éassistsuec beaucoup d e noiabllilés de rxir- L Nmis avons r e ^ r q u é 1 . le baron Hmiutpr,

M us-préfc l, H-1« Itçrou m aire d e Xello, oecom-p agné à c i r * la baronne $ e U l i ^ p l de sc» enrm l».* A l'isaM dp n iarU ge civil, H . le baron ScilUèrc n pro*

n o B c d ^ v p n t :

> \À 4i' ÜttIrjiaitoBa qu i v«tus v|enneiil de toute» part». Je vcusN ondrii k s mienne». Elle» sont aussi sin rères qu'alTro

> L a jo ie qu i an im e celte réunion m ontre com bien chn* cuu d e nous es t s û r que votre union »'ac«wmplit sou» *.e» Id n aheuren» atisplees et «Ion» les condition» le» plus fuvo-

. L ...,,.. 0 .. .M ., ......ISlA.i nSntnklsa nul nnl Hn VOUS

lllll illl lioun « ni nunj.. ».u ..... ... w .............. - ' . .trouvé dan» une jisRociBlion coulractéo avec un «islunatile nég«Kiaiit en vins de la cilé, l’éléiiiout nécessaire A sa vie

*\t* 'priiio arriv é dans nos m urs, il avait «'lé désigné p a r le viDU de lous pour com m .uidor «'.omme rapitiiiue l.i einiipa- guie d«‘s pom piers, aussi ceux-là «lul avaient «u a «dieir a S.I douce diseiptiue lui ont-ils rendu les honneurs qu ilm érila il. ..................................

Au ciin«di«;n*, lorsque le p rê tre eu t «ht la d erm cre prim e.itohiu, v.*nu de Senlis pour ad resser un d«*ruier a-lnui

un ancien roinpagnoii d 'am uîs, s’est exprinié am si ;• Celle tombe qui s’enlr'ouve vionl de recevoir les re.slcs

m ortels d ’ui» br.iv«î ol b.yal officier; perm elle i-m oi, M«;s- s ieu rs , avant q u ’elle se referm e à jam ais , de d ire un u«u- n ie r adieu à celui qu i assisla, lui aussi, à toutes les plias»;» de la terrib le gu erre de Crimée.; c’est là, vous le s.ivez tous, qu ’il reçu t l’épaulette d ’iifficier, récom pense qu il avait du reste si bien m éritée e l p a r sa d ro itu re d e cara»5; tè ru e t p ar ses services dévoué* et intelligents. Mais si ül. V idron é ta it un officier do mèi i\c . il é ta it egaicmeui d ’une bravoure «Iprouvée. aussi, à sa ren trée en F rance, se» chefs le désignèreut il* parm i ses braves ra ran ranos, si m éritant» eux-ménie», comme le plus «Uguo de recevoir la croix, double symbole de l'honneur et du cotirage.

> Ici s’csl a rrê té e la ca rriè re m ilitaire de M. V idron, ca rr iè re courte sans «loiite. m ais liiibicmcnt rem phc « l sou rian te nu inom ent même où il re n tra it »Lms la vm p r i ­vée pour se «-.onsaerer tout en tie r an honh«mr d e celle qui venait de hil confier se» destinées. M aiutcnniil, M essieurs, je ne le su ivrai pas dans sa re tra ite p ré m a lu rte : vous avez tous pu apprécier el la bienveillance de son cœ ur el la noblesse de scs sentim ents. Sim-èremcnl attache au pays q u ’il avait adopl<>, il voulut in e tlie encore son inlciiigence et son dévouera.mt au service de ses nouveaux conci­toyens, et voilà pourquoi il accepta riio iiueur de com uiiin-i «1er ce lle brave nm ipagiiie de pom i'icrs, qu i elle aussi a scs cham ps de b.ilailU: cl scs dangers!

• Tel a élé , Messiciii-s, l'iininme que nous nrc.ompagnons «'iiijounl’hui à s;i dcrnici'i*- dem eure: «Mileve à la tleu r «le l'jige, il «Miqnirtc no ire csliiuu e t nos re g re ts ,, m ais «lu h au t du ciel il veillera su r la douce compagne ( |'i’il laisse ici-bas cl s u r le pauvre enfant ipii f.iisiiil sa jm e e l s*»u iioiilieuv. .

» Adieu, mon brave Vidron, repose en paix ; ailieii une d ern iè re fois! »0.6* éloipicnles et louchantes paro les, prononcée» d une; voix cntrecoupiie, el que je suis heniTîUX de'oiis repro­d u ire ici, accents d 'un noble cœur, ont ém u Ions les assis- Innts; eiles ren d ro n t, je l’espèro, le «nilme et la rtîsignalmii à la jeune veuve de .M. V idron, «ujnnnl’hul si crnellemenl

em porlnul nvco»m le souvenir d ’une éi binme ol si délt- vltmsH jo u rn ée , A neu rh im rcs . tout é ta it re n tré dans le calme el le silemie, e l nos jeunes éeelicrs rc loun ia im il q.u sein de Icun» flimilles tou t rempli» dé» impressimi» du jo u f , se pi-omcitatil biefi de faire à leurs, chef» parent» , «V»nl de preudro leu r som m eil, le dèlnil d e si déllclbiix iïi<dniinl*. Füul ê tre quelque» uns, nccAblés p a r le»' bxigehces de Moridiée, dure iitd l» renoncer sWtijil itàrrci* e t a reclletli*é «u Inndeiwiiiu la su llc do leu r ré«;it. 0 ‘ioiq^u’i! en soit, lou» s ’e tidurm ironl cnlhousidsm és. >

— lœ s ieu r Krnosl-Léou Uencitrolle, âgé de 37 ans. ma- n o tiv rie re lc é lib a la ire , atteint dallA niilion m enin le. s e s t je té m ardi d è rn ie r dan» la rivière «l’Oiso, d ’«iù II a éUi ro- liré sans vie, m algré les efforts faits pour le sauver par les sicui's T erreu r , aid«î de pont, et C agnard, éclusier.

SAINT VAA8T DE-LONGMO.NT. — Un vol de 12 kilo- GiMinme» d«5 laine, valnnl 24 francs, a élé continis au pr«'- jud iée du s ieu r Lofort (Iules)', cu ltivateu r à Sainl-Vaasl. Voici «laiis quelles clrconslauces :

Le 11 ju in , le s ieu r l.eforl, ap rès nv«>lr fait faire la lonlc do scs m«ut«ins, nu iiombiv do G6, avait déposé» le» lotsniis dan» sa grange, dont lu porto no fiu'iinî pas à «def. Ayant vendu Cüllo laine à liv rer lo lü à Senlis, il fut élouué de ne tro u v er que 63 loison»; il lui «n m anquait domt tro is, pe- sau i «mviron 12 kib»s. L«î vol a d ù é lre com m is du U au 16. Ôuanl à l'u n teu r. il est resté inconnu ju sq u 'à ce. jo u r, m algré les recherches faites p a r la gniidarm erio de Boni.

coâ‘»'eclio»*Ê»Pll0 etc H eaU n,

pRKSmEXCE IIE M. Vatix.

Autlience du mercredi 21 Juin 1803.

I.ouis«‘ Reine Lever, d ite D idier, femnte «le Achille Üre- l«mvi!le, âgée de 4* ans, dcjiieurant â Suinl-Valéry et à Senlis, où elle est p rop rié ta ire de l'élablisseincnl appelé lu caserne de passage, se pr*'senle devant le trib u n a l avec un a ir do tcllo feinle dignité, un aplom b ap p a ren t lellemunt prononcé, qu elle sem ble se cro ire en m estire do d«i.sap- po lu tcr les hontm es les plu» soupçonneux c l de dép ister la ju s tice , si celle de rn iè re voyait les choses au-:si superficiel­lem ent que la ntajnure p a rtie d ’un public pourlan t avide ordiiiuiroinent d ’ex trao rd in aire et de m erveilleux. La dam e Breluiivillc, m algré sa posliiôn ou ne peut plus alséo, est prévenue d ’avojr souatruil six billuls de banque de IW fr. cnar.uu d an s un poriiTeuille «pi’iin s ieu r Rlché fils, cu ltiva­teu r à R aray, au ra it oublié ou égaré dans un cabluet où il avait p ris «lu bain dans ré tab lisse iueul «lu s ieo r Biiind. La fem m e Rsadonville s’élaiV rendue avec tiuc «lé se.» am ies «îl la liilc de celle am ie dans la m aison de bains du sieu r Buuel, à Senlis, pour s’y baigner. I.a prévem tc ayant .stimulé l’ainour-propre du chef de la m aison p a r des cum- plimeuts s u r la tenue «le sa m aison, celui «:i lui fit voir eu détail s«;s appareils e t se* agra«»dissement», nolam nienl i«« ra b in e l q u ’avait ocr.npé peu d 'instauN avant le nommé Riché, doiil le poilefeuilie était tom bé «le sa poi-he «m je ta n t .sa rcdingcito su r le dos d ’um* chaise. La petite fille qui accom pagnait les baigneuses avait ajieir.ii seule ce por­tefeuille <;l en donna avis à la femme Rrelonville. qui lui «lit quand elles fm vnl seuUs iLms leu r cabinet : « Va «loue, cherr.her ce portefeuille, il cim lient peut-ôlr«j uo tie for­tune » L’cijfant ayant obéi, le pniicfeuille rem is à la |ir«»- vcmn» est i»ar elle ouvi’r t , visil«% scru té , e l déposé su r la I

nem cnt, 51M

C O V R » ’A S S I S E S R E 1 ,’O I S E .M iic le m e ilu i l . lie •‘.«““ fi*"'

iippérlarê d Amieii»- AiidtoACc d u 1 8 'Ju /n .

4 C r a l { j « V I v l H * ’

V oiqua i/Ü . .l>,ins I.I lulil du 0 an If i d ifc r tib re i s d î , réveillé cft su r-

»eiil iiiir le l .in il d ’im e e r re e n h r W . fii e le jn W r e , lior- I..Si.r a Verbçi;!.., ,« |«Vi''A Pf«‘ ¥ ) f W W '* ^ i ,S Î 'S une, gi'àc«! à «'être efliracliop,levées «le sa dcv au tn re , d o n t U avait eu 1 im fjruacnce d e biism r les volet» ouverts; le* pasd u m alfa ite u rs entend» enl oucore dau» lu direc tion deC om piègne. Le»m ontre»xm lées ap«»art«îuaienl -à des c lien ts d e F r c r c t Ü n e n connaissail poiirt le» num ére*, U dewiU d « ie aH e»dr« ÿ l« v « a |ç .Ja révélation de l’a u te u r du c r im e ; ce lle révélallou ne se l |i l ia » attendre . En février 1W 3. un s ie p r B otirsie r apporta ll à F rère nue m ontre q u e celui-ci reconnut Intm édiatem eiil pour uiic «le «’ollc» qui lu i avalen t é té dérobées de***” *®!* auparavan t. B oursier d éc lara la te n ir d ’un n p i n ^ (TitflBl (Adolphe) à u é d o 1 8 4 0 » . dem oilraiil à . t ’iltevrièrf»» avep lequel il l’avait éciiaugêe conte la sienne p ro p re , b ien nifé^ ri«!ur«î en valeur. . , - ^ , _ .*r

T irict du t «m m uiir «locfrfait* ap rès U v o l r niàloo^tefols. Il fut lr«mVé ilnm l d ’tm è du tro m oulre q u iJ u l égà lem en l rc .5ouuuiî. Gomme de la prem ière,' H avait e tierraé à se d é ­liai l asser dcèellH ci p â r u n éohknge; mdl» la mèrq d u jeu n p homme à qpi il avaii voulu la céder-, sonpçpitnanl. à cet obj«‘l uucorig iun fram lnleuspi »vaR iail.rqm p.rq le n^ rch é .; T irlet prétondil avoir acheté ces deux m o n tres au m ots a e iiov«*mbr«j de m archand» inconnu»; o r ; à ce tte époque, rm io «!t.»il c a irc le s ra a in * d e son p ro p rié ta ire , e t l a u t r e .tvai/ét«i confiée à F rè r e . .

Celte allégation invraisem blable se ironv .’ donc dénieDl.ie et il est certain qde TIHed e s t l’a u te u r d u c r in te eom m is dan» hi nUil du 9 au 10 décem bre . Il p a ra it , d u re s te , sé* tre déjà livré à ce genre d e vol, c a r il a vendu au m ois d e mai une m ontre au s ie u r M ontîer, d o n t II ne p rq l non p l j^

I propriélé^ Ij iroU iém e ra o u tre so tis lra ile ch e x le sieu r Frè«*e ii’a p a s é té rotroutféei. T ir le l e»l depuis Irçw

cha rg e« feà a m è re -è l‘ av th ieav en ey n lsm e q u i!ne veut pas trav a ille r; il est signalé com m e se Hvmiil a n

(jti de vos abonné.*.

.1.111,II 1..1* |.... ... . . . - , ,able tte d ’un p«>cU‘ «-u a ttendant «|m‘ plu» ta rd «»«i le icpnr- .Al S l.’« place oii il avait été ram assé. N«»s balguciises de-

,Tieurcr«ml con tre l’ur«hiiuirc deux heur«îs «uiliènîs il.ms le liaiu, el peiniatd et» ti-mps, h* sj,Mir Riciié, t|u i s’é la it aperçu «le la dispai’iliou de sou [«uriefouillc. é tan t v«mii lo jvcher-

er , avait fait v.ioarme dan» la maison et crié à p lus .prises : J«5 sui»v«»lé! jn s«iisvolê! I.o»clois«inssepar; m t t^>rl mimn's, ce «i«ii se passait devait ê tre «ntl

iustitier la propriélé^ T j i r o ù i é m e ra o u tre so u s lra lte M e x te sieu r Frèi*e ii’a p a s é té rotroutiéei. T ir le l e»l depuis trç w mol» à la ch a rg e « feà i m èrc- cL even eïul*n»« qu^w ne veut pas trav a ille r; il esvnl depuis i'àgo di* Ifl un». , , t.„

M. «le M aidfenaut, ju g e supp léan t, cccûpe le Siège «lu niinisière public. . j ,

M* Rose, avocat nom m é d ’office, e s t àU banc d e la do*

l.e ju ry ayant adm is des c irconstances atténuan tes, T irle l a élé condam né A 5 an* dè réetiision.

A ffalr* M IIIhl 'c i . q u ffU flé .

Dan» lo courant du moi» d e d écem bre 1862, le g a i^ e - cham jfêlrc de M.mchy-Humière» re m a rq u a le» vi»it*‘S fré- auentes nue U* m mmiô BalUn, hom m e m al famé et rcprm de ju stiin '. fj«i»ail à la chapeltc du C alvaire; un jo u r qu i» l’en avait vu so rtir , il trouva s iii son passage une clef, avec bducU c il ouvrit I» porto du chœ ur. Le tronc d««tinô à n-cevoir le» offrandes d es fidèle* é ta il com|»Iètemenl xide. |.e g ard e ap p rit a lo rs d e M. le c n ré que depuis qtiolqtto t.-inns il u’y avait jam ais d ’argen t d an s ce tronc, e l que la g rille qu i «h'feudait l’accès dn ch œ u r é ta it souvent trouvée «mvcrtc. t.a s e r ru re .même avait sontTert comme d e l iu tro- riucliou d ’uuoclcf é tra n g ère et ne pouvait j*lu.» «.Ire fcrn iie q u 'à un »«;ul tour.

ié à plusieurs iralivcs !Uten«lu

....... . pi*ud.iut se gar«lèreul bien duluoiudrc numvcinciil. Riché étant parti après les reciiercltes

cher rep r étantp a r l«‘S b.Hgneuses, qui

, u r i i i . i r q « i e r d - ........................ - , ,•J.«‘ ItMiibunain «lu jo u r où uv.iieut d isp a rû te s d e rn iè re s pièces q u ’il avait dépn»«T» dap^ le tronc, le g a id o en tra « liez le s ieu r t.am idiaux . b o u lan a n re t d éb itan t, au m om ent «m Ballin «tn sortait ap rès y avoir prb» U!t |w tit verre de II- q .ieu r qu ’il avait puyé^ *;t il c«Ml»tala que.*®.P*dcmpulaY'ail éic.fi»il avec un des »«uw marq««H p a r lM>- La veille, Balliti avait dem andé â boive, mai» le d é b itan t avait refuse parce qu 'il ne |»ouv4il payer. . . . -,

C'cst à ce m om ent, san s nul d o u te , que I inculpe éta it allé «h'valiser te tro n c d e la cbapéllc d u Calvaire, c a r |ieu iipré.» il é ta it revumi rJie* U m id ia u x e t avait payé sa dé- iHtisu avci: une p ièce m arqm ie q u ’on re trouva dan» le com ptoir, litm perquisition fa ite a u domicile d ç Bafiin amiMia la découverte dlupi couteau volé à Lam idw iix, d au­tres «>bjtq»d’orig ine »«t*p«çle el enfin d ’une graude «|uant«lé de clefs parm i lesquelie* **«ii tro u v a it une qui o u v ra it la grille du clnnur. : ...

Eu piVisenro du t«iute» ce» charges, ^ 0 9 » ' avoua le» nom­breuses s«»uslr.ict1«m» q 't’il avait.fqifç» daii» Iq çhapeUe du l ’.alvair»;. à l’aide d«;s deux faussé» clefs qui Vù» étafciH rc- pré.seuh'îes. In terrogé p a r le juge d ’instruction ; U ré trac ta SI S av«îux; a in frq n té a y c c i’adj«»iii| d e la connnune qui.avail reçu s«;s lirem ières déc lara lious, il confessa »«>u ç n ro a pour la iroislèm c fol». P u is , qomine *’li, se fa isa it iRi ieu dp jus- lire , il est encore revenu à un sv»lè«ne dp dénégation» dan» lequel il a persisté. Toufp» le* dérisiralfoR» faite» alftt2.P»V lui afin d ’explw ticr Idprovenauçp d w avoir rem ises à Lam idlaiix ont é té recoim iies iiiensongçrc», l't apporlunt uiiê ftirt'o nouvèllè à la prévention Butliii a ..................... -uatloiis. d«>nl tro is pour vol. H se

r.iM«;». Eu e lb l , aux «inalilé» ain^nbles qui ont dû vol.. aUff4?r ro h b « h » ra n ir« et qui feront Ife cliariûédo 'vo ire vi;* li ittr lr itré ; «or4 jolj^nèi lotite» ti^garaolTqp bôjDTiéur q u i «n irnnveM dan» lo<« bon» exemple» e t («» trad itin iK de f n l t te . Elevéïi pitr de» p.irenl.< qu i jouissent do rcsilm e et

— 0 » ccril à la dul«i du 22 ju in ;. Hier, jo u r do la f.M«i de S.«inl-Loui» d«! (.unzaguc. pa­

tron «le 1.1 jeunes».: «duéliciinc. le» IV iils Frèr«:s de Mai le, qu i, depuis iiieutùl Imi» ;m», dirigtuil si habibmii'Ul iliius im tre cilé le psnsiimmil de garçons, ftimlé cl «;«»ntié a «nir»^ soin» p a r M. le «’iiré d e là paroisse, d .m uaieul a leurs élèves «me vêrhable fêle de famille.

» Dès 1 aubo du j«iur, ces rh e rs cufau!». sou» la fouduiie e t insp ira 'ion «le leu is bons m aîtres , saluaicnl déjà avec bonheur n n ie fêle, pour eux si sideuneîie- R«:ums dans l’exci’cire de la p rière , «Isse plaisaient à ren«lr«: à leiirs.iiu l p ro lcr lcu r leu rs homrti iges et actions «le gràr.e.s avec l a r - «h*ur de leurs v«mix ül «le leurs su|iplicalion.s. Coiunie iN priaum l avec ferve«»r saint Louis de G'ujzagtii' ! Guiiuiiti dans r«’:laji «le leurs rieurs il* souriaien t :« «;ct am i «lu «•.i‘d!Et combien cet aim aldn sain t du t recevoir avec empr«!»se- ineut les élan* d ’am our de ce* icuiie» cœ ur*. Vuda pou«'-m fête de piété. . -,

» Mais là, comme oit le pense b ien , ne d»*vail pas ^ b o rn e r po«ir ces cher» enfin!» ce j«»nr »l «lésire. Après h*s ofU«œs dit jo u r , ren trée dans l’in té rieu r de sou p«;nsi«muat, cette jeunes»»!, si intéressante, se livra avec l 'a rd e u r s t na- tu reile à cet Age aux jeux miprovi*6s p.ir eux et p a r te n is exceilents m aîtres. Gomme l.i jo ie rayonnait alm-s s u r l«»ns les froulsi el qucic lt.u rae d ev o ir ces chers enfants p rendre tou» p a rt à «:es jeuxl G 'élaieut les jeux de balle et de idnii», e l an tres d 'adresse, où chacun s’appliq 'tait ,à «sxceller. I m» une m usique bruyaiile, eu rapport avec les joie.» du jm tf , se faisait en tendre pour donner plus «le vie encore et r a ­n im er an besoin, sinon l’a rd e u r do tous, au moins «le quel-

3iii-»-nn». AusrI, spcctnienr» et auditeur* ne laisaieu t pas éfau t, c l, dans la cour «te i’élablissem ent, bon nom bre de

parents se faisaient un bonheur de su ivre de» yeux et «lu so u rire l’élan d e no» jeune» écolier» Mai* cela n’é ta it poiir., a insi d ire que le prélude d’une fête plu» ravissante. A toute solennité II fau t un banquet, e l c’eM ce qii’avaieiil com pris iiiLS bons F rère», q u i. su r les cinq heures, afin de donner à co tte jeunesse , qu 'ils aim ciit tan t, une nmiyelle preuve d e leu r teiidi*e»se et vive sollicitude, les Invllaienl é passer au léfecto lre. devenu mieux que jam ais une véritab le salle d e fw liu. A peine la prière récitée pat; M. ledoye ii. q«tl p résidait an banquet, assisté d e M Ip vicaire, fut-elle 1er- tn iu ^ , que chacun s’assit à la place qui lui avait ét«. assi­gnée, et com m ença à faire honneur aux m els qu i étfilent Servi». Oh ! Il é ta it beau, d it un tém oin u rn la ire . «le voir et «ren tendre d an s sou biiigage ce tte in téressan te jeuné»»el Comme ilsé la ib n t ln?urcui, ces ch«»r* enfant», de ne j r o i r ainsi réun is «’l servis avec tan t «l’em prcssem ent p a r lèiirs iMMiiiet si vénérés m:i»l'resl Inu tile «le d ircq u oïl fit honnêiir au féstlu qui fut o u ro iin ô p a r uii to.ist po rté pat* tuus a la san té de « . le doyen et A lu p rospérité d e tou t t’etabhsso* m ent. . . . .

• Rien n ’avait été ménagé pour rendre le tout aussi con­fortable qu 'î p«i»sible, tnftm«i ce im idiiit qu i nous viéiil «l’o u tre m er, et q u i, Itirréfié et inoulu, d«mu«*. c«immo on sa it, ce lle liquoursi su:ive«*t si arom atisée, nom m ée liq u eu r noire ou café, éta it servi à toiw. Ç on é ta il a»s««, c a r tes ieunes cenrean* au raien t pu com m encer, eux .aussi, A en - i r r r o n uni! «îbrtainc ébullition. Lof g ràw » furent adressée» au Beigtieiir, e l a h r s r«*comniencèrenl le» |cux plus iuteres- «anU : Jeux do bague, course» au sac, «’tc .. e tc ., et jeux xl’adresse, le* yeux b.imié». auxquels assistaien t en plu* sra n tl nom bre les personne» de qualité, au vi.H,igc heureuxgrantl nom bre les personne»clsym im th iquc. De* prix , «ko .reo t d re rn cs au b ru it «lu tam bour c l des fanfiires qot ne cessaient do se faire oiiicndrc. el quand chacun , heureux

le* plus m im itieuses, la dam e ü re to n v ilk eiiv««ya la pelito fille repUicer le portcfiuiille, v«'uf «les b illels de banque qu 'elle avait soiiffiês sans «luiî, selon toül«! appureii«*e, les «leux compagnes v (ivient aileiiliou et s 'eu apeiçunshl. F.ii so rtan t de lu miiisun. la «lame üreiouville «l«mii.i 2U «uui- tiiiies à la tille «le scrvi«;e. "••ii«h-i‘siie qui su rp r it «-cite lille,(pli j.im ais u 'av.iil vu d e pourboire «te ce lte iiabiliiéc «le ftitab lisscm enl. .

I 6 londermiin, la femme Br«-lnuvi!I«; couil«iisait a T au»sa compagim. la dam e Coil.inl, cl p«milaiil «I«mix j«mr* clic lui p rocura tous les agnhucuts désirab les : cafés, reslauraiils , sn«!Cl.i«:lcs, bon giti* et beu ii'gl». . , . „ , . ,

Mais pendiml ce tem ps, à Scuhs, lo s ieu r Bunei «:l les B«»ns fie sa m aison, soiipijoiinés «lu vol, chon 'haieiil à ,s«î re­cueillir el .iiialys.iieut n la |i«iru;e el S la gtfii«laruicri«î liMirs souvciiinf confus, et la gcii«larnit!ri«! lu l umcui-e eiiliti su r la trace di« l'aul«‘iir «m «les au tours du vol. Une «!«:mi- ciiquéte amcii» l’arn îsta tio ii des deux femme» Ur«‘t«iiiville e t Collard. IMusieiirs fois ces deux prévcmic.s, pendant le coui's de l’iuslruidioii. modiliêreiil leu rs «b'xlaralions, oui variii dans leurs réponse», «:t la femm«! Brel<«uvill«j sui t«>al «îst üHtn'-c «I.1US la v«!ie «les dem i-aveux. Eufln, t.i tomme

^tiollard, q u i» » croyait- li«'e p a r la .rccouoaissaiice à celle que l'on «lisait sa complice. A caiise «le «bfTérent» p*^llt» ««a- deaiix qiUî ce tte dern ière faisait d«! lem ps eu tem ps à scs rinii enfants, eu eoiupeusalioii do la snrveiliantMs que la femme G««üard excreail «laus fé tah lissem eiit de Senlis quand la femm e Brelouvjlb- «'•tait à Saiut-Valéry. fiiilt jioiir- lau t p a r accuser hautem ent la Wmnm RrctouvilS«j - J e no TOUS ai pas vue pren«h’C les billets dans le portefcjiille; dit- ellu n n is s’il y eu avait c«»mmc on lo préum ij. c c s l t «imi do nous doux qui l e s a vok» ; o r , vous avouez que jo n m nas louché le porlefeuille, quo von» seule I avez m anie H visité , ce ne peut donc ê tre que vous qu i ôtes 1 a u te u r du

U femm e Bretonville, d ite Didier, n’a pas, il est vi;ai. d ’antécéd.mLs ju d ic ia ire » . mai» le m inistère public d é ­m ontre que 8«m passé a laissé beaucoup à d ésire r sous lo rannorl de la m oralité . La prévenue, re stée seule inculpée eu consé«iiiencfl de l in s truction , n ie hard im en t cl ave<s l’aplom b le pliis im periurbablo les faits qui lui sont im pu­tés el repousse le» preuves et le» lémoignag«« irrécusables pn iir tout au tre , p a r d«!S lieux commun* iiiKigiiilianls :• A il 'f i doue! p rendre db l’a i^ im t! une femme comme m oi. qui n’ai jam ais en la pensée dn m al, dont les antécé­dent* sont d«‘» p liB hoH orublcsl A h U ’o»t,^ffrenx «lavo r de pareils soupçons, de pareille» convjciioii». » Maigri, te bi’lILinl de sa iniielte el «lo scs joyaux, la m ajesté de son m ain tien , lo calm e e t l’aplom b de sa di'fense, la fomnio Bretonville ne peut convaincre lo tribunal do son iimucçncœ qu’elle prôné seule, et «Mo est « o n d a i t i i^ en q n in ie mm» «le prison e t aux dépens.

tVms son audience d u 18 ju in 1863, la Cour im périale d ’Amions, cham bre de» appris «l«i police «!orrecti«>n«icllc., s ta tu an t p a r snllo do l'annulation p a r elle prononciie à une précédcnio anditniec, d ir Ingeinont du iribtiiial corroi tion- net de 8«>nlis. dn 1 5 avril, qu i a condam né Faut Giberl,. commis-voyageur en vin», an jourd 'lin l »ans «lomicile c«injtn, p«mr cscr«mnorie. en tro is moj» d 'em prisum iom pnt, 39 fi\ (le doram aacs-intéréts cuver» le »i« u r Beaiirain, m archand de vin» A Font Salnte-M axence, partit! civife, cl l’a renvoyé des fins do la plaluto u n r le cttef d 'ab u s do confiance» la C our n donné d«5fant contre Gibort, nou-com parant, e t rilc l'a condam né pour escroquorie et abus de conllancè A treize moi» d ’cm prisonncnienl, 490 fr. «l’iimonde «t 2,000 fr. do dommage» intérêt» envers l.i pariio civile.

Eire'a dcmné acte A Gamus, pr«>priét.»ire, «le-m eurani à Ghanlilly, de son désistem ent de "lî l'appel p a r lui

livre an inarauiliige e t à i 'iv rognerlê .M. de M aintenant, ju g e su p p léan t, occupe le siège du

m inistère public. . , .M* R'jse, avocat no m m éd ’ofÛeo,«*t au b an ç d e là defeiise.Ballin est condam né .V 7 a iri d è réclusion , le ju ry ayant

adm is des circouidonccs a tténuante» .

■ V M ^Le nom m é P etit ('fhéodnle-nippolyle-Florenlin), né et

dem euran t à Grez. Agé d e 2 l arts , couvreur en ardoise», acfuisé d ’avo ir, en avril «ternjer, com m is un v b l . a été

cqù itté . , . . . .» |. U m o r , subsMiBl du p ro c û rç i|r im périal, a soutenu

raccnsaU tui. ’ . . . .d e Snlut-Thumas, «vocàt, à présen te la déteiisç.

i t lT a lra' jfd fa M ifiiiU -

L«! 17 avril d e rn ie r , le. s ie u r Qombriin;, co lpo rteu r A Romescamps, tro u v a , dans une m a re «Ruée p rès de- son hab itation , le cudavru d^ iu enû in l nonveaii-nè.- L’au lo p sia^ ^constata qilo eel e««faiit» né à te rm e elvvlaWe, av a it re sp lrép 'après «a nsissancfj e t q«»e la m o rt é ta il le ré su lla t d ’un crim e. L» tè<« a v a it- é té oom priinée avec v iolence-entre deux coi'i»» dur». L’im m ersion n 'av a it eu Uen qik'uHérien- rem ont.

I.M rum eur-publique désignait Faccuaée cnqim e I auteur du cvlim!. Elle av a it 6|iou»ô le s ie u r Gerv«^,«4>»l|cnr en grange A Romesdamp». le 46< jan v ie r d ern ie r,< e l déjà .-* ccttü époque, t» bru itcqura ilqM '’e tte é ta il enM inte. Malgré le* priM utiniin q u e lle p re tia ti 'p o u r ijissim ulor io n étsi. l e s ^ o n n e » q u ’elto(W!iiucntail n 'en do u la jen ip a iiu l-u v a t^ t pu cmMtlaler qu e 'd e p u is loe p re tn le rs jo u rv d 'a a riltd a tenj" avait (hiDiiHté-ilegroianurr- Enfin Fon.sol que Ip j im r d e f* découverte du e.idnvro, l’accusée avait «lIFà-iinJéiAoin t « S i'in JÂstice vient, j e Inm bcrni m o rte à«e* pioet*. •

Uno peng iisilien fu t p ra tiquée an demicite- de* époui Gervoi* : le linge avait é té lavé, mai* ou trouva siii' pailiasBc uim large tai-ho «lo sang . t.e m édecin conslsl®

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— AÂiabil I ;i

^ i'ÿCCIll. _________ H e 'tdrpurü llc à !«•

qnéllâ a f e iiil'iiouiülm &ÿ.i|U «inieftè l i |irèilvA qiiVliÿ arüiiiiicih'ée dejiuiH iiihhis'dti sf^tnaiiicir, alto so déj;|()» 'a jeiUrdi* dhns lu voie dca ave^ix el déeiarn que lea doilleuihl ra v a ien t'p ria o daiia la h iilt 'd u 4>eu 5 av ril. q u ‘e |le a 'é lail levée 8.iiidirâveillei* son m nri. e t qu 'elle élml* accouchée< deUX;od.lrql9.Jirurfia a p r^ d n iiH iR.cui^ine; que sou enfaut av a it o rié , înais qu ’oiie lu i uvuil écrasé la leic avec le pléd. £ lle ravi|U eiiHuile purlé.dans, la m are e t é ta it venu», ra* liren d rb ad place daiU lé ji l 'conjugal; F.lle avoue qiie~ sou' inlcntioii, bieii arrétéé 'depu tx longlenips, é ta it de se défaire de ren fan t dont elle sé éMldit='cut!blulev -

Jl p^raittsiiil djfQcMe qde les choses so fussent aliiSi pas* fiéc^. s^iis qixi sbh M nrl'‘d^oii' ftU npérçii, coHime i.l le pré< tenda it. i/uHi'iilion (je raccusée fui opuR léesiir f e point '«II, dah'i' la u îi i l q'utsHiVil lOili’ nV i^tatioii.-elle céiitl.a ati b rig a d ie r Plé'goiit q iié -c'éinfl-sbn m ûri qu i avait douiié (n lu o rt A t'eo fa iil. flervois fut .a rrê té A.son to u r et p ro lt^ lu

1 ^ . iikiergiqwi^ineui.üe tupn hpM>p«Méé>: N iaeii'iiréaéuoc dp.sa,(çnnne» UsoMiint qp, U n a v a it pas

o U iW ip ia » M q c ? ^ , ,l>ccuiWlïenteM|l . n i mè«W l« ÿ r l i l i id ed e ta gi'osscsse. l/accusée fut alors fur</éé,d,ayoue^ quVIle ayaii chorehé.A eit inquiser A la^^lsliee,.qu'qile seéle. éiaii. coupahteM q u e. düUji l’eiipfHr d'éclvtpncriiaù rbA iiinciil ou to u t au ijiu lus:d’en nlt.énuur tes o;.fe.M, e m a y a i l i i^e s li un iidieùx iiieiisutige qui pbiivail pe rd re sou m ari.

L’iflfjVfffattoiT « dém ontré" l exactitiide d e ces dern ières d éc taca lio m e t fa it d isp an iitrc les doutes qui s 'é taien t élevés' s û r rinuoccnce de Çervuîs. Elle a l’elevé en ou tre qiieldn)^ ciîpéuiijltla^s d e 'd é lâ i | q iU m | chahgeut ^iéii i \É cUljmÜHflé de n femihe (lUrVolè. Âinsl.- c'eSt-daiiS lâ^ iiull (lu I” au 2 avril e t nou daiis ce llo du 4 au 5 qu ’ellç p a ra jt avoir éprouvé les douleiu 's d e reufaiileineiit: elle serait nccbpcjiée b an s fa çuûr éi ûuii dans Iq ciMsiuL% a u ra it d ’a-

e n lé rré l'e iifatii uaus sou jard in «I iië se serai j décidée Alpjeter'daiiH la in a re d e D o m b rin e q u e s iir les observations du sou beau-père, auquel elle au ra it fuit occroiro qu 'elle é ta it accouchée d 'u ii enfant m ort.

H. l.çp ior, s u M ilu I du p ro c u reu r im périal, occupe te siège du nifnlsière public.

M* Blaiichel, avocat^ priAiente la diifcnse.b éc lardé coupable, avec adm ission de circonstances atté-

llHilltlè-r. la femme Cici vois est com lainru'c é vingt ans de réclusion .

Audience du 20 Juin.Afgnlr Ctr*arnlér (Viriulit>.e«isiiHle)*

TenlaUrè do meut'fre sur un gendaimu et vol qiiaUfià.kl. Pariiigoult, p ro c u reu r iuipériul. oeriipc le .siège du

m iiiislôre public.M* ülarcol Leroux est au baiio do lu défense.tiro g u ie r es t un hoinm e de .quarin iic-quatre ans, A la

phfsluuom le peiKMi'iicliirisée; il a lu fronl bus, les cheveux plais': il est d ’mio uorpulcnru assez fo rle ; .sou regard ail* iiauce p lutôt l'hypncrislo que la b ru latilû .

Le g reflier doiiuc lecture de l'uclc d ’accusation ainsi conçu :

« Un m andat d ’aviél avait été déeeriié onntre lu nommé G rognicr, (l.uinicliié ou Petil-Fercourl. pour violcnees exer­cées p a r lui contre un sieu r tio rh i. à lu d a le d u 10 janv ier; les gendarnie.s chargi'S do l 'a rrè lo r id ipii savaient qU'ils avajcni alfiiiru à un daiigeroux riialliiilour, se placènuil ou em buscadu dus deux cùtûs do la porte pour g u e tte r lu sortie de Q rognier. A. six iieore.s un q u a r t, celui-ci se présept#' e if'e llël, et lu geudarin'e B oulanger sc précipita s u r lui et le 'sé ls if p a r son gilet.

» Se dégageant pur un brusque monverncnl, Grognicr lui p o rta avec un instriuiieUt co iilondant, probablenienl le p r o j e t ' bû 'B tenait A ta m ain , un coup violent au-dessu.4 de l'œ il et p rit lu fuite. Poursuivi p a r tes gendarriies. Il allait ê tre a tte in t pur eu.x, lui'sque, to u rn an t la tôle e t élendaul le b ra s d ro it, il d éd ia i gea presque A bout portan t son pis* tolct s u r le gendarm e G uiiberl, qu i tom ba frappé de vingt- sept géah'is de plom b dans les cuisses. 11 s 'é ta it relevé po u rtan t et contim i.iit A poursu iv re t'accusé, jorsque le s ieu r B oulanger et lui tum lièruiit d an s un fossé que Gro* gn ier, qu i coiinaissaii le pays, avait su év iter. Celui-ci un pru llta p o u r leu r échapper.

• Lus recherches faites pour le re trouver él.iiei)lfu slécs infructueuses, lo rsqu 'il fut a r rê té comme a u te u r d ’un vol com m is te 2 ü m ars au pri-judice dos époux Daiigu. f)n avait péné tré ch e ze u x en esualuJaiit une fenélro laissée ouvcrie, e t l’on avait dérobé une chaîne en o r e t une m on tre , un fusil, une som me de 800 (r . eu c r u t des effeis d 'habilicn ien t.

Un le tro u v a la p lupart de ces objets dans un pu jls A

rue où Grogiiier s 'élail élab li dcjiuU quelque lei]iip^- ccüsé a été obligé du se rcconnaili'o 1 au te u r du vol i

m arne L'accusédont il s'iigil^ Ri il liie seulem ent avoir déi’obé les 800 fr . qui n'ont pas é té retrouvés.

• Quand A lu ten tative do m eu rtre cénim ise su r l'un des gendarm es, il chercha A l'excqser «n pi;élcndant d 'abord qu 'il ne les a pas reconnus, ce qu i est Impliuissilile. car' depuis quelques jo u rs il :r attenda it à é ire arré lé , B’ailluui's les gendarm es élaient porleiir's du leu r iiuilbrino, e t dans lu iu lle qu 'il a sou tenue contre le sieu r Bonlauger, il s'élolt é c r i é \ • Canailles de gendarm es. • 11 prélund encore que le coup de pistolet est p arti accidunlullfiiruint, le chien s’é ­tan t accroché A unè branclic. Mais, A cet égartl. les décla­ra tions du b rig ad ie r le dém entent positivement; il lui n fallu se re lo n rn rr pour t ire r s u r ceux tpii lu poiirsuivulcnl, et.sa volonté honiicide est alleslée par les paroies pronon­cées quand il vil le brigadieV se iviever : • Il n 'est donc pus encore m ort ce brigand de canaille. «

• Comme d e rn ie r luayen d'éch.ip|>or à la peine qui le m enace, G rognicr a voulu fairo uroire A une aberra tion do ses ldcnllcs inli'llecluclh's. Mais le rapport du m édecin chargé de lu visite r atteste qu’il les pttssèdc dans toute leur plém indu. C’est ce qiie üénio iilren t.d’ailleurs scs réponses d an s l'insirnction.

• Grognicr est un hom m e dangcreitN. im inoral. .nulanl que violent; il passe pour e n tre ten ir dus rela tions iiicus- tueuses avec sa lilte et la pro.siiiuo A d ’autres hoUimes. Il e.sl redouté dans le iniys, doni plusieurs h ab ltau ls ont été viclinies de ses rioloiir.cs. Il esi en é ta l do récidive légale ('I a subi neuf condam nations, dont p lusieurs pour vol cl m enaces de m ort.

Afirès une snspensioh de vingt m innius, l'audlcnce e.st reprise, et M. lu p ro cu reu r Impériiil [iroiiunce son réqni- .siluire.

U‘ Marcel f.oronx prend la imrole A son to u r . Il s 'attache snr.ioul à dénn in lre r d 'abord que l'arcnsé n 'avait pas re eoiinn le gendarnie Hunlauger en Ini po rtan t un cou|», un silice que Grognicr, eu dùeliarguam son arm e su r les jam bes du b rigadier Goiiberl, nu pouvait avoir rin lea lion de Ini donner la m o rt, m aisseiileinuiil de l 'a rr é le r dans sa coursé pm ir lui échapper p lus facilement l/avocal fait re sso rtir , enlin , les dérangem ents qui ont dû se p roduire parfois dans l‘e.«pril de l'uccusé, s 'il faut s 'en rapporter A

plusieurs oxlraviigances relevéu.s au bufs'u’r et qu 'i)' cnm iinlre an ju ry , 11 coiicImI vn réclAin-iiil en Liveur de G rognicr te béiiénce des circniisluiicet( a'iléiiujtiiteè.

I l ’, le président dem ande A l’uccus) s 'il a qq.clque.A a jou ter A sa défense.

G rognicr répond qu 'il a eu phisleuni|ro;s la .lèle dérangée.AI. le président déclare tuA débats lèm ih iés e t eu fa it lo

ré su m é . . .Le ju ry , après s'élro re tiré pondant un q u a r t d 'h eu re

dans lu salle d e ses délibérations, ayant A l'épondre A cinq questions, i 'en |re av<;o un Verdict an iriiiu ttf sut; quRStiansct négative su r celle relative A l'iiiicntiou <^è/|n pa rt deT accnsé de donner |a a ïo il au b rig a d ie r Gqt.thqi'l-.

En conséquence, la Caur condam ne G rognicr A vj'ngl ,an^ de travaux forcés, .........

F A X T S D I V E R S .— On a com m encé, dit-on. la moisson du seigle d an s

qnelquo.s I tualités bien exposéo.s cl A te rra in léger du Dan- phiné, aux environs de Lyon.

* — On virtil (ie faire, A Berlin, l’essai de Inrges voilures conlunani une vingtaine do- personnés et Irainéus p a r de.s locomolive.< de la fort» de hu it un neuf chevaux. Elles ro u ­lent su r lu pave des ru e s avec la vitesse d ’iiiMMoiluro iraînéo par un bon attelsge. Le prix d 'u n e de ces locomo­tives est d ’environ 15,000 fraiic,s (14,000 Iholers).

C o m p l o i i * î u t l u ^ t r i e l e t c o n i m c r e i à lSous lu raison sociale Kdoiinrd ClIOLt-KT et^C'.

Maison fondée pour lu cuim uaudile du petit com m erce et de la ]>ulile industrie.

Emission de 2,000 actions de 500 fr. i.e Comptoir cjiuisit des correspondants daps tous les

caillons cl les principales communVs.Pour souscrire cl pour rctievoir les st-ilnts et tous rc i.scb

gnem énis, s 'a d re s se ra M. CnoLLKr, d irrc tun r du Com ptoir, 5 , rue d'Ambnise, A P aris.lijl.t 's so^iscriptioiis doivent ê tre accompagnées du q u a r t du m nnlani d e chaque ac tion .

Lu CcfUHl rcejiûiisabh, EnxEST ItEGNIÊIt.

T * T -T - T

' A h iv ( > i i c < ^ J q < h f c 'r à t l ‘cS.,Pagnrrôté de JI. le. Préfetde l’O ia î aji^ronvè''

par '8 . bjxc. le Alitiistre iW l'I^léfteiif, , lo,. j t* H # J i« l 4 e t i e a l l e ’a' é lé itésl^dé pûtiÂ^fn-'' sérer 111863. daâs rarrèodissemél^ dé Sëhlirs, louted anhOOccs juiUc’tairês et lilgatës.

Lu pub lication iégaîe des acte» de spciéln es t (ihligaïoiro ponr- l'aflitée m il b a i l cëhi- su ix an le-lru is . dans chacune des deux feuilles de l'a rro n d issem en t, désignées pour l 'in se r­tion des annoiiccB jûd ic ia irés .

• Ar t . 4 "E tu d e de M* FKÉMY, w

VÉNTEP«r wvKu 4 e eiircaeliére 4*4ib

A ram iien cc des rr ic es du Tribùnu.l civil de S en lis.sé an t au F .ila isde Justice , rue Nenvc- de-l*aris.

K t Dé|»riidiünr«M,Sises b E n cn is , en la rue Vexin, can ton ,

(le N euilly-eu-T helle (Oise),

u n i t J A R D I i V

ET UNE P IÉ C Ë DE T E R R EAu m êm e lieu.

>«è.' L’autopsia ^p i r ^ ^

L 'A d ju d ic a tio n a u r a l i e u le M a r d i q u tt‘ t o r z û J u i t l e l 1 8 6 3 , h e u r e d e m id i

p ré c isé

Ko conséquence d’u ne su rcnctièredusix ièm e faite p a r M. U irbaux , c i-ap rès nom m é, sui­vant ac te dressé ah grelTp dit T rib u n a l civil .de iSeniis, le d ix rneiif ju in 1863. enrègisiré . ladite su rc n rliè re dénoncée conrorm ém eni à la loi.

Il se ra , aux requête, pbursn iie e t diligence d e M- Josep h Birb.aiix, .ouvrier un so ie, d e ­m eurant à N euilIy-éu-T liclie,

S urenchérisseu r, ayant pour avoué consti­tu é M* T héophile l'Vémy, exerçant p rè s le Tribiiiial civil de S eh iis. dcm enr.in i en ladite .ville,' rite NeuVe-rte-BJrIs. n* 13.

P ro c é d é , co n tre M. Louis-( haricm agne G ran^é. no taire , dem eurant h Cham bly,

A ihudiéatidrc su ren ch éri, ayant ô o u r avoué cqnsiMué Al* C hulinin. dem euran t b S enlis, rue Saint'-H ilaire . n* 4 0 .

En; p résence dé : ■ 1* M. Désiré Vacqiicz, m archand d e p o rcs , d em e u ran t b Q iainhiy ,

C réancier sa is issan t, ayant M* G odin pour avoué ;

â* E l d e M. Louis-ChriBlophe V aré. raaliro charpen tier, (lem euranl b Ercuis (Oise),

N ayant' pas d ’avèüé-cohstitû'é';A la vente su r su renchère, au plus offrant,

dpxojer euçbéH ^sènf è i b f éttiiiCtibh'dyB des b ie p sim in e iib îf^ d o iiï fa 'd 'és^aa tib b ' suit* adjugés prim itivem ent b Al. L ra n g é , sus- np ipm é, su ivan t jugem en t de l'audience des c r i ^ du T rtbnna l civil d e Sunli» du seize ju in ' 1 8 6 5 . c iirég ié lré . m oyennant le prix p rin c ij^ l, do d eu x m ille cents francs, o h l r e W d ih rg es et coiidiiihns de la vepte, laquelle 9 éu lieu par su ite de la saisie réefle prali(niëe b la r<}(|ilëtc d é Al. Désiré Vaçque»; marcHand d e porcs, .dcm enyant b u iâm |iiy^ su r -lé s jéu r Varé', c i-dessns \itom nié, Buivaut liro'oès-verbal du m inistère de D upont; h u is - tder b Ç ham bly. en d a te du sep i (éÿ.Hçr. dôm eni visé ct .cnregiA lré, d ressé confurm e- ihent b b loi et trùniscrÜ 'ab uureati d es b>'ilo- iTt^Bès db'J^iilllf.'lirviitgt-'ijtK itrc dud it inois de lév rie r, volum e 4 3 , u* 4o .

a s & n i o i V A T i Q X T . \pdenM vùr.

Itao NlAl4 t>'^ u i d.lpoiiiliiijic>!à. siW s k E rc p js, cantpii «Je Cfeuilly-en-Tlicllo, a r ro u - d issenien t d e SentU . départem en t de l'O ise, e tt 'Ib 'l 'u e Vexin. consistan t en :

Un principal corps do bftliihenl, constru it en p ierres e t plAlrc, élevé d ’un rez-dc-chaus-

Y ' ? — ?! d^Stilihèè' cû rfnè pièco avec

’' ^ i r Ip dev an t, éc lairée p a r deux cro i- A r '1 C-Atè( garn ies de persiemni&; petite

Ifiw e d 'en tré e a u m iliw ;; a u tre pièce b la- s iîifè!;;aiâ: fé^èèràyA'ûtf into cro isée e t une p orlq d tx s o r tie .s t tr la c o u r ; au tre pièce b la UttiloJ): m age. tlp .cham bre ' b coüCher. éc lairée

fpnétre^ su r tâ c o u r ; fournil b fa çuKè, âyçç cro iséq et. pofle^ su r la cm ir ;

■enfii*} u n a u tre espa(% b U su lle du fojifuil : dan s ci;t espace se trouve l’eu tré e de la cave qui ex iste sous lu fournil e t la ch-ambre b cuiicliér.

Ün hangar b la su ite e t atlcnan i au liâii- inenl qu i précède , constru it (Ui p ierres et t e r r é , couvert en c h a u m e ; ce hAiiment se trouve ê tre dans le ja rd in , qu i est p lus élevé q u e la cour c i-a p rè s: un m ur de terrasse sé ­pare h cour du ja rd in , dans ce m u r existent des cabanes b lapins.

.Sur la rue et attenan t au prem ie r corps de bAliineni, un bAliiiiciit constru it en p ierres avec g rau le p o rte cochère p ar l.iqm-lle un a r r i tu à la c o u r ; g ren ie r aii-ilessns couvert en tu iles ; une luca rne su r la cour danuc accès b ce g re n ie r.

t ^ i i r au m ilieu d e ces liAtimenls, dans Ja- qindle existe un puits.

Ja rd in b la su ite d e ce tte cour e l du deuxièm e bAtimeut, le to u t con tenan t, y com ­pris l'einplacem ent dos bAiiments, douza arcs d e te rra in , ten an t d ’un côté h Al. V aré-Bou- cliy, d 'au tre cô té te ja r.lin c i-a p rè s , t;l d 'un bout la ru e . .

A t* lie le d « M « iè in e ,D ix-sopl ares so ixante-douze centiares de

ja rd in , au m êm e lieu, tenan t d ’un cô té la proprié té siis-désignée , d ’au tre cô té el d 'un bôUt.M. D ugardiii, e l d ’au iré bout la rue.

A r t i c l e Iro lu lè n x e *Un a re q u aran te cen tiares d e te rre , sis au

m éiqe te rro ir, lieu d it le tà d C audron, tenant (l'uo cô té b Balaguy, d 'a u tre cô té ù .Snint- A ubin , d 'u n bout les héritiers V aré, e t d ’au tre bout b la soute.

3UCZ3B1 A P K r Z .l/ad jud ica tion dos im m eubles ci-dessus

désignés aura lieu le J fo rd i quatorze Ju illet 4S65, heure de m id i précis, a l’audience des cr ié es du T ribuna l civil du Senlis (Oise), séan t au Palais d e ju stice de ladite ville, rue N cn v e-d c -l 'a ris , s u r la m ise b prix résu lian i dé ra ç to de su renchère su s-é n o n cé , e t qui est d é deux mille c inq cen t so ixante-d ix francs. C l . ........................................................................... 2 .S 7 0 fr.

S 'adresser p o u r avoir des renseignements :4* A Al* KKEAIY, ou'ouê, poursu ivan t la

vente su r surencAére dont s'ag it;^ .4 M* CIIA LAliN , avoué d Senlis;5* A U* GODIN, avoué d Senlis;4* È t a u G reffe d u Tribunal civil de Senlis.

I K^it e t réd igé p a r l’avoué p o u rsu iv an t, 's o u l ig n é .

A < i»nlis, le v ingt-quatre ju in 1865.S igné : FllÉM Y.

E tireg islré b S en lis. le vingt-cinq ju in 1863, 1* 177, reçu uii franc e t v ingt cen tim es de dixièm es.

S igné : Dov^* P o u r insertion :

S igué : FnÉsiv.

Kl) la Alaison d ’école de N ogeni-lcs-V icrges, lU p u r le Miiiiûtère de M* R iv ihai':. no taire d

Creil~sur-0ise4 com mis à cet effet. L 'A d ju d ic a llb t t ,*rûrn l i e u l e D im à n c lie

d i x - n e u f J u i l l e t 1 8 6 3 , h e u r e d e m id i p r é c i s .

S'adresser p our avoir des renseignements :!• A .M* FUEMV, avoiid , poursu ivan t la

vente:2* li t fi Al’ IU VIÈDE, MÔfüireà C reil-sur-O ise,

dépositaire des litres de propriété el d u cahier des charges.

■ A r t . 3 . .

Elude de Al* L.XCLEI'’. avoué b Aleaux (Seiue-o t-M arno).

V5:.\Tï} S t’K tICITATfiO.\L e Diinanelie 19 Ju ille t 1863. » m idi,

lin l'ctude et p a r le m hfisièrcde Al* I)üVIOi:et. wHuire à Crouy-sur-O.-ircf/, arrundissement de .Veau.v (Seine-el-M arne),

m F l tC Û BETERKEP 8 & É e t i t O l N

Situées terro irs de V.vitiKf'ROV e t n o u v iii;s , canloi) do Uelz (Oise),

e t de .M.vV BN-MUL'nEN. c.m lop d e I.isy- su r-O urcq (S eine-el-.\!arne),

.S’adresser pour Us renseignements :/I C routj-sur-O arcq. d Al Ü cviquET, no taire ;

I d M* lACliEF, ucoa^, poursa i- , | . 1 vaut la \veu te ,

A .u ca u x , j /i'i à M*'6 9 D01UI.ET, nvowé.pri!- \ sent d 1^ vente;

l i t à B ea m a i, connnunV de j\eufchellc.^, d Al. AlARorTË, cu/iivq/cur.

: A r t . '4 .

E tude de Mr CHALAIIN, pyoi

P our extrait certifié sincère e l véritable, par rav o n é soussigné.

\ Senlis. le vingt-deux ju in 18G5.. S igné : F u éS y .

K nrcgisiré b S en lis, le vingt-deux j'uin 1 8 6 3 , P 166, c* 8 , reçu un franc e t vingt centim es de dixièmes

S igné : Bovn. P our copie :

S iané : Fnf.MV.

;é à S n ilis (Oise).

VE._ ^A u x c a e b è r e t* t f ü i l^ q u v ) * ,

Le 3 ) Ju id 1863. n tiûheû i'è de relevée^P ar là iniHiÿléra d e U* àofaire à SonUs,

DIX M IT Ir t^ S m E( l e s X t é c o l t c s

DROIT AUX rË DËS TERRESD épendant de Pexploilation,

C onécnané S 9 I H eetaipes A re s 1 9 CcBitl|ire«t e n v iro n ,

ÉT 'u'un

CORPS DE FERMELe tou t situ é b Brêg y , can ton d e DlMz

(Oise).Alise à P r ix , O itlre le s cfiui’g t’s , 7 5 ,0 0 0 fr .

A” a(/resw»‘, d Senlis,A Al** C11.VLMIN. l ’iiBMUY, avoués, et -d

Al* ÜEKoisr, notaire..

A r t 6 .GrelTe du TribtmnL.de tienlia (Oiae),

D ECLARATION P E FA IL L IT E .

D’un jugem ent rendu au lriliiina idc prem ière in stance séant b Scniis (O ise', faisant fonc- tion.v de tribunal de com m erce, le vingt-six m ai 1803 ,{cnreg islré ,

é té ex tra it ce qui suit :I.e tribunal déclare le sicn r lldefonse-K m -

m aniiel S a in t - O u e r , scieur de bois b la mé­canique. dem eurant b Ponl-Saiute-Ala.vonce. en élu t do fa illite;

Fixe provisoirem ent la (cssation de scs paiem ents au hu it novem bre 1862,

O rdonne l’apposition des scellés partou t où besoin sera, su r les tllresi reg istres, papiers el m archandises du failli;

Nom m e Al. L ëpinb , jugo-supp léan t, com­m issaire de la faillite, c l pour syndic d ’icelle le s ieu r Léon-G erm aiu A Iéland, ancien p rin­cipal clerc d ’avoué, dem eurant b S en lis,

O r.lonnele dépôt de la p erso n n ê d u failiien la i))aison d ’arrêt de la ville de Senlis.

P our insertion :Lo Greffier du Tribuiiul,

D o u c i i c r .

ADJUDICATIONlin l’étude et p a r le ministère de Al* AI11.ET,

no lo ire à la Pertê-M ilon,L e D im anche S Ju ille t 1865 , b m idi,

E n n a K se .o d |»ar I>M**DE

3 H c e la re s 7 1 \ r e s 9 4 C e n i ia r e s

D E TERBÂiNiPOUR CARRIÈRE DE PIE R R E D U R E,Faisant partie d ’une pièce de 67 hec tares

dépendant de la ferm e du Jard in de S a in t- ' P ie rrc -.\ig le , b 4 kilom ètres du la s tation de Longpont (ligne de Paris h Soissotis).

.Ippurlenant <i / ’/ns{i(nf>'on impériale des Sourds-.^laels de P a n s .

Des sondages ont été faits pour découvrir le g isem en t; il y a p lusieurs baiics de p iorro d u re d 'une épaisseur convenable cl de la plus belle qualité.

Cette vente est la conrm ualion de celle fa ite à M . Gessien, ilonl t'exploifalion, en pleine acti­vité , a mis à jo u r une belle roche.

Gr.'indes facilités. — Jouissance de su ite . 3"<idreMer à AP A Iilf.t, notoire.

CÉDEÀK im n ié iiia lc iu c iil ,

U « SCIERIE H Ê U ItlS I lEKn pleine neilxilé.

Sise b Pont-Stlinlc-A loxence. S'adresser pour tous renseignements :

.4 Al. AlftLASD, à 5c«/»s, y»/qct» du T héâtre.

A n n o n c e s I M v e r s e s .Etude de AI* BEN0 I8 T , no ta ire b Senlis.

A L O V E R À L ’ . % 1 I U A p L E ,

UN CORPS DE FERMEAVEC

81 liGTlRES DE TËKllE ET PRÊLe tout s itué com m une cl te rro ir de la

t'.hape lle -en -Serval,Jintré-e en jo u m a n ce le i l novembre prochain.

S 'a d re s s e r a u d i t BP Bexoist. n o ta ire

AaV.- 2 .- \ ■Etude d e M* FBJB iy, gVt^uô à Seiilis:

9 3 9 9 3 S i r S )ENTUE MAJEUnS,

D ’ IÎN fE |M A tSO i\£ ise b l^bCENf-f-E9.-Vi|t!tGB$, cautoii de (> eil,

lieu dit-Sanlèy , •Avec «CM UépciiilivuceM ci Jnrdln,

E T UN E P P ^ T ID N DE TER R A INE n face la Maison;

A itT . 5 .E tude do M* FRfiBlY, avoué à Scniis.

A K P A R .tT IO .V U l': B IB nrsI.D’un exploit du m inistère de L cvairc, hu is­

s ie r b P récy-sur-O isc , eu date du vingt juin 1865, eriéegistré.

Il ap p ert.Que la dam e Alélina-Julicnnc Dubail, épouse

de AL Alexandre !*angy, m anouvrler. avec le­quel elle e s t dom iciltéu b b) Villeneuve, corn n iûao de C ircs-lcs-M èilo. elle ré sidant do fait chez sa g ra n d 'm è re b Cram oisy. a form é, co n tre son m ari, sa dem ande en séparation de b iens. ' '

Ki que Ai* F rém y, uvoué b Senlis, a été cous iiué b l'elTel d 'occuper pour ladite dam e su r celle dem ande.

ADJUDICATIONE n l'étude et p a r le ministère de Al* M ile t ,

notaire à la Fcrté-M Uon.Le Lundi 6 Ju ille t 1863 , b m idi,

DK

L’IXPLOITAIIOM DBPLiD E D O U K C Q ,

Sise à L A P E R r É - .V IL O .\ .

177 Hectares de terres e t p ra iries en g ra n ­des pièces. — B a u x de 43 et 46 nns. — P r ix moyen du ferm age 6 2 fr . 50 c. Vhedare.

L e Alatériel com prend : 16 cbèvaux, 6 va­ches. 450 mputoDs, m achine b battre , équipa­ges cT ustensiles'cil bon état.

5 0 hectares de blé, 4 hectares du seigle, 5 2 hectares d ’avoine , 17 hectares de luzerne, 2 3 hectares de m angers d ivers , 5 hectares (le foin.

Avoine b b attre , 2 m eules d e pailles.4 ,0 6 0 bottes (le vieux m angers.

ltlU« à prix t fr*Une seule enchère ailjttgera.

Gl andes facilités pour le paiemcni.

A u o u p : »

U N M a G if i i rAvec deux P lanchers, uhM on(e-4bùsquîi(bnc--

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A'n l'é/udè el p a r l e m i h i s l ^ ffo .Al' l ^ tH s r , nolairc à Sed lh .

On tra ite ra avant l'aiijudicîilio». s 'il est fa it ■ ' des offres siifltsanles. audit M* Ue.xoist, notaire,

Page 4: lK«KKTraH A N N O N C E S J C D I C I A I K Ë Sbmsenlis.com/data/pdf/js/1860-1863/bms_js_1863_06_27_MRC.pdfSamedi 27 Jiiiii 180^. 1% 20. — SS'"' année. rMiX 9 R l/A|ij»XXBM(RkTt

I:!Ki l

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M’

m i . E

lU S O K M G E O I S ESigp ni;* «In C h ü t- lla iv l.

P o r le c o c k h f . J A W D /.V d o n n a n t ?iir U C our» ,

E ii'r iire , d an s la m êm e ruct

A YEIVDRE par Afljudleallon,fM manclm 1 9 Ji»ilU*i 1 8 9 3 , à mUU.

E n l 'é lu d e e t p a r le in in is lé t'e d e HI* Bgnoikt, HOlafre à su ccesseu r d e M’ CflARTiKR,K nirée en J ou issan ce le I ” aoû i i»rocliiiin. .V'odrfWMîr à M' H e s o i s t , iiolniVe ri S e n lis .

3 3 H e c t a r e s 3 4 A r e s 8 4 C e n t .

ItlIU lït l'HIUIIUIX u n U lE n 24 pièces,

Siltiêcs su r le le n o ir rie M oiitlévêquc.E t 4 5 P A R T S

BU H&RilS GOHHÜNALde üieullévéfiiiey

(oui appartenant a la comm* de .Wtf»rft>n'çur

A E O t l E U p a r a d Jn d S ca lio u ,l.e Dimanche 5 J u i 'H e l /A '6 j . ri m idi,E» b m aison ri’ceole rie M on'Ievôqiie.

J 'tir le u m i s i c r c d e M' B e s o is t . nn la irc a S c u lis , Jiiiiissaiici* a jirc s la l é c o lle |ir t» rh a iiu '.

S 'a d resse r tw d il M' B k n o is t , no la ire .

E lude rie M* E. I..\COl)R. n o la iie A Nanlcuil* Ic-Uwiidoiilu (Oise).

B É G Ô L T E Sd e B lé« Scif^le e t A v o in e ,

A Hoi.>;sv-Fre»noy. •

A V Ê x ^ D R RPAR AltJI’IIICATieü VUI.OHTAinG,

A Roissj Freaiiov. en la m aison ri’école.J»rtr/« m inisièrede M* ( .a c o c r , HOtairc à Nanlcuil,

l .c Üimaiielie 12 Ju ille t 1HÜ3, à m idi.AM3(l‘4»n4i«l«nM erdleaiveM.

S‘iid rp « rr <i M* l.ACOiiB. notoire.

Elildc de M- ÏA SS.vn i', iio lalic h Cièliv (Oise).

BEAU MOBILIERA auRi K uclicreK ,

Après le décès sl»i M. ILn.U’i.T. nuineaillier. En son domicile, ri Vrèpii, iira n d e R ue. «“ 3.O.

Le Ji'iirii 0 Juillet 1893, et jo u rs suivant», à nuzi* heures riu m alin .

Par le m inhtcredfl M* T assart , uiilaircàCrrjni^

C elle vente coaiprciMlra notam m ent : p a r - n iiu res rie foyer, h ille rie rie cu isine, vaisselle, ct'isiaux. verrerie , m enhles, lite rie , pendules, horloijcs, fu-sils, révolver et |iislolei8. lahieaux et g ravures, liage. sVrgenloiie, mouline, ia jd s - sière , cahrio lei, lu ze n .e t i au tres oh jets.

A u r w i u p t n n l . F r u U o r d l i m l r r » .

Etude rio M M U V l^E _, n o ta ire i\E re il (Oise).

4 4 P i f e c K S

DETERRE ET PRESituées su r le te rro ir de M oulatanv.

A V S 15P.VR ADJI'DICATION VOl.üMAlRK.

/ iiiiu Kulledela Uairie Je .y./ iM M iiv.L e D im an ch e 1 2 Juti! •! l < o3 , ’a diuix h eu res . Par h m inistère de M' l\iviÈ-tE, iio'.airc a Creil,

‘F a c ilité s punr le iM teaienl.S 'aJrjsscr audU M' IL viêie, » -tatre

Elude de M' üEE.VCülIll. n o ta ire à .Neuilly. on TheUe.

A V E A T B R B p a r A dj«d î< ;aiîon ,1,'e D im anche 3 Juiliel 18G3. .i tro is ii.'u res.

Km l’rlude cl par le ministère de M' ntL.\couR, ri :Ye!ull;/-e«-r.'i«<h;,

et de W ÜRASGÊ, notaire ti th a m b lj,

DEUX G B W S MAISONSSise» Il N eu iil\-en -T lie llc ,

UNE PIÈC E DE T ER R ESituée l T n iir de N euilly-en- I lif ’.le.

Ji»uis.sancc tout rie su ite .G randes lac ilitës p o u r le paiem ent riu p rix .

O.t pim rr» Ira i lc ra v a n t iad ju d ica li 'U. Sfldre.«jer a t t j c d i l t Dk l .\cüv-» et t i f lA xm ;.

Etude d e M' bORXtCHK.nola ire ;i Crépy.

A C É D B R p a r A d ju d ira t io n ,EJI VERTU U'URE OBUOXSANCF.,

Par le m itûsière de M ' Bo r r ic u e , notiUrc ri Crepy et rn ron élude.

Le D im anche 12 Ju ille t 1805. à une heure ,

LE DROIT AU BAIL L’USINE DE BALISY

Appelée autrefois Bloalin U e rva u x . S ituée Sérv-M agneval. ta n to n rie Crépy, et

e&t alim eniih* par b riv ière Sainte-.M ane. D ans l’u sine se trouve aciuellenieni installé

nu M atériel p ropre à la fahricaliou des Subuis par p ro ic d é m écanique.

Jutiissiinro de .suite.S 'adresser pour tous rensei'piemeiils :

A Sentis, a M. .Mê L .\S I> , S'judic de la fnillUe H erjc iu li;

A Crépt/, à M* IloitNiciiE. «ofmiv.

E tude rie M 'J . .NOLEV .tl.l.E, hu issie r à Soiilis.

viixrEA « •.'ru H e iiiî . su r la place d u d it Uru.!.«• Ih. i im'ln? 2 8 Ju in 1803, ii m idi,

P.ir le iniii s l n r de M* Jules N o le v a lu e , h iih s ic r i.orisisiam en : lK>0 loisons rie iiiiMitons,

0 ‘i0 m onliuis et h ivh is. 2 parcs en volig.-s et 2 c.iham-s ii heigi-r. 5 nu-ul<*.' «le seigle, 7 meiile> «le p-iil>e. 10 0 00 b o u rrées , bois,

E t utitivs ofyefs.Au A'oioplunt.

S a dresser iUldil .M'Jules iNiu.evali.f„ hu issie r .

Etiirie do M'I.EV.MllR .huissierè l'récy-sur Oise.

VÜX EXCIIKRKS fU01.!QL-r.S.P .ir sui c de ei-svaiion «h* coim nerco et en

v e rtu «le jugcuieiit,

HABCHiNDiSES NEUVESE n la dem turc rfe M. Moiii.Ki;x père , uufiVn

m arcèauri la d i nr.Les lliin n.cl.e 3 «-t I.iiiidi 0 Ju ille t 1805,

oii»<' heures précist*» «lu m alin.Pur le m inistère dudit M* Levaiiu:.

C elte venic consistera en : 5 0 0 «levant» rie g ilets. -lUO m ètres «le velours. 5 0 0 “ dc«lriip.s. 200 •• coutil. 1 50 " cidom iaite, 5 0 ” «le inéri- n 18 5 0 * «le toile hl«*ue. 0 0 0 “ «le «loiiblinos. 6 I - rie ILinclte, 8 0 “ «le re|»s. 2 0 pantalons, 3 ’) "• rie toile g rn e ./ / sera accordé ô mois de crédit au.c personnes

s dvabl s.R « l'UlMIitlkHl.

n * D R I i - t r A H I I » n o lA t r e » IV e iil l lr - • n > T h e l l r ,

Demande de suitem PRINCIPAL CLERC.

Kimlc (le « • p g 'i .n iS s . nvpiié à SciiliR.

On demandeUN SECOND CLERC

On dcinandcm APPBENTl POPR ÉPICÈIIIE

S’aiIrcssiT au bu reau riji Jou rna l.

AOKV, cordokinieb,.A MmiDm. r u e

Prévi«'nl sa clieiiljMe qu’on trouvera <h«7, lui lin bel assoriim enl rie CD m iB U urcw d e r o n f e e i l a n en Ion» g en res , u «lis p r t \ li'ès- moihirés

On trouvera «également «lans son «*tiiblisse- nieiii un grand elinix «le CftaiTssur«‘sf;rini«iui'es p ar lui et m:ir<)néesh son nom .

D3SDÉKI,mioTor.uAPiiF. or. .s. m . l’empkuf.I’u ,

S . h o u le r iv t d is i t d ic iis , à l*nris. Nouvel!» s piihliraiions hreveU s s. g . «I. g.En lui eiivovani I IV. 2 0 r . en miirnlat ou

lin ilircs-posie. ou recevra rraiiro le porira it- eai'ie «le l52! ) trois crut e /ny l-rM nu’ Vêlclr ilis conleinporatuos on. au eho .x , l'«me «les séries su ivan tes:Fam ille iiiipériali'. «■'im(insée d<*^7 pEliSOTTlCES. Faniille «le l'E nipei i'iir Miiuisires . n . . '‘.*Maircliaux

jîé iicra iiv . . . ..\m ira u \ . . . .Kpiseopat . . . ..Aulonrs et Comjiosiieur».Soniiiiiiés (riaiiies). .T h .û trc Ita lie n . . .(Ipéra (riiuisi*) . . . .('.«■‘lêbrilés anglaises .CiMiMiritcs ospagnoh'S .T héâtres (rhani) . ..Artistes dram atiques .T héâtres {«lans»-) . .T a u le d e m a n d e su p érieu re ri «h'.c séries . I f r .

r im e . lAffratichir.)

On demandeDumFJTiimioGiurse

C11C7. H “ ' V R K G N IK R , i> S e n l is .

iM cou icriv |»*r •*, K A C i T O M Q l l K

PÂRÂCHDTE DESCHEÎEOXii«> < ; i lA I< .n iK , «’liim iM te .

r.eUc com|>0'il«oii r .l inf«i tilito pour «rriler ,>mm|>«cmviil la iliiKe ilr* clievrus; rite en cotp^ne h tlccotunilioii. rieaoie j-aiJniienifUl te cuir rherelu,

I itf-lr.iit les iiuUièret ({iiiiMieuies el p e t t i fu tn tituii- f chillrrs ; jir» p»-omtV«fj it‘ÿénrraHtrcxJiu‘oti*tnl lu i repi-oUiirlinii île noux-nnix rhe. eu t, le» f»il êpR»»ilr I el le.» rend ktmpics el Rritlaiils. et emi>èelie le klei»-

vliimi'iil: c»n»M.«. — fr ii du nncnn, 3 fr. lu tu im ie a n»urn, rue du l’Ilûpilal, 4U.D fu t( dan» liiiiU’» le» villri. de Franee;A Sin i*. el.i* M. P JiH lberl, cuiÿ'eHr-parfu-

mei>r, place de la Ilallr, n* 33;F.t a llenuyai». M. lur.^jlfl, r e de SatpG»SaMewr.

COLLE BLAHGHE LIQUIDE.C elte collo R’cm plôie II froiri, R tlè réittpiftcc,

àvcc avantage, la colle iW p i le , la colle fo rte , la co llo h Iw urliit. On pftul s’en se rv ir p o u r iinpier. c a n o n , po rc e la in e , v e r r e . m arb re , liois, c u ir, l l ^ c . e tc ., etc . 5 0 c . l e -flacon.

A S c n lb . clip t M"* v« Hegmcr» im p .» lib ra lre

” KTÂT iÏI VÏI4 IIK SËIVLIS.Ealssanee.

Chcvillul (l.éonie*JulU*).Üécès.

Tllloy (Jusi'ph'LciiiS'Jpan lliiplisIe), 33 ans K inui».

Grégoire (AlrxQnrii'c*Céleslin). 10 Jours.Liiigiicuux (FloreiibFélix), 38 ans.

r« iM lc i i« i« n a « e IN a rla se ii» ^EnlreM.Varcnne(AlplioURr*Viclor), p rincipal ^

cle rc d e no taire i NHiiteuM‘le»lIaiidouiiii c l m adem oiselle Lafurest (Eugénie), saii» prnfcs* sioii & S rn iis .

E n tre Al. Von (Loni!(«Augusle). tailleiip do p lrr ie s à Senlis, el m adem oiselle Siiiitercau (tlHrie-Céline), â Moiitlignon (Seine«ot>Oise).

I t8

, 129 15

, M . 72 . 49 . 12 . 57 . -18 . 5G . 80 . Sf>

70

D E S C IIA T E L .% 1N E SO U L ’H T G I È N E V O H O T E N - A O E .

Celle IW made r»« .-omnnséc de plaïUc» i Imhb lont^we - - Dceravert par CIlVf.MIN. d » »iia,iu»cri« ee remcilf inlnillilile c«ait eitinlft« par nn»belle* .-hàtelainrs du mA;-.s-as« pour eo«»rr*er, jBS(|H a iSuc le iilà» av.iMée. leur, elieveiix d’une branlé remirtinaWr.'w prcMluU active avec vixvenr la rrne dci

‘ • ■........ a„ l.riUnnt, de la *o«iple»»r, et le* rinpécbedr blaiiehir, roa’eii «rrvanl journellement...r CIIaLHI.V, r>iiii)i*«r.parrnnieur, aRuneii, rue de l'ildpiul, 3 t «l lu

PHt.X f}V P O T t i f r . i o e . e l ^ J r .b o e .Di'iidl à S in l i s , ('liez M. P h it ll iE n T , « lifT ciir-parrnraoiir, |ila cc i lc la R a lle , 3 5

Il l i c m m i i s , «ihra M. l.»KOl.ET, ru e S a in t-S a u K eiir . .

A l A L A D I C SDKK 4'iilE.b'.*l. ■— l,a l*4iiiitrr

« i r V H ir in lo sg iiéril cl p réserve d e nuihiilic, I Ir. lii pa«Vi«!l avec l’m siruelion . — 8*oiii- uiadx* <S(* V H ir ln gucrissiinl en «piclq'ies jou rs boulons, g.ilo et l'ouii'S «*»pèces rie «”«r- lic s , le pot I IV. 2o c . — P o u r l’expiulition i*l le «léloil. :iT;t phiiini.a-ic, nu* «h* P oitou , 1 1 .» |>;„.jg. — Di'pol il .Spnhs, chez M. L .ix .W lt. ;ir«picliusier.

« E R iT tB L E B R O S S E El e c t r i q u eCkulm niullitiK. WOS-D’ARGENÇE

B R O S S E E L E C T R O - M Ë D i C A L E ' liK ■ i l B i i i W | C * i u i h l * I j M u l n i "

p iiu s . u o L n i n n > n t u i u s . • F i i x - . U f n a e i , « n t n > u i l « t d , p o ito .

G A FË D E S G O U B M E T S. n<- I..UI

éi.rii- «I

1 Jnurnalix ■ . dc-iirre» qi

,-l l,r.<iinpiM

dolico jWl

T Itr in C r t l ' i m n i , . . .™ . çm aiii. U.I.. I . CT...om.««ini.rt'illo a .-ctU dn cafr, cei a«im»«iqtn: prod»«il «le I .\ral««< hciirewsc 'ix.lr,r,qui!l» préjarali..» q.i'il *«ihit c l i;«uvre d "-■•e.r» l.ab.lr. leI pralicirn liabilr, le café

lorrérarlion a »iibi dct prcparalinn* inrapéri-» Inrliililr-VI II. i ----- - ' ...II., «n ’iiii.. r h i , , i - 11III,1-alx‘iide r l *ii»iP»<lr, lor»q«ie ~ .......*...........— . .. . • • ■

. ■ .»" I " „ „ r ,1«I. lie tii'iiv • il d. innmic des ctndo* srricMsr», de» *om» savant», une e»|irrience ,,« u. . \: .

...

mus les . .fjis ,/u, n'.iiu.tUiU /«.» celle ‘ '

r tstane et

â PotiLSainls*E tude do M’ PAYEN, n o ta in Alu.veiice.

r,\» ARJUPICATIOX VOMiXT.LIHi;,E h V é lude v t p a r le m in is lc rc du .M' P avex .

H olaire u Poid’SuiiitC‘Ma.i:cHCC,Le Üiniiinche o Ju ille t 184.), a iiiirii.

U i\E MABSO YSise î» Pont-Sle-M .ix«:nce, fauhourg «le Cavülc

1 I l c e l a r c 9 4 a r t . » c v u i

3 ) 2E n d ix piéCLS

Aux terroir» «le P ont et Poiitpo in t.p'aeililés p o a r lc pai«.*mcul.

Il y a tm itc sû re té p i'u r iicqtiérir. ü 'adrcsscr audit M' P.vves, notaire.

t-:iurierieM*RËMET ,hu iss ic frpriscurâ<:haiitm y

V K K T EA t \ KNCHKRRS PERLIOUE»,

M O B Ï L I C KHAT£B1£L ET TOITURES

A t i o t a v ic o ix ,/lu .1/ouli;i de M. A thille T iiin.vur,

Le» D im anche 2 8 . Luiuli 2 9 Ju in 18tî5. cl jo u rs su ivants, s 'il y a lieu, heun- rie miiti.

Par le nim t^ltre dudit M' H bmet,

C elte vente consistera priiicipahîm eni mi : une grande «luautité «le m eulries en acajou, iiovei el chêue , pour am onblenu-nt rie salon, sal'tc à m anger, ctiam iires à coucher, caisse rie sû re té , tistfiistles «le to ile tte , ca rtes géogra- phi (ucs, nom breuses peinture» et gravnrt s; tiillarri, lilene , linge, glaces, peniliil«'S vases, n»iiiheaus. lam pes; m om rcs, rom breux r i ­deaux e t t«;ni«»ri'S. usleiisih s «le oiii»me, gi -mlf'.iurneau-cuisinière, hiuiieihe» virirs;cliaiTiie, ho.s iriim usiiie . un graml m im bre «le lots «le bois hors d«‘ s e n ic i '. une piirte cnehèrtï.

.Maleiiel el 'isietisik 's «le m o u lin .fers .Id iite .Voiture» s«i-i[iemluf> et iKiii-snspeiulues,

harnais, — El b.MUcmip «l'aiiirts objetsAu C'wiU^Gu»!. l'ruW ordiiiairri*.

Ix s voitures et te b illard seront ef«iriti.s le 39.

E lude riu M' GKAD.X, notaire à Acy.

b Eg o l t e s s u r f ie uBlé c i Slclxlc*

T e rro ir rie Neiifcln lles,A v e : « o b e

r«r.\ Neufchelle*, n i h m aison «I école.

P a r le m in is tè re de .M' G raux, n o ta ire a A c j . I.e Dimanche S Juillet 1895, a mirii.

Facilités p o u r le pairn icn l. S ’a d resse r a u d it M* Gii vu.x, notaire.

2' s S H ^ S3 H»* s -T .

s . 5 J ? c 8.» —«4s ■ t> — a . .<

.% V I» l . n r O R T A I b Tdr.iii-t.aos C.vi-K nivS ,;OURMF.T.S fnit SO furlM •<•«*«» — r.V»« dono n«L- dr nn«rr rxirllm l lafe im . mile liar voii*eq«lcn« qwe •'ihon : 2 ’ t'ro’tiimic tle miiitié; S* ‘ .................... .e.jijnis ; urs.me sui>e>-/in

-.r» pciiir 32 srainmct. — criilimr»- U«-,Btlnl* : I" vive et Iransparenle

ftiiuie'mera ,'ujiérieitrt h celte Ue tuas tes cu/c$ du rommei-ce ,

\ Z ' m - t - i » >«•••• répBiîtio» rir le* «.«»y'n* raclire. de l> pul.t.ellé, ‘7 * '*i'i.lV - v V * td r *c.tiiîr.-n i.. «« •o i.m illiu iivdee liw t" i c f i c l i o n e l Cexcellenee d e teu rs ^ n n ltte s . %*•liliii, liâiit» * l il* jdii. lUnriir* irnioigMase* io«$oti«tcnU d^e jour uolw siuce».

Xoirv TArinr.V m gncmO pur du Brésil ; aucaii ne », , . . . i '" '' ' '" ! “ '" 7 " ' “T.iüï!?;:" - u “ t ,n '.. d W , . . » . .« o ..™ * .., lrè ,. . . .n ,m o .U . l » . .. i ia s ,™ . S .n

é , . . c , c , . . . . . . . r . i , „ - « . « ™ w , . ™ — >

r r r o u iin n c M S i’H \ \ i*oiit-SaiiUe.H«*i-)«r, B . T h lcrry«»«W gn y (.Irint-sn» et .telail)

it ndè*

T d Ü H ^ s it ■ ■ttCBii ne neut rivalitcr »vec lui |« r la liUm-tieBr, U m»'ml* gonrmeM ne conrundent pas noire Tapioca »ve«: upc

tûm im■’ . ï l i s s a «± 9 J S.T . S c.

DATES.v n . i , i : s .

25 JuinSetili».2U Ju in .20 Ju in .Deaiiv.u»20 Ju in .LIeniioiil.10 Juin19 Jm n.N anteuil.19 Ju in .

dutiÏM.VE D«/

M K t t i i l j H M A M s M S S .

FRONEirr rWMlUlT,, 1 BIKTRIL • 11 ' • 1 3 ' MOIHOX 1 1 8KI0LB. ORGE.

(iiiiT nté.lq ualilé .i l(|tt:ib ié. 1

" 7 0 2 1 1 0 9 0 IHI.OO 9 9 11 m ) (K> 9 0

7 0 2 9 7 0 19 s o i t 8 9 0 H 61) 1 2 OU

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6 ^ 7 256 047 50 0 08 6 32'8

du 17 J i ii .is K S . — l - m iiiliu i. 51 c. la kiliijjl J l li l i i ç : ;

Même l'inrie.

A C h i t n l i i lT , H u e ,C hezM . WiiKRLBn, cuDvihicur,

Le Dimanche 12 Ju ille t 1865 , !« iiiiilt.Par le MitHÛfcrc dudit M* Hcmkt.

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Pu par nous AfMinde'Idyilta de Sentit^^iii'tégati- ttlUsn d* ta y» W. Itc^HÎtr, apposée k r «i*v.

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SENLIS, IVPOr.RArilIE ET I.ITIRMJRAPHIB DE M - V' REONIER.