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Samedi 27 Jiiiii 180^. 1% 20. — SS'"' année.

r M iX 9 R l/A |ij»X X BM (R kT t„ « F . _ . , # ! J « a n . 1) f r » • e .p«c« ik V iu« . . . . j g,n 5 .

i lX DK8 lK «K K T raH 8 lreàt* i t ligne.‘ • Id ■

(NOÜCIannonces JUDICUIRRK.. ANNONCFS mvKItSES,

' • I - V

A N N O N C E S J C D I C I A I K Ë S .

’ l» i r S 'À M S K Ë

À 4*d1J«i lii b t im n d é Jpernni.plAc# de (el-dé>Ville{ — A périeicltr». H- .HAVf9«,nK' Jean^Jei^HM Ru«t(e»u, i|, et.çhç* l.»PmR-BULI.IBnctGMBpy f ta c c .d v U ^ iir te . ' df — ci citct les l.ibnire» a n dé|iaXcinçat.

CJe Jfturtial j i a f

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ri«, kont ûilèr i kTourrni.Iar>i(i«n' n<

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^ KaTrur, lawca nvee nne p t <té loiitc*

..Son pria

rf meme rue»

K K M J S : .

NAFOl.ÉON,P a r la 'g rà c e d e Dieu e l l a voloiilé iia liu iu le . K tnpereiir

des Français.A (eus présents el A v en ir, salu l :N . B lllaiilt, m iiilsln; san s 'p o rie fen ilie . eiti nom m é ml*

iikilre d ’E lal, en retnplacem enl d e H . le com te W alew ski. dont la dém ission est acceptée.

F ait au pala is d e Fonla inebleau . le ItS.jnin 1863.P a r rE m p e n ui : NAPOLÉON.

L e m in iitre d 'E la t, A. W alkw ski.

NAPOLÉON.P a r la grâce d e Dieu e l I» volniilé uatioiiale. E m pereu r

de.s F rançais,A Ions jirésenls cl é ven ir, snlul : s u r le rap|H)rt de im lre m in istre d 'E t a l ,Avons d éc ré té el décrétons ce qui su it :Art. I " . Sont pl»C('e.s d a n s les a llrib u lin n s du m inistre

d’Elnl les fonniions a ttrib u ée s aux m inistres sans porte* feuille p a r le d éc re t du 34 novem bre 1860.

A rt. 3 . Le n iin islère d e la Alaison d e rR m p ere iir prend le titre d« Afiawlère d e la tiaisoH de f£ m j)e reu r et des BB(iu.t»At1s. -

3 . JSonl dirtriUI» <l« n iinU làw d îE làlMatsoii d é V cm poreur

e t des BeauX 'Arts. radm iulslratinn< 'd^B eaU X -A rls. l’Aca* dém ie d e F ran c e à Home. l'Ecole dTfHKnes. l'Ersile sjié* ciide des Beaux*Arls, l<fs écoles g r a in i^ s du dessin, les niivrages d 'a r t et de décorations d 'é tm c e s publics, les fêles et cérém onies publiques, les encuiirageinenls des beanx*»rls. Kouscriptiniis. iin leinnilés aux a r tis te s , voyages el missions a r tis tiq u es;

Lu lhé.^tro. lu Conservatoire im périal d e m usique e l de décLimalion, le.« succursales du t^u iservalo iie , l’adniiuis* Iraliou supériciiru de l'O péra, re som eii et ra tiln risa lion dus ouvrages dram atiques, les eiicouraguinenls à l 'a r t dra* maliqiic cl niiisica l;

i'.us luoilutuenis h istoriques, te m usée de.s T licnuus et riiétel du C luuy;

L 'aduiiûislraliuii des billiiuuuls uivils;L'asile im périal du S.iverue. la dirceliuii générale des

Atcliives du rE m p ire ;La piibliralioii du lu ,('.orrespotidaucu du l'Ëmpcix’u r

N.ipiiléüii I " ;Lii graiiilu «'li n irullerie du l 'o rd re im périal du la Légion

d 'Iio iiu eu r.J.CS services liMUs|iorlês un m itiislùru d 'E la l p a r les ar*

ticles 3 el 3 du décret du 34 iiuvem bru 18Gi).Art. 4. Sont d tsirn ils du m iiiislèru d 'E ia t cl placés dans

les-Htlribulioiis d e riuslrH uliou putilique : •*' -L’IusIilu l im périal dè F rance . rA cadém ie de inêducitio,

l'Ecade des rh a rte s , les bibliulbèques Im péria le , M azariue. de l'A rsenal, d e Saiute>tienuvièvu: lu service général dus bibliothèques, le Journal des Savaiüs, les souscrip tions aux ouvrages d e sciences et de l itté ra tu re , les eurx)tiragemeuls r l secours aux' savants e t hotiiincs de lelti'cs, les missions scicnliflqm ^ «I litté ra ire s .

A rl. 5 . L 'adm inistralion . d es cultes est d is tra ite du nii tiislère de l'instruction publique et placée dans les allribu* tiouK du m inistère de la justice.

AU. 0 . Los rapports avec le .Voaifciir universel sont plu* rè< dans les allrib u tio n s du m inistère du l'in té rieu r.

A lt. 7 . N olrv 'm inistre d 'E ta t el nos m inistres de la .Mai* son de l'E m pereu r ê l dus Bcaiix-Arls. d e la ju stice , de l’iii' ié ricu r et du rin slrn ctio u publique sont clin t^és, chacun en ce qui le concerne, d e rexéculiun du p résen t décret.

Fait au pala is du Fonta inebleau , le 33 ju in 1863.P ar l'E m iipraur ; .NAPOI.ËU.N.

Le N ii' ii t fh '0 d 'E ta l, U i l l a u l t .

NAPOI.ÉO.N. ■P a r la grâce de Dieu cl ta volonté nalioiiate. E m pereur

des F rançais,A tons p r ^ e n ls et A ven ir, salu t :Avons d éc ré té et décrétons ce qui su it :A rt. 4**. At. Baroche. m in istre , pnbtidenl du conseil

d 'E ta l, est nom m é m inistre d e la ju s tice e t des cniles, en reiuplaccnient du .M. D elang le, d o n t 1» dém ission est acrsiplée.

M. Boudel, p réddeiit d e scclion au conseil d 'E ta t, e.sl

nom m é m inistre ^ e h n lé t 'ie u r . en rem placem ent do M. lècom te de Persigny, dont la dém ission est arrep iée.

M. Duriiy, inspecteur général de rim iirncliun publique, e s t nom m e m inistre de i insiruclion puiiliqne, en ramida* cernent d e M. Routniid. dont la dém ission est accepiée.

M. Béhie. ancien conseiller d ’E ta t, csl nom m é m inistre d e rng ricu lln re . du com m erce ut dos ira v a u x p u b lic s .c n rem pinrem eiit de M. ttonher. appelé A d '.in lres fonctions.

A rt. 2 . N otre m in lsire d 'E tat est chargé de l'exécution du présent décret.

Fait au palais de Fonlalticblenu, le 23 ju in 1863.P a r l 'E m peren r ; NAPOI.ÉDN.

L e m m islre d 'E tal, U illau lt.

NAPOLÉON,P a r la grâce de Dieu e t la volonté iKitionalc, E m pereur

des F rançais,A tons présents et A venir, salul :Avons décrété et décrétons rc qu i su it :A rt. 1*'. .M. Itoidier. m inistre de l 'ag rlc id lu re . du rom*

merro! e l des travaux publies, csl nom iu * m inistre prési* daiil le conseil d ’E tat, en remplaciununt de M. Baroche, appelé A d 'an tre s fonctions.

A rt. 2 . N otre m in is tre d 'é ta t est chargé de l'exécntinn du présent décret.

F ait au palais de Fonta inebleau , le 2o jtd n I8')3. <■ NAPOtÉONT'*’

L e int'ni'sfro d 'E ta t, B il la u lt .

NAPOLÉON.P ar la grâce du Dieu e t la volonté nationale. E m pereur

de.s F rançais,A tons présents e l A ven ir, sain t :Vu l'article 43 d e la C onstitu tion ,Avons décrété e | décrétons ce qui suit *A r t . ! " . M. le d u c de Morny est nom m é pré-sidenl du

Corps législatif.Art. 2 . N otre m in istre d 'E ta t est chargé de rexécution,

d u pré.sent décret.Fail au palais de Fonluineblean, le 35 juin I8i>3

P a r l'E m pereu r : .N.\l*Itl.ÊO.\.Le m inistre d 'E tal, B ill.vult.

"tous ieS Safnedtii

Le p irb isrile s u r lequel sc base la Consliliiiinn de 1863, en élablissaiit que les m inistres élaiimt respousalilrs envers' l 'E m perenr seul, a voulu n irtire nu ieriiu* à ces couipéli* tions d 'am bitions parleiiieiitiiirc.s. c.utsrs coiilinurlles d'a* g italiun el de faiblesse pour les g-iuvei'ui'ineuls passés-

Sans a lté re r en rien la force et la iliirrié d 'action uéces* s a iré sn n pouvoir, l 'E m peivur, p a r le déerel dti 34 novoni- h re , a vonln donner, aux grands corps de l'E tat mie pai U* cipaiioii phis d irec te dan.s la politique génériilc de son G onverueinent; m ais ce décret n 'a pas modiQé les principes fondam enlanx du plébiscite de 1852. (|u 'un nouveau pté* biscile seu l p o u rra it clianger.

i.a discussion p ins large ut plus com plète des alîaires publiques devant le Sénat e t lu lÀorps législatif avait motivé la création de niiiiislres sans portefeuille. c'est-A-dire du ininistres n 'ayant d an s les faits A délu iltre aucnnu part personnelle.

L’E m pereur, p a r le déci*ul du ce jo u r , leu r snb.slitne lu m iuislru chargé di'S ra|>porls du gouverucm enl avec lc.< grands corps du l'E ta l, dans le hnl d 'o rgan iser plus solide* m cnl la représenta tion de la pensée gouveriieniontalu du- vant les cham bres sans s 'éoarlur du l'esprit du la Consti­tu tion .

io! m inistre d 'E ta l, dégagé lie tou tes attrib u tio n s adm i­n istratives, el lu m in is tre présidant lu conseil d ’E tat, avec le concours des m em bres do eu conseil, sont désorm ais chargés d 'expliquer e t du défendre les ipiu.>tions portées devaid lu Sénat et le Corps législatif. {Honileur univorset.)

— On pré tend que le Corps lég islatif sera convoqué, dans un délai assez rapproché pour la véritication des pouvoirs.

— l.csiionvellesduN uw *Y ork, apportées p a r le 7mv?. vont ju sq u 'au '«3 ju in . La siliinlion m ilita ire avait peu changé. I.c siège de W irkshnurg co id innail. t.es confédérés, sons- les o rd res du général Leu, avaient reçu des renforts consi* dérables, cl paraissaien t se p ré p are r à envahir lu Maryland cl la IVmisylvanie.

Oh lit dans le Moniteur :« Un rapport ad ressé p a r M. le général Korey .A l'Empo*

re q r njnintu A renx (pii pmi déjà élé publiés dniis lu Afoni* tout; quelques déta ils curieux Lu 2 m ai, le chef cimeini qui com m andait le cndru <le Bunta liiez dem anda A parlpinèit- te r . io} géiiéral Umiuy ayant imvoyé lu lieutenanl Tnlpin, celiii*ci fu t nnssiîôt a r rê té , roiidnil devant le chef du cadre, q d i sc tronv.i ê tre nu réfugié iiahen , et m enacé d e m ort. Mais le général O rlrga , inform é du fa il, lit recondniru le lieutenAiil T nipin et im uit l'ofllcier coupable d e ce gnet* A'pens. AI. le général Forey ajonle qnulc.s d iscours pronnn* cés nu Corps législatif su r la question m exicaine par SIM. l 'icard et Ju les Favre ont été trouvés p a r niilllers, Irad n its en espagnol, dans les cadres tombés au po ittd ir d é lias soldats. •

— On lit dans le Coiislilulioitnel :• M. le général Forçy a ndres.sé an m inistre de la guerre,

p a r le dern ie r co u rrier du M exique, une sonimu de 33,770 fr . 54 c ., m ontant du la souscription de.s m ilitaires de Ions grades du corps expéditinnii.iirc en faveur des ouvriers cotonniers sans ouvrage. Cette som me a é té verilée dgns lus caisses du rriinislcru des fluaiiccs. >

•—* On assure, d it la France, que b* président Juarez, en appVènajil la capitniation du Ihiebla. n repdii, le 30 m ai, t i ÿ d é w o t .q a h irjy n n rtè >li4pi lili>i itd a iu rn ilq iiéffMWWiI :# S.IU Luis Potosi. clief'h'ên de la province oe re nom. Cetlu décision m ontre que soii ititenlion ne Serait pas de défen­d re la ville ce .Mexico.

— D’après des uonvellcs de Pnebla transm ises à New* York, le 6 ju in , l 'a n n é e françaisK tout en tière au ra it pris possession de la ville, et le quartier-général serait élubli an palais de l'A yuntam icnto. I.'arm ée mexicaine au ra it élé provisoirem ent in lernée dans let forts du G nadainpe, de Sau-Loreuto c l du Carm en. Les hab itan ts commençaient A vaquer A leni*s affaires. L 'étal .sanitaire continuait A ê tre s:itisf.iisanl.

— ü n e lettro d 'A lexandr'o annonce que les travaux du canal de Suez avancent plus rapi(|umuii: ipie jam ais : lu nom bre des ouvriers n clé augtiiunlû su r tuns les chantiers.

Pour c.rtriiil el nuhctioH : E. IlEG.MEit.

HaüVELlLS DÈPÀRîEMSHTâlES.

S R M L i I S :

D’ÉLÉVATION ET DE DIStD.IDUtlON b’E fdDANS U VILLE h Ê M N U S .

Lu ville de Seidis si heureusem ent s ilnéc , cl^cnlqtiréQ d ’eaü de tous c&téà,c.h eM èependant Privée, p 'dnr ses iisAged jôurim liers, p o ù r l'oHilienlatioti sattié de ses habltlèirisi ' ' et en mënic léitips pbur tm it cfe qbi lient aitx soins qu'exige ' la sn lubrilé publique, aussi üiië sofiiélé du plusieurs habi* - lan ts de la ville, espérant que -bientôt toute l.i sén éfa lilé de la com m nné viendrait se jo iiid rè A clic, a GtU ÔtiidreV sérieusem ent un projet de di.strilfnlioii d 'eau : Ce pro jet ' vient d 'è t r e ’ term iné, Sus résiiitàts sont des plus (ûilisféi* sau ts, cl la société s'em presse d'on cxpdscr le rêsùijiô d ’iiiie m anière siiicère A'scs coi^citoyens.. . La prcni|ci.-e cliosé i i réchercher é ta it de Irbiivèi* nii' nib* le u r pour élever les eaux à une lian leu r siifasablç 'pôdi; les déverseï] eiLsuito dans la ville. Ce m oteur n é té tro q fé dand ' le monllii d'Anm ont. Des expériences plusieui^ fois rêpé; tecs ont été faites p a r les hdinmès d e l’a r t, e t i ld 'jT ' c m i s l a l ^ | ^ | d a i . » l B i l n n m t n l . ~ - —

P o l i e s Oeii C lirm iU M <in f e r .Jusqu'A présen t, lus cîiumins de fer avaUmt élu laissés

en duhoi'S de l’action des com m issaires de police raiilounaux. S.'É 'xc. >1. le M in is tre d cr iu té rîe irr a proptisé ASa Majè>té de leu r donner, p a r une dlspiisition générale, .sur les gares et le.s pid'tious des lignes de fer situées <tans rélondiic de leu r circonscription, l 'au lo rité que le décret du 32 février 1855 a attribué aux coimnLssaires spéciaux de police.

Sa Majesté n bien voulu accueillir ccttu propusition et Elle a rendu le 15 avril 1863 un décret ainsi connu :

• Dans les localités traversées ou desservies p a r un che­min du fur, un il n’exislerd pas un com m issaire spécial de policé, le cummis.saire du pidicu de la résidence, o u , s 'il y a plusie.iirs com m issaires de police, lu rointnissairc ccnirat do police rxe rcu ia la surveillance du chemin de fer et de ses dépendances, cuiiforiiiéniciit A notre décret du 22 fé­v rie r 18.55, e t sous ta direction des couiinissaires division* naires de pidice des chemins de fer, iiislilués p a r notru déc ret tin ! " sep tem bre 1862. •

i:cttc noiivullu organisation répond A un besoin de sécu­rité ut d ’tu 'drc publies. {.Voniteiir de iO iso).

— P ar su ite d 'iiiic modincaliun qui vient d 'é trc apportée nu ta r if cummiiii des cliemins de fer du N ord, Est i>t Ar* ticmius, le prix du Ir.msporl à pelilu vitesse des sucres b ru ts , rafthiés cl vcrguoiscs p a r wagons de 5,000 kilo­gram m es an m oins, e.st lixé A 8 c. iitim eS |par kilom ètre p o u r 1.000 kilugrum incs.

— C'est l e i f i a r d i l l août qu’aura lieu à la Sorbonnc,, cette année, la d istribu tion solennelle des prix , A la suite

des grands roneoni*s, aux élèves des lycées ut ro llég is de Paris <’l tie Versailles, sons ta présidencu de Son Excellence lu m inistre de l'insiriic tion publique.

^ _ . .. _viron 400 m ètres cubes .dleatt, q iian iitâ ju g ée i ié c ^ a ir e .- en égard au nom bre des habitatils, J.«s eaux sü ra ifq l .èdrir du iles A une h au teu r de 30 m ètres s iir l'esplanade du ro n d * . point dë la porte BntuI Bleui, p a r nue pom pé m ue p a r là roue hydran |iqnc du moulin : elles seron t reçues dané deux ; bassiris ën Idlc contenant cnsem blé 400 m ètres cubes. Ces. bassins on réservoirs fe ront placés s u r une rH arpenié dp m anière A dom iner la ville cl A foiirnir de l’eau aux habi* tau ls, même au prem ier étage pour le plus g rand lionibre des m aisons.

De CCS réservoirs partira une rqnalisalion de tnyanx dé fonte d ’iin développement de 4,200‘ m ètres dans les princi* pab'S rues de la. ville. . . .

La denxièmo question A exam iner était celle du savoir quelles eaux sc n ira ie n l d'alimeiilaliol»? Celles dè rÀ nnètlc si: p réseniaicnl nntnrctlcm ciit, m ais d ’après les observa-- tiuiis des hom m es les pins ciimpûicns su r èétiu m atière, on. a dû renoncer A s’cn serv ir.

I.i’s eaux de i’.4unetlc sont chargéis de sels ca lcaires; elles traversent des m arais, piilraîiieiit avec ellc.s des d é ­b ris de toutes sortes,' cl ne présentalënt pas p a r conséqnrift ' la p u re té désirable.

Celles du la Fontaine de.s Malades sem blaient offrir plus de pure té et donnaient la quan tité supérieu re A celte qu'Aii devait exiger, m ais elles traversaien t égalém cut des oiut ra is , et leu r condnito jusqu^ait m oulin, p a r de longues trop profondes tranchées, offrait d ’assez grunde.s difilciiltéa.

Toutes le.s opinions de cn ix qui se sont oeeupé d 'eanx étaient qn 'on devait irotfver au bas m êm e d ii m nniin des nappes d ’can dont la recherche facile donnerait la qualité et la quantité des cnnx désirables. Cette opinion s 'ra l p ré ­cisément trouvée juslifiée p a r la tisltu qu i a été faite p a f un habile foreur d ’.4miens dont la spécialité est de sn liv rer A ces opérations, el qui s’est engagé sous sa-mtponsMbililé A faire parvenir les eaux d 'utiu-pitrclé i4Té|iroch;ihie s u r le rond-point de la porte Sainl-ilienl.

P a r un forage il ira chercher l’e'an darfs.Êfosrnnèhes-de terres dites des sables e l gré.s v érl^ ; <*e furage sè ra 'fb il jnsqn'A ce qn 'on semI assuré au moins d>< 1,000 m ètreà enl>es d 'eau on 34 houres; la quantité cl la qualité son t garanties p a r te foreur.

La dépense tolnle du rc projet, y com pris l'acquisition du moulin d'Aum ont; la pom pe, ta condm ln d'ascenxio», les b a iu in s . la canalisation , s'élèvera au ntaaN/nufn A 110,000 fç., e t ne pourra pas ê tre dépassée p a r l’entre* preneur, avec lequel un tra ité sérieux sera passé p a r an ë commission nommée p a r les actionnaires.

.Nous venons donc an jnn rd ’Iini faire ntt appel A nds-eon* citoyens pour l'e.xécnllon d 'u n projet qu i est d 'une u tilité évidente. 1.0 société nouvelle, qui déjà ednipte lin grnnd nom bre de .souscripteurs, a la conviction qiîe èelle én tf4 - prisé, qui déjà se réalise dans-les vllle.s voisines, appo'rtera line grande um élioratiun A ta ville d e Sentis; qu 'ellè p ro ­cu rera un bien-être aux hab itan ts en irn r donnant dq l'eau potable Cl apportera une uugnientalion notable à ta p ro ­p riété im m obilière. ^CouimiiHigué j

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A la stiite d u h c h im bre d e t'.lém unlhic é ta it un salnn Vaste el bien aé ré , ouvert p a r Irois'pnrles-fenôlreM ~sur le parc. Nolis y tronvAme.s un p iano : quand j 'e n approchai la pauvre en fan t, elle l'u iiv ril, s'assil e l com m ença quelques préludes qu i Annonçaient des m ains exercccs; puis ioul A coup une voix d ’ange m e Ql en te n d re le beau m orceau inli- tiilé iVoél : c 'é in il un chan t angélique; j e resta i eu X t-isc devant i^ tlo beauté si puéliqne, cliaiitani le bel a ir d 'une

‘ vnix Konnro e t douce qu i re ten tissa it dans le vaste salon si solitaire el m uet. J ’écotilais encore qu 'elle ne chantait plus, r l que. Icndaiit ses bras vers m ol, elle d isait en sonrinnl :

• — L 'est moniVoe'/f m a iiaiss.mcet m a vie! que je viens de chan ter. Mon cie iir com prim é resp ire A son aise ici... i'y puis nim ur quelqu 'un qu i est bon p o u r moi.

• J e devais passer Ift seuhniicnl tro is jp n rsp o tir le s petits arrangem ents in térieu rs e t pour fa ire é tu d ie r A Clémentine la topographie du châ teau . Afin qn 'ellu p û t le p arcourir seulu; il ino sem bla il qu'ellu avait besoin du moi sans cesse,

' et je ne la q u itta is pas nu inst.int sans inquiétude. Un jo u r que je fus obligé de m 'éloigner niielquim lieure.s. J e revins en cm irani liinl j'avais besoin do la revo ir. Ohoqito jo u r Je rem ellids au lendem ain A m ’u ccn iirr do mon d ép a rt. C lémentine n 'cn parla it jantnis et somt^lail heureuse. Ce-

' pendant, j ’avais toujours lo projet du p a r tir , de mu sép arer d ’olle et de ruveiiir à l 'o rls , et quoique ce (ttl d an s mon rs-

A <|ui ju -ii'élais lié qnu pour un moment : il y avait méinc quelque chose du paternel dans m es soins viglLuils, el ju ne mu rendais pas ramiptu du col lu espèce de scntim i'iit, qui, m algré l’a itra il du sa beauté, me f.iisait respecter en elle la jeuno tillu innoconle dont ju no voulais |ias faire ma

prit A l'é la l d ’une vague pensive qui s'ctraçail chaque Jour davantage. J e regarda is C lém enlinedans les prem iers Jonr.É jde iioli'u tnariagu coiime une personnu que jo devais q iiille r .

que ju n'avais du dro its su r elle qu condiliun d e consacrer lonlo m a vie à son am our.

• Le bonheur rom belliss.iil encore, les rose.s conlours do la san té b rillaien t s u r «os joncs, tous scs mouvumunls étaient pleins du grâce e t du joie. Cepcmiaiit. un jo u r qdu je l'avais qu ittée po u r d o nner quelques ordre.'*, elle.tceonrnl pâle, trem blan te , el je crus que la vio all>iit| rabaiidunncr.

• Qn'nvrz-vous, m 'écriai-je?. _ A ht vous êtes lAI... Co n 'é ta it pas vous, cl tom b.uit

A genoux, elle lendit les m ains vurs le ciel on d isan t :• — Mon Dieu I jo vous n^mercie, il u 'cstpascucoru parti !• i.e b ru it d 'u n e voituro l'ava it trom pée, cl j-: com pris

q u ’elle m o u rra it de m on départ.• — Oh I m a Clém entine, lui d is jo en la 'p ressan t avec

am o u r dans mes b ra s , non je no ponra is p.is vivre s.ms loi ! Y a-t-il jam ais on p o u r moi dans le niondu, dus émtdioii* d e bonheur sem blables A colle qnu tu [tuiix <lonncr?

• 0 ‘ie le d ira i-je . mon cher 1* ré iléric, lu so ir du eu jou r- là j'écriv is A P aris p o u r fairo vraiir m es mciildus, mon ilo- m esliq n eet mlllo objets pour Clém entine: ju lis ans-si lur- m iner m es nlbtires, c a r , j ’éta is d éridé A ne jam ais qu itte r ma femnio.

> Un a i r s’est pas.sé, et jo suis mille fi*ls pins henrunx encore qu e le prem ie r jour. C’est une vus m*n\cllu que ju ne connaissais* pas, nno vie du c æ n r e l du la pciiséu, nue vie idèalo A doux, sans nue m inute de séparalioii. nn vrai m ariage enfin où l'on n'e.st qu ’un seul ê tre en doux per-

! sonnes, e t où lea idées se m ulliplirnl p a r les ém otions. Elle ' voit dans tnon Ame e t moi dans la sienne; il y a lA rinllni.

La vie n 'est pas assez Inngnu pour un tel b o n h eu r: aussi cspérons-nuns qu 'il su conlinnura dans lu ciel. Arma.Xd.

M"' ANCELOT.

l l « i h o « l c R I E I b B I ^

rO U it I.ËS CO.NCOUItS d e m u s iq u e .

A l'orcasion du la fêle m usicale duvant avoir lien A Sonlis. dim anche prochain 28 ju in , il ne sera pent-élrc pas sans in térê t de faire counniiru A nos nhonués la muthodu simple et iogénien.su dont M. Biédol, rhu f du niusiqno du la C arde im périale , sc .sert, depuis longtem ps e l avec lu plus grand sucré'*, pour llxcr d 'une niaiilèru eu quelque sorto m atUématiquu le jugem ent du jni'y. et rc la séance Iciianto, sans conteslatinns, sans tAtntinuiuents, du Icllo façon que tes m édailles peuvent élru déccrnét-s immédi.ite* m ent aprè.s le conconr.s.

Ou com prend l'aciiRmenI que lorsque des ar tis tes sont appelés A en tendre e t A apprécier 25 ou 50 m orceaux, s 'il fa u t, ap rès chacilii d 'eux , qu 'ils sn ronsiillunl, qu 'ils ha* lancont le fort ut ’o faible, cela fait purdro un tem ps p ré ­cieux el prolonge lu coucnnrs indéfliiimeut. l’b isn ilc il do it a r r iv e r forcément ceci : c'usl que, si !«*s ju rés ne sou* pas ton.s posilivcineut du même avis, le mumhru lu plu-s iunueut dom ine ses collègnus et les soumet A son opinion, e t renx* ci l'adoptent d 'anlatil [)1us f.iuilemunl ({u'ils ont liAto do term iner. Alors lus innsiuiuns sont jugés p u r nn suul nu lieu d ’avoir lu vote ilu l.i majorît»'.

Avec lo procédé du M. Itiédel, tons rus inconvénients sm it éludés. En oulru , les lohluaux d-' cliaqnu ju ré sont nuu is après le eoncours en lru lus m ains <Ie lu rom nission do la fêlo el chaque m usique peut eonii'ôler si les prix nul é lé décernés loyalement : c'osi nnu simple alîaii’u de rhilfre.s.

Voici la m anière dont est conçu le tableau ipie M. Itiédel rem et A chaque Juré :

SIMESD’Ari'RKCIATIOX.

I Irèfiiirii.'i bien..X bien.4 faibte X irès*rnilile.

C'oncoura 4 e NeHl|a, < 9 Ju in I 9 AS. HARHOtKE ET FANFARES.

- NOTA. En rnT itc p.Triié mire itc-ut MuTiquoi, c*c4(*.T*dtre rcüni«»anl le inrme cbitTrv. i ft <]ni Arrive rarement, Ict Jure* r« Vbntullciit et portent une apprceiation rrrbale.

, t. •8

I 3- i ^ à

S <• 1 'Si

sl = | i h î• u s a i

8

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;SI i•3 a

1 a <■« «

= i 4 1 10 37

Ainsi lo ju ré trouve que l’accord cl la jqstcssp .soiil^VJeX bien, il éc rit un <1 dans ifl colonne y ddrresjiofidatil; i tm ti rc cl ensemble, bidn, il Uiet ùu '2 A rô lé i ithances.’/'nlèTu, ü h 4; soii (s'il y on a), très bien, un t . t'o! qui lui.^otlnÜ ufn total do 10 qu 'il éc rit daits la p rem ière (lolimde d ’d lld n ^ n s^ it dcniando A scs collègues quels Sdilt lëu rs chiffrés (^ i 'f if r - m ent ensemble, supposons, 37 ; réunis ahv siens, ccl.’i 'fb it 37, qu'il itcrit dans la seuotidu'êOlonnc' d 'additions. Ifnu an tre m nsiqno p roduira 22, n'iio a n tre 23, etc.

l'ü sera donc la m usique dntii lu lo lal'do niaiiVaiS points sera lu moins élevé qui ublicifdi’il laanibl.iillc (I).

l'.inio m élhodo du M. Itiédel .séra ëmplo'yéo dimnitcffè.'et nous nu doutons pn.s qu elle iro. soit irduptéè p a r la siiitu dans tons les concour.s. '

CnAKtcs lIEGNkRD. Seuils, 24 ju in 4863. - •

(t) On noiirratl pfrnJre te sjalèmrt intrrte. ce qui wtk'ËA nnire srn« plu» logique ; ii'ne pin» grovac siiinme riant luiijonr.» ptn» a^mbÎQ ({u'titTc plu» petite.

Page 2: lK«KKTraH A N N O N C E S J C D I C I A I K Ë Sbmsenlis.com/data/pdf/js/1860-1863/bms_js_1863_06_27_MRC.pdfSamedi 27 Jiiiii 180^. 1% 20. — SS'"' année. rMiX 9 R l/A|ij»XXBM(RkTt

I l

'■41

Y IL l.e W SEM IS.C'«MV*itrB d e IHauilque dH J u in

o n v a x 9 B i>A r f tx s .A onze h eu res , rice p lio n de lou tcs les Musiques. |>!«cc

d e C are , p a r le s A ulorllés. Proroeiuidc dans la vilir.Parcours *. Avenue d e la C.»re. — P orle Compiegiie. —

Ihie Weuvc-do-Paris ju sq u 'au faubourg Sainl M ailiii. — P liiceSain l'M arllh . -wRufi Vleilte-iJo P.irls. — A 11 heure/» i à , hUce d e l'Ilô tel de Ville, où le vin d'honuom* sera uOerl M it Ira, A utorllésA hw»le* les Uu.siqu*‘s. — Rue de rAnport-ttu4*ulfl. Plnco de la — R'Ut UuugiMiMilte. — R ue — Rue Neuve de Pa»*is. — A l ‘i heures eu* tré e ah (^aCbUfÿ.

L’ouverlure du seul b u re au dnnuau t eiiln 'e nu Loiicours, placé à la P orle Compicgne. au ra lieu é uuxc lie u n s .

P rix des p la n » : P rem ière, 1 fr .. Uruxiènies, 50 eoul. —Des conlrem aruues sero iil données A la KorUe.

O uveilurc du Bal A 8 heu res 1/2 — t'eu <1 arnfiec A 10 heures. Poi-te-Cumpiègue.

I.CS Inhit'aiils suni invités ù pavoiser e t U lum iner les ta finies de leu rs muisous.

NOTA. Un tra in supplénieu lalrc p a rlira de Senlis A l t li 40 du so ir. * Sentis,

leV ice -P résiden l, Chartieh.Verxois. l e C/ip/* de musique.

• I^Asma.reiTSCHt UetHAMÿi.: oo ï z w io s t ; V oizart; N. Drix, B ruslk;

I)t8.vcHT père : MitAUo; DwachvIU s; nRCAotv; Coicou- Lag.vrac; Ed. C ia rc b r t ; G oülas ÜIs; amory.

-* Un ü iiv rier éliéuLsle belge, occupé m om euianénienl Ah«s un. ébéuw te de co lle ville, a été m is vendredi 19 en è ù l d 'ârreslH lion, p ris en Oagraiil délit de viol su r uiio petite ftUc d e tro is mis e t dem i.

Dans la iiuU du 18 au 19 ju in , des arbro.s. essences «la (HIenIs, lapp .irtcuanl A'ia ville, oui été m utilés au pmil d é V ilievcrt, p a r tro is individus de Sentis qui oui clé mis «ij é ta l d 'a rrcs ta lio u .

— lu n d i d e rn ie r, pendant que les époux Roycii ctaleni Rlié> à i» iWe d 'àu m o n t, on s 'est in trod iiil dans leiir dom i­cile grande roule d e Coiiipiègiie, près le chem in de Bon- SèCQUW. e l on â p ris différent* objets. On pense que celle lû iia lîv à d e vol a d u av o ir lieu d e dix heures du so ir à uno licqicé d d ih a ^ n .

— St. L ouisL évy, o p ik ie n , v'ieiU d ’arriv e r d an s notre v tik c l a élaW l *ot» donileite. p o u r au m oins six w - in tln e s . runRongcm ^lHe, 13; ou e*l assuré do irouvurche* lu i o n g ra n d a a w lim e iit d e luiielle*. verres cmic;»ves el c o u v e u s c l tout ce qu i a ra p p o rt A la bim blollerie cl m« t i c l o d c P a r i* ü e p u lsp lu » du tln g l année* que M. I.évy v leal dan» nos m ur», 01» a ou qu ’à sc louer d e sa probiie en affaire*.

do t‘iifforti«*n du p.iys qu'ils Inliilonl , vous iliorcliproz comme eux A vous faire nim er cl csliiiie r. et la considérn- lion publique sera un éléineiil de plus aux juics d e volro h ilé rieu r .

• Nous savons Iniis qn une lc rrc bleu cliolsio et bien prép.iréo asèure le» plus riche» moissons. N oire bnu sens itnii* d it qu 'ii no peW en fiiro aulreiiienl dans-le» n u ria sc s

■quo lu solligitude paternelle a prép.iré.s el que l’union dé.s cœ ur» ciniciile.

► Nou» somme» donc ccrl.iin» de voir se réaliRor. Ions le» vœux que noua formons pour vuire houhcur, C csI «e qui f.iil ta joio de ce lte réunion qui vous adresse loiiles ses féticit.itioii». •

Oe discours é ta il roxpresslmi vraie des seulim oiils dé l’assislaiice. Il n élé .accueilli .avec la [dus vivo syiiipalhie cl suivi des applii^udissem uils de lotii l’audito ire.

PONT S.VINTE-MAXENCE. — Ou nous écrit de celle ilie. sous ta date du ’iU juin ; ,

M ousiciir le ré d acte u r. .A ujo iird 'iiiii, un nom breux c««rtège com pose d u n e

grande partie ilc luUrc piqml.aliou el d« personnes veimcî lin dehors, accom pagnait les restes m ortels d nu de nos cuueitoyuJis, M. Vidron. aiinicu ofiieior .au 1“ h issard:chevalier de la Légion d ’Iumncu»-.

Cel lionimc de b ien , enlevé A l’à.i« de o7 .ans à I alT«f.l«‘Ui des Hiens el île ses nom breux am is, éhiit vejiu se IImu’ parm i nous à la sorlie du service uiililRi»’c , e t il av.u»

Senti». 23 ju in .F rnm én l : I " q

î » fr . 5Û;3!* qualité . 00 fr. ........... .S «» g lc .l6 fr. OOIwiOO k i t .— A voine; i '* q u a h ti 15 fr 00. 1 ^ 0 0 hi!.; 2* q u a lité , 14 fr. 50

I " q u a liié , 29 fr . 50 les I 0 0 k i l . ; 2 ' m i.dilé . . . . /.iv r.. 00 ; prix njoyen 29 fr. 00. -

O n t r o u v e , c h e z M *' R E G N IE R , im p r im e u r

.... .

l i b r a i r e , p la c e d e r H ô te i - d e * V iU c .à S c n l i i. , tifis BitIc iR d e l a « R A O I B B I . O T E R I E ( l o t e i u e MüNTEXEnKiNE). — T i r a g e d é f in i t i f l e 3 0 J I J I A . d e p lu s d e 1 0 0 lo t s , d e s l o t s d e 5 .0 0 0 e t tO.UOO fr ., e < d u f tR O S L O T D E « 0 0 , 0 0 0 F R . — P rix l i a B il le t * 5 e .

IIOiNNEtilt.-BN-VALOIS. — P a r a n 6 lé p r i l i r lo r . i l .M. Üesain (Ctieune-Viclnr). ciiU ivateur, cousedler munie»- p at, .a été nom m é adjoint an m.aire du Uonncuil-eu Valuis, en-rum pliiceiueul do .M. latcour, décédé.

C R A M A N T . — L a N e n v it in c d u N u lrc -D a m e de Bon Se- c o u r i.c u n n ttO H c e ra I c j u i t i l i 2 J u i l le t . C h .iq u e je u r , des n te w é * s e ro n t d ite s d e C h e u re » A l u h e u re s d u m a t in . A é n r o jv é o 7 | M r c S t / 2 d u s o ir , s a lu t s o lle u u e l d u l iè s - s a iu l{ 8 a c ro m -‘n l u ré c é d é d 'u n e I n r i r u c l lo u p a r u n F rè re - I 'r é c h e u i Mgr l’E* v è q w d e B e a u va i» , N o jo u c l S e n lis pré.sider;» p lu s ic u i » c ie r d c e s d e I t N e u v a it ie .

CRÊIL. — Nous avons un déplorable accident à «m-egis- iH ir. M ercredi 17, ver.s sep t h eu res »lu m alm , le suuir ItéeioudtLÔiHS-Jacqiies). a m lo u u ie r su r le chem in de fci‘, à.li» g are «le IkcU, éta it occupé avec plusieurs do ses r.ama* rade» à re lir e r les travoN cs «pii riirm eul les ùtagos d unv tm o n à besliaux . i«ir.squc la d ern iè re de ces traverses MfltH bnseuiù, re u lra in a dau* sa chu te . Le s ieu r Rôiuond lo n b a si m alheureusem ent que sa léh* purla la p m iiie re 9 s r ou ra il e t déte rm ina im m édiatem ent un «•paucbemeul SM cerveau . T ran sp o rté chez lui, il m ourut yei’s tmi» b«:nre8 d e l’après-m idi, san.s avoir repris oonuaissaimc. Il é ta il tom bé «l’une h au te u r de 3 inèlr«?s 50 ceulimèire.’ .

LIANCOERT. — t'.citc année comme les précédenlc». la» au to rité s d e ta ville d e Liaocourt n’ont rien épargné M t r donner un b rillan t éclat el on charm e tou t particu lier ^ | 3 là ià pa lrouale qu i au ra li«Mi le» dim anche 5, lundi G cl flM trd lT iu iU elitG S. Les extrait» du program m e que mms alloos Irau se rire peuvent donner nue Idée de rc t |c féle qui atliroéhM U e année un public nom breux, jaloux d* prendre p a r t au'X d ircrtisscm cu ls e t de visilc r les délicieuses pru- n a M d M d e L la ü ^ u i'L

P eodau t le» Iroî» jo u rs do la féle, jeux 1res viiné.s. lo iudl, à 2 heu res, dan» une vaste salle dépendant de

• rim blhw em dnt d e M. U to u r , solennité m usicale et artis- tique orgoiiuée p a r M. Som ary. vioiouceiiistc do la chapelle d e rE n ip e reu r . , . > ^ .

H a rd i 7 . à 10 h e u re s du m atin , g ran d e parité de boule.— A 'S te o re s , tirage de la tom bola s u r la place publique, en présMtM de» auïorilé?» locale», avec inicrnièdc» «Je m«i- tdque vocale e l instrum eiita ie p a r le corps d e m usique cl l 'o rp b éo a de Idancourt.

O u q u e jo u r d e In fètc, but sous une vaste ten te parfai- iQ M n t décorée e t é d a iré e . — L’orchestre sera coihposé

distingués sous la direction de M- Julien.'io t ts le* M in , g ra n d e illu io inaliaira ii g a z su é la belle

« la re de L lancourt. . .s n p rix au fusil se ra t iré à roecasion de ce lte féle pa-

Iro M lê . I e s 5 ,6 , 7 , 8 ,1 2 .1 3 .1 9 c l 20 luillel prochain.

M liX O . — O n nous éc rit de ce lte com m une qii'une inU^^ evaii a t t iré récem m ent une affluence

L fd ib ia t au m aire , donnait sa flile en m ariage à > d u m aire 4e'VII|«urs-»uu» S iiin t.|.eu . On

' « Éassistsuec beaucoup d e noiabllilés de rxir- L Nmis avons r e ^ r q u é 1 . le baron Hmiutpr,

M us-préfc l, H-1« Itçrou m aire d e Xello, oecom-p agné à c i r * la baronne $ e U l i ^ p l de sc» enrm l».* A l'isaM dp n iarU ge civil, H . le baron ScilUèrc n pro*

n o B c d ^ v p n t :

> \À 4i' ÜttIrjiaitoBa qu i v«tus v|enneiil de toute» part». Je vcusN ondrii k s mienne». Elle» sont aussi sin rères qu'alTro

> L a jo ie qu i an im e celte réunion m ontre com bien chn* cuu d e nous es t s û r que votre union »'ac«wmplit sou» *.e» Id n aheuren» atisplees et «Ion» les condition» le» plus fuvo-

. L ...,,.. 0 .. .M ., ......ISlA.i nSntnklsa nul nnl Hn VOUS

lllll illl lioun « ni nunj.. ».u ..... ... w .............. - ' . .trouvé dan» une jisRociBlion coulractéo avec un «islunatile nég«Kiaiit en vins de la cilé, l’éléiiiout nécessaire A sa vie

*\t* 'priiio arriv é dans nos m urs, il avait «'lé désigné p a r le viDU de lous pour com m .uidor «'.omme rapitiiiue l.i einiipa- guie d«‘s pom piers, aussi ceux-là «lul avaient «u a «dieir a S.I douce diseiptiue lui ont-ils rendu les honneurs qu ilm érila il. ..................................

Au ciin«di«;n*, lorsque le p rê tre eu t «ht la d erm cre prim e.itohiu, v.*nu de Senlis pour ad resser un d«*ruier a-lnui

un ancien roinpagnoii d 'am uîs, s’est exprinié am si ;• Celle tombe qui s’enlr'ouve vionl de recevoir les re.slcs

m ortels d ’ui» br.iv«î ol b.yal officier; perm elle i-m oi, M«;s- s ieu rs , avant q u ’elle se referm e à jam ais , de d ire un u«u- n ie r adieu à celui qu i assisla, lui aussi, à toutes les plias»;» de la terrib le gu erre de Crimée.; c’est là, vous le s.ivez tous, qu ’il reçu t l’épaulette d ’iifficier, récom pense qu il avait du reste si bien m éritée e l p a r sa d ro itu re d e cara»5; tè ru e t p ar ses services dévoué* et intelligents. Mais si ül. V idron é ta it un officier do mèi i\c . il é ta it egaicmeui d ’une bravoure «Iprouvée. aussi, à sa ren trée en F rance, se» chefs le désignèreut il* parm i ses braves ra ran ranos, si m éritant» eux-ménie», comme le plus «Uguo de recevoir la croix, double symbole de l'honneur et du cotirage.

> Ici s’csl a rrê té e la ca rriè re m ilitaire de M. V idron, ca rr iè re courte sans «loiite. m ais liiibicmcnt rem phc « l sou rian te nu inom ent même où il re n tra it »Lms la vm p r i ­vée pour se «-.onsaerer tout en tie r an honh«mr d e celle qui venait de hil confier se» destinées. M aiutcnniil, M essieurs, je ne le su ivrai pas dans sa re tra ite p ré m a lu rte : vous avez tous pu apprécier el la bienveillance de son cœ ur el la noblesse de scs sentim ents. Sim-èremcnl attache au pays q u ’il avait adopl<>, il voulut in e tlie encore son inlciiigence et son dévouera.mt au service de ses nouveaux conci­toyens, et voilà pourquoi il accepta riio iiueur de com uiiin-i «1er ce lle brave nm ipagiiie de pom i'icrs, qu i elle aussi a scs cham ps de b.ilailU: cl scs dangers!

• Tel a élé , Messiciii-s, l'iininme que nous nrc.ompagnons «'iiijounl’hui à s;i dcrnici'i*- dem eure: «Mileve à la tleu r «le l'jige, il «Miqnirtc no ire csliiuu e t nos re g re ts ,, m ais «lu h au t du ciel il veillera su r la douce compagne ( |'i’il laisse ici-bas cl s u r le pauvre enfant ipii f.iisiiil sa jm e e l s*»u iioiilieuv. .

» Adieu, mon brave Vidron, repose en paix ; ailieii une d ern iè re fois! »0.6* éloipicnles et louchantes paro les, prononcée» d une; voix cntrecoupiie, el que je suis heniTîUX de'oiis repro­d u ire ici, accents d 'un noble cœur, ont ém u Ions les assis- Innts; eiles ren d ro n t, je l’espèro, le «nilme et la rtîsignalmii à la jeune veuve de .M. V idron, «ujnnnl’hul si crnellemenl

em porlnul nvco»m le souvenir d ’une éi binme ol si délt- vltmsH jo u rn ée , A neu rh im rcs . tout é ta it re n tré dans le calme el le silemie, e l nos jeunes éeelicrs rc loun ia im il q.u sein de Icun» flimilles tou t rempli» dé» impressimi» du jo u f , se pi-omcitatil biefi de faire à leurs, chef» parent» , «V»nl de preudro leu r som m eil, le dèlnil d e si déllclbiix iïi<dniinl*. Füul ê tre quelque» uns, nccAblés p a r le»' bxigehces de Moridiée, dure iitd l» renoncer sWtijil itàrrci* e t a reclletli*é «u Inndeiwiiiu la su llc do leu r ré«;it. 0 ‘ioiq^u’i! en soit, lou» s ’e tidurm ironl cnlhousidsm és. >

— lœ s ieu r Krnosl-Léou Uencitrolle, âgé de 37 ans. ma- n o tiv rie re lc é lib a la ire , atteint dallA niilion m enin le. s e s t je té m ardi d è rn ie r dan» la rivière «l’Oiso, d ’«iù II a éUi ro- liré sans vie, m algré les efforts faits pour le sauver par les sicui's T erreu r , aid«î de pont, et C agnard, éclusier.

SAINT VAA8T DE-LONGMO.NT. — Un vol de 12 kilo- GiMinme» d«5 laine, valnnl 24 francs, a élé continis au pr«'- jud iée du s ieu r Lofort (Iules)', cu ltivateu r à Sainl-Vaasl. Voici «laiis quelles clrconslauces :

Le 11 ju in , le s ieu r l.eforl, ap rès nv«>lr fait faire la lonlc do scs m«ut«ins, nu iiombiv do G6, avait déposé» le» lotsniis dan» sa grange, dont lu porto no fiu'iinî pas à «def. Ayant vendu Cüllo laine à liv rer lo lü à Senlis, il fut élouué de ne tro u v er que 63 loison»; il lui «n m anquait domt tro is, pe- sau i «mviron 12 kib»s. L«î vol a d ù é lre com m is du U au 16. Ôuanl à l'u n teu r. il est resté inconnu ju sq u 'à ce. jo u r, m algré les recherches faites p a r la gniidarm erio de Boni.

coâ‘»'eclio»*Ê»Pll0 etc H eaU n,

pRKSmEXCE IIE M. Vatix.

Autlience du mercredi 21 Juin 1803.

I.ouis«‘ Reine Lever, d ite D idier, femnte «le Achille Üre- l«mvi!le, âgée de 4* ans, dcjiieurant â Suinl-Valéry et à Senlis, où elle est p rop rié ta ire de l'élablisseincnl appelé lu caserne de passage, se pr*'senle devant le trib u n a l avec un a ir do tcllo feinle dignité, un aplom b ap p a ren t lellemunt prononcé, qu elle sem ble se cro ire en m estire do d«i.sap- po lu tcr les hontm es les plu» soupçonneux c l de dép ister la ju s tice , si celle de rn iè re voyait les choses au-:si superficiel­lem ent que la ntajnure p a rtie d ’un public pourlan t avide ordiiiuiroinent d ’ex trao rd in aire et de m erveilleux. La dam e Breluiivillc, m algré sa posliiôn ou ne peut plus alséo, est prévenue d ’avojr souatruil six billuls de banque de IW fr. cnar.uu d an s un poriiTeuille «pi’iin s ieu r Rlché fils, cu ltiva­teu r à R aray, au ra it oublié ou égaré dans un cabluet où il avait p ris «lu bain dans ré tab lisse iueul «lu s ieo r Biiind. La fem m e Rsadonville s’élaiV rendue avec tiuc «lé se.» am ies «îl la liilc de celle am ie dans la m aison de bains du sieu r Buuel, à Senlis, pour s’y baigner. I.a prévem tc ayant .stimulé l’ainour-propre du chef de la m aison p a r des cum- plimeuts s u r la tenue «le sa m aison, celui «:i lui fit voir eu détail s«;s appareils e t se* agra«»dissement», nolam nienl i«« ra b in e l q u ’avait ocr.npé peu d 'instauN avant le nommé Riché, doiil le poilefeuilie était tom bé «le sa poi-he «m je ta n t .sa rcdingcito su r le dos d ’um* chaise. La petite fille qui accom pagnait les baigneuses avait ajieir.ii seule ce por­tefeuille <;l en donna avis à la femme Rrelonville. qui lui «lit quand elles fm vnl seuUs iLms leu r cabinet : « Va «loue, cherr.her ce portefeuille, il cim lient peut-ôlr«j uo tie for­tune » L’cijfant ayant obéi, le pniicfeuille rem is à la |ir«»- vcmn» est i»ar elle ouvi’r t , visil«% scru té , e l déposé su r la I

nem cnt, 51M

C O V R » ’A S S I S E S R E 1 ,’O I S E .M iic le m e ilu i l . lie •‘.«““ fi*"'

iippérlarê d Amieii»- AiidtoACc d u 1 8 'Ju /n .

4 C r a l { j « V I v l H * ’

V oiqua i/Ü . .l>,ins I.I lulil du 0 an If i d ifc r tib re i s d î , réveillé cft su r-

»eiil iiiir le l .in il d ’im e e r re e n h r W . fii e le jn W r e , lior- I..Si.r a Verbçi;!.., ,« |«Vi''A Pf«‘ ¥ ) f W W '* ^ i ,S Î 'S une, gi'àc«! à «'être efliracliop,levées «le sa dcv au tn re , d o n t U avait eu 1 im fjruacnce d e biism r les volet» ouverts; le* pasd u m alfa ite u rs entend» enl oucore dau» lu direc tion deC om piègne. Le»m ontre»xm lées ap«»art«îuaienl -à des c lien ts d e F r c r c t Ü n e n connaissail poiirt le» num ére*, U dewiU d « ie aH e»dr« ÿ l« v « a |ç .Ja révélation de l’a u te u r du c r im e ; ce lle révélallou ne se l |i l ia » attendre . En février 1W 3. un s ie p r B otirsie r apporta ll à F rère nue m ontre q u e celui-ci reconnut Intm édiatem eiil pour uiic «le «’ollc» qui lu i avalen t é té dérobées de***” *®!* auparavan t. B oursier d éc lara la te n ir d ’un n p i n ^ (TitflBl (Adolphe) à u é d o 1 8 4 0 » . dem oilraiil à . t ’iltevrièrf»» avep lequel il l’avait éciiaugêe conte la sienne p ro p re , b ien nifé^ ri«!ur«î en valeur. . , - ^ , _ .*r

T irict du t «m m uiir «locfrfait* ap rès U v o l r niàloo^tefols. Il fut lr«mVé ilnm l d ’tm è du tro m oulre q u iJ u l égà lem en l rc .5ouuuiî. Gomme de la prem ière,' H avait e tierraé à se d é ­liai l asser dcèellH ci p â r u n éohknge; mdl» la mèrq d u jeu n p homme à qpi il avaii voulu la céder-, sonpçpitnanl. à cet obj«‘l uucorig iun fram lnleuspi »vaR iail.rqm p.rq le n^ rch é .; T irlet prétondil avoir acheté ces deux m o n tres au m ots a e iiov«*mbr«j de m archand» inconnu»; o r ; à ce tte époque, rm io «!t.»il c a irc le s ra a in * d e son p ro p rié ta ire , e t l a u t r e .tvai/ét«i confiée à F rè r e . .

Celte allégation invraisem blable se ironv .’ donc dénieDl.ie et il est certain qde TIHed e s t l’a u te u r d u c r in te eom m is dan» hi nUil du 9 au 10 décem bre . Il p a ra it , d u re s te , sé* tre déjà livré à ce genre d e vol, c a r il a vendu au m ois d e mai une m ontre au s ie u r M ontîer, d o n t II ne p rq l non p l j^

I propriélé^ Ij iroU iém e ra o u tre so tis lra ile ch e x le sieu r Frè«*e ii’a p a s é té rotroutféei. T ir le l e»l depuis Irçw

cha rg e« feà a m è re -è l‘ av th ieav en ey n lsm e q u i!ne veut pas trav a ille r; il est signalé com m e se Hvmiil a n

(jti de vos abonné.*.

.1.111,II 1..1* |.... ... . . . - , ,able tte d ’un p«>cU‘ «-u a ttendant «|m‘ plu» ta rd «»«i le icpnr- .Al S l.’« place oii il avait été ram assé. N«»s balguciises de-

,Tieurcr«ml con tre l’ur«hiiuirc deux heur«îs «uiliènîs il.ms le liaiu, el peiniatd et» ti-mps, h* sj,Mir Riciié, t|u i s’é la it aperçu «le la dispai’iliou de sou [«uriefouillc. é tan t v«mii lo jvcher-

er , avait fait v.ioarme dan» la maison et crié à p lus .prises : J«5 sui»v«»lé! jn s«iisvolê! I.o»clois«inssepar; m t t^>rl mimn's, ce «i«ii se passait devait ê tre «ntl

iustitier la propriélé^ T j i r o ù i é m e ra o u tre so u s lra lte M e x te sieu r Frèi*e ii’a p a s é té rotroutiéei. T ir le l e»l depuis trç w mol» à la ch a rg e « feà i m èrc- cL even eïul*n»« qu^w ne veut pas trav a ille r; il esvnl depuis i'àgo di* Ifl un». , , t.„

M. «le M aidfenaut, ju g e supp léan t, cccûpe le Siège «lu niinisière public. . j ,

M* Rose, avocat nom m é d ’office, e s t àU banc d e la do*

l.e ju ry ayant adm is des c irconstances atténuan tes, T irle l a élé condam né A 5 an* dè réetiision.

A ffalr* M IIIhl 'c i . q u ffU flé .

Dan» lo courant du moi» d e d écem bre 1862, le g a i^ e - cham jfêlrc de M.mchy-Humière» re m a rq u a le» vi»it*‘S fré- auentes nue U* m mmiô BalUn, hom m e m al famé et rcprm de ju stiin '. fj«i»ail à la chapeltc du C alvaire; un jo u r qu i» l’en avait vu so rtir , il trouva s iii son passage une clef, avec bducU c il ouvrit I» porto du chœ ur. Le tronc d««tinô à n-cevoir le» offrandes d es fidèle* é ta il com|»Iètemenl xide. |.e g ard e ap p rit a lo rs d e M. le c n ré que depuis qtiolqtto t.-inns il u’y avait jam ais d ’argen t d an s ce tronc, e l que la g rille qu i «h'feudait l’accès dn ch œ u r é ta it souvent trouvée «mvcrtc. t.a s e r ru re .même avait sontTert comme d e l iu tro- riucliou d ’uuoclcf é tra n g ère et ne pouvait j*lu.» «.Ire fcrn iie q u 'à un »«;ul tour.

ié à plusieurs iralivcs !Uten«lu

....... . pi*ud.iut se gar«lèreul bien duluoiudrc numvcinciil. Riché étant parti après les reciiercltes

cher rep r étantp a r l«‘S b.Hgneuses, qui

, u r i i i . i r q « i e r d - ........................ - , ,•J.«‘ ItMiibunain «lu jo u r où uv.iieut d isp a rû te s d e rn iè re s pièces q u ’il avait dépn»«T» dap^ le tronc, le g a id o en tra « liez le s ieu r t.am idiaux . b o u lan a n re t d éb itan t, au m om ent «m Ballin «tn sortait ap rès y avoir prb» U!t |w tit verre de II- q .ieu r qu ’il avait puyé^ *;t il c«Ml»tala que.*®.P*dcmpulaY'ail éic.fi»il avec un des »«uw marq««H p a r lM>- La veille, Balliti avait dem andé â boive, mai» le d é b itan t avait refuse parce qu 'il ne |»ouv4il payer. . . . -,

C'cst à ce m om ent, san s nul d o u te , que I inculpe éta it allé «h'valiser te tro n c d e la cbapéllc d u Calvaire, c a r |ieu iipré.» il é ta it revumi rJie* U m id ia u x e t avait payé sa dé- iHtisu avci: une p ièce m arqm ie q u ’on re trouva dan» le com ptoir, litm perquisition fa ite a u domicile d ç Bafiin amiMia la découverte dlupi couteau volé à Lam idw iix, d au­tres «>bjtq»d’orig ine »«t*p«çle el enfin d ’une graude «|uant«lé de clefs parm i lesquelie* **«ii tro u v a it une qui o u v ra it la grille du clnnur. : ...

Eu piVisenro du t«iute» ce» charges, ^ 0 9 » ' avoua le» nom­breuses s«»uslr.ict1«m» q 't’il avait.fqifç» daii» Iq çhapeUe du l ’.alvair»;. à l’aide d«;s deux faussé» clefs qui Vù» étafciH rc- pré.seuh'îes. In terrogé p a r le juge d ’instruction ; U ré trac ta SI S av«îux; a in frq n té a y c c i’adj«»iii| d e la connnune qui.avail reçu s«;s lirem ières déc lara lious, il confessa »«>u ç n ro a pour la iroislèm c fol». P u is , qomine *’li, se fa isa it iRi ieu dp jus- lire , il est encore revenu à un sv»lè«ne dp dénégation» dan» lequel il a persisté. Toufp» le* dérisiralfoR» faite» alftt2.P»V lui afin d ’explw ticr Idprovenauçp d w avoir rem ises à Lam idlaiix ont é té recoim iies iiiensongçrc», l't apporlunt uiiê ftirt'o nouvèllè à la prévention Butliii a ..................... -uatloiis. d«>nl tro is pour vol. H se

r.iM«;». Eu e lb l , aux «inalilé» ain^nbles qui ont dû vol.. aUff4?r ro h b « h » ra n ir« et qui feront Ife cliariûédo 'vo ire vi;* li ittr lr itré ; «or4 jolj^nèi lotite» ti^garaolTqp bôjDTiéur q u i «n irnnveM dan» lo<« bon» exemple» e t («» trad itin iK de f n l t te . Elevéïi pitr de» p.irenl.< qu i jouissent do rcsilm e et

— 0 » ccril à la dul«i du 22 ju in ;. Hier, jo u r do la f.M«i de S.«inl-Loui» d«! (.unzaguc. pa­

tron «le 1.1 jeunes».: «duéliciinc. le» IV iils Frèr«:s de Mai le, qu i, depuis iiieutùl Imi» ;m», dirigtuil si habibmii'Ul iliius im tre cilé le psnsiimmil de garçons, ftimlé cl «;«»ntié a «nir»^ soin» p a r M. le «’iiré d e là paroisse, d .m uaieul a leurs élèves «me vêrhable fêle de famille.

» Dès 1 aubo du j«iur, ces rh e rs cufau!». sou» la fouduiie e t insp ira 'ion «le leu is bons m aîtres , saluaicnl déjà avec bonheur n n ie fêle, pour eux si sideuneîie- R«:ums dans l’exci’cire de la p rière , «Isse plaisaient à ren«lr«: à leiirs.iiu l p ro lcr lcu r leu rs homrti iges et actions «le gràr.e.s avec l a r - «h*ur de leurs v«mix ül «le leurs su|iplicalion.s. Coiunie iN priaum l avec ferve«»r saint Louis de G'ujzagtii' ! Guiiuiiti dans r«’:laji «le leurs rieurs il* souriaien t :« «;ct am i «lu «•.i‘d!Et combien cet aim aldn sain t du t recevoir avec empr«!»se- ineut les élan* d ’am our de ce* icuiie» cœ ur*. Vuda pou«'-m fête de piété. . -,

» Mais là, comme oit le pense b ien , ne d»*vail pas ^ b o rn e r po«ir ces cher» enfin!» ce j«»nr »l «lésire. Après h*s ofU«œs dit jo u r , ren trée dans l’in té rieu r de sou p«;nsi«muat, cette jeunes»»!, si intéressante, se livra avec l 'a rd e u r s t na- tu reile à cet Age aux jeux miprovi*6s p.ir eux et p a r te n is exceilents m aîtres. Gomme l.i jo ie rayonnait alm-s s u r l«»ns les froulsi el qucic lt.u rae d ev o ir ces chers enfants p rendre tou» p a rt à «:es jeuxl G 'élaieut les jeux de balle et de idnii», e l an tres d 'adresse, où chacun s’appliq 'tait ,à «sxceller. I m» une m usique bruyaiile, eu rapport avec les joie.» du jm tf , se faisait en tendre pour donner plus «le vie encore et r a ­n im er an besoin, sinon l’a rd e u r do tous, au moins «le quel-

3iii-»-nn». AusrI, spcctnienr» et auditeur* ne laisaieu t pas éfau t, c l, dans la cour «te i’élablissem ent, bon nom bre de

parents se faisaient un bonheur de su ivre de» yeux et «lu so u rire l’élan d e no» jeune» écolier» Mai* cela n’é ta it poiir., a insi d ire que le prélude d’une fête plu» ravissante. A toute solennité II fau t un banquet, e l c’eM ce qii’avaieiil com pris iiiLS bons F rère», q u i. su r les cinq heures, afin de donner à co tte jeunesse , qu 'ils aim ciit tan t, une nmiyelle preuve d e leu r teiidi*e»se et vive sollicitude, les Invllaienl é passer au léfecto lre. devenu mieux que jam ais une véritab le salle d e fw liu. A peine la prière récitée pat; M. ledoye ii. q«tl p résidait an banquet, assisté d e M Ip vicaire, fut-elle 1er- tn iu ^ , que chacun s’assit à la place qui lui avait ét«. assi­gnée, et com m ença à faire honneur aux m els qu i étfilent Servi». Oh ! Il é ta it beau, d it un tém oin u rn la ire . «le voir et «ren tendre d an s sou biiigage ce tte in téressan te jeuné»»el Comme ilsé la ib n t ln?urcui, ces ch«»r* enfant», de ne j r o i r ainsi réun is «’l servis avec tan t «l’em prcssem ent p a r lèiirs iMMiiiet si vénérés m:i»l'resl Inu tile «le d ircq u oïl fit honnêiir au féstlu qui fut o u ro iin ô p a r uii to.ist po rté pat* tuus a la san té de « . le doyen et A lu p rospérité d e tou t t’etabhsso* m ent. . . . .

• Rien n ’avait été ménagé pour rendre le tout aussi con­fortable qu 'î p«i»sible, tnftm«i ce im idiiit qu i nous viéiil «l’o u tre m er, et q u i, Itirréfié et inoulu, d«mu«*. c«immo on sa it, ce lle liquoursi su:ive«*t si arom atisée, nom m ée liq u eu r noire ou café, éta it servi à toiw. Ç on é ta il a»s««, c a r tes ieunes cenrean* au raien t pu com m encer, eux .aussi, A en - i r r r o n uni! «îbrtainc ébullition. Lof g ràw » furent adressée» au Beigtieiir, e l a h r s r«*comniencèrenl le» |cux plus iuteres- «anU : Jeux do bague, course» au sac, «’tc .. e tc ., et jeux xl’adresse, le* yeux b.imié». auxquels assistaien t en plu* sra n tl nom bre les personne» de qualité, au vi.H,igc heureuxgrantl nom bre les personne»clsym im th iquc. De* prix , «ko .reo t d re rn cs au b ru it «lu tam bour c l des fanfiires qot ne cessaient do se faire oiiicndrc. el quand chacun , heureux

le* plus m im itieuses, la dam e ü re to n v ilk eiiv««ya la pelito fille repUicer le portcfiuiille, v«'uf «les b illels de banque qu 'elle avait soiiffiês sans «luiî, selon toül«! appureii«*e, les «leux compagnes v (ivient aileiiliou et s 'eu apeiçunshl. F.ii so rtan t de lu miiisun. la «lame üreiouville «l«mii.i 2U «uui- tiiiies à la tille «le scrvi«;e. "••ii«h-i‘siie qui su rp r it «-cite lille,(pli j.im ais u 'av.iil vu d e pourboire «te ce lte iiabiliiéc «le ftitab lisscm enl. .

I 6 londermiin, la femme Br«-lnuvi!I«; couil«iisait a T au»sa compagim. la dam e Coil.inl, cl p«milaiil «I«mix j«mr* clic lui p rocura tous les agnhucuts désirab les : cafés, reslauraiils , sn«!Cl.i«:lcs, bon giti* et beu ii'gl». . , . „ , . ,

Mais pendiml ce tem ps, à Scuhs, lo s ieu r Bunei «:l les B«»ns fie sa m aison, soiipijoiinés «lu vol, chon 'haieiil à ,s«î re­cueillir el .iiialys.iieut n la |i«iru;e el S la gtfii«laruicri«î liMirs souvciiinf confus, et la gcii«larnit!ri«! lu l umcui-e eiiliti su r la trace di« l'aul«‘iir «m «les au tours du vol. Une «!«:mi- ciiquéte amcii» l’arn îsta tio ii des deux femme» Ur«‘t«iiiville e t Collard. IMusieiirs fois ces deux prévcmic.s, pendant le coui's de l’iuslruidioii. modiliêreiil leu rs «b'xlaralions, oui variii dans leurs réponse», «:t la femm«! Brel<«uvill«j sui t«>al «îst üHtn'-c «I.1US la v«!ie «les dem i-aveux. Eufln, t.i tomme

^tiollard, q u i» » croyait- li«'e p a r la .rccouoaissaiice à celle que l'on «lisait sa complice. A caiise «le «bfTérent» p*^llt» ««a- deaiix qiUî ce tte dern ière faisait d«! lem ps eu tem ps à scs rinii enfants, eu eoiupeusalioii do la snrveiliantMs que la femme G««üard excreail «laus fé tah lissem eiit de Senlis quand la femm e Brelouvjlb- «'•tait à Saiut-Valéry. fiiilt jioiir- lau t p a r accuser hautem ent la Wmnm RrctouvilS«j - J e no TOUS ai pas vue pren«h’C les billets dans le portefcjiille; dit- ellu n n is s’il y eu avait c«»mmc on lo préum ij. c c s l t «imi do nous doux qui l e s a vok» ; o r , vous avouez que jo n m nas louché le porlefeuille, quo von» seule I avez m anie H visité , ce ne peut donc ê tre que vous qu i ôtes 1 a u te u r du

U femm e Bretonville, d ite Didier, n’a pas, il est vi;ai. d ’antécéd.mLs ju d ic ia ire » . mai» le m inistère public d é ­m ontre que 8«m passé a laissé beaucoup à d ésire r sous lo rannorl de la m oralité . La prévenue, re stée seule inculpée eu consé«iiiencfl de l in s truction , n ie hard im en t cl ave<s l’aplom b le pliis im periurbablo les faits qui lui sont im pu­tés el repousse le» preuves et le» lémoignag«« irrécusables pn iir tout au tre , p a r d«!S lieux commun* iiiKigiiilianls :• A il 'f i doue! p rendre db l’a i^ im t! une femme comme m oi. qui n’ai jam ais en la pensée dn m al, dont les antécé­dent* sont d«‘» p liB hoH orublcsl A h U ’o»t,^ffrenx «lavo r de pareils soupçons, de pareille» convjciioii». » Maigri, te bi’lILinl de sa iniielte el «lo scs joyaux, la m ajesté de son m ain tien , lo calm e e t l’aplom b de sa di'fense, la fomnio Bretonville ne peut convaincre lo tribunal do son iimucçncœ qu’elle prôné seule, et «Mo est « o n d a i t i i^ en q n in ie mm» «le prison e t aux dépens.

tVms son audience d u 18 ju in 1863, la Cour im périale d ’Amions, cham bre de» appris «l«i police «!orrecti«>n«icllc., s ta tu an t p a r snllo do l'annulation p a r elle prononciie à une précédcnio anditniec, d ir Ingeinont du iribtiiial corroi tion- net de 8«>nlis. dn 1 5 avril, qu i a condam né Faut Giberl,. commis-voyageur en vin», an jourd 'lin l »ans «lomicile c«injtn, p«mr cscr«mnorie. en tro is moj» d 'em prisum iom pnt, 39 fi\ (le doram aacs-intéréts cuver» le »i« u r Beaiirain, m archand de vin» A Font Salnte-M axence, partit! civife, cl l’a renvoyé des fins do la plaluto u n r le cttef d 'ab u s do confiance» la C our n donné d«5fant contre Gibort, nou-com parant, e t rilc l'a condam né pour escroquorie et abus de conllancè A treize moi» d ’cm prisonncnienl, 490 fr. «l’iimonde «t 2,000 fr. do dommage» intérêt» envers l.i pariio civile.

Eire'a dcmné acte A Gamus, pr«>priét.»ire, «le-m eurani à Ghanlilly, de son désistem ent de "lî l'appel p a r lui

livre an inarauiliige e t à i 'iv rognerlê .M. de M aintenant, ju g e su p p léan t, occupe le siège du

m inistère public. . , .M* R'jse, avocat no m m éd ’ofÛeo,«*t au b an ç d e là defeiise.Ballin est condam né .V 7 a iri d è réclusion , le ju ry ayant

adm is des circouidonccs a tténuante» .

■ V M ^Le nom m é P etit ('fhéodnle-nippolyle-Florenlin), né et

dem euran t à Grez. Agé d e 2 l arts , couvreur en ardoise», acfuisé d ’avo ir, en avril «ternjer, com m is un v b l . a été

cqù itté . , . . . .» |. U m o r , subsMiBl du p ro c û rç i|r im périal, a soutenu

raccnsaU tui. ’ . . . .d e Snlut-Thumas, «vocàt, à présen te la déteiisç.

i t lT a lra' jfd fa M ifiiiU -

L«! 17 avril d e rn ie r , le. s ie u r Qombriin;, co lpo rteu r A Romescamps, tro u v a , dans une m a re «Ruée p rès de- son hab itation , le cudavru d^ iu enû in l nonveaii-nè.- L’au lo p sia^ ^constata qilo eel e««faiit» né à te rm e elvvlaWe, av a it re sp lrép 'après «a nsissancfj e t q«»e la m o rt é ta il le ré su lla t d ’un crim e. L» tè<« a v a it- é té oom priinée avec v iolence-entre deux coi'i»» dur». L’im m ersion n 'av a it eu Uen qik'uHérien- rem ont.

I.M rum eur-publique désignait Faccuaée cnqim e I auteur du cvlim!. Elle av a it 6|iou»ô le s ie u r Gerv«^,«4>»l|cnr en grange A Romesdamp». le 46< jan v ie r d ern ie r,< e l déjà .-* ccttü époque, t» bru itcqura ilqM '’e tte é ta il enM inte. Malgré le* priM utiniin q u e lle p re tia ti 'p o u r ijissim ulor io n étsi. l e s ^ o n n e » q u ’elto(W!iiucntail n 'en do u la jen ip a iiu l-u v a t^ t pu cmMtlaler qu e 'd e p u is loe p re tn le rs jo u rv d 'a a riltd a tenj" avait (hiDiiHté-ilegroianurr- Enfin Fon.sol que Ip j im r d e f* découverte du e.idnvro, l’accusée avait «lIFà-iinJéiAoin t « S i'in JÂstice vient, j e Inm bcrni m o rte à«e* pioet*. •

Uno peng iisilien fu t p ra tiquée an demicite- de* époui Gervoi* : le linge avait é té lavé, mai* ou trouva siii' pailiasBc uim large tai-ho «lo sang . t.e m édecin conslsl®

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— AÂiabil I ;i

^ i'ÿCCIll. _________ H e 'tdrpurü llc à !«•

qnéllâ a f e iiil'iiouiülm &ÿ.i|U «inieftè l i |irèilvA qiiVliÿ arüiiiiicih'ée dejiuiH iiihhis'dti sf^tnaiiicir, alto so déj;|()» 'a jeiUrdi* dhns lu voie dca ave^ix el déeiarn que lea doilleuihl ra v a ien t'p ria o daiia la h iilt 'd u 4>eu 5 av ril. q u ‘e |le a 'é lail levée 8.iiidirâveillei* son m nri. e t qu 'elle élml* accouchée< deUX;od.lrql9.Jirurfia a p r^ d n iiH iR.cui^ine; que sou enfaut av a it o rié , înais qu ’oiie lu i uvuil écrasé la leic avec le pléd. £ lle ravi|U eiiHuile purlé.dans, la m are e t é ta it venu», ra* liren d rb ad place daiU lé ji l 'conjugal; F.lle avoue qiie~ sou' inlcntioii, bieii arrétéé 'depu tx longlenips, é ta it de se défaire de ren fan t dont elle sé éMldit='cut!blulev -

Jl p^raittsiiil djfQcMe qde les choses so fussent aliiSi pas* fiéc^. s^iis qixi sbh M nrl'‘d^oii' ftU npérçii, coHime i.l le pré< tenda it. i/uHi'iilion (je raccusée fui opuR léesiir f e point '«II, dah'i' la u îi i l q'utsHiVil lOili’ nV i^tatioii.-elle céiitl.a ati b rig a d ie r Plé'goiit q iié -c'éinfl-sbn m ûri qu i avait douiié (n lu o rt A t'eo fa iil. flervois fut .a rrê té A.son to u r et p ro lt^ lu

1 ^ . iikiergiqwi^ineui.üe tupn hpM>p«Méé>: N iaeii'iiréaéuoc dp.sa,(çnnne» UsoMiint qp, U n a v a it pas

o U iW ip ia » M q c ? ^ , ,l>ccuiWlïenteM|l . n i mè«W l« ÿ r l i l i id ed e ta gi'osscsse. l/accusée fut alors fur</éé,d,ayoue^ quVIle ayaii chorehé.A eit inquiser A la^^lsliee,.qu'qile seéle. éiaii. coupahteM q u e. düUji l’eiipfHr d'éclvtpncriiaù rbA iiinciil ou to u t au ijiu lus:d’en nlt.énuur tes o;.fe.M, e m a y a i l i i^e s li un iidieùx iiieiisutige qui pbiivail pe rd re sou m ari.

L’iflfjVfffattoiT « dém ontré" l exactitiide d e ces dern ières d éc taca lio m e t fa it d isp an iitrc les doutes qui s 'é taien t élevés' s û r rinuoccnce de Çervuîs. Elle a l’elevé en ou tre qiieldn)^ ciîpéuiijltla^s d e 'd é lâ i | q iU m | chahgeut ^iéii i \É cUljmÜHflé de n femihe (lUrVolè. Âinsl.- c'eSt-daiiS lâ^ iiull (lu I” au 2 avril e t nou daiis ce llo du 4 au 5 qu ’ellç p a ra jt avoir éprouvé les douleiu 's d e reufaiileineiit: elle serait nccbpcjiée b an s fa çuûr éi ûuii dans Iq ciMsiuL% a u ra it d ’a-

e n lé rré l'e iifatii uaus sou jard in «I iië se serai j décidée Alpjeter'daiiH la in a re d e D o m b rin e q u e s iir les observations du sou beau-père, auquel elle au ra it fuit occroiro qu 'elle é ta it accouchée d 'u ii enfant m ort.

H. l.çp ior, s u M ilu I du p ro c u reu r im périal, occupe te siège du nifnlsière public.

M* Blaiichel, avocat^ priAiente la diifcnse.b éc lardé coupable, avec adm ission de circonstances atté-

llHilltlè-r. la femme Cici vois est com lainru'c é vingt ans de réclusion .

Audience du 20 Juin.Afgnlr Ctr*arnlér (Viriulit>.e«isiiHle)*

TenlaUrè do meut'fre sur un gendaimu et vol qiiaUfià.kl. Pariiigoult, p ro c u reu r iuipériul. oeriipc le .siège du

m iiiislôre public.M* ülarcol Leroux est au baiio do lu défense.tiro g u ie r es t un hoinm e de .quarin iic-quatre ans, A la

phfsluuom le peiKMi'iicliirisée; il a lu fronl bus, les cheveux plais': il est d ’mio uorpulcnru assez fo rle ; .sou regard ail* iiauce p lutôt l'hypncrislo que la b ru latilû .

Le g reflier doiiuc lecture de l'uclc d ’accusation ainsi conçu :

« Un m andat d ’aviél avait été déeeriié onntre lu nommé G rognicr, (l.uinicliié ou Petil-Fercourl. pour violcnees exer­cées p a r lui contre un sieu r tio rh i. à lu d a le d u 10 janv ier; les gendarnie.s chargi'S do l 'a rrè lo r id ipii savaient qU'ils avajcni alfiiiru à un daiigeroux riialliiilour, se placènuil ou em buscadu dus deux cùtûs do la porte pour g u e tte r lu sortie de Q rognier. A. six iieore.s un q u a r t, celui-ci se présept#' e if'e llël, et lu geudarin'e B oulanger sc précipita s u r lui et le 'sé ls if p a r son gilet.

» Se dégageant pur un brusque monverncnl, Grognicr lui p o rta avec un instriuiieUt co iilondant, probablenienl le p r o j e t ' bû 'B tenait A ta m ain , un coup violent au-dessu.4 de l'œ il et p rit lu fuite. Poursuivi p a r tes gendarriies. Il allait ê tre a tte in t pur eu.x, lui'sque, to u rn an t la tôle e t élendaul le b ra s d ro it, il d éd ia i gea presque A bout portan t son pis* tolct s u r le gendarm e G uiiberl, qu i tom ba frappé de vingt- sept géah'is de plom b dans les cuisses. 11 s 'é ta it relevé po u rtan t et contim i.iit A poursu iv re t'accusé, jorsque le s ieu r B oulanger et lui tum lièruiit d an s un fossé que Gro* gn ier, qu i coiinaissaii le pays, avait su év iter. Celui-ci un pru llta p o u r leu r échapper.

• Lus recherches faites pour le re trouver él.iiei)lfu slécs infructueuses, lo rsqu 'il fut a r rê té comme a u te u r d ’un vol com m is te 2 ü m ars au pri-judice dos époux Daiigu. f)n avait péné tré ch e ze u x en esualuJaiit une fenélro laissée ouvcrie, e t l’on avait dérobé une chaîne en o r e t une m on tre , un fusil, une som me de 800 (r . eu c r u t des effeis d 'habilicn ien t.

Un le tro u v a la p lupart de ces objets dans un pu jls A

rue où Grogiiier s 'élail élab li dcjiuU quelque lei]iip^- ccüsé a été obligé du se rcconnaili'o 1 au te u r du vol i

m arne L'accusédont il s'iigil^ Ri il liie seulem ent avoir déi’obé les 800 fr . qui n'ont pas é té retrouvés.

• Quand A lu ten tative do m eu rtre cénim ise su r l'un des gendarm es, il chercha A l'excqser «n pi;élcndant d 'abord qu 'il ne les a pas reconnus, ce qu i est Impliuissilile. car' depuis quelques jo u rs il :r attenda it à é ire arré lé , B’ailluui's les gendarm es élaient porleiir's du leu r iiuilbrino, e t dans lu iu lle qu 'il a sou tenue contre le sieu r Bonlauger, il s'élolt é c r i é \ • Canailles de gendarm es. • 11 prélund encore que le coup de pistolet est p arti accidunlullfiiruint, le chien s’é ­tan t accroché A unè branclic. Mais, A cet égartl. les décla­ra tions du b rig ad ie r le dém entent positivement; il lui n fallu se re lo n rn rr pour t ire r s u r ceux tpii lu poiirsuivulcnl, et.sa volonté honiicide est alleslée par les paroies pronon­cées quand il vil le brigadieV se iviever : • Il n 'est donc pus encore m ort ce brigand de canaille. «

• Comme d e rn ie r luayen d'éch.ip|>or à la peine qui le m enace, G rognicr a voulu fairo uroire A une aberra tion do ses ldcnllcs inli'llecluclh's. Mais le rapport du m édecin chargé de lu visite r atteste qu’il les pttssèdc dans toute leur plém indu. C’est ce qiie üénio iilren t.d’ailleurs scs réponses d an s l'insirnction.

• Grognicr est un hom m e dangcreitN. im inoral. .nulanl que violent; il passe pour e n tre ten ir dus rela tions iiicus- tueuses avec sa lilte et la pro.siiiuo A d ’autres hoUimes. Il e.sl redouté dans le iniys, doni plusieurs h ab ltau ls ont été viclinies de ses rioloiir.cs. Il esi en é ta l do récidive légale ('I a subi neuf condam nations, dont p lusieurs pour vol cl m enaces de m ort.

Afirès une snspensioh de vingt m innius, l'audlcnce e.st reprise, et M. lu p ro cu reu r Impériiil [iroiiunce son réqni- .siluire.

U‘ Marcel f.oronx prend la imrole A son to u r . Il s 'attache snr.ioul à dénn in lre r d 'abord que l'arcnsé n 'avait pas re eoiinn le gendarnie Hunlauger en Ini po rtan t un cou|», un silice que Grognicr, eu dùeliarguam son arm e su r les jam bes du b rigadier Goiiberl, nu pouvait avoir rin lea lion de Ini donner la m o rt, m aisseiileinuiil de l 'a rr é le r dans sa coursé pm ir lui échapper p lus facilement l/avocal fait re sso rtir , enlin , les dérangem ents qui ont dû se p roduire parfois dans l‘e.«pril de l'uccusé, s 'il faut s 'en rapporter A

plusieurs oxlraviigances relevéu.s au bufs'u’r et qu 'i)' cnm iinlre an ju ry , 11 coiicImI vn réclAin-iiil en Liveur de G rognicr te béiiénce des circniisluiicet( a'iléiiujtiiteè.

I l ’, le président dem ande A l’uccus) s 'il a qq.clque.A a jou ter A sa défense.

G rognicr répond qu 'il a eu phisleuni|ro;s la .lèle dérangée.AI. le président déclare tuA débats lèm ih iés e t eu fa it lo

ré su m é . . .Le ju ry , après s'élro re tiré pondant un q u a r t d 'h eu re

dans lu salle d e ses délibérations, ayant A l'épondre A cinq questions, i 'en |re av<;o un Verdict an iriiiu ttf sut; quRStiansct négative su r celle relative A l'iiiicntiou <^è/|n pa rt deT accnsé de donner |a a ïo il au b rig a d ie r Gqt.thqi'l-.

En conséquence, la Caur condam ne G rognicr A vj'ngl ,an^ de travaux forcés, .........

F A X T S D I V E R S .— On a com m encé, dit-on. la moisson du seigle d an s

qnelquo.s I tualités bien exposéo.s cl A te rra in léger du Dan- phiné, aux environs de Lyon.

* — On virtil (ie faire, A Berlin, l’essai de Inrges voilures conlunani une vingtaine do- personnés et Irainéus p a r de.s locomolive.< de la fort» de hu it un neuf chevaux. Elles ro u ­lent su r lu pave des ru e s avec la vitesse d ’iiiMMoiluro iraînéo par un bon attelsge. Le prix d 'u n e de ces locomo­tives est d ’environ 15,000 fraiic,s (14,000 Iholers).

C o m p l o i i * î u t l u ^ t r i e l e t c o n i m c r e i à lSous lu raison sociale Kdoiinrd ClIOLt-KT et^C'.

Maison fondée pour lu cuim uaudile du petit com m erce et de la ]>ulile industrie.

Emission de 2,000 actions de 500 fr. i.e Comptoir cjiuisit des correspondants daps tous les

caillons cl les principales communVs.Pour souscrire cl pour rctievoir les st-ilnts et tous rc i.scb

gnem énis, s 'a d re s se ra M. CnoLLKr, d irrc tun r du Com ptoir, 5 , rue d'Ambnise, A P aris.lijl.t 's so^iscriptioiis doivent ê tre accompagnées du q u a r t du m nnlani d e chaque ac tion .

Lu CcfUHl rcejiûiisabh, EnxEST ItEGNIÊIt.

T * T -T - T

' A h iv ( > i i c < ^ J q < h f c 'r à t l ‘cS.,Pagnrrôté de JI. le. Préfetde l’O ia î aji^ronvè''

par '8 . bjxc. le Alitiistre iW l'I^léfteiif, , lo,. j t* H # J i« l 4 e t i e a l l e ’a' é lé itésl^dé pûtiÂ^fn-'' sérer 111863. daâs rarrèodissemél^ dé Sëhlirs, louted anhOOccs juiUc’tairês et lilgatës.

Lu pub lication iégaîe des acte» de spciéln es t (ihligaïoiro ponr- l'aflitée m il b a i l cëhi- su ix an le-lru is . dans chacune des deux feuilles de l'a rro n d issem en t, désignées pour l 'in se r­tion des annoiiccB jûd ic ia irés .

• Ar t . 4 "E tu d e de M* FKÉMY, w

VÉNTEP«r wvKu 4 e eiircaeliére 4*4ib

A ram iien cc des rr ic es du Tribùnu.l civil de S en lis.sé an t au F .ila isde Justice , rue Nenvc- de-l*aris.

K t Dé|»riidiünr«M,Sises b E n cn is , en la rue Vexin, can ton ,

(le N euilly-eu-T helle (Oise),

u n i t J A R D I i V

ET UNE P IÉ C Ë DE T E R R EAu m êm e lieu.

>«è.' L’autopsia ^p i r ^ ^

L 'A d ju d ic a tio n a u r a l i e u le M a r d i q u tt‘ t o r z û J u i t l e l 1 8 6 3 , h e u r e d e m id i

p ré c isé

Ko conséquence d’u ne su rcnctièredusix ièm e faite p a r M. U irbaux , c i-ap rès nom m é, sui­vant ac te dressé ah grelTp dit T rib u n a l civil .de iSeniis, le d ix rneiif ju in 1863. enrègisiré . ladite su rc n rliè re dénoncée conrorm ém eni à la loi.

Il se ra , aux requête, pbursn iie e t diligence d e M- Josep h Birb.aiix, .ouvrier un so ie, d e ­m eurant à N euilIy-éu-T liclie,

S urenchérisseu r, ayant pour avoué consti­tu é M* T héophile l'Vémy, exerçant p rè s le Tribiiiial civil de S eh iis. dcm enr.in i en ladite .ville,' rite NeuVe-rte-BJrIs. n* 13.

P ro c é d é , co n tre M. Louis-( haricm agne G ran^é. no taire , dem eurant h Cham bly,

A ihudiéatidrc su ren ch éri, ayant ô o u r avoué cqnsiMué Al* C hulinin. dem euran t b S enlis, rue Saint'-H ilaire . n* 4 0 .

En; p résence dé : ■ 1* M. Désiré Vacqiicz, m archand d e p o rcs , d em e u ran t b Q iainhiy ,

C réancier sa is issan t, ayant M* G odin pour avoué ;

â* E l d e M. Louis-ChriBlophe V aré. raaliro charpen tier, (lem euranl b Ercuis (Oise),

N ayant' pas d ’avèüé-cohstitû'é';A la vente su r su renchère, au plus offrant,

dpxojer euçbéH ^sènf è i b f éttiiiCtibh'dyB des b ie p sim in e iib îf^ d o iiï fa 'd 'és^aa tib b ' suit* adjugés prim itivem ent b Al. L ra n g é , sus- np ipm é, su ivan t jugem en t de l'audience des c r i ^ du T rtbnna l civil d e Sunli» du seize ju in ' 1 8 6 5 . c iirég ié lré . m oyennant le prix p rin c ij^ l, do d eu x m ille cents francs, o h l r e W d ih rg es et coiidiiihns de la vepte, laquelle 9 éu lieu par su ite de la saisie réefle prali(niëe b la r<}(|ilëtc d é Al. Désiré Vaçque»; marcHand d e porcs, .dcm enyant b u iâm |iiy^ su r -lé s jéu r Varé', c i-dessns \itom nié, Buivaut liro'oès-verbal du m inistère de D upont; h u is - tder b Ç ham bly. en d a te du sep i (éÿ.Hçr. dôm eni visé ct .cnregiA lré, d ressé confurm e- ihent b b loi et trùniscrÜ 'ab uureati d es b>'ilo- iTt^Bès db'J^iilllf.'lirviitgt-'ijtK itrc dud it inois de lév rie r, volum e 4 3 , u* 4o .

a s & n i o i V A T i Q X T . \pdenM vùr.

Itao NlAl4 t>'^ u i d.lpoiiiliiijic>!à. siW s k E rc p js, cantpii «Je Cfeuilly-en-Tlicllo, a r ro u - d issenien t d e SentU . départem en t de l'O ise, e tt 'Ib 'l 'u e Vexin. consistan t en :

Un principal corps do bftliihenl, constru it en p ierres e t plAlrc, élevé d ’un rez-dc-chaus-

Y ' ? — ?! d^Stilihèè' cû rfnè pièco avec

’' ^ i r Ip dev an t, éc lairée p a r deux cro i- A r '1 C-Atè( garn ies de persiemni&; petite

Ifiw e d 'en tré e a u m iliw ;; a u tre pièce b la- s iîifè!;;aiâ: fé^èèràyA'ûtf into cro isée e t une p orlq d tx s o r tie .s t tr la c o u r ; au tre pièce b la UttiloJ): m age. tlp .cham bre ' b coüCher. éc lairée

fpnétre^ su r tâ c o u r ; fournil b fa çuKè, âyçç cro iséq et. pofle^ su r la cm ir ;

■enfii*} u n a u tre espa(% b U su lle du fojifuil : dan s ci;t espace se trouve l’eu tré e de la cave qui ex iste sous lu fournil e t la ch-ambre b cuiicliér.

Ün hangar b la su ite e t atlcnan i au liâii- inenl qu i précède , constru it (Ui p ierres et t e r r é , couvert en c h a u m e ; ce hAiiment se trouve ê tre dans le ja rd in , qu i est p lus élevé q u e la cour c i-a p rè s: un m ur de terrasse sé ­pare h cour du ja rd in , dans ce m u r existent des cabanes b lapins.

.Sur la rue et attenan t au prem ie r corps de bAliineni, un bAliiiiciit constru it en p ierres avec g rau le p o rte cochère p ar l.iqm-lle un a r r i tu à la c o u r ; g ren ie r aii-ilessns couvert en tu iles ; une luca rne su r la cour danuc accès b ce g re n ie r.

t ^ i i r au m ilieu d e ces liAtimenls, dans Ja- qindle existe un puits.

Ja rd in b la su ite d e ce tte cour e l du deuxièm e bAtimeut, le to u t con tenan t, y com ­pris l'einplacem ent dos bAiiments, douza arcs d e te rra in , ten an t d ’un côté h Al. V aré-Bou- cliy, d 'au tre cô té te ja r.lin c i-a p rè s , t;l d 'un bout la ru e . .

A t* lie le d « M « iè in e ,D ix-sopl ares so ixante-douze centiares de

ja rd in , au m êm e lieu, tenan t d ’un cô té la proprié té siis-désignée , d ’au tre cô té el d 'un bôUt.M. D ugardiii, e l d ’au iré bout la rue.

A r t i c l e Iro lu lè n x e *Un a re q u aran te cen tiares d e te rre , sis au

m éiqe te rro ir, lieu d it le tà d C audron, tenant (l'uo cô té b Balaguy, d 'a u tre cô té ù .Snint- A ubin , d 'u n bout les héritiers V aré, e t d ’au tre bout b la soute.

3UCZ3B1 A P K r Z .l/ad jud ica tion dos im m eubles ci-dessus

désignés aura lieu le J fo rd i quatorze Ju illet 4S65, heure de m id i précis, a l’audience des cr ié es du T ribuna l civil du Senlis (Oise), séan t au Palais d e ju stice de ladite ville, rue N cn v e-d c -l 'a ris , s u r la m ise b prix résu lian i dé ra ç to de su renchère su s-é n o n cé , e t qui est d é deux mille c inq cen t so ixante-d ix francs. C l . ........................................................................... 2 .S 7 0 fr.

S 'adresser p o u r avoir des renseignements :4* A Al* KKEAIY, ou'ouê, poursu ivan t la

vente su r surencAére dont s'ag it;^ .4 M* CIIA LAliN , avoué d Senlis;5* A U* GODIN, avoué d Senlis;4* È t a u G reffe d u Tribunal civil de Senlis.

I K^it e t réd igé p a r l’avoué p o u rsu iv an t, 's o u l ig n é .

A < i»nlis, le v ingt-quatre ju in 1865.S igné : FllÉM Y.

E tireg islré b S en lis. le vingt-cinq ju in 1863, 1* 177, reçu uii franc e t v ingt cen tim es de dixièm es.

S igné : Dov^* P o u r insertion :

S igué : FnÉsiv.

Kl) la Alaison d ’école de N ogeni-lcs-V icrges, lU p u r le Miiiiûtère de M* R iv ihai':. no taire d

Creil~sur-0ise4 com mis à cet effet. L 'A d ju d ic a llb t t ,*rûrn l i e u l e D im à n c lie

d i x - n e u f J u i l l e t 1 8 6 3 , h e u r e d e m id i p r é c i s .

S'adresser p our avoir des renseignements :!• A .M* FUEMV, avoiid , poursu ivan t la

vente:2* li t fi Al’ IU VIÈDE, MÔfüireà C reil-sur-O ise,

dépositaire des litres de propriété el d u cahier des charges.

■ A r t . 3 . .

Elude de Al* L.XCLEI'’. avoué b Aleaux (Seiue-o t-M arno).

V5:.\Tï} S t’K tICITATfiO.\L e Diinanelie 19 Ju ille t 1863. » m idi,

lin l'ctude et p a r le m hfisièrcde Al* I)üVIOi:et. wHuire à Crouy-sur-O.-ircf/, arrundissement de .Veau.v (Seine-el-M arne),

m F l tC Û BETERKEP 8 & É e t i t O l N

Situées terro irs de V.vitiKf'ROV e t n o u v iii;s , canloi) do Uelz (Oise),

e t de .M.vV BN-MUL'nEN. c.m lop d e I.isy- su r-O urcq (S eine-el-.\!arne),

.S’adresser pour Us renseignements :/I C routj-sur-O arcq. d Al Ü cviquET, no taire ;

I d M* lACliEF, ucoa^, poursa i- , | . 1 vaut la \veu te ,

A .u ca u x , j /i'i à M*'6 9 D01UI.ET, nvowé.pri!- \ sent d 1^ vente;

l i t à B ea m a i, connnunV de j\eufchellc.^, d Al. AlARorTË, cu/iivq/cur.

: A r t . '4 .

E tude de Mr CHALAIIN, pyoi

P our extrait certifié sincère e l véritable, par rav o n é soussigné.

\ Senlis. le vingt-deux ju in 18G5.. S igné : F u éS y .

K nrcgisiré b S en lis, le vingt-deux j'uin 1 8 6 3 , P 166, c* 8 , reçu un franc e t vingt centim es de dixièmes

S igné : Bovn. P our copie :

S iané : Fnf.MV.

;é à S n ilis (Oise).

VE._ ^A u x c a e b è r e t* t f ü i l^ q u v ) * ,

Le 3 ) Ju id 1863. n tiûheû i'è de relevée^P ar là iniHiÿléra d e U* àofaire à SonUs,

DIX M IT Ir t^ S m E( l e s X t é c o l t c s

DROIT AUX rË DËS TERRESD épendant de Pexploilation,

C onécnané S 9 I H eetaipes A re s 1 9 CcBitl|ire«t e n v iro n ,

ÉT 'u'un

CORPS DE FERMELe tou t situ é b Brêg y , can ton d e DlMz

(Oise).Alise à P r ix , O itlre le s cfiui’g t’s , 7 5 ,0 0 0 fr .

A” a(/resw»‘, d Senlis,A Al** C11.VLMIN. l ’iiBMUY, avoués, et -d

Al* ÜEKoisr, notaire..

A r t 6 .GrelTe du TribtmnL.de tienlia (Oiae),

D ECLARATION P E FA IL L IT E .

D’un jugem ent rendu au lriliiina idc prem ière in stance séant b Scniis (O ise', faisant fonc- tion.v de tribunal de com m erce, le vingt-six m ai 1803 ,{cnreg islré ,

é té ex tra it ce qui suit :I.e tribunal déclare le sicn r lldefonse-K m -

m aniiel S a in t - O u e r , scieur de bois b la mé­canique. dem eurant b Ponl-Saiute-Ala.vonce. en élu t do fa illite;

Fixe provisoirem ent la (cssation de scs paiem ents au hu it novem bre 1862,

O rdonne l’apposition des scellés partou t où besoin sera, su r les tllresi reg istres, papiers el m archandises du failli;

Nom m e Al. L ëpinb , jugo-supp léan t, com­m issaire de la faillite, c l pour syndic d ’icelle le s ieu r Léon-G erm aiu A Iéland, ancien p rin­cipal clerc d ’avoué, dem eurant b S en lis,

O r.lonnele dépôt de la p erso n n ê d u failiien la i))aison d ’arrêt de la ville de Senlis.

P our insertion :Lo Greffier du Tribuiiul,

D o u c i i c r .

ADJUDICATIONlin l’étude et p a r le ministère de Al* AI11.ET,

no lo ire à la Pertê-M ilon,L e D im anche S Ju ille t 1865 , b m idi,

E n n a K se .o d |»ar I>M**DE

3 H c e la re s 7 1 \ r e s 9 4 C e n i ia r e s

D E TERBÂiNiPOUR CARRIÈRE DE PIE R R E D U R E,Faisant partie d ’une pièce de 67 hec tares

dépendant de la ferm e du Jard in de S a in t- ' P ie rrc -.\ig le , b 4 kilom ètres du la s tation de Longpont (ligne de Paris h Soissotis).

.Ippurlenant <i / ’/ns{i(nf>'on impériale des Sourds-.^laels de P a n s .

Des sondages ont été faits pour découvrir le g isem en t; il y a p lusieurs baiics de p iorro d u re d 'une épaisseur convenable cl de la plus belle qualité.

Cette vente est la conrm ualion de celle fa ite à M . Gessien, ilonl t'exploifalion, en pleine acti­vité , a mis à jo u r une belle roche.

Gr.'indes facilités. — Jouissance de su ite . 3"<idreMer à AP A Iilf.t, notoire.

CÉDEÀK im n ié iiia lc iu c iil ,

U « SCIERIE H Ê U ItlS I lEKn pleine neilxilé.

Sise b Pont-Stlinlc-A loxence. S'adresser pour tous renseignements :

.4 Al. AlftLASD, à 5c«/»s, y»/qct» du T héâtre.

A n n o n c e s I M v e r s e s .Etude de AI* BEN0 I8 T , no ta ire b Senlis.

A L O V E R À L ’ . % 1 I U A p L E ,

UN CORPS DE FERMEAVEC

81 liGTlRES DE TËKllE ET PRÊLe tout s itué com m une cl te rro ir de la

t'.hape lle -en -Serval,Jintré-e en jo u m a n ce le i l novembre prochain.

S 'a d re s s e r a u d i t BP Bexoist. n o ta ire

AaV.- 2 .- \ ■Etude d e M* FBJB iy, gVt^uô à Seiilis:

9 3 9 9 3 S i r S )ENTUE MAJEUnS,

D ’ IÎN fE |M A tSO i\£ ise b l^bCENf-f-E9.-Vi|t!tGB$, cautoii de (> eil,

lieu dit-Sanlèy , •Avec «CM UépciiilivuceM ci Jnrdln,

E T UN E P P ^ T ID N DE TER R A INE n face la Maison;

A itT . 5 .E tude do M* FRfiBlY, avoué à Scniis.

A K P A R .tT IO .V U l': B IB nrsI.D’un exploit du m inistère de L cvairc, hu is­

s ie r b P récy-sur-O isc , eu date du vingt juin 1865, eriéegistré.

Il ap p ert.Que la dam e Alélina-Julicnnc Dubail, épouse

de AL Alexandre !*angy, m anouvrler. avec le­quel elle e s t dom iciltéu b b) Villeneuve, corn n iûao de C ircs-lcs-M èilo. elle ré sidant do fait chez sa g ra n d 'm è re b Cram oisy. a form é, co n tre son m ari, sa dem ande en séparation de b iens. ' '

Ki que Ai* F rém y, uvoué b Senlis, a été cous iiué b l'elTel d 'occuper pour ladite dam e su r celle dem ande.

ADJUDICATIONE n l'étude et p a r le ministère de Al* M ile t ,

notaire à la Fcrté-M Uon.Le Lundi 6 Ju ille t 1863 , b m idi,

DK

L’IXPLOITAIIOM DBPLiD E D O U K C Q ,

Sise à L A P E R r É - .V IL O .\ .

177 Hectares de terres e t p ra iries en g ra n ­des pièces. — B a u x de 43 et 46 nns. — P r ix moyen du ferm age 6 2 fr . 50 c. Vhedare.

L e Alatériel com prend : 16 cbèvaux, 6 va­ches. 450 mputoDs, m achine b battre , équipa­ges cT ustensiles'cil bon état.

5 0 hectares de blé, 4 hectares du seigle, 5 2 hectares d ’avoine , 17 hectares de luzerne, 2 3 hectares de m angers d ivers , 5 hectares (le foin.

Avoine b b attre , 2 m eules d e pailles.4 ,0 6 0 bottes (le vieux m angers.

ltlU« à prix t fr*Une seule enchère ailjttgera.

Gl andes facilités pour le paiemcni.

A u o u p : »

U N M a G if i i rAvec deux P lanchers, uhM on(e-4bùsquîi(bnc--

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A'n l'é/udè el p a r l e m i h i s l ^ ffo .Al' l ^ tH s r , nolairc à Sed lh .

On tra ite ra avant l'aiijudicîilio». s 'il est fa it ■ ' des offres siifltsanles. audit M* Ue.xoist, notaire,

Page 4: lK«KKTraH A N N O N C E S J C D I C I A I K Ë Sbmsenlis.com/data/pdf/js/1860-1863/bms_js_1863_06_27_MRC.pdfSamedi 27 Jiiiii 180^. 1% 20. — SS'"' année. rMiX 9 R l/A|ij»XXBM(RkTt

I:!Ki l

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M’

m i . E

lU S O K M G E O I S ESigp ni;* «In C h ü t- lla iv l.

P o r le c o c k h f . J A W D /.V d o n n a n t ?iir U C our» ,

E ii'r iire , d an s la m êm e ruct

A YEIVDRE par Afljudleallon,fM manclm 1 9 Ji»ilU*i 1 8 9 3 , à mUU.

E n l 'é lu d e e t p a r le in in is lé t'e d e HI* Bgnoikt, HOlafre à su ccesseu r d e M’ CflARTiKR,K nirée en J ou issan ce le I ” aoû i i»rocliiiin. .V'odrfWMîr à M' H e s o i s t , iiolniVe ri S e n lis .

3 3 H e c t a r e s 3 4 A r e s 8 4 C e n t .

ItlIU lït l'HIUIIUIX u n U lE n 24 pièces,

Siltiêcs su r le le n o ir rie M oiitlévêquc.E t 4 5 P A R T S

BU H&RilS GOHHÜNALde üieullévéfiiiey

(oui appartenant a la comm* de .Wtf»rft>n'çur

A E O t l E U p a r a d Jn d S ca lio u ,l.e Dimanche 5 J u i 'H e l /A '6 j . ri m idi,E» b m aison ri’ceole rie M on'Ievôqiie.

J 'tir le u m i s i c r c d e M' B e s o is t . nn la irc a S c u lis , Jiiiiissaiici* a jirc s la l é c o lle |ir t» rh a iiu '.

S 'a d resse r tw d il M' B k n o is t , no la ire .

E lude rie M* E. I..\COl)R. n o la iie A Nanlcuil* Ic-Uwiidoiilu (Oise).

B É G Ô L T E Sd e B lé« Scif^le e t A v o in e ,

A Hoi.>;sv-Fre»noy. •

A V Ê x ^ D R RPAR AltJI’IIICATieü VUI.OHTAinG,

A Roissj Freaiiov. en la m aison ri’école.J»rtr/« m inisièrede M* ( .a c o c r , HOtairc à Nanlcuil,

l .c Üimaiielie 12 Ju ille t 1HÜ3, à m idi.AM3(l‘4»n4i«l«nM erdleaiveM.

S‘iid rp « rr <i M* l.ACOiiB. notoire.

Elildc de M- ÏA SS.vn i', iio lalic h Cièliv (Oise).

BEAU MOBILIERA auRi K uclicreK ,

Après le décès sl»i M. ILn.U’i.T. nuineaillier. En son domicile, ri Vrèpii, iira n d e R ue. «“ 3.O.

Le Ji'iirii 0 Juillet 1893, et jo u rs suivant», à nuzi* heures riu m alin .

Par le m inhtcredfl M* T assart , uiilaircàCrrjni^

C elle vente coaiprciMlra notam m ent : p a r - n iiu res rie foyer, h ille rie rie cu isine, vaisselle, ct'isiaux. verrerie , m enhles, lite rie , pendules, horloijcs, fu-sils, révolver et |iislolei8. lahieaux et g ravures, liage. sVrgenloiie, mouline, ia jd s - sière , cahrio lei, lu ze n .e t i au tres oh jets.

A u r w i u p t n n l . F r u U o r d l i m l r r » .

Etude rio M M U V l^E _, n o ta ire i\E re il (Oise).

4 4 P i f e c K S

DETERRE ET PRESituées su r le te rro ir de M oulatanv.

A V S 15P.VR ADJI'DICATION VOl.üMAlRK.

/ iiiiu Kulledela Uairie Je .y./ iM M iiv.L e D im an ch e 1 2 Juti! •! l < o3 , ’a diuix h eu res . Par h m inistère de M' l\iviÈ-tE, iio'.airc a Creil,

‘F a c ilité s punr le iM teaienl.S 'aJrjsscr audU M' IL viêie, » -tatre

Elude de M' üEE.VCülIll. n o ta ire à .Neuilly. on TheUe.

A V E A T B R B p a r A dj«d î< ;aiîon ,1,'e D im anche 3 Juiliel 18G3. .i tro is ii.'u res.

Km l’rlude cl par le ministère de M' ntL.\couR, ri :Ye!ull;/-e«-r.'i«<h;,

et de W ÜRASGÊ, notaire ti th a m b lj,

DEUX G B W S MAISONSSise» Il N eu iil\-en -T lie llc ,

UNE PIÈC E DE T ER R ESituée l T n iir de N euilly-en- I lif ’.le.

Ji»uis.sancc tout rie su ite .G randes lac ilitës p o u r le paiem ent riu p rix .

O.t pim rr» Ira i lc ra v a n t iad ju d ica li 'U. Sfldre.«jer a t t j c d i l t Dk l .\cüv-» et t i f lA xm ;.

Etude d e M' bORXtCHK.nola ire ;i Crépy.

A C É D B R p a r A d ju d ira t io n ,EJI VERTU U'URE OBUOXSANCF.,

Par le m itûsière de M ' Bo r r ic u e , notiUrc ri Crepy et rn ron élude.

Le D im anche 12 Ju ille t 1805. à une heure ,

LE DROIT AU BAIL L’USINE DE BALISY

Appelée autrefois Bloalin U e rva u x . S ituée Sérv-M agneval. ta n to n rie Crépy, et

e&t alim eniih* par b riv ière Sainte-.M ane. D ans l’u sine se trouve aciuellenieni installé

nu M atériel p ropre à la fahricaliou des Subuis par p ro ic d é m écanique.

Jutiissiinro de .suite.S 'adresser pour tous rensei'piemeiils :

A Sentis, a M. .Mê L .\S I> , S'judic de la fnillUe H erjc iu li;

A Crépt/, à M* IloitNiciiE. «ofmiv.

E tude rie M 'J . .NOLEV .tl.l.E, hu issie r à Soiilis.

viixrEA « •.'ru H e iiiî . su r la place d u d it Uru.!.«• Ih. i im'ln? 2 8 Ju in 1803, ii m idi,

P.ir le iniii s l n r de M* Jules N o le v a lu e , h iih s ic r i.orisisiam en : lK>0 loisons rie iiiiMitons,

0 ‘i0 m onliuis et h ivh is. 2 parcs en volig.-s et 2 c.iham-s ii heigi-r. 5 nu-ul<*.' «le seigle, 7 meiile> «le p-iil>e. 10 0 00 b o u rrées , bois,

E t utitivs ofyefs.Au A'oioplunt.

S a dresser iUldil .M'Jules iNiu.evali.f„ hu issie r .

Etiirie do M'I.EV.MllR .huissierè l'récy-sur Oise.

VÜX EXCIIKRKS fU01.!QL-r.S.P .ir sui c de ei-svaiion «h* coim nerco et en

v e rtu «le jugcuieiit,

HABCHiNDiSES NEUVESE n la dem turc rfe M. Moiii.Ki;x père , uufiVn

m arcèauri la d i nr.Les lliin n.cl.e 3 «-t I.iiiidi 0 Ju ille t 1805,

oii»<' heures précist*» «lu m alin.Pur le m inistère dudit M* Levaiiu:.

C elte venic consistera en : 5 0 0 «levant» rie g ilets. -lUO m ètres «le velours. 5 0 0 “ dc«lriip.s. 200 •• coutil. 1 50 " cidom iaite, 5 0 ” «le inéri- n 18 5 0 * «le toile hl«*ue. 0 0 0 “ «le «loiiblinos. 6 I - rie ILinclte, 8 0 “ «le re|»s. 2 0 pantalons, 3 ’) "• rie toile g rn e ./ / sera accordé ô mois de crédit au.c personnes

s dvabl s.R « l'UlMIitlkHl.

n * D R I i - t r A H I I » n o lA t r e » IV e iil l lr - • n > T h e l l r ,

Demande de suitem PRINCIPAL CLERC.

Kimlc (le « • p g 'i .n iS s . nvpiié à SciiliR.

On demandeUN SECOND CLERC

On dcinandcm APPBENTl POPR ÉPICÈIIIE

S’aiIrcssiT au bu reau riji Jou rna l.

AOKV, cordokinieb,.A MmiDm. r u e

Prévi«'nl sa clieiiljMe qu’on trouvera <h«7, lui lin bel assoriim enl rie CD m iB U urcw d e r o n f e e i l a n en Ion» g en res , u «lis p r t \ li'ès- moihirés

On trouvera «également «lans son «*tiiblisse- nieiii un grand elinix «le CftaiTssur«‘sf;rini«iui'es p ar lui et m:ir<)néesh son nom .

D3SDÉKI,mioTor.uAPiiF. or. .s. m . l’empkuf.I’u ,

S . h o u le r iv t d is i t d ic iis , à l*nris. Nouvel!» s piihliraiions hreveU s s. g . «I. g.En lui eiivovani I IV. 2 0 r . en miirnlat ou

lin ilircs-posie. ou recevra rraiiro le porira it- eai'ie «le l52! ) trois crut e /ny l-rM nu’ Vêlclr ilis conleinporatuos on. au eho .x , l'«me «les séries su ivan tes:Fam ille iiiipériali'. «■'im(insée d<*^7 pEliSOTTlCES. Faniille «le l'E nipei i'iir Miiuisires . n . . '‘.*Maircliaux

jîé iicra iiv . . . ..\m ira u \ . . . .Kpiseopat . . . ..Aulonrs et Comjiosiieur».Soniiiiiiés (riaiiies). .T h .û trc Ita lie n . . .(Ipéra (riiuisi*) . . . .('.«■‘lêbrilés anglaises .CiMiMiritcs ospagnoh'S .T héâtres (rhani) . ..Artistes dram atiques .T héâtres {«lans»-) . .T a u le d e m a n d e su p érieu re ri «h'.c séries . I f r .

r im e . lAffratichir.)

On demandeDumFJTiimioGiurse

C11C7. H “ ' V R K G N IK R , i> S e n l is .

iM cou icriv |»*r •*, K A C i T O M Q l l K

PÂRÂCHDTE DESCHEÎEOXii«> < ; i lA I< .n iK , «’liim iM te .

r.eUc com|>0'il«oii r .l inf«i tilito pour «rriler ,>mm|>«cmviil la iliiKe ilr* clievrus; rite en cotp^ne h tlccotunilioii. rieaoie j-aiJniienifUl te cuir rherelu,

I itf-lr.iit les iiuUièret ({iiiiMieuies el p e t t i fu tn tituii- f chillrrs ; jir» p»-omtV«fj it‘ÿénrraHtrcxJiu‘oti*tnl lu i repi-oUiirlinii île noux-nnix rhe. eu t, le» f»il êpR»»ilr I el le.» rend ktmpics el Rritlaiils. et emi>èelie le klei»-

vliimi'iil: c»n»M.«. — fr ii du nncnn, 3 fr. lu tu im ie a n»urn, rue du l’Ilûpilal, 4U.D fu t( dan» liiiiU’» le» villri. de Franee;A Sin i*. el.i* M. P JiH lberl, cuiÿ'eHr-parfu-

mei>r, place de la Ilallr, n* 33;F.t a llenuyai». M. lur.^jlfl, r e de SatpG»SaMewr.

COLLE BLAHGHE LIQUIDE.C elte collo R’cm plôie II froiri, R tlè réittpiftcc,

àvcc avantage, la colle iW p i le , la colle fo rte , la co llo h Iw urliit. On pftul s’en se rv ir p o u r iinpier. c a n o n , po rc e la in e , v e r r e . m arb re , liois, c u ir, l l ^ c . e tc ., etc . 5 0 c . l e -flacon.

A S c n lb . clip t M"* v« Hegmcr» im p .» lib ra lre

” KTÂT iÏI VÏI4 IIK SËIVLIS.Ealssanee.

Chcvillul (l.éonie*JulU*).Üécès.

Tllloy (Jusi'ph'LciiiS'Jpan lliiplisIe), 33 ans K inui».

Grégoire (AlrxQnrii'c*Céleslin). 10 Jours.Liiigiicuux (FloreiibFélix), 38 ans.

r« iM lc i i« i« n a « e IN a rla se ii» ^EnlreM.Varcnne(AlplioURr*Viclor), p rincipal ^

cle rc d e no taire i NHiiteuM‘le»lIaiidouiiii c l m adem oiselle Lafurest (Eugénie), saii» prnfcs* sioii & S rn iis .

E n tre Al. Von (Loni!(«Augusle). tailleiip do p lrr ie s à Senlis, el m adem oiselle Siiiitercau (tlHrie-Céline), â Moiitlignon (Seine«ot>Oise).

I t8

, 129 15

, M . 72 . 49 . 12 . 57 . -18 . 5G . 80 . Sf>

70

D E S C IIA T E L .% 1N E SO U L ’H T G I È N E V O H O T E N - A O E .

Celle IW made r»« .-omnnséc de plaïUc» i Imhb lont^we - - Dceravert par CIlVf.MIN. d » »iia,iu»cri« ee remcilf inlnillilile c«ait eitinlft« par nn»belle* .-hàtelainrs du mA;-.s-as« pour eo«»rr*er, jBS(|H a iSuc le iilà» av.iMée. leur, elieveiix d’une branlé remirtinaWr.'w prcMluU active avec vixvenr la rrne dci

‘ • ■........ a„ l.riUnnt, de la *o«iple»»r, et le* rinpécbedr blaiiehir, roa’eii «rrvanl journellement...r CIIaLHI.V, r>iiii)i*«r.parrnnieur, aRuneii, rue de l'ildpiul, 3 t «l lu

PHt.X f}V P O T t i f r . i o e . e l ^ J r .b o e .Di'iidl à S in l i s , ('liez M. P h it ll iE n T , « lifT ciir-parrnraoiir, |ila cc i lc la R a lle , 3 5

Il l i c m m i i s , «ihra M. l.»KOl.ET, ru e S a in t-S a u K eiir . .

A l A L A D I C SDKK 4'iilE.b'.*l. ■— l,a l*4iiiitrr

« i r V H ir in lo sg iiéril cl p réserve d e nuihiilic, I Ir. lii pa«Vi«!l avec l’m siruelion . — 8*oiii- uiadx* <S(* V H ir ln gucrissiinl en «piclq'ies jou rs boulons, g.ilo et l'ouii'S «*»pèces rie «”«r- lic s , le pot I IV. 2o c . — P o u r l’expiulition i*l le «léloil. :iT;t phiiini.a-ic, nu* «h* P oitou , 1 1 .» |>;„.jg. — Di'pol il .Spnhs, chez M. L .ix .W lt. ;ir«picliusier.

« E R iT tB L E B R O S S E El e c t r i q u eCkulm niullitiK. WOS-D’ARGENÇE

B R O S S E E L E C T R O - M Ë D i C A L E ' liK ■ i l B i i i W | C * i u i h l * I j M u l n i "

p iiu s . u o L n i n n > n t u i u s . • F i i x - . U f n a e i , « n t n > u i l « t d , p o ito .

G A FË D E S G O U B M E T S. n<- I..UI

éi.rii- «I

1 Jnurnalix ■ . dc-iirre» qi

,-l l,r.<iinpiM

dolico jWl

T Itr in C r t l ' i m n i , . . .™ . çm aiii. U.I.. I . CT...om.««ini.rt'illo a .-ctU dn cafr, cei a«im»«iqtn: prod»«il «le I .\ral««< hciirewsc 'ix.lr,r,qui!l» préjarali..» q.i'il *«ihit c l i;«uvre d "-■•e.r» l.ab.lr. leI pralicirn liabilr, le café

lorrérarlion a »iibi dct prcparalinn* inrapéri-» Inrliililr-VI II. i ----- - ' ...II., «n ’iiii.. r h i , , i - 11III,1-alx‘iide r l *ii»iP»<lr, lor»q«ie ~ .......*...........— . .. . • • ■

. ■ .»" I " „ „ r ,1«I. lie tii'iiv • il d. innmic des ctndo* srricMsr», de» *om» savant», une e»|irrience ,,« u. . \: .

...

mus les . .fjis ,/u, n'.iiu.tUiU /«.» celle ‘ '

r tstane et

â PotiLSainls*E tude do M’ PAYEN, n o ta in Alu.veiice.

r,\» ARJUPICATIOX VOMiXT.LIHi;,E h V é lude v t p a r le m in is lc rc du .M' P avex .

H olaire u Poid’SuiiitC‘Ma.i:cHCC,Le Üiniiinche o Ju ille t 184.), a iiiirii.

U i\E MABSO YSise î» Pont-Sle-M .ix«:nce, fauhourg «le Cavülc

1 I l c e l a r c 9 4 a r t . » c v u i

3 ) 2E n d ix piéCLS

Aux terroir» «le P ont et Poiitpo in t.p'aeililés p o a r lc pai«.*mcul.

Il y a tm itc sû re té p i'u r iicqtiérir. ü 'adrcsscr audit M' P.vves, notaire.

t-:iurierieM*RËMET ,hu iss ic frpriscurâ<:haiitm y

V K K T EA t \ KNCHKRRS PERLIOUE»,

M O B Ï L I C KHAT£B1£L ET TOITURES

A t i o t a v ic o ix ,/lu .1/ouli;i de M. A thille T iiin.vur,

Le» D im anche 2 8 . Luiuli 2 9 Ju in 18tî5. cl jo u rs su ivants, s 'il y a lieu, heun- rie miiti.

Par le nim t^ltre dudit M' H bmet,

C elte vente consistera priiicipahîm eni mi : une grande «luautité «le m eulries en acajou, iiovei el chêue , pour am onblenu-nt rie salon, sal'tc à m anger, ctiam iires à coucher, caisse rie sû re té , tistfiistles «le to ile tte , ca rtes géogra- phi (ucs, nom breuses peinture» et gravnrt s; tiillarri, lilene , linge, glaces, peniliil«'S vases, n»iiiheaus. lam pes; m om rcs, rom breux r i ­deaux e t t«;ni«»ri'S. usleiisih s «le oiii»me, gi -mlf'.iurneau-cuisinière, hiuiieihe» virirs;cliaiTiie, ho.s iriim usiiie . un graml m im bre «le lots «le bois hors d«‘ s e n ic i '. une piirte cnehèrtï.

.Maleiiel el 'isietisik 's «le m o u lin .fers .Id iite .Voiture» s«i-i[iemluf> et iKiii-snspeiulues,

harnais, — El b.MUcmip «l'aiiirts objetsAu C'wiU^Gu»!. l'ruW ordiiiairri*.

Ix s voitures et te b illard seront ef«iriti.s le 39.

E lude riu M' GKAD.X, notaire à Acy.

b Eg o l t e s s u r f ie uBlé c i Slclxlc*

T e rro ir rie Neiifcln lles,A v e : « o b e

r«r.\ Neufchelle*, n i h m aison «I école.

P a r le m in is tè re de .M' G raux, n o ta ire a A c j . I.e Dimanche S Juillet 1895, a mirii.

Facilités p o u r le pairn icn l. S ’a d resse r a u d it M* Gii vu.x, notaire.

2' s S H ^ S3 H»* s -T .

s . 5 J ? c 8.» —«4s ■ t> — a . .<

.% V I» l . n r O R T A I b Tdr.iii-t.aos C.vi-K nivS ,;OURMF.T.S fnit SO furlM •<•«*«» — r.V»« dono n«L- dr nn«rr rxirllm l lafe im . mile liar voii*eq«lcn« qwe •'ihon : 2 ’ t'ro’tiimic tle miiitié; S* ‘ .................... .e.jijnis ; urs.me sui>e>-/in

-.r» pciiir 32 srainmct. — criilimr»- U«-,Btlnl* : I" vive et Iransparenle

ftiiuie'mera ,'ujiérieitrt h celte Ue tuas tes cu/c$ du rommei-ce ,

\ Z ' m - t - i » >«•••• répBiîtio» rir le* «.«»y'n* raclire. de l> pul.t.ellé, ‘7 * '*i'i.lV - v V * td r *c.tiiîr.-n i.. «« •o i.m illiu iivdee liw t" i c f i c l i o n e l Cexcellenee d e teu rs ^ n n ltte s . %*•liliii, liâiit» * l il* jdii. lUnriir* irnioigMase* io«$oti«tcnU d^e jour uolw siuce».

Xoirv TArinr.V m gncmO pur du Brésil ; aucaii ne », , . . . i '" '' ' '" ! “ '" 7 " ' “T.iüï!?;:" - u “ t ,n '.. d W , . . » . .« o ..™ * .., lrè ,. . . .n ,m o .U . l » . .. i ia s ,™ . S .n

é , . . c , c , . . . . . . . r . i , „ - « . « ™ w , . ™ — >

r r r o u iin n c M S i’H \ \ i*oiit-SaiiUe.H«*i-)«r, B . T h lcrry«»«W gn y (.Irint-sn» et .telail)

it ndè*

T d Ü H ^ s it ■ ■ttCBii ne neut rivalitcr »vec lui |« r la liUm-tieBr, U m»'ml* gonrmeM ne conrundent pas noire Tapioca »ve«: upc

tûm im■’ . ï l i s s a «± 9 J S.T . S c.

DATES.v n . i , i : s .

25 JuinSetili».2U Ju in .20 Ju in .Deaiiv.u»20 Ju in .LIeniioiil.10 Juin19 Jm n.N anteuil.19 Ju in .

dutiÏM.VE D«/

M K t t i i l j H M A M s M S S .

FRONEirr rWMlUlT,, 1 BIKTRIL • 11 ' • 1 3 ' MOIHOX 1 1 8KI0LB. ORGE.

(iiiiT nté.lq ualilé .i l(|tt:ib ié. 1

" 7 0 2 1 1 0 9 0 IHI.OO 9 9 11 m ) (K> 9 0

7 0 2 9 7 0 19 s o i t 8 9 0 H 61) 1 2 OU

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6 ^ 7 256 047 50 0 08 6 32'8

du 17 J i ii .is K S . — l - m iiiliu i. 51 c. la kiliijjl J l li l i i ç : ;

Même l'inrie.

A C h i t n l i i lT , H u e ,C hezM . WiiKRLBn, cuDvihicur,

Le Dimanche 12 Ju ille t 1865 , !« iiiiilt.Par le MitHÛfcrc dudit M* Hcmkt.

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Pu par nous AfMinde'Idyilta de Sentit^^iii'tégati- ttlUsn d* ta y» W. Itc^HÎtr, apposée k r «i*v.

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SENLIS, IVPOr.RArilIE ET I.ITIRMJRAPHIB DE M - V' REONIER.