Emidas lè, il dit jour à mè: « Je s

chez te . » Il che s la sse et rri à la hu de sa te deè le baba.

te por un boucoré ; elle très lle.

Emidas te 7 des jas pour tan. Pour le merer, e lui nne un teau à noix de co. Sur che du tour, a

ment rré le teau que te la me cou. Avé au lla, sa mè lui dit : « Mais q-tu s la te Emidas ? Si as gâ mets-le s du paer ft et le pors sur ta te sous ton cha. As- coms ? -Oui, man »

Le man suit , Emidas rene chez tan. Il de à veau à por les 7 rres. Ce fois-, Tan lui ffre une sse part de rre. Eminons obit à sa re, il

le rre dans du t le te s son peau. Le rre fond et le sur tout le ps du çon.

A a vée sa re lui de de ce a te « Du beu de tan . » -E mi das, -tu s la

te ? Si as beu , tu fa ques un pe t lis tu

tes ; s sur rou , tu le s dans la re pour pas

qu’il de. As-tu pris ? -Oui, man ! Le man sui t, sa te lui o un tit chiot.

E mi das est vi, il fa que un tit co s avec l’a mal ; s sur la te, il s’a te et le

dans la re. Le ot é ffe, il a , il ja . -E mi das, que m’ ppor s-tu là ? - un li ot blanc, Ma . - E mi das, qu’as- dans la tê ? Un iot, tu l’ tta s par cou et le ti s. As-tu

pris ?

- Oui, man » Le di che sui t , sa te lui ffre des lettes. Il ve une a , il a che les lettes et ti sur le . « E mi das, que m’a tes-

là ? -De lles ga s ! -E mi das, mais -tu s le crâ ? Tu es ? Do na t, tu n’i s plus ta tante !

Le di che vant, E mi das est ché. Il ne se ve pas sa re va chez te Ba. Elle dit : « Il y a de s pâ s sur le s de la te. Re de quand tu

sse s ssus ! » E mi das se lè tard. Il re de les pâ s et marche de s, un par ! Lor que mè dé vre les pâ s tout plats, t a més, elle n’a mais é au chée

Emidas est t tris. La t, il va le d sat

qui méte sous ar. Il lui rate qu’il oit tous et que tant il tous

dé. Le sat l’éte, il rit et pour fi lui dit : « N’ois plus s réchir, Emidas !! »