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Loup B E R T ÏlO ^M àctear en chef. m .'.ÜAOlJeVL'Tt^ CKJDV.J StJAJ P ^ r ü t s sàn t^ N^ 5 E ή W ^ i ESî - R ................ TT81 n a ci^ii •“ £ •••■•■*•<»i061 n a Jfxu ; - f-Tf.>q no i8 -l's;. iô (t-jJîèi Xfs ,o'ÉI6's ï«jtt nh Jss^ud »( .»'’.o''' :;i('. 'VJ'i ^ tî .'9 a';''t;ayMS‘ io3 .; ia ioi ai oj . a .................... JL-B O ZT XT ai 97 S . fMIba U-HUanaM n, . . . r ■ UtttMMMgnMAa. ' _____________fcalliitOlifc AMn•4<^ - } Siaai<t.OlM> MnalUl. ' afr. >fr. 1 Un an... ................. Sfr. Sfr. ^acfr...;.:..."Sfr. Sfr. I ^ mdi................ Sfr. Sfr. "Oa •’aaôtiiîn alox ïvraanx dn jaamal at daaa tans fri b’uraaaz da npito. — L'alishiumant eat pajaUt" d’ayança «t eontiaM.^da jJainiridt jnaqn’à rfcapmn d’at^ «ontnJr» ^ -, 5. ■:-3 siiwt-'i.tfii'-itï : j^law^Xa*..^ : ■ ■■ *‘..1 SJBNliIS -.9 T A ljA y .'>;,-UÛUU •• "'.’ii îeisic ï'j !' 1 ' i — 'S E N U S - C .lr>U f , ___ ^ ___________ ŒBSn!i9l wr»o - I '< V O^II*AO€BPra FAI O'oraiKnOR ▲ü-9|»KO«J^iit9Ap^;gO';C| liês abhonces^ r6clûoe<» «tc^ conoeàna&t Parif et les Départements sont re(iies fireetenefllô ans bueanz dn|jonmat OTLS 3 ’ooisq .SO' Un fait scandaleux. La coupable légâreti avec laquelle le BÎttûtre de la Guerre a mie l'armée,1 Il dUpositlon du Matin, a «ouleyé de toate» partfrde légitimes et énergiques protestations. Ce qui s’est passé est isOTÏ, ineonosYàble, et interpellé à ce lojet à la Chambre, lundi, par M. le eelooel Ronssef, le général André, abso lument démonÛ, a eu une attitude piteuse, implorant timidement le pudon ^ e de pouvoir apporter à la tribune la moindre excuse. Èt comment youlez- Tous qu'il en soit autrement! Les fûts lont là qui parlent d’eux-mâmes. Dans un but de réclame, le journal le Matin organise une course pédestre nz environs de Paris, il obtient pour cette entreprise particulière, non seule- Bimit le concours de l’armée, mais le ninistre donne à cette manifestation un caractère of/tdel indéniable. Des affi ches ilanohts ^couleur réserrée à l’ad- iDinistration),'aTec le titre pompeux de Marche de VArmée, sont pkûsardées lur les murs ; plus de deux mille mili taires, venus des différentes garnisons de province, sont placés en subsistance dans les casernes de la capitale ; le jour de la course, une musique militaire, deux escadrons de la garde républicaine ont été, par la volonté de M. André, miaistre de la Guerre, employés à la vaste réclame en question. Et c’est ainsi que dimanche, les pari- ilens ont pu assister k l’écœurant spec tacle d’un défilé où des officiers portant le brassard du Matin, sous les ordres dereporters, accompagnaient des soldats escortés par la vile populace des fou- bourgs, des rôdeurs endimanchés mêlant les cris de : « Tive l'Armée! > aux chants de la Carmagnole et de l’/nd«r- nationale. Yoilà à quelle promiscuité honteuse condamnait de gaieté de cœur notre vaillante armée le général André 1 Les conséquences de cette épreuve qui n’a aucune signification, ont été de Hmer sur la route, par une accablante chaleur, soixante-dix-sept soldats, qu’on s dû transporter dans les infirmeries en ittendant leur transfert à l’hôpital. Un de ces malheureux est mort, deux sont i l’extrémité et quarsnte-trois sont dans un état grave qui inspire de sérieuses inquiétudes, voilà le bilan de cette jour née. Quand, dans un régiment, où les marches sont faites après entraînement progressif et avec toutes les précautions voulues, quelques traînards indisposés montent dans les fourgons et que des plaintes parviennent au ministère, une enqnête sévère est aussitôt ouverte, et l’oMcier commandant le détachement est frappé, s’il j a lieu, d’une mesure disciplinaire. Et voici le ministre lui-même qui, •ans le moindre souci de la santé des kmmes, de la dignité de l’turmée, se livre à une expérience inutile, grotesque et barbare, pour se prêter à la combi naison d’un journal à court de réclame I Ah! c’est compréhensible que pour H défense, le général André n’ait pu formuler, balbutier aucun motif d’excuse ! Que voulez-vous, le ministre de la gierre était obUgé de se prêter aux fantaisies du Matin qui est non seule ment ministériel, mais qui recueille ■esconfidences quotidiennes et soutient le Bloc avec une ardeur, une persévé- ■ance rares. C’est cé que n’a pas expliqué, à ses inierpellateurs, le général André dont la conduite a -soulevé la réprobation générale, à la Chambre, dans la presse et an smn du publie. Parmi ceux qui sont restés indiffé rents à la course carnavalesque du Matin, nous avons, chez nous, MM. Bandon et Noël. Si c’est une fiche de consolation pour M. André, elle est plutôt maigre. Maié il est extrêmement :ffichenx de voir ces deux députés de l’Oise, approuver des actes aussi contraires à la discipline et à la défense nationale. Loup Bbbtboz. LEUR PROGRAMME. Les candidats du Bloc à Courcemoni (Sarthe) ont résumé le programme cambiste en ces quelques lignes suggestives I ' Electeurs ! Aveu vous besoin d’un sursis pour vos ving t huit Jours f Aves vous besoin d’une permission de moisson pour un de vos Jlls ? Avez vous besoin qidun de vos fils reste comme soutien defamille ? Etes-vousréserviste nécessiteux etdésirex' vous une indemnité^ Désirez-vous que la commune reçoive, comme par le passé, des subventions du département ou de l’Etat ? Avez vous besoin d’une recommandation qusiconque ? Avez-vous omis de déclarer chiens, vélo cipèdes, voitures, et désirez-vous malgré cela ne pas être imposés à la double taxe f Oui, n’est ce pas f . Eh bien ! aujourd’hui, toutes ces petites < faveurs » vous sont aussitôt accordées; tous ces petits ennuis sont écartés comme par enchantement. Si vous aviez un maire d’opposition, un maire « contre le Gouvernement v, ce serait tout le contraire. Vous n’auriez plus aucune faveur, mais aucune, et les ennuis seuis bous resteraient. Joli programme pour les candidats officiels 1 Conseildes Ministres' Les ministres se sont rénnis mardi ma tin en conseil à l’Elysée, sous la présidence deM. Louhet. I Le ministre de la guerre a soumi- à la signature du Président de la République un d&ret instituant une commission supé- riftire d’hygiène et d’épidémioiogie mili taire. I I Cette commission,présidée par H.Bronar'j del, membre de l’Institut et de l’Académie de médecine, comprend ; { I MM. Bruchard, membre de l’Institut et de l’Académie de médecine; Cornil, membre de l’Académie de médecine et du comité consuitàtif d’hygiène publique de France. M. Roux, sous-directeur de l’Institut Pas-; teur, membre de l’Institut et de l’Académie de médecine. I MM. Cbantemesse, membre de l’Académie' de médecine ; Chauffard, membre de l’Aca-j démie de médecine. Keisch, médecin inspecteur de réserve,! membre de l’Académie de médecine ; Clau- dot, médecin inspecteur ; Delorme, médecin inspecteur, membre de l’Académie de mé- decme ; Catteau, médecin inspecteur. | i Paillard, médecin inspecteur, membre de l’Académie de médecine ; Kermorgant, médecin inspecteur de l’armée coloniale, membre de 1 Académie de médecine. i I Le prochain conseil se réunira vendredi à l’Elysée, sons la présidence de M. Lon- bet. Nous prions les personnes-qui nous demandent des renseignements de bien vouloir joindre à leur lettre un timbre pour Us réponse. Les Eléctions Con»eUV^lfri<iW«0(. Gironde. — Sans le canton de Castelnaùg^ M. Videau, député'répubHcami; a été élu en‘ remplacement ;de M. Lanoire, décédé. | Vendée^ — Dans le canton des Sables. d'Olonne, le docteur Godet, tépnUicain mi-' nistéiiel, a été é lu .v ^ 2,S67 voix cqntte 2,193 au docteur Canteleah, républicain progressiste. Conseils munlolpsux Pyrénées^Orientales. — ABaixas de nou velles élections-ont.eu lieuén présénce'de vingt et un gendarmes et d’un commissaire spédal de Perpighan. La liste radiode sas dalistedu maire sortant a:été battue par la. liste républicaine progressiste. | Hérault. — On ignore encore le résultat des eiectionsde:Fiorensac.A lasuite des ba-t garres qui, se sont produites ci’ume -a. été placée sous scellés et le procureur de la Républiqué a ouvert une enquête. | S E m S [Service télégraphique spéciaî) Séancedu 31 mai 1904 ! La séance est ouverte à 2 heures sous la présidence de M. Brisson. I La Chambre adoptéle projet de Jol anto-! lisant la colonie de MadagascarA emprunter, une somme supplémèntaire de IS millions pour l’aéhèvement du chemin de fer de Ta- nanaiive à la côte orientale. I Elle' adopte à l’unanimité de SS7votants la proposition de loi tendant àouvrir nu ârait extraordinalre-pqar-venir en aide aux ouvriers des industries textUes du Nord: éprouvés par le chômage résultant de la grève. . . . . J On renvoie à la commission du budget une proposition de M. Lefas, tendant à l’ou-| verture d’un crédit en faveurs d’ouvriers en ^ La'cêambre reprend la discussion de la loi miUtaire. , a , ‘ M. Berteanx, rapporteur, défend les conclusions de son rapport qui teudent à la réduction .du service militaire à deux ans. i Le projet en dis cussion s’inspire d’une double consi dération sociale .et miUtaire. U. s’agit de donner Anotre pays un système militaire concordant avec son état social. ' : | L’orateurfaitilris- torique de notre organisation militaire de-J puis 1789 et des lois sur le recrutement qui ont précédé celle qui’est en discussion: La' ioi .de 1832 établit le service de 7 ans pour ce motif que le maréchal Sonlt, mi nistre de la guerre, indiqua : à savoir qu’il fallait ce laps de temps pour user deux uniformes. ! C’est cette loi de 1832 qni nous a donné l’armée qui a fait la conquête de l’Algérie. Cette écote de la conquête de l’Algérie a nui à la France plus qu elle n’a servi dans les guerres européennes. i M. Etienne. — C’est cependant l’armée d’Afrique qni a donné à la guerre de 1870 ses plus grandes figures, à commencer par Chanzyet Fridherbe. Bl. Berteanx passe an second Empire qui, assure-t-il, fit une armée en vue de la répression du péril intérieur. M. Lasies, interrompant. — Vous faites marcher l’armée plus cruellement que l’Empire pour la répression des désordres inténeurs. Comptez vos cadavres, nous compterons les nôtres. Le rapporteur déclare que l’Empire ne voulait pas du service personnel. I M. Lasies.— Ce sont les-républicains comme Iules Simon et Thiers qui ne von- laient^s de service militaire. ' M. Bertrand.— Avec une armée issue du service personnei, Bazaine n’aurait pas S u accomplir sa trahison dansqn intérêt ynastiqué, Le colonel RoUsset, — Bazaine était ûn Berteaux .^*%^WSPfodiin,moblle politfrine.i ~ L fiaa bœnme qn’it a b i ^ tf^NapàâmTÛlqi-môaas. V , t 01 M B W U i l i > S 'i' " ! ' .1 ^ j \ spéiiat) '^ançedu3frjiaii90%. [ La.eép^ -est'onWte' à 3 h. sous la pré- sidéi^^.^';Fal^rés. I L e r S ^ ^ n r lèrWpM^ latappÿ valufodÿiection de H, Courrégelongue com me "semtèur du département la Gi- rondq,.,;.:. ' Il vàltOà ensuite sur lé rapport ,de M. Bonràtfrbf^l’électièn'de H. Bràgér de la Yille-Hoysan comme sénateur de l’Ille-et- Viliriium ,. I H. le Pi;éEéâent annonce que Le provost * ' ['demandeà foterpelier M. le Mi- (foeire^^i^; incidents relaUfr , ______ streStànt.Tètenù à la Chamb^ par-fil éHbéssK>hdé’Ià’’m -foiliteire fodate ide la di^uûMon sera ultéR ^^détil fiïéé: L’oidi&dujoarACBeUj^ discussion, de l’interpellation de MM. Halgan etdeLamar- zelle snj^tenlèvement des cmcilix placés dansTersâliés.iTandiencé; dés cours et des tribunaux. I BLiflai^m déclare que la circulaire du " dqs sceaux était illégale, et qu’elle a iils. conscience publique. ,pdè. Bidssét- Le gdarêrhement'ifétail nullement au- torisé,W le vote du Parlement à prendre nnét^mesnre. I - - - - - - - - - - - - - - - I ï ü ^orà&àtioniEr' H.’Uoageot ^ t à peu près entièrement rétabli des suites de sa longue maladie. 11 a pu recevoir ses principaux chefs de ser vice. , j Lemimstre de l'agriculture partira très prochafoement pour la campagne. f M. Haruéjonls,nümstre des. travaux pu- ’blics, a quitté Paris, lundi matin, se ren- jdant à BênaLoù il est arrivé à 10 h. 45. j I Le miffistre se proposé d’étudier sur pla-i ce,-dafrSice voyagé a Douai et dans la ré gion de^nt-Quçntini' diverses questions se lattaèfaant à la coostructioa dn canal dn Nord, j<4ée dernièrement par le Parie-j ment. ;■ y ■■ H. Bérard, sous-secrétaire d’Etat.aUx pos tes, est arrivé, lundi matin, à Bordeaux, en compagnie de M.Bayet, directeur de l’en seignement suiérienr. ■ .1 : Le sous-secfêtairedlEtat est iqipelé à Bor deaux par la-inort-de sonheanfrère, UJ Bizos, recteur de l'Académie de Bordeaux,' , Mme Léon Bourgeois, femme de l’anden . président du conseil, est morte lundi, àl quatre heures du soir, 5, |rue d'Orléans, àl SainbCloud. La Fête des Fleurs aura lieii an Bois<de Aoulogne les samedi-4 et dimanche 5 juinJ I On sait que c’est grâce aux résultats de cette fête traditionnelle de la charité élé-, ’peutad.—™ aux familles de tous ceux qni meurent vlé-! times de. leur dévonement. { Quelle'Charmante occasion d’accomplir une bonne action en prenant beaucoup de, plaisirl . 1 ZlkÆ ei.2roo Arrivée de l'esoadra amérioatna àTan« gar — L’altHuda .du auitaa — Las axl- ganoes d’Eralttoull. I Tanger, 30 mai. -r Les croiseurs améri cains « Atlanta » et t Brooklyn » sont arri vés. Ils sont suivis de près p ^ tous les autres navires de i’escadre américaine. L’amiral commandant la fiotte a pour mission d’exercer une pression sur les au torités marocaines pourles amener à accep-. l"of^ iL-' - •- - ■■ 1er les condilions^’tlralssoull. ■ ' '■ Lrsultanr accote de payer, la ra.nçon et de meftré eh liberté les partisans d Erais- - souli qui ont été emprisonnés. Mais Eraissduli demande en entre la p i^ lection. américaine. Il se confirme que fo fititttioh de M. Perdîcàris est plus gravé. Mii. Perdloaris et Vàpdéy en danger - WâiihingtOni 30 mai. — Le ministre des Etats-Unis Au Maroc télégraphie qu’on me nace de tuer JOL-Eerdicaris. et ITardey dans le cas où l’on n’accorderait pas aux bandits ce qu’ils rébiament: La elfaiétlon > Lé rapport officiel russe sûr la bataille de -Kn-Tchéo'u n’est pas encore parvenu. 'Tou tefois, une dépêche de Moukden donné des explications intéressantes éh ce qui concer ne la prisp des canons. On ne s expUqûait -pas très bien 'pour ' quel jnOfîf les Russes’ .avaient abandonné une dnquantmne de ca nons, alér» ntevaiéiw ûéè HUssé -un seul prisonnier entre les màms de l’onne- mi etqu’ils avaient même pu retirer leur 'artillerie à tir'rapide.'Or, le motif est bien simple : les canons abandonnés étaient de ivieifies pièces chinoises, de valeur tout à .fait secondaire. Les Russes s’en sont servis tant bien que jmal pour corser leur défense, mais ils Vont pas pensé qiie ce matériel suranné' fûtsnscqpobleffe .rendre ÆutUes servicesJ C’est pourquoi ils l’ont abandonné. ' On voit par là qué le principal trophée de la victoire japonaise, a Ein-Tchéou perd toutesa valeur. Au reste il'fout reconnaître qnedans son brefrapport le général Oku;' n’a pas plus Insisté sur la nature des ca nons capturés que sur les pertes formida bles éprouvées par ses polonnes d’assapt; | Incident de frontière I ' A la fpontlèpe de la Tunisie et de la Tri-' polltalne — Un paid dé plllapds | ' Tripoli, 29 mai. ^ Un courrier arrivé de Binàou'm, oasis tripolitaine, située près de -la frontière de Tunis, rapporte que le 27. courant, à l’heure de la prière, trois bandes de Chambaas de Ihnisie ont fait en terri toire tripolitain une incursion, au cours de laquelle ils ont massacré des habitants et < enlevé des chameaux. 90 Chambaas ont été foés dans un combat à Ders. | ' LesTripolitains.demandent .au gouver nement turojustice etrestitution de ce qui'; a été volé. . i Les commerçants ..de ïripolt craignent des troubles à Gadamès. ________ A Traîers MPresse Officier arrêté De VEclatr : ( L a Libre.Parole ayantannoncé qu’un ot-- fidér était intèrné au Mont-Valérien, le ministère de la guerre communique aux agencés la note que void : | I « Il est exact qu’un offider, qui se trouve sous le coup d’une poursuite en conseil de- guerre,a été mis aux arrêts de forteresse, i I II s’agit, croit le Temps de M. Dautriche, Offider d'administrâtion de l» classe au. ministère de la guerre. ' Dn Journal : Cette arrestation se rattacherait à rafiaire. Dréyfûs. M. Dautriche (Grégoire) est officier d’administration de 1» classe, attaché au 2< bureau dé . l'état-major. Il est chevalier de la Légion d’honneur depuis 1899. I La raison de son arrestation serait celle: d ! I On -aurait découvert qu’une somme dé- 25,000 françL. dont l’einploi n’a pu être jus tifié, avait 'œsinru. de la caisse de cebu- reau. Cette somme-aurait été employéepar l’état-major au moment du procès Dréyras, à Rennes: pour suborner certains témoinsi- Cette affaire,-nous assnre-t^, est appe- lOe.-^au' plus grand retentissement,.et une X ête eSt' menée secrèteméiit qtü pour- jnener d'autresarrestatiohs'é^ément motivées par l’emploi-de'fond» dé l’état- mgjor à'des subornations de témoins. I, M. Dautriche sera sans doute interrogé aujourd'hui pat' M- Cassel, rapportene près ^ le deuxième conseil de guerrei . i^officier h choisi corame défonsenz M^ - Jules.,AuffrSy, avocat à la coûrdfoDuelet'' dépulé-de Pagfo. . . 'Nous avons pu nous assurerqué M* ^ ^ ^ a i t pas encore Oommoaiqiijf avec Mairie prise De Glermont-JF'errand ait Figarpi . j Les dernières élections viennent, dexton- ber lieu, àBeauregard-l’Evêqne, comiBnne. du canton de Vertaizon, à de gra.ve»bici- ^ents. i Hier, en effet, huit consrillers spr douze, élus-contre l ’ancîenné municIpmllé.Lont, ' .- en plein air, sur Ja place de la République, procédé à l’élection de leur maire,‘pois, . - suivis d’un certain nombre de leurs élec- : teurs, se sontrendus à la mafrieet, ctRume ' leurs adversaires voulaient leur .en inter- ' dire l’accès, en ont enfoncé les I Une terrible bagarre s'est ] au cours de laquelle ' douze personnes ont été sérieusemei^bleûèes. , On a'dû, pour rétablir Pordre, taire i^pel à'.la gendarmerie. . ' ; j' Uneenquête«été cofflnuaK!éei a «o 3 i£i£ La note p.ohtiflèalç . i . . -- . i *3 . ;i Ala Chambre.llaltenns Rome, 30 mat. —. M. Mazza, questionne M. Giolitti sur les inteûtiœtir dit g ô û v ^ e : , meht 'ris-à-vis ' dés proiéstations reboaiié-,' ' léesdtt Eapé contre Plnté^fo^ dé PEtat.' M.. Mazza lit ime partie dé ..ta pinlèsfottbabon- tre la visite de M. LoubetT M. Mazza envoie detfosleurenses félirita- tions à H. Combes et-à'-la Ghamdrôfrâéai- te qui ont affirmé solennellsment-le-droit ' incontesté de l’Italie snrRome; M.- Gneréi développe une question-idui» le même sens. M.' Giolitti dit que la note dO' Tatiean, na turellement, ne fut pas comnraniqneei A - l’Italie. Toiitéfois, on 'doit relever queifo ' phrase concernant le rcfi'et l'Italie a donné i’occasioa-au gouvernéménb! de la'nation amie de faire des déclarations qui n'avaient jamais été faites par lui et qni-snffisent'par ù . eUes seules à effoeer tout souvenir des dis- sentiments pmsés. M. Giolitti ajoute que la note n’est quota ' répétition des protestations i qui se yenon: . vellent depuis trente-quatre anaérâ:n. ce pendant l’Italie n’a aucune raison duriiaD-. ' ger sa pqlitfiiueà'.la suite de cette nmr. L'I- '. folie, qui n'a rien à craindre, peut envisa ger avec tranquilité l’arrivée des congré]^-' . bons étcangères'en'Italie'; toutefois, si eeK. les-ci créaient ' des embainas à'.ritri» :ou {r froissaient P <'Italianttés. le «wnééfieiimnti j férait-son devifir en les expanant eh vertal des. lois. La politique du : gouversément n’est ' donc pas une politique faible, mais forte et soucieuse de la dignité duqiays^ . L’Italie poursuivra la route tracée pari- Cavour, et le gouvernement maintiendrat ' intact le principe de respectde la porté, h de tout le mondé dans la limite dé la loi. I . Le gouvernement n’a pas' de raison, à l’é-: 1 gard de la question religieuse, de iüDdifier|[ la direction Suivie jusqu’ici. Lé gouverne- ment est incompétent en matière réUgieusM ,. et il entend respecter la liberté dé todt'Tw " monde dans les limites des lois. Ir . La séance est levée. 1 ^ I ■■■> La Mârche ila J ’Aiinda Nombreuses'Insolations - Mort d’un ( 1 poral du 74- ds La Marche de l’armée a été fovorlsée 1 le temps. De lamentables, ^accidents , marque cette épreuve qui laissm ufredw ' loureuse impression &ns le souvôsir de tous ceux qui en ont étéleq témoins. Al 2 h. de l’apres-midi, un caporal dsoTê’ dej. ligne s’est trouvé mal, à fo ttavénée ' ' pont d’iéna; On l’a condtiit dans ufré j made puis à l’ambulance. Mfoné sur la place d’iéna, où uirsoldatdn 201’ d( a dù être porté à l’ambulanoei; ■, , Le nombre de» insolations a été gpnsidén rable, et 11 y à eu un- mort ; lé ciq>«Mi n""-’ net, du i » ’ de ligne, caserné décédé à Necker. Les raédecfos o n |t . tiqué une insolation et une congesiioir. ' un soldat, soigné au mêmeboj^tal, él hier soir, très gravement malade. ~ yULLETON DU COWRRIMRDÆ VOIMM jL’IIM O T * PAR EMILE RICHEBOURG BEUSrÈilE PARTIE L ’ E N M B M I LE RÉCIT — Suite — - -C o que tu sais. , "T i-n nu<age passa sur le front du comte “eLasserre. ." Comme tu le vois, mon cher Paul, re- Fit il. \ an Ossen, je prends part à tes dou- . je te plains; tu as tenu à me faire’ naître ton immense malheur, permets- ^ 01 donc (Tétrc exigeant ot de te dire: Il que je sache tout. Paul, la âi' comtesse do Lasserre est lof^l aussi; tu ne saurais m'en vou- f sentiment que j ’épvouvc; la pauvre est “^'^^téresse. Ne sais-tu pas ce qu’elle après la scène violente de la ce qui s’est passé. entre elle ^Kiant; mais le jour même, à la suite ®*î^®reile, probablement, il y a eu rap- comtesse a quitté la villa, avec tien arrêtée de se mettre à ma afin d’essayer ;de me r^remdre Ah 1c'est bien, cela, fit M. "Van Ossen. soiût. amer crispa les lèvres ^•ûrepritï _ — Supposant que j’étais reparti pour Nice, elle pensa à se rendre immédiatement dans cette ville; mais le hasard Payant con duite dans l’iiôtel où j’étais descendu à Menton, un domestique indiscret lui apprît que j’étais parti pour Vintimille. Elle cou cha à Menton dans une chambre de l’hôtel, et, le lendemain matin, elle se mit en route pour Vintimille. J’appris cela trois semaines plus tard,de la bouche du,.postillon italien dont j’ai parlé, lorsque je revins à Nice pour prendre mes malles que j ’avais laissées à la gare. "Voulant savoir ce que la comtesse avait fait en Italie et quelle route elle avait sui vie, je fis prendre des renseignements. A Vintimille, elle parvint à découvrir que j’étais parti le matin, à la première ^heure, me dirigeant sur Gênes. Elle pensa sans doute que je m’arrêterais dans cette ville, car, sans perdre de temps, elle se mit en route pour Gênes, croyant être sur mes traces. Après m’y avoir inutilement cherché pendant plusieurs .jours,, elle, comprit, s^ s doute, qu’elle devait renoncer à son fol esr .poir de retrouver sa fille. Alors, découra gée, elle quitta la ville do Gênes. On ne put m’apprendre de quel côté elle s’était mri- mais j ’ài tout lieu de supposer qu’elle était retournée en France, Pauvre femme I murmura le Hollan dais. ^ La comtesse de Lasserre n’était plus rien pour moi, contmuâ le comté ;• mais en m’occupant d’-elle, en cherchait à savoir ue qu’elle allait devenir, j.’obéiêsais & un sentiment qui parlait'«n moi- plus haut que la colère. Assurément, je ne l’aimais plus, je ne pouviûs ahnèr encore la fisinmé indigue ; niais je m’étonçala-de seatûr> aucune haine dans moncœur; j ’y trouvais, au contraire, une profonde pitié* D’ailleurs elle portait mon nom, elle était comtesse de ^senre, et je ne pettraii et Je a* je u . encore oublier qu’elle est la mère de ma fille. Quand j'appris qu’elle avait quitté brusquement son àmant, je me demandai aussitôt : <s‘ Que '^t-elle faire, la malheu reuse ? Que va-t-éllé devenir ? » Tout se révoltait en moi è cette pensée que la mère de ma fille, que la comtesse de Lasserre, abandonnée par moi à sa triste destinée, pourrait descendre un à un tous les éche lons de la misère, et, chose plus horrible encore, tomber dans les bas-fonds du vice, dans la fange où croupissent les femmes qui n’ont plus de honte. La comtesse, je te l’ai dit, avait quitté l’hôtel de Lasserre avec quelques centaines de francs seulement; sans emporter aucun de ses bijoux ; et, si éébnome. qu’elle fut, après les dépenses qu’elle avàit du faire en Italie, elle ne devait pas torder à se trou ver éans ressources. Je sentis qu’il était de mon devoir de lui assurer une existence Indépendante, soit en lui faisant remettre une pension, soit én lui remettant un capi tal qu'elle placerait elle-même. i. Le Hollandais saisit une des mains du comte et lui dit avec émotion : — Je reconnais là mcm ami le comte de Lasserre, généreux et bon toujours et mal-^ gré tout. — J'écrivis* en ce sens à mon notaire, M* ' Corvisier, continua le comte, le priant de mettre tous ^9 soips à découvrir le plus vite possible le Ueu.de.résidence de la com tesse afin de s'entend^ avec .elle, au sujet de la donation ou 'de. la.pension. pendant des mois, M* CorvisieE ;chercha vainement:! la comtesse de JliiÈseiM,4ai«embkit:8V3oiiS''; disparu du monde. Des/ânnées. se seraient^ peufr^e Aoôulées^sww que K* ; Côpvîs^*| mt^aEt*muji rétrôùV^ la cdmteBàé^isI jour, au moment' où il s’y attendait le moins, elle ne se fut présentée chez lui. —’Ah! fit M. Yan Ossen, suMteme&t d’nii» grasde raPTHaigii) * — M* Corvisier, poursuivit le comte, put croire, d’abord, que la comtesse' de Las serre, à bout de ressources, manquant de tout et poussée par la nécessité, s’etait en fin décidée à venir le trouver. Eh ! bien, non : M* Corvisier lui dit ce que jè voulais faire pour elle, èt elle refusa. — Ah ! elle refusa? fit M. Van Ossen. — Oui, mon ami, elle refnsa avec orgueil. — Eh 1 bien, je comprends cola. Le comte secoua la tête. — Je n’ai pas compris, .moi, dit-il, car, enfin, comment a-t-elle vécu ? comment. vit-elle ? _ . ___ _ — Peut-être le sauras-tu un jour. — Après-tout,' que -nFraportè ?-Je ne me reproche nen, j’ai fait-'ca que,je devais, — Enfin, pourquoi venait-elle trouver le notaire ? jGhIune- folie 1 répondit le comte-; elle venait'prier M* Corvisier de lui servir d’intermédiaire auprès de moi- pour qu’ij lui'soit permis de re'voir sa fille ; elle ve nait réclamer son enfant I . — J’avais deviné, dit M., Van Ossen, dont le 'visage s’attrista de nouveau. ' Après un court silence, il reprit : — Et tu as été impitoyable ? Tu n’.as pas autorisé la paut^ mère à voir sa fille même une seule fois ? Pourtant, c'eût pour elle une consolation, une j'oie, dans son . malheur. .. ' , — Guillaume,, répliqua le-contte d’une : i voix creuse, j’ai jpç^ qp^.foi^ouitesee de ; ' Lasserre nqrevèiTfû^jaçiais sa.fiUat ' .PaUl,-lu es t ^ b f o 1 . I -r-Je.suis-justo. . . ' ;1 épousa^Bwprtle neÆ^de,fcr^'paSs 'en favèifr de la mere ? — Bien, répondit le comte d’nn ton bref et sec ; l’épouse coupable est également une mère indigne. La èômtesse de Lasserra lB9 m ttn jtnriR w ffUe | .1 ' Le Hollandais baissa la tête, puis, la re-' levant aussitôt i _ ^ — La comtesse de Lasserre a-t-elle revu le vicomte de Sanzac âpres leur séparation demanda-t-il.. — Je l’ignore, répondit le comte', mais je ne le crois pas. Il m’a été dit que, souvent, le vicomte avait cherçÏÏîTà'savoir ce que la comtesse était devenue. — Il l’aimâît donc réellement ? — Je h'en sais" rien. — Dans ce cas, il atimt moins songé à ; une lâche vengeance comme lu me l’as dit,' 'qu’à satisfaire une Jâssîôn. —La comtesse enesè-êliemoins coupable? Non, sans doute ; mais quand je me' [traire, les choses qui peuvent jPa^, limsgerfr|oi;^qirç.qup fo oomtemé ,çst;j ;ttne,victimé.‘, ' " ' , : Il " , T I -I-Hpu'.chor GuîUauinè, .-répliqua fifoi-' 'dément le comte, il èsl inûtilé .j!e prendre . .sa défense, de .plaider sa cause : je .l’ai ijugéè èt‘condamnée. ' : i — Boit, mus tu es le droit de grâce ; un jour tu pardonneras. ........ Un éçlaû; jaillit des.yéûx du .comte, . — Jamais ! dit-il d’une voix'spnrde. : Qu’as-tu à ine t o é ^côre de fo cèns- tessja.?,. ’.I I . Alors, tu ne-sass-pasdoiL. elle est? --T^ije. l ’jgi^re. Ji&oIumBnt. Etlé.‘'n.’èst; plus^tt^p ^le|4^e, ije-pe ..saiepaa,,.. te — -a::—. . -~ quinftFUè' ma 'fine'et lA fitiennê.'’* elle existe, autrement j’aurais appris sa mort. I — C’est singulier qu’elle ait ainsi dis] gatu. Bent-fitn s'w t^e enatné» ? ' t l’est possible. Mais .itous’ÿemriniMd.p égâleméht qu’eUe s’èst rëtiréé-ilj^ c’est comme — C’est 1 mettre un cloitre. — Dans ce cas, n’existait plus. — Pas tout à fait, répliqué le cofote; ‘oit - peut quitter un couvent, on ne 'ifêzt pa» - de 1a tombe. | i I A ce moment. Aurore' se leva; Faieé’*.' vança lentement vers les deux--amis, -iiés.- rêta devant eux, et un sourire i courut sur ses lèvres pâlfos. 1 —i-L'luver sera loUjg’cetté i d’unieûoixdolenté. . ' i Et elle entra dans fo maisoui^ i ' i ; . . I. is8-mÉ:5S: Bif?oogH5»"Bs.iauflûoun6o ,— Quelques mois avant dental ffle ^ez; les Ipêcheurs de tûvieudMlj^ loué^e petite^ ju^sofr'yufo .niet'^ m|lién d’un deê pluit''33lil^tei‘dê* __ pagne de'Morenee. Cette;;lu^aiïi^ sainment Solitairê, cacKSé'’daàiïttÙ’' dé vferdnrei' était bâtie a ù i^ dV à peu près d’égale g r a a à e ^ q u ^ ci^ De idàgnifiqtier vânété d’arbusteya. et des ^ Biuent^dè ''eèt^clïoit'^ i^&bles. ^ 80 sei 'muette, et tamment — iMUrije

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Page 1: N^ E ή W ^ i Les Eléctions Un fait scandaleux.bmsenlis.com/data/pdf/js/1904/bms_js_1904_06_02_MRC.pdf · 2014. 2. 17. · membre de 1 Académie de médecine. i I Le prochain conseil

L o u p B E R T Ï l O ^ M à c t e a r e n chef.

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P ^ r ü t s s à n t ^ N^5E Î ® W ^ i

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d’ayança «t eontiaM.^da jJainiridt jnaqn’à rfcapmn d’a t^ «ontnJr» -,

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liês abhonces r6clûoe<» «tc^ conoeàna&t Parif et les Départements sont re(iies fireetenefllô ans bueanz dn|jonmat

OTLS3

’ooisq.SO'

Un fait scandaleux.La coupable légâreti avec laquelle le

BÎttûtre de la Guerre a mie l'armée,1 Il dUpositlon du M atin, a «ouleyé de toate» partfrde légitimes et énergiques protestations. Ce qui s’est passé est isOTÏ, ineonosYàble, et interpellé à ce lojet à la Chambre, lundi, par M. le eelooel Ronssef, le général André, abso­lument démonÛ, a eu une attitude piteuse, implorant timidement le pudon ^ e de pouvoir apporter à la tribune la moindre excuse. Èt comment youlez- Tous qu'il en soit autrement! Les fûts lont là qui parlent d’eux-mâmes.

Dans un but de réclame, le journal le Matin organise une course pédestre n z environs de Paris, il obtient pour cette entreprise particulière, non seule- Bimit le concours de l’armée, mais le ninistre donne à cette manifestation un caractère of/tdel indéniable. Des affi­ches ilanohts ^couleur réserrée à l’ad- iDinistration),'aTec le titre pompeux de Marche de VArmée, sont pkûsardées lur les murs ; plus de deux mille mili­taires, venus des différentes garnisons de province, sont placés en subsistance dans les casernes de la capitale ; le jour de la course, une musique militaire, deux escadrons de la garde républicaine ont été, par la volonté de M. André, miaistre de la Guerre, employés à la vaste réclame en question.

Et c’est ainsi que dimanche, les pari- ilens ont pu assister k l’écœurant spec­tacle d’un défilé où des officiers portant le brassard du M atin, sous les ordres de reporters, accompagnaient des soldats escortés par la vile populace des fou- bourgs, des rôdeurs endimanchés mêlant les cris de : « Tive l'Armée! > aux chants de la Carmagnole et de l’/nd«r- nationale. Yoilà à quelle promiscuité honteuse condamnait de gaieté de cœur notre vaillante armée le général André 1

Les conséquences de cette épreuve qui n’a aucune signification, ont été de Hmer sur la route, par une accablante chaleur, soixante-dix-sept soldats, qu’on s dû transporter dans les infirmeries en ittendant leur transfert à l’hôpital. Un de ces malheureux est mort, deux sont i l’extrémité et quarsnte-trois sont dans un état grave qui inspire de sérieuses inquiétudes, voilà le bilan de cette jour­née. Quand, dans un régiment, où les marches sont faites après entraînement progressif et avec toutes les précautions voulues, quelques traînards indisposés montent dans les fourgons et que des plaintes parviennent au ministère, une enqnête sévère est aussitôt ouverte, et l’oMcier commandant le détachement est frappé, s’il j a lieu, d’une mesure disciplinaire.

Et voici le ministre lui-même qui, •ans le moindre souci de la santé des kmmes, de la dignité de l’turmée, se livre à une expérience inutile, grotesque et barbare, pour se prêter à la combi­naison d’un journal à court de réclame I

Ah! c’est compréhensible que pour H défense, le général André n’ait pu formuler, balbutier aucun motif d’excuse !

Que voulez-vous, le ministre de la gierre était obUgé de se prêter aux fantaisies du Matin qui est non seule­ment ministériel, mais qui recueille ■es confidences quotidiennes et soutient le Bloc avec une ardeur, une persévé- ■ance rares.

C’est cé que n’a pas expliqué, à ses inierpellateurs, le général André dont la conduite a -soulevé la réprobation générale, à la Chambre, dans la presse et an smn du publie.

Parmi ceux qui sont restés indiffé­rents à la course carnavalesque du Matin, nous avons, chez nous, MM. Bandon et Noël.

Si c’est une fiche de consolation pour M. André, elle est plutôt maigre. Maié il est extrêmement :ffichenx de voir ces deux députés de l’Oise, approuver des actes aussi contraires à la discipline et à la défense nationale.

Loup Bbbtboz.

LEUR PROGRAMME.Les candidats du Bloc à Courcemoni

(Sarthe) ont résumé le programme cambiste en ces quelques lignes suggestives I '

Electeurs !Aveu vous besoin d’un sursis pour vos

ving t huit Jours fAves vous besoin d’une permission de

moisson pour un de vos Jlls ?Avez vous besoin qidun de vos fils reste

comme soutien de famille ?Etes-vousréserviste nécessiteux etdésirex'

vous une indemnité^Désirez-vous que la commune reçoive,

comme par le passé, des subventions du département ou de l’Etat ?

Avez vous besoin d’une recommandation qusiconque ?

Avez-vous omis de déclarer chiens, vélo­cipèdes, voitures, et désirez-vous malgré cela ne pas être imposés à la double taxe f

Oui, n’est ce pas f .Eh bien ! aujourd’hui, toutes ces petites

< faveurs » vous sont aussitôt accordées; tous ces petits ennuis sont écartés comme par enchantement.

Si vous aviez un maire d’opposition, un maire « contre le Gouvernement v, ce serait tout le contraire.

Vous n’auriez plus aucune faveur, mais aucune, et les ennuis seuis bous resteraient.

Joli programme pour les candidats officiels 1

Conseil des Ministres'Les ministres se sont rénnis mardi ma­

tin en conseil à l’Elysée, sous la présidence deM. Louhet.I Le ministre de la guerre a soumi- à la signature du Président de la République un d&ret instituant une commission supé- riftire d’hygiène et d’épidémioiogie mili­taire. I

I Cette commission,présidée par H.Bronar'j del, membre de l’Institut et de l’Académie de médecine, comprend ; {

I MM. Bruchard, membre de l’Institut et de l’Académie de médecine; Cornil, membre de l’Académie de médecine et du comité consuitàtif d’hygiène publique de France. ‘ M. Roux, sous-directeur de l’Institut Pas-; teur, membre de l’Institut et de l’Académie de médecine. I

MM. Cbantemesse, membre de l’Académie' de médecine ; Chauffard, membre de l’Aca-j démie de médecine.

Keisch, médecin inspecteur de réserve,! membre de l’Académie de médecine ; Clau- dot, médecin inspecteur ; Delorme, médecin inspecteur, membre de l’Académie de mé- decme ; Catteau, médecin inspecteur. | i Paillard, médecin inspecteur, membre de l’Académie de médecine ; Kermorgant, médecin inspecteur de l’armée coloniale, membre de 1 Académie de médecine. i I Le prochain conseil se réunira vendredi à l’Elysée, sons la présidence de M. Lon- bet.

Nous prions les personnes-qui nous demandent des renseignements de bien vouloir joindre à leur lettre un timbre pour Us réponse.

Les EléctionsCon»eUV lfri<iW«0(.

Gironde. — Sans le canton de Castelnaùg M. Videau, député'répubHcami; a été élu en‘ remplacement ;de M. Lanoire, décédé. |

Vendée^ — Dans le canton des Sables. d'Olonne, le docteur Godet, tépnUicain mi-' nistéiiel, a été é lu .v ^ 2,S67 voix cqntte 2,193 au docteur Canteleah, républicain progressiste.

Conseils munlolpsuxPyrénées^Orientales. — ABaixas de nou­

velles élections-ont.eu lieuén présénce'de vingt et un gendarmes et d’un commissaire spédal de Perpighan. La liste radiode sas dalistedu maire sortant a:été battue par la. liste républicaine progressiste. |

Hérault. — On ignore encore le résultat des eiectionsde:Fiorensac.A lasuite des ba-t garres qui, se sont produites ci’ume -a. été placée sous scellés et le procureur de la Républiqué a ouvert une enquête. |

S E m S[ S e r v i c e t é l é g r a p h iq u e s p é c i a î )

S é a n c e d u 3 1 m a i 1 9 0 4

! La séance est ouverte à 2 heures sous la présidence de M. Brisson. I

La Chambre adoptéle projet de Jol anto-! lisant la colonie de Madagascar A emprunter, une somme supplémèntaire de IS millions pour l’aéhèvement du chemin de fer de Ta- nanaiive à la côte orientale. I

Elle' adopte à l’unanimité de SS7 votantsla proposition de loi tendant à ouvrir nuâ ra it extraordinalre-pqar-venir en aide aux ouvriers des industries textUes du Nord: éprouvés par le chômage résultant de la grève. . . . . J

On renvoie à la commission du budget une proposition de M. Lefas, tendant à l’ou-| verture d’un crédit en faveurs d’ouvriers en^ La'cêambre reprend la discussion de la loi miUtaire. , a ,‘ M. Berteanx, rapporteur, défend les

conclusions de son rapport qui teudent à la réduction .du service militaire à deux ans. i

Le projet en dis­cussion s’inspire d’une double consi­dération sociale .et miUtaire. U. s’agit de donner Anotre pays un système militaire concordant avec son état social. ' : |

L’orateurfaitilris- torique de notre organisation militaire de-J puis 1789 et des lois sur le recrutement qui ont précédé celle qui’est en discussion:

La' ioi .de 1832 établit le service de 7 ans pour ce motif que le maréchal Sonlt, mi­nistre de la guerre, indiqua : à savoir qu’il fallait ce laps de temps pour user deux uniformes. !

C’est cette loi de 1832 qni nous a donné l’armée qui a fait la conquête de l’Algérie. Cette écote de la conquête de l’Algérie a nui à la France plus qu elle n’a servi dans les guerres européennes. i

M. Etienne. — C’est cependant l’armée d’Afrique qni a donné à la guerre de 1870 ses plus grandes figures, à commencer par Chanzyet Fridherbe.

Bl. Berteanx passe an second Empire qui, assure-t-il, fit une armée en vue de la répression du péril intérieur.

M. Lasies, interrompant. — Vous faites marcher l’armée plus cruellement que l’Empire pour la répression des désordres inténeurs. Comptez vos cadavres, nous compterons les nôtres.

Le rapporteur déclare que l’Empire ne voulait pas du service personnel. I

M. Lasies.— Ce sont les-républicains comme Iules Simon et Thiers qui ne von- la ien t^s de service militaire. '

M. Bertrand.— Avec une armée issue du service personnei, Bazaine n’aurait pasSu accomplir sa trahison dansqn intérêt

ynastiqué,Le colonel RoUsset, — Bazaine était ûn

Berteaux

.^*%^WSPfodiin,moblle politfrine.i ~L f iaa bœnme qn’ita b i ^ tf^NapàâmTÛlqi-môaas. V ,t 0 1 M B W U i l i > S ' i ' " ! ' .1 ^ j

\spéiiat)

'^a n ç ed u 3 fr jia ii9 0 % .

[ L a.eép^ -est'onWte' à 3 h. sous la pré- s id é i^ ^ .^ ';F a l^ ré s .I L e r S ^ ^ n r lèrWpM^ latappÿvalufodÿiection de H, Courrégelongue com­me "semtèur du département aé la Gi-rondq,.,;.:.' Il vàltOà ensuite sur lé rapport ,de M. Bonràtfrbf^l’électièn'de H. Bràgér de la Yille-Hoysan comme sénateur de l’Ille-et-Viliriium ,.

I H. le Pi;éEéâent annonce que Le provost * ' ['demandeà foterpelier M. le Mi-

(foeire^^i^ ; incidents relaUfr

, ______ stre Stànt .Tètenù à la Chamb^par-fil éHbéssK>hdé’Ià’’m -foiliteire fodate ide la di^uûMon sera u ltéR ^^dé til fiïéé:

L’oidi&dujoarACBeUj^ discussion, de l’interpellation de MM. Halgan etdeLamar- zelle snj^tenlèvement des cmcilix placés dansTersâliés.iTandiencé; dés cours et des tribunaux.I BLiflai^m déclare que la circulaire du

" dqs sceaux était illégale, et qu’elle a iils. conscience publique.

,p d è .Bidssét-

Le gdarêrhement'ifétail nullement au- torisé,W le vote du Parlement à prendre n n é t^ m e sn re .

I - - - - - - - - - - - - - - -I ï ü ^ o r à & à t i o n i E r '

H.’Uoageot ^ t à peu près entièrement rétabli des suites de sa longue maladie. 11 a pu recevoir ses principaux chefs de ser­vice. ,

j Lemimstre de l'agriculture partira très prochafoement pour la campagne.

f M. Haruéjonls,nümstre des. travaux pu- ’blics, a quitté Paris, lundi matin, se ren- jdant à BênaLoù il est arrivé à 10 h. 45. jI Le miffistre se proposé d’étudier sur pla-i ce,-dafrSice voyagé a Douai et dans la ré­gion de^nt-Quçntini' diverses questions se lattaèfaant à la coostructioa dn canal dn Nord, j<4ée dernièrement par le Parie-j ment. ;■ y ■■ ■

H. Bérard, sous-secrétaire d’Etat.aUx pos­tes, est arrivé, lundi matin, à Bordeaux, en compagnie de M.Bayet, directeur de l’en­seignement suiérienr. ■ . 1: Le sous-secfêtairedlEtat est iqipelé à Bor­deaux par la-inort-de sonheanfrère, UJ Bizos, recteur de l'Académie de Bordeaux,'

, Mme Léon Bourgeois, femme de l’anden . président du conseil, est morte lundi, àl quatre heures du soir, 5, |rue d'Orléans, àl SainbCloud.

La Fête des Fleurs aura lieii an Bois<de Aoulogne les samedi-4 et dimanche 5 juinJ I On sait que c’est grâce aux résultats de cette fête traditionnelle de la charité élé-,

’peutad.—™aux familles de tous ceux qni meurent vlé-! times de. leur dévonement. {

Quelle'Charmante occasion d’accomplir une bonne action en prenant beaucoup de, plaisirl . 1

Z l k Æ e i . 2 r o o ‘

Arrivée de l'esoadra amérioatna àTan« ga r — L’altHuda .du auitaa — Las axl- ganoes d’Eralttoull. ITanger, 30 mai. - r Les croiseurs améri­

cains « Atlanta » et t Brooklyn » sont arri­vés. Ils sont suivis de près p ^ tous les autres navires de i’escadre américaine.

L’amiral commandant la fiotte a pour mission d’exercer une pression sur les au­torités marocaines pour les amener à accep-.

l"of^ ■ iL -' - •- - ■■1er les condilions^’tlralssoull. ■ ''■ Lrsultanr accote de payer, la ra.nçon et de meftré eh liberté les partisans d Erais- - souli qui ont été emprisonnés.

Mais Eraissduli demande en entre la p i^ lection. américaine. Il se confirme que fo fititttioh de M. Perdîcàris est plus gravé.

M ii. Perdloaris et Vàpdéy en danger -WâiihingtOni 30 mai. — Le ministre des

Etats-Unis Au Maroc télégraphie qu’on me­nace de tuer JOL-Eerdicaris. et ITardey dans le cas où l ’on n’accorderait pas aux bandits ce qu’ils rébiament:

La elfaiétlon> Lé rapport officiel russe sûr la bataille de -Kn-Tchéo'u n’est pas encore parvenu. 'Tou­tefois, une dépêche de Moukden donné des explications intéressantes éh ce qui concer­ne la prisp des canons. On ne s expUqûait -pas très bien 'pour ' quel jnOfîf les Russes’ .avaient abandonné une dnquantmne de ca­nons, alér» ntevaiéiw ûéè HUssé -un seul prisonnier entre les màms de l’onne- mi etqu’ils avaient même pu retirer leur 'artillerie à tir'rapide.'Or, le motif est bien simple : les canons abandonnés étaient de ivieifies pièces chinoises, de valeur tout à .fait secondaire.

Les Russes s’en sont servis tant bien que jmal pour corser leur défense, mais ilsVont pas pensé qiie ce matériel suranné' fûtsnscqpobleffe .rendre ÆutUes servicesJ C’est pourquoi ils l’ont abandonné.' On voit par là qué le principal trophée de la victoire japonaise, a Ein-Tchéou perd toutesa valeur. Au reste il'fout reconnaître qnedans son bref rapport le général Oku;' n’a pas plus Insisté sur la nature des ca­nons capturés que sur les pertes formida­bles éprouvées par ses polonnes d’assapt; |

Incident de frontièreI 'A la fpontlèpe de la Tunisie e t de la Tri-'

polltalne — Un paid dé plllapds |' Tripoli, 29 mai. ^ Un courrier arrivé de Binàou'm, oasis tripolitaine, située près de -la frontière de Tunis, rapporte que le 27. courant, à l’heure de la prière, trois bandes de Chambaas de Ihnisie ont fait en terri­toire tripolitain une incursion, au cours de laquelle ils ont massacré des habitants et < enlevé des chameaux. 90 Chambaas ont été foés dans un combat à Ders. |' LesTripolitains.demandent .au gouver­nement turojustice etrestitution de ce qui'; a été volé. . i

Les commerçants ..de ïripolt craignent des troubles à Gadamès. ________ •

A Traîers M PresseOfficier arrêté

D e VEclatr :( LaLibre.Parole ayantannoncé qu’un ot-- fidér était intèrné au Mont-Valérien, le ministère de la guerre communique aux agencés la note que void : |

I « Il est exact qu’un offider, qui se trouve sous le coup d’une poursuite en conseil de- guerre,a été mis aux arrêts de forteresse, i I II s’agit, croit le Temps de M. Dautriche, Offider d'administrâtion de l» classe au. ministère de la guerre. '

D n Journal :Cette arrestation se rattacherait à rafiaire.

Dréyfûs. M. Dautriche (Grégoire) est officier d’administration de 1» classe, attaché au 2< bureau dé . l'état-major. Il est chevalier de la Légion d’honneur depuis 1899.

I La raison de son arrestation serait celle: d ! ■

I On -aurait découvert qu’une somme dé- 25,000 françL. dont l ’einploi n’a pu être jus­tifié, avait 'œsinru. de la caisse de cebu- reau. Cette somme-aurait été employéepar l’état-major au moment du procès Dréyras, à Rennes: pour suborner certains témoinsi-

Cette affaire,-nous assnre-t^ , est appe- lOe.- au' plus grand retentissement,.et uneX ête eSt' menée secrèteméiit qtü pour-

jnener d'autresarrestatiohs'é^ément motivées par l’emploi-de'fond» dé l’état- mgjor à'des subornations de témoins. I,

M. Dautriche sera sans doute interrogé aujourd'hui pat' M- Cassel, rapportene près le deuxième conseil de guerrei .

i^officier h choisi corame défonsenz M^ - Jules.,AuffrSy, avocat à la coûrdfoDuelet'' dépulé-de Pagfo. ■ . .

'Nous avons pu nous assurerqué M* ^ ^ ^ a i t pas encore Oommoaiqiijf avec

Mairie prise D e Glermont-JF'errand ait F ig a r p i . j Les dernières élections viennent, dexton-

ber lieu, àBeauregard-l’Evêqne, comiBnne. du canton de Vertaizon, à de gra.ve»bici-

^ en ts .i Hier, en effet, huit consrillers spr douze,

élus-contre l ’ancîenné municIpmllé.Lont, ' .- en plein air, sur Ja place de la République, procédé à l’élection de leur maire,‘pois, . - suivis d’un certain nombre de leurs élec- : teurs, se sontrendus à la mafrieet, ctRume ' leurs adversaires voulaient leur .en inter-

' dire l’accès, en ont enfoncé les I Une terrible bagarre s'est ] au cours de laquelle ' douze personnes ont été sérieusemei^bleûèes. ,

On a'dû, pour rétablir Pordre, taire i^pel à'.la gendarmerie. . ' ; j '

Uneenquête«été cofflnuaK!éei a «o 3 i£i£

La n o te p .oh tiflèalç . i. . - - . i *3 . ;i

A la Chambre.llaltenns Rome, 30 mat. —. M. Mazza, questionne

M. Giolitti sur les inteûtiœtir dit g ô û v ^ e : , meht 'ris-à-vis ' dés proiéstations reboaiié-,' ' léesdtt Eapé contre Plnté^fo^ dé PEtat.' M.. Mazza lit ime partie dé ..ta pinlèsfottbabon- tre la visite de M. LoubetT

M. Mazza envoie detfosleurenses félirita-tions à H. Combes et-à'-la Ghamdrôfrâéai- te qui ont affirmé solennellsment-le-droit ' incontesté de l’Italie snrRome;

M.- Gneréi développe une question-idui» le même sens.

M.' Giolitti dit que la note dO' Tatiean, na­turellement, ne fut pas comnraniqneei A - l’Italie. Toiitéfois, on 'doit relever queifo ' phrase concernant le rcfi'et l'Italie a donné i’occasioa-au gouvernéménb! de la'nation amie de faire des déclarations qui n'avaient jamais été faites par lui et qni-snffisent'par ù . eUes seules à effoeer tout souvenir des dis- sentiments pmsés.

M. Giolitti ajoute que la note n’est quota ' répétition des protestations i qui se yenon: . vellent depuis trente-quatre anaérâ:n. ce­pendant l’Italie n’a aucune raison duriiaD-. ' ger sa pqlitfiiueà'.la suite de cette nmr. L'I- '. folie, qui n'a rien à craindre, peut envisa­ger avec tranquilité l’arrivée des congré]^-' . bons étcangères'en'Italie'; toutefois, si eeK. les-ci créaient ' des embainas à '.ritri» : ou { r froissaient P < 'Italianttés. le «wnééfieiimnti j

férait-son devifir en les expanant eh vertal des. lois. La politique du : gouversément n’est ' donc pas une politique faible, mais forte et soucieuse de la dignité duqiays^ .

L’Italie poursuivra la route tracée pari- Cavour, et le gouvernement maintiendrat ' intact le principe de respectde la porté , h de tout le mondé dans la limite dé la loi. I . Le gouvernement n’a pas' de raison, à l’é-: 1 ’ gard de la question religieuse, de iüDdifier|[ la direction Suivie jusqu’ici. Lé gouverne- ment est incompétent en matière réUgieusM ,. et il entend respecter la liberté dé todt'Tw " monde dans les limites des lois. Ir. La séance est levée. 1

^ — I ■■■>

La Mârche i l a J ’AiindaNombreuses'Insolations - Mort d’un (1 poral du 74- ds

La Marche de l’armée a été fovorlsée 1 le temps. De lamentables, accidents , marque cette épreuve qui la issm ufredw ' loureuse impression &ns le souvôsir de tous ceux qui en ont étéleq témoins. Al2 h. de l’apres-midi, un caporal dsoTê’ dej. ligne s’est trouvé mal, à fo ttavénée ' ' pont d’iéna; On l’a condtiit dans ufré j made puis à l ’ambulance. Mfoné sur la place d’iéna, où uirsoldatdn 201’ d(

a dù être porté à l’ambulanoei; ■, ,Le nombre de» insolations a été gpnsidén

rable, et 11 y à eu un- mort ; lé ciq>«Mi n""-’ net, du i » ’ de ligne, caserné décédé à Necker. Les raédecfos o n |t . tiqué une insolation et une congesiioir.' un soldat, soigné au mêmeboj^tal, él hier soir, très gravement malade. ~

yULLETON DU COWRRIMRDÆ VOIMM

jL’IIM O T* PA R

E M ILE R I C H E B O U R G

B E U S rÈ ilE P A R T IE

L ’ E N M B M I

L E R É C IT

— Suite —--C o que tu sais.

, "T i-n nu<age passa sur le front du comte“eLasserre.

." Comme tu le vois, mon cher Paul, re- Fit il. \ an Ossen, je prends part à tes dou- . je te plains; tu as tenu à me faire’

naître ton immense malheur, permets- 01 donc (Tétrc exigeant ot de te dire: Il

que je sache tout. Paul, la âi' comtesse do Lasserre estlof^l aussi; tu ne saurais m'en vou-f sentiment que j ’épvouvc; la pauvreest “ ' téresse. Ne sais-tu pas ce qu’elle

après la scène violente de la

ce qui s’est passé.entre elle ^Kiant; mais le jour même, à la suite

® *î ®reile, probablement, il y a eu rap- comtesse a quitté la villa, avec tien arrêtée de se mettre à ma afin d’essayer ;de me r^remdre

Ah 1 c'est bien, cela, fit M. "Van Ossen. soiût. amer crispa les lèvres^ • û r e p r i t ï _

— Supposant que j ’étais reparti pour Nice, elle pensa à se rendre immédiatement dans cette ville; mais le hasard Payant con­duite dans l’iiôtel où j ’étais descendu à Menton, un domestique indiscret lui apprît que j’étais parti pour Vintimille. Elle cou­cha à Menton dans une chambre de l ’hôtel, et, le lendemain matin, elle se mit en route pour Vintimille.

J ’appris cela trois semaines plus tard,de la bouche du,.postillon italien dont j ’ai parlé, lorsque je revins à Nice pour prendre mes malles que j ’avais laissées à la gare.

"Voulant savoir ce que la comtesse avait fait en Italie et quelle route elle avait sui­vie, je fis prendre des renseignements.

A Vintimille, elle parvint à découvrir que j ’étais parti le matin, à la première

^heure, me dirigeant sur Gênes. Elle pensa sans doute que je m’arrêterais dans cette

■ ville, car, sans perdre de temps, elle se mit en route pour Gênes, croyant être sur mes traces. Après m’y avoir inutilement cherché pendant plusieurs .jours,, elle, comprit, s ^ s doute, qu’elle devait renoncer à son fol esr .poir de retrouver sa fille. Alors, découra­gée, elle quitta la ville do Gênes. On ne put m’apprendre de quel côté elle s’était mri-

mais j ’ài tout lieu de supposer qu’elle était retournée en France,

Pauvre femme I murmura le Hollan­dais.

^ La comtesse de Lasserre n’était plus rien pour moi, contmuâ le comté ;• mais en m’occupant d’-elle, en cherchait à savoir ue qu’elle allait devenir, j.’obéiêsais & un sentiment qui parlait'«n moi- plus haut que la colère. Assurément, je ne l ’aimais plus, je ne pouviûs ahnèr encore la fisinmé indigue ; niais je m’étonçala-de seatûr> aucune haine dans moncœur; j ’y trouvais, au contraire, une profonde pitié* D’ailleurs elle portait mon nom, elle était comtesse de ^ s e n r e , et je ne pettraii et Je a* j e u .

encore oublier qu’elle est la mère de ma fille. Quand j'appris qu’elle avait quitté brusquement son àmant, je me demandai aussitôt : <s‘ Que '^ t-e lle faire, la malheu­reuse ? Que va-t-éllé devenir ? » Tout se révoltait en moi è cette pensée que la mère de ma fille, que la comtesse de Lasserre, abandonnée par moi à sa triste destinée, pourrait descendre un à un tous les éche­lons de la misère, et, chose plus horrible encore, tomber dans les bas-fonds du vice, dans la fange où croupissent les femmes qui n’ont plus de honte.

La comtesse, je te l ’ai dit, avait quitté l’hôtel de Lasserre avec quelques centaines de francs seulement; sans emporter aucun de ses bijoux ; et, si éébnome. qu’elle fut, après les dépenses qu’elle avàit du faire en Italie, elle ne devait pas torder à se trou­ver éans ressources. Je sentis qu’il était de mon devoir de lui assurer une existence Indépendante, soit en lu i faisant remettre une pension, soit én lui remettant un capi­tal qu'elle placerait elle-même. i.

Le Hollandais saisit une des mains du comte et lui dit avec émotion :

— Je reconnais là mcm ami le comte de Lasserre, généreux et bon toujours et mal-^ gré tout.

— J'écrivis* en ce sens à mon notaire, M* ' Corvisier, continua le comte, le priant de mettre tous ^ 9 soips à découvrir le plus vite possible le Ueu.de.résidence de la com­tesse afin de s'entend^ avec .elle, au sujet de la donation ou 'de. la.pension. pendant des mois, M* CorvisieE ;chercha vainement:! la comtesse de JliiÈseiM,4ai«embkit:8V3oiiS''; disparu du monde. Des/ânnées. se seraient^ p eu fr^ e Aoôulées^sww que K* ; Côpvîs^*| mt^aEt*muji rétrôùV^ la cdmteBàé isI jour, au moment' où il s’y attendait le moins, elle ne se fut présentée chez lui.

—’Ah! fit M. Yan Ossen, suMteme&t d’nii» grasde raPTHaigii) *

— M* Corvisier, poursuivit le comte, put croire, d’abord, que la comtesse' de Las­serre, à bout de ressources, manquant de tout et poussée par la nécessité, s’etait en­fin décidée à venir le trouver. Eh ! bien,non : M* Corvisier lui dit ce que jè voulais faire pour elle, èt e lle refusa.

— Ah ! elle refusa? fit M. Van Ossen.— Oui, mon ami, elle refnsa avec orgueil.— Eh 1 bien, je comprends cola.Le comte secoua la tête.— Je n’ai pas compris, .moi, dit-il, car,

enfin, comment a-t-elle vécu ? comment. vit-elle ? _ . ___ _

— Peut-être le sauras-tu un jour.— Après-tout,' que -nFraportè ?-Je ne

me reproche nen, j ’ai fait-'ca que, je devais,— Enfin, pourquoi venait-elle trouver le

notaire ?jG hIune- folie 1 répondit le comte-;

elle venait'prier M* Corvisier de lui servir d’intermédiaire auprès de moi- pour qu’ij lui'soit permis de re'voir sa fille ; elle ve­nait réclamer son enfant I .

— J ’avais deviné, dit M ., Van Ossen, dont le 'visage s’attrista de nouveau.

' Après un court silence, il reprit :— Et tu as été impitoyable ? Tu n’.as

pas autorisé la p a u t^ mère à voir sa fille même une seule fois ? Pourtant, c'eût pour elle une consolation, une j'oie, dans son . malheur. .. ' ,

— Guillaume,, répliqua le-contte d’une : i voix creuse, j ’ai jpç^ qp^.foi^ouitesee de ;' Lasserre nqrevèiTfû^jaçiais sa.fiUat' .PaUl,-lu es t ^ b f o 1 .I -r-Je.suis-justo. . . '

;1 épousa^Bwprtle neÆ^de,fcr^'paSs 'en favèifr de la mere ?

— Bien, répondit le comte d’nn ton bref et sec ; l ’épouse coupable est également une mère indigne. La èômtesse de LasserralB9 m t tn jtnriR w ffUe | . 1

' Le Hollandais baissa la tête, puis, la re-' levant aussitôt i _ ^

— La comtesse de Lasserre a-t-elle revu le vicomte de Sanzac âpres leur séparation demanda-t-il..

— Je l ’ignore, répondit le comte', mais je ne le crois pas. Il m’a été dit que, souvent, le vicomte avait cherçÏÏîTà'savoir ce que la comtesse était devenue.

— Il l ’aimâît donc réellement ?— Je h'en sais" rien.— Dans ce cas, i l atim t moins songé à

; une lâche vengeance comme lu me l’as dit,' 'qu’à satisfaire une Jâssîôn.

— La comtesse enesè-êliemoins coupable? Non, sans doute ; mais quand je me'

[traire, les choses qui peuvent jPa^, limsgerfr|oi;^qirç.qup fo oomtemé ,çst;j ;ttne,victimé.‘, ' " ' , : I l ", T I -I-Hpu'.chor GuîUauinè, .-répliqua fifoi-' 'dément le comte, il èsl inûtilé .j!e prendre . .sa défense, de .plaider sa cause : je .l’aiijugéè èt‘condamnée. ' :i — Boit, mus tu es le droit de grâce ; un jour tu pardonneras. ........

Un éçlaû; jaillit des.yéûx du .comte, .— Jamais ! dit-il d’une voix'spnrde.

: Qu’as-tu à ine to é côre de fo cèns-tessja.?,. ’.I I .

Alors, tu ne-sass-pasdoiL. elle est?--T ije. l ’jgi^re. Ji&oIumBnt. Etlé.‘'n.’èst;

p lu s ^ tt^ p ^ l e | 4 ^ e , ije-pe ..saiepaa,,.. te — -a::—. . -~

quinftFUè' ma 'fine'et lA fitiennê.'’* elle existe, autrement j ’aurais appris sa mort. I

— C’est singulier qu’elle ait ainsi dis] gatu. Bent-fitn s 'w t^ e enatné» ? ' t

l’est possible. Mais .itous’ÿemriniMd.p égâleméht qu’eUe s’èst rë tiréé-ilj^

c’est comme

— C’est 1

mettre un cloitre.

— Dans ce cas, n’existait plus.

— Pas tout à fait, répliqué le cofote; ‘oit - peut quitter un couvent, on ne 'ifêzt pa» - de 1a tombe. | iI A ce moment. Aurore' se leva; Faieé’*.' vança lentement vers les deux--amis, -iiés.- rêta devant eux, et un sourire i courut sur ses lèvres pâlfos.1 ■ —i-L'luver sera loUjg’cetté i d’unieûoixdolenté. . '

i Et elle entra dans fo maisoui^ i ' i ; . . I.

is8-mÉ:5S: Bif?oogH5»"Bs.iauflûoun6o

,— Quelques mois avant d e n t a l ffle ^ez; les Ipêcheurs de tûvieudMlj lo u é^ e petite^ ju^sofr'yufo .niet'^ m|lién d’un deê pluit''33lil^tei‘dê* __pagne de'Morenee. C ette ;;lu^aiïi^ sainment Solitairê, cacKSé'’daàiïttÙ’' dé vferdnrei' était bâtie a ù i ^ dV

à peu près d’égale g ra a à e ^ q u ^ ci De idàgnifiqtier vânété d’arbusteya. et des ^Biuent dè ''eèt^clïoit'^ i^&bles. ^

80 sei'muette, et tamment — iM Urije

Page 2: N^ E ή W ^ i Les Eléctions Un fait scandaleux.bmsenlis.com/data/pdf/js/1904/bms_js_1904_06_02_MRC.pdf · 2014. 2. 17. · membre de 1 Académie de médecine. i I Le prochain conseil

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«M l*'**d a to M M I* i^ ‘iiit ébèU »,^»staK tànn da B ^ ^ P f r ) j i : i a a ! e lg a » t0cî>'

U9VÜ B h ü m n ^d » B tîn m :B riaia a a n ,

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îal^»liO llli& ^ cM UHM liawtn» par « sa ja m ttià maai»

S ffiS R S S 83 ï 5 S . î i î J t“ ■ j a ^ j s & g s a a s M . - ^B lÛ M T O T ro^^O T il * ™ *88 fbBieU

et il

nîiiiS&f^îniiMi^^**^'*^*^'^p******** elmiMiai, hd ndaiai paarca^ c w a atM latraTerlMPdB liéa if, laaraeCficatioat atlaa a iiiÉ & iM iifd iiM is iA ^^

, , Hemÿ IU b r , ï ^ ^ a ^ M a u da ra m p te id dâ £Uza-

Mai B’aMient |i lP W d b * a n A ^

FAtTEBB flEtTO RiLj)ùai'Le . Petit Méridional àa 9 mai, xm,

llactenr. se pùint de la.aitnatiôit précaire qui est fidte.à s e s coJI^es.zi)raiix. Pour-' te n t /c e jô p ie à x .^ « 'foatrde la propa* gandè i , dé là bondé propagande.' c C b«» collèg«e», ée rit4 , ne von•ett•

f lp u l^ ^ ^ i^ u d a n Ia fB is — et cela snrrteutêwi«rtle#4i4*iode< électorales, pen­dant que éona a rM lé* -^ jronfe. ^ tfôtra accôeafcieejiate'Voitere.attelée de .deux ^ I r a æ î ^ m u i « r b a b 1 ^ noir, ae m etaéaporüére, Youa tend la main et Youaditi:* M tonfeaTecitoy«i,m onbiw « faéisuB;^ne*(raa êtes chaigél Montes< dons un pen i.ill Toua <dt ensuitev dma nne den itae poignée de main : «^Quand< Yona aerns ansVé dans tel endroit, Youa c m’excnaerez , a n ^ a de M. le maire, c Voas'labJiires que, briaé de làligne,.il c m'eat impoHibls d’aller lui aerrer la c main I » . . ' :

« A y s c q o e l p l a i a i r Y oua Y o u a -a c q u itte z d e l a e o n m û s s io n , arao: q u d l e jo i e y o u s f a i te s l’éioge de-cemi q u i Y ona a parlé, e t c e l a d e f e r m e e n f e r m e y o u s n e t a n s s 'e z p a s s u r labonté d e YOtre f u tu r d é p u t é r é - ^ U c a i n , e t v o u a f i i t e s s i b i e n q u e y s u s WeYas l e d é m i a r d o u te d u f e r m ie r . Aussi o n M t t r è s é to n n é , lo r s q u e n ié s le r é ­s u l t a t de rA eedw, o n a s d i t : « Tiens, c <!««« ' t é i m d i io i t , l e s r é a c t io n n a n e s c a Y a ie n tJ a s n q o r i té . Ils o n t é t é b a t tu s a. A q u i l a d o i l ^ T S i c a n ’e s t é c e s b r s T e s f a c t e u r s r u r a u x q u i , p é n é t r a n t p a r t o u t , e t s e rv ia b le a s n Y e r a le . p u b lic , fo n t a n n e r . l a R é p u b l iq u e . » ■

Les cantonniers aussi ! Mais la distri^ bution des lettres et l’entrétien des routes

iM unaiu- uu joumd ra^cid^cialiste Le Peiitrli^idUmal le sait bien.

DMM|MRTÉI1 ILes Yeiriers de Saint-G em er.

Une ^ r e a failli éclater à la Yorrerie de M. -lapeêtolledls, é S a^G erm er. On sait n e oSt établiisement, iiulaUé prêt de la gare, ocenpe nne centaine de 'pem inet (tObommés et 60 fenunet). Il existe, en outre, nn bOpital et nn orphelinat annexés i la Terrene. Snfln les euTriers sont logés & proxiBité de la Yorrerie, dans des inai- sonàappartenant i M. Lwostolle.

Il 7 a quelques mois, a la suite de la rtamon âôBSéo psr l6 citoysB KtoDMflnsl^p les cüirrier* s’étalent constitués en syndicat.

Ces jours derniers, profitant de ce que M. t a p e s t ^ araitime forte eominande de bratoiUés tites < BoTrii >, récipients ser­vant à b)ger du. jus de viaude, ils réda- ■stoentune augmentation et l’unification desaaiaiies.

Kn raison de la crise que subit en ce mentent la verrerie, H. Lqiostoiie estima qu’iline p o c M donner satitbetion à ses onvrins. : .

Devant ce refos, cenx-ci abandonnèrent le travail vendredi soir. Dans la matinée de s a M if là*' grévistes se rendirent au Coudray-St-Germer auprès de H. Fleury, juge dfB paix, , pour lui demandw d'avoir nne enbevtie avec il . LapostollA

A l^ -re te iff i Saint-Germer, les grè- vistep,aàjâattbte de qnaraute, entonnèrent l’/ntensotionale, mais ne se livrèrent à aucune autre manifettation.

Nèaanunns, des mesures d'ordre avaient été n ifee et, dans la soirée de samedi, des gandaiines de Bsanvais et du Coudray, arrivaimitdi Saint-Germer ofi ils firent des patrouilles dé nuit, en vue d ep a re r ito n t ineidait fâdirax,.

Les choses devaient heureusement s ar- rango* et, m a i ^ les désirs et les agisse-

Lunfi. * a S ; à. neuf heures et demie, M. F lnry ; jdge de paix, se rendait à la verrené et avait une nouvelle entrevue avec 'M. LuestoOé. Un peu plus tard, le présidmit

qid dura jusqu’à midi etdenncoi deniL

A fa siÉM de rentiruTue, ILLapestoUe consaDiit Jee eeiieésUims suivantes :

^ inrifi (ÿ parait qiie les

U*ds

v e n tir jgéwBMat

'Vi- .. - - i

Lc| grapd^nq.M oriet

*tLés w i« » .* « itiM ^ P lïM t décidé de se remetpreS là bueghe hier

cm tes id i^E imdde s e pen itii;iii.M livuitagaae à t é S e s hrtWtaOTCinse.

T •'Vdteë de ■ « . Im S iM tttW rf

de l'Olee. • sd m io r^ p È C ïîâ r '

Sonitia sur l’tBvndsBànf de IL, Prévst suwblwa»îCSsMtrtt1^ie ^

lA jG taii»P # it p w tiâtiMon jw tos■ HvmgmMaa umumgp B*MqmBe «MO leeNe -wsuMntaiisu dé tixe^pit soit édielées p<w •s msgtiiis. Il s’attschs à JtsUir qui lesU iffM atoptéi par U eômiiMàae i^ ro t iw 'u prtqüêse ùn - aoevMn’ tusdé de-.

Peur radOptfM, "n. - - Contre, 176,

' ' V o M de’r É|lii..tee . . . . .: d e ro ic e .

Sétme» X iM i,Samtln sur l’ordré du jour pur et s.'mplt.

relatives au rappel de l’ambas- sadeauptès du Tatiean).

Pour l’adeptien, 14L — CoitTA 404.LaCbimbre n’apas »di»té.Ont v ^ peur • Uf. Audigier, Dnqiiisnel et

Mdre ; MIL Baudon, Hndrisout etMcSl.

— girwtià Biv a^pHorité dé l’ordre du ^

GoamAtBiltf w dtsiffèe : BM -TilIlBWttlfaMI DéÉTiDidâs npportt ds rSgUM (t 4 t tt paut à

l’a iê S i i* - ! C<*®*i *0*»S i t " ï î ^ ^ ' r 5Sg1:udig:.r, Baudon,

DuouesnelkHaudriewirtrtBcé!. „ .Va pas pris part au vote : M. Gaillard.— Seràtin sur la priorité de l ordredn jour

da u . aU ^ . aiusi'owca :-tacbambre, décidés à faire la séparatiM

des KfUttt et de l’Itat, invite le gonvunemaut a cÛmc tootes reiatious avee le Vattean et à déaeaser iBBédiatwisBt'le CMeotdat.

Pour PadoptIOA US.— Centre, 862.La Chambre n’a pas.adqpté.A volé pour : «vBaudon.Ont voté contre ; MM. Audigier, Onquesnel,

Gaillard, Handrieooitet JitSl..— ’Svutitt sur la prenuère partie de. L’ordre -

du joiff d t MM. bienvenurMartia. Sarilea, ifiMM et Jaurès, eespu an en ees immes :

< La Chambre, approuvant le feuvemement d’avoir rsppe é notre ambasMdw anprèa dnT*tIciOf »

Pour l’adoplion, 410. — Contre, 90.La tfimnsre a adopté.Ont volé pour .-MIL BaUdon. Hindrieosrt

•tNC leN’ont p u pris part an vote : MM. Audigier,

nuqueinel et Ganlard.Scrutin sur la dtnxième partie de l’ordre

dn jour de MU. Blenvasu-Martin, Sarrien, BUaime et Jamèi, ainsi conçu :

• Bt r^ n u a n t tonte addiiioa, pasuà 1 ordre dn iottî* *

Pour l’adoptips, 366. — Contre, 14L La Chambre a adopté. ,Ont voté pour ; U t. Bandon, Handricourt et

Noil.N ont pu p ^ part au vete ; MM. Audigier,

Daqusnol et Gaillard.Sésnee du 30 mai.

Scrutin sur l’ordre du jour pur et l i n ^ (interpolation de M. PUchOB).

OU voté pour ; MM. Bandin U NcëL Ou volé owure i MM. Audigier, Saqncsnel,

Eauéiieomt. ,Ifa p u piis part au vote : M. Gaillard,

ePêehn à Ta ligna (R ivièra d’Oisa).

— Par décision ministèrielte, en date au 80 mai 4904, la hèêhe à la ligne ne sera, comme les aahMs précédentes, interdite pendant la durée du chômage de l’anhéé courante (49 juin-45juillet}, qu’à partir du moment ofi les eaux de l'Oise tomberont au-dessous de la cote 4*69.

Cette cote do 4>°60 sont cello du niveau de l’oausur le seuil aval de l’écluse supé­rieure de chaque MeL

Des drapeaux bleus, hissés sur les divers points de chaque bief par les soiiu du ser­vice de la navigation, indiqueront que la j^che est permise, d u drapeaux rongu marqiuront qu’elle est interdita.

Leu pneungee à n iveau . — L’aed- dent de Reissy-en-Biie a eu peur consé­quence d’activer la stqipressien dés pas­sages à nheau dans la Seine.

Eu elle^ sur' l’emprunt départemental, M. le Préfet de la a décidé de ipéle- ver 4 million et demi peur cette suppres- sien.

Sous peu disparaîtront donc les passages à niveau du Rsincy-TUlemomble et île Resny. ______

Une m eied ie dee voleliiee (Le o iienei^). Le chancre se ténue dans le bec et aans la gorge; il débute généra- lemeut prés de la langue. A cause de son extrême coniagien, il mut mettre à parties sujets atteints.

Les bétes contaminées laissent échs: de la matière par le bec ; elles sent tristes et (ont entendre une sorte de ràlé. Sien les examine, on voit appuraltre de petits peints blancs dans le bec et dans la gtnge.

En deux eu trois jours, la ntatedie |ûe- gresie rapidement, les taches grosnssmit au peint d’étenilér l’animal. '

Il& ut sans héâdter ohlevw les âtancTM avec un canif en évitant,de faire trop W - gn«r les partiee ettsintès.:' Ott . I m j w

; plaiesainsTftites avee ,uu'qû& C^dPM t

4*lbieeéHiîU]n tdei

lauiaiiaudtoCiar-

une lmigae.«dsteiee et.unautv ‘

De la RipuUitM : j r tx y^M. H e i^ i ^ t i ^ t t e lwMedm|M> j M b 5 ^

t e ^ ^ ^ a r nôtre m a t t r n f ^ ^ s ^ m M . et qirés Panl-LeBis C en w d el» M * ?* M ^

nomTroce.. Tout est darté dans cet

varktiiitéliacalMK U*

hdical

epbesé à Im pui sent l ü

Le radies une opinion

je n fsu p ans souciyensteusl

sans seud dealtérés deiunt impatients d antmtte' et

nprésalUtci.'TaBt qü% 'M f é u ^ t f i s ÿ m ^ Htion, ca se sentait peu; M s dnnise^nlb bntjûisTè p d u tf t^ I s iôifll’ de m pM > 8 dé éiHiàmuiddr^ ddïetsé-

Le radical , e§t fiprcément,,aatoritfd9. e | b ru taL M .'0«M «iitéeâie^M ^e8 iAplqà: eem plétaetlaayenxréaisw . ;n

Est-ii un homme qui ressemble mMnt q u e ltr M iry ’Maret à M'. Goafeàs?

Lui, 11 voudraif 4 les gens ceaime de soufCee de voir, sr les:Rbwtés.;;4ré.. . r a d M ^ iB un 009.

é6M‘delniter: |ar(^iis i : D

M'est pas

U N E I N O O N V E N A N C E

Un de nos: lecteurs nous oemmunlqué un hdt qui dénote le petr* d^éducatlén de certaines , peneimei, e t défit il a dtéTe ténu in ..J '

C’étàit le jotir de l’éléetion an (Muèir: municipal, un monsieur eerréctement v eto Se présente devant Të TiBreau et, sans ss décettertr, reiaet e n p M d ra t son bniieti%

moment dés fleéteuip. iiw .la sdlle at w ur le monde était découvert.

Là loi, nom demmide netre honorable, èerrespcndiin^ oblij^t^H èréieistettrà se découvrlrf

La loi est muette Ace snjet,par lAraisDn que le l^ sla teu r Va pas k> oé* efi un individii perdrait^e vae lés plus élé­mentaires notions do poUtésse en se pré­sentant, M tété ceavBrte,dndHt Te'R ési­dent e t ses assesseurs.

Quand M. Loubet, le p iM R ' imt|d*lràl de.U Républiqpei yp. vp^Ttse.d6sefirrej

Le nwnûenr en quntu»; ew t-non tre d’une telle ineenvuunee;aurait] e ie ràP ern ’avàifpaseufl] il Y a grMà M e r que to publie lui aurait infligé la_correBt(o9 qn’u méritait. Kons avons vu ce cas se produire onTendée.

Im s t i tn t io i i S sd n i-V iiio e is t. Une séance littéraire et musicale aura

lien, demain jeudi; A ITostitiitien Sainb- Yincént, à 4 h. 1/8 de l’aprés-midi.

On trouvera dés’Uiùlu et Programmés chez le concierge. .Prière au pabuc de se rappeler que Perdre des places, dans la salle, est celui des demandes de cartes.

D e P s u ie . dl S é i i l l s .La course vélocipédique wganisée par

le /owrnel a eu, dimanche, im réel succès.Void cenunent notre confrère de Paris,

venu à Senlis, b it part à ses lecteurs de l’imprassien ^ e lui a laissé cette épreuve sporave :

< Dés le matin, le contrôle de l’étape cycliste, installé à laporte de Conqfiétae, au croisement de ia rue de la RépuU^ae etdeinsplenâlderoutfide Comi^neVest environné d’un très complet et très intel­ligent servieed’ordre, placé sous l’aimable direction deM. Saint Raymond, commis­saire de police. Le poste de seceurs. établi au café Leduc, est confié à la coiqagnio de sapeurs-pompiers de la ville, sous lés ordres du docteur Pauthier, qui prodigue toute la journée ses soins empressés aux coureun fatigués, e t fort heureusementn’eut à s’occuper que d’insignifiants ma­lsises. C’est avee plaisir que nous remer- citms los autorités de Senlunt H. de Warn, maire, pour, cette complète et pufidte organisation.

« A l’ontonr de ht banderole qnlmarque la fin du parcours do l’étape, la fouie se groupe peu à peu, grouit de minute en sîinute. Chacun interroge le lointain delà route de Paris, par laqnwe, tout à l’heure, surgirout les vaillants coureurs.

€ Mais void qu’un appfil de trompe se fait entendre au loin, signalant l’arrivée d’un craenrront qui, qnuqnes secondes après, lôit son appturition au contrôle et f&ne d’uiw main ferme le registire des arrivéesà 49h. 4 m..64s. C’est H. Michel (numéro 64), enuloyé dobla Ville de Paris, qui a couvert le parefinrs en S h. 4.54 s. »* V»

. ' — e- — .

A l a G a ira d a G m olia,.L’afliiience des véyagoursà notre gare a

été assez coaridrinble dimanche difihiw, en ntison des courses de ChantUly .

On n’a paacompté^ moins doBB&hilleto distribuée au train dé midL ^CMée à des diraoritiens particulières et bientififipHsae qurfenthomioBrà M; le Ohd de gare, ’* distribution des billets s’est fiiite n « m u t et à deux introrax, sans le mémdre accroc.

Les employés, quelque sutmmiés, se sont montrés rn a e UenvoUlanee qtm le pÂlie a ce rtaM nin t sppréidée.On sait cependant, aux heures de présse, combien il est par­fois difficile, p e u rm eM eyé, d ’assurer le service régniiéranent et de fournir les

, _ i‘Tee--voya.dmaandent

' ‘d» ’l«'.jguf de- Senlis, SOIS la diiêètlÉl'ittèaa  e f ^ o n é

l’Horticulture que M. Téstard a élevé lu hauteur daaiitvfitiifiMrseleBiBe;- :

adreutms bien sincèrement nos La verdeur d e .n belle

que cette distiactiqn m laea piW i ulirnllre.-

'VHi!6 T enàbm o u b l i é e ,- Ï5SP-

Les dmatiéres sont dos arehivos « i néme temps que dosjardiiis.lls’en dégage^ le laSbém éfiassiPanfhâttfire. L n flenrs r cacÜitt tofiraniq^^ebêtinfibes oubliées lont il sorait intérossantde pouvoir liro la fierro à dem i-roni^pR to^temps et par la

deM etm rw 3«turi chaM R ts que c M Ft«ri4^:.oôfam seualwdiMasi dont le par- tom.eiiGaÉlfe'lÿair^'-uii 'x^^alm e et

î Nous y avons fait une petite déisouvorte Dans. nn feuMIM^fiarbutes^déjà grands et d ’h ^ e sé ^ V U lé e s se dresse une colonno uo.pw iei-M ieflrltée, que snrjnonte une m rà e lsa n to e r1 Ber: lo‘:eeubasaement de cotte oolenno BMji-avewi-décfiiil|fiérceM s u ^ tiv u ln s - ;^ t i o n : . ;‘‘r ku eéiténuRELLERHAKN, Dücni Valut,

ABONiâa Ch. EBLLERhANN,(làpilaiB*snlroé ÿiir nte'fflorP oéadMfclts

et prématurée â-^ljfiietion fa ttm eüe, k . X -M ût. tSSé.

S r iâ m té d b L ^ ^ passfisnr IfiTéfibe de ce jeune officier, héritier d’un des plus grands noms, de Prance ; petit-fils du vûa- qoeur do Valmy, que Napoléon avait fait maréchal; fils du général non moins glo­rieux qiii sé signala héroïqueiiBent à Marongo, ofi il décida de la victoire, à Austenitz,ià Vimeité, à Bautzon, à W-a- terloo, et qui devait mourir de cbapin; qnriqnes meis oRés le capitaine tto lan­ciers, à la mémoire duquel il avait élevé le jfltit ïïienUmttftti aujourd’hui caché par les UsTrei, les - dinfidens et quelques fleon sauvages, -et naréieiïliel nous conduisit le vold’tmJfiRliôn, M dosmorts oiüiliés,

. . >.i. 1 .......xttéfleto>TOixo!

Un individti, âgé d’une cinquantaine d’années enviiwi, de tallto moyenne, au teint àwfii côloiéi aux yeux bleus, les che­veux et mtiUstSche ptésque blancs, vêtu .id’ttn cestume cycliste et casquette marron, ayantTSir d’un toUrlsto anglais, so pré­sente avec sa ^bicyclette dans un hôtel ;qiielcenqim; iia ’enqoiert du prix dés rè- paset des chambres pour Ini et son fils qui, dit-il, ne tordera pat à le rejointo. Sa bicyclette porte soudée: sur le cadre, émaille noir, une plaque sur laquelle est gravée cette inscription : Paul Poaon, Parie..

Après Cétie fait héberger un jour ou deux, l'homme file avec sa bécane, après avoir donandé, pour ne pas éveiller de soupçons, l’adrosse .d’nn bonmécanitâen chez lequel, dit-il, il va faire n e t t i ^ à foûd sa machine.

e------B sM toéfc A ffiemlim,

r Bostock sera chez notu mardi 7 juin et restera lé jour de ion arrivée teuiiment. Cet établissement |remporte un succès im­mense partout. Il est cité pour sa belle coUoction variée d’animaux et par le tra-

. vail des dompteurs, cemmé le preisier éta­blissement du genre. On remarqué 85 lions et lionnes, de très beaux éléphauts,t i ^ s . Oté.

Cet établissement installé vers midi, donnera, à quatre heures, sa première re­présentation pour les écoles et pour les bmilles. Las enfante poutTont avant et après la représentation Se distraire en se promenant sur les éléphants et les cha­meaux.

Leioir, à S heuree, dernière représen­tation. Le lendemain, Bostock sera à ChahtiUy.

^Les Renlisiens, toujours amateurs de bwnx spectacles, iront en foule admirer cette colieetion d'ànimanx et assister à luus intéressante et périlletu exwcices.

Aant latHVsnn. voulu (tira r t t tn r Ogtr 4 son éonddlo. mtises éacmsras révolte st la ma- naçt àpbulanrs rvri*** *4 laTHar,.avaa son révolvar. -

Ogar, éaut la passé u t pan racommsnlabla. v« t eondasiné à un sols da prisonat à 11 at 5 ■sacs d*amaaée.

fimrautl-Ia-Ritideiim. —Conn'aon d’avoir, àôsHBs un tBB yow fiéiea an-jpré|euiea da Lallèvra, son patraa, LéifinaTAfihms^' Aié dal9ani,eoiiasetaar4ebastianx, ayant de-

11 msurd à-Mtttantt,^aUi=aoadasm4 par défaut à ;siz moiùd'amprisoÀfeeeà

fio5>roel. — FoR violànau sans grarité st. o n tn q m ïstan b d à ifip ^ taucn tes:ffèrw Bûcoi (Vatorit), 88 u i , ét Bigot (Cbirlai). 10 ■1i£»puraiid in iiér sàmitn à l e è . i ’iméBda avie applicatii» da la loi da snrsls.

Smifi, Y-Cmmaeda Ulacrlva chagnaibis quffi wtlvfa. DùoloyCPisrr*), âgé da. 89 ans. ouvrinrmtd’éehal'à SinUà, sbif, daut la soirée du 84 mM préientéan dMSieila da M. Andrant. fripant à coups da pisdétens la portaatla maaaçint da mort. Lu gaadirmu Bsrbit at Tallot. ayant été pTévanus,.vou'.arant antmsnsr DueloTauposta,'inaiséalai-ei leur réiisia' sn lanr dlilnimafit' des esopi do pring at du

muMat SefroiMdstmmvi

v u m iT s m ,

coups da pied.Il s’sntmd oetroyér un séjour d’un moisA la

maist» d’A’iêt.miy-BoMé-Gserges.. — Ne vivent p u an.

bonne intsüigsnea et apru Un édiaige de pa- roiu inalsoanasitM,T>ecanip (Engèas;, été de 41 ans; Hane (Pâlmyia), funma Dsasmp, et Charrier (Hsaristte), igse da Sl< uu , an sont vinu aux mains. La femasa Dsgamp, ayant été la pins laaltraitée, alla sa plaindra a la gudar- metia;. l!en^âte: ta .démontré que Iss torts .étaiaatrécipreqau, latrio fut renvoyé devant la Tribunal qui eetraia à ehaeun des (o'shat-' tantalfiftanes d’anunde avto la bénéfice dé ia loidisUfile. ,

Yerberiê. — Fonrsuivi penr ivrusa en réci­diva, Lsfort (Lonis-Aifred), Sgé da S.i ans, tst emidamné à dsnx peinu de ebaoune hait jours

I. d’emRis'onttemam et 5 frênes d’amendA ' firsiony. -• Le SI aYril, 'Gon.nU (Pilix), tgé da 48 ans, a maitrailé auez durement ion bMU-f'èta, là slanr Siull, avec Itqnal il avait une disenssion.

U est eoadamné à Si francs d’amende avso appUoation dé ia loi Bértngsr, et la siear Sinll, ^ s’u t porté f artia olviia, obtint ISO franoi ne dommigts-intéxéts.

Àdmimetration du Contrkutioiu indi- n ê tu . — Sir las ponrsuitu'de l’adminietra- lion du Contribnuons indirsctes. Iss épcttx Diteye-MerKh, da Virtm (Belgique), sont oon- damnés pour colportage d i tabset d< fraude ehaeun a trois mois d’amptisonniment et à S.8C0 Itanoi d’amende.

Kôllsiu {ouneotloximnile ato BemMai.Audimeèd» MmaviOOé.

.Présidnca de M. Faisahi; président. Ministère public : M. Minsiaxn, substitut.

'^CtumtiUÿ. — Dans !e eonrant dn mois d’oc- ‘ tobra 190J, Bannett (Hirty), 21 ans, tnjet an­glais, palefianier à Chentiuy, a sonitrait à son

. oesvegaon da travail Lingstangel, une montra énvgant avaou fhilae.

Bennett, qui a regagné son pays d’oriaina, uteordimnépar.déiant à quatre mois dAm- prisonnunaat

CreiL — Au eonrs d’un imerrogatoire que tni faisiit snbir le eommiiseira de police de Creii, Bdlamy (Ëherlu), Igé da 83 anp, sans dômiri!.a fixa, a dit à ce magistrat de l’ortre administiaU, < vous an avsz menti «.

Le lendemain, Beiiamy a bit d u axensu et déslara à nouvun regretter son numiant da vivaeité, il est eondamné à 16 iranei d’ameode.

— Morale (GsorguL 19 ans, danuiirastà Crail, condamné par débntlaS mai, à six j >nis d’amprisonasmeat, pour avoir porté des omps au sieur Miebel, a formé oppoiutioa à ci jngi-

L àlribtM réduit b peina à S(fi. d’am-nde.—. C'âm anaora jour avoir été trouvée eu

état dliffessa atanifisto snr la.voia pabUgas qm Uvrisiar (jeahna), femma Smaanx, béa aàSfnB s,am ^éra a Oléfl, est eitéedavaetle rrOntaM qui iai eetreia .par défant hnit jours d’àmÿt&bBnMUant st 5'tnnes d’amsUda. ' - '

—.Sàfionvut è Nègiiat daas la nàtt dU S4 su 85 avril 'éaratar,' BomMijUa' «métU. ' tgé dv 88 ans,' eêtviier d’nifine ;à ' eritl,' - à h iim a voletât la eureanx d a 'b peiria dndttltdn sbnrMériet,’paraa'fue :M' dsnler rafnsaitde Ini ouvrir.

I n b fibant béariidtrdab hfi dAstosis, b Tribunal b. condamna à 85 frmies. d’amaab.

GéUmeuà. — Lé 8 avriL~L’fortffHla%dtar-

véÿahirinaé, la iM à ômréiÉélasfilriis.^ > Itaat eraaaiM.'Vbmyjeaie d m u ^ ^

FAITS LOCAUXB é th i s y - S x r i i i t - P ie n r e . — Nos

CoxpAiBioTus ADz coLomis.—M. Lemain, gouveinenr de la Martinique, est nommé gouverneur des étabUssements français dans ITnde, en remplacement de M- Lan- rezac.

M. Lemaire est né à Bélhity Saint-Pierre et y possède des propriétés.

— Une bande de -nunaniehels se trouve en ce moment dans la région ; quelques individtis, des montreurs d’ours et de sin­ges et das diseuses de bonne aventure, ont circtrié mardi dans Béthisy.

C h a u b l y . r r La Fanfare de (ihambly prendra part an concours musical d'Alen- çon (Orne), le dimanche 49 juin

Les membres henorair«.s ou personnes qui désireraient aecompiigner la Société sont priés de se Ihire inscrire chez M. Du- (ossé, secrétaire, eu chez M. Bessuet, souS' chef, avant le 40 juin.

CH A 1VT1L1.T L .a o o iirs .* d u D e r b y ,

Tons nos confrères constatent, et c’est absolument exact, que jamab les courses de Chantilly n’ont eu d’aussi brillante résultats.

La vogue de notre métropole du turf n’èst pas prés de faiblir. EQe doit son suc­cès à ce cachet d’élégance qui lui est parti­culier, du charme d une promenade en forêt,' au merveilleux service de trains de

, b Compagnie du Nord. Les courses y sont tonjonrs intéressantes, le terrain excellent, mais — puisque les éloges ne valent que p ir les critiques qui les accompagnent — né serait-il pas ptiaubie de débarrasser la pèiouse d’un certain nombre d’arbres, ffin- tiies pour la beauté du site, et parfaite­ment désagréables pour les spectateurs, auxquete ib mastiuent b vue, pendantcer- taines partiw du parcours et, précûément pendant les parties les plus intéressantes. Il y a là une qfiemtion sérieuse' à laquelle les comnûssairas s'intéresseront, nous n’en doutons pas.

BÉDHION DE PBINIEIIP8Troisième jour. — Dimanche 39 mai.Fbix dé l a R m a BLAittmx. — 4.000 fr.,

8.400 m.; 4», Ziuave, a H. M. Maifihtlo- man (Ransch); 8*, Francesea, à M. le comte H. de Ponriaiés (0'Uonner);^ 3v Emanville, à M. F. ClraiTon (BBaumé); 4*, Parfait, à M. J. de Brémend (G. Stern’ 5*, Rosière, à M. Marino Clado (Wibon. 6*, Maximum n , à % D. ReiS (L. Robert).

Peu: de DAiten. — 48.000 fr., 4.000 m., 4 «,Vieax.Paris,aM. AlbertAdet(G. Stern); 8*, Maximam, à M. J. da Bremood (&. Carter); 3*, Tigrei à M. Albert Adet (P. Woodland).

Pbix de Goutieox.'— 5.009 fr., 8,400 métrés; 4” , ïildiz Kiosk, à M. L. de Moliké-Hvitfridi (OTfinnor) ; 8«, Farceur, à M. J. Prat (A. lAiter) ; 6*, Marjolaine, à M. L Wisocki (Beilhouse) ; 4*. Savenay II, à.M. T. Barrasford (Watd); 5*, La Néve, à MV AchilléFonld (Rayes)

P s a nn Jocket-Clob '— 400.000 fr. eh eiuro>40.000.fr. à Tiélev«ir; 8.400 m. 4", Ajax, AH. Edmond^Bbnc (G-Stern); 8*,’ Maedënaid n , A M. M. CaiHaut (L

- B,à M, le comtedod tk e ^ riM d t(0 ’î:Mâor) ; 4% M a d ^

bm , AMi E.Dnriiaamc (Nt Turner); 5*, liseafisnt'>à Tl; G. Perfrement ‘(Parfre- mnat) ; 6*. Devm; à M; B. C h u (A..Gai>- ter), >' pioxDBi'STANOÉ.-^4:000 fr.,È.000m. 4^; ftahp'ac, à M. Camille Blanc (Spaus' 8'!; Biitüiiôin, à h : VF. Vanderintt (Ransch 3*,'RérG^W; "à M.' Wysocki (J. Cbildèj . 4% Apanan!,aM...lfifahk Gardner (P.Reod- Iiifiil); 5VAtti0ffl, ATI. T6. Fbtm ln (Bel-

Dfi'.CHAnsÂb',:f-m.5.Q0Ôi bc,*.8400 îBlteeai Tà>LeriBt«ià ”

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'MbOli* Adit.. TisnxFsrii... Mtximnm....

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Eeorit Edmond Blanc............ GAjaX:..... . . . . . . . . . . . . . . . . . FMacdonald n . . . . . . . . . . . . . . . . FBataplan ....... F

Kaimac..................

Bittmora.................

Loriot.,.,..

,87 87 50 84 se 17

14 50u s e19 .15 .

87 50 81 40 50

13 50 U 5015

34 50 13 ..13 50 13 50

7 .. ( ..8508 ..

fi) ..1* .. 14 50

650 6 .,750Bomanof...............................F

— Le chiflre des entrées, dimanche, 4 Chantilly, a atteint 488 000 francs, contre 4 4 5.000 fr. l’année Le pari mutuel a lidt8.484.000 fr.; dont 740.690 iT. ponr le prix du Jockeÿ-Cinb.

La gare du Nord a 'ôiganbé, comiae l’année dernière, quarante-sept trains spé- cianx, enuiôctant 30.530 voyageurs, centre84.000 eh 4903.

— L’Hôpital des Jockeys. — L’assem­blée générale annuello des memtees de b Société.de i’Hôpital des Jcck«ns.a eu liea jeudi matin, à Chantilly. Au «ibut de la séance, le. président a exprimé, au nom de l’asseinblée, les regrets nnanînma bisiéi par la mort du vice-président de b Société, M. Paul Aumont M. Paul Aumont, qui avait été nn des fondateurs de l’anvra, s’en était occupé jusqu'au dm iier moment, avec un léle, un dévouement q œ b maladit n avait pu afhibiir.

Après lecture et adoption du procés- verhal et des comptes, l’assemblée a en 4 procéder é l’élection d’un adminbtratein en remplacement de M. P. Aumonk M. b vicomte d’Harcoort, désigné à l’unanimité, a bien voulu accepter ces fonctions. M. Edmond Blanc a été rééb président, et M. E. de La Charme a été nommé vice- président.

A b fin de b séance, l’assemblée a voté des remerciements aux donateurs qui, par leurs offrandes, aident au développement de l'œuvre ; elle a voté également des féliritations aux sœurs pour le bon fonc­tionnement de l’hôpital.

O s a n o te y . — Les brigades de gw- dumerie de Ta régmn recherchent active­ment lidentité d’un intUvidu actuellmnait détenu à b prison de Bruxelles, sont la pré vention d’assassinat suivi de vol commit a (humoby, et qui s’ést faussement attribué l’état civil de Jean Richard, hé à Lyon en 4 882, actueltement soldat au 4 49* r^iment d’infanterie, à Epinal.

G re i l . — Conseil HUNiapAL. — Le Conseil municipal se réonira en séance ordieûre le samedi 4 juin, à huit heures et demie du soir.

OBJET DE LA EÉDHION t 1* Fête patronale.à’ Travaux snpplémcntrires à l'Abattoir. Auto.

ritatioa de paienient.3; Honoraires de l’archteete. Antorisatioa ds

paiement.4' Travaux civsrs de m'enu'ssrie aux Kcolii.

Aotarisation de paiement.5’ Remboursement dé cittionÉement 4 diveis

entrepNneure..6‘ AffiiTM diverses.

-L Un COURAGEUX SAUVETEUR. — Cet jouri-ci, un cheval attelé à nne charrette descendait b cavée de Sentis, quand ua enfan^ qui jouait dans b rue, vmt tomber aux pieds du dieval.

Le pauvre énfant allait infailiiblemsnt être piétiné par ce dernier, quand un té­moin, M. Paul Diot, voyant le danger et te risquant lui-méme, s’élança à son secours; il put relever à temps le baiabm et ainii éviter nn bien pémbb acrident

Tontes nos sincères félicitations à M. Paui Dût.

— Une DisfARmoN. — M. Duvivi* (Henri), né a Creii, le 6 février 4874,s disparu du domicUe conjugal depuis li 9 mars. S i^abm ent : tailb, 4*60 « v im ; cheveux et sourôb bruns; figure, ronde; petites moustaches, noires; cicatrice u fient entre les somxib. Vétu, au momen de sa diqjarition, d’un veston de travail usé en lustrine noire, pantahm en peU drapibleu marine foncé; cuquottO ronde a drap noir ; haussé de bottmes à élastiques.

— Deux Poivrots.—Procés-verbalpeffivresse a été dressé contre Beandet (leub 30 ans, étameur, et Cuiniàro (Louis), se ans, jardinier à Villers-sous-sabt-Leu. En outre, ce den ier, qui circulait péna l» , ment, si péniblement que ce fat une aa»b cause oétermiaante de tous ses m alhm fat l’o l^ t d 'tu» antre centravontin ym avoir circubsur nnebicydettesans pisqis.

— Procès-verbal. — Havart (Jules], charretier, qui voiturait des inunondM dans une voiture non bâchée, b 88mM été l’objet d 'tu précés-vériml pour ce tuL

— Contravention. — Une coutrave^a été dressée contre Henry A nato ie ,g^boucher à Nogent-bs-Viorib*, * e n c ^drcnbnt en bicyebtte sur b place Cainoa

— Autres Contraventions. — Troé*| avenues de b gare, se livrant à b p ^ tution, les filles Girad Juliette, 88 m * Zende <mt été i’olqst de eenttavennom

. aux dates des 88'etS9 mai.C répy-en-V al«» im . — CoNsntt

NimpAL. — Le Censml municipal sv renni Tendredi,4 huit heures du soir, la présidence de M. te Maire.

Sont pré-ents : MJi. le D' C h o ^ maire; Galiet, afijeint; Baudeu, WJJT b b e , Saint-Genaiia, Vincent (Léopow» Cahit, Debeaapitis, Vincent (C h a r lœ ^ sain, Thib, Nery, Nâze, L eatat, . Dorion, Levasseur, Gswet, Vassri, Chain,Godard. .. . . . n * - I

Absente : MM. Ponant, a d j^ > trand. . , Bi i

La séance mtvario, M. Baudea cw.SJsecrétaire pour b sessiia, 9 ^ bOT>denitoe desprocéi-verbauxdesdo»^ niéres séances, qui sent adM **** servatiMs. , .

Il estdabord dbBué bstufo des Ides dill8nnt«4M M sst*h*i

LatMoatbsiemd 'c«inroetiw «am i. ■féeebm«eiilBi6:ir----------^ .

■Jîb iw T l'ïo!

E * a b iruen ’ap

) fois 4 adon

ilesriv litions. nimiié.

eur de la c I que confl ' don de ■ espère J jtoute 11

liôn d’éch sion du bo

et son , rue dot

ission du 1 y , rue Jeanne-i ton face de l’a

ait un i uent du be

rite Jeanne ijeaiéTho

h b rs ;^ d é M e m e n td n l

I^A rflsaad Magnier, Lieslaibtion sur le i S y a r b m e d ’Arai

*M3Macement du 1 propriété PagetJ

KTdgeeaisnt^sur te i— Aragon et b I

- ------*— lation énloie stiué

• deM «ens.Leeand iSM ibponrraétr

ttioDs; (tefit 1 : 785 francs.

Le CMseii les appr iparodÉTrineipe de 1 s de gaz, l’uo rue Jej

l’emtwavenue B e ' La psuote est donnée i

'^'nission du bud i b ^ , il prop

lânfipies de budgets i jtt,dit-il> régulière lit connaître que les bn I lui ont pas été f

t oxaniinés pltis tLe Conseil approiîve lei I avant d’aborder b i plertdpifiaistraiil. M. ]

"*de vouloir _ d ttit provisoire.

"Lc Conseil désigne à iprend place au faut* sratiro.L e m ^ rte u rd e b i ~ '"‘T , l e compte d’|

i n est en cenfl idu perceptenrj r , tien est r '“

flté.[ m. te Maire rentre en

' :de b con ntbne son rapport. La à

t b demande du { ’ ktO* de s<u4nitement. r Ella propeso de nommq ‘-‘'lion peur étudier unei

hoy, demandant qui rite afi budget pour (

kcaisse des retraites au 164 43 ans, fréquent)

déimmé cette con

kLmriiay, Levasseurjl jB ai Vihcent Léopold. f

fâtDHimcssten budgé Z lT laîW ff. la gratifi rcâibdniws; mais elle

Ôhproposée par MJ i^aueur des gar

t certains av iniers.

inueiozame de 500 rleAibillement de 41 1 et une somme de 4{ fde matériel d’incend

|Çsttedeniiéro sommet " ÉtTIèe subvention iCMnmission propose I

s classes'soit fait, data • ismittss de service, aux]|

t propositions t I resta du rap iptécédente des auti ' ,hne subvention ta n budget supplé:___

[M lÉnfaro, qui est de{ de (sans en prend

Jeitmunite donné te de l’exe

B ji r un total de td i48 .988 fr.84 .H i

H’é it unanime à'î ^ . t à u u dmnande d’j Ma sohtieo dé famille ~ iS *^ox , soldat au I

> dm» les parents _*t tn u t te péro i

nave qui lu i

£*^fâvoriiMa est

UQhs:__( d ^ radia

> stimné

■ ^ 1

Page 3: N^ E ή W ^ i Les Eléctions Un fait scandaleux.bmsenlis.com/data/pdf/js/1904/bms_js_1904_06_02_MRC.pdf · 2014. 2. 17. · membre de 1 Académie de médecine. i I Le prochain conseil

A c e n ttU io it 4« l k « u 4i t * ( r o e ü r a m M 4« H.

iV e e e t te r a e n ’a p M r tia o M î • B w n K ifr ills . toHte f o is « e i l e - e i a l n t e r r i a i d n È ? „ ï j r a b ia d o a * r « i J e « t o f c l t i U Btaiiar 'oasiairifsraiiks. Coftt 4.600 fr. P 'IrA ./n in iiH aB t: B ÎS « t n x «OtC, M Bt^

irananimité. . .Mpportear de la comatiuion dw ean- le fait que eoefirmer les propoiiaoiis

^,Mpimistioe des t r a r a u eiir cette ' |ife w ^ q iie |a |c a n tia e p o tiT ra

tpôMj^uiBlde. ^ a iss iO tfU 'd é tiir i^ l^r^ese :

prëSsion dnl)ee de gaz de la me ïnrioues et sop instauaiioa snr la »a PigàeBi W de Seiçwi»;', uppréssiGO du bec dë gaz de la nùi-

jfnjilly, rue Jeanne-d’Arc,et son trans- J ^ te n fa c e de l’aTonne Beaosëieiir, .So^plaeeratt un beëAiiaindëbtbre;.. l u déplacement dji bec de gaz siiné mai- tlerey. roeJeanne-d’Àrc, et son instat- MmrlecaféTbeaassin,laceaa centre

ffroeTWers;Tu déplacement da bec degaz s|tné mai- lArmand Magnier, rua de Seusoïu, et liatiallation sur le mur dn'parc' dé M.

.fu la T M d ’iiiagtm;^ jéplacement dabee dè gaz installé

jàlapropriétéPaget,me d'Aragon, et JplaceÉent «nr le pan eoiqié situé entre. Sue d’Aragen et Ja rue Nenire ; tu transformation en bac de g u de la éàr» i pétrole süuée i l’oitrémité dnla •da soissons. l e candélabre e a é td» Sentis pourra éti» niiiisé pour isëtté

ifarmaiioDs.' Codt penr tonies ces mo- dions : 786 francs.

rtCanseii les appronTe à rnnanimilé, ni lae le p iine i^ de la création de deux j&gaz, l’un me Jéan-JàcqUès Roas-

l’antre STenue Beauséjeur.[uparole est donnée é H. le rqiportenr Lit eoinmission dd budget.I Mt d’abord, 31 propeia l’approbation neomptes de blidgets de l’hospice, qni II, dit-il. régnliéremmt établis, puis il jeonnaitre que lés budgets de la labriqne iU ont pas été soumis é temps et ipi ils bit axaminés pliu tard. -

d’ o rder la discusion de son nia administratif. M. le Haire demande ïiiail de Touioir bien nommer un

,JdeotproTisoire. fia Conseil désigne à cet effet H.Mprand place auléutenil et H. le Maire fntiro. . ,liirmiortenrde la commission dit en^ u i gie le compte d’administration de lü Maire est en concordance parfaite ceslnidtt roiTor,

,f l le Maire rentre en séance, puis le ppertanr de la commission du budget nnaa son rapport. La commission a re- néla demande du percepteur réclamant hf do son traitement.I Sla propose de nommer une autre com- ' ion pour étudier une proposition de H.

10}, demandant qu'une somme soit lito an bndget pour achat de lirrets de iiM des retraites aux éléres paurres

h i 13 ans, fréquentant nos écoles com:.

|I«it procédé immédiatement A lanomi- I de cstte commission. Sont élus:

e i „ A i M g n ^ i ', . t a d t q i ù l é ëI i B u f o e u t U s ^ p è a u d e e l a p i n ;. t \T |B i r e d i , A u n i i ie u r o p ^ l ’« p à i i . ^ B S « a g | ^ c o u r d h i  p e i à u '

f i l e s w d e l a g u » « C r ^ i y , em rcgpîH Usaat u n e i o w i d e v a i o n aT ac u n ta r ia r d o J U t - n cra trr^ D u m m it (b M iis ) , o m fd iqrA m i w r - ^ e u d e la' f dUTimon (n m té r io O r é 'é s t f r i t u n o e a t o r n A l ’é p a u le g a u d w , e e q u i «ara junnr r é n u t a t ' n n e in ciqpaeité d e t r a n d l d ’e n o ir o n 16 jo u r s .

X t a t ewil S» S6 au H m a s .

ifce . t S i K ^ e o i l M e ' ■ É d e ri& lin g e y ,-

' JKlilMfWffe* ~ À

ro 90k ou .MPNWAUMAwndu percepteur et il propose de ir, U en est ainsi décidé A l ’una-

. lonhay, Levasseur, itatVincant Léopold.

Thué, Lorion,

I lidimBissien badgétaire propose d’ang- rdeSO fr. la gratiication annaeile

kontooniers, mais elle refuse une ang- 'ttion proposée par M. 'Vmcent (Char- en farenr des gardes champêtres,

B-ci ayant certaii^s avantages que n’ont kln cantonniers.fDieiomme de 600 francs est proposée nrlerhabillement de 40 sapeurs-pem-

letnne somme de 470 francs pour d de matériel d’incendie.

Içste dernière somme aéra prélevée snr piputdes subventions de l’EtaL fil commission propose que le balayage

soit fait, dans nos écoles, par le service, aux frais de la Ville.

Ilntes ces propositions sont appronvées. |b testa du rapport confirme les rap-

II précédents des autres commissions ;; une subvention de 360 francs est

k sa bndget supplémentaire en faveur M fanfare, qui est devenue Fanfare

' (sans en prendre le nom).donné lecture du budget

maire de l’exercice 490i, seba- dpar nn total de recettes et de dé-

BdsiA985fr. S l.U est approuvé A inimité.

lU ^eil vote ensuite le budget primitif tel p ’U est présenté par la com- et dont chaque membre de l’As-

I a reçu une copie imprimée. A suppression des prestatiees

> <t leur remplacement par une I éqniTa’.ente prélevée aur.lesres- * ordinaires. I est unanime A donner un avis

We i une demande d’envoi en congé ' s lomien de famille formée par M.

I^rgei, soldat au 4li* chasseurs A ' dont les parents sont ehargét de

j et dont le père est atteint d’une grave qui lu i rend tout travail

■noie.^favorable est également donné

"Tité, à une .demande de bourseVeissemburger, institutrice,

i son fils, Henri-Edeuard, can-Ifcrü*'®*®* Arts et Métiers.Inu 60 francs, renouvelable,

ttiî foTéur de M. Cadot (Louis),kjspw ‘cbdivision de sapeurs-pom-C. 'dpy, qui se trouve luns les con-

lli r?d“Ocntaires. l?Cor-

MOinmew.' —19 mal: Gréhaa (Giaevièv*- Marie-CMiueBee),. A.Aztmoat ; 10: B'gard (VthifeHbéMriQ, ruade paris.

. Bletti — }Sy.t.Salcre (Louis), 64 ais, de- rasmcs. . .

PubüeatiM d» m arim . - ,-1 9 : XatN Ctsse.fAilM^PaBl). ni i Crépy, et Mtlsmm-

..aelliiGiyot .(Illab>th), tou deux marcdunds forai», sa» domicile fixe, dspuiagaAJIe- vars(IUém).

JhrsegM. — (Néant).E r c u i s . — tlaiieia ra s c tobpillss >.

— Le jeune Gustave Leetmite, Agé de huit . ans,, s’amusait .en. tom]ngaie d’enfao& de

son. Age, iorsqù^Md’entre eux qui faisait partir,du.aogins ezplosifi, commnnéiHBt appelés- « torpillM >, lauça.la sienn» si jnaienawtWMe n ^ t quelle

A 1 ^ ^ ’Gne fréfiorragie s£ondaate s’en­suivit et l’on craint qne l’oeil soit perdu.. YeilA qui devrait mettre les enfants en gardé contré d u jenx aussi imprudents et Q est A souhaiter qu’on icterdisé^ dansTu’

I fétu.pabliqaH,l’amptoide e u trop, dan­gereux projectiles.

— Lis sniTzs d'chi discussion. Le.I siénr Oeaubonne, ouvrier d’usine, démeu-'

rânt i Ercnis, sortait duFcâfé-en euiplet état d’ivresse, quand il se prit de^queieBe avBéle. sieur yaast. C e lu i^ furieuxdiun coup de poing qu’il veiùait de recevoir, boineula'.notinfvrogne qui s’eu fut tomber si malheureusement qu’on le ramassa la jambe cassée. Résultat : trois mois dé rô t p u forcé.

G o u T ie u x . — En hangiant dis bou- iiiLLU. — Vendredi, vers deux heum du. ■ seir, la jeune Collier (Harguetile), âgée de l i a u , demeurant cnei s u parents A Saint-Leu et travaillant comme frotteuse chez M. Hsurtuux, A l’établissement de la source A Gouvieux, était o c c i^ . A placer des bonteillu dans une caisse, lorsqu’ella s’u t coupée profondément A la main gau­che avec un éclat de verre.

_ AccmiNT. — Dimanche, vers quatre heuru du soir, H. Robert (Michel), loueup de voitures A Gouvitui, se rendait A lan de Chantilly avec ion omhibu attelé

BOX chevaux, contenant d u voyageurs, en suivant le chemin de grande eomumni- eation h° S4. Arrivé en haut de la cém, en face de la cabane du cantonnier, une auto­mobile venant en sens inverse, A tonte vi­tesse, a heurté l’omnibu, qui a eii la flèche cassée, et le conducteur, V. Rotfort, projeté A terre, oA il ne s’u t fort heuréu- sement fait aucun mal.

La gendarmerie recherche l’imprudent chauffeur.

— Tombola. — Liste d u numéru ga­gnants de la tombola du S i mai :1740 83 678 810 443 1391 13303380 947 3137 41 1831 917 19411691 SSUl 479 1946 19 5 14U. 1811696 3070 1005 8,8 3366 948 3404Sieo 1349 612 378 1330 3346 10111144 3t00 2306 1169 101 170 3447631 1631 I486 694 1656 1855 6'8180 782 1037 1744 3167 1607 1665

1666 1391 1642 3<30 1316 2440 361S85 l i 8 1350 1246 847 1549 3316

1734 3336 685 641 3290 931 10381374 1 3334 111 '1959 3133 655701 1599 3 -SB 15 8 1318 15J0

1813 636 lOCO 3241 3516 -23811138 1016 1370 Siü5 :40 3981460 1383 1516 tl9 717 X6t939- 465 1688 14Ü 156) 1317

1989 1959 1833 650 1772 738

«l'oqnfor.pompfee

u m a i

m Malgré aMteerae n d é d x é u , l u i â i t % s

qie ’eAbvviltrié e r s I s o M e u M n a ÿ é e q fo v v e n t s e c o u e r

«WM»cœnr.-„d»

flê ié «I Jèfe tpieue; lass Ms uiix-de- ver iadéfiBfoMBt H

ftlonirdn flsncieg dnfcftté derit «itiM piré

iiseil , . rouve les modifications hste d’assistance médicale«A4SQ U aanisMUbO lu^uAboio

f^rision trimestrielle, dn l^wnuer, paf la commission d’as-

i|i|î??*®'iriions comprennent douze. L v ï deux radiations, h, «aire donne lecture d’une de-

,„ *’fpée par douze coueillers ^ iiavitant i prendre nn arrêté

manifestation religieuse de la commune.

feu» ]' Maire déclare se de la qnestion.

Ma. Gallet, Saint-Ger- (Uo;oId), Debeaupuis,

atôtjÏÏ®; 'Vassal, Trochuin.T. • Biuden, Lafon-

N ' i i Gdâard. Sa sont

'•«tleréoâOh.l/*. .

lC I -

iBiirti V oLÀn.i.«a" ~ _ D a n s la ^®ardl,un voldelOpooilu,

e A e é i n t o e uJczaine, dépositaire dn

W g ® fo tendant-tM léeTas. ' ' v w A n u n n r A ù i h i f o e .

M o iita ta i is e , — Consul municidal.— Le Conseil municipal s’est réuni diman­che matin, sons la pruidence de M. Daus- sin, maire. T ou les conseillws étaient présents, A l’txteption de M. Mulin, absent excusé.

M. Fallot, élu secrétaire, donna lecture du procès-verbal de la précédente séance, qui u t adopté A l’unanimité sans observa­tions.

Composition d u Commissions :Finaneet, budget, bâtimeuti et d’itudee

pour comtruetion d’éeoiet. — MM. Qox- bin. Godard, Finet, Dnrost, Dabray, Go • bert, Midy, Chemin, Tatvert et Tan.Oit.

Ckemitu. — MM. Rousillon, Midy, Henrtenr, Tantost, Liège, Godard et Go- bart.

Scolaire. — MM. Corbin, Rlgaut, Fallot, Talvert, Grison, Hoguecot et Ciaveloox.

Bureau de bienfaitemei. — Sont délé­gués: MM. Godard et Duret.

Fitee. — MM. Chemin, Rigaut, Rousil- lon, Haurtenr, Fallot, Huguenot, Clave- loux, Talvert et Grison.

Eclairage, — MM. Cotbin, Debray, Cia- veloux. Huguenot, Grison, Liège et Tan- tast.

Bygiine et logem ntt intalubret,MM. Finet, Durost, 6obart,Midy, Godard, Tantest, Chemin .et Ronssillon.

Âbattoirt. — MM. Chemin, Corbin, De­bray, Gobait, Finet et Talvert.

MM. Godard et Midy sont désignés pour assister aux adjudicatiQU et marchf s.

Reemteiumi det dm aux. — M. Hanr- teur Ht délégué par le Censeil.

Demandu de soutieu de famille. — Le Conseil donne nn avis favorable aux de­mandes de MM. Quenon, Gouiy etBraillen.

La budgefffes ressources vicinales pour 1995 séièvoi en recettu et dépenses, A 40.759 fr. 85.

Le Conseil est d’avis de procédw au fau-< cardement de la ririére Thsrain et de su dérivés.

Vacancu de l’Ecole maternelle.—’rLe Conseil décide délaisser l’Ecole matemrile onverte toute l’année. Toutefois, «emmj il est nécessaire d» {frocédèr au n ë tio y ^ d u cluses et du { ^ n couvert, e llieêra ' fermée pendant les' 45 jours qni précèdent là rentrée d’octobre, c’est-A-dire du 48 au 30 septembre. Les maitressu prendront leurs vacancu slmnilanément.

Foire de la Neuville-en Hez. — Le Con- seil, n’y voyant aucun inconvénient, donne un avis favorable au changement de date de cette foire, dite de la Saint-Mathieu.

— En pAchant. — Ün commerçant de Saint Vaut-lu-Mello, M. Gérard B..., 37 a » , surpris péchant dans le Théraiu, A

' Magenta Montataire, là 26 mai, c'est-A dire en tentps prohibé, et avec d u engins pro­hibés, a récolté un precès-verbal.

— Conibavxnhon. — Rougerie Marie, plus ooBHBunémeiit connue sot» ie nomjde

de réceltui-eutragu A agent e t ivresse.

Pai)cJ»-%Î8Aï. ^« P l i A r e b é s A AtA A m i A f t e • • m i i

« M A - H 19: B ip e in sn e l« b ilte ,f

v a n f o o g * Ru’BudMlle Cbinb mfonisAiroBi

23: Bossetj damoBisuit A l ~A»»Me-Déiiré4-GeiiviMZ(OisiÔ-'- . ....................

31: soueba A tsxndotilnniié pcUtn; éfe; dsmo'zalle .Séguin -sfoui dOBdcIlfos'A Qi

W u ia g t t . .— ' S i : njler A’u i» , . et i .

" S J T S l f ô f i i i ,MeutalaiM. i^dûudsri smpteyée eé euHAsiU;

31: lefoube : Lonii dM iû ild lâQ ew ii

. profssrion, doaMIMs 1 Méititaire.31: Crsu jkaBur,i,j»o)e,. st dsmoiieUa.

Spalli» aennsç'iAi» profossloB, dcttfBfliél’à Hoetatstre.-

S K o n n f .Gtorgu-Kflmiie, • eaviiar A’n?) sine, éi.dsHcistlie iiiBstiliirief4)trisSkSau pronssioir, domidliés à Montataire.'

. Mfortnmnpli.:-»-'Makagi. .-T. Le ' .sa- medi'é coarant, serè célébré lemariége dé M’i* EugÎÉie Huet^ flBé de: M; HiuÊ, eoa- seiller mmiicipal,.avec M. Benoit Meunier,

. cnltintéarN sm te tà^ -ltéâB éindon lii, -r- Cou-

BONNBiïiNT ' b r RoAiiBM. -ri Le ÜBdè- maih dé la FenioctL,;,. eu üen, AJéantenl, la céréfflimie de rtanue du p r ii Déîtrine anx deux bénéflciairu choisu par la ô b m -

s F a M ^ d e f t t i i e s ’ftébètteit,* cosertM u t m a iA fout "p Ar» '^ b a s ,â g |, :f 9adat-i;.i^D m M L — Far dé

, d e é ^ ,s T i s e t ; , t f£ûd:ifom a tfii llmm 1

|â ^ t dé sainlrUp^^.' “ '

iDX VolaiuM :'^..,) |m . Chantrelle, cûlMébteur A éd’Ullÿ^iHÎf Giorgie,

« ü n if t o d ) q a ’)iaiv in tft

a p t e s n n sbtsmant me

s . ü e e j i l r i B t e v é t é udélicatgiaïun^

on en d'Etat

éc|i(p^

t godt u t masque, pérltifoetleifr

Uyesne seconde reê! golit. franc et ce godl

':]das avaadeJbmps. Ai liqneurs' ôAl

■ p m ^ lu la b s ia th u el lu ‘bénmarcnAà eontribi».A

|o ^ i^ a R S * * « e i6 i i ufrelm’piWugato^'aites cerminés «nnéea

“^tedieMhUMttt dans tes emblavements dé sucre teiauntlibresbeAUCbUff

> 4’h e c tu 8 |> ia m u 3 A ,|É ri^ ^ lA ^ ^ poun-'lmdisutlerie, cétle'suMéSnqtiàn,ta

peinqqj^û et il eumitiifieL^ini,- chercher, mi) e s w Cet' mhptoi e é ^ i i t

e chauffage;!rsBi-qt^dé»:

iim .encore.u^ n b s^ e c

qui .peuvent, ang­les elaisu

rihssio&’épéciale icesi^sée, q'ri cette , année, rappefons-ler teu* Famine Dujwdtes; qui ^ a r t f o n t i A une foMUe des p lu m éritam u de NanteiA, et -M: Chariu Gallio^, ^ caumto dix-nuit u p- néés dé servius cfaéxtM. Sainte- Béuve, et quatorze ritez M. Delorme.

À deux heures (te Fsprès-miffi, M.'Mag- delam, matire,éntonré dèsauiru mémbru de la commiiaioB, de conseilteri niuiici- paax et de- tonetioBnairu, procède, A te mairié, salle de la Ju tice de paix, A te remise du prix A AI. ’Gallard. Il fUti en excellehu term u, l'éloge de. ce vieux et loyal sorviteur, et vante les htérifos dé mfo Fauline Désjardins.

Le cortège se lotiuo euuite sur la placô de l’Hétiri-de-Viile, et,-— dvéc legraetbùz concours de te tentera et de te compagnie d u sapeuraÿugpiBn, — se dirige ven l’églisa oA; selon te videnté du donateur,. doit avoir iien,'A trois héuru , lé conmuie- ment de te ruiéré.

M. l’abbé léanson, curé-doyen, dtus une 8Uocut.on de éirconsiaace, flt d’aÏGrd l’éloge du donateur, puis de te rosière é t . du vieux serviteur choisis par te ceminis- sion comme bènédciains d e sa lilMnlité.

M. l’archipré'tré déSéhlis a fAltunaerA mon très goaié.

A l’iaue de te selenirité reUgteuse, le conége a accompagné la resiéra A son domicile, et la aisiecaiion s’u t teite au re.onr sur la place de rflétel-de-Vilie.

— NdcsoLeeil. — Samedi, d u u la ma­tinée, M. Follet a tronvé sa femme pendue en son domicile; on igaore l u causes de ce suicide, on dit M " FoOet deptiis quel­que temps était sujette A une maladie céré­brale.

L'enterrement de te regretté» déftinte a eu beu lubdi, a onze heures, en l’é ^ s » de Nauteuil, au nuüeu d'une qrandé af­fluence de monde.

Kont Adiessons A M. Follet et A toute 1a familie toutes nos sincèru condoléancaé.

— Un biqdb A ssim i. — L u prêtres de noue contrée sent en ce meiùentez- pluiiis par un individu ayant tuujours des leitru de recommaudaup» de prêtres, voisins ou éto goés, et se faisant passer ponr leur parearon ami. Le fait a été si­gnalé A la gendarmerie de NanteuU, et nous ne doutons p u que notre'vigiteBt brigadier ne tarde a mettre la main au collet de cat incbvida'qài, pour updatter soo monde, a recours a toutu sortes d’ex­pédients.

X euilly -en-T liid le , — .Sixpli FoucB . — L u individus ^qui avaient, ainsi que n o u l’avons annoncé, souillé l u panes du prubyiere et de l'église de Chmb)y, ainsi que diverses alflcfau élec- - toralu et admibiitrativu, ont comparu mercredi dernier devant le Tribunal de simple police de*Néûl]y-en-Thrila. Iis étaient au nombre de cinq. L’un d’entre eux, le sieur Capren (Himri), 34 ans, brossier A Ghambiy, a été grauiié de doux jours dopnson et do 49 franês d’amende. L u quatre autru , c’est-a-dira tes nommés Bayeux (Gusteve Fièdéiic}, 88 ans. bros­sier A Fersaa, Dumont (Eogéne-Théo- dore), S i Au, brossier A Cnambly, La- motte (Eggène), 83 a u , brossier A iBirile- Eglise, et Leroux (Eibie), f5 ans, mou­leur A Chainbly.t .ont récolté chacun un jour de prison «(.40 francs d'unende. ^

B îo sren t-le a - 'V ie rg e» . —La GbAvx DBS FoNBxuas.— On n ontreveit p u de solation prochaine A cette grève qui, c’est très heureux, n’a donné lieu A aucun inci­dent notable. -

Le maire de biogent-les-Viergu, ayant pris un arrêté iniejroisant l u atireupements snr te voie publique, l u gendarmu de Creil ont dispersé t u grévistu s a u inci­dent regratt>ble.

D’autre part, nous savons qiie M. Mon- tnpet a fait signifier aux grévistu, par voie d’huissier, que l u machines dont il dis­pose, lui permetiaut de diminuer son per­sonnel, il ne considérait plus, comme atta­chés A sa fonderie, les ouvriers qui se sont nais en grève et qu’en conséquence il lu invitait a retirer ne éhez..lui l u outils leur appartenant.

Ceux-ci ont refusé, se cëuidérant tou- jourseemme grévistu et déclarant vouloir se conformer aux dispuitions légales sur les grèves.

— COBBXSPONOANCB.— Od u o u écHt :< Je coutafe une chose, c’u t que vou

ergotez. Monsieur Bedd^tem, sans me ré­pondre ; dans e u eonditiens, je Couidéra' cette discuuion comme close. J'ai , suivi avec attention c les différentes phases de la bataille élutorale s e t je n’ai rien A eh apprendre ni de vous, ni d’autres.

« Du ru te , jo vous mettrai ond’un fait : p u un de peux f r i s» lâistèreht poHer snr l u deux listai sons protester no m’arépondu. ~ ,

c Certaiau'(éttsoiitufidwsgae..> pour nepasparter. ‘ '

- ünRdf^Ueaik viêpeatefi.:.Pont-Ssriisèe4H tem t»Q iu . " B iteu D z B m n r a o a iH a . '— ' i H i t o J t a ir h i t

,F<mt a [email protected]|uda bienfaisaoce l à somme d o 98francs,l i ­m a n t te d ix iè m e d u p r o d u it da t e to m b o ia datetAte.

: caennonfi. -e- . Axig|z43tG(mii hram as. ooupaâAa teûoriief Aï étérirés.d’un trste ex{SM»aur )p '’av n t t e (EuBumt Tôt StQoP-Jakt, «tique des ipâàesavBiéhtétèlmHéulr '? -u,' ' Flurieqrè jtterittiàtde. Fiidis;^attiib^

te bris de'gtecu tH ité a t ^ c a m ' Seten:eia; ir i / j te te )a ^ i’f t l’enquéte

frite, um td’aoiÂd j ^ M . l ^ ^ u s e r , céih- hfissaira r é g i l^ r f r i a qvra'de Pail^^ il s’agirrit teut simptenumt' d’Àh 'iàit assu

-basai, comme i t peu t en arriver teUs l u jours. - V- " '

D u p ie rru du b illu t-se trouvant trop prés du railounnont été pour ainsi dira

. iteppé» aspauago de F û p ieu et projétéu aters sur te n ^ d e voiiant en u n s kvêim .

U C om m rifodu r i u d ] ^ ^ son cété, A une enquête très minnttonte i t très ■ complète.

—' FBUDtniBi'his, C ^ u co iim u , —f - Après une énièàto « ù « eux» fol hhuàte : tiers de Botra vUtocrionaoit' da décider qu’ils foramaiefit khrs ètahütpamaats le dimànch^ de um- heiHU'U demià A rix heuru., .

La formatura d u ehateutniu a -Uoii»-' .mencé la lundi de te Fahtecète, et u continuera . lu difflanehu suivants', j i P

-qu’au iv.oriôifro. - 'liS d g n eT ilié^ -t-^T id ^ — Voiri la

liste d u num éru gagnAnts de te lotnlmB; < .qui a eu lto u ^ Adù^viUe, teS3hufrA ' l'occuion d» te fétei: “ '

6 87 55 68 844 S S i S5i 85‘i'898 384 *48 m 80G 537 8*5 647 659 663 66* 7*6 ' 849' 908 93T 963 -4:04 * 4.031 4)0*0 4 096 4.187'4.253

ces nenvuBx i .mehtorte’lfieif êtradl dsibSkidMêa '

I ü^Frikblfow. l’AUeà^nad’aAteifdéidès. l’a iy i^ 4900;,tegouvdimiimmriaLjCOOSidéré

u , ^ l ’l?*oWpsi un p'rcdufrdtesM ^âéhal, J2K Ja.cutgrji.duncinu et d u gridju

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. de terra, notam- ite rfK fém iiea ts iiprbt d ^ M lêa t,

: p*te,.ieiio,ire

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4.8984.5984:9888.4078.*96.

l.*7* ,4.M8. 4.596 4.629 8.004 - 8.06* 8.468 8.348

1563 4.7*0 8 670 8.376

4.565 4 594 4.898 4.903 8077 2.083 8.383 8.*89

/

C o m p i^ I i ie .M -L ÿ CoOBSis.— IL» progiaeuae d u cOuiteSideCoaopiég:.e, qui auront lieu de juiltet A octobre, a éléiflxé comme suit:

Mardi 5 juiüU; ~ Coursu ptetu.Jeodi 4 * juiltet. — Coursu au trèt.Mardi 49 juillet —; Coursu mRitairu

et obstacles.Mardi 6 septembre, Connu d’obsta­

cles.Jendt43 octobre. rr.Coiaus ptetu.— MTSTiiBjzuz ACCibBrri;-iOtt a tièiivè;i

mercredi, beu dit c le Saligot », un en­tent, étendu snr le dès, le jeûne RiphaST ,peleou. Agé de 40 au* 4/8, imunobile «4% figure ensanglantée.’. M. Je docteur BUnqaihque se rendit au­près d u jeune biusé. Après examen, leoi watirien jo g u u n é tat^grave qu il or- dirima son frsanqiort « l ’hôpital.

On siippoN que l’enfuit, mmté,mi lom; met d’une dis parais de te càiriérà, « in youlû déniehu d u pierrots qid m rèfu- gtentnmnlfrenx A cet endroit, et qu’ayant glissé, il est venu s’abattré au fond de la cùrtére, d’une hauteur de sept mètres.

V A R I É T É S. l i ’ÀLÊtQiiÛiL. .

L’alcool u f te Cause de tant de rufnu hnmàinu que ..tous lu''pliftentbr<fes, lu : médecins le condamnent et ne parieutrien moins que de le foire disparaître. Le Fartementpoussé dans ce sens, l’a chugé de lourds im;Ots,, mais quoique personnè nq le défende il a de si mnibreusu affee- tioiis dans la màsse dé là^pulatlon qu’il sera bien difflrite d’en-supiHimer l’uage. Toutefois, il a m ce moment nn défonsenr éminent. M. Duelaax: directeur da l lu s t i t l t . Pasteur, a m onfrérà» l ’alcool u t un ali­ment et même nn alimmit sopérieiiir.~ I l le - cluse an d n s u du sacra, et celui-d au- dessus de l’amidoa. Il est d’aimord en.cste avec l’hisiiBct populaire, et s’fl n t très urgent d’en éviter l ’abus,- U-teut en régle­menter la consommation et non te snppri- mer; Ifomme 10 démootiéM. Dudanx c’n t un aliment de premier ordrè d’une uuis- sanu remarquaUeisur Fofaaisme. Il qui ~ rastitae dans certains Oaàte'dialmar<Uw'la:ÿ fatigue, le fioid oU te: malàdte

: déprateion-èaelconqUe Itri'tmt frit perdre ' et

t e ^ t e à t e d i ^ 'ë t j i p ^ ^ ^ v d è nom que nos péims lu! ont d o ^ ^

, L’a ^ l méiita donc qnÿuj’’'*C’u t ’M e force qui, dol’é'eciricité, peut é l ^ di savoir l’utiliser, donhèt A l’ampleur pouihte et,, énjsêm e l préserver d u dugeia qu’eUo Aftpaitet de .vue de la; cousomai, naine, je laiuerai aux phystelé soin de te réglomeUtor: Toutefrisj qa«*y--n de ee^cM v«n'BPM ;|s% 'M r»» obteàte>rii’qta. te-mcnmnt u t t

m i

.aw lA n u in ld h ^ u çatiririâfam

^ 1h o y te fq f in té t^ à n r ip fo y j ta ‘-C0h s is t é1( c o n c e n tr e r d u s l u i n a l u d ’u n c b te ité l à v a n te d e t o u t f a k o o l p r o d u it ,.C e c ô in it è h u c o tte ce n h m te . i t e l t p e u x c à ù ^ w i e s d e la p r o d u c t io n , l ’u n e v e n d u e A..l’o ta t d ’a lc o o l u n a t u r é j s w ; I jn d u r ir ie A U n p r ix a ù - d e s s o u s d u p r i t d » r e v ié n t i e t l ’aU tra A m t p r ix a u - d e s s u d u m ê m e p r ix d e te ilë ted O n q u e e u d e u x : p r ix fo r m e n t B B e m o y a m a t r è s r é n u m é r a m c » pOflr- l ’a g r icu itu ra : ü e p r ix d e l ’a ^ d é a r iu r è a j j u t é t é fo r t t r n b u , ' a f fa ir e : c o n c n iT a n c a a n P r i r a l ^ t e wtMu m in at^ h A d é p a r ié d o n n c e n t m i l l e h e e t o U t r e s l ’i m ^ 4 é r a .

g f i » r i g O M M fn w ié h t r i t e - jlriM .riiséhU riü iorveilteÿne peiri être

Franu , nouoarahenit articto dttXedo pénal guldéfnd iriaceriteromems è tn e t té è a r im ^ f r u

■jfrêteiu uxuaociaBons do ce genre.D a p lp s , q ^ q n ’i t : s e fà s u .h a tu r a lie n ié n t n n e s w t o a » s r ie c t io n è t - q u ê t e s td cb b ls in f é f f l n t e i p p - p I n t é t A ta d é ir a tu r a tio n , l a d ly is iO ia T ifost p u a s s e z n e t t e e t A s s u . ré p ra ta n e a t o b ie r r é a p at i l Tâat

l’tmélhwàtionîdo' te q B a liM ^ j i « > s r i ^ . f i e t e iB s f in e t io n t o â ë n a t u r e lh u t t i s e p r o d U i t d u s la r e c t i f ie a t io n ^ l u f i u i X e t seç ir itd é q o r i î ^ ,

«foifidmBri^h. in d u t r ie O e . - - -E s t -c e p o s s ib le e t p r a tiq u e 7 .O r i c e r ta i-

n e m é n t . J e l a i n e d e c O t e t e s e a u x de<>vi»; d e f r œ t s - e t d e v in q u i o n t n n g ( â t e t ’B n ' lB8K h é p a ^ l i e r s , m a is t o U r l u a u t f U a le00ls,_ -q n - tte p r o v ie n n e n t d e s h e t t e r a v u , d u g r a in s o u d e r m o i u t u , s o n t iè c t i f ir i : ' d a n s d e g r a n d e s n s in U è u r â e i l t é e s ' j e a r 'e t n u it p a r te. r é g ie . - ? i

L ’o p é ta t io n --d e - l a r ê c l if i t e t io n c o m p o r te n é c e s s a te e m é n t t e - d iv i s f o a '^ d e l ’A l ^ l é n ' d e u x q u a lit é s q n i s o n t e to m o g a s in é e s d a n s " d e u r é se r v o ir s d iffé r a n te : I D e s t f a c M A l a r é g ie d e d é n a tu r e r la s e e o n tte q tm lifo e t d e

faJhâaîWnstrielfc: m a B a e r e d s ^ x e s t . ' b i m i p lU s r a t io n a e U e q o e d e n v o y e r l u d e o x q iia l it é s d 'a lc o o l A l a d é n a t u a i io n d a n s o e r i r i n u u s t e u , « t

. d a u * ..d ’a B t r u , , : a u e o n ^ e , l u d e u x m ê m e s q u a l i t é s - t e b o n n e e t t e m a u H tise .A la éonsommation humaines II àrinbte .qu’en rai»m #Tintéré.t supérieur qu’elle

qiBésiBhte « tr iu d ln g tr i âe^alCmË te gou­v e r n e n t a te droit dé foiré violenw A fo) ffisorté lUririduelle et d’O x te r i^ l’alcOol dé qnalftéliUp'érieure lu li^ seB lré rirv é .

AdUtetions que ce résullat soit acquis: et examine» la réperconion qui Va sOprOv duiwsuc la preductH» d’abord et la ain- umfflaticn.eunite. R u t admis et d’éxpé- rienu coastan*^ qUe lés alcools inférieurs sont d a » te P ro jk p eh )# 89!tt de M S e E ; joumls A te nctificatien, la ronsommition hum aine.ut ettce moment, en FîUhCe. de 8 *09 mille hectoiitru Cmuifrenàntlu d u t qualités. Four lui foràsff cu'ff.lOoiniirè' hectoiitru en prentiéra quatité; il fendra produire 3.809 mille;: hectolitres-qui seront teMtoé^tU;jfciOO mille pour la couiom- -matteB-hcaïamA-iet’SOO m iliahéctedtfù pwir l’eawloi .indnririel. Il fmdrà dbnc produira 8 0 0 mille hOctoUtm de p i» . Av*c tes botteraw setriaMIf«>dra*o.OOO

hectaru A raisoq de 80 hectolHni: etzmgan p lU s â fr50.Q09,h é c t in r i ' 'A 'r i i t e » d »45 u t o l i t r u : ^ h e c t a r a q n iu t u n e B u n e u n o I in fé r ie u r e . I l s sOut to u t lB ïim t e4R : d a s 3A 7

.,N o r d s e n te m e h t , c a r la p ro d u ctten : e n 1 b e t t e r a ' û s u c r ié r e s v a T e H M rtd n d ra n é c e s s a ir m u e n t d ’u n n o m b r e d ’h e c ta r e s s u p é r ie u r A c e lu i - c i , e t y ÿ s e t t É h h e r i M b ie n fa it d e l a l u i r é s t i t n ù a u m é i » s u r 59.000 h e e tà r e s .'s o u s f o n n e d é 'b é t t e r iv è s d e d is t i l le r ie .

. A u p o in t d e .v n e d e ta c e n s u B m a fié B - d e e u 800 m i l le h e c to l itr e s d ’a leoo* d é n a tu r é ; la q u e s t i o » u t m ù n s ' S i U ^ r ' lidU S n e cO nsqm m onSi m F r a n c e , q u e 325' n iillO h e c t o i i t r u , i l -r è s tm à it *75 a S H e l i a c t é - l i t r u d o n t U i f o u t t r n t v m d ’e m p h n , Dee-' A lle m a n d s e n e m p te le n t CAOO m i l i e heS^' to tU réé priiCe q u ’i l s fo s ^ e n d a r it >boh m a r -

. ; .r iié . I l - s x f f i l d ’a g i r i d é ’ io é B r i p oU r -a im la c o n s im im a t ld n p r a i l i t e t e n iA ^ ^teèatiEm!a9ai6eih.dr,,n OD i J O e ç . d u M l a i s s a g e i t r i d c a lc a lé s 800.000 m ^ . h , e c l w b e s è t s i a t f m is A r â ^ j & î l t ià n " l e l I d d i B t n B Y n n p r ix ' ir ia t f ie A te B ta s U ': q u i-p U iu e i'c o n e d iïr im e r l e p é t r o l m r i t e î n â j ^ i ib e r a i tT a pid e m & t . . ’’ ::Sfi4dâi^ètelciklpsitimnpte(riiyepiriiibib d a n a ^ h m fc lr i « « « g c s i e t ,I’a f ■ d e l o n n e r d é l ’o u v

’ i r i u i1 4teri«tett Foicéot t

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■ C W ^ 3 8 m ; . i . '\|te U e «ÿU é 19J0.8s œ . (.'àiiiBJO

„ Oa eote l’Iiactellito : Blé Ire3? 1 3 :» SsIite 9.5f;

Afoto»lr» qtisItt*6.4ï.hs B.66. ’ ^Fstej le koo, Irt q u ^ 0.31,8s O.K. .F e ^ e r lé , .3 6 m'ai. ' ' '

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r s m d , aroné d Senlis, poorsm-1 j , 1» Jutiec de paix à Pont-Scta^1-____ • IWeVAIIA*. «09Tant la Tente;J* A M* SAINTE BEUVB, ayoné

d Senlis, présent d la Tente ;■3® Et d M* BAIÉZEAUX, ne

taire d ChanüUy, dé^siiaire du cahier des charges.

Pou initrlion :(Signé) MOBAIIB.

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é» M‘ luiizsicx, notsiro à Chüfflly,eosentts à cet cfct.

Abt. 3.dTCDl nn

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tdno,m êùie terroir, uendit le bout KoBsieur le W èsito t dude dtanmOnt, tenant d j n e t . ^s Ssnlû,d’un bout Xédsieur Isan Panieàe o n . ,jjjj „gnf eent qtutte, enre-renrésutants, d autre côté Rondeur ' gfla de faire eounr Tes détoHMXitr et d’antre bout le . [Apposition et d’appel du Jugimtnt

d iv o r ce

J u ito l id rê e

j)AMion i« Burmu de Smlisdu 3 dietmbre IftH-

B’un jogement par défaut re^n « J t o T i W l elTtt âVXÜ « ï î SistanM de SeaUi, le smg -«|*” Mars mil neel eent quatre, enregistre,

AU proat de Konsieur Fernand Innumn, ouTtier d usine, demeu rantdMontaJaire;

Dimandear comparant et plaidant psr M* Georges Morand, son sToné

D’une part; Contre Madame Marie-ijmantoerî«^:îSï«f«

ï Æ ’& ' r s * ! » . ! ? :dômicOe ni réiidence connus,

Dilindereise défaillante ;D’autre part;

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que cela costln.pour lui le ]

fin. m. Combes 1 smeoutiens ; des gtllsme, et des m | l’abandonnent, votes de la Chan, johté. se déplao l’ûde’de eoneêss’ pas jecruté que lesquelles 11 ne c ment, il était pari

Pour éviter ced socialistes, qui til ceiueryation d a | hésité k se déba qu’ avaient i la séggaration de 'V’Oila trente ans i rtiorm eàleurs i si belle occasion| que'ces jours de sur le tapis.

M. Combes et* C’est le cas de ( cal,lesprome content peu, on[ aux sectaires de de la libre-pen os à roiiger à cb naux radicaux, servé leur franc sez bien, fu rouge.

La Lanterne, blocuds, n’est elle les traite « La comédie, duré. Nous en avq ce genre ». E t de eeau commence à tére en prend kj moque du public i iooonnna jusqu’è l

Quana lauu à Jaurès : Fa vrièrèst Jaurès demain, aujouram

Quand je dis o l présente d'un ocij tiont Jaurès m et après demain. Scf propose alors d formes de front :

Ces quelques ] tion. Le cabinet | isspassé. Il a der qui i’empêcliduii TWBÎN il sent qui brenises se prodn Bloc. Jaurès Combes de ma vidant, les dé chaque jour. H | Maret qui sortait sant claquer les i

Le vide qui s’tn tériels s’expliqu despotiques et il ment, M< Maretl sonnellement, et] qui lui est propre et ponr que nul f jaar éeraf, le r s td e l’intolér

C est M . Jaur teur responsabl Comhes gouverr qui règne et M .. t Armée ni des prétention die uoi ministériels gu’n bataillon, q u ils i rigoureuse, qu 't de vœu laïque \ l'engagement de qu’ü fa it , d'aj: qu’il dit.. L 'Arm ée miv

V grande m uetl *e«l le droit de j ministérielle . , cadaver, M . Jau, de commander-i voix, ceux qui i et à l'ceil sont û très, des vendusi] ^onnaires, que i le vrai républic.

E h bien! de u en veux pas , j ’a i écrit, précisé, d savoir que «j

. pw lo liberté, . République ».

Je ne saurais i eeption que Jf.1, OTtt de la Répubi ’depenue le contr ést devenue un i m talérant, oppr rannique. SorsJ pas de salut. É plus dogmatiM

„ XOeme qu i sait f Çmnts et des. tcm douceur. QuicoM ^ g m e s érigés ei

anathès *Mn.idire éxeg étemel.- î Ée