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EXEMPLAIRE DE DÉMONSTRATION Ce spécimen ne présente que de courts extraits d’articles

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3La Salida • n°99 • juin à septembre 20162 La Salida • n°99 • juin à septembre 2016

L’ÉDITO

Merci maestro

« Les pianistes que j’admirais le plus étaient Lucio Demareen premier, ensuite Carlos García et toujours un grand maestrocomme Horacio Salgán. » Cette déclaration en dit long surl’influence de Salgán dans l’histoire du tango car elle émane d’undes plus grands créateurs du genre, Mariano Mores. Elle souligneaussi, malheureusement, à quel point le paysage de cette musiqueest aujourd’hui déserté par ses légendes. Depuis un peu moins dedeux ans, nos pages ont beaucoup célébré de très grands nomsde la musique ríoplatense mais c’était pour leur dire adieu...

Mariano Mores lui aussi, nous a quittés le 13 avril dernier,deux jours après une grande figure du bandonéon, ErnestoBaffa. À 98 ans. Il laisse un boisseau de compositions colossal,musiques devenues d’indestructibles standards : Uno, Cafetínde Buenos Aires, Gricel, on n’ira pas plus loin car cela suffit déjàà dire la qualité de l’œuvre. Combien de compositeurs auraientaimé signer un seul de ces trois titres ? La disparition de ceteffervescent showman qui en faisait des kilos et des tonnes avecson orchestre, installe donc Horacio Salgán, son parfait opposé enterme de sobriété sur scène – mais quelle brillance au bout desdoigts –, comme le dernier représentant des géants du tango.

On évitera le terme dinosaure car bien des pianistes d’aujourd’huirevendiquent la modernité de son jeu, on n’échappera pas enrevanche à l’obligation de statufier le personnage devenu malgrélui un monument vivant. Vivant oui, comme sa musique, commece tango qui révèle chaque jour de jeunes et beaux musiciensgrâce au legs de ce prodigieux aîné, même si, comme lui, ilspeinent parfois à entraîner derrière eux les danseurs. Le 15 juin,Horacio Salgán va fêter ses 100 ans et le tango n’a jamais étéaussi jeune. Merci maestro. l

JEAN-LUC THOMAS

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P. 3 L’ÉDITO

P. 6 FLASH

P. 9 LE MOT DE LE TEMPS DU TANGO

P. 10 DOSSIERHoracio SalgánSalgán par SalgánDiscographie

P. 21 CAFETÍN DE BUENOS AIRESMariano MoresDiscographie

P. 30 RENCONTRE AVEC...Sandra Rumolino

P. 36 ON A VU ON A LULe peintre Horacio Cacciabue

P. 40 BUENOS AIRES HORA CEROBenjamin Biolay

P. 42 DANSEFaustoChampionnats du monde

P. 46 SON TANGO À LUISerge Davy (Tempo Tango)

P. 48 ON A VU ON A LUUltimo TangoLe Ciel du CentaureCamaléonLivres

P. 62 L’AGENDA

5La Salida • n°99 • juin à septembre 20164 La Salida • n°99 • juin à septembre 2016

SommaireIllustration de couverture : Horacio SalgánDR

P. 21 M. MORES

P. 30 S. RUMOLINO

P. 61 CHAMPIONNAT

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9La Salida • n°99 • juin à septembre 20168 La Salida • n°99 • juin à septembre 2016

Le mot de Le Temps du Tango

Aux portes de l’été…La période estivale arrive à grands pas. Aux portes de l'été, commechaque année, le 21 juin est un jour dédié à la musique. Pour célébrercet événement, nous avons le plaisir de vous proposer le cuartetoSilbando accompagné de Sebastián Rossi. Cet orchestre saura vous

enchanter, place du Marché-Saint-Honoré à partir de 21 heures.Même si la danse prend une part importante dans les activités

de notre association, nous nous efforçons d'élargir le champà la culture – au travers de ce magazine, de conférences,

projections de films – et à la musique vivante. Différentsorchestres interviennent dans nos deux festivals(Prayssac en été et Kerallic pendant la trêve desconfiseurs), ainsi qu'à la pratique de La Sourdière.Au cours de cette saison, vous avez pu faireprogresser votre tango au sein des diverses activitésde notre association : stages d'initiation mensuels,cours bihebdomadaires à Alésia, cours et pratiques

hebdomadaires à La Sourdière, ateliers thématiquesmensuels. Depuis trois ans, des stages mensuels avec

trois couples de maestros de grande renommée (lors decette saison : Julia et Andrès Ciafardini durant le dernier

trimestre 2015, Baxartko Arabaolaza et Joseba Pagola au cours dupremier trimestre 2016 et, pour le second trimestre 2016, Valeria Cuencaet Fernando Nahmijas). Valeria et Fernando assureront l'ultime stage dela saison les 25 et 26 juin prochain.Ces activités feront une pause en juillet et août.En juillet, nous aurons alors le plaisir de vous accueillir à Prayssac(à 25 km de Cahors), pour un 21e festival, du 16 au 30 juillet, soit deuxsemaines de stages et de milongas.Au cours de ce festival, la musique vivante aura toute sa place. Ainsi letrio Runfla, les 20 et 21 juillet, et le quartet Yengue, les 28 et 29 juillet,nous feront danser.Pour plus de détails, n'hésitez pas à consulter notre siteletempsdutango.com et rejoignez-nous sur Facebook.Prochainement, nous pourrons vous communiquer le programme denotre festival de fin d'année en Bretagne, du 25 décembre au 1er janvier.L'éventail de nos activités liées à la danse permet à nos élèves etstagiaires de progresser quel que soit leur niveau de danse.L'enseignement dispensé par les différents professeurs estessentiellement fondé sur l'apprentissage des bases ; cette méthodepermet d'acquérir un solide bagage permettant de progresser aisément.La pédagogie des maestros intervenant dans le cadre de nos activitésest totalement en adéquation avec notre vision de l’apprentissage. Nous vous souhaitons un bel été.Amitiés à tous. l

LE TEMPS DU TANGO

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DOSSIER - LES 100 ANS DE HORACIO SALGÁN

Aujourd’hui retiré, le pianisteet compositeur Horacio Salgán

est le dernier des géantsdu tango, qui va fêter

le centenaire de cemusicien d’exception.

Dix doigts et un siècle de tango

I L Y A QUELQUE CHOSE D’INTIMIDANT àsoutenir ce regard que les lunettesagrandissent comme pour mieux yrefléter un siècle de tango. À l’heureoù notre revue vous parvient, les

médias argentins doivent mettre la derniè-re main aux articles qui célébreront, le 15juin, les 100 ans de Horacio Salgán.Revenir sur la vie et la carrière du pianis-te et compositeur qui est désormais le plusmonumental témoin de l’histoire du 2x4impose une sorte de retenue et beaucoupde respect. À la mesure, sans doute, del’humour du bonhomme et de sa modes-tie, car celui que l’on salua largementdans la deuxième moitié du XXe sièclecomme un des “rénovateurs” du genre,mit un point d’honneur à retoquer cetteétiquette qu’il jugeait, sinon encombrantedu moins inopportune.

Ainsi dans cette interview accordée àla revue Club de tango : « Je n’ai pasapproché le tango pour le sauver ou riende cet ordre. Je l’ai fait par amour de lamusique de mon pays – le tango et le folk-lore –, parce que j’en ai le respect et unedévotion pour la musique ou un genre,dans ce cas-là le tango. J’ai pratiqué tous

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Horacio Salgán et Ubaldo De Lío ont jouéensemble toute leur vie ou presque.

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21La Salida • n°99 • juin à septembre 2016

Mariano Mores, de sonvrai nom Mariano Martínez, estné à Buenos Aires en 1918,la même ville où il vient dedécéder à l’âge de 98 ans. Aveclui s’en va un énorme morceaude l’histoire du tango. Il était,en effet, l’un des derniers

protagonistes et témoins encorevivants de la grande période dutango classique, celle qui va,grosso modo, de 1935 à 1955.Les activités de compositeur etd’interprète de Mariano Mores vontcependant bien au-delà de 1955.À chaque voyage que j’effectuaisà Buenos Aires, et ceci jusqu’àtrès récemment, lorsque je voyaisson nom toujours affiché dans lechapiteau d’un des théâtres del’avenue Corrientes, j’avais lesentiment que Marianito Moresétait immortel, et que sa seuleprésence nous rattachait encoreà la grande période du tango.Mais tout s’achève, et il estvenu le temps de lui dire aurevoir et de rendre hommageau grand auteur de la musiquede… Cafetín de Buenos Aires.Mariano Mores a été uncompositeur d’une sensibilité etd’un talent immenses, commeen témoigne les quelquecinquante tangos, valses

et milongas qu’il a composés,dont plusieurs sont des morceauxessentiels, historiques, fondateursdu genre. Il a sans doute été l’undes plus importants compositeurs,au même niveau que SebastiánPiana ou Aníbal Troilo. Moresa composé des musiques très

Cafetín de Buenos Aires

“Quelle enviede pleurer…”

Mariano Mores nous a quittés et jamais le sanglot de son tangoEn esta tarde gris n’a paru aussi incontournable pour saluer

le musicien et compositeur fondamental qu’il fut.

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Chanteuse puissamment affiliée au tango, Sandra Rumolino s’offre encompagnie du guitariste Kevin Seddiki une évasion sidérale. Tres luceros,

leur nouveau disque, nous embarque sur une mer de pure émotion.

La traversée dumiroir aux étoiles

RENCONTRE AVEC… SANDRA RUMOLINO

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On a vu on a lu

Il a peint le jazz, la boxe, le tango… Le très PortègneHoracio Cacciabue nous propose aujourd’hui de le découvrir à travers

sa galerie de portraits d’Argentins adoptés par Paname.

Les “Illuminés” de Cacciabue

A LORS QUE JE SÉJOURNAIS à BuenosAires en mars-avril dernier,l’Académie nationale du tango expo-sait son travail : “Los Insolados,Genealogia del tango”. On présentaitlà « des démiurges, des demi-dieux,

inventeurs de mondes, maîtres suprêmes, arti-sans de lumière... » Ils s’appellent CarlosGardel, Astor Piazzolla, Aníbal Troilo,Osvaldo Pugliese, Rubén Juárez... pour lesplus connus. Mais aussi Joaquín Mora,Orlando Goñi, Alfredo Le Pera, pour ne citerqu’eux... « Car qui a déjà vu leurs visages ? »s’interroge Horacio Cacciabue.

Pour les mettre en pleine lumière, il a faitchanter ses toiles et les a peints, à larges coupsd’encre, à l’acrylique, à l’huile, à l’aquarelle.Les notes sont devenues couleurs et elles nousdonnent envie de danser. Aujourd’hui et jus-qu’à fin juillet, le maestro portègne expose ses

Peinture

Carlos Gardel Néstor Marconi

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Danse

Fausto, le ballet de Cristian Miño et Michaela Böttinger, confrontele mythe faustien au tango et le tango à la danse contemporaine.

Quand Faust rencontre l’abrazo

C EST UNE SUPERBE BLONDE, lui unbeau brun ténébreux. Elle est alle-mande, lui argentin. Un grand écartqui ne les empêche pas d’unir leurchemin dans le tango. Qu’ils dan-sent sur scène et enseignent. Tango

dont ils créent aussi une vision qui va « plusloin que celui qui le situe dans un cercle donton ne peut sortir, avec le port, les bordels... »explique Cristian Miño. Et MichaelaBöttinger de poursuivre, non pour se justifier,mais pour nous ouvrir les voies de leur par-

cours : « On aime beaucoup labase traditionnelle du tango. Labase classique, celle des milon-gas. Mais, en parallèle, nousavons besoin d’utiliser cette basetraditionnelle, d’utiliser le tangopour raconter des histoires diffé-rentes, pour aller plus loin. »De là, a surgi l’idée de monterFausto.

Une quête constante« Un défi, souligne Cristian,parce que non seulement c’estune œuvre littéraire, théâtrale,mais c’est aussi un texte méta-physique. Et il nous a fallu trans-poser tout cela à la danse en uti-lisant le tango; du scénariojusqu’à la réalisation scénique. »Pas simple en effet. Mais pour lecouple, le tango est une danse“terrenal” – terrienne –, commele sont les personnages de Faustet Marguerite. En outre, commeFaust, qui cherche à travers lascience, l’alchimie, la politique,tout au long de son existencel’essence de sa vie, Michaela etCristian cherchent toujours àgrandir, à trouver de nouvellespossibilités, de nouveaux lan-gages, à rencontrer de nouvellesM

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Son tango à lui

L ASSOCIATION A TROUVÉ SA PLACEparmi les propositions offertes auxdanseurs en Normandie en situantrésolument son activité en complé-ment des autres structures, deve-

nues au fil du temps beaucoup plus par-tenaires et amies que concurrentes. Car siTempo Tango organise des milongas,elle n’offre ni cours ni stages. Elle se pro-pose avant tout de promouvoir, diffuseret enrichir autant que possible la culturetango dans sa région : programmes deradio, site d’infos et d’opinion, soiréescinéma-tango, concerts, conférences,spectacles... tel est le cœur de son activi-té. Rien de surprenant donc à ce que sonprésident ait choisi d’aborder la questiondu contenu non pas technique, mais bienculturel, philosophique, que peut offrir ladanse au-delà du lien social immédiate-ment partagé dans la milonga.

Serge Davy (63 ans) a été bercé dansson enfance à Granville par les LPqu’écoutait son père, les tangos d’en-sembles français essentiellement. Gagnépar le rock pendant ses années pari-siennes et ses études de cinéma, il devintmembre de l’association Alma tangueraà son retour à Caen, et, tout en restantmembre de cette structure où il fit sespremiers pas de danse, créa TempoTango pour développer à l’origine dessoirées de ciné-tango au cinéma Lux.Depuis, l’association a fait du chemin etson président garde une tendresse parti-culière pour Nosotros, le documentairede Diego Martinez Vignatti (2002) et lefilm de Pino Solanas, Tango, l’exil deGardel (1985). l

J.-L.T.

Serge Davy (Tempo Tango)

La Salida accueille pour son numéro 99 Serge Davy,président de l’association caennaise Tempo Tango,

qui vient de fêter ses 10 ans.

Serge Davy à l’antenne dans le studio radiooù se réalise l'émission C'est pas à moi

que tu vas faire écouter ça !La suite dans La Salida sur papier...

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On a vu on a lu

Musique, chant et danse sont associés dans ce concert mis enscène par le collectif issu de la Maquina Tanguera toulousaine.

Toutes les couleurs de camaléon

C RÉÉE EN 2015 À TOULOUSE, la troupeCamaléon vient de livrer sa première création :un concert pour piano, guitare et percussions,auxquels sont associés la danse et le chant. Elles’est donné pour objectif majeur, pour se diffé-rencier de la conception ordinaire de ce type de

spectacles de faire cohabiter les trois disciplines sur leplateau en véritable osmose, grâce à une mise en scènesoignée et rigoureuse. Cette formation est née avec l’en-vie de mettre en valeur, sous toutes ses formes, lamusique populaire argentine.

Son répertoire est basé sur des tangos et des milongas,sur de la musique folklorique, mais il touche égalementau candombe et à la murga uruguayenne. La nouveautépour ce trio, c’est l’introduction du jazz et d’autresrythmes latino-américains. Il s’ensuit des arrangementsoriginaux adaptés à ce riche mélange, et correspondant àla personnalité de chacun de ses membres. María BelénGiachello, la chanteuse, s’enthousiasme : « Camaléonprend toutes les formes et les couleurs, se trans -forme pour charmer le public. En empruntant au jazz età d'autres rythmes latino-américains, cette compositiontransporte les spectateurs à travers de nombreux terri-toires. C’est un voyage extraordinaire qui les attend à ladécouverte de toutes les gammes de la musique argenti-ne. » Le voyage devrait trouver sa bande-son dans un CDprévu à la fin de l’année.

Camaléon rassemble : María Belén Giachello (voix et danse). Les lecteurs

de La Salida connaissent cette artiste reconnue sur lascène internationale, qui danse le folklore et le tangodepuis qu’elle est enfant (cf La Salida n° 82). Elle a com-plété sa formation par la danse classique et contemporai-ne, le théâtre, la comédie musicale et le chant. En 2008,c’est à Toulouse qu’avec Gonzalo Bongiovanni, ellefonde la Maquina Tanguera (association et espace cultu-rel dédiée à la danse). Depuis 2010, parallèlement à sacarrière de danseuse, elle reprend le chant et fait partie deLa Orquesta TRIPtica, et

Spectacle

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María et Gustavo La suite dans La Salida sur papier...

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Directeur de la publication etresponsable des abonnementsLuis BlancoDirecteurs de la publication déléguésMarc Pianko - Francine PigetFrance Garcia-FicheuxMembres fondateursSolange Bazely - Marc PiankoRédacteur en chefJean-Luc Thomas Secrétaire de rédactionFrance Garcia-FicheuxRédactionIrene AmuchásteguiAlberto EpsteinPhilippe FassierMarie-Anne FurlanFrance Garcia-FicheuxBernardo NudelmanFrancine PigetJean-Luc Thomas

A participé à ce numéroDominique FicheuxResponsable publicitéContactez-nous avant le 10 septembre 201606 15 15 11 25 ou 06 83 95 79 [email protected] Internet et mailingCatherine CharmontMichel VargozDirection artistiqueMarie-Françoise MarionPhotos et mise en pagePhilippe FassierImprimeurTypoform - 4 rue du Vaulorin - 91320 WissousLes informations de l’agenda sont gratuiteset publiées sans autre critère que denous parvenir avant le 10 septembre 2016et formatées comme indiqué sur le site.

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Tirage de La Salida n° 99 en 1 700 exemplairesCommission paritaire n° 1114G78597

Dépot légal à parutionToute reproduction, totale ou partielle,

de cette publication est interdite sans autorisation

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traduction de 150 tangos par Fabrice Hatem

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