9 d«(pftn^fce«Éne- eaux,bmsenlis.com/data/pdf/js/1904/bms_js_1904_09_11_MRC.pdf ·...

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Combes reçoit Je met dre du cabinetdii^tocial de l’fbAo de Grépy. Jusqu’à présent on pou vait croire que ^tabi l’invnee, mais devant rempressemeut _du- ' président du Conseil'à exaucer les moindres désirs du confrère, il n’y a plus de doute, c’est la lecture du journal de Grépy qui dicte à M. Combes sa ligne de conduite. La dénonciation du Concordat est une question délicate sur laquelle au cun gouvernement n’aurait voulu se prononcer sans avoir consulté la Chambre et m ^ e le ps^s. Le chef du Bloc ne s’ttnbarrasse pas pour si peu; pour lui, la décision qu’il doit prendre n’est qu’une ag raire de jours; dès l’instant qu’il a l’approbation du confrère, l’avis du Parlement et du peuple est re légué au deuxième plan. Le Con cordat sera dénoncé, nous per drons le protectorat des Chrétiens en Orient, dont la France, de l’aveu même de ~M. Delcassé, n’a vait qu’à se louer, et tout sera dit. Et puis après? Après I... l’œuvre démocratique, comme dit Pelletan, se poursuivra par les voies les plus rapides. Or, les écoles oon- gi^anistes étant fermées, les re ligieux expulsés, le Concordat dé noncé, les églises mises à la dispo sition du plus offrant et dernier enchérisseur, que resters-tril à faire ? Qiminuer les impôts, voter les retraites ouvrières? Non, vous n’y êtes pas, pour le £toe cela n’est pas urgent, cependant -la laïcisa tion étant un fait accompli, la lutte contre le soi-disant cléricalisme n’aura plus sa raison d’être, celui- ci ayant été refoulé avec le Sylla- hus de l’autre côté des Alpes, vous ne voyez pas ce qui peste à fàire. Les socialistes, croyez-le bien, ont leur besogne toute tracée. Vous connaissez le raisonnement que tenait un jo u r u n anarchiste, m oins facétieux qu’on pourrait peut-être le croire. « Nous supprimerons, « disait-il, tout ce qui existe dans « notre état social actuel, et quand « il n’y aura plus rien sur la terre, « eh bien, nous, les braves anar- * chistes..., nous rétablirons ce « qu’il y avait. » Partant de ce principe, la reli gion catholique, banmei ^u terri toire français, sera remplacée par une Religion dfEiat. C’est le reve de M. Castellant, dont l’ennemi juré est le Syilabus, mais qui est, parait-il, religieux. M. Combes, sachez-le bien, forme le projet quoiqu’en disent certains, radi- ( religion d’Etat basée sur la ion e t IrJT i^a/vj^iiç^pé&vousJ concours, bien'entendii, db noti éminent eonfrtre. La Raison , ., , ô Castellant, etrpoüsSez dés ciia d’allégresse); oànàiserapas banal. Ce seift l’itaé^ ft>ul # 3 s à n t qu^ crée la Rai, M i'la •/’ndüèe, sans que nous ay(His le droH dndiàctl-i ter cette L oi, cette; J-ttsUce. t t d,éH orôtera ' la VêriÉéy disdemefa Je bien'du mal, cé quiést jûste.4à.ce| qui est injuste. LTEtat aurai Sês dQgmes,.ses croyances^ seô SÿUa-i bus, et excommuniera les tiques qui: oseraient discuter lest enseignements de' sai Religion,; comme le Bloe a excommunié tta- ret, Locjuxiy, de Lanessan, Ribot,,. ofc*** Combes dira:TEtat,, c’est moili En qualité dé Soq'vérain Rdntifis dej la noùvellé.i^se, il nous impo-{ sein sou Credo. Nous aurons.âes évangiles seiom Jattrès, Pelletan,: A n d ^ des épltres selon Gastallanti (pas trop longues, s’il vous plait, confrère). Les sus-nommés for meront le Saint-Ofdce, les préfets seront des év^ues, les sous-pré- fets des vicaires généraux, etc... Sauf les dogmes, tout sera rétabU. Combes et Castellant seront con tents, mais le peuple ? Le peuple 1 Sa souveraineté ayan t d isp a ru avec; la liberté de conscience; il devra; croire ce qu’on lui. dira, de croire.; La religjon d’Etat 1 Voilà le rèvC' deCastellant,le projet de Combes I Comme chez Nicoflet, de {dus en plus fort 1 L oup BERTROZ. L ’â e c t io n d e M . R a n c . M. Henry Maret est terrible envers-lest radicaux gui obéissent passivement à M., Combes. Il Wépargne pasM. Banc, quiifeet. improvisé le garde du corps du défroqué, A propos du maniStt de conseiller général,. ü écrit : Ranc n’est pas, que Je sache, conseiller général I et dussé-js paredtfe dur eomaM, une roehe,je ne me sens point dhumsur à- verser des larmes sur son destin. Je suis - certain quiil aurait puiiirs,sfa Pe&t voulu, le* él6C>eur> qui l’ont : euvoyé au Sénat ayant aussi bien pu lui ikinneF un mandat; qu’un antre, attendu qu’ils ne le oonnals- sent aucunement, et que la plupart vont régulièrement ft la messe ; os qui prouve, soit dit en passant, la profondeur de signi- fcation du choix du suffrage utUvefsel (Rappel du 2 septembre).' U. Henry Maret n’est pas tendre. Les coiiiéHs mnirfâpanx des cotnumiies. edffl0Fiâ^.^isile dépMtemeat--de'la-liOTe| sont coiiTOqués pour le dim andsM »*^ stesntiHEà Heffiet^jsomraer t e m cWégu^! et suppléante « vue ÿa l’étectiOn é TO eé-î f ^ u r e i t rempiacenven^'.da ’ -Kè wiR^'êtectbranilSnn'é^^;;®^^ dès conseillers généranx, des eonseiilewî tl’artomlisseineiK et des délégués munUa- paux du département de la Loire, se iw - nira au cheMien le dimanche 23-octobre- pour procéder à cette élection. L’A m m iA îio m iiÉ m iiN E et M. Combe*. ( L’Association NationalsRépublicaine» s’est attiré les foudres de 11. Combes, qu’elle a d’ailleurs tout fait pour mériter. C’est t son Bulletin-Correspondance qu’on doit la publieatioa des statisliques exactes des dernières «lecUons e t la repro- ducVon des artioles bonapartistes et clfti- eaux du Présidant du ChmseiL M. Combes ne le pardonne pas à c l’As sociation Nationale R^ublieaine », qui vient enowe de signaler lès-erreurs dont fourmille la-Hste-des eenaefllers généraux parue dans VOffleisl. Oans-unaecès-de: dépit brayant, il a dit à Auxeire : < Silesjoumauxprogressistes,rento*tés de leur premier desappointeroeut-àigrand renfort d^uiace'par uue asseiciation soi- disant nidionsle répubUiHda*«t,{d«»«iae- M. Combes a oubüé.t l’Assodbt*oi| 1* Qtrà a Nationale Rc iessmsUeménl UHraJsh(ill « ------------------- ioimne modéné, te ir Qm ai I m : rsRiF ' ih 'ttks '* üHesdnewa et l»o««ètàllsln è«dé(l»ndnla n •tlaLilweté. . -t KL Hws'ieauRovviw; ministre de» fl ; nanoes et anciem.Prtidd^-deei’Atsoaitt ; ’ Uon, Nationale Rirn^difiaim v^ P'mwe» » cas.écjt^^ M. Cqmbes, i AssaeiatiônNtttionaimSépabHe^nei iu,M.vu9..«.«v.vv.«, — ieffet d —~ puté en remplacement.de U. Isambart, dé- oédd _ â T ira s ® ^ . lies, réfortnea de Saint4!yr DnFigàmi . Notre confrère le Temps, dans spn nn-i méro d’h ^ , a-pris.trèp an sérieuj les fan-i 'taisiesde divers journaux sur les réformes; ' projetées’'à ’^PEcole spéciale militaire del V D’a p o d e s renseignements pnisés anxi imeilleurea sources, ces réCtrmespKqcdéesi .'étaient ardemment- désirées de tons.^ef 1 elles ont été en partie esquissées dans les: ‘lettres d’un SaintCyiien parues , dans le- ; Temps ini-mfiiPë, il y à quelques mou. . •. . If s'agit simplement de fure concourir : i les ■frotesseors de J ’Universitéd l’éduca-; Ition des futurs- ofteierB. ce dent on ne> pourra que se réjouit. J C’est sons leurs auspices que serontl .complétéesles bibliotbèqnes-.deiiuartierdei l’Ecele : nous relevons dans ces dernières i les noms de Pasteur, Boutroux, Bertnelot,| Bonrdean, Tarde, Ribot, Fouillée,Fagot, Pé-i eaut,-^Ules,-etc.: On voit de quelles garantlee sera- enton- rée^'la'.formadeoi morale::.de cette jeu-i nesse. Quant à 'l ’instruction, militaire, elle nés sera nullement en souffrance et elle rece- ^vre une portémmoins théorique- grâcèé la répartition plus, judiciease du temps em- « ® » .™ tout le monde i^ u t se ; réjouir de ce projet qui n’a rien depolm-. •qué et qui est appels a-n contraire à plàure : infiniment aux élèves eux-mêmes pms-: qu’il est destiné à les rehausser à lenrst propres yeux en leur donnant des aothm plns.exaotes sur la.viequfftsaont- aiqielés a mener an sortir de damUlyr. La Fnae» et le VaUeo* De Rome à la RépVbUque Frafl- (aise: Le Oiomate d’italta a Interviewé dent S ersonnes de l’entourage du pape à prepqs u bmit-d» te-nominadon dUmudstra- teurs apostoliques à WjMWtàinvrf.^ l A* rsAssa/tsanmoCM{ntepndMMft.Mit nAlUAS» - An Càrinei telaÿql De LovalauJIaffn : . Jendbmatte, su» descente aété lu rOuwel de:lAtah i*-^|«ttmeMir dee^L atW ponrlwti tféj ûtabttv maq ie C^ihel- n’a-pas oesiéi éTèi tld une congrégiÿiaai reUpenset ‘mai 0fl^pQi00B9tftt^<lU6.l68 SséUtes ébÿwt l ^ n e s de leurq vétèmen^^reUmenz, m una gcimeu Mmq u eiaieiit'eif'.ttone dé rilte: ; ijpitibrèw document» tmpor» pèiBraÜeHCOBKCtioaiHlles. Aérideàt^tràmVray i lA ^giide | Be La B^de-deJdazendaa>efii^<»i I* ttam m de UontéUmù i a :&an^er(M'^^'an^((éffllbB dn^tidteau :oàéwén«'ree«dasaDi*st .. > - ’ i ' • ^ a aéSLteeyer." ' .«.^...jn» remacttms. contu^ns stmtlégi res. Les juilis .an Japon Du.Aiippef: tokiô, 8 septembré. — Quid qu’en gsent certains sociologaes e g r o ^ n s très disUn'i ' - -'^---un seul bomme derace iIMurtienne au cdlta de peut pas ntstration d’un dlo^se, tout ce -qnirwtrde l’adminitsranon ■ des. . doit èbre soumis à l'Etat en vertu du doit*; le VatiCMi sait trq’eu envoyant Istateus apostoUqnes, U viole rait lè Concordat. Reladyementnux sept recântS’ lejs^annût^^^^ derdes pouvoirs provisoires aux épiscopaux ; ar^nis lètexte des propositiiHw qui set 'lont soumises aux fnscrRi. ' - ' H. Péniasata aussitôt informé les inscrits ;de:cettedé^oa:et aneêuttevoeehbè ces derniersiBt IL Nemesker aura ttnmtjonr- i;dünibmê)Dia: A.aamlieqm, Inpcéfst a reçu une gatiôn des dockers. .AiSstique tout" récemment dressée parle» antMitéSa établi qu^da^ r e m i ^ % H i k a d o l t n ’y a qnelOO famiH les jmres, et ce sont tontes des famiiles . ... innt.venues pour la plut _ , -j,de RalestUie e t d e rBu* ropéot^dêntâlm Les jnffidu Japon n’i lœin qironewdle œinmiiiânté religlâisméelle port, a épousé une Japonaise qui r « t «en« vertie au judrisme. Il vient de mourir et sa veuve lui a bit bigor une n it« e t« ^ hdreavecune inscription bébraiqne. C.est la promièie qu’on eu, vdiead Japon. j X.SM9 A .Marseille Marseille, 9 septembre. — PConssomme»; aujourd’linf au dix-huitième jour de la . grève. Malheureusement, les ponrpmrler» ^qaidnteu'iieu pour mettre un tmrmeau oonlIH soulevé emm-ies inscrits mantimesi et les armateurs d’une part et les entrepre. neurs et dockers dbutre.part, n’ont, pa». abouti à cause des iàflnences qui se sont éX6fC^> Les parties en cause se trouvent exacte- mentdans la mbne sitnalioa qa.au pre-- mierjour. - , ^ Les insôrits avident accepté quatre con- éfftions du tarif que les armateurs impo- stuent' non sans raison : en même tenÿM, 1— A stmm ' ibAwettaes* rire câient tolem enfan désastreux systèiaie de fil mtsTéi l’index. Par contre, fis deman daient la Ttetementadon du tnvim é'bort, mai» les armalénrS n’ont pas voulu accéder: i cette demande. ^ , i La grève des entroReneurs decamton- nage!neid être ccmsUérée oosqmetenn^ née ; u pfun^ des- ramées écurieaont Ouvert ce maen letirsjportas. A la strite de la d é ^ n inise m M; Tronillot, ministre du commrece, M. Des-: -trem, sous-directeur au-ministère Mt aiTi-- ve ce matin de Paris: il est idna^ de feber une enquête sur les grieb'formulés par: lesConm niot èt .les dackers et ttoveil-; 1er sur laobiBpléte exéeuthmdo caUecdec Le transport c Wldn-Long », venant diô-: ■leui est arrivé ce mafin, avec. W ps gers, les dépêrees et les colis ^ t a n x . I l.«s eaireifiiee - HaneHIe,' 9eepteinbre. — Vendredi ma-i tin, H. Nemesker, agent g é n ^ l delaOom.^ -pagnie.transatlanüque, a e a une nonvell*' .entrevue avec M- Pén^saU a ta itd s tt^ ' d'‘ r-déi8 — .— est en; Moukden; avec tout ’eit LrisMuéllsn comme l’annoncent lés dé ___________ son état-màjor, tandis qné8aa.Àmée. s’b^ fumée, en. demi,cercle : a u ,Sud de cétte Nacè. - De lebr côté; les Japonris ont pris ains leurs.dispQsidons;: l’armée dudmiéral Ku ' ; rekiàj^gt'kilomèàia &fret doKonkden celTe dulenérdt râtu à 'la mêdie distance i Pouesi;Jn> Mies, attendentia ttcdriémé ar "■^M.KO^ne- ■ ... ^prèS ce vririna^oM hell^Sâî^qdo^^renmnîS’^.imte. le ralenGssement de la marche de Enrok. dans la nécessité d’opérer la concentration de ses .trois corps d ’armée. Lé général Eonropatkine ne recherchwa pas. évidemment la bataille : néanmoins, sespréeaotions sont p rim pour réiOder à une attaque des forces nipponnes. , , ’^n ramarqueradaditfimiité avec laquelle , Jmonaislnésitwt à mentionim les poM K» quils éprouvèrent à la bataille de -uao« Yang. AMès des tâtannements, Us se. re^ coni*jssent30J)00tnés ou blessés. Or, com me c’est là le chlffire des .pertes russesat ' Uus.dansdesiretran- lieu- d’esttmer qae,! y entanmrinal .àfiQJlDOlenomr -de:combat,non» ne sermis.pas kün de compte: 'dés télégrammes reçus de Port-.àrfiuir'. nousciqmorteat Phearense nouvelle de ..màvesjécnecssabis par les Japonais: dont; Tes Russes font de véritaUes hécatombes.) :ü noms apprennent ,égalemmit que de» nmnitiopses^idxres^paurent être inti»-, doits dans la place à la barbe- des asrié-, géants dont R »;pu 9 èét»es de succès! se trouvent.'ainàfringaUiâreinent nuées. :8«vsBir. ia,i’’,.M»is snwa ' 'pSSSSmêstmt'i ■m Cll0 rem in»^—*- » —_ ^ -------------------uqi53l(|»wt| âXiKM9i^l iier^ léinwcHidKre,: }»épéiiént deOian-- ienffel réglcdt les dermen»:dtlaM*4àaJla • - .vu:.cj>rpa, fWSé * ït JéV'cvxlt ttO'WWTfw ....... u wm- fi&àduStdivikiiiK. dmcMaliiwstSisq— afs du.8* l«teUonde,jr'“ “ -“ üHkpomit&ls. serait, emè -An«SOA,et: d» l&r premère d’observer Méritoea. :.. Coufosmémeuv* çesjH»poritton»».Ja ç - vi8ion.de..cA'reterie;.lan0K eÿ.üfwgt du flâne droii de. L’a I la le cniiire-.uH: q.«eéoax-ci se sont battus.i .^eweres, H y a tout ' nnéjsûréntte asne.up aim, Dariièrê: la..osi ncaiS'Oe iude des ait. de. . La princesse Louise de Cobourg et : tenant cdnde Mattacbich sont instellés. à 'Paris, à quatre mmntes déPOpéra, , assnre Henri d ^ w sanne. que le. comte Mattachicti, ont s’entendre avec la iwince88e ,8nr,la façon dont on ■ponridit s’éloigner d'fflster. __ La, pcincesse q o i^ 1hôtel àaeux- neurw «tdemifidninaua»inonta en TOitare,,et, Elle oommandualoys. m x automobiles poùT.fidw 5m pçomeniÿe etr p g ia Bem- elle airtvrit S Berlin ëflJe_ y , Snd^nm puté sodafiste lui douM l’IpSpitffl» Après qnatre.jojtf» de «djouy 6 m cette; TiUe,;el» rfiSut 6 serepdivàPwiÿ:, J Elie-gagnamM^rimen antPii^Me^ .tnt tew è pat ». de jtoossanne. t» fMdeimà üfét in^8^ Le chUtre tottf dp réMeutw* Jee te p ét^ ' to®Miélf-eÿ-TOii6ïiôi6B de pesr.^iQ t90è^:«éèb-à^tti»e«WM«ei -aMiS9W30ff».eeenaaB»gaiarimne i^ og rei :S«Hb6d^ti^e^M auM^tio^^ :^^xcédent total daa npitywmi^ J ffl^ de Pexesrice. cenzant-jaei tronve:< a 113,418,000 «r. par rapport aux évtfaatiW! ' bojgétaire'étà P^*W k lapSdOdeieone^dantadelINn, i u^'teuirS'çdXi; irltiiTL -------- Allemsnda d’o gaqiser for-eme pstion de cette im,.ortanle cité. nais.ance n.lem a^^'M ^é» ju a ÿ ^ bois de aéniêPïè,^ aVefl'Hflf^sU la pré- eeans to n e .qsina» itt9i,dq:.inwteiJ»oggaes, Maiüeuffali p;W «nMéeplterAo.i49:'' intion' des troupes ITançair-" :-nmrs. a rm M d ft^ IsbsienneéfU Mhèire;.»a..àit! .taiUeaiir.laligMdé)^8e . ...g:, -eonduts d^trépagny et ae-Oasee. jneni dû géh<Spai Faire- et i ^an^.dlyôÿi Jfireht de^ prcâ leiir décidé du ,eO(*t.d^&^ei|r -cette b aaT uau.'îtTjiülVlei-, T -™ rait s la conccntr-ilon des lorred ses s’éiaitqpéree.avec le’MéuéitàiTiuîis'L- ayec le gMéral.Rriand.' Oa. ottiMlr.jiu creâre, 'mié, poàr-ùivant' sa yiè-i^irei. en s’appuyant sur'AnsîBnS et t.ny; l a ^fe, .tombés en.son pouvoir, O.cheKfibraittirat d’abord a s aseurèr >a posseasipn.' dh. la hgne ce lâ Somme, eü M-dung^itUM îiifonne,.qoi'én egt la c é. AU reçu des rapports relalstit Ja dep .,Fi ançiu», ,l|^ te B flél,^^'rtp& anxjgiailruO'iQns r-SMe à S ^ f o q s jJ dmt' de ponreiùvïe .iBM mouV)f Rquem, liy AladxratembfMte ^ M 'e ïTlffrea^Mr RoILh^ j raLtosud ^ r uiS(6> entdMO] Mt de d ^ g e r 1 ^ 5 )6 du. yod .jféiîigelte, M ^ meçveiuBuse g^TOMwsphôti a bür sur la route d AmiansA Pou:^ »airtjie»tete»,d(^)soi!«¥!ft‘ au ar corps,deiAWM«tf rsnfflâiiïfiiM iaafiiii^TKr Rouen, et enfin d’asaaret-.pln» psrticaliè- rement lK<j6ciMM. do«:«UDmn de tst ïbulitos np COORBISB DEMQISR (31) L I D I O T E eau EMILE RICHEBOURQ Is* E N N B M I — Kon, monsieur; je sens dans vos (uoles l’iutérèt que voulez bien me Jimoigner, et si dure» qu’elles soient, je «8 écoute avec déférence... C’est bien. D’ailleurs, je suis un Jàeillard : on peut tout entendre d'un boDunqyle mon âge. Voyons, pri^terez- toas de mes conseils? ' — Je t&cberai, monsieur. — C’est déjÀquelqne chose. Monsieui h marquis, vous connaissez ce provmrbe ; < Dis-moi qui tu hantes, je te dirai qui *ï e»! » Vous êtes mai entouré, mal ctmseiUé... les flatteurs sont des enne- on les a ■vus et on les verra encore ^ tomber des hommes montés très uut. ^nnez gaidel Défieq-vous des faux usii, *- Comment les reconnaitre? , *** A ee .qu’à» £»iit flaire, à - m qu’ila Mmi Dien, raiété jeum ^ u t e L e t f d i anâii qiwlqnea-entral- fi^'àeer^ en soi quelque chose, une Torce pour se retenir. Ne sentez-vous pas en yoq» ce. quelque chose, monsieur le marquis? C’est, par-exemple, le souvenir de son père, de sa mère.» ou bien, encore le souvenir d’une pwsonne qu’on aime... ou qu’on a aimée ! En .prononçant ces derniers mots, la voix dn -comte était devenue-tremblante. Se soulevant sur son.siège, il attendit avec anxiété laréponse du [etme homme, — Oui, oui, monsieur, répondit Adrien en s’animant, vous avez .raison; j’ai gardé le souvenir de mon père, de ma mère, qui.m’a tant aimé, et je sens.que c’est une force en moi. àl. de Lasserre retomba snr son fau teuil. • — Ah! il ne pense plus.à ma fille! se dit il. Et il étouffa un soupir dans sa poi trine. Mais, toujours maitre,de lui, il reprit t Eli bien, monsieur . le marqois, c’est de cette force dont il faut vous ser- vir. Puis, changeant de ton subitement : Maintenant, monsieur le .marquis, dit-il, parlons de la chose qui. vous a a n -nez nvoi. Vous désirez m’eme prun: r \ii-:.t ou trente mille-tranes. ai monsieur, imi ien, j’a i, nne-propositisD à vous .iiiro. Laquelle, luonsieor? — Vous , possède^ m’a-dit âaioM«n> b lesis viaa set .loBnareant>axiBaainé^i ’iliB fit sal»gidre*ii» ; satesis vu : T -♦ —- Qui ont appartenu à ma mère. ~~ âavant-e^ à-^nrietm marqui ses de.VerveiBe;-jè'sais cela. Parmi cet pierreries,-il-y a une parure, d’émeraudes, d'un très -grand .prix. Cette partire,-ua ; cadeau royaL a - été donnée & la mar quise Bayinoode de Verveine par. la- reine Marie Leczinska, dont elle était dame d’honneur, en reconnaissance de services particuliers ren.dus. k lareinC).; par le .marqais-Phâippe de Verveine- — C’est vrai, monsieur. — Banquier, autrefois,. j!a i. en de . grandes rmations jusque dans les cours des empereurs .et des rois. Aulourd’hui- encore, dans certaines circonstances, les- princes s’adressent à moi. Qr, un jeuUC . prince,, héritier-futur ;.d!«a.-BtiÀ .enco-.. péen, qui est & la veille de se .marier*.- :m’a ci.argé de lui acheter, choisis par :moi, les bijoux qu’il veut mettee dans la -corbeille de sa fiancée, une fille de roi, -ï’ai vu chez nos grands bijonti^ pari- - 'sietis, Fontana et autres, ce qu^ls.ont de plus riche et de plus beau. Eh bien, mim- sieur le marquis,- tout ce qu’on m’a mon*- ' tré comme pierres- précieuses et Commé ‘bijoux, ne peut être co m ité en.beaaté., «t en travail à vos magnifiques .pierre-. :ries..Bref, l’idéu'vient de me. venir de vous'acheter vos bijoux pour! lé prince, •en question, -— Mais-c'est: impossible,-.monsieur!- «‘écris Adrien. — Pourquoi? CéjKmtJ6 Wî6Jl-6wWBteal . - r-•.Ce6'l«i•£^>■assa■itMK|«afc^ . — Non,je n’ai pas cette crainte. Vous dèvéz comnendré qu'en rèpousSant v â | tré ofie, j obéis i, uu sentiment de rps- ’ pect et de vénératipn filiale. . — AIchts , c’est .dit, vous ne voulez pas vendre vosbijoaxi — Jamais] .. . . — Soit. Je ne saurais vous blâmer, quand ce que vous faite» est bien; je -vcus-.-appiotive; au contraire, monsieur le marquis. Le désir que j’avais d’a 6 a 1èr vos joyanxpèurle prince ne nfavèn- gie pas k ee point de ne pas reconnaitrè que ces bijoux, héritage dè famélle^port tés successivement; par plusieurs-) nrer* qnises de Verveine, ont^pour, vous :nne valeur, bien a rê re m ^ eirândérable q u e , selle qu’tla 'représentent' côintne’ argent: .Voyou» donc si noos'pourrons nous en tendre d!unc autre manière. J’é vais vous prêter trente mille francs; ifs sont là, dansce tiroir; naturellement ih-mo faut unegarantie. Voua allez m’of frir une hypothèque sur une dé vos formes, un de' -vos bois et: même.èur.la généralité de vos biens. Mais, vos im,-.- meublés, je le sais, sont déjà gré'vés de lourdes hypothèques.. Je n’aime pas prcn-lro hypothèque, moi; je nè l’ai ja, mois fait; nepirêtemtmon argm t qne p.sr occasion, je demande le» garantie» nui me plaisent. Eh bien, monsieur le m ar quis, je vous prêterai trénte mille frait s 'sûr vos bijoux remis entré mm nhidhs; éll nantissements ' - ’ ' Le:jèuM d’accueillir la-'seconde. Vôtre i empêche d’accueilli écrffi-séfsrtënrusSI .biAbn- Ü 'VOUS plaira. T-T-J’eatenda-bieii, monsieur,' tia AdTien;-mais.-..maiSi.. — Bh,bièn-î: ' .--i Je;., je-ne peux pas,... “ - Je comprends votre embtôras, j .monsieur le marquis; vo» bijoux ne-sont | pas chez vonsÇ n’-est^oe pas?- . ; — Je l’âvoue, moiisiemr, -tépemdit ; ' â6îeh.en pro,iB.àm8ff*“d;troùbîe.. ; '-— lié sontaanumt-de-piéité. — Vous savez ?i'. Oui; je sais que vous I r e ' i gagés, il y èi dix. mois,, pour cinquante ’ milfe :fraiics,-le-qn»rt.à peu <prre de; leur ; valens.'ÈiBtee noire .monstearlêsnaïqniB, ; "île Sont là pour longtenqi8,'st l’ite;;ne i •vient pas à votre ' aidè.p'ore Irebhifaifè ! ' tSnna AVstA 1*ovsvix&a sortir. Sans doute, l’année d’engagement expirée, vous renouvellerez l’e n g i^ engagem; ez l’eng»„ mént'Si von» n’avez- pas, comme c’e»t .probablfvlre cûfquante miUe.'flrancs.né- ; ( ^ s q 6 ^ u r r e t i r e r l’écrin,'MaiArêan milieu dre’voa plaisir»,'vouaouldièz -ou '..ajii t j ^ iihi TwmpWr:-;lâ- fmMtètieévterê- nouvellementr-qalaiTiyera-t-ilPLe» bi- Tcniteu auxtenobèî-re^^i- tpipi.-- Èt^ipm|id!VimB^’ 'o6"iiufeijsresç*^ nu jour vous ferre^**'^]he tout le-fflOnde, éen» tirê'pwHtiiiiip1Us.uiWy'à'’'’»'0IW> i*«eifoiiw<»*»»»«wèsi I de Verveine, f . ”■ :> conwiaut' (lânà h miahr-’H I i ^ ; fi^èi^'Mnÿ'itigâôreiteW’piit^j^ii^Hit 'iébitm ir dmijquatoe-vinglaaatfesâNrire* De mon eiWéda :dé«4«wai_»Wllr-‘lWU vdttè-' rèesttthuiuaii<iè.«dlit . S T - oatEKije -m’engagerais -rimot-'réaaaltN .légalièu ■!;: ' ^ '.'-i'-'-iü:. ■-.•'i)-.! jj !. C o m iM -w 6 '6 i're (y « Ç '’iWltetiôJW : jeÆè — Oui, monsieur. - - . ru^tn , --C!eipe4B.TmpWBW?«!lfi«»i viisBt-E?U- l iQ m : t ,. -as-,.;-; • ^

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md é ré a u s é r c e rê v e avece au x ,)>^«9 d«(pftn^fce«É ne-

BÎént e M écsim «ont informési U « i* '» !* tW î* W ‘ « « a i l » * » J a n e t r a i t e > y « t * |e . 4 i » « a * . æ v v e » p e é e a ë te e W B i i l i x *B T id iiB eiie- ■leat et l»e Mil* de geceitVge-

- m e n t _ ‘ . —-IWoeeiee peton* de pé*«nrer

boaacenéil d eett* vaicaut-

' Setdài i ê S e p k m b M 1904.

Dédié t VÊcho. U u b o m m e h e o i^ u x c ’e s tM . G as-

teliant. L es é v ê o e m e n ta p re a n e u t une to u rn u re q u i sem b le in d i r a e r que M. C om bes re ç o it Je m e t dre du c a b in e td i i^ to c ia l d e l’fbA o de Grépy. J u s q u ’à p ré s e n t o n po u ­vait c ro ire q u e ^ t a b i l’in v n e e , m ais d ev an t r e m p re s s e m e u t _du-

' p résiden t d u C o n se il 'à ex a u c e r le s m oindres d é s irs d u con frè re , il n ’y a p lu s d e do u te , c ’e s t la le c tu re d u journal d e G répy q u i d ic te à M. Combes s a lig n e de co n d u ite . L a dénonciation d u C onco rda t e s t u n e question dé lica te s u r laq u e lle a u ­cun g o u v ern em en t n ’a u ra i t v o u lu se p ro n o n cer s a n s a v o ir c o n su lté la C h am b re e t m ^ e le p s^ s . L e chef d u B loc n e s’t tn b a r r a s s e p a s pour s i p e u ; p o u r lu i, la d éc is io n qu’il d o it p re n d re n ’e s t q u ’u n e ag­raire de jo u r s ; d è s l’in s ta n t q u ’il a l’approbation d u co n frè re , l’av is du P a rlem en t e t d u p eu p le e s t re ­légué a u d eu x ièm e p la n . L e Con­cordat se ra d én o n cé , n o u s p e r ­drons le p ro tec to ra t d e s C h ré tien s en O rient, d o n t la F ra n c e , de l’aveu m êm e d e ~M. D elcassé , n ’a­vait q u ’à se lo u e r , e t to u t s e ra d it. E t p u is a p rè s? A p rès I... l’œ u vre dém ocratique, com m e d it P e lle tan , se p o u rsu iv ra p a r le s v o ies les p lu s rap ides. Or, le s éco le s oon- g i^ a n is t e s é tan t fe rm ées, le s re ­lig ieux expu lsés , le C onco rdat d é ­noncé, le s ég lise s m ise s à la d isp o ­sition d u p lu s o ffran t e t d e rn ie r enchérisseu r, q u e r e s te r s - tr i l à faire ? Q im in u e r le s im p ô ts , v o te r les re tra ite s o u v riè re s? N on, v ous n’y ê tes p as , p o u r le £ to e ce la n ’e s t pas u rg en t, c e p e n d a n t - la la ïc isa ­tion é ta n t u n fa it acco m p li, la lu tte contre le so i-d is a n t cléricalism e n’au ra p lu s s a ra iso n d’ê tre , c e lu i- ci ayant é té re fou lé avec le S y lla - hus de l’a u tre cô té d e s A lpes, v ous ne voyez p a s ce q u i peste à fà ire . Les soc ia lis tes , c ro y ez -le b ien , o n t leur b esogne to u te tracée . V o u s connaissez le ra iso n n e m e n t q u e tenait u n jo u r u n a n a rc h is te , m o in s facétieux q u ’on p o u rra it p e u t-ê tr e le cro ire . « N o u s su p p r im e ro n s , « d isait-il, to u t c e q u i e x is te d a n s « notre é ta t so c ia l ac tu e l, e t q u a n d « il n’y a u ra p lu s r ien s u r la te rre , « eh b ien , n o u s , les b ra ves a n a r - * chistes..., n o u s ré ta b liro n s ce « qu’il y av a it. »

P a rta n t d e ce p rin c ip e , la re li­gion ca th o liq u e , b an m ei ^ u te r r i­toire fran ça is , s e ra rem p lacée p a r une R elig ion d fE ia t. C’e s t le reve de M. C aste llan t, d o n t l’en n em i juré e s t l e S y ilab u s , m a is q u i e s t , parait-il, re lig ieu x . M. C om bes, sachez-le b ien , fo rm e le p r o je t quoiqu’en d is e n t c e rta in s , ra d i-

( re lig io n d ’E ta t b a sé e s u r la ion e t IrJT i^a /v j^ iiç^p é& v o u sJ

co n co u rs , b ie n 'e n te n d ii , db noti é m in e n t e o n fr tre .

L aR a iso n , . , ,ô C aste llan t, e trp o ü sS ez d é s c i i a d ’a llég resse); o à n à is e r a p a s b a n a l . Ce se ift l ’ita é ^ ft>ul # 3 s à n t qu^ c ré e la R a i, M i ' l a •/’ndüèe, s a n s q u e n o u s ay(His le d roH d n d ià c t l- i t e r c e tte L oi, ce tte ; J-ttsUce. t t d,éH o rô te ra ' la VêriÉéy d is d e m e fa J e b ie n 'd u m a l, cé q u i é s t jû s te .4 à .ce | q u i e s t in ju s te . LTEtat a u ra i Sês dQ gm es,.ses c ro y an ces^ s e ô SÿUa-i b u s , e t ex co m m u n ie ra les tiq u es qui: o se ra ie n t d is c u te r lest en se ig n e m e n ts d e ' sai R elig ion,; co m m e le Bloe a ex co m m u n ié t t a - re t , Locjuxiy, d e L a n e s sa n , R ib o t,,. ofc***

C om bes d ir a :T E ta t , , c ’e s t m oili E n q u a lité d é S oq 'vérain Rdntifis dej la n o ù v e l l é . i ^ s e , i l n o u s impo-{ s e in so u C redo. N ous a u r o n s .â e s é v a n g ile s se io m Ja ttrè s , P elle tan ,: A n d ^ d es é p ltre s se lo n G astallanti (pas tro p lo n g u es , s ’il v o u s p la it, confrère). L es su s -n o m m é s for­m e ro n t le S ain t-O fdce , le s p ré fe ts s e ro n t d e s é v ^ u e s , le s s o u s -p ré - fets d e s v ic a ire s g é n é ra u x , e tc ... S a u f le s dogm es, to u t se ra rétabU .

C om bes e t C as te llan t s e ro n t co n ­te n ts , m a is le p eu p le ? L e p e u p le 1 S a so u v e ra in e té a y a n t d is p a ru avec; la lib e rté d e co n sc ien ce ; i l devra; c ro ire ce q u ’o n lu i . d ira , de cro ire .; L a re lig jo n d ’E ta t 1 V o ilà le rèvC' d e C a s te l la n t ,le p ro je t d e C om bes I C om m e chez N icoflet, d e {dus en p lu s fo rt 1

L oup B ER T R O Z .

L ’ â e c t i o n d e M . R a n c .M. Henry Maret est terrible envers-lest

radicaux gui obéissent passivement à M., Combes. Il Wépargne pasM. Banc, quiifeet. improvisé le garde du corps du défroqué,

A propos du maniStt de conseiller général,. ü écrit :

€ Ranc n’est pas, que Je sache, conseiller général I et dussé-js paredtfe dur eomaM, une roehe,je ne me sens point dhumsur à- verser des larmes sur son destin. Je suis - certain quiil aurait p u iiirs ,s fa Pe&t voulu, le* él6C>eur> qui l’ont : euvoyé au Sénat ayant aussi bien pu lui ikinneF un mandat; qu’un antre, attendu qu’ils ne le oonnals- sent aucunement, et que la plupart vont régulièrement ft la messe ; os qui prouve, soit dit en passant, la profondeur de signi- fcation du choix du suffrage utUvefsel (Rappel du 2 septembre).'

U . Henry Maret n’est pas tendre.

Les coiiiéHs mnirfâpanx des cotnumiies. edffl0Fiâ^.^isile dépMtemeat--de'la-liOTe| sont coiiTOqués pour le dimandsM»*^ stesntiHEà Heffiet^jsomraer te m cWégu^! et suppléante « vue ÿa l’étectiOn é TO eé-î f ^ u r e i t rempiacenven^'.da’ -Kè w iR ^'êtectbranilSnn 'é^^;;® ^^

■ dès conseillers généranx, des eonseiilewî tl’artomlisseineiK et des délégués munUa- paux du département de la Loire, se iw - nira au cheMien le dimanche 23-octobre- pour procéder à cette élection.

L’A m m i A î i o m i i É m i i N Ee t M . C o m b e * .

( L’Association NationalsRépublicaine» s’est attiré les foudres de 11. Combes, qu’elle a d’ailleurs tout fait pour mériter.

C’est t son Bulletin-Correspondance qu’on doit la publieatioa des statisliques exactes des dernières «lecUons e t la repro- ducVon des artioles bonapartistes et clfti- eaux du Présidant du ChmseiL

M. Combes ne le pardonne pas à c l’As­sociation Nationale R^ublieaine », qui vient enowe de signaler lès-erreurs dont fourmille la-Hste-des eenaefllers généraux parue dans VOffleisl.

Oans-unaecès-de: dépit brayant, il a dit à Auxeire :

< Silesjoumauxprogressistes,rento*tés de leur premier desappointeroeut-àigrand renfort d^uiace'par uue asseiciation soi- disant nidionsle répubUiHda*«t,{d«»«iae-

M. Combes a oubüé.t

l’Assodbt*oi|1* Qtrà a Nationale Rc

iessmsUeménlUHraJsh(ill «-------------------ioimne modéné, te

ir Qm a iIm : rsRiF '

ih 'ttks '* üHesdnewa —et l»o««ètàllsln è«dé(l»ndnla n •tlaLilweté. . - t

KL Hws'ieauRovviw; ministre de» fl ; nanoes et anciem .Prtidd^-deei’Atsoaitt ;

’ Uon, Nationale Rirn^difiaim v^ P'mwe» » c a s .é c jt^ ^ M. Cqmbes, i

AssaeiatiônNtttionaim SépabH e^nei

iu,M.vu9..«.«v.vv.«, — ieffet d — —~ — puté en remplacement.de U. Isambart, dé-oédd _

â T i r a s ® ^

. lies, réfortnea de Saint4!yr’D n F ig à m i

. Notre confrère le Temps, dans spn nn-i méro d’h ^ , a-pris.trèp an sérieuj les fan-i 'taisiesde divers journaux sur les réformes;' projetées’'à ’ PEcole spéciale militaire delV D’a p o d e s renseignements pnisés anxi imeilleurea sources, ces réCtrmespKqcdéesi .'étaient ardemment- désirées de tons.^ef 1 elles ont été en partie esquissées dans les: ‘lettres d’un SaintCyiien parues , dans le- ; Temps ini-mfiiPë, il y à quelques mou. . •. . If s'agit simplement de fure concourir : i les ■frotesseors de J ’Universitéd l’éduca-; Ition des futurs- ofteierB. ce dent on ne> pourra que se réjouit. J

• C’est sons leurs auspices que serontl .complétéesles bibliotbèqnes-.deiiuartierdeil’Ecele : nous relevons dans ces dernières i les noms de Pasteur, Boutroux, Bertnelot,| Bonrdean, Tarde, Ribot, Fouillée,Fagot, Pé-i eaut,-^Ules,-etc.:

On voit de quelles garantlee sera- enton- rée^'la'.formadeoi morale::.de cette jeu-i nesse.

Quant à 'l ’instruction, militaire, elle nés sera nullement en souffrance et elle rece-

^vre une portémmoins théorique- grâcèé la répartition plus, judiciease du temps em-

« i » ® » . ™ tout le monde i^ u t se ; réjouir de ce projet qui n’a rien depolm-.

• qué et qui est appels a-n contraire à plàure : infiniment aux élèves eux-mêmes pms-: qu’il est destiné à les rehausser à lenrst propres yeux en leur donnant des aothm plns.exaotes sur la.viequfftsaont- aiqielés a mener an sortir de damUlyr.

La F n a e » et le VaUeo*De Rome à la RépVbUque Frafl-

(aise:Le Oiomate d’italta a Interviewé dent

Sersonnes de l’entourage du pape à prepqs u bmit-d» te-nominadon dUmudstra-

teurs apostoliques à WjMWtàinvrf.^l A* rsAssa/tsanmoCM {ntepndMMft.Mit nAlUAS»

- An Càrinei te la ÿ q l De LovalauJIaffn :

. Jendbmatte, su» descente aété lu rOuwel de:lAtah i*-^|«ttmeMir dee L

atW ponrlwti tféjûtabttv maq ie C^ihel- n’a-pas oesiéi éTèi tld une congrégiÿiaai reUpenset ‘mai

0fl^pQi00B9tftt^<lU6.l68SséUtes ébÿwt l ^ n e s de leurqvétèmen^^reUmenz, m una gcimeu Mmq

u eiaieiit'eif'.ttone dé rilte: ; i jp itib rèw document» tmpor»

pèiBraÜeHCOBKCtioaiHlles. A é rid e à t^ trà m V ra y i l A ^ g i i d e |B e L a B ^ d e -d e Jd az e n d aa > e fii^ < » i I* t t a m m d e UontéUmù i a

: & an^er(M '^^'an^((éffllbB dn^tidteau :oàéw én« 'ree«dasaD i*st. . > - ’ i

' • ^ a aéS L teey er." '.«.^...jn» remacttms. contu^ns stmtlégi

res.Les juilis . an Japon

Du.Aiippef:tokiô, 8 septembré. — Quid qu’en gsent

certains sociologaes e g ro ^ n s très disUn'i ' - -'^---un seul bomme derace

iIMurtienne au cdlta de

peut pasntstration d’un dlo^se, tout ce

-qnirw trde l’adminitsranon ■ des. .doit èbre soumis à l'Etat en vertu du doit*;

le VatiCMi sait trq’eu envoyant Is ta teus apostoUqnes, U viole­

rait lè Concordat. Reladyementnux sept

recântS’ lejs^annût^^^^ derdes pouvoirs provisoires aux

épiscopaux ;

a r^n is lètexte des propositiiHw qui set 'lont soumises aux fnscrRi. ' - '

H. Péniasata aussitôt informé les inscrits ;de:cettedé^oa:et aneêuttevoeehbè ces derniersiBt IL Nemesker aura ttnm tjonr-

i;dünibmê)Dia: ’A.aamlieqm, Inpcéfst a reçu une

gatiôn des dockers.

.AiSstique tout" récemmentdressée parle» antMitéSa établi q u ^d a^ re m i^ % H ik a d o ltn ’y a qnelOO famiH les jmres, et ce sont tontes des famiiles . . . . innt.venues pour la plut

_ , -j,de RalestUie et de rBu*ropéot^dêntâlm Les jnffidu Japon n’i

lœ inqironewdle œinmiiiânté religlâisméelle

port, a épousé une Japonaise qui r « t «en« vertie au judrisme. Il vient de mourir et sa veuve lui a b it bigor une n i t « e t « ^ hdreavecune inscription bébraiqne. C.est la promièie qu’on eu, vdiead Japon.

j X .S M 9

A .MarseilleMarseille, 9 septembre. — PConssomme»;

aujourd’linf au dix-huitième jou r de la . grève. Malheureusement, les ponrpmrler» ^q a id n teu 'iieu pour mettre un tmrmeau oonlIH soulevé emm-ies inscrits mantimesi et les armateurs d’une part et les entrepre. neurs et dockers dbutre.part, n’ont, pa». abouti à cause des iàflnences qui se sont éX6fC^>

Les parties en cause se trouvent exacte- mentdans la mbne sitnalioa qa.au pre-- mierjour. - , ^

Les insôrits avident accepté quatre con- éfftions du tarif que les armateurs impo- stuent' non sans raison : en même tenÿM, 1— A stmm' ibAwettaes* rire

câient tolem enfan désastreux systèiaie de fil mtsTéi l’index. Par contre, fis deman­daient la Ttetementadon du tnvim é'bort, mai» les armalénrS n’ont pas voulu accéder: i cette demande. , i

La grève des entroReneurs decamton- nage!neid être ccmsUérée oosqmetenn^ née ; u p fu n ^ des- ramées écurieaont Ouvert ce maen letirsjportas.

A la strite de la d é ^ n inise m M; Tronillot, ministre du commrece, M. Des-: -trem, sous-directeur au-ministère Mt aiTi-- ve ce matin de Paris: il est id n a^ de feber une enquête sur les grieb'formulés par: lesC onm nio t èt .les dackers et ttoveil-; 1er sur laobiBpléte exéeuthmdo caUecdec

Le transport c Wldn-Long », venant diô-: ■leui est arrivé ce mafin, avec. W ps gers, les dépêrees et les colis t a n x .I l.«s eaireifiiee- HaneHIe,' 9 eepteinbre. — Vendredi ma-i tin, H. Nemesker, agent g é n ^ l delaOom.^

-pagnie.transatlanüque, a e a une nonvell*' .entrevue avec M- Pén^saU a ta i td s t t^ '

d ' ‘

r-déi8 — .— est en;Moukden; avec tout

’eit

LrisMuéllsncomme l’annoncent lés dé

___________son état-màjor, tandis qné8aa.Àmée. s’b^ fumée, en. demi,cercle : a u ,Sud de cétte Nacè. - ■

De lebr côté; les Japonris ont pris ains leurs.dispQsidons;: l’armée dudmiéral Ku '

; rek iàj^g t'k ilom èàia & fre t doKonkden celTe dulenérdt râtu à ' la mêdie distance i Pouesi; Jn> Mies, attendentia ttcdriémé ar "■^M.KO^ne- ■ . . .

^ p r è S ce vr i r in a ^ o M

h e l l^ S â î^ q d o ^ ^ r e n m n îS ’ .im te . le ralenGssement de la marche de Enrok. dans la nécessité d’opérer la concentration de ses .trois corps d ’armée.

Lé général Eonropatkine ne recherchwa pas. évidemment la bataille : néanmoins, sespréeaotions sont p rim pour réiOder à une attaque des forces nipponnes. , ,

’ n ramarqueradaditfimiité avec laquelle , Jmonaislnésitwt à mentionim les poM

K» quils éprouvèrent à la bataille de -uao« Yang. AMès des tâtannements, Us se. re^ coni*jssent30J)00tnés ou blessés. Or, com­me c’est là le chlffire des .pertes russesat

' Uus.dansdesiretran- lieu- d’esttmer qae,!

y entanmrinal .àfiQJlDOlenomr

„ - de: combat, non»ne sermis.pas kün de compte:'dés télégrammes reçus de Port-.àrfiuir'.

nousciqmorteat Phearense nouvelle de ..màvesjécnecssabis par les Japonais: dont; Tes Russes font de véritaUes hécatombes.) :ü noms apprennent , égalemmit que de» nmnitiopses^idxres^paurent être inti»-, doits dans la place à la barbe- des asrié-, géants dont R »;pu9 èét»es de succès! se trouvent.'ainàfringaUiâreinent nuées.

:8«vsBir. ia ,i’’,.M»is snw a ''p S S S S m ê s tm t 'i■m

Cll0 V» remin»—*- ■ ■ ■ »—_ ^ -------------------—

u q i5 3 l( |» w t| âXiKM9i^l

iier^ léinwcHidKre,: }»épéiiént deOian-- ienffel réglcdt les dermen»:dtlaM*4àaJla

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JéV'cvxlt ttO'WWTfw ....... u wm-fi&àduStdivikiiiK. dmcMaliiwstSisq— afs du.8* l«teUonde,jr'“ “ -“

üHkpomit&ls. serait, emè

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d» l&r premère

d’observer Méritoea. : . .Coufosmémeuv* çesjH»poritton»».Ja ç -

vi8ion.de..cA'reterie;.lan0K eÿ.üfwgt du flâne droii de. L’a

I la le cniiire-.uH: q.«eéoax-ci se sont battus.i

.^ew eres, H y a tout '

nnéjsûréntte asne.upa im , Dariièrê: la..osi

ncaiS'Oeiude desait. de.

. La princesse Louise de Cobourg et : tenant cdnde Mattacbich sont instellés. à 'Paris, à quatre mmntes déPOpéra,, assnreHenri d ^ w s a n n e .

que le. comte Mattachicti, ont s’entendre avec la iwince88e ,8nr,la façon dont on■ponridit s’éloigner d'fflster. __

La, pcincesse q o i^ 1 hôtel àaeux- neurw «tdemifidninaua»inonta en TOitare,,et,

Elle oommandualoys. m x automobiles poùT.fidw 5m pçomeniÿe etr p g ia Bem-

elle airtvrit S Berlin ëflJe_ y , Snd^nm puté sodafiste lui douM l’IpSpitffl»

Après qnatre.jojtf» de «djouy 6 m cette; TiUe,;el» rf iS u t 6 serepdivàPwiÿ:, J

E lie -g a g n a m M ^ r im e n antPii^M e^

.tn t tew è pat » . de jtoossanne.

t » f M d e i m à ü f é t i n ^ 8 ^

Le chUtre tottf dp réMeutw* Jee te p ét^ ' to®Miélf-eÿ-TOii6ïiôi6B de pesr.^iQ

t90è^:«éèb-à^tti»e«WM«ei -aMiS9W30ff».eeenaaB»gaiarimne i og re i

: S « H b 6 d ^ t i ^ e ^ M a u M ^ t i o ^ ^

:^^xcéden t total daa npitywmi^ J ff l^ de Pexesrice. cenzant-jaei tronve:< a 113,418,000 «r. par rapport aux évtfaatiW!

' bojgétaire'étà P^*W klap S d O d eieo n e^d an tad elIN n , i

u^'teuirS'çdXi; irltiiTL--------Allemsnda d’o gaqiser for-eme pstion de cette im,.ortanle cité.

nais.ance n . le m a ^ ^ 'M ^ é » j u a ÿ ^ bois de aéniêPïè,^ aVefl'Hflf^sU la pré- eeans to n e .qsina» itt9i,dq:.inwteiJ»oggaes,Maiüeuffali p;W «nMéeplterAo.i49:'' —intion' des troupes ITançair-"

:-nmrs. a r m M d f t ^IsbsienneéfU Mhèire;.»a..àit! .taiUeaiir.laligM dé)^8e. ...g:,

-eonduts d^trépagny et ae-Oasee.

jneni dû géh<Spai Faire- e t i^an ^ .d ly ô ÿ i Jfireht de^ prcâleiir décidé du ,eO(*t .d^&^ei|r -cette baaT uau.'îtT jiülVlei-, T -™ rait s la conccntr-ilon des lorred ses s’éiaitqpéree.avec le’MéuéitàiTiuîis'L- ayec le gMéral.Rriand.' Oa. ottiMlr.jiu creâre, 'mié, poàr-ùivant' sa yiè-i^irei. en s’appuyant sur'AnsîBnS et t.ny; l a f e , .tombés en.son pouvoir, O.cheKfibraittirat d’abord a s aseurèr >a posseasipn.' dh. la hgne ce lâ Somme, eü M -dung^itUM îiifonne,.qoi'én egt la c é.A U reçu des rapports relalstit J a dep .,Fi ançiu», , l |^ te B f lé l ,^ ^ 'r tp &anxjgiailruO'iQns r-SMe à S ^ fo q s jJ dmt' de ponreiùvïe .iBM mouV)f R q u e m , liy AladxratembfMte

^ M ' e ï T l f f r e a ^ M rRoILh^ j

raL tosud r uiS(6> entdMO]Mt de d ^ g e r 1 ^ 5 )6 du. yod

. jféiîigelte, M ^ meçveiuBuse *»g^TOMwsphôti a

bür sur la r o u t e d AmiansA Pou:^ »airtjie»tete»,d(^)soi!«¥!ft‘ au a r corps,deiAWM«tf

rsn ff lâ iiïf i iM ia a f iii i^ T K rRouen, et enfin d’asaaret-.pln» psrticaliè- rement lK<j6ciMM. do«:«UDmn de ts t

ïbu litos np COORBISB DEMQISR (31)

L ’ I D I O T Eeau

EMILE RICHEBOURQ

I s * E N N B M I

— Kon, monsieur; je sens dans vos (uoles l’iutérèt que voulez bien me Jimoigner, et si dure» qu’elles soient, je «8 écoute avec déférence...

C’est bien. D’ailleurs, je suis un Jàeillard : on peut tout entendre d'un boDunqyle mon âge. Voyons, pri^terez- toas de mes conseils? '

— Je t&cberai, monsieur.— C’est déjÀquelqne chose. Monsieui

h marquis, vous connaissez ce provmrbe ; < Dis-moi qui tu hantes, je te dirai qui *ï e»! » Vous êtes mai entouré, mal ctmseiUé... les flatteurs sont des enne-

on les a ■vus et on les verra encore ^ tomber des hommes montés très uut.

^nnez gaidel Défieq-vous des faux usii,*- Comment les reconnaitre?

, *** A ee .qu’à» £»iit flaire, à -m qu’ila Mmi Dien, ra ié té jeum

^ u t e L e t f d i anâii qiwlqnea-entral- ‘ f i ^ ' à e e r ^

en soi quelque chose, une Torce pour se retenir. Ne sentez-vous pas en yoq» ce . quelque chose, monsieur le marquis? C’est, par-exemple, le souvenir de son père, de sa mère.» ou bien, encore le souvenir d’une pwsonne qu’on aime... ou qu’on a aimée !

En .prononçant ces derniers mots, la voix dn -comte était devenue-tremblante. Se soulevant sur son.siège, il attendit avec anxiété laréponse du [etme homme,

— Oui, oui, monsieur, répondit Adrien en s’animant, vous avez .raison; j’ai gardé le souvenir de mon père, de ma mère, qui.m’a tant aimé, et je sens.que c’est une force en moi.

àl. de Lasserre retomba snr son fau­teuil. •

— Ah! il ne pense plus.à ma fille! sedit il.

Et il étouffa un soupir dans sa poi­trine.

Mais, toujours maitre,de lui, il reprit t— Eli bien, monsieur . le marqois,

c’est de cette force dont il faut vous ser- vir.

Puis, changeant de ton subitement :— Maintenant, monsieur le .marquis,

dit-il, parlons de la chose qui. vous a a n -nez nvoi. Vous désirez m’eme prun: r \ii-:.t ou trente mille-tranes.

ai monsieur, imi ien, j’a i , nne-propositisD à

vous .iiiro.— Laquelle, luonsieor?

— Vous , possède^ m’a-d it âaioM«n> b lesis viaa set .loBnareant>axiBaainé^i

’iliB f i t sal»gidre*ii»; s a t e s i s vu

: T -♦

—- Qui ont appartenu à ma mère.~~ â a v a n t - e ^ à -^n rie tm marqui­

ses de.VerveiBe;-jè'sais cela. Parmi cet pierreries,-il-y a une parure, d’émeraudes, d'un très -grand .prix. Cette partire,-ua ; cadeau royaL a - été donnée & la mar­quise Bayinoode de Verveine par. la- reine Marie Leczinska, dont elle était dame d’honneur, en reconnaissance de services particuliers ren.dus. k lareinC).; par le .marqais-Phâippe de Verveine-

— C’est vrai, monsieur.— Banquier, autrefois,. j ! a i . en de .

grandes rmations jusque dans les cours des empereurs .et des rois. Aulourd’hui- encore, dans certaines circonstances, les- princes s’adressent à moi. Qr, un jeuUC . prince,, héritier-futur ;.d!«a.-BtiÀ .enco-.. péen, qui est & la veille de se . marier*.- :m’a ci.argé de lui acheter, choisis par :moi, les bijoux qu’il veut mettee dans la -corbeille de sa fiancée, une fille de roi, -ï’ai vu chez nos grands b ijo n ti^ pari- - 'sietis, Fontana et autres, ce qu^ls.ont de plus riche et de plus beau. Eh bien, mim- sieur le marquis,- tout ce qu’on m’a mon*- ' tré comme pierres- précieuses et Commé ‘bijoux, ne peut être c o m ité en.beaaté.,« t en travail à vos magnifiques .pierre-. :ries..Bref, l’idéu'vient de me. venir de vous'acheter vos bijoux pour! lé prince, •en question,

-— Mais-c'est: impossible,-.monsieur!- « ‘écris Adrien.

— Pourquoi?CéjKmtJ6 W î6Jl-6w W B teal . -

r-•.C e6 'l« i•£^>■ assa■ itM K |«afc^ .

— Non, j e n’ai pas cette crainte. Vous dèvéz comnendré qu'en rèpousSant v â | tré ofie, j obéis i, uu sentiment de rps- ’ pect et de vénératipn filiale.. — AIchts, c’est .dit, vous ne voulez pas vendre vosbijoaxi

— Jamais] .. . .— Soit. Je ne saurais vous blâmer,

quand ce que vous faite» est bien; je -vcus-.-appiotive; au contraire, monsieur le marquis. Le désir que j ’avais d’a 6 a 1èr vos joyanxpèurle prince ne nfavèn- gie pas k ee point de ne pas reconnaitrè que ces bijoux, héritage dè famélle^port tés successivement; par plusieurs-) nrer* qnises de Verveine, ont^pour, vous :nne valeur, bien a r ê r e m ^ eirândérable q u e , selle qu’tla 'représentent' côintne’ argent: .Voyou» donc si noos'pourrons nous en­tendre d!unc autre manière.

J’é vais vous prêter trente mille francs; ifs sont là, dansce tiroir; naturellement ih-mo faut unegarantie. Voua allez m’of­frir une hypothèque sur une dé vos formes, un de' -vos bois et: même.èur.la généralité de vos biens. Mais, vos im,-.- meublés, je le sais, sont déjà gré'vés de lourdes hypothèques.. Je n’aime pas prcn-lro hypothèque, moi; je nè l’ai ja, mois fait; nepirêtemtmon argm t qne p.sr occasion, je demande le» garantie» nui me plaisent. Eh bien, monsieur le m ar­quis, je vous prêterai trénte mille frait s

'sû r vos bijoux remis entré mm nhidhs; éll nantissements ' - ’ '

Le:jèuM

d’accueillir la-'seconde. Vôtre iempêche d’accueilli écrffi-séfsrtënrusSI

.biAbn-Ü 'VOUS plaira.

T-T-J’eatenda-bieii, monsieur,' tia AdTien;-mais.-..maiSi..

— Bh,bièn-î:' .--i Je;., je-ne peux pas,...

“ - Je comprends votre embtôras, j .monsieur le marquis; vo» bijoux ne-sont | pas chez vonsÇ n’-est^oe pas?- . ;

— Je l’âvoue, moiisiemr, -tépemdit ;' â6 îeh .e n pro,iB.àm8ff*“d;troùbîe..; '-— lié sontaanumt-de-piéité.

— Vous savez ?i'.Oui; je sais que vous I r e ' i

gagés, il y èi dix. mois,, pour cinquante ’ m ilfe :fraiics,-le-qn»rt.à p e u <prre de; leur ; valens.'ÈiBtee noire .m onstearlêsnaïqniB , ;

" île Sont là p o u r longtenqi8, ' s t l’ite;;ne i •vient p as à votre ' aidè.p'ore Irebhifaifè !— ' tSnna AVstA 1*ovsvix&asortir. Sans doute, l’année d’engagement expirée, vous renouvellerez l’e n g i ^

engagem; ez l’eng»„

mént'Si von» n’avez- pas, comme c’e»t .probablfvlre cûfquante miUe.'flrancs.né- ; ( ^ s q 6 ^ u r r e t i r e r l’écrin,'MaiArêan milieu d re ’voa plaisir»,'vouaouldièz -ou '..ajiii t j ^ iihi TwmpWr:-;lâ- fmMtètieévterê- nouvellementr-qalaiTiyera-t-ilPLe» bi-

Tcniteu auxtenobèî-re^^i- tpipi.-- Èt^ipm|id!VimB^’'o6"iiufeijsresç*^ nu jour vous ferre^**'^]he tout le-fflOnde, ’ éen» tirê'pwHtiiiiip1Us.uiWy'à'’'’»'0IW> i*«eifoiiw<»*»»»«wèsi I de Verveine, f . ” ■:>

conw iaut' (lânà h miahr-’H I i ^ ; fi^èi^'M nÿ'itigâôreiteW ’piit^ j^ii^H it

'iébitm ir dmijquatoe-vinglaaatfesâNrire*De mon eiWéda :dé«4«wai_»Wllr-‘lWU vdttè-' rèesttthuiuaii<iè.«dlit

. S T ’ -oatEKije -m’engagera is -rimot-'réaaaltN

.légalièu ■ !;: ' '.'-i'-'-iü:. ■ -.•'i)-.! jj!. C om iM -w 6'6i're(y«Ç '’iWltetiôJW

: jeÆ è

— Oui, monsieur. - - . ru tn, --C !e ip e4 B .T m p W B W ?« !lf i« » i viisBt-E?U- l

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‘-r svTÇ-

fadiei de la

■laias m l« n u u 4 H i U B atike . Le

tfam straov iy b e iira , et taiitatioii tpMaMg

« to u .Tmid le

léràee do Si oaTérte ft

é t é l |la a lc a le « MareM 4% U m re c SepUmSn l f ^matu. rte le td e in s i t '

rausast p u ju tes et éqgita))l«. a taon ie ^!un d

-€• tfl i sei^â^'tflse’stn^h^ iE

La SoM té miuieale de Senlts sa réo Dira en assemblée générale des honoraires et ez^ep u ^ , Anunone pro ebain 4 4 septembre, 4 ime h éuê et démié, en la grande salle de rHétel de Yille.

les leor imposer Néanmoins, le rappotteor, admettant le

piskeipeda^ii^Tdtiesdés konblonsao poids net, propose d’émettre on tcbo conforme à ceioi de ia L'goe.des brasseors de France.

i r

sm «es BOSmos et. son ordie dem aidie “ I trahir qaeieae précipitation. Ses

Pots, Fomterie «tFwgaa. Le décem­bre, te miartier général est à Conte, où se t ro u e le 1 ' corps, tandimiue le vlll* à Poix, et la 4'brigede a’inf>nterie formantifargsnBha 0 -l te g i^ .-L a 2 decem m e,^

w â r ^ ^ ^ / ^ S T c e l t e praition d u t^ M b l peut également se porter sur Ronettv^lteaB'veis et sur Pans. A cette d i ^ mieax ' r e n s e ^ ^ que

télés de colonnes sont sur l’Epte, à Foiges ' ~ tson quariier généiaf à

------aimae et lalorm.e.en.naieiLe,i'etablusaiB dans les poiiUmis suivsntestaraUe droites KbS(iet4^g--ym*'àdtpt:{gMSt^ -Sfonder^ImniiyrgTirtârdiar m' itinmd—titt lirrt Skanesea.

n^naanei-* Estla g«n- bk te^ teëaab H h i),*

" ^g^éral_ _ _ _ , _ ervé. estAIlteMiinTinT)«it àssezancourt. ^

CtBBtâ sIteesm éengiai tonnéej ^ , d a n é flbptfli,''a procédé a>ec

beadéôàp 'ile‘'précîntiOn, qui dévâit se ’liàfiriér inasE'-àroapes'frtmçaiaes.'coacen

M P N i ^ i M I t i p s. iTisagesWsaeptemlwe 1994.

O bügM tm t’ilatmèret'SÛO fi- . 3 -010 l 8Jÿ. L»nâiÉM tee.éé7 ge«ne 100.000 £r.'Lé ltekitf97«;iil!7- gMhelOO.OU» ft:

737:3«7'g^e'æi000 fr. "âss '-‘2 -iimmérte edrnnts 030.099 ld )8 F ^ t e p e é t dtiaeéii Ki.OOO tr.

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b.poorr.F u îE E t SQ0 'jr.-eti(X )J^^^ 60 010 1885,

116' tirage.Le numéro 182.726 gagne 100.000 Dr. LVhmidero'mébl gagne 25.000 Dr.

r LééO'nuinteos snivanis gognent cUacon 5.00» tr. : 219i838 — 526.'^ — 722.199 828.188'—980.799 — 987.095.Viïia..4«, P aris. — Emprunt 1898 .

■ S4 ''Urttge. — 5Le‘numeio 545.714jjagne 100.000 ir.

, Lé humérp'595:905 gagne 50.000 ir.Leÿ é niimarba eiuViuits gagnent cnacun

iO.OW ir.i ; 71.272 - 74.9æ — 300.614 —

' ’lm r'i'^âdérossu iite ikngnen t cbâenn ' 6 .000*. :" 4T.978 ‘— 120.030 - 408.391 -

547.316.

C O O m U E ^ M C H Â S S E

Fatdris et Pardreanz.' Un cfaasaeur doit savoir recoanaitre, lorsqu’il Féluee, une pet dnz d’un perdreau dePannèe.' cm » ést indispenaable pour qu’il puisse indiqutedrla mÀiagére si elle dmt laire rétir le gibier on l’aceoimnoderaux eboax, aux oignona ou à la parée de lentilles — ee dernier mets, peu connu dans noire région, est paralk-il délicieux. .

u r, beaucoup de ctiasseurs savent re-- connaître le perdreau lorsqu'il est senai-

^blement plus peiii, presque pooiUard, m ais à l’époque où sa taille le rapproche sensiblemeni de celle de ses père et mère, ils s’y trompant.

Il nous a para utile, en temps d’ouver­ture de chasse, de prémunir nos lecteurs contre dés erreurs (unesies à leurs palais dé Ans gourmets.

Une jeune perdrix se reconnaii d’une vieille é'ce que, chez la première, la der­nière plume de l’aiie se (ermine en pointe,

’ couleur des pattes qui sont jaunes ou gris dair. v

' La'vieillsperdrix, au contraire, a l ’ex- , irteoité des piumes des ailes arrondie, les

pattes (Ftm gris foncé.Léméie porte sur la poitriùe une large

' taéhe marron en forme de-fer é cheval.' Làpojile n’a qu’une petite tache de même ' cémenr èt au méme endioit; cependant, si elle est tiès vieille, elle présente égale

' mént le far à cheval.La conformation dés ailes est un point

généialemènt i^ o ré des chasseurs, et 'ÿest la caraidenstique la plus certaine, .lorsque l’on arrive a rarrièie-aaison. En

' effet, l’extrémité des plumes de l'aile ne s’alTondit qh’é l’époque où la perdrix com­mence à'reproduire,vesi-é-dire vers l'âge d’tia an. ______ ■

N eu n jp d m u i MM. les Chissenn qu’os eesTeot se proeorer dans nos bn- reanxoes Demandes de Fetmis de Chasse

' impriméès snr papier timbré. Le ceilt - .ét'tew dwaande est de 0,75 «ntîmaa.

i'

«OCVeiPT ADfflINISTRATIfl e Joitmal officiel apnblié JendimatiBla

moBveméatadministratif suivant : iM. Roger, préfet du Doubsi est nommé

^MéteÉdrl8-LoiIe-lB£érleare, eh remplace­ment de M. Hélitas. 1

M. loJly,fc^feykJIamé:et-X4)ire est nommé'pfétefTOS SlpesTHaritimés,en rem­placement de M.jfivapel.

M. Cassagneau, préfet de la Corse,.^st ndnkné .préfet de la Eaaté-ViénBé,.en.i%i- plàééménideM. Honmi.' ' lft-liiBriApféfet'.de' PAseyroâ, e s t hém- mé préfet de Maine-et-Loire, en remplace­ment de M. de loly.

• M. GodefroyçjéefBtde-rYonne, est nom- mé_préfet du Doubs, en remplacement dé H'.Rogèr. I

M. Màringer, préfet de la Haute-Saôhe, est no'mmeprérét du.Calvados, en rempla­cement de M. Biet, décédé. I

M.' Marcel Delanneÿ, préiét de ■ la Sarthe,’ est nonimé préfet de la Corse, en remplâ- ceméttt de M. Cassagneau. . '

M. Harraud, préfet.derAndé, est nominé prétet de la Manche, en rémpiàcement de M. té'm. , ■ , ,

M. Dârdenhe, préfet de l’Ain, est nommé

M. Pommeray, préfet de nommé préfet du ~

A T B À Y E R S L A P È E S S E

t tœ e u p m .Du Moniteur de l'Oiee :

i. -: d<es radicaux qui ont ch<dsi pour chef U . le député Baudon font des gentillesses

■ aux socialistes qusnd ils ont besom de l’appoint de leurs votes pour s’assurer une Buqorité.

Mais quan 1 les socialistes, las d’éire dh- - pés, pratandeat ne pas donner leur appui pour rien e t réclament une place é la table et leur part du gâteau, électoral, change­ment âvuel

Ils sont conspués, ce sont des faux- frères, il neteut pas les prendre au sé­rieux! On.i’a bien vu lors des récentes élections au Conseil général et au Conseil d’arrondissement.

Aussi cemmencent-ils, è leur tour, â ne■ plus prendre ou sérieux les radicaux, et ils ne se gênent pas pour dire leur fait â ces c bourgeois > qui les bernent.

Un arhcie du TrwiaiUeur, organe offi- del du parti de la révolution sociale dans FOise, noube ferme ces prétendus oémo- mntes. L’auteur écrit par exemple: .

< Dans la ville même de Creil, où règne c en maitré le ihroucbe anticlérical qui

' < pérore sur lespiacés publiques en louan- X géant M. Combes et aittiret fàreeun du e même cru... » ■ '

Antres âircenrndu même cru!Qu’en pense M. Baudon, l’ami et l’admi

rateur de M. Combesf S:'. PCut, ce nous semble, dans cette ai- mabiarqualifléatton, en prendre pour son grade!

têEmattt dmm avureo. - Coquilles. - Nul jurs^v Jiélasi nen «st'exemnt.•On' n t dans One ieoilie parisienne du soir, un

reaitMUabte -aruéle snr la nourrice présonip* qu’attend de tous ses vœux

iqtaiie-r Lüv rature fonctiousaire est copieuse* Bénit'^écnté : gorge magnifique, nuque, épau*

q«i -fleiccent m santé. JSous sommes ren- « M îc n é sa u ss iw le mari, dont Tétai n’est pas *infflï4ièBtr'OTiOT connatssons.d’aTance l’uni*. -’faéBa fén tté **!•' nourrice rofsU : tm e ie t

f ic i^ ju p e courte.. •TabiMr <ta eaotUIcs flnos. On' noue asr^—'*

i92'’fsijj*s'. at w r ^ - -im ptias: < Ingéc, ^--------

Srefet de Loir-et-Cher, en-remplacement éM.Heim.M. ^ d i n de Limière, préfét des Pyré-

néeS'Orientales, est nommé préfet /Se' l’Orne.'én remplacement de M; Moussàrd.

M. Habert, préfet dti Gers est nommé préfet de la Meuse, en remplacement de M. Bnissen.

M. Ramonet, préfet du Cantal, est nom­mé préfet de FAude, en remplacement de M. Marraud.

la Lozère, est Gers, en remplacement

de M. Habert.M. Lambrodie, préfet des Basses-Alpes,

est nommé préfet de la Sarthe en rempla-' cernent de M. Delanney.

H. Fleury, administrateur du territoire dé Beliort, est nommé préfet des Pyrénéc^ Orientales, en iemplacement de M. Fradin de Linière. i

M. Peyre, sous-préfet de Contances, est nommé préfet de l’Yonne, en remplace­ment de M. Godefroy.. M. Ramondou, sous-préfet de 'Vienne, est

nommé préfet des: Ardeanes, en remplace­ment de M. Martin-FeuHlée. i

M. Gélinet, sous-préfet de Bézièrs, est nommé préfet dUiCantal, en remplacement de M. Ramonet. :

Mi Lallemand, sous-préfet d’Alais, est nommé' inéfet de la Lmère, en remplace­ment de M. Pommeray. !

M.MiUeteaa,soas-prefet de Yalencieiines, est nommé préfet de la Hante-Saône, en> remplacement de M. Maringer. - >’ M. Rocault, sons-préfetde Riom,est nom­mé préfet de l’Aveyron, en remplacement de M, Marie.

M. Just, sous-préfet de Montlnçon, est nommé préfet de l’Ain, en remplacement-’- de M. Dàrdenne. , •

M. Allard, sous-préfet de Douai, est nom­mé préfet des Vosges, en remplacement de M. lallon.

M. Bernard, directeur du cabinet du pré­fet de ia Seine, est nommé préfet des Bas­ses-Alpes.

M. Calmés, sous-préfet de Libourne, est nommé administrateur du territoire de Beifort, en remplacement de M. Fleury.

M.Droz, secrétaire général des'Alpes-Ma- ritimes, est nommé préfet des Basses-Al­pes, en ramplacement de H. Bernard, mis en disponibilité, surea demande, et main­tenu à la direction du cabinet du préfet de

, la Seine. ■ ,Suit une liste de sotù-préfets et de se­

crétaires généraux comprenant prés de cent noms.

Les préfets appelés â d’antres foncdoni sont:

M. Hélitas. préfet de la Loire-Inférieure, qui sera nommé cOnSélller d’Etât en rem- ^ m m e n t de M. Berger, admis à la re-'

Quatre préfets passent dans l’admiids- tration des finances.

MM. Granet, préfet des Alpes-Maritimes :- Buisson, préfetdela Meuse, et Lem, préfet de la Manche, sont nommés trésoriers- payeurs généraux.i M. Honssard,préfet de i’Orne,est nommé percepteur à Dijon. ■' M. Martin-Femllée, préfet des Antennes,: est nommé directeur du Mont-de-Piété de Paris, en remplacement de M.Dnval,admis à la retraite.

M. Edgar Monteil, préfet de la Haute- Vienne, est nommé directeur de l ’Asile de 'Villejuif.

M. Marty, secrétaire général ponr la por lice du Ruone,'va être nommécommissmre du gouvernement auprès de l’établissement thermal de Vichy. ;

P£LEBINS FRAEÇAIS AROMELaa exhoitatlona du Souverain Pontife

Rome, 8 septembre, — le pape a reçu, à cinq heures et demie, jeudi après-midi, dans ia salie des Béatifications, f,600 pèle­rins français,' portant sept drapeaux.

Aussitôt le râpe monte sur Te trône, les pèlerins ont chanté l’hymne dé l'étendard de Jeanne d’Arc. Ensuite, l’arcbevèque do Toulouse a prononcé un discours, auquel té pape a répondu en Italien, remerciant et félicitant les pèlerins d’être venus si nom­breux vénérer les tombeaux des apôtres. Il a dit qu’il était heuranx des témoigoages d'amour des catholiques français. Il a rap­pelé que la France ne fut jamais si glo­rieuse que quand elle combattit sous les drapeaux de l’Eglise, méritant le titre de « Fuie ainée de l’Eglise ». Maintenant, les temps sont changes. Le pape a ajoute, ce­pendant, qu’il était prêt à supporter en­core toute souffrance et à donner luèine son sang et sa vie jxmr té bonheur de la Fi'ance.

il a exhorté tés pèlerins à être bons ca­tholiques,.et à avoir soin d’assurer à la France une mstérité pieuse. II a conclu en bénissant i’épiscopat, 1e c le i^ et tés pèle­rins français. «

vartw actnelleraent i l'étude :4* Doe proposition de ioi de H. ftniiin-

letDX tendant i porter de 26 â 5Q l les droits d’entrée sur ia ucdioe étral „

2* Un amendement dé M. Le Bail » a n t pojHtbnt de fnpper ewlenept d ! Û . ^ t de .420 bancs les grandes boites d b te w ™ étrangères é partir d’ujt kilpg.

3.» Æofln. nne. propoStioh de ioi de'

toatis les baltes de coiserres etrangéi^ quel qn'en soit le contenu, l’estampage siir 1er du lieu dbriglne. v

Le syndicat des fabricants de conserves Abmsntaires de la riite de: Nantes s’est penw cé en'-ifaeénF d e lTanendeBent Le^ et te 'S te ';^k t'teh i» râ iarf1 ’a«t«m2

^^^^rliâmi»é.,4è tebimerca dn Lorient a éiûîr un v'œd analogue.', . .; Far contre, plusieurs syndêtets de Bor­

deaux et des>environs font e p ^ tio u > a n i projets deloi dbntil s’cgit.

En présence de deiideraia si centracdio- loires et surtout desdifflcdité*

— Ce vœu est adopté par la CbanflRier.. Les in .'nstrials du Sad- Est demandent la suppresUon du tarif commun P. V. 402 concernant le transport des bléi et n e s ,

> t:tf nàmologuâ i titré prériseire évappli- qùédepoisleB décembre 4901. Ce tarif, décèsre Mi'Qttéviu’, favorise le travail ni-

i4iliiMy<hiteéétei|Wiiii|iiiMle din— dfra vonsdénèi^rbtèster contre sa suppreision et surtout «entre tout relèvement des pria de transport-des farines.

En.çpiBéqàenée, la .rapporteur proposé de denumdte l’bomologatieB -définitive du tarifcommuaP. y . 402 et : d’insister pour

‘Obtenir iteteüdifications suivantes, votées j t e la Chutera de Commerce-le 23 no­vembre 4901:. t^’ AirissUBent général dot barèmes ki­lométriques du houvMu tarif eomaiun P.- y . 402, priia^alëineat «n.ce qui concorné les distancos de 600A 4.000 küemétces;

2° To&tan moins égalité des prix du nouveau tarif commun 102 ’àvoc ceux des

OBDRI DU JOUE : i! Allocution du président;; Ç°<upte réndii dd secrétaire-trésorier ;0 * mertion d’un président, en Templacement

de M. Ûesachjy démissionnaire ;4" Election de deux 'Tice-présidents. (Titu*

lairea sortants et rééligibles i MM«‘Démelin et Lepetit) ;

sous-chef» en remplacementde M. Ronsiaux ;I 6® Election d’un secrétaire-trésorier, d’un

d’on' tr^ ètI d’un arcluTiste ;

7" Election de la commission administra- I tive ; '8”. Propositions d ÎT e rse s .

Après la réimion, c’est-à-dîre vers trois heures,.la Société se fera entendiresiir la place do la Halle, où, on cas do mauvais temps, a Saint Pierre.

NATDBB PRIXtiÙRKALEà

.BlflOOMkt. «asia

. r qoellté.. 21 76Froment <2* — .. 20 75

( 3 ’ - .. 19 76 •8ei|ii0.. . . . . . . . . . . . . . 14 .. . 25Avoine) 16 60

16 ... 50 1 ..

Farine, 1- qualité....... 33 25Pitoi le kilô 1 . 36

. 32

lOiTéS et surtout dOsdifflcoitéèqoo pourrait avec ceux aesfidro nattrol’apnlirâUQndes rofsDr^ettai “ " ‘î emumum 402 actuels, en ce qui le rapporteur prtebie d inritor le7 I *®”®l*è,l«s,na8Uons avec le réseau du Nordfo« I poar les parcours de 254 kUoméûte ù

èOOkilemMite;3° Taxe pw-expéditionet non par wagon

ip w le^ jéa teçs awç^lerésoM dnNord ;

iedécnargimeht lerique ces opératiaaS seront faites par les expéditeurs et les des- tmataires. La Chambre approuve ces pro- positiMU.

Dans on ran o rt «oncernant les heures d’euvortute et do fameture dés raceites bnrafistes, M. Quévin frit oteerver que lés recevrar* butaiistes interprètent la loi et les instructions administratives pour leur plus ÿande commodité, et cota anpréjudico du commerce des boissohs.

I l Cite des faits à l’appui- de son asser­tion. Les hsures d’ouverture et de ferme­ture des recettes buralistes devraient, dans -tontes les localités où il existe une gare, coïncider avec les heures d'ouverture et d« fermeture dt s gares de pente vitesse. C'est ce que demande d’riHeàrs ta Chambre syn­dicale du commerce en gros des vins, spi­ritueux et liqueurs de l'Oiso;

, Le rapporteur projiese d’adoptur le vœu suivant;

Oiivertnre des bureaux : 4* de 6 heures du matin a midi, et de 2 heures A 6 heures du soir, du 46 mars au 44 octobre; 2* de 7 heures du matin à midi, et de 4 heure a- 6 heures du soir, du 45 octobre au 44ioars.

Ce vœu est approuvé par la Chambre.A la sœts d'ooservations faites par plu­

sieurs membres relativemeat à l horaire dos trains-etabh catte annee par la Com-: pagaïu.du chkinitt de 1er du Noid pour le service d'Ote, la Chambre de Commerça demande lerétabhssement dol’heiairb qm était mis éh prsüqne eh 1903.

Leprssidout duSyndicat des représen­tants de commerce die 1 Oise demande que

liiion. Q 4» qu’en dgse la Codïmissiôn: doi | > “ '*i“ <d»s'ariôtoâPont-Sainte-Maxeuce travail, tes articles tout les seuls en vshu T ‘ La Chambre de umimercodesqieUen DUisse réorimarles iaànœiivi« I '* «sioçie â cotte demanoe.

La Chambre donne ensuite un avis fsve-

voirs piibb'çi.é pnndré lesmésiops néces­saires pour métke fia aux Ir ia d u qui nuisent au btm iunom dsnoe iftoduitset ne PSAjpq.^er atteinte è nos fiansactions avec r^ah g er.:

Un membre M t observer qu’il appartient d’abord' -te-citem ercs''dé ''sigimier' les fracdes lorsquTl enu cohhai|^aiièe.

La Chambre iqpprihtfeèés positions, paiis t e ; rapport sdr rihgéràico des

fonctionnairese» eiteioÿés te -l’Etet dans les professidns soumises ù la'patente, M. SouallOr membrooMiespondsnv signMe tout d’abord lé's’f i i t r te l se passent cohti- i>sel!ement stetoUt dans les campagiies ; pais il relate les.instrnctions émanuit des différenis ministères et interdisant aox fonc.ionnaires et employés de sè livrer aux opérations éommsrciales. /

11 propose, en éphséquence, d’émet j e laT0B9 é ' ^

Que les cirqulaiids ministétiélles, qsi un érdiSent teut acte de commérceanx fonc­tionnaires et employés, soient appliquées rigoureusement, et que, dans le cas eù le commerce n’obt'vndrait pas: latisiUetiott é te sujet, une loi pàrise être faite eh ce sens du mqpent de la. diicteiidh dé ht loi budgétaire,

Çeé conclusions sont adoptées par la Ghéntbre*I Le rapporteur de la Commission du tra­

vail ayant déposé sur le bureau de ia Chambre des députés t e projet tendant é modifiw la loi do'1884 re aiivé aux Syndi- ’ a t r 'professionnf« ; 'M. J. Commaneau,’ charjie de t’exam eate te d te tepose ce qmsDit: . .-.m

4» L’article4"de la proposition de loi snppiime les ariiclvs'éfi et i l s do Code pénal qui avaieo t été maintenus dans la loi dol884 comm: la sanction an lirçit de coa-

desqaelson puisse réprimer les mànceuv^ résultant d’une coalition qui s^Opposé é là liberté du travail. ï l est vrai qa® dans les grèves «es dispositions pé'naies no sOnt presque j mais appUquéas.

2* A l'article s de la loi de 4884 sont ajoaws deux paragraphes. Eo vwtu du pre­mier, les personnes étrangères a une pro- fesiionoa qui l’auront quittée depuis plu-,

'sieurs années né pourriiot faire’partié dui Synd. cat. Cetiein ovation pourréit avoir,des- cuhséqtencés funestes pour ia paix sociale.'

Dans te.second, il est dit qae la tel est

rabte an nouvel avant-projet d’ün chemin d'intéiét 10 tel de Lassigny à Montdidiar.

Mienn’atant pius A tordre du jour, la séance est levée a mioi. -

le Seeréuire par iniérim.Ch. acoiun.

piétenTéT^ur îe“ terriïo de tem ônt^“i i9 6 _ 6 _ ^ le département do l'Oise,

SoFvloa de le Monte dee Eteioneon 1905 . — UintTMre de la Commit- swn d examen, — La Goaunissioa cHargéOr d« coiuiaier Tétat sasiitaira des étaiuj»

en

préienter des dangoa an point de vue dit I .gnés ci-aprés : bmfoaetioaneaienidas services p tbics. I (teiabraine •

3» Le nouveau projet, nen seulement; f ‘.confère a u Syndicats le droit de faire- des actes de éomiheree, mais eh outre il les lait béntficier d'txceptieiM qui saut la'

Cotupiegne ; mardi 22 novembre 4904, A: trou henros; an dépôt d'étalons.

Beauvais: mercredi 23, novembre 4904, a dix heures, oevant ta gare.

Ciermuni; jeudi 24 novembre 1904, & dix heures et uemie,-devant la gare.

Tout propriétaire ayant l'imeutiou de Consacrer Un étalon à te monte de juments apparteuant A d'autres qu'a- lui-mème est tenu d'en faire sa déclaration à te préfec­ture ou à te sous-prélecture de son arron- dissemnit.

a Bréindim’mnia /".«à « f An I ^ de 4906, les déclarationsa fa% TtéteefraÆ‘ O n® 5£SS.rain*i la .«tetion civite,J t e ^ t e Æ o ' i ^ d S ^ ' S S ^ ^I feront te demande. Le mwdéte de ces déda­

l e R é 'w éii d é S e n l i s .La Société do tJynmastique ot de1:ir

ç Le Réveil > prendra part aux concours de Brnuey (Seine-et-O ise) (ligne de P.-L.-M. Faris-Fiintaiiièbleao) qui aura lieu te dimanche 48 leptémbte coortet, A l'Occasite de ta XX* féie de l'Asiociation r^ o n a le dés Sociétés de Gymnastiqué 'et de iSnr de S«ne-et-Marne, SeineteLOise etOise.- Les Gymnastes adnUes puteront le sa­

medi ioir, afin d'étre présents A l'ouver­ture; des conconrs, qui cenunenceront é huit heures le dimancne matin.

Les pupilles ayant lonr 'concours & neuf heures et demie du matin, partiiônt te dnhanche, i 6 n, 84.

Souhaitons que les ellbris de nos sympa- tiuqnes SenbMons soient -couronnés do succès.

-----L e B iiic id e d e l a r u e d e M e a u x .

Hier soir, vers dix heures, la petite Pasqoier, égée d’environ neaf ans, demeu­rant 33, rue do Heanx, racontait à ses | voisins, en pleurant, qae sa mere s'était jetée dans un tonneau d’eau. On se porta auteitéi au secours de la malheureuse qui, effecuvement,. ap.és avoir mis de l’eau dans un baqaet, cherchait à y rester la téie plongée pour s’asphyxier.

Oh s’ùnprossa d» rether de sa ficheuse 1 position Mme Pasqhier, qui fut remise au lit après avoir, an préaltete, été envelop­pée dans on drap. L’mtervtetien des voi­sins aupécha donc 1a pauvre femme de mettre son prejet a executian, m ais elle devait quand même arriver é ses fins.

En effet, ce matin, la pétite fille no voyampee câméré vaq&er à ses occupations hahitue.los la chercha d«m te maison et dans le quarte^-. Après ce qui s'était passé te veille, les craintes d'un malheur étaient légitimes. On prévint, von onxe heures et demie,..H. Somt-Raymond, commissaire de police, qui accourait accompagné de l'sgeut Quentin et pénétrait dans la mai­son portant te n° SSM te rue de Meaux.

Après avoir frappéon vain à la porte de la chambre a coucher (la petite s’étant teit recounaire pour que sa mère ini ouvre), M. ie Commissaire fit éioigner.l’e u ^ t , pressentant unm aihsur et veulent lui épargner une sctoe pénible.. Pasqular s'étut en effet penduedansson grenier, eu montant sur deux fagots de bois pour se jeter dans le vide ensuite.

M. le tuietenr Panthier, médeein-iégist*, a fait les. constatations d’usage. La mort ramobtait à plusieurs heures. i

Cette malheureuse ne jouissait pas do la plénitUdo de sa rauon. Son mari, tmp.oyé d’octroi à Farii, a été prévenu par dé­pêche.

' ■ ♦

O b je t tro u -v é .Un: mouchoir contenant une certaine

sommé d'àrgènt.—

nigàhonmémedes principes de la loi du 24 juillet 4867.

4» Enfin Al’article 40 U est dit : c L’en-< travd volontairement apportée a l'exer^ c cice des droits reconnus par la présohtà .< loi péhr vote de refus d’OmbanchagOAU: c de renvolj constitue un délit civil et< donne lieu à l'action en réparation du'

IV é e ro le g ie .Les époux Letetiier viennent d’avoir la |

donleur de perdre un bébé de 7 mois, la ^petite Coiewe-ïolando, décédée mercredi j p „n -tta eanitsfaa in rmnn.mii. éi UiüTAifiTe Nous ièoT DrôsBiàtoiis. AU cfitiA I «w ivf* <10 is Gomsifiut mpénible mrcoastance, l’expression de nos |vives condoléances. "*■" “ -

F A IT S J ^ C A Ü XA iim o n t. — B n o si n’uH DaiPiin

— Demain dimanche.^I veptembre i Sheures et d«Bie.-aprés avinr rendu cimiru de son mandat^ M. Asdir'er, dépntéra mettra uh drapeau à la Société de Seèom muteoU, et p buste, de la Républim, pour la aU e de la Mairie, tons deu o ^ par Ml Constant BouUet.

B éfE d ay r-S a ln t^P lep p e . Co=ilaavsmioK — Un charcatier des envi­rons a v p laissé sa voiture arrêtée devut use maison, a Béthisy-Saint-Pierre, o n . c ^ t n a t U i « nteljgeant de i’eûav* a iu i’ ^ le présent le règlement sur il pobce du roulage.

Les gendarmes dé yerborie en tournis dans les parages, lui rappelèrent ce légle. ment m comme 'oùt de leurs observatioM, fis nantirent l’intéressé d’une c o n tra ^uOSs

— Ritraïon. - Demain, a trois hsursi. aura heu. a la m irie , la réunion des mm. bres de la Sodété de secours mntnelsdi Saint: François-Xavim'.

-■ Rxhisk d’un Laos. — M. yalelti. l^a taue naiversel de Mme yalotte. u tante, a versé a M. le Rscevenr mnniciial de la commune le n'ontant du legs fait au cetiedase, soit20.000 francs, plus 4.6l61f 66 cent pour intérêts.

— AaaHSTAiioit. — Un nommé Gabriel Hû, garçon hmonadier, âgé de 21 ans de Bèthisy-Saint Pierre, a été arrêté 4 Com- pvégne, à sa descente du train, au moment où fi se ^posa it a aller passer lanait A Marany-l«-Coi^iégne avec une amie.

H a été incarcéré à la prison de Gom- p-égne, où il se trouve a la dispositioa du Parquet de Soissons, qui le recherche lou 1 inculpation de vol d’une bicyclette.

^ Faux Bkthis. — Nos lecteurs se rap­pellent certainement la rixe qoi survint il y a q-e’que temps ot au cours de laquaUs un ouvrier occupé dans une scierie ambu­lante fut gnévemnit blessé.

Le brun courait avec persistanee que la ou plniôi les autours de cet attmitat étaient maintenant connus et on citait même dos

I Eoms.le s autorités firent une enquêta et

I** Péisonnages incriminés furent intsr- rogw, mais il fut reconnu que tons ce. brmts élaient farx et nullement fondés.

Il y a hou de croire, d’après les phases mémo de cet attentat, que les auteurs n'en swont pas connus de siiôt.

C h a m b ly .— Un Cohceit. — La Pu- tere organiMune matinée vucale et instru- mentate qui aura heu tons, la tente, place du Parterre, lundi 42 septembre, avec le ^ r â u r s do : M“* Antoinette Marcel, des BoiÆeS; M. DeviUers, de la Scala;M"* Teste, do 1 Athénée ; M. Gorzfiéi, larja- gioque; M'"* Gielle-Siars, de Parisiana; M Marcel, do la Bodimére; M”*Bertbe Perron, pianiste-accompagaateur.

Prix ues plates : premières, 4 fr.60; seamdes, 4 fr. ; troisièmes, 0 b . 69.

C h a n ti l ly . -r.FoiiPiias Aholais. — Jeudi dernier, plusieurs pomp ers d A u ^ terra, venus au COnpés internstioiuiré Paris, sont arrivés i ChantUly, au train de 9 h. 38:du matin venant A Paris. Quel- qnos offidKt e t pompiwt doc environi, notammemt M. m commandant Carier, Perpotte, • ■ - -

m m e

L e siouveau ininleti*e d e l’in té rle ap en R ussie

leSatet-Péteraboori eiok— le 9 septembre (OdI-

-prince «mtopelfc wre- >E«itev<eiliaemiiÉeni.

sanction pcnale Bien qn’aucun contrat, n existe entre te partie qui soiUcite te tn - vail SI colle qui te refnie, la loi donnertet: a l'une ia faculté d intenter une action <ontieF«nrB.

En otilre, l'exercice de çetle action appatv t:endrait, non sealement.ù.te’partio lésée, mats au Syndicat luirménie. Sons prétexte ce soustraire l'ouvrier it-yndiqué à la tyran­nie patronale, on hvrerà tefoiliiblément le patron à te lyrannie syndicale.

cette conceptioa nouvelle et hardie a encoie une autre iertée; eila substitue lé contrat collectif aux comrats individnels. ' , ; Eu conséquente, te rapyortenr propose dpmettre le vœu suivant :J : Que Farncie 4« do la loi do 4884 sifit

maintanu sans modificaUoa ;2° Que tes penonnes ayant quitté la pro­

fession et n'ayant jamais fait pàrL'o d’ub Syndicat ne puisseui éiro admises dans tes bureaux de ce Syndicat ;- 3* Que la Capacité éoOimerâale ne toit pat:accMdéa aux Syodicatt ;,. A* Eoflnj ÿ io l'artede 40 de là preposl- tien do lot soit siipprimé. — Ces proposi­tions sont approuiéos par la Chambra.

M. Gauthier, sénateur de l’Aude, « t , qoelquos-nns de les coUéguerî souspre»;] texte d'empéch:r la fraude snr te tnersge des vins, eut déposé une propos.tii,n de loi tendant à réglementer la drcuianon des ancres, glucoses et nrciasses.

M. Qnévin, dans un rapport, cite les ptiniapates dispositions de te projet qui ne sont que des vexations de toute tepece et qui auraient pour effet do nuira au com- uwrce ded sooros. Bo' cd'qui concerno les vlos de sucra, des régiemeuts sévéïes existent déjà pour te transpoit et la venta de CCS vies.

En conséquence, te rapporteur proposé A la Cbambre.da Su proaoncer éueigique- ffl«nt cOiihe l'aduptiuu on prKjei.,de ip i._

é M u s h t^ i f f ^ i i i ' attgtdE'i&Mnnp ite '

nàiions sa irouTa, en èatre, inséréRecueil dee Actes admmietratife. u I

03 9i

Questions Plïlitaires.L es fe sd s ra te s et i ’am lnropoaiétrie

Le ministre de 1« guerre; d’accord avec le i minisire de l a justice. T i e n t de prescrire une, ' reforme qui à son importance. A l’avénir, la geadarmerie deTra u t i l i s e r , d a n s ses b ro c^ - verbaux et ses enquêtes j u d i c i a i r e s , l a mé* i

I tJiode anthrbpojnétrique pour le signalement I des maliaiteurs. . '

FraMehisea p o i i^ a s rapprim éea.A partir du 1« novembre 1904, seront sup-

priifieéé les franchises accordées amt coips & i \roupes.taisant partie du corps cxpéduion^' naire dit a eu Tookin » qui opcupe ieXonidn' l ’A o n a m , ie Cambodge, le Lads où q u i sta- i tiennent à Kouang-Tcnédu (Chine)^ -

ira conséquênca, Texempüoh au droit de poste sra les mandats adressés aux militaires' e t manns de ce cdipsezpédîtiohaairé ou exné* diés par euk sera supprunée. ^ >

Les lettres adressées à ces militaires e t inn» ou expédiées par eux après le 31 octobre' I liM , au soir, devront ddôc être «^franchies.

Bulletin météorologie Caprép. — M. Jo ies Capré, dont nous ù'vo&s -A di^sinBes' rd p n ses puhUô le s p r é ^ o n s ^ y%vu frien nous envoyer ia petite hrochure quioàn*

ses ooservàttons sous le titre de^B»f.- leiin météorologique Caprè,^Ce Bulletin Tiieîéorolôgique est un p ^ o * i

dviue iruxiesuiel qui donne les pioiDahUi* ' tés du temps pour Touest, là sua-cuest et le centre de j £urope. ,

£es prqhahêiités sont, calculées d’aprèS' I les deeunaisuns.lunaires et solaires uo ir I iern* l> avrU'à mai 1904), et se-rapportent I ôssenUeliemont à la formatlott tm'a Tarit- Tés JW^tnotrq<wnt»igt! dès dépréssions harométriques. Comme ce sont;ces déni^ veüeinênts atmospàètiquèquifengflBdrent ‘ les iuau«al» temps, i e o u ^ ^ S S S L a VavafrëefOtfèi?

3,

B t a t c ivA d e S e n l i sdu 3 au 10 Septembre.

Nait90$ict.6. Renée - Augustine Flint, route de Com-

piègne, 17.Bécie,

5» François* Clément * Charles Brault, mar* chand de nouTeautés, 25 ans, place de ia Halle, 31.

6* Charles*Joseph Ivorel, coitfeur, 45 ans, de* meurent à Chantilly, rue des Ja rd i­niers, 1,

Mariage,Entre : M. Gaston*Auguste Legrand, char­

retier, e t Dile^ixginieteLuae-AlSéiÜfiâe J>e Coster, domestiÿte, tous deux demeu­rant à Semis.

Publications de Mariages,4. Entré : M, Lucien*Victor*Théodore Ha*

. lettre,: .cavalier au 2* hussards, demeurant

. de la ità AhbeyiUe, etl>lle JuüeHordier,' sans profession, demeurant à Senlis. Entre : A ; Kzésm^4^êândre -nernard, char-

retier, demeurantASenlis.etjUUeLouise* Phildm'ène*Mane Meilieraye, cuisinière, .demeurant à An^uviUieis (Oise).

£^tre<» M: Aùgoste-Uoseph i-Aclercq, co* che^. et.Llie yêsirée-Kosahe Sellier,

' prôtés^oà; tous deux demeurant a Sentis. Entre : MaiLiè-A^hohsè liebraihe, cbarre-'

tier, demeurant A Sentis, ét précédem­ment ,4 Montataire, e t. iUie Louise

' tàodârti sans profesèion, demeurant à 'jldontatafre.

JE^tre : M.. Emüe*Jules>Auguste Porentru, instituteur-adjoint, demeurant de fait a .Sentie e t de droit 4 Saiht just-aSanvam (Marne), e t Dlle üabrieue Mane*Mirtne Koger, sans profession, demeurant 4 Vil*

• len«UTa*Sai]tetrVisfré (Mante).Entre,: M. Arthur Masson, armurier, de^

meurant de faite Donkerque et de droite Seitiis, et i)Ue CÈebrgette-Léontme Lefort,. demeurant 4 Paris, rue de t^rimée. 193.

ÀbalAoU* d e S e n li» ,Etet dtt animaux ùttrofimtt g l'ab^toir

du 3 au io ttp lm bre 4904.smh xhm Poia»!

TanreanxT.. "i ~Bœufi fi,yachet ,I te an x ...... 48MootoïK.'.. . 66Force 84

7307026

Sà94i m -2904

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X ' iM n L e c te n i te .P’-tirir de f.Ira «Avoir A"

go* 4»»teor« qne tet«w«Mé8 Setetei

Uratenant dote Compagêie d« Genvieozi et ploiiièiiri «utrai offlcters lee ittendrient A te gara.

Ile lee ont condoite en CbAtees, prie en- enite déjenner A l’bôtel'ditGnrid-Condi

Le soiri A dnq henrae, làlriBéde Ghu> tilly leur a ifflert, dane la eaUedeefUia nn vin d'hennaor. La ce teA anglilN lee a invitée A diner.

C ojye. — T œ oou . — Noméroi gi- gnants de la tamboia de la fête patmnla «umtlee lete a ’wit nae été réelunéi i n jon r:477 — 264 — 677 — 696 — 740-78! M » — .ésgié — L 4 3 0 ,- 4.674 - 4 sU- 2:060 — 2.330 — 2.459 — 2.607 — 2A4I

o r S ê lEtat doU de. CmH éUi 2 au 9 e e p tm ^ r NaUeanceê.^ 3i Bcurdirt GeDeTièTé*Ciisr^

lotte, ■** 4 : Beinte Prudent-Louis-Aiextodre* Joseph. — 4 ; Uéloin " Haymond'PhihPp^' £dmond*Prudent. 5- : Minard M arcelA ^^ —.6 : Girard Mane-RôeeMJctâvie. — 7 : Htl- grain Jacques-Maré ¥amnçu .'

Décèi. — 3 : Searal-Rogar-Marcel, 6 soit. •^6 : SacletAntoinette-Joachim, femme met, 39an ^ \

Publicat^hi^de màrtôpm. Entre M. tasse Louis, maçon, 'et'demoiselle Vinsi^' Jeanne,' sans protessicm, tous deux domiribéi 4 CréU'. _ ■ -r,

Entre M; Regnaalt.Rea4Edèuard, m o u l^ * d demoiselle Prnniéra-Hosatie, sans proftfr • sionj tôUè'déùx di>mîcUies'à CrêiL

nntie M. tiesson *Lé6n-Ambrmse, tréfileOTt et dpm oiseU e^ot Befthe^lotilde, saaspv»* fessiODÿ tous deux domiciliés 4 CreiL . 4 "

JSàtre ik : SfreCladd^ tréfilaur, et d^w* sells; Gftumifrciy. LéontioevEogéoMÿ vTière, raus deux domicitiés 4 ureiL ' '

Mariages, —- (N.éant). . . .

-I- A L’Ete» , nifjnièhrniw r ’aniteeiitm « JegiRfi** . occamniiet .(iùtoùIffBâO^atefitMU^ ' qiéo A bon eecimt, ixSMSefcfii offjuqnw qoq e w ^ h ^

doohei' K 'Hite anxqaete U a Col n’8i^aiHiiiônt% qu’à {' « Séko *.^ailavaUirif

Page 3: 9 d«(pftn^fce«Éne- eaux,bmsenlis.com/data/pdf/js/1904/bms_js_1904_09_11_MRC.pdf · 2014-02-17 · Û ri I10N-vi.-->c-''''-'‘•^ ^i•'•' •^•*2^i^^•^ -•^'-•s.">•

M CbÜÎRRiEiR c i

;...,1 Natre profwslcn éUnt owan* i JS]* BODds, fit d« «»Ve qui eowpto ! ^ lti« to pias 4’oeéanonneM. Je doi* S m i I> TéritA de dire qae psrmi eeoz- ' JmÔs ere»s d’exeettenU écrirai a», dont fétuBtioa ne fait pat de dente. — L B

Grdpï^®aa«VAloi^. — La Quabba .iniBü t xRCti — Mercredi, re r iû n q Î ^ . r t d e m e tnîoir.denx ey«M«tei de

riUe «e sent heurtés, benkrard ïMor-Hago, l'on lancé i toute ritesse, iiaire. nn débataot. marchant à peine.

Tcns les deux uni roulé sur ie sol, for-* _ 1__ .W t MM Af»A_

ira q Vils — • — - - — ■mis du moias griéremeat blessés.

Hèareasesieat il n’en était rien, car ttii les deux se sont relerés alertes comme MX lapins, arec quelques égratignure» nas m rité. Leur ren ;ontre a eu toutefois

rSuiUt iàatiendu, car l’un d’eux rem- Dorta t machine sur son épaule, la roue S durant parfsiiement carrée. Le pro­blème de la quidcature du cercle s’est aoaré ainsi résolu et le prorerbe suirant CDod-mé : • A quelque chose malheur est ion.»

B ie a d o n o e . — Fbkstatioh n i SkB' iiRi.—Le sieur Duarocqfàrthir Eugène) rèeemmeut nommé gûde champêtre i Dieadonne, a prête serment mercredi der- lier, à la justiee de paix de Neuilly-en- IheHe.

G ouT ien x . — Accmim nu T uran. > Jeudi dwnier, i dix heurû du matin, lécha-relierUl!ement(Luâee), 36 an» cèlôiâtaire. était occnpe à garoir nu ch» ni, dans l’écurie de son patron, M. Hobert fïiche'), loueur de Toitares i Gjurieux, Wsqn II a reçu du cheTal un coup de pied Ile caisse gauche qui lui a produit une forts contusioa. M. le dcct«ur Vincent, qui isio’gae, esthne à 10 jonrs l’incap&cité de tnrau résultant de cet accident.

_ Pas dx CoHvasioit ! — Dans notre numéro de d manche dareier, nous arous rilaté nn délit de bncoonaga i l’actif d’un liior Labhé et d’une fémme (Joquet. Un honorable comme* çaot de cette localité, lui perte le nom de Labhé, nous prie de Jô» qu’il n’a rien de commun ar c le bra­connier dont nous avons cooté l’aventure.

Il ne peut y avoir de confusion à ce niet. H. Labhé, qoi nous écrit, est en effet BiTchand de vin et directeur d’un tir fe- nin bien considéré, et ne saurait être ae- eïâé de braconnage.Eiat civil de Gouvieux du -moi* eHaoîU.

Ifttàtancu.— SS: Jum el GeneTièTe-Délisca. _ 30 ■ Minnnflpt Léontine-Julie-CaToUne. — PutelM arie-Eliae-Annance. — 31 ; B o u tu rd Sicolas. - H e w Ludenne.

Pubbcationt de m ariaga , — Les 7 e t 14 aoû t ; Entre M. Rebeille Alexandre, majeur, char­pentier, e t MUe Vanhègle Jeanne, sans pro­t o n , domicUiie à Dissy-sous-M ontmo- lencT (Seine^t-Oise).

Les 14 e t 21 août : Entre M. Jo ron Leon- Eemsné, docteur en m édedne, dom idU i à Gonrieux, majeur, e t Mlle DuTal Eléonore- Engéde-Angélina, sans profession, m ineure, domiciliée a Goumay-eû-Bray (tSeine-Inté- rieure).

Les 14 et 21 août : Entra M. Galard André, majeur, jardinier-fleuriste, e t Mile W eber Cattierine, employée d|usme, majeure, tous deux domiciliés à Gouvieux.

Les 14 e t 21 août : Entre M. Le Norm and François M athurin, domestique, m ajeur, do­micilié à Gouvieux, e t Mlle Uazo Jeaim e- harie, domestique, m ajeure, domiciliée A Questembert (Morbihan).

Les 21 et 28 août : Entre M. Coillot Joseph, chef-sondeur, majeur, dom idliée A Gouvieux, et Mlle Mougey Louise, sans profession, m a­jeur, domiciliée i Lure (Uaute-Saôue).

Mariage. — Le 20 août: M. G uérinA uguste- Emile, âgé de 22 ans 10 mois, employé oe bu­reau, domidlié A M alakott (aeine), avac Mlle Tac^ Joséphine-Blanche-Zoé, âgee de 21 ans, tans profession, domiciliée A Gouvieux.

M a t. — 18 : Nicolas Augustin, enfant âgé de 1 mois, décédé chez ses pérevet mére, rue de Creil, à Gouvieux.

23: LeporcMarie-Geneviève, âgée de 52 ans, épouse de Lemaire Üenri-Adrien,, dem eurant au hameau de Chaumont, à Gou-vieux.

31 : Eréclin Eugène-Uésiré, 37 ans, m onteur de tâéphone, route nationale, A Gouvieux, e t domicilié A Margny-les-Compiègne (Oisej.

S f o n t a t a ir e .ABATTOOS dx biONTATAIXB

Itat d:s an.maux abaUus c( des viande* inréet à ta contommaiion pendant

le moi* d'août 4904.Bdiifs................ i puant 4 ,S9é lûl.Ticbu 47 — i.OiSTeaai.......Mcotoiu...........îc r» ..............

33SX

480

8.4«i4.806

48.7X7létude bétail. 346 — àl.97 tkU .

I m oflieielle de la viande applquée iefiut* le 2 septembre 4904.

1» catég. 2* catég. 3' catég. Bœnt . . . . 4 76 4 65 4 80Vache.... 4 60 4 35 4 08Vean 4 95 4 80 >UoatoB... 8 35 8 05 4 75Taureau.. 4 iO 4 80 4 >

Etat civil de Montataire du V au 8 Beptembre,

A’aisgonces. — 1 er: Crème Julie . — 6: Cail* üoQ Gabrieile-Elisabeth. — 1-eroy Armand- Wouard. — 7 : K erkaert Eugénie-Louise. — ^9f8seinier Gabrieile-Marie- ifTonne.

iJtcu. — 4 : Schiettecatte Rolande-Hélène, 9 moi». — 7 : Fatseur Fierre-Lèon, 10 mole.

U opieava l — FÉix Concours dx lia. — La léte-conccnrs oe tT a'<.iuatuug, JJta-Gee par le R v a l de Horienval |ii6> section dé la Société Na.ionale de

en lien dimanche dereler, Asep- «iibra, avec nn brillant snccés, t o u la mdeace de H. Bonrdülat, ancien cen- "Çiéf d arrondisiement

Us rnts de la commune, la place de la ^tna et le stand étaient oecoré» avec îjwconp de soin, et c’u t entre denx haies ^<ardnre que le défilé des Sociétés s’est ®wtné. Les arcs de triomphe et iw por- W étaient très réaisis et témoignaient «tfoo* *** ‘ p r é d i f i -, A deu henres et demie, sur la place de

■tairi», M. Bonrdillat (Lncien), adjoint a conseiller d'arronoissement,■ yolet, maire, préiident, et M. Cagnard

diietuur du Réveil, recevaient |é coioseï Courand ûulné, chevalier

Légion d’ûonntnr, président de la Nationale de Tir, M. le D'Chopi-

*- «nnenier général, le Conseil mnnici- •ïiif/*!**”® tompiet, nne senle absence

p remsrqoée. Etaient préionts : t e . Thibaut, Friry, Le-fou* loédai lé de l’Union des Sapeurs-

Lemoine, vice-président dm 3 Lclattre, Cagaard et Charpentier,

(u iitédaillès des campagnes de qnerre : diaiim*’’**''® (Italie), Lequeux François

.Frémont (Italie), Dnfrénel (Cri- ftoiti (iS'xi'ioe), Constantin Emiletej. “)> Rt a côté ie* médaille» d’hon- jjg' ?n travail et des Sapanrs Pom pien i

Victor péro, Vaspart, Dijon 6 ,S * '. Ballard Enile, Barré Angbote, U t l -'latte Charles,

ni, ,™®b'B» honoraires de la Comra- I iRllaîi!. h a Réveil f1 fknL4 hotammmt : MM. '• D* Mxthiaa,

'***• Hilnegiia, Oobny, P sy ra A sdri,

Bsanlieux, Suint-Flnnin. Bourgeelt, Exegnêtrote.

lientenaut de la Compagn'e de Sapenrs- Pemi^srs, de M. Dollé, secrétaire, faisant fehétiou de directeur du Réveil, assisté de M. Malin, iDititnteor, directenr de la ssetion de Ptipilles.

Pnis le départ avait lien dans l’ordre suivant : taiâboars et eiairoas de toutes les Sociétés; d'apoau de la Compagnie des Sapeurs-Pompiers de Merienval; cortège ofBcitf encadré par nne haie de Pompiers de Morienval, de GiUocourt (lieutenant Vineent), de Fresnoy (sous-lieutenant Hé- ronart); Fanfare de Saiut Jean-aïa-Bois ; le Réveil de Morienval; section de Pu­pille; ; les Tétérans (485^ section, Crépy); i'g^érenee de Viuers-Cotlerêts; UMcn muiaelle : .sections de Mor'énval, de Gil- locourt. la Fraternelle d’Elincourt; trom­pette; ie Ralliement de Crépy; la Clair- voyvn'e da Clairoii; la Fraternelle de Saintines; Société de tir d’Orrony; Sa- pe’'rs-Pompiers de Feigneux (lieutenant Grignon).

Le défilé dans les rues de la commupe, a'jkimpii avec une correcion absolue et pour laquelle les directeurs et commis saires méritent tons les éloges, eut lieu au son des umbonrs et clairons, lesquels ont alterné avec la Fanfare de Saiot Jean-anx- Bois, qni-x don<-é une briiraute exécution de la magnifique niarche de Sambre et- Meiue, et avec les tronmetles du Rallie­ment, qui ont joué un ^ redoublé des plus entraînants.

A l’arrivée au stand du Réveil, le cor­tège s’est arrêté que'ques instants, et e’e-t an milieu d’une foule nombreuse et atten­tive que des discours forent prononcés, par MM. Baurdiilat (Lucien), le colonel Coussaud-Dullié et Cagnard (Octave).

Diteours de M. Bourdillat, cons^ller d’arrondiesement.

Mon colonel»Meedemes, Messieurs,

La société de tir le Réveil de Morienval n’aSas Tôulu la iner passer la date annirersaire

e sa fondation sans manifester par une fête sa grande Tttàiité.

C es t pourquoi nous tous a ro n s couTiés à Tenir t o u s grouper au tou r de nous, et nous TOUS remercions d'aToir répondu en si grand nom bre à notre appel.

Je remercie sincèrement, M. le colonel Coussaud-DuUié, rémineot président de la ^ c ié té nationale de tir, qui, par sa présence, nous donne un précieux encouragement, mon ami M. ie D* Chopinet, notre dévoué et aimé conseiller générai, d’ètre Tenus Tun et l’autre au milieu de nous rehausser de la présence de leur haute personnalité l’éclat de notre fête.

Je dois excuser auprès de to u s mon col­lègue e t ami M. Punant, qui, se trouTant mo­mentanément éloigné, n'a pu venir parmi nous»

Que TOUS dirai-je que tous ne sachiez déjà? Tous id , autant que moi, tous êtes convain­cus de l’utilité de» sodétés de tir.

A notre éhoque où la volonté nationale à la réduction du service militaire, etpousse______________

cela èju ste raison, au moment où la loi qui la concerne est votée, n’est-il pas prudent, pour la sécurité de notre sol et de notre liberté, que nous nous effordons de donner à notre armée démocratique des jeunes gens tout préparés, dont l’iostruction militaire soit pour le moins ébauchée.

Les sodétés d’instruction militaire et de tir remplissent si bien ce but que déjà les hom­mes qui composent le meilleur élément de ces sociétés peuvent, au régiment, devenir capo­raux après quatre mois de services, tandis qu’il en est demandé six à leurs camarades non préparés.

La France est le pays qui* jouit des plus grandes libertés, celui qui marche à la tète des salions dans la voie dans la voie des réformes démocratiques et pour l’égalité.

Nous serions donc ou bien aveugles ou bien coupables si nous ne nous préparions toujours à tenir en respect ceux qui, venant on ne sait d’où, voudraient violer le territoire de la République.

JLes leçons de l’histoire sent là pour nous le rappeler. 11 y a trente-quatre ans, n'avons- nous pas vu l’incurie impériale nous jeter téte baissée dans cette lamentable aventure qui devait finir à ^edan.

A ce propos, je ne veux pas laisser passer cette beUc journée sans rappeler qu’aujour­d’hui nous pouvons aussi fêter u n jja n d anni­versaire. Le 4 septembre 1870, Gambette et toute la superbe phalange d’hommes éminents qui l’entouraient proclamaient la République et à jamais déchus en France les régimes des­potiques.

Il me reste un agréable devoir à remplir, c’est de remercier la population de Monenval de l’empressement qu’elle a mis à pavoiser ses rues et du bienveillant aide qu'elle a bien voulu donner à notre société de tir en faisant un cordicd accueil à tous.

Au nom du Réveil de Morienval, m erd à tous!

Discours de M. le colonel Coustaud Dullié.Njus regrettons de ne pouvoir donnir

in extenso le disconrt petriatjqae prononcé par M. le colonel Ceossend uolUe ; n o u allons le résnmer dans ses grande* lignes.

Il commença par salner respecinease- ment M. Emue Lonbet, président de la BépnbUqoe française, président d'hennenr de u Société Nauonaie de Tir.

Il remercia entniie M. Bonrdillat (Ln- eien), président de la fête, et le Réfott de Morienval fi’avoir bien vonln le cdnvier a celle-ci; M. le D'Chopinet, de sa présence et de l’intérêt qa’il témoigne aux Sociétés de tir; M. OoUt, maire, de ion bienveil­lant appui. Il remercie également tontes les personnes qui ont, par leur présence, rehanssé l’éclat de cette rénnion.

U félicita M. Cagnard, directenr et fon- dstecr da Réveil, et M. Ronssel, président focdatenr de la Clairvoyante, d« tont le le zélé dont ils ont fait pour la création de ces Sociétés.

Pois il expliqua que des nations cher­chent à remplacer la guerre par l’arbi­trage, qn’il ne faut pas se leurrer d’illn- sioMS à ce sujet et qu’il est dn devoir de la Frtnce de se préparer, non pas é l’offen- siie, mais à rejoasser l’ennemi s’il se dis­posait nn jour a envuhi'r la frontière. I> mourra comme exemple cette terrible goe.re russo-japonaise qui fû t couler tant de sang en Ext: éme Oneni. I . exposa qu’il est indispensab.e, avec le service militaire réduit, de préparer les jeunes gens au ré­giment par la création de Sociétés post- scolairss dans lesqnellM ils aeqne*Tont les connaissances nécessaires pour en faire de bins soldats.

A co sujet, il préconiia la création .dans chaque Société déjà constituée (sipenr*- pompiers. Vétérans, mutuelles, etc.), d'une section d’enseignement préparatoire (t<r, gymnastiqne, marche, etc.), pnis la Fédé­ration par canton, arrondissement et dépar­tement, de toutes ces Soriétés qui re:ire- rout un grand avan'age de cette ucion.

Il expliona tout ce que la Société, natio­nale de Tir a accompli depuis queignes antées à ce peint de vue et invita les So ciéiés a s'iffilier à cetie œuvre patrioiiqne. Il les engagea à s’adresser pour tcns ren­seignements complémentaires aux deux inspecteurs délégués des arrondissements de Sentis et Compiégne, MM- Cagnarl et Roussel, orgaoisatenrs de la Fédération de 101 e (1" section).

Four terminer et s’adressant particuliè­rement aux jeunes gens qui vont r a 't 'r au régiment, il kn r donsa d’exoellODis c<.b- seils pour regler la vie nonveile qui va leur être créée, n les engagea 8 eonttnner les traditions d’hennenr de leurs tlnés et «eoMif par ces mets ; c Seyei fiers d’être leidati »,

Diteour». de M. Cagnard, Directeur du • Béveil . de Morienval..

M o b Colonal,'MoaaieBT lé Cbnaailler ééi^ral.M oatiaor le CoaMiUerd’anrondiasemeBt,

- MetâweSo.Méseiettra,Pour la i^emière ibis, je croie pouvoir l’ef-

firmér, notxe modeste conusnne a l’honneur de recevoir i^fidettement un officier supM eur de notre bmle année française e t l’honorable conseiller général du canton.

Je suis personnellement heureux de pou­voir témoigner au dévoué président de ia Société Nanonsle de Tir. M. le Colonel Cous- saud-DulUé. toute la respectueuse sympathie de la Société < Le Réveil de Morienval », cons­tituée sous ses auspices, et j e le remercie sin­cèrement d’avoir bien voulu accepter votre invitation* . ■

Mes remerciements vont également à M. le docteur Chopinet qui, loi aussi, montre par sa présence au milieu de nous, tout l'attache­ment qu’il porte à notre œuvre patriotique et à la commune de Morienval.

Q uant à notre président d-’honneur,' qui a bien voulu accepter la présidence de cette fête', M. Lucien- Bourdillat, adjoint au maire et conseiller d’arrondissement, il sait bien qu’il est en famille avec nous, et que nous lui sommes sincèrement jrèconnaissants de l’in­térêt qu'il nous témoigne.

Je vois avec-plsûstr,' mes collègues du Cois- seil muatcipal groupés autour de M Oblet, notre dévoué maire, président du Réveil, qui m’a puissamment aidé à la création de la Société : je les remercie de cette délicate attention. . . „

Je dois féliciter, et cela m’est particulière­ment agréable, nos braves médaillés des cam­pagnes d ltalie, de Criinée, da Mexique e t du Toukin, qui sont ici à cété de nos humbles médaillés du Tonkin. h t ce n’est pas sans émotion que-je vois, près de ces braves^^’a^-. très défénseurs de notre chère France,, qui, moins heureux que les premiers,'n’ont pu at- tacherà leur drape'au de nouveaux lauriers,et cependsnt ils ont combattu» ils ont s o u ^ r t pour la Fatrie.

Salut aux Vétérans de 1870 : ils ont bien mérité de la Nation, e t nous nous inclinons respectueusement devant l’étendard de la 125k« sectfon, si bien représentée ici.

C’est avec une bien douce satisfaction pour mes sentiments de mutualiste convaincu, que je vois réunies dans une entente familiale et xratemelle, les Sociétés des environs.

Toutes ont ici des représentants : compa* gnies de sapemb-pompteri, ces 'soldats dû Teu' qui ne craignent pas d’exposer leur vie dans les incendies e t dont la maxime est : «Courage et l>évoumnent * ; Sociétés de musique, qui par un travail suivi e t appliqué, une (Urection digne de tous les éloges» savant si bien char­mer nos réunions par leur bonne exécution ; sociétés de secours mutuels qui, par l’effort commun des sociétaires, parviennent avefrune faible cotisation mensuelle à soulager daiu leurs membres atteints par la maladie, leur maadme à elles est : « Chacun pour tous et tous pour chacun »*. d’a i.l’w m r que, dans quelques années, ces sociétâi, seront plus nombreuses, et que tout ouvrier se rendant exactement compte des avantages qq'il peut en retirer devienilra mutualiste.

Nous avons la bonne fortune de posséder dans notre cortège deux Sociétés de gymnas­tique et deux Sociétés de tir amies. Les œu­vres patriotiques ne sont malheureusement pas assez connues et aidées*

avecmilitaires,-Jn. ic cowaet vwn»—uu-h/ump, »4 —fc par la création de ces Sociétés post-scolairA jusque dans les petites commnnès de France et des Colonies, que nous pourrmis obtenir, sans danger pour la défense nationale, la réduction du service militaire.

J ’espère également que lorsque la Fédéra­tion des sections de la Société nationale de tir sera constituée dans l’Oise, nous obtiendrons la fondation de nouvelles Sociétés.

J ’adresse mes remerciements à toutes les Sociétés qui ont bien voulu nous prêter leur gracieux concours et je leur demande de vou­loir bien accepter le vin d honneur que nous, sommes heureux de leur offrir.

Je remercie aussi mes collaborateurs de la Société Le Reveit, en particulier M. Malin, fondateur de notre Section chorale e t de notre Section de pupilles, et toutes les personnes de Morienval qui ont contribué à m décoration de nos rues et à l’oiganisation de la fête.

A vous tous. Mesdames, Messieurs, qui par votre présence en avez rehaussé i’éclat, j ’a­dresse l’expression de ma vive sympathie.

Four terminer, permettez-moi d’exprimer un souhalû, c’est de voir ces réunions frater­nelles se développer dans nos modestes vü- lagès et leurs habitants s’unir dans les mêmes pensées de contraternitè et de soliduité*

J ’adresse un hommage respectueux:A M. Emile Loubet. président de la Répu­

blique française, premier mutualiste de France et Président d’honneur da la Société natio­nale de tir.

A M. le Président du Conseil e t aux Mem­bres du gouvernement.

Et je term inepar ces mots dont je voudrais trouver l’écho dans le cœur de tous les Fran­çais : c Vive la République 1 »

Ces diiconn sont l’objet d’apylandisse- ments répétés par nne tonie enthonsisste qn’on pent érainer a pins do denx mille personnes.

Ensnite, STee nn ordre parbit, le cortège officiel et les Sociétés se rendent an T.n d'hennenr offert par le Comité d’organi­sation chez MM. Foisard, Hnrmane, Dn- Irénel, débitants. Dans la salle de fêtes de l’hOiei Saint-Len (Fossard), hrillamnMnt décorée ponr la circonstance, od’ s’etait rendn le cortège officisl, H. le 0 ' Chopinet porta nn toast é M.Lonhet, président de la Répnhliqne française, et leva son yene en Ihoonenr de M. le colonel Censsand- Onllié, de M. Chgnard, organisatenr de la fête, et des nombrenses Sociétés présentes.

A l'issne de cette rénniOD, M. te colonel Conisand-Oailié a remis a M. Oblet, maire, les insignes de membre correspondant- censeiller, grade snptriear de ia Société NstionaledeXir.

Les Sociétés de mnsiiine de Saint-Jean- anx-Bois (directenr M. Terriêre) et les trompettes le Rallicmeni de Crépy (chef M. Molnat) dennérent ensniie, snr la place de Saint-Clément et la place, commnnale, nn concert chandement -acclamé par les assistants ; cenx-ci ont également applandi les exercices fie gjmnastiqae très bien exécntés par le* Sociétés (Espérance de Vtllers Cotteréts et la Fraternelle d . Sain- tines.

Le soir, nn grand bal publie, qui ne se terminait qa’à nne heure araocée de la nuit, r. ôtnrait cette fête charmante, réus­sis deTéas points, qui laissera nn sonreDir agréable dans la mémoire des habitants.

— Aciis DE PnoBErd Nous signalons les actes de probiie accomplis par le jeune Matte, d'Eliaconrt, et M. Lemaire, alln- mettier é Saimines, qui ont tronTé, snr la place de la fé e, cbacnn nn ports-monnaie contenant (Une certaine somme d’argent, qs’ils se idiktampressés de d ^ s e r entre les mains de MHe Maire.

\

N e u i l I y - e n T h e t l e .—Bbaconnagx. — Le garue Barbeaux, da F.esney-eu- Tbelle, fai-aat sa todmée habitueile dans la nuit dn 7 courant dans les bois d’Oin, surprit les sieurs Massonbre François, a,é de 80 ans, et Mntenr Angnstin, éjé de 59 ans, en traiû de poser des collets. Frucés- rerbal a été dressé contre eux.

Simple police de Neuillg-en-Tkelle du mois d’Août.

Marchandin (Stanislas), manouvrier A Bala- gny. 1 franc d’amende pour avoir laissé diva- guer son chien.

— Desauty (Hector), ouvrier agricole à Saint- Félix, récolte 2 francs d’amende pour ivresse manifeste.

—-M. Denizot {Suies), industriel à Chambly, se Toit condamner à 2D francs pour diverses coutraventions aux lois du 2 novembre 18fô et 9 avril 1898.

— La femme Petit, ménagère à Tiilet, com­mune de Cires-les-Mello, dont nous avions relaté les violences à l’é j^ d du sieur Cheva­lier (Charles), du même ueu, se voit infliger une journée de travail.

— Le sieur Depothutà (Henri), manouvrier à Neui1ly-en-Thelle. est ^un ivrogne invétéré e t dé plu9 ûh îtaÉorefil 'persOhnage. ^"'Tlëbllé 5 francs d’«mcnde pour soulograpbie mani­feste et fi francs pour iiûnrea à l’égard de sa mère,

”• Fov^B’STolrpuhitchsrdoaMrsstsmp*

utile, le sieur Bataille (Èugêue), cuItl^teuT A RonqueroUes, est condamné à francs d’amende. ’

Le.'âieûr Levasseur (Jules), charretier à B o rn ^ Mcbité 1 franc d’amende pour défaut de guides.'

^ Encorie un amant du petit veire que le sieur Têtu (Jules), manouvner à LaX^Lapelle- S a in t-P ie r^ Cela lui vaut 1 franc d’amende.E tat civil de Neuüly~en~TheUe du mois à^août ' Ifaiseaneea. ~î<) : Béquin Mârcel-Louis'; 26: SeiUier Marie-Félicie.

Décès^ 5 : Gruez-Georges-Ernest. 11 mois; 20; Auger Alice-Albertine, 4 mois ; 25 : F(^en Jean-Baptiste, 66 ans ; 31 : Petit Gilbert-Louis, 10 mois*

Publieàtions de Mariages, — 7: Entre Deœouy Lé6nard-£ugène,'et Constant Marie- Louise.

28: Entre Caron Léon-Auguste, etH ucos Margüerite-Félicie -

Mariages, — 1 : Méry Diogène-Albert, avec Deriardins Julie-Suzanne.

27 : Demouy Léonard-Eugène avec Constant Marie-Louise.

C b ^ o j - V i l l e r s . — E le c t io n s Mu­n ic ip a le s . — Demain anri lien, après rannolaiion des électioné dn 4 - mai par je Conseil de Préfecture, ûn honrean scrh- tin ponf nommer le Conseil municipal.

On nous commnniqne la circulaire sci- vante :

Chers Concitoyens,'Vous altez être appelés, pour la deuxième

fois, A élire votre Conseil municipal.C’est un fait bien nouveau dans notre com-

mtme, et i l n’en est que plus triste. ' .Ormoy est devenu la risèe des antres pays ;

c’est nne honte pour les habitants..Des hommes, A qui l’on avait accordé jus­

qu’ici un peu de confiance, ont falsifié vos votes dans nn-bn t inavouable, et il a fAlln que ce soit bien criant pour çra’un Conseil de préfecture radical annulât t u Conseil munici­pal radical.

Eb bien, quelle confiance pouvez-vous en­core avoit enties homiries?''

Ils agiront de la gestion de vos finances et de vos intérêts comme ils ont agi an scrutin du 1* mai.

Aussi, chers concitoyens,notuvotisdisons: Si vous votilez le régime de la fraudé, dé la

bouteille A encre, du parti-pris, des hâbleurs, votez pour eux I

Si vous aimez l’hcinnéteté, la droiture, la justice pour totis et le dévouement à tous vos Intérêts,

Votez 11 Votez pourtMM, DDSABLn, L addat, M auct, CoLin,

Gauheval, conseillers sortants ; Cbevallish (Maurice) ; T r î f t (Léon) ; Chemardin (Jean) ; Beu-

. LEUX (Louis) ; FitOHEnnir (Lu­cien),

P o iif*S a iiite> llIsuK enee .— Norfis PAS SON NABI (suite). — LêS téNOÎDS dMS l’affairo d* Darorgemont, qui a teyé ta femme, ont été entrndnt mardi par H. le juge d’instruction de Seniit.

Derongemont, après des disputes eonti- nnelles avec sa femme qui ne cessait da l’injarier, et qui était renne le relancer jnsqne dans un cabaret ofi il bnrait nn Terre de bière -sves u n ' caattrade, s’en retonmait arec elle pour réintégitr lé domicile coQjugal. lo rsp ’nne di^nte pins Tiolente qne januits vint a éclater an me-* ment où iii traversaient le pont.

La fomne DereegMnont, surexcitée an damier des points, monta snr le parapet dn pont en disant à son mari: T ens, lêidie', propre a rien, fainéant, je rais me jeter a* l’eau. — Et alors, loi, la ponssa arec cette simple phrasé : Eh bien, ras-y donc 7

Intenegé en préserca de denx lémoins qui ont m le coup, Derong» mont arone sans anemie réticence qne fPest i n i ^ i l’a poussée et qne les tém»ins disent la rérité. Il maoifsste nn repentir sincère de son action; ii a été ponssé à bout.

La femme Darorgemont ne Jouissait a Pont d’ancnnaconsiaératlon ; elia avait été mariée en premières noceaarecmniemmé Doré, dont elle avait en S enfants ; c’ëst !on ainé, qui a été le meurtrier dn petit Sirihàih et qui, lors de son interrogatoire, n’a manifesté aucun repentir ; rien qu’à le voir, en pressintait en lui nn précoce vaurien.

Derougemont était nn assez ben ouvrier et certainement il ne pont être considéré comme nn asiasiin.

Déjà plosienrs feis,dn reste, les denx époux s’itaient séparés, faisant très mau­vais ménage. On prétend qne la femme Derongemont se livrait a la boisson.

8 i ^ t> W s w t ^ e * I j e i i g m o n t . —Vol. — Ua b;ave homme, le père Mon- chiet, de Saint W.ast, élèye véniblement ses deax pétits-enfants, avec lé profuit dé son maigre salaMo çptiOdabtiMitcen cassant descalllonx. ,

Halhenrensémeiii, nn ttiste individn a trouvé, probablement, qne le, viitilbrd était trop rirhe, car après avoir fracturé la porte d’une cabane où le eère Ifonchiet enfermait ses outils, le malfaiteur fit main bas>e sur les instruments de travail, lo lammenl uae massa, un pic, une livra de pondie, etc., etc., le tout évalué a une quiuzsine de f anes.

On juge du désespoir du pauvre vieux, car ce vol étitit ponr lui fort gênant, pécu­niairement parlant.

li. MoueUet n’edt d'autre nssOurce que de déj^ser plainte a la gendarmerie de Verberie et celle-ci a informé sur cqtte affaire ; comme le volé n’a aucun soupçon, le coupable de ce larcin pent long^aqis jouir en paix de sonaroL

V e r b e r i e . — Vol. — Il y avait déjà longtemps qu’un cnitivatenr de Saintinesç M. Rabbé (Lncieo), voyait disparaitre nn silo de betteraves qn’il possédait non -loin - du Dépôt des Machioes, prés de la gare dé Verberie.• M. Rabbé,,ayant appris demièràment qu'nn employé de cette gare, nommé F., disaità qui voulait l’ectendre qn’il Ini-avait acheté des betteraves, se douta qne cet homme devait être son voleur et il confia: ses sonpçons à la gendarmerie. Celle-ci an cours de son enquête fit avouer le vol au personnage incriminé et lui dressa procès- verbal.

Bien qne le vol soit minime par lui- même, il n’en constiine pas moins nn acte indélicat et il ponrrait bien être gros de conséquences ponr son auteur.

— Abus d i coNFiANtm- — Un sieur X | ayant à payer une traite an 31 aofit der­nier, tirée par la maison LévyrBiagw, de Paris, et se trouvant momentanément gêfié, avait demandé, quelques jràrs avant l’échéance, les tonds nécessaires an tireur poni' fidre face à la traite, mais le jour de l’échéance notre homme garda les fonds par devers lui et... laissa protester l’effet.

Le tireur ayant déposé plainte ponr abus decoDflafice, X répendit qn’il avait l’in­tention de renvoyer les fonds le lendemain de l’échéance; l’idée était bonne, mais il efit fallu pour cela qu’elle fat mise a exécution la veule et non le lendemain de l’échéance.

— AccmiNT. — Ail cours des travaux effectués a une maisra de Verberie, un ouvrier ayant fait nn faux mouvement toinba de l’échafaudage, jeudi dernier, et fut précipité à terre d'une hauteur de lix mètres.

Ses camarades allaient se mettre en me- SDi , de)ni potier secours-iofBdu’iis cons- tâtérent que lé blessé, par nn miraenleixbàS ai« ,‘8 i à i t ' t o B B î r ï --------qne sM taiM ai MM saifeBnelque peu sonf-: lri]r, r flo m m elM M to ata féit indefflM ,eéla p e v fu t plus p a n d a q w ifi m i ;

F a u x L o g o l ^ p ^Pai^’C^u-FniBÉ..

Prenez-mcd une lettre, preiùz-m’en deux, pre­nez-m’en trou, prenez-m’en prenez-les-moîtoutes^ je reste tofqôûn dé que je suis; "

f3isa>iiMe’: !'KFS.'TéÉVALr

Mon entier.En app&t, mange mon premier,

Mais ne peut proférer mon plus petit dernier*

Nous publierons les noea*«»lM=pMi- donymes des leoienrsiou lectriees qni auront trouvé'les solutions ou Fime ou l’autre d’elles.*La solution d -s deux logbgriphes da

num éro du f septem bre es t : .MONTLUÇON — LUÇON

DÔULLENS - LEN&D iverses solutions ont été trouvées p s r : Lucien (M ontluçon, Lcçon. — Ma-

RENNES, Rennes. — CHERBOtmo; Bourg. — DOQLLENS, LENS).

ÉTrébron (Cherbourg, Bourg. — Ma- RENNES, Rennes. — Doullens, Lens).

Bourfruignonts e t Senlisienhes (CÎher. BOURG, Bourg).

Culture rationnelle des Céréales.

Si l’eu emnpara letatatisiiquas de pro­duction peur les céréale en France et dans certains pays'étrangers, s l l ’cn ta contente même de comparer les rendements de -di- ver.*es régions dé hotrê pays, on s’aperçoit, par les différébces considteabiesqui existent entre ces chiffres, qu'illresté eucorè dans beaticeup de nos départements, d’énormes progrès à accomplir au point de Vhê de cette production. La grande importance de êes iâtéj;oriiï do ehtturei n’étant pas dis- cutLb'e, nous allons cxaminsr immédiate­ment que’s sont les procédés, à la portée du phis petit cultivateur, permettant d’ac- crottre es rendements , e t l ’arrimer à dus productions intensives, les seules qui, dans les conditions àetnolles, puissent laisser un bénéfice.

Si l’on envisage la céréale en elle-même, il est iih oitestable qu’on devra cultiver non seulement une variété à grand reide- mest, mai. encore nne variété bien adap­tée au sol et au climat ; on devra en outie sélectionner avec grand soin-ses semences, n’utiliser que des grains lourds et sains, les semer suivant les règles d’une bonne pratique.

Mais cela ne suffit pas ; dans la prodnc- tien des céréales, il y a deux facteurs à considérer : la graine que l’on confis au sol et ce sol lui-même. Or, ce dernier joue UB rôle capital dans la question de pro­duction. ,

De nouffireuses expériences mit «n d b t démontré que le déveleppement, l’accrois­sement et m productivité des céréales dé­pendaient intimement d’un prindpe ferii- llsant de la plus haute imjportauce : l’adde pbosploriqua.

Cet élément se trouve malheureusement en quanti és trop faibles dans la grande majorité des terres e t ne peut par suite agir que d une façon imparntite : la od les forts rendements sont obtenus, dans les pays de culture intensive, c’est qu* l’adde ehosphoriquo a été fourni on qaautité suf­fisante au lol, sens forme d’engrais phos­phatés; là au contraire où les rendements sont faibles, c’est que c e ta i^ r t n’a pas é té fait ou n’a été fait que trop parcimonieu- lement

La nécessité de l’apport de l’adde phes phorique étant admise, à quelle source s’adresser pour celai Las cultivateurs se voient eu effet offrir des phoqjhates natu- rets, des scories et des superpbosphates. Les phosphates natnrels.sont nune effica­cité médiocre et, malgré leur bâs prix.coûtent beaucoup trop cher, comparative- lent à ce qu’ils produisent. Las super- hosphates, s'ils donnent de bons résutats

beaucoup de sols, ne réalisent cepm dant pas l’idéal d’une culture vraiment ra- tionndle : obtenir lesmeillenrsmidements aux meilleures conditions possibles. LM scories, lorsqu’elles sont pures et effi races, comme c’-st le cas pour les Scoriee Tbo^mas « ETOILE s . permstteut aii con­traire d'obtenir d’exeeilents produits et do les avoir économiquement. Partout où les Soorlos Thomas « ÉTOUiK » sont uti­lisées, quelle que soit la n'atnie duterrain, « i voit là genDiuation se faire d’ùne fsçon meilleure et plus réguUére, lespieds tatier davantage, la paille se dévtsloHi«' pins belle et plus résistante, les épis se foimw plus nombreux, plus longs et mieux m n- plis, le grain devenir plus gros et]tiss dense. A .côté de l’augmentation de q u o ­tité, il y a donc aupentation très notable de ia qualité, avec en outre g rudn résis- tu c e a la verse et aux nutiaoies ciyptoga- miques (rouille, charbon)..

Biant donné qu’une l’ose moyenué de 500 kilos de SrâriM T h o m u c ETOI­LE » à l'hèciare ) p m e t . d'obtenir ces excellents résultats, il ne saurait y avoir d'hésitation pour la fumure d .s câréairs : c’est aux SciHiea Tbonou « ETOILE » ntA rites saules, .cp'iicenvient de s’adrM- ser. *

: ' '■ '■ ■' -

H Ë H i i œ

OnérisoB des bcfnies r i diffinmités du cerpsA tout Age, [pins de )80 jans jd’expé- rience, breveté s. g. dw g. -Bmr’" ’-^ OrtkopéUxte, ancien curateur hi venant de Paris, attaeW à . la Après 3 moi* d’amilicatfon du Midage VUACHET, le maude, q u Ms h en lin «ntaUtè depuis p ln s im anaéasrebttoni la, cure certaine r i radevfeht aussi robust* qu’avant.

Far l’appiicailôB do sin appareil, dont il est le seul propriétaire, M vuaeher s’en­gage à mainteuir toutes les hernies'quel, qu’en soit le volume on l’ancienneté, .des­centes, ruptures, cassures, etc. Q prouve la guérison radicale par dès müliers d'ot- tssMrioNsidntiquesàlasuivante: .

AuaIM d’u s iMtai* très volomiMSMi )Me dsBi 10 sas, fi ni’* été impossOil* ê* trsvsBIsr.H. TBACEB SB’syui pissé *00 •ùvsleppa' rsU] 1* sais cosipw«ss*at i

MsTsioi raeoBea)s**Ms.X. L.

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. FRAUÇAI^ - FIANO ‘ ‘’SOLFtel râ|siusSati)k''bn>ScnStii'

a rhmuMurdriBfoit se tient à Itgr 'd i ï |o ^ â de vacances, à lùdiiLdni •

augmeKt a t i w i h i u f z i r e

C’ FratKiM àlidée e n ià l» X* j r y ' 'r Tiîé¥rii ' r in rn n d B n

étiseêiéaB ees m ir l a V ie È kÉ tË » ïtA B ÉBE»

Les rentes jvisgèies reçoivent un M n - i : loppement criisidérabla. La de»rentiprs est justifiée par la seliriié de cette anciriine Ciùpagnie que les Tribuimux et les Cours d’appel çFaris,l.yen,TMiQuw^ eto ) , désigoent pour la eensUtiBjq«.*iin , rentes à servir. . •

B’adrasser peur nrnnsipemnntSiiulriM et onnftdnutinls à M. DBIVlSBf Béni** A M tiQ éÿrU délàC o. a do laTôMeij»rie.pradn la r -à M. D BIVIBier^--------près du Itarehé.

U T M i i c M S è ^ ^ ^Nou* prion* Jeppenmn** gui nouodo-

mandent de* retm igiiam tnd^ ( R e t ^ u S ^ joindre à leur ISrira îm ftsièrt po fu r^ réponte.

l a U M a re t ib m d c . •d tn c ii et Os leur*

réd*ct«iiTen chef; Mizzon e tO , AÂit-n,^ «e»'. bdOlsTATASAint-Geniiain, Péris.—" S b r o S e ' dn n« lp33, dn lô s tp ta n b n «OS. -^-DnidsvM*

■ntomobûes, par Albert Manmené.' — Le >iège de l’aruin, p s r A. Actoqn*. — Le elader

Je lé Téte-Rousse, par P. SSongiiL Le grand barrage de la Tanriee, par Danid Bdlat.— L’électricifé de 1562 A1000, par J, LaSiargne, — 1> camphre du Japon, par Henri Cotmin.— Chroniqne. — Académie des sd e n e a : ^ c e d u 5 MptembijlSOé, par (%. T fU - denll» — M utean hy ten liq n e A vapenr, ae r P ,d e M . — ae numéro contient l O ^ v r i w e t ls bnUetin météorologique de la siiiililiis -

U Gérmt : In . «««—~ iiBmriauiie du Cossrrssr de:f(

«-éé, placé de l'Hôtri-de-f~ "

Abt. 1«.Btade de __

Ûcencié en droit, «roaé à _.. rue Saint-Rilatre, n*..10,

8nccesz«iB de^H* .

. F t i i ^ o X e s ig a le .

De denx exploits du ministère de M*. Guiot. huissier à Paris, et M* Jolj, huis* sier à ChantUiy, en date des' sept et huit septembre mil neuf cent 4 uaâ«,'cim» gistrésj

H appert qu’à la requête de Mofisieat GtuiUaume-Joseph Arnaud, propiiétaize,

* demeurant à Faris, 26, rue de Su* rênes;

Pour lequel domidle est élu à Stalis,10, rue 6aint-Hilaire, en l^tude de M* Morand, aroué;

Notification a été faite à :1* Monsieur Chazles-Âlbert Demay,

vétérinaire, demeurant à Boûfogne-sur* Seine, >!2, rué de ia Saussière,

« Agissant au nom et comme « subrogé-tuteur de Ltentine « Juargier, enfant mineure issue « du m ax^e de Monaieur Fran«« çois-Joseph Largier, décédé, et « de dame Màrie-lriîontine Coliù^« son épouse ; »

2* Et à Monsieur le Procureur de la République près ie Tribunal dril da p rem i^ insiance de Sentis;

De l’eiqiédition d’un acte dreasé an. Gretie du Tribunal dril de premifre. instance de Sentis, le ringt-siz août.n^ neuf cent quafré, enregistré', constar* tant le dépôt efiéctué audit Greffe, le même jour, do la copie coilatMWutée eà enr^fistiée;

D'un contrat reçu par M* Balézêa^ notaire à Chantilly, les dix-neuf et ringt et un octobre et vingt-neuf novembre xnil neuf cent trois, enres^stré* conte» nant Tente par : . .

1* Madaihfl Miuie-Léontine , propriétaire, ' ttmeurant àl' G o u t Teuve de .Monsieur Franç(âhj[!Largier^

2« E t Monsieur Edouard-Loub Tiio« maisint' prolétaire, demeurant à La Cfaauiéée,-enfi innne de OouTie&a

A Monsieàr Arnaud, su-noanné, de | T e r r ^ de Gouviêua^.

1* Deux ares soixante-quatorze een« ' tiares de terre et bœ|, tieü ie CSiéap Massy, tenant d’un roté ^tmiitnr Tau-». ' pin Renry, d'autre cûté'Monâeur Tio^' ' tor Casse, d’un bout MésiièQrs- Caékeiet Batiduzier, et d’autre bout Messieure Meceier et:Rordel;'~ t

Section E^numero 22GL' -2* E t deux ares trrize oentiaree' da

terre, lieu d^Ia Cloa "d'un côté'‘Monsiéur Hunt,' ’d'aûtro côté'Madame Loustalet, d'un bo9tt iterieqfaiet d’autre beiR Mengieui» ^meléb

Seetmn E, numéro 1973*•vEt ce moyennant le .prix principal de deux cent eoixante-e^t franes gueirê* . vingt-vinq centime», ensus d «

Avec déclaration :Que ladite notification leur était frite

conformément' à rarticle 2194 du Code Civil pour qu'ils aient,à prendre telje inscrij^on d’hypofrèm Mgale quEa .. aviseraient dans le' délai de deux mens, et que faute par eux ûe se mettre en r ^ e , dans ce délai, les nmneublee dcntt . il s’a^ t seront et demeureront djfcfiMti* Temeyiû purgés et libér&~entié les 'nûfins de l’aoquérenr de toute hypothèque dé cette ittture;

Et à Monsieur le Frocnveur de 1a Ré^ publique, que les précédents nromé- .tafres -.pariusseni êtrè' indépenoaàment des Tendeurs ; • - '

Lépàtuw4iieÉsi*»e€iHHeedpMHKi»émnBSb Edouqrd-Louis Thomassin; -.

Joseph-Nicolas Bfarçâ et dame Hono­rine-Generière-Vietfmne HenncMiiet, son épouse:

Jeau-Mane Mennessier^ dame Gmie*. Tièvé-Honorine Chrétien, spn épouse ;

dame Rose*

^ _____ Moue-tache, et dame Lucie Leream,, son épouse ;

Et que tons ceux du chef pourrait étr* tirisddes'frieriptiôns \ pothèqûe légale À’étsJtt pà^ éonn^reqaéanmt, iflerzit'imUieF làditrlfci_cietion dans un des journaux désignéepour les annonces ju a id a ti^ G(^<f~^

Four loatM dn&fiM. V adrtis irruas.

et premier i mot Pour inserliiA £

Page 4: 9 d«(pftn^fce«Éne- eaux,bmsenlis.com/data/pdf/js/1904/bms_js_1904_09_11_MRC.pdf · 2014-02-17 · Û ri I10N-vi.-->c-''''-'‘•^ ^i•'•' •^•*2^i^^•^ -•^'-•s.">•

LE <»ÜRRIBRHPE :I <”Sg f - _ £ ^

p « r n U ti.i» o«^(^«*>»^I“ *‘‘’«■- :

criées do Ttifei*i»I|_ ,™ (Oise), au Palais de H a i t a sille, rue de la-Ré'

pnbliquie.

^ ^ ê f4t^ .!pour les renseignemeuts 1 * ■ a ' M- SAINTE-BBirVE, avoué,

poonuivant la vente ;î - A M.i BAÜDELOÛOT, comnai

greffier du Tribunal dvil de Senhs ;3- A M‘ QUENTIER, notaire à

■fflîainhlyj . ., . i4* An Greffe du Tribunal civil de

Sœlis, où le caMer des charges est dé­posé,.._

C ÇBITBffiIffiiOMjlieu dit le Cbemin de Uean^

2 PIËCEs 'dE ^ M ESisci 4*

L'a^odication atira Heu le M u a « h e *K S epum hrp «»0 4 ,

à deus heuÊTu de retevée.En 1» Mairie

(U U C a m m i de Cuwgnon (Oim),

nptaipeàBett,4 ,cet eudte

poêr les reMêiÿitetneH^ i A «»o«*^San-

Bi, ponmivaat la vente ; ^ ^A IffàlfHtAïai, «voué p4i«Bt ù “

Bets,Kt £ h ' ilBiéEÈpS, notaire k jéj ^ ^ t v . dn ^ û e r i s chatges.

e tVnotaire à

IRTlLiUt,„ ■en-nalle.

V E N T & S i œ r - L K Ï P A T I C ^9*raiB

d r d w E i e j ü e t "SisesàFOULANOUB& .

aa-detfiii U-roa-'Mat-Beiat

! Bèi»*:'î«»et BifiSiSM tetrrfr de- FOOIiANGDKS.

L'adjndioatjei» anra.liea.l;:MwM e>.. * » » •» » ■ * » « A 9 0 4 .

t gmitn heures prM sa de rielevée,Bn û nuûon A’Bcole=d« Fo»J»^«i et par àet.raiùîfbire .de- M* Toonnu,

, notaire A’üeuüly-en-TlielIo, a -cet effets

S ’adresser peter les reeuetgnemsMe :A 11' Louis ÉSCAVTi avoué à Sen.

lis, p b u n u i^ t la .vente ;Ét^M- TOORTILLE, notdre. ATbélle,dépo&aite.dee,caliier

Etudes daiWKliwrtn asoné- i SaiHit 7» ^eTerCÿ

et de » .X O I»T liiU B « notaire à NeaiUy*en.>IheUee

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la D iauw eke’ 4 8 b ^ ta m b re 4804»

à deux heures précises de relevée.En la salle As la Mairie do la commuée

d'Brcuis,et par lé ministère de M* TotetiLLe.

notaire i Neuilly-en-Thelle.Sadresserpour UusreHseigneiiietit :

A M‘ Lpuis KSCAVY, avoué à Senlis, poursuivant la vente ;

Et a M* TOÜRTILIÆ, notaire à Neuii- ly-en-Tbslle, d^toeitaire du cahier des charges.

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