Saint-Cathérine / Sint-Katelijne
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Transcript of Saint-Cathérine / Sint-Katelijne
Laat de mensen vrij, laat ze doen, en dan kunt gij leven
Ik heb met Christian Boone
afgesproken in het ‘Vlaams-
Nederlands Huis’, waar hij op dat
moment een lezing over respect
bijwoont. “Ik heb veel respect voor
jongeren.” Hij vertelt mij dat hij dat
van thuis heeft meegekregen. Hij
begroet steevast de jongeren. Het
is dan ook niet verwonderlijk dat ze
hem ondertussen goed kennen in
de wijk.
Christian voelt zicht thuis in het
centrum van Brussel. Hij is naar
hier verhuisd voor de studies van
zijn dochters. Hij woont nu in de
buurt van het Klein Kasteeltje,
waar asielzoekers verblijven. “Ik zeg
soms tegen de jonge gasten dat
ik er ook drie dagen heb gezeten.
Dan bekijken ze me wel eens met
gefronste wenkbrauwen.” Hijzelf
is echter niet geïmmigreerd, maar
heeft er destijds zijn legeropleiding
gevolgd.
Christian is graag gezien door de
‘jongeren van ‘s werelds oorsprong’,
zoals hij ze wel eens noemt. Ze
nodigen hem zelfs uit voor hun
feestjes en familierecepties, zoals
een paar jaar geleden voor de
opening van een nieuw café. “En ik
blijf er nog steeds naartoe gaan, het
is een leuke plaats in de buurt.” Het is
natuurlijk handig dat hij vlakbij woont
en weinig slaap nodig heeft.
Het wijkfeest is illustratief voor de
diversiteit. Iedereen is er te vinden. Het
besef drong pas echt door wanneer
hij er eens een tafereel fotografeerde.
Kinderen speelden in het zand, een
moeder in bikini praatte met een in
het zwart gesluierde moeder. “Laat de
mensen vrij, laat ze doen, en dan kunt
gij leven.” Op het Sint-Katelijneplein
zelf wonen volgens Christian minder
‘nieuwe Belgen’, daar wonen oude
Belgen en restaurateurs.
Christian heeft zijn auto een tijdje
geleden weggedaan. “Ik reed ergens
naartoe, maar ik moest hem bijna
altijd parkeren op de plaats waar
ik vertrokken was. Er zijn trouwens
genoeg trams, bussen en metro’s in
Brussel. ‘‘
Plots komt de geschiedenisleraar
in hem naar boven. ‘‘Waar nu
de metro is, was vroeger de
Zenne, die ze overkapt hebben. Er
stonden 12 watermolens langs de
rivier.’’ Hij vindt dat mensen meer
rondleidingen in Brussel zouden
moeten krijgen. “Er zijn veel zaken
die je niet ziet als je het niet weet.
Eens je het weet dan zie je het ook
elders opduiken.” Vervolgens vertelt
hij mij over de Begijnhofkerk, de
mooiste kerk van Brussel. De barokke
kerk is bovenop een afgebrande
gotische kerk gebouwd.’’ Enigszins
beschaamd vertel ik hem dat ik in
de 6 jaren Brussel nog nooit daar
geweest ben. Hij zegt dat ik er zeker
eens een kijkje moet nemen.
«Laissez les gens libres, laissez-les faire, puis vous pouvez vivre»
J’ai pris rendez-vous avec Christian
Boone à la «Vlaams-Nederlands
huis» lorsqu’il assistait à une
conférence sur le respect. «J’ai
beaucoup de respect pour les
jeunes.» Et il ajoute tout de suite
qu’il s’agit de quelque chose qu’il
a appris chez lui. Il salue toujours
gentiment les jeunes. C’est donc
tout à fait normal qu’on le connaisse
bien entretemps.
Il adore vivre à Bruxelles. Ce sont les
études de ses deux filles qui l’ont
amené à s’installer ici. Maintenant,
il vit à deux rues du Petit Château, là
où habitent des demandeurs d’asile.
«Parfois je dis à ces jeunes gens que,
moi aussi, j’y ai été pendant trois
jours, et alors ils me dévisagent...»
Pourtant, il n’était pas demandeur
d’asile, mais jeune recrue de l’armée.
Christian est apprécié par ‘ces jeunes
aux origines mondiales’, comme il
aime bien les appeler. Ils l’invitent
parfois à leurs fêtes et réceptions
familiales. Il y a quelques années,
un nouveau bar a été ouvert par
quelques jeunes gens. «Je continue
d’y aller, c’est vraiment chouette.»
Le plus pratique, c’est qu’il habite
tout prêt. Encore bien qu’il n’a pas
besoin de beaucoup de sommeil!
Ce qu’il adore, c’est la fête de
quartier. Tout le monde s’y retrouve.
Il raconte qu’il s’en est vraiment
rendu compte de la diversité au
moment où il a pris une photo des
quais. Les enfants jouaient dans
le sable, il y avait une maman en
bikini qui parlait avec une maman
voilée en noire. «Laissez les gens
libres, laissez-les faire, puis vous
pouvez vivre.» La place Sainte-
Catherine elle-même abrite moins
de «nouveaux Belges», c’est là
qu’habitent les Belges de souche
ou les restaurateurs.
Christian n’a plus de voiture. Il s’en
est débarrassé. «On allait quelque
part, mais il fallait presque se garer là
d’où on venait. Il y a assez de trams,
de bus et de métros à Bruxelles, et il
y a même De Lijn.»
C’est alors que le professeur
d’histoire fait surface. «Là où on
voit maintenant le métro, il y avait
la Senne avant qu’elle n’ait été
voûtée. Il y avait 12 moulins à eau
aux bords de la rivière.» Il trouve que
plus de gens devraient suivre des
visites guidées à Bruxelles: «Parce
qu’il y a beaucoup de choses qu’on
ne voit pas si on ne les connaît pas.
Une fois qu’on sait, alors on les voit
ailleurs aussi, ces choses.» Puis il me
parle de l’église du Béguinage, la
plus belle église de Bruxelles. Cette
église baroque a été construite sur
les cendres d’une église gothique.
Un peu gênée, je lui raconte que je
n’y ai jamais mis les pieds quoique
ayant étudié six ans à Bruxelles. Il
me conseille d’y jeter un coup d’œil.
Interview: Elsbeth Boonen Foto/Photo: Alicia Griffiths
Formé par Le Petit Château
Conny Cole travaille déjà dans Le
Petit Château depuis 1986, à partir
du jour où le plus grand centre
d’accueil pour demandeurs d’asile
en Belgique a ouvert ses portes.
Il est vrai que la situation était
chaotique lors de l’ouverture
du Petit Château comme centre
d’accueil, raconte Conny. «Dans un
ancien bâtiment vide de l’armée
belge, le premier personnel et les
réfugiés sont arrivés, pour ainsi dire,
au même moment que les peintres
et les électriciens.» Aujourd’hui,
le Petit Château ne ressemble
plus depuis longtemps au centre
d’accueil établi en ‘86.
Le centre a été agrandi énormément.
«Entre-temps, notre centre compte
déjà trois étages et plusieurs
bâtiments. Pendant les premières
années, seul un étage d’un seul
bâtiment était utilisé.» En outre,
l’organisation était plus limitée
qu’aujourd’hui. «En ‘86, il n’y avait
aucun service», affirme Conny, sans
ambages.
Mais, à ce moment-là, ce n’était pas
la chose la plus importante. «La
principale question était de savoir
s’il y avait assez de nourriture et de
lits disponibles pour les réfugiés. En
réalité, nous n’étions rien d’autre
qu’un centre d’accueil d’urgence
mal organisé.» Au fil des années,
plusieurs services ont été créés,
comme le service d’animation pour
les enfants, et toutes les affaires ont
été gérées et réglées de manière
plus professionnelle.
Conny fait toujours son boulot avec
énormément de plaisir. «Chaque
jour, vous allez un peu à la rencontre
du monde. J’ai aussi fait des amis
pour la vie ici: des collègues comme
des refugiés.» Le Petit Château est
devenu une partie importante de la
vie de Conny. Ce n’est pas étonnant
parce qu’entre-temps, elle y travaille
depuis déjà 26 ans et, en fait, elle a
grandi avec le centre d’accueil. Et la
professionnalisation est en soi une
bonne chose, estime-t-elle.
Cependant, il y a un revers à la
médaille: tout se passe d’une façon
plus anonyme et plus réservée.
«Nous avons commencé comme
un petit centre avec une centaine
d’habitants. Aujourd’hui, déjà 800
personnes résident ici. Autrefois,
je connaissais tout le monde.
Aujourd’hui, il est possible que je
rencontre un habitant qui habite déjà
depuis six mois ici, tandis que je ne
sais pas qui est cette personne.»
Elle sait mieux que quiconque que
les petits désordres forment une
partie de l’histoire du centre. «Ce
sont des gens ayant beaucoup de
stress et de problèmes qui habitent
sur une surface relativement petite.
Les réfugiés se ne comprennent
parfois pas les uns les autres ou ils se
comprennent mal, ce qui est encore
plus grave.» Mais, tout compte fait,
elle trouve que l’atmosphère est
relativement calme. «Surtout si vous
tenez compte du fait que résident
ici 800 personnes de nationalité,
de couleur de peau ou de religion
différentes.»
Conny elle-même a un job très varié.
«Mon travail consiste à organiser
des activités culturelles et sportives
et, bien sûr, les activités habituelles
de formation. En d’autres mots, je
fais de l’animation, j’élabore des
projets, j’organise des activités pour
les enfants et les femmes et je donne
des cours de langues.» Elle attache
une grande importance aux relations
étroites avec les habitants et ses
collègues. «Mon grand rêve est de
fonder mon propre centre qui serait
à tout le moins un centre plus petit.
Je prône le retour aux sources!»
Interview: Bernd Strauven Foto/Photo: Johnatan Somirs
Gevormd door Het Klein Kasteeltje
Conny Cole werkt al sinds 1986
in Het Klein Kasteeltje, vanaf de
dag dat het grootste Belgische
opvangcentrum voor asielzoekers
zijn deuren opende.
‘‘Bij de opening van Het Klein
Kasteeltje als opvangcentrum was
er sprake van grote chaos’’, vertelt
Conny. “In een leegstaand oud
gebouw van het Belgische leger
kwamen het eerste personeel en de
vluchtelingen aan, samen met de
schilders en elektriciens.” Vandaag
lijkt het Klein Kasteeltje al lang niet
meer op het opvangcentrum dat in
’86 werd opgericht.
Het centrum is sindsdien enorm
uitgebreid. “Ondertussen telt ons
centrum al drie verdiepingen
en meerdere gebouwen. In de
beginjaren werd er maar één
verdieping van één gebouw
gebruikt.” Ook de organisatie was
toen veel beperkter dan nu. “In ’86
was er geen enkele dienst”, stelt
Conny zonder omwegen.
Maar op dat moment was dat
ook niet het belangrijkste. “De
hoofdvraag was of er genoeg voedsel
en bedden beschikbaar waren voor
de vluchtelingen. Eigenlijk waren we
niet meer dan een ongeorganiseerde
noodopvang.” In de loop der jaren
werden verschillende diensten
opgericht, zoals de kinder- en
animatiedienst, en werd alles
professioneler aangepakt. “Er zijn
nu ook meer richtlijnen van Fedasil
en de wetgeving is veranderd. Je
kan dus niet meer zomaar je eigen
goesting doen.”
Conny doet haar job nog steeds
enorm graag. “Je ontmoet elke
dag een beetje de wereld. Ik heb
hier ook vrienden voor het leven
gemaakt, zowel collega’s als
vluchtelingen.” Het Klein Kasteeltje
is voor Conny een belangrijk deel
van haar leven geworden. Geen
wonder: ze werkt er intussen al 26
jaar en is eigenlijk samen met het
opvangcentrum groot geworden.
‘‘En de professionalisering is op
zich een goeie zaak’’, vindt ze.
Toch zit er ook een keerzijde aan de
medaille: alles wordt anoniemer en
afstandelijker. “We zijn begonnen
als een klein centrum met een
honderdtal bewoners. Vandaag
zitten we al aan 800 bewoners.
Vroeger kende ik iedereen. Vandaag
kan ik een bewoner tegenkomen die
hier al zes maanden woont, terwijl
ik niet weet wie het is.”
Opstootjes in Het Klein Kasteeltje
zijn onderdeel van het verhaal, dat
weet Conny als geen ander. “Je zit
hier op een vrij kleine oppervlakte
met mensen die veel stress en
problemen hebben. Vluchtelingen
verstaan elkaar soms niet of -nog
erger- verkeerd.” Maar al bij al vindt
ze de sfeer relatief rustig. “Zeker als
je bedenkt dat hier 800 personen
met een verschillende nationaliteit,
huidskleur of godsdienst zitten.”
Zelf heeft ze een job met enorm
veel variatie. “Animatie, kinder-
en vrouwenwerking, projecten
opstellen, taallessen. Het zijn
culturele sport- en andere
vormingsactiviteiten die allemaal
tot mijn takenpakket behoren.”
Conny hecht veel belang aan goede
relaties met de bewoners en haar
collega’s. “Mijn grote droom is een
eigen centrum beginnen. Alleszins
een kleiner centrum. Terug naar de
roots!”
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182 centimètres de classiques
Steven Van Ammel travaille pour
Passa Porta depuis trois ans et demi,
mais le magasin a ouvert ses portes
il y a presque huit ans. C’est son
premier emploi à Bruxelles.
«Je fais le trajet en train d’Anvers à
Bruxelles tous les jours. Je prends le
train à 9h30 pour arriver ici avant
11h00. Je pars vers 21h00. Il faut
vraiment être accro aux livres pour
faire ça», lance Steven. Il a toujours
aimé lire. C’est une des plus belles
choses qu’il puisse s’imaginer faire.
Steven trouve qu’il a de la chance
de pouvoir faire quelque chose qu’il
aime vraiment. Il faut dire qu’il ne
court pas vraiment après les week-
ends ou les vacances.
Passa Porta est une grande librairie
qui vend principalement des
ouvrages dans quatre langues. Selon
lui, il est très important qu’un libraire
s’implique dans la communauté
locale. Il y a une école secondaire
juste à côté de la boutique. Les
enseignants viennent souvent
juste pour feuilleter les livres. Ici, ils
peuvent aussi décider quels ouvrages
ils vont placer sur la liste des livres
à étudier l’année suivante. Une fois
que les élèves viennent au magasin
pour leurs lectures obligatoires, vous
remarquez qu’ils reviennent aussi
pour leurs lectures personnelles.
Ces derniers mois, le déclin des
petites librairies indépendantes a
souvent fait l’actualité. Passa Porta,
de son côté, va pourtant de mieux
en mieux. Un succès à attribuer entre
autres à une meilleure collaboration
avec la communauté locale et à sa
visibilité dans les médias sociaux
comme Facebook.
Passa Porta promeut ses coups
de cœur. Pas de «best-sellers» ici.
«Avez-vous déjà vécu des situations
insolites dans le magasin?» Steven
me répond: «Voyons… Oui, il y a
bien une anecdote à raconter. Il y
a eu cette dame qui voulait offrir
beaucoup de livres à son fils pour
son 18e anniversaire, histoire qu’il
s’en souvienne toute sa vie. Elle
a alors eu l’idée d’acheter une
pile de classiques de la littérature
correspondant à sa taille exacte. Son
fils fait 1,82 m. Résultat: nous avons
empilé autant de classiques que
possible jusqu’à atteindre la hauteur
de 182 centimètres. Et la dame a tout
acheté!»
Interview: Sabina Gautam Foto/Photo: Eva Beazar
182 centimeter klassiekers
Steven Van Ammel werkt al
drieëneenhalf jaar voor Passa Porta,
maar de winkel zelf bestaat al bijna
acht jaar. Het is een grote boekhandel
waar voornamelijk boeken in vier
talen worden verkocht. Dit is zijn
eerste baan in Brussel.
‘‘Ik pendel elke dag met de trein
tussen Antwerpen en Brussel.
Ik neem de trein om halftien ‘s
morgens om hier vóór elf uur toe te
komen. Rond negen uur ‘s avonds
vertrek ik. Je moet echt wel van
boeken houden om dit te doen’’,
zegt Steven. Hij heeft altijd graag
boeken gelezen. Het is een van de
plezierigste dingen die hij zich kan
inbeelden. Steven vindt dat hij geluk
heeft dat hij een baan heeft waar
hij echt van geniet. Verlangen naar
weekends of vakanties doet hij niet
echt.
Volgens Steven is het voor een
boekenverkoper heel belangrijk
om betrokken te zijn bij de lokale
gemeenschap. Er is een middelbare
school net om de hoek van de
boekhandel. De leraars komen hier
vaak in de boeken bladeren. Hier
beslissen ze ook welke boeken er
op de boekenlijst van het volgende
schooljaar zullen staan. “Zodra de
leerlingen naar je winkel komen
voor hun verplichte lectuur, merk je
dat ze de weg terugvinden voor hun
persoonlijke boeken.”
De laatste maanden is de neergang
van de kleine onafhankelijke
boekhandel vaak in het nieuws
geweest. Nochtans doet Passa
Porta het steeds beter. Dat heeft
ook te maken met de aanwezigheid
in de lokale gemeenschap en de
zichtbaarheid op sociale media
zoals Facebook.
Passa Porta promoot waar het zelf
het meest van houdt. Hier vind je
geen ‘best sellers’. Is er in deze winkel
ooit iets speciaals gebeurd? Steven
antwoordt: ‘‘Er is wel een verhaal.
Op een dag kwam hier een dame die
een hoop boeken wilde kopen voor
de achttiende verjaardag van haar
zoon. Het geschenk moest hem zijn
hele leven bijblijven. Ze had het idee
om een stapel literatuurklassiekers
te kopen die even hoog was als zijn
lengte: 182 cm. We haalden dus
zoveel mogelijk klassiekers aan tot
we de hoogte van 182 cm bereikten.
De dame kocht ze allemaal!’’
Tout est dans un mouchoir de poche
Burghart Doempke m’invite au
centre communautaire flamand «De
Markten», rue du Vieux Marché aux
Grains. Rien ne pouvait l’empêcher
de prendre son vélo, pas même la
pluie qui tombe ce jour-là. Savourant
un café, il hoche la tête pour me
confirmer qu’il est bien la personne
que je cherche au moment où
j’entre dans le café. D’entrée de
jeu s’installe une atmosphère bon
enfant, le fil rouge de toute sa vie.
Burghart a étudié à Londres
notamment. Il a rencontré celle qui
allait devenir sa femme en 1968.
Cette rencontre semble provenir en
droite ligne d’un scénario de film
romantique. Il suivait des cours du
soir d’anglais. Elle, alors jeune fille
au pair, se trouvait dans une autre
classe. «Puis, vous savez comment
les choses se passent», dit Burghart
en riant.
Le couple se marie, un mariage
scellé par l’arrivée d’une petite fille,
Helena. Celle-ci naît à Bruxelles,
alors que son père a la nationalité
allemande et que sa mère est
d’origine tchèque. Dans cette
famille, les langues se mélangent.
Burghart et Helena se parlent en
allemand, alors qu’Helena et sa
mère se parlent en tchèque. De leur
côté, Burghart et son épouse parlent
anglais entre eux, et Helena parle
généralement français dans sa vie
quotidienne.
La famille a toujours habité dans le
centre de Bruxelles. Elle a déménagé
à quatre reprises mais elle est restée
fidèle au centre-ville: elle a toujours
porté ses pénates deux rues plus loin
maximum. «Habiter au centre est
assurément un choix pris en toute
conscience», explique Burghart.
Les Doempke ne possédant pas de
voiture, ils s’arrangent pour trouver
ce dont ils ont besoin dans les
environs. «Dans le centre, rien n’est
jamais loin», confirme Burghart. «Je
vais toujours chercher mes fruits et
légumes à Molenbeek.»
Bien qu’il ne soit pas né dans la
capitale, Burghart est un véritable
Bruxellois. Il aime la ville comme nul
autre. «Bruxelles est suffisamment
grande pour être une belle ville,
mais sans être trop grande comme
Paris ou Londres. Cette ville, c’est
tout dans un mouchoir de poche»,
résume-t-il joliment. De même, le
fait de n’avoir que quelques pas à
faire pour arriver dans un quartier
totalement différent lui plaît
énormément. «Franchissez le canal
et vous arriverez à Molenbeek. Qui
oserait nier qu’il s’agit d’un tout
autre univers?»
Burghart est convaincu que sa
femme et lui passeront leurs vieux
jours au cœur de Bruxelles. C’est là
que se trouvent sa maison, ses amis.
«L’une des premières personnes à
qui j’ai adressé la parole lorsque
nous sommes arrivés était membre
du comité de quartier. Lorsque
j’ai entendu dire qu’ils voulaient
démolir les alentours du Béguinage,
j’ai décidé de rejoindre le comité.»
Et à ce jour, le quartier autour du
Béguinage est toujours debout.
Alles in een notendop
Burghart Doempke nodigt me
uit in het gemeenschapscentrum
De Markten gelegen op de Oude
Graanmarkt. Niets hield hem tegen
om ook op deze regenachtige
dag de fiets te nemen. Genietend
van een koffie geeft hij me een
bevestigende knik wanneer ik het
café binnen kom. Er hangt meteen
een gemoedelijke sfeer, de rode
draad doorheen zijn leven.
Burghart studeerde ondermeer
in Londen. In 1968 leert hij er zijn
toekomstige vrouw kennen. De
ontmoeting komt recht uit het script
van een romantische film. Hij volgt
er avondles Engels. Zij, werkzaam als
aupair, zit in een andere klas. “En je
weet hoe zo’n dingen gaan”, lacht
Burghart.
Het koppel trouwt en het huwelijk
wordt bezegeld met een dochter,
Helena. Zij wordt geboren in
Brussel, terwijl haar vader de Duitse
nationaliteit heeft en haar moeder
van Tsjechische afkomst is. In het
gezin hoor je dan ook verschillende
talen. Burghart en Helena spreken
Duits met elkaar, terwijl Helena
met haar moeder Tsjechisch praat.
Burghart en zijn vrouw spreken
dan weer Engels samen en Helena
spreekt in het dagelijkse leven
meestal Frans.
Het gezin is altijd in het hartje van
Brussel blijven wonen. Hoewel ze
viermaal verhuizen, blijven ze trouw
aan de binnenstad: ze verhuizen
nooit verder dan twee straten.
“Het is zeker en vast een bewuste
keuze om in het centrum te wonen”,
vertelt Burghart. Aangezien het
gezin geen auto heeft, gaan ze
naar activiteiten en winkels in de
buurt. “In het centrum vind je alles
dichtbij”, bevestigt Burghart. “Ik ga
altijd om mijn groenten en fruit in
Molenbeek.”
Hoewel hij niet in Brussel geboren
is, lijkt hij een echte Brusselaar. Hij
houdt als geen ander van de stad.
“Brussel is groot genoeg om een
mooie stad te zijn, maar het is niet
té groot, zoals Parijs of Londen. Deze
stad heeft alles in een notendop”, vat
hij mooi samen. Ook het feit dat je
slechts enkele passen moet zetten
om in een totaal andere wijk terecht
te komen, bekoort hem. “Steek het
kanaal over en je komt in Molenbeek
terecht. Niemand kan ontkennen dat
het meteen een andere wereld is”.
Burghart is ervan overtuigd dat
hij samen met zijn vrouw oud zal
worden in het kloppende hart van
Brussel. Daar staat zijn huis en heeft
hij zijn vrienden. “Een van de eerste
personen die ik hier aansprak toen
we hier kwamen wonen, bleek lid
te zijn van het buurtcomité. Toen
ik te horen kreeg dat men de buurt
rond het Begijnhof plat wou leggen,
heb ik beslist mee te werken aan dit
project.” Tot op heden blijft de buurt
rond het Begijnhof staande.
Interview: Anne-Helena Degandt Foto/Photo: Pieter Verhaert
Metrolijn 5 anders bekeken
Gebruikers van het openbaar
vervoer, en zeker reizigers met de
metro, beschouwen hun traject vaak
als louter functioneel. Men stapt op
de metro zo dicht mogelijk bij de
vertrekplaats om er pas uit te gaan
bij de eindbestemming.
Brussel is nochtans een stad die
telkens opnieuw kan ontdekt worden
en telt enorm veel interessante en
toffe plaatsen. Waarom niet eens
een halte vroeger op- of afstappen
en een stuk van het overblijvende
traject per fiets of te voet afleggen?
De vraag klinkt eenvoudig, maar
voor velen is de drempel groot.
Ik ondersteun ten volle dit project
dat de bruisende, vaak ondergrondse
wereld van metrolijn 5 in contact
wil brengen met de wijken die zich
rond de 28 metrostations situeren.
Dankzij getuigenissen en foto’s van
de Brusselaars die wonen langsheen
het traject van metrolijn 5, krijgen
buurten een gezicht. Wijken worden
vermenselijkt en nodigen uit om
ontdekt te worden. Uiteraard niet
Un autre regard sur la ligne de métro 5
Les usagers des transports publics,
et en particulier les voyageurs
dans le métro, considèrent leur
trajet uniquement d’un point de
vue fonctionnel. On monte dans
le métro au plus près de l’endroit
de départ pour en descendre à sa
destination.
Bruxelles est pourtant une ville
que l’on peut redécouvrir à chaque
promenade et qui compte de
nombreux endroits agréables
et intéressants. Pourquoi ne pas
descendre ou monter à un arrêt plus
tôt et effectuer une partie du trajet
à pied ou à vélo? Cette question
semble simple, mais de nombreuses
personnes redoutent de faire le pas.
Je soutiens pleinement ce projet
qui a pour objectif de faire entrer
en contact ce monde, trépidant et
souvent souterrain de la ligne de
métro 5, avec les quartiers situés
autour des 28 stations de métro.
Les témoignages et photos des
Bruxellois qui habitent le long de la
ligne de métro 5 confèrent une iden-
tité aux quartiers. Les quartiers sont
humanisés et invitent à leur décou-
verte, et ce non seulement par les
visiteurs de notre ville, mais aussi
par les Bruxellois.
Je vous invite à commencer votre
expédition à l’aide de ce journal
ou de l’application sur votre
smartphone. Quittez cette station
de métro et entrez dans le monde
captivant de Bruxelles à pied ou à
vélo. Les histoires, photos et activités
qui vous sont proposées vous en
donnent déjà un bel aperçu. Mais
partez surtout à la découverte des
quartiers de la manière dont vous le
souhaitez: votre excursion n’en sera
que plus instructive.
Ministre bruxelloise des Travaux
Publics et des Transports
Metro 5: Moving People, Moving Stories
Metrolijn 5 doorsnijdt Brussel van
west naar oost, en heeft precies
28 haltes nodig voor zijn tocht
door een bonte mengeling wijken
en buurten. Tussen september en
december 2013 krijgt elke halte
een eigen krant, gemaakt door een
ploeg enthousiaste gelegenheids-
journalisten. Studenten en
medewerkers van de HUBrussel
en Luca namen de metro naar
een hun onbekende ‘Brusselaar’.
Deze inspirerende ontmoetingen
resulteerden in 112 unieke
portretten. Studenten van ISFC
gaven het geheel mee vorm. Om
metrolijn 5 verder in de bloemetjes
alleen door bezoekers van onze stad,
maar zeker ook door de Brusselaars
zelf.
Ik nodig u uit om met deze krant
in de hand of met de App op uw
smartphone uw ontdekkingstocht
aan te vatten. Verlaat dit metro-
station en stap of fiets de boeiende
wereld van Brussel in. De verhalen,
foto’s en activiteiten die men
aanbiedt zetten u al een flink eind
op weg.
Brussels minister van Openbare
Werken en Vervoer
te zetten zijn bij een aantal stations
leuke activiteiten gepland. Cactus
& Co gidst al wie wil gratis met de
fiets langs het metrolijn 5 parcours
en directe omgeving, met uitstapjes
naar de plekjes die in de interviews
aan bod komen.
Meer info via: www.facebook.com/
metro5be
Metro 5: Moving People, Moving Stories
La ligne de métro 5 traverse Bruxelles
d’ouest en est, et pas moins de 28
stations lui sont nécessaires pour
relier tous ces quartiers très bigarrés.
De septembre à décembre 2013,
chaque station aura son propre
journal, réalisé par une équipe de
journalistes occasionnels débordant
d’enthousiasme. Des étudiants et des
collaborateurs de la HUB et de Luca
ont pris le métro à la rencontre d’un
«Bruxellois» inconnu. Ces rencontres
inspiratrices ont débouché sur 112
portraits exceptionnels, que des
étudiants de l’ISFC ont mis en pages.
Pour garder les projecteurs braqués
sur la ligne 5, une série d’activités
seront organisées dans plusieurs
stations. Cactus & Co se fera un
plaisir de guider gratuitement tous
ceux qui souhaitent découvrir le
parcours de la ligne 5 et ses environs
à vélo et organisera des promenades
vers les lieux évoqués dans les
interviews.
Toutes les informations se trouvent
sur www.facebook.com/metro5be
Verantwoordelijke uitgever / editeur responsable: Dirk De Ceulaer, Warmoesberg 26, 1000 Brussel. Contact: [email protected] - 02 210 12 57. Ne pas jeter sur la voie publique. Niet op de openbare weg gooien.
Met de steun van de