Plan Stratégique communautaire pour l’Immigration
Juin 2010
Soumis à Citoyenneté et Immigration Canada
Soumis par Le Conseil du Partenariat Local d’immigration
pour London & Middlesex
Financé par: Co-présidé par:
2
Table des matières
Lettre des co-présidentes 4
Remerciements 5
Buts- Partenariat Local d’Immigration pour London et Middlesex 8
Trame de fond & Contexte 9
• Démographie de London et Middlesex 9
• Capacité communautaire actuelle à London et Middlesex
9
- Welcoming Cultural Diversity 9
- London Middlesex Immigrant Employment Sector Council 9
- Child and Youth Network
9
- London’s Strengthening Neighbourhood Strategy 10
- Networking for an Inclusive Community 10
• Création du Conseil du Partenariat Local d’Immigration pour London et Middlesex 10
- Comité Consultatif 10
- Structure
10
- Principes directeurs 10
- L’interface du LMLIP dans la communauté 12
- Aller de l’avant: Objectif à long terme du Conseil LMLIP 12
Vision 13
Résultats Primordiaux
14
• Appuis et Services pour les Immigrants 14
• Communication et Accès à l’information 15
• Communauté d’Accueil 16
• Fournisseurs de Services 16
• Barrières Systémiques / Représentations 17
Centre d’intérêts 19
Éducation a. Participants à la table de planification
19
3
b. Énoncé des Résultats c. Priorités et Directions Stratégiques d. Raisons
Emploi a. Participants à la table de planification b. Énoncé des Résultats c. Priorités et Directions Stratégiques d. Raisons
22
Santé et bien-être a. Participants à la table de planification b. Énoncé des Résultats c. Priorités et Directions Stratégiques d. Raisons
24
Inclusion et Engagement Civique a. Participants à la table de planification b. Énoncé des Résultats c. Priorités et Directions Stratégiques d. Raisons
27
Justice et Services de Protection a. Participants à la table de planification b. Énoncé des Résultats c. Priorités et Directions Stratégiques d. Raisons
31
Établissement a. Participants à la table de planification b. Énoncé des Résultats c. Priorités et Directions Stratégiques d. Raisons
33
En Conclusion 36
Annexes
Annexe A : Mandat 37
Annexe B: Associations et Organismes Participants 44
Annexe C: Priorités détaillées pour chaque sous-conseil a. Éducation b. Emploi c. Santé et bien-être d. Inclusion et Engagement Civique e. Justice et Services de Protection f. Établissement
46
Annexe D: Définition d’inclusion et d’engagement civique 106
Annexe E : Ouvrages cités 107
4
30 juin 2010
Cette année, la communauté de London et Middlesex s’est engagée dans un processus emballant pour appuyer les immigrants par le biais du développement d’une stratégie locale globale et intégrante. Ce processus a inclus trois assemblées communautaires:
• L’assemblée de Stratégie Communautaire du 18 novembre 2009, lors de laquelle notre communauté s’est réunie pour donner son apport de grande valeur sur l’ébauche du Mandat pour le Conseil du Partenariat local d’immigration pour London et Middlesex.
• La Journée de planification d’action communautaire du 2 février 2010 lors de laquelle notre communauté a pris connaissance de la recherche locale et a discuté des problèmes reliés aux lacunes dans les centres d’intérêt : Éducation, Emploi, Santé et Bien-être, Inclusion et engagement civique, Justice et services de protection et Établissement.
• L’assemblée de stratégie communautaire tenue le 26 mai 2010 lors de laquelle notre communauté a pris connaissance des résultats stratégiques du LMLIP et des plans des sous-conseils, a fourni son apport sur ceux-ci et les a unanimement endossés.
Par cet apport significatif de la communauté, le Conseil du Partenariat local d’immigration pour London et Middlesex a été formé avec l’engagement de plus de 120 membres et avec la participation de près de 140 individus qui ont assisté aux assemblées de consultation communautaire. Avec un échéancier ambitieux, le Conseil Central et les six sous-conseils ont contribué en consacrant beaucoup de temps, d’énergie et de vision pour développer le Plan Stratégique Communautaire pour les pour London et Middlesex.
Au nom du Conseil du LMLIP, nous voudrions exprimer notre sincère gratitude à tous ces individus, organisations et bénévoles qui ont joué un rôle si vital.
Notre trajet n’est pas encore complété. Avec la soumission de ce plan nous avons hâte de travailler ensembles pour la phase deux du LMLIP, la période de mise en œuvre. Nous espoir et notre vision sont que ce plan guidera notre communauté à continuer à créer une communauté accueillante, inclusive et couronnée de succès.
Nous vous remercions pour votre appui continu.
Elisabeth White Kelly McManus Gestionnaire, Emploi et Initiatives Stratégiques Directrice, Partenariats communautaires et Département des service communautaires Investissement Ville de London United Way of London & Middlesex
5
Remerciements Le Conseil du partenariat local d’immigration pour London et Middlesex (LMLIP) remercie Citoyenneté et Immigration Canada pour son appui financier, la Ville de London, United Way of London & Middlesex pour leur leadership à titre de co-présidentes. Le LMLIP remercie également la contribution du Dr Victoria Esses, de l’Université Western de l’Ontario et de l’équipe de L’Initiative des Communautés Accueillantes. Notre vision est une approche réellement basée sur la communauté pour aider les immigrants de London et Middlesex. Nous reconnaissons la contribution des individus suivants et des organisations dont le nom apparait à l’Annexe B :
• Muriel Abbott
• Monica Abdelkader
• Ola Abiodun
• Dahlia Abou El Hassan
• Nan Abuhalib
• Rajaa Al-Abed
• Mohamed Al-Adeimi
• Saleh Alathamena
• Asma Ahmed
• Fadela Ahmed
• Munira Ahmed
• Ahmed Yahya Ali
• Maria Anderson
• Rose Aquino
• Robin Armistead
• Lourdes Assis
• Ejaz Babur
• Salah Badawi
• Michelle Baldwin
• Mohammed Baobeid
• Michelle Barkley
• Abdoul Salam Barry
• Fatoumata Barry
• Lise Beland
• Daniele Belanger
• Treena Bell
• Dieufert Bellot
• Sally Bennett
• Mandy Bennett
• Caroline Bennette-AbuAyyash
• Henri Boyi
• Dr. Neil Bradford
• Paula Broch
• Nicole Buteair
• Janette Butler
• Tess A Calden
• Carolyn Camman
• Jean-Pierre Cantin
• Danielle Carr
• Sheila Carson
• Carol Carnegie
• Fran Carroll
• Gerardo Castro
• Ramiro Castro
• Radiea Cekic
• Saira Cekic
• Zhuo Chen
• Sergio Chuy
• Nici Cole
• Lynne Collins
• Robert Collins
• Laura Comisky
• David Cottrill
• Mireille Coubmbe-Anifowse
• Emilie Crakondji
• Lori Cunningham
• Dr. Wei Wei Da
• Ammar Dakhil
• Linda Davies
• Maria del Pilar Silva
• Sarah Dicker
• Susan Dill
• Aracelay Dominguez
• Anthoula Doumkou
• Laura Dunlop-Dibbs
• Patti Dupon
• Denise Taylor Edwards
• Melanie Elms
• Yasmine El-Sabawi
• Mayssa Elsayegh
• Nadia Elsherbini
• Ahad Emami
• Oscar Enriquez
• Secil Erdogan
• Ana Maria Escovar
• Dr. Victoria Esses
• Dr. Farahnaz Faez
• Ross Fair
• Gord Fansher
• Randa Farah
• Sammy Farhane (Belkassem)
• Peter Ferguson
• Marel Fielding
• Minerva Figueroa Sanchez
• Cassandra Fisher
• Joan Fisher
• Carolyn Ford
• Lakshmi Gannavarapu
• Juan Carlos Garcia
• Omar Garcia
• Amani Gharib
• Mina Ghavidel
• Dhira Ghosh
6
• Deborah Gillis
• Estella Rosa Irias Giron
• Kim Godin
• Felipe Gomes
• Michael Goodmurphy
• Kelly Gregory
• German Gutierrez Sanin
• Tendayi Gwaradzimba
• Andrea Hallam
• Mary-Jo Hartman
• Jason Hastings
• Gisele Hauser
• Cindy Hayter
• Anna Hendrikx
• Juan Pablo Hernandez
• Trevor Hinds
• Doreen Hodgkinson
• Jennifer Hollis
• Wraychel Horne
• Cindy Howard
• Rebecca Howse
• Suzanne Huot
• Michelle Hurtubise
• Rifat Hussain
• Sherin Hussien
• Jo-Ann Hutchison
• Zahra Jabbari
• Jan Jasnos
• Mo Jeng
• Debra John
• Lily Johnson
• Zuzanna Johnson
• Jennifer Jones
• Owen Jones
• Melikie Joseph
• Catherine Joyes
• Jessica Justrabo
• Tshikangu Kanyinda
• Tamara Kaattari
• Kate Kennedy
• Nidaa Khalil
• Jean-Claude Kilubi
• Cynthia Konnerth
• Bernard Koenig
• Marg Kowalski
• Dharshi Lacey
• Anne Langille
• Stephen Lin
• Andrew Lockie
• Ramona Lucan
• Gaston Mabaya
• John MacKay
• Jim Madden
• Marcel Marcellin
• Muhammad Bilal Malik
• Valerian Marochko
• Rodolpho Martinez
• Patricia Mazariegos
• Janet McAllister
• Arden McClean
• Susan McElroy
• Christine McKinlay
• Ron McNish
• Nancy McQuillan
• Deb Menear • Kathy Milczarek
• Barbara Milanovic
• Dr. Beth Mitchell
• Candace Miller
• Saeed Mokhtarzada
• Heather Molen
• Debra Mountenay
• Sonia Muhimpundu
• Sanaa Mustafa
• Tayiba Nasr
• Nancy Needham
• Patrick Nitu
• Mercy Nleya-Ncube
• Len Noens
• Stacey Noronha
• Tharcisse Ntakibirora
• Jean-Baptiste Ntakoma
• Mersija Nuric
• Sara Obrai
• Omar Ouda
• Derek Oss
• Lisa Pace
• Carlos Pardo
• Helen Patterson
• Beverly Payne
• George Perez
• Janet Pinder
• Céline Poirier
• Nancy Pollard
• Shakil Popatiya
• Martha Powell
• Susanne Quan
• Brenda Qureshi
• Naeem Qureshi
• Estela Quintero-Weldon
• Amani Radhaa
• Sarah Ransome
• Amy Ratcliffe
• Jose Rey
• Brian Rhoden
• Jan Richardson
• Jo-elle Rinker
• Claudia Rivas
• Jeffery Robinson
• Elisabete Rodrigues
• Nathan Ross
• Dr. Dev Sainani
• German Salamanca
• Alicia Samuel
• Alberto Sanchez
• Jayne Scarterfield
• Barb Schust-Lawrence
• Zan Saleemi
• Nancy Santos
• Mureed Shahid
• Frances Shamley
• Neena Sharma-Kendrick
• Joann Sherin
• Sunduz Shubbar
• Eileen Smith
• Helen Sleaford
7
• Gloryann Sollner
• Nassisse Solomon
• Jelena Spasic
• Mary Starnaman
• Karen Steinmann
• Diane Stone
• Rosanna Stumpo Bal
• Leora Swartzman
• SoonLan Lee Switzer
• Aness Symons
• Trish Taft
• Imam Jamal Talib
• Jill Tansley
• Dr. Shelly Taylor
• GuyGuy Teza
• Nimmi Thind
• Arlene Thompson
• Jessica Thompson
• Lauren Touchant
• Eugene Tremblay
• Horia Turcoane
• Debbie Turnbull
• Harold Usher
• Mary Yanful
• Margaret Yau
• Maria Vasquez
• Gertrudis Velasquez
• Debbie Vickery
• Cathie Walker
• Corinne Walsh
• Janice Walter
• Aileen Watt
• Eleanor Weedmark
• Regina Whelan
• Martin Withenshaw
• Bonnie Williams
• Jennifer Williamson
• Tasha Williamson
• Margaret Zaczek
• Mustafa Zahid
• John Zembwe
8
Le Partenariat Local d’Immigration pour London et Middlesex (LMLIP)
BUTS
Les Partenariats locaux en matière d’immigration, qui sont développés dans plusieurs communautés de l’Ontario, sont une initiative conjointe de Citoyenneté et Immigration Canada (CIC) et du Ministère des Affaires Civiques et de l’Immigration de l’Ontario. Ces partenariats ont été par la suite peaufinés en consultation avec l’Association des Municipalités de l’Ontario (AMO) et la ville de Toronto. Le Partenariat local d’Immigration pour London et Middlesex (LMLIP) est financé uniquement par Citoyenneté et Immigration Canada (CIC).
Le LMLIP est une initiative de collaboration communautaire qui est conçu pour renforcer le rôle des communautés locales et régionales en matière de services et d’intégration des immigrants par le biais d’un partenariat en matière d’immigration local (LIP). Un comité consultatif pour le projet a été formé en avril 2009. Le comité consultatif, co-présidé par la Corporation de la Ville de London et par United Way of London & Middlesex a été un effort de collaboration communautaire.
Le projet fournit un cadre de collaboration et facilite le développement et la mise en œuvre de solutions locales et régionales durables pour une intégration réussie des immigrants de London et Middlesex. Ce projet permettra à notre communauté de mettre l’immigration à son programme global de planification et de bénéficier de l’intégration sociale et économique réussie des immigrants.
Ce qui suit représente les livrables clé pour le LMLIP:
• Développer une capacité communautaire et un inventaire des besoins qui fourniront le cadre stratégique pour que notre communauté améliore sa capacité à combler tous les différents besoins de la communauté des immigrants et des nouveaux arrivants.
• Établir un Conseil du partenariat local d’immigration pour London et Middlesex qui développera une approche stratégique pour aider les immigrants et bâtira sur les excellentes activités qui sont en cours et sur le travail fait à date dans les domaines de l’attraction, de l’intégration et de la rétention des immigrants.
• Développer un Plan Stratégique Communautaire pour les Immigrants pour London et Middlesex qui sera élaboré en collaboration.
La portée de ce projet inclut tous les immigrants sans égard à leur statut, leur âge ou leur sexe.
Le travail du Conseil LMLIP est guidé par un Conseil Central et six sous-conseils représentant; l’éducation, l’emploi, la santé et le bien-être, l’inclusion et l’engagement civique, la justice et les services de protection et l’établissement.
9
Trame de fond et Contexte
DÉMOGRAPHIE DE LONDON ET MIDDLESEX
La face de London et Middlesex change avec l’accroissement de la population immigrante. Selon les données du Recensement du Canada 2006, près de 19,13% de la population de London est constituée d’immigrants et un quart de ce nombre est représenté par des immigrants provenant de l’Asie et du Moyen Orient. De plus, des projections récentes sur la diversité de la population canadienne indiquent qu’en 2031 entre 25% et 28% de la population pourrait être née à l’étranger. On estime également que cette même année, 22% de la population de London sera née à l’étranger et que 11% seront des minorités visibles. La même étude rapporte qu’entre 29% et 32% de la population pourrait faire partie d’un groupe de minorité visible. (Visible est défini par la Loi sur l’Équité Salariale comme ‘’ des personnes, autres que les autochtones, qui ne sont pas de race blanche ou qui n’ont pas la peau blanche’’1).
CAPACITÉ COMMUNAUTAIRE ACTUELLE À LONDON ET MIDDLESEX
Notre communauté a une longue et riche tradition pour aborder les besoins de toutes les cultures incluant ceux des immigrants. L’objectif est de bâtir sur les compétences existantes et sur l’histoire de notre communauté. Certains exemples clé incluent mais ne sont pas limités à:
Welcoming Cultural Diversity
En 2004, le comité consultatif du ‘’Welcoming Cultural Diversity ‘’(WCD) co-présidé par la Ville de London et par United Way of London & Middlesex a été mis en place et incluait des membres provenant de plusieurs organismes communautaires qui travaillaient en collaboration pour répondre aux besoins des immigrants et des nouveaux arrivants. La collaboration qui a été établie à travers le WCD depuis sa création a pavé la voie pour notre capacité à répondre à l’appel de propositions de Citoyenneté et Immigration Canada pour les projets de LIP et pour engager subséquemment plus de parties prenantes dans ce projet.
London Middlesex Immigrant Employment Sector Council
Un des succès clé qui a émergé du ‘’WCD Community Initiative’’ est l’établissement du ‘’Immigrant Employment Task Force’’, maintenant connu sous le nom de ‘’Employment Sector Council London-Middlesex’’ qui supervise le ‘’London Middlesex Immigrant Employment Council (LMIEC)’’. Le LMIEC fait le pont entre les talents formés à l’étranger et notre communauté d’affaires de la région. C’est un conseil qui est dirigé par les employeurs avec la représentation d’un large éventail d’industries qui reflètent la diversité de l’économie régionale.
Child and Youth Network
Une initiative communautaire majeure qui a été créée récemment à London est le ‘’Child and Youth Network’’ (CYN). Le CYN a mobilisé la communauté pour faire avancer les priorités relatives à nos enfants et à nos jeunes. Les priorités incluent la littéracie, la pauvreté, les saines habitudes alimentaires, les saines activités physiques et la création d’un système de services centrés sur la famille.
1 Projections de la diversité de la population canadienne, 2006 à 2031. (2010, Mars). Statistiques Canada, provenant de:
http://www.statcan.gc.ca/daily-quotidien/100309/dq100309a-eng.htm.
10
London’s Strengthening Neighbourhood Strategy (SNS)
Depuis les deux dernières années, de nombreux résidents de divers quartiers participent à la discussion par le biais du ‘’Strengthening Neighbourhood Strategy’’ (SNS) avec comme objectif de bâtir une ville plus forte et plus dynamique par le biais de nos quartiers.
Networking for an Inclusive Community
‘’Networking for an Inclusive Community’’ (NIC) est une groupe de représentants (tes) et de bénévoles provenant d’organismes qui fournissent des services aux nouveaux arrivants à London et Middlesex. NIC a débuté il y a 8 ans et compte plus de 140 organismes parmi ses membres. NIC fournit des opportunités de formation et de réseautage au moyen d’ateliers de mi-journée ou de journée entière.
CRÉATION DU PARTENARIAT LOCAL D’IMMIGRATION POUR LONDON ET MIDDLESEX
En septembre 2009, le demandeur principal, la Ville de London, a signé le contrat avec Citoyenneté et Immigration Canada au nom de la communauté pour atteindre les objectifs suivants:
• Améliorer la coordination et l’accès à des services efficaces qui facilitent l’intégration et l’établissement des immigrants
• Améliorer l’accès au marché du travail pour les immigrants • Renforcer la sensibilisation locale et régionale et la capacité d’intégrer les immigrants
Comité consultatif Pour appuyer le développement du Conseil, un Comité Consultatif formé des gouvernements locaux et régionaux, des organismes communautaires, des organismes desservant les immigrants, des fournisseurs de formation langagière, des organismes desservant les francophones et des organismes reliés à l’emploi, a été créé en avril 2009. Le Comité Consultatif devait débuter les travaux reliés au LIP qui comprennent les livrables suivants :
• Rechercher des modèles locaux et régionaux de collaboration • Mener des consultations avec la communauté dans son ensemble pour revoir les modèles
proposés • Établir un Conseil du Partenariat local d’immigration pour London et Middlesex avec
l’endossement de la communauté, • Développer et distribuer un Inventaire des besoins et de la capacité communautaires
Structure Le Conseil LMLIP est guidé par les termes de son Mandat (Annexe A) ébauché par le Comité Consultatif et endossé par la communauté le 18 novembre 2009, lors de la première assemblée de stratégie communautaire. Le Conseil LMLIP s’est engagé vers une approche de développement communautaire où les multiples parties prenantes participent à la planification et à la coordination en vue d’améliorer la livraison des services d’intégration à tous les immigrants. (Pour les fins du LMLIP, un immigrant est identifié comme étant tout individu qui se définit lui-même comme un immigrant; ceci inclut, sans limitation: les citoyens canadiens, les résidents permanents, les réfugiés en vertu de la Convention, les résidents temporaires et les individus sans statut d’immigration).
Principes directeurs du LMLIP
Le travail du Conseil est guidé par les principes suivants :
11
• Inclusion: La portée de notre travail sera inclusive de tous les immigrants de London et Middlesex, sans égard à leur statut d’immigration, leur citoyenneté, leur âge, leur sexe, leur état de santé, leur orientation sexuelle et leur nombre d’années dans notre communauté.
• Représentation: Représentations pour l’intégration des immigrants (en ce qui a trait au logement par exemple).
• Collaboration: Il y a une responsabilité mutuelle inhérente entre notre communauté et les immigrants.
• Diversité: Nous respectons la diversité au sein des communautés immigrantes et bâtissons une compréhension à travers les communautés immigrantes et les cultures.
• Justice sociale: Nous chercherons à promouvoir l’inclusion et l’engagement civique de tous les immigrants et travaillerons vers l’obtention de changements pour assurer leur intégration.
• Centré sur le client: Les besoins holistiques de l’individu sont au centre de nos travaux. • Responsabilisation : Nous améliorerons et rétablirons leur capacité de vivre une vie saine
et leur donnerons la possibilité de prendre des décisions éclairées. Le diagramme qui suit illustre la structure du Conseil LMLIP qui est composé d’un Conseil Central et des sous-conseils suivants qui reflètent les six centres d’intérêts identifiés par la communauté :
• Éducation • Emploi • Santé et bien-être • Inclusion et engagement civique • Justice et services de protection, et • Établissement
Les six sous-conseils ne sont pas destinés à être distinct les uns des autres mais plutôt à être en lien les uns avec les autres. Le Conseil central est composé des présidents (es) de chaque sous-conseil, de huit représentants (tes) des immigrants, d’un(e) agent(e) de liaison pour la recherche et des bailleurs de fonds.
Le Conseil du Partenariat local d’immigration pour London et Middlesex a été établi de façon complète en février 2010.
2 février 2010, Journée d’Action de Planification Communautaire
12
L’interface du LMLIP dans la Communauté
Aller de l’avant: L’objectif à long terme du Conseil LMLIP Tout en allant de l’avant, le Conseil Central du LMLIP sera le gardien de la stratégie et:
• Fonctionnera comme un conseil consultatif, de planification et de coordination • Se penchera sur des sujets de représentation plus globaux • Développera des indicateurs de rendement et appuiera le progrès à travers tous les
secteurs. • Sera responsable de la supervision des stratégies/thèmes fondamentaux identifiés dans
le plan • Ne financera pas, n’attribuera pas de financement ni ne fera la livraison de programmes
Chaque sous-conseil:
• Examinera les stratégies spécifiques pour chaque centre d’intérêt, appuiera les progrès dans ces centres d’intérêt et fera rapport au Conseil Central par la voix de son (sa) président (te)
• Prendra l’initiative de la mise en œuvre des stratégies recommandées tout en travaillant avec les membres actuels, et en engageant de nouveaux partenaires lorsqu’iI le jugera approprié
• Travaillera activement à appuyer les objectifs définis dans le plan.
13
Notre Vision
Le diagramme qui suit reflète la vision de la communauté de London et Middlesex pour servir et améliorer les services qui intègrent la population immigrante à la communauté. C’est une approche centrée sur le client qui inclura les immigrants et travaillera avec eux pour améliorer leur réussite et leur intégration. La vision du LMLIP fait appel à une responsabilité partagée entre les services et les immigrants. Ajouté au fait que l’immigrant est le point central, le diagramme ci-dessous illustre les cinq résultats entrecroisés des six sous-conseils et leur inter connectivité. Il reflète également la collaboration, le partenariat et l’interaction parmi les fournisseurs de services, à travers les secteurs.
14
Résultats primordiaux
Les résultats primordiaux ont été endossés par la communauté le 26 mai 2010. Ils ont été développés en utilisant l’information reçue des sous-conseils, le dialogue qui s’est déroulé au Conseil Central et l’analyse subséquente faite par les co-présidentes et le personnel du LMLIP. Ces cinq résultats de haut niveau mettent en lumière les thèmes qui s’entrecroisent à travers tous les sous-conseils.
RÉSULTATS
• Appuis et services pour les immigrants
Les immigrants ont un accès accru aux appuis et services afin de s’assurer qu’ils peuvent
participer avec succès à tous les aspects de la communauté.
• Communication et accès à l’information
Les immigrants ont un accès accru à l’information concernant les services disponibles, les
attentes culturelles et comment accéder aux services et appuis pour utiliser avec succès le
système dans la communauté.
• Communauté d’accueil
Les résidents de London et Middlesex sont exposés à, sont éduqués en vue de, et sont engagés
dans la compréhension et l’acceptation des diverses traditions, comportements et
expériences de toutes les cultures qui font la communauté.
• Appuis pour les fournisseurs de services
Les fournisseurs de services et les bénévoles ont un accès accru à du financement durable, à de l’information sur les appuis à la collaboration, à de la formation concernant la diversité et aux ressources pour assurer des services en temps opportun, qui sont effectifs et réceptifs aux immigrants.
• Représentations/Changements Systémiques
La réduction des barrières systémiques (i.e. locales, provinciales, fédérales et celles de la
communauté accueillante) qui entravent la capacité des immigrants à s’engager avec succès
dans la communauté.
Le tableau qui suit souligne les actions qui sont recommandées, les raisons de ces actions et le mode de livraison pour chaque résultat primordial.
Résultat primordial Action Recommandée Raisons Mode de livraison
Appuis et services pour les immigrants
• Augmenter les places en garderie
• Fournir des logements abordables
• Fournir de l’Aide pour le transport (billets
Les immigrants ont besoin de ces appuis pour être capables d’aller à l’école et de participer aux programmes d’emploi.
Les services seront coordonnés et centrés sur le client. Les fournisseurs de services s’engageront dans des consultations avec la
15
Résultat primordial Action Recommandée Raisons Mode de livraison
d’autobus, coupons pour le taxi)
• Améliorer le mentorat pour les immigrants
• Fournir plus de services dans les quartiers
• Créer un centre d’accueil
• Augmenter les travailleurs de proximité Fournir de l’appui pour naviguer les services
Les travailleurs de proximité aideront à augmenter la connaissance des services et les moyens d’y accéder.
Naviguer les systèmes s’est avéré être une barrière importante pour accéder aux services, par conséquent les appuis à la navigation des systèmes les habiliteront.
Un Centre d’Accueil avec de l’information à date, en plusieurs langues, qui fournit un abri temporaire aidera encore plus les immigrants à s’établir à London et Middlesex.
communauté, incluant les immigrants, et partageront aussi l’information parmi les services. Les services réviseront constamment leurs plans de services.
Communication et accès à l’information
• Utiliser le Portail de l’Immigration comme un outil de transmission
• Distribuer l’information sur les services et les appuis aux endroits communautaires naturels
• Produire de l’information sur des problèmes spécifiques en langage simple et/ou en plusieurs langues
• Utiliser les médias pour
Un grand nombre d’immigrants ne connaissent pas les services existants; une telle distribution à travers la Ville aidera les immigrants à obtenir des services dans de meilleurs délais.
Collaboration et coordination entre les services dans tous les secteurs et à travers les secteurs. Un tel inter connectivité aura comme résultat une réponse aux besoins émergents des immigrants au moment opportun.
16
Résultat primordial Action recommandée Raisons Mode de livraison
améliorer la sensibilisation relativement aux autres cultures
Communauté d’Accueil • Fournir de la formation et de la connaissance culturelle aux fournisseurs de services
• Maximiser les ressources communautaires et les réseaux existants
• Utiliser des campagnes multi médias pour former de la sensibilisation au sujet des cultures
• Fournir de la formation sur la diversité
La communauté d’accueil a besoin d’être habilitée par de l’information sur les cultures et sur les problèmes reliés à la diversité pour comprendre pleinement les besoins et les expériences des immigrants. Les actions recommandées amélioreront la connaissance de la communauté d’accueil et créera de l’empathie.
Compréhension et acceptation.
Engager toutes les parties prenantes, les résidents de la communauté, les gouvernements, les fournisseurs de services qui fournissent des services aux immigrants dans les six centres d’intérêts du LMLIP et les organismes bénévoles.
Appuis aux fournisseurs de services
• Améliorer la communication entre les services
• Demande de financement pour fournir des appuis aux travailleurs de première ligne relativement à la compassion et à la fatigue
• Fournir du développement professionnel pour les enseignants (es)
• Créer des outils de médiation et de réconciliation pour les secteurs
Améliorer la connaissance des secteurs et la communication parmi les fournisseurs de services aura comme résultat des partenariats efficaces et profitera aux services existants.
Par la collaboration et la connaissance des programmes de chaque service, les demandes de financement cibleront les lacunes
Les fournisseurs de services travaillent ensembles pour en tirer profit, s’associer et s’appuyer les uns les autres.
Le partage de l’information et des ressources.
17
Résultats primordiaux Action recommandée Raisons Mode de livraison
existantes des services et appuieront les fournisseurs de services pour répondre aux appels de propositions.
La disponibilité de financement peut être limitée, cependant par la collaboration entre les services, les financements existants peuvent être mis à profit pour fournir les appuis nécessaires aux fournisseurs de services et/ou adapter les ressources existantes pour bénéficier aux autres fournisseurs de services.
Représentation/changement systémique
Le LMLIP fera des représentations pour effectuer des changements systémiques dans les secteurs suivants :
• Éligibilité et reconnaissance des diplômes auprès des gouvernements
• Accès égal à l’emploi.
• Augmentation du financement pour appuyer les immigrants avec des habiletés différentes, pour de l’appui à l’éducation et des services de
De façon à ce que les changements au système soient assurés, des représentations sur ces problèmes aideront à faire tomber les barrières à l’inclusion, à faire connaître les services et à créer des attentes réalistes parmi les communautés immigrantes. De l’information réaliste et à date permettra que l’expérience des
Le Conseil du LMLIP fera des représentations au nom des immigrants auprès des trois paliers de gouvernement pour des changements de politique sur les problèmes reliés à l’intégration réussie de l’immigrant dans tous les aspects de la vie.
18
Résultats primordiaux Action recommandée Raisons Mode de livraison
développement du langage.
• Fournir de l’information réaliste aux futurs immigrants qui font des demandes dans leur pays d’origine sur les problèmes reliés à l’emploi, la santé, le processus de reconnaissance des diplômes et des titres et sur les ressources disponibles.
immigrants soit moins stressante et plus globale.
19
Centres d’intérêt Des individus provenant de plus de 100 organismes communautaires, incluant huit organismes francophones, quarante bénévoles et des immigrants représentants six groupes ethnoculturels ont accepté de participer aux six sous-conseils et au Conseil Central. L’annexe B mentionne le nom de tous les organismes participants.
PROCESSUS DE PLANIFICATION Le processus de planification a inclus sept réunions de chacun des six sous-conseils du LMLIP et six réunions du Conseil Central tenues entre février et juin 2010. Chaque sous-conseil a utilisé l’information provenant des processus et documents suivants pour les guider dans le développement des priorités stratégiques:
• Les termes du mandat du LMLIP • Le rapport sur la capacité communautaire et sur les besoins qui a été élaboré en partenariat
avec L’Initiative des Communautés Accueillantes (WCI) et L’Université Western de l’Ontario • Rétroaction de l’Assemblée de Stratégie Communautaire du 18 novembre 2009 • Rétroaction de la Journée d’Action de Planification du 2 février 2010 • Rétroaction de l’Assemblée de Stratégie Communautaire du 26 mai 2010
Les sections qui suivent soulignent le contenu et le travail provenant de chaque sous-conseil. Les priorités détaillées de chaque sous-conseil sont exposées dans l’Annexe C.
Le sous-conseil de l’éducation inclut les services suivants: ‘’English as a Second Language (ESL)’’, ‘’Language Instruction for New Canadians (LINC)’’, les institutions élémentaires, secondaires et postsecondaires.
Participants à la table de planification Seize organismes communautaires, incluant les deux conseils scolaires de London et Middlesex, deux organismes francophones, une association ethnoculturelle, des institutions de troisième cycle et cinq représentants des immigrants ont participé aux discussions. Énoncé des résultats Les apprenants immigrants de tous les niveaux ( ‘’English as a Second Language’’, ‘’Language Instruction for New Canadians’’, élémentaire, secondaire et postsecondaire) ont accès à des programmes et services appropriés et en temps opportun.
Raisons De façon à faciliter l’accès à l’éducation pour tous les immigrants, sans égard à leur statut, et de
Sous-conseil de l’Éducation
Education Sub-council Discussion
20
façon à fournir des appuis aux éducateurs, aux parents et aux étudiants et à s’assurer que les immigrants et les apprenants en langue anglaise participent pleinement et avec succès dans les écoles alors qu’ils se développent pour devenir des citoyens globaux au Canada, le sous-conseil a identifié les besoins suivants et a proposé ses recommandations.
Priorités et Directions Stratégiques 1. Accès à l’Éducation
Explorer des programmes alternatifs comme le ‘’Family English as a Second Language program’’ présentement en place à Ottawa. Planifier la coordination entre les fournisseurs de services aux niveaux des programmes de ‘’Language Instruction for New Canadians (LINC)’’ de façon à rationaliser les places existantes. Engager les bailleurs de fonds à faire preuve de flexibilité avec le financement (si les fonds ne sont pas utilisés pour un site, faire des représentations pour qu’ils soient transférés à un autre site où le besoin existe). Augmenter les services gratuits de garde d’enfants et de garderie en demandant plus de financement à Citoyenneté et Immigration Canada pour acheter annuellement 50 places des garderies autorisées, ou selon les besoins, pour maintenir la qualité des gardes d’enfant pour les bambins et les bébés. Engager les autres bailleurs de fonds (le Ministère des Affaires Civiques et de l’Immigration de l’Ontario et la Ville de London) à fournir plus de financement pour des places en garderie subventionnées dans les quartiers. Explorer ce qui est disponible en ce qui a trait aux subventions et aux financements par le biais du ‘’Child and Youth Network’’. Un engagement à du financement est nécessaire pour créer plus de places dans les programmes, en plus des programmes Relais existants (affaires et nursing), pour répondre aux besoins du marché du travail à London et pour permettre aux immigrants de compléter leur mise à niveau ou leur éducation reliée à une profession. Dresser la carte des services de Littéracie, des services d’Anglais Langue Seconde et les services de Littéracie Anglais Langue Seconde existants dans la Ville de London et identifier les critères d’éligibilité pour chacun de ces trois types de programmes. Amener les fournisseurs de services des trois types de programmes: Littéracie, Anglais Langue Seconde et Littéracie Anglais Langue Seconde (ou des représentants de chaque secteurs) à discuter de tous les problèmes de planification des services. 2. Appuis pour les parents, les enseignants et les étudiants
Fournir de l’information sur la responsabilité des parents et de l’école sur la nécessité pour les parents d’interagir avec les écoles en assistant aux événements et aux réunions de l’école et en se joignant au conseil de l’école et aux organisations de parents. Cette information doit être en plusieurs langues, reflétant les besoins linguistiques du quartier. Engager le Thames Valley Parent Involvement Committee (TVPIC) à embaucher des travailleurs de proximité à temps partiel provenant des groupes ethniques représentés dans les écoles qui n’ont pas de travailleurs en établissement dans les écoles (TEE).
21
Encourager les parents et les membres de la communauté à tenir des ateliers, à donner de la formation et des cours au personnel dans les écoles pour augmenter la sensibilité et la sensibilisation globale. Pour les parents qui sont illettrés dans leur première langue, créer un groupe de bénévoles qui parlent différentes langues et les former à être bénévoles lors d’événements à des écoles spécifiques, pour accueillir les parents, peut-être leur faire faire une tournée de l’école, et les présenter aux enseignants (tes) de leurs enfants. (Ceci complétera le travail des TEE à l’école). Les parents immigrants ont besoin d’information spécifique qui est reliée en particulier à l’école de leur enfant et ont besoin également de communiquer régulièrement avec les enseignants et le personnel administratif de l’école de leurs enfants. Ainsi un groupe de bénévoles coordonnés par une personne engagée à cette fin et par le Travailleur en Établissement à l’École appuiera les familles immigrantes individuelles et entrera en contact avec elles après le processus initial d’établissement. Travailler avec les syndicats et les deux conseils scolaires pour faire de la formation spécialisée pour les enseignants des écoles primaires et secondaires une exigence pour leur emploi pour que les enseignants(es) soient capables de rencontrer les besoins des étudiants immigrants en salle de classe. Recommander au Collège des Enseignants de l’Ontario que ‘‘Teaching in Multilingual Classrooms-Enseigner dans des classes Multilingues’’ devienne une exigence pour l’accréditation en Ontario.
Collaborer avec l’Université Western de l’Ontario et le Collège Fanshawe pour donner de la formation spécifique et/ou des sessions de développement professionnel et/ou des cours pour les enseignants en service sur l’enseignement dans des classes multilingues. Recruter plus d’enseignants qui représentent les origines des étudiants dans le système scolaire (v.g. des enseignants formés ou ayant étudié à l’étranger). Identifier les enseignants qui travaillent dans les écoles et qui parlent une autre langue que l’anglais car ces enseignants peuvent être un actif pour communiquer avec les parents et les étudiants qui parlent la même langue. Améliorer la formation pour les enseignants qui enseignent dans des classes multilingues en adaptant des modules utilisés aux États-Unis comme ‘’Teaching Limited English Proficient Students (LEP)’’ ou ailleurs au Canada ou en Irlande. Revoir les curriculums actuels pour identifier les besoins et faire des recommandations basées sur la revue des lacunes dans les curriculums actuels. Recommander qu’un consultant indépendant soit engagé par les fournisseurs de services qui travaillent avec les écoles pour revoir l’enseignement de l’anglais Langue Seconde et le Développement de la Littéracie en Anglais pour voir comment la ségrégation peut être diminuée et pour augmenter l’intégration en vue de réduire l’impact psycho-social de la ségrégation sur les apprenants de langue anglaise et sur les étudiants qui n’ont pas d’éducation formelle et qui ont besoin de programme de Développement de la Littéracie en Anglais. Promouvoir le mentorat interculturel par les pairs: TEE/parents/enseignants par le biais des conseils scolaires au moyen d’un financement provenant du ‘’Thames Valley Parent Involvement Committee’’ (TVPIC). Créer des événements qui encouragent la sensibilisation culturelle, la compréhension et le respect mutuel. Que des demandes pour du financement additionnel soient faites par les fournisseurs de services qui administrent des programmes pour les jeunes auprès de Citoyenneté et Immigration Canada pour
22
augmenter les programmes pour les jeunes.
Prévoir des retraites pour les jeunes de toutes cultures qui encouragent la socialisation, spécialement dans des relations de ‘’mentor’’ ou de ‘’copain’’.
Former les mentors, de préférence ceux qui parlent la même langue que les étudiants, à travailler sur une base individuelle avec les étudiants qui ont peu ou pas de compétences en anglais.
Développer des appuis /réseaux sociaux communautaires dans une communauté identifiée où existent des besoins d’aider les apprenants dans des matières spécifiques. Ceci peut être accompli en engageant un Coordinateur pour un groupe d’experts bénévoles dans différentes matières pour aider les étudiants immigrants à l’extérieur de l’école. (L’engagement peut être fait par les organismes locaux ou par la Ville de London).
Coordonner les clubs d’aide pour les devoirs qui existent dans la ville en utilisant le portail de l’Immigration (en donnant l’information sur tous les clubs de devoirs).
Offrir des classes à divers niveaux, de dimension réduite, à de petits groupes, conçues pour la lecture, l’écriture, le langage, la compréhension et la formation de niveau avancé.
Augmenter le financement pour l’appui éducationnel et pour les services de développement langagier pour les étudiants qui ont des besoins spéciaux.
Le sous-conseil de l’emploi inclut les programme suivants: le mentorat, les programmes relais, les programmes de recherche d’emploi, l’évaluation des diplômes et titres, l’appui à l’emploi et l’emploi.
Participants à la Table de Planification Dix-neuf organismes, incluant le comté de Middlesex, trois fournisseurs de services francophones, une association ethnoculturelle et sept citoyens intéressés provenant des communautés immigrantes et non-immigrantes ont participé aux discussions et à la planification. Énoncé des résultats Les immigrants ont accès en temps opportun à un une large gamme d’appuis reliés à l’emploi, incluant le mentorat, les programmes relais, les programmes de recherche d’emploi, les programmes d’évaluation des diplômes et titres, les programmes d’emploi et d’appuis à l’emploi.
Sous-conseil de l’emploi
Discussions du sous-conseil de l’emploi
23
Raisons On reconnaît qu’une grande variété de services et d’appuis à l’emploi existent à London et Middlesex mais qu’ils ne sont pas bien connus des fournisseurs de services et des immigrants. On notre également qu’il existe une lacune au niveau de la communication parmi les fournisseurs de services du secteur et qu’une telle lacune entrave la possibilité des employeurs et des chercheurs d’emploi de réaliser le lien entre eux pour l’emploi.
Priorités et Directions stratégiques 1. Communication/ Intégration
De façon à s’assurer que les immigrants à la recherche d’un emploi puissent s’attendre de recevoir de l’information exacte, consistante et en temps opportun pour les appuyer dans leur recherche d’emploi, les recommandations suivantes ont été mises de l’avant:
Un processus commun d’évaluation qui respectera les besoins du client.
De l’information appropriée et un aiguillage adéquat sera fait en conformité avec la Loi sur les Renseignements Personnels.
Bâtir sur la capacité existante et la relier à www.welcome.london.ca . Utiliser les réseaux existants pour améliorer la communication entre les services qui aident les gens comme le ‘’Employment Sector Council London and Middlesex’’ et le ‘’Networking for an Inclusive Community’’.
2. Liens avec les employeurs
Améliorer le lien entre les immigrants et les employeurs de London Middlesex ce qui conduit à la réussite vers l’emploi, en appuyant les initiatives existantes et en identifiant et en développant collégialement de nouvelles stratégies.
Continuer à appuyer et améliorer les initiatives locales suivantes:
Service d’aide individuelle pour les immigrants à la recherche d’un emploi.
Donner de la formation aux immigrants à la recherche d’un emploi relativement à leurs compétences transférables et à la culture de la main d’œuvre canadienne et aux employeurs relativement aux accommodements requis pour une main d’œuvre diversifiée.
Appuyer ces programmes qui mettent l’immigrant à la recherche d’un emploi en contact avec les employeurs, incluant le mentorat, le réseautage, les expériences de travail bénévole, les stages et les programmes de formation relais.
Promouvoir, par le biais du LMIEC, toutes les ressources existantes qui sont disponibles aux employeurs pour les encourager à engager des immigrants, incluant les données contenues dans le site internet ‘’Skills International’’.
Mettre en place une collaboration active entre les représentants du sous-conseil de l’éducation et ceux du sous-conseil de l’emploi pour s’assurer que les programmes reliés à une profession ou un métier spécifique sont cohérents avec les exigences actuelles du marché du travail.
24
3. Barrières et défis techniques
Faire des représentations pour un système accessible qui gère les attentes des immigrants et des communautés qui les reçoivent puisqu’il se rapporte à leur emploi.
Faire des représentations pour des programmes et services et leur livraison qui contribuent à une compréhension mutuelle dans le milieu de travail.
Faire des représentations pour un accès universel à tous les programmes et services d’emploi et de travail autonome en dépit du statut d’immigration et de la source de revenus.
Appuyer les programmes et services pancanadiens qui encouragent les immigrants à se préparer outre-mer avant l’immigration par le biais de l’acquisition de la langue et l’évaluation des documents et certificats professionnels.
Recommander un appui continu du ‘’Access Centre for Regulated Employment’’.
Encourager tous les paliers de gouvernement à devenir des champions dans l’appui à une utilisation complète des talents et des compétences des immigrants.
Cibler les employeurs et faire des représentations pour le bénéfice qu’on retire à engager des immigrants et communiquer la liste des employeurs qui sont réceptifs à l’idée d’engager des immigrants.
Faire activement des représentations à tous les paliers de gouvernement pour s’assurer que des ressources adéquates sont disponibles pour la communauté à London et Middlesex et pour s’assurer que les gouvernements travaillent ensembles pour éviter de créer une duplication de services.
Le sous-conseil de la santé et du bien-être inclut mais n’est pas limité à la santé mentale, l’impact des traumatismes et de la guerre, l’accès aux services, aux loisirs, à la nutrition et aux compétences essentielles.
Participants à la table de planification Vingt et un organismes, incluant deux fournisseurs de services francophones, une association ethnoculturelle et un citoyen intéressé de la communauté immigrante ont participé aux discussions et à la planification.
S’assurer qu’une révision régulière de l’information disponible sur les données du marché du travail local soit faite de façon à s’assurer que ces données d’information soient transmises aux immigrants à la recherche d’un emploi.
Sous-conseil de la santé et du bien-être
Health & Wellbeing Sub-council Discussion
25
Énoncé des résultats La santé et le bien-être des immigrants sont supportés par une gamme de programmes incluant la santé mentale, l’impact des traumatismes et de la guerre, l’accès aux services, les loisirs, la nutrition et les compétences essentielles.
Raisons Les communautés ethnoculturelles sont vulnérables aux problèmes de santé mentale et aux problèmes d’utilisation de drogues à cause des traumatismes pré immigration, des désavantages sociaux et économiques, de l’isolement, du racisme, de la discrimination et des pressions culturelles. Elles sont moins à même que la population en général de recevoir les soins nécessaires, à cause des barrières incluant la langue, les facteurs culturels, la discrimination, les stigmatismes et la méfiance des fournisseurs de services traditionnels. Une planification holistique est vitale pour aborder les besoins à multiples paliers des immigrants.
Priorités et directions stratégiques 1. Santé mentale/Maladie et dépendance
Les organismes de santé mentale et de dépendance apprendront des gens des différentes communautés ethnoculturelles et travailleront avec ces derniers pour développer des stratégies, des présentations et du matériel pour enseigner aux communautés sur la santé mentale, les maladies mentales et dépendances. Fournir de l’information culturellement sensible en différentes langues et promouvoir la simplification du langage utilisé pour l’information contenue dans les brochures des organismes. Engager un publiciste social pour développer une campagne multimédia pour contrer la discrimination et les stigmates contre la santé mentale. Utiliser des travailleurs de proximité et des programmes et bâtir sur ce qui existe dans la communauté i.e. augmenter les services de quartier, les programmes de proximité. Créer des outils d’évaluation et de dépistage pour faciliter une identification précoce des problèmes d’apprentissage chez les enfants et aussi pour identifier les problèmes de santé mentale et de dépendance chez les adultes et les jeunes.2 Ces outils seraient utilisés par les fournisseurs de soins de santé mentale et physique. Introduire la formation culturelle pour assurer l’accès à des services d’aide psychologique sur une base de continuum: d’urgent à long terme sur une échelle mobile. Augmenter le nombre de conseillers éduqués et formés à travailler avec les survivants (es) de guerre, de traumatismes et les appuyer. Fournir du financement pour une formation continue pour les conseillers en traumatismes. Fournir des espaces sécuritaires (confidentiels et confortables), un environnement favorable et adopter une approche holistique dans la façon de répondre aux besoins des immigrants. 2. Appuis aux fournisseurs de services en santé mentale et physique Développer et mettre en œuvre une formation en sensibilité culturelle pour les fournisseurs de
2 De tels outils couvriront la santé physique et mentale.
26
services de santé en utilisant l’approche former le formateur.
Engager plus de personnel diversifié pour répondre aux besoins des immigrants aux prises avec des problèmes de santé mentale et de dépendance. Fournir des interprètes ayant une formation en terminologie médicale dans les hôpitaux, les cliniques de soins de santé et les organismes de service social. Augmenter la collaboration entre la communauté médicale et les organismes d’interprètes pour améliorer le service. Développer un outil pour des changements organisationnels pour les organismes et leur personnel pour fournir un appui sécuritaire aux travailleurs de première ligne de façon à prévenir et/ou à s’occuper de la dépression, de la fatigue compassionnelle etc. 3. Fournir de l’appui aux familles et aux individus d’une manière holistique
Gestion de cas: Créer une aide indépendante à la navigation des systèmes par le biais des services d’établissement (basé sur le module de l’évaluation des niveaux de compétence langagière) pour aider les familles et les individus à dresser des plans flexibles de 2 à 5 ans et par la suite faire un suivi avec eux pour revoir le plan : ce qui a été accompli et ce qui a besoin d’être fait.
Créer des centres communautaires désignés, gratuits et accessibles, et des endroits dans les quartiers où les gens de tous âges peuvent se rencontrer et passer du temps de qualité ensembles.
Fournir des brochures spécifiques sur la santé dans un langage simple et en différentes langues et les rendre disponibles aux points d’accès naturels comme les supermarchés et les organisations basées sur la foi.
Créer une plateforme pour que les immigrants puissent faire des représentations aux fournisseurs de services et à la communauté en général au sujet de leurs besoins de façon à faciliter l’inclusion et une plus grande compréhension et permettre une collaboration plus ciblée.
Éduquer le public sur les raisons qui amènent les gens à venir au Canada: les faits dissipent les mythes.
4. Santé physique
Professionnels: Donner de la formation et de l’éducation sur la sensibilité culturelle aux médecins, infirmiers (ières), dentistes et aux étudiants (es) en médecine et en sciences dentaires. Fournir de l’information en littéracie de la santé en langage clair et simple et en différentes langues. Utiliser les professionnels formés en sciences médicales à l’étranger pour fournir de l’éducation et des programmes de prévention pour divers groupes culturels et pour fournir des programmes et de l’appui dans les quartiers. Faire des représentations pour plus de centres médicaux situés dans les quartiers comme le ‘’Family Health Team’’. Déterminer des centres gratuits et accessibles situés dans les quartiers où les gens peuvent se rassembler et prendre des décisions sur des événements et des activités pour leurs quartiers. Des
27
endroits plaisants où tous les membres de la famille peuvent partager de l’information sur leur culture, leur nourriture, leur musique, leurs activités et leurs célébrations etc. (Collaborer avec ‘’Parks and Recreation and Neighbourhood Community Centres’’). Collaborer avec les organismes basés sur la foi et avec les écoles du quartier pour fournir des activités de loisirs gratuites ou abordables. Développer des critères et des processus pour que les groupes d’immigrants aient accès à des espaces de bureau ou de réunion gratuits. S’assurer que les ambassades fournissent de l’information exacte sur la disponibilité de la couverture de santé pour les premiers 90 jours au Canada. Fournir de l’information aux immigrants outre-mer sur l’achat d’assurance santé pour la période de 90 jours. Fournir de l’information sur les diverses options médicales et quand les utiliser i.e. les cliniques sans rendez-vous, les hôpitaux. Donner aux patients(es) les choix qui leur sont disponibles quand ils (elles) reçoivent de l’aide ou de l’assistance (v.g. le sexe de l’interprète ou du médecin,) dans des pamphlets laissés aux installations médicales, aux écoles, aux services sociaux ou aux services d’établissement).
Le sous-conseil de l’Inclusion et de l’Engagement Civique inclut tous les appuis sociaux, parentaux, culturels et les appuis pour les enfants. Pour une définition détaillée de ce sous-conseil, veuillez vous référer à l’Annexe D.
Participants à la table de Planification Dix-huit partenaires communautaires, incluant la communauté francophone, des représentants de la communauté ethnoculturelle et sept citoyens intéressés ont participé à la planification et aux discussions. Énoncé des résultats Tous les appuis culturels, sociaux, parentaux et pour les enfants sont disponibles pour s’assurer que tous les immigrants sont inclus et engagés dans notre communauté. Raisons Des opportunités pour la participation créent un plus grand sentiment d’appartenance à la communauté. Selon Statistiques Canada, les études portant sur la satisfaction de la vie menées parmi la population en général démontrent une corrélation positive entre les liens sociaux et le bien-être.
Priorités et Directions Stratégiques
Sous-conseil de l’Inclusion et de l’Engagement Civique
Discussions du conseil de l’Inclusion et de l’Engagement Civique
28
1. Promouvoir l’engagement basé sur les compétences à tous les niveaux de la société, tout en reconnaissant que ceci peut ne pas être un parcours linéaire
Créer du contenu culturel informatif pour les médias publics et les médias ethniques locaux en partenariat avec les organismes d’établissement et les médias et les autres groupes ethnoculturels ou individus, diffusé dans les médias locaux publics (i.e. journaux, radio, télévision) qui met l’accent sur les opportunités d’engagement et donne l’information en plusieurs langues.
Promouvoir des activités et des événements dans les quartiers qui fourniront aux immigrants des opportunités de s’engager et de participer dans leur nouvelle communauté.
Augmenter le travail de proximité auprès des immigrants pour encourager le bénévolat en fournissant de l’éducation sur le bénévolat, sur son contexte au Canada et sur ses bénéfices.
Encourager le comté de London et Middlesex à explorer des modèles réussis de volontariat (dans la région du Grand Toronto) qui permettent aux immigrants d’être placés dans divers services de l’Hôtel de Ville pour acquérir de l’expérience canadienne.
Créer des opportunités de proximité entre les écoles et les communautés immigrantes.
Encourager un processus par lequel les immigrants qui sont des bénévoles informels puissent accéder à des positions de leadership et de prise de décisions. Faire tomber les barrières au bénévolat: en fournissant des billets d’autobus, par des chauffeurs bénévoles, par le partage de l’information sur le bénévolat virtuel, en engageant des nouveaux canadiens ou des immigrants comme salariés pour aider l’organisme à apprendre sur la diversité et sur sa valeur, par le recrutement de nouveaux canadiens sur les conseils d’administration, en fournissant au personnel de la formation sur la diversité. Créer un environnement de confiance par des campagnes de sensibilisation pour dissiper les vues de ceux pour qui les expériences pré immigration ont créé de la méfiance et de la peur des gouvernements. Fournir de l’aide directe pour la mobilisation politique en tenant des ateliers, en créant des trousses d’outils et en identifiant les leaders parmi les communautés ethnoculturelles.
Encourager les nouveaux immigrants à suivre les actualités en fournissant de l’éducation sur le système de votation, sur les candidats et en enlevant les barrières à la votation (comme le transport). 2. Améliorer la connaissance parmi la communauté d’accueil en engageant les immigrants Créer une stratégie communautaire à multiples paliers en approchant à la fois les médias traditionnels et ethniques pour y inclure la voix des nouveaux arrivants. Par exemple, établir un processus qui encourage les communautés à contester la couverture médiatique négative des immigrants en encourageant l’utilisation d’alertes qui avertissent la communauté et les fournisseurs de services à écrire aux médias qui étiquettent injustement des groupes. Favoriser la collaboration entre les services d’établissement, les fournisseurs de services et les organismes communautaires de façon à engager plus d’entreprises et de compagnies à créer plus d’opportunités pour l’inclusion et l’engagement. Plus qu’une contribution unique, cette initiative inclut l’apport d’appui continu pour créer une communauté plus inclusive et accueillante par la commandite d’événements, d’organismes, la fourniture d’espaces, des stages de travail/des stages en entreprise etc. (i.e. placements Co-Op, trousses d’accueil et d’information). Établir un conseil communautaire de littéracie médiatique pour éduquer tant les immigrants que la communauté de London et Middlesex dans son ensemble au sujet des médias. Le but est de créer une communauté plus inclusive et accueillante, comme un organisme/conseil de bénévoles intéressés à la promotion de l’inclusion et à la dissipation des mythes, et à combattre les incidents reliés au racisme et à la discrimination (v.g. en écrivant des lettres à l’éditeur etc.) Multiplier la formation sur la diversité culturelle pour contrer le stéréotype, le racisme et l’apathie en
29
éliminant les barrières à l’accès (coûts), en utilisant les médias, et en créant des incitatifs pour les organismes et les entreprises qui participent. Améliorer la capacité des sources médiatiques locales (i.e. digitale, audio, journaux imprimés et virtuels, magazines, télévision, radio) en capitalisant sur les ressources existantes pour mieux refléter la diversité de la ville. Améliorer, promouvoir et bâtir sur les programmes qui aident les immigrants à développer des réseaux avec les autres immigrants dans les communautés. Améliorer et bâtir sur des programmes qui encouragent les membres de la communauté locale et les immigrants à entrer en contact les uns avec les autres. 3. Augmenter l’accès aux Espaces Partagés Adopter les recommandations du rapport “Increasing Access to Community Space for Ethno-cultural Groups in London” qui a été réalisé par le Welcoming Cultural Diversity Committee. Celles-ci incluent: Des installations permanentes pour les groupes ethnoculturels en:
• Réalisant une évaluation des besoins d’infrastructure communautaire pour mener à l’établissement, au développement ou à l’agrandissement d’espaces
• Établissant un groupe de travail pour explorer la faisabilité de la mise en œuvre d’une politique désignant comme une priorité pour l’affectation du surplus des espaces propriété de la ville l’utilisation de ces espaces par des organismes culturels communautaires sans but lucratif
• Mettant en œuvre des stratégies de proximité dans les installations propriété de la ville pour engager les groupes ethnoculturels et les encourager à utiliser les espaces disponibles
• Engageant les conseils scolaires à promouvoir l’inclusion et à fournir aux groupes ethnoculturels des espaces accessibles et accueillants dans les écoles
• Introduisant ou en améliorant la formation sur la diversité pour le personnel des institutions publiques et privées (bibliothèques, écoles, installations propriété de la ville)
• Encourageant les partenariats entre les groupes ethnoculturels, les écoles, les installations de la Ville de London et le secteur privé
• Renonçant aux frais ou en les subventionnant • Donnant la priorité à l’accès • Fournissant de l’information sur de l’assurance abordable, sur les processus légaux, la
compréhension des politiques et des ententes de location
4. Augmenter l’engagement des jeunes Améliorer les programmes qui collaborent avec les services sociaux et les services d’établissement pour donner aux jeunes des opportunité de dialogue intergénérationnel et de l’orientation en ce qui a trait à la culture et aux systèmes canadiens pour les parents et les jeunes. Collaborer avec les écoles pour impliquer les parents et faire le pont pour une compréhension de la culture des jeunes (Recommandations de la région de Peel) en invitant les conseils de parents-enseignants à s’associer aux travailleurs en établissement dans les écoles (TEE) pour faire un effort pour inviter/inclure les parents immigrants à s’engager avec les écoles. Donner accès au transport, aux services d’interprètes et à la garde d’enfants. Créer des espaces sécuritaires pour les jeunes au moyen d’un meilleur accès aux loisirs (pas seulement les écoles et les fournisseurs de services) en engageant les organismes privés à promouvoir des activités canadiennes pour les jeunes et les adultes (v.g. Boler Mountain).
30
Promouvoir les programmes qui permettent aux jeunes de travailler dans leur communauté, d’identifier les problèmes et de contribuer au changement. Établir et promouvoir des occasions de mentorat en identifiant des modèles, en créant des occasions de réseautage culturellement sensibles pour favoriser les relations et établir des programmes de mentorat avec des pairs dans les écoles appuyés par de la formation appropriée (ceci peut être un objectif à court terme dans la voie vers une intégration et un établissement réussis). Faire tomber les barrières envers l’engagement social et les occasions de bénévolat informel pour les jeunes au niveau du quartier et de leur propre communauté (ceci peut être un objectif à moyen terme dans la voie vers une intégration et un établissement réussis. Engager les jeunes à faire du bénévolat avec les fournisseurs de services et autres organismes communautaires locaux donnant ainsi une voix aux jeunes et des occasions de responsabilisation. Enlever les barrières au bénévolat formel (organisé ou bureaucratisé) dans les structures décisionnelles de la communauté dans son ensemble tel que: les comités consultatifs, les groupes de travail et de planification, les groupes de travail, les délégations, et les conseils d’administration des différents secteurs (le secteur des services sociaux et le secteur privé). Encourager et promouvoir l’implication politique (au niveau de la gouvernance) des nouveaux canadiens par le biais d’un processus qui commence au niveau de l’information avant l’obtention de la citoyenneté (ceci peut être un objectif à long terme dans la voie vers une intégration et un établissement réussis). 5. Enlever les barrières à l’accès aux services Encourager une plus grande collaboration et communication entre les fournisseurs de services par un meilleur usage des ressources communautaires existantes comme le Portail de l’Immigration. Former un plan de communication dont le mandat est de revoir l’infrastructure et les espaces existants qui pourraient être rendus disponibles et faire des recommandations sur les moyens de promouvoir l’information par des moyens culturellement accessibles dans le plus grand nombre d’endroits possibles. Faire le suivi avec les fournisseurs de services sur le statut des discussions sur l’accès au numéro 211 pour London qui donnerait aux immigrants un accès gratuit aux différents contacts (numéros de téléphone, adresses etc.). Augmenter l’usage des espaces et infrastructures existants pour promouvoir l’information par des moyens culturellement accessibles comme les centres touristiques, les arrêts d’autobus et les centres de santé. Promouvoir une approche de quartier, basée sur la vie de tous les jours dans la livraison des services d’une façon qui rapproche les familles et élimine les barrières. Encourager les points de services naturels pour l’accès aux services et l’utilisation de méthodes informelles pour la livraison des services et de l’information de façon à éliminer les stigmates. Par exemple, utiliser des activités non intimidantes et considérer le rôle des arts et des loisirs. Considérer les barrières comme les coûts, le transport, la langue et les stigmates dans la livraison des services. De plus, s’assurer que l’information est présentée d’une façon appropriée par rapport à la culture et à la langue (exemple-certains nouveaux arrivants n’ont aucune notion de ce qu’est une carte ou un calendrier) 3. 3 Manual for Successful Engagement Strategies, Childreach, 2009
31
Le sous-conseil de la Justice et des Services de Protection inclut les services de police et les services de prévention comme la justice criminelle, la protection de l’enfance et autres services.
Participants à la table de planification Neuf partenaires communautaires, incluant des participants des services de Probation, des services de prévention de la police de London, des représentants de la communauté ethnoculturelle et quatre citoyens intéressés se sont joints aux discussions et à la planification. Énoncé des résultats Les immigrants comprennent le système de justice canadien et ont accès à l’information et aux appuis reliés aux services de prévention comme la justice criminelle, la protection de l’enfance et les autres services.
Raisons Beaucoup d’immigrants rapportent les expériences négatives qu’ils ont eues avec les systèmes de justice criminelle et les services de protection dans leur pays d’origine. De telles expériences créent un sentiment de méfiance et de peur envers le système canadien. Construire la confiance et le respect est essentiel dans le développement et le maintien d’une perception positive du système de justice, du rôle de la police, des cours de justice et du système de probation. Une approche préventive permet un aiguillage précoce aux appuis qui sont disponibles. Cette approche reconnaît et bâtit sur ce qui se fait dans la communauté de London et reconnaît qu’il y a une lacune dans l’identification des facteurs de risque dans les populations des nouveaux arrivants.
Priorités et Directions Stratégiques 1. Améliorer le sentiment de confiance envers le système de justice criminelle (incluant la
police, la Couronne, les services d’aide aux victimes et les services juridiques) et les services communautaires pour la prévention et la probation (incluant les services de protection de l’enfant, de la violence faite aux femmes, et les organismes de représentation et de ressources).
Améliorer la sensibilisation relativement aux droits et responsabilités au Canada par du travail de proximité continu auprès des immigrants et en appliquant une approche culturellement saine.
Adopter ou créer des plans de cours à être utilisés dans les classes d’ESL et de LINC qui discutent des problèmes reliés au système de justice criminelle.
Revoir et bâtir sur les processus qui facilitent une large distribution de l’information et de l’éducation juridique publique. Bâtir sur les services d’intervention de crise comme le ‘’Vanier Children’s Services’’, la ‘’Children’s
Sous-conseil de la Justice et des Services de Protection
Discussions du sous-conseil de la Justice et des services de protection
32
Aid Society’’, la ‘’Women’s Community House’’, le ‘’London Abused Women’s Centre’’ et ‘’Changing Ways’’ pour assure des interventions immédiates et faites au moment opportun qui appuient l’individu et la famille et reconnaissent leurs expériences pré immigration et en même temps tiennent les auteurs responsables. Une telle réponse sert à clarifier le processus et à construire des relations positives. Élaborer un outil de formation standardisé pour les fournisseurs de services, qui peut être adapté à n’importe quel module de sensibilité culturelle, qui incorpore la compréhension culturelle, les expériences pré immigration et qui inclut une réponse à la violence domestique.
2. Améliorer l’éducation et la connaissance culturelle chez les fournisseurs de services, la
communauté en général et à travers les systèmes gouvernementaux et non-gouvernementaux.
Revoir les outils existants pour y inclure des aspects culturellement appropriés qui identifient les facteurs de risque parmi les familles qui sont des nouveaux arrivants.
Mettre à jour les ressources d’aiguillage existantes pour s’assurer qu’elles incluent les aspects culturels.
Appuyer et promouvoir l’utilisation d’agents de liaison dans les services de police.
Continuer à avoir des forums communautaires d’apprentissage qui s’adressent aux services gouvernementaux, non gouvernementaux et aux fournisseurs de services et qui aident à comprendre les lois, la législation et les directives qui sont reliés aux immigrants.
Améliorer la représentation médiatique des immigrants en faisant la promotion d’une évocation positive des immigrants et des services de police ce qui contrebalance les évocations négatives.
Explorer et mettre en œuvre des programmes qui cherchent à réduire les incidents reliés à la haine.
3. Améliorer la collaboration communautaire et l’inclusion de solutions alternatives entre les
fournisseurs de services et à travers les groupes culturels
Créer une communication inclusive et un réseau de planification pour identifier les lacunes, les besoins, la coordination, le partage de l’information et établir une approche consistante de l’évaluation et de la planification particulièrement entre les services d’établissement et le système de justice criminelle et les services de protection.
Explorer les bénéfices d’établir un Comité consultatif communautaire sur la police tel que recommandé dans le ‘’Welcoming Communities Initiatives Report’’.
Identifier et collaborer avec les organismes basés sur la foi, les organismes culturels et les gens clé de la communauté en explorant les outils et les pratiques de réconciliation et de médiation.
Continuer à explorer les réussites de modèles de partenariats comme la relation entre ‘’Changing Ways’’ et le ‘’Muslim Resource Centre’’, où la discrétion reliée aux implications culturelles est considérée.
Continuer à construire et définir une gestion de cas commune et des modèles de fourniture de
33
services avec les familles et les individus aux prises avec des problèmes communs et complexes. Présentement, la ‘’London and Middlesex Children’s Aid Society’’ travaille avec les partenaires de la communauté immigrante locale pour faciliter des types de médiation culturellement sensible et spécifique.
Explorer et mettre en œuvre des programmes qui ciblent et encouragent la perception de sécurité et des programmes qui ciblent et encouragent la sécurité pour des groupes vulnérables et à haut risque (comme les jeunes).
4. Améliorer la prévention et les appuis pour les immigrants dans le système de justice et
dans le système de justice criminelle et les services de protection
Continuer à améliorer et à mettre en œuvre des programmes de sécurité publics et privés pour les immigrants lors de leur orientation initiale au Canada.
Le sous-conseil de l’établissement inclut les services d’interprètes, le logement, les services de transition, l’information et les aiguillages.
Participants à la table de planification Ce sous-conseil a eu treize partenaires communautaires, incluant des participants des services francophones et sept bénévoles qui se sont joints aux discussions et à la planification. Énoncé des résultats L’expérience d’établissement des immigrants est positive et accueillante grâce à la disponibilité des services d’interprètes, de logement, des services de transition, de l’information et des aiguillages.
Raisons À part les problèmes initiaux d’établissement comme obtenir le numéro d’assurance sociale ou la carte d’Assurance Santé (OHIP), les immigrants font face à une variété de défis logistiques. Naviguer dans une ville qui ne leur est pas familière, trouver un logement, avoir accès aux services sociaux, à l’information sur les lois canadiennes en ce qui a trait à la famille, les relations parents-enfants etc. sont quelques uns des défis auxquels font face les immigrants lorsqu’ils s’établissent. En améliorant la livraison des services, par la coordination et le partenariat des différents secteurs, l’établissement sera complet, accueillant et sera une expérience positive pour tous les immigrants.
Priorités et Directions Stratégiques
1. Mettre les immigrants en contact avec les services
Développer une trousse d’information commune, pour la ville et le comté, avec toute l’information
Sous-conseil de l’établissement
Discussions du sous-conseil de l’établissement
34
reliée aux services d’une façon qui soit pertinente tant culturellement qu’au niveau du langage utilisé, ce qui inclut des brochures en différentes langues qui donnent des explications sur les organismes d’établissement et sur les services qu’ils fournissent (comme les Travailleurs en Établissement dans les Écoles (TEE), le partenariat d’établissement de la Bibliothèque etc.).
Fournir des services additionnels aux étudiants immigrants et à leurs familles en élargissant l’étendue des programmes de Travailleurs en Établissement dans les Écoles (TEE) et de Partenariat d’établissement de la Bibliothèque pour aider les familles et les étudiants à entrer en contact avec les services.
Améliorer les programmes existants qui créent des possibilités pour les immigrants qui ont réussi d’agir à titre de mentors pour d’autres immigrants de sorte que les individus puissent voir la progression de leur situation vers le succès. Étendre ceci aux jeunes dans le système scolaire.
Faire des représentations pour une amélioration de la fourniture de l’information pré immigration et post immigration pour faciliter l’intégration.
Obtenir du financement pour annoncer les services d’établissement à travers diverses formes de médias, incluant la télévision, les journaux, les festivals et les événements ethnoculturels, en diverses langues.
Améliorer et renforcer la communication entre les fournisseurs de services.
Inclure les immigrants dans les phases de planification de la livraison des services en tenant des groupes de discussion et en s’assurant de leur représentation sur les comités de planification et en créant des occasions pour qu’ils fournissent leur rétroaction sur les services.
Promouvoir et coordonner l’utilisation du Portail de l’immigration de London et Middlesex et des autres outils existants dans la communauté.
Attirer les immigrants de la classe économique pour s’établir à London en fournissant de l’information spécifique et exacte sur les problèmes courants. Utiliser le Portail de l’immigration pour vendre London et Middlesex aux immigrants potentiels. . Créer un centre de réception conjoint, coordonné par les services d’établissement qui fournissent de l’information à date et un logement temporaire pour les résidents permanents pour une période de 4 à 6 semaines (un service pour un prix fixe). Basé sur le modèle existant de logement temporaire pour les réfugiés en vertu de la Convention et les réfugiés en attente de statut). Faire des représentations auprès de Citoyenneté et Immigration Canada pour étendre les critères d’éligibilité aux services pour y inclure les nouveaux canadiens et les réfugiés en attente de statut pour qu’ils aient accès aux programmes qui amélioreront leur éducation et leur employabilité.
Créer un poste d’administration des bénévoles dans les organismes où les bénévoles, recrutés à la fois des communautés d’accueil et des communautés immigrantes, peuvent être formés pour fournir des services d’établissement de base et un appui continu et faire un suivi auprès des immigrants quand les critères d’éligibilité restreignent le service pour une certaine population, comme les nouveaux canadiens et les réfugiés en attente de statut.
2. Naviguer les systèmes
35
3. Défis familiaux
Fournir des services d’aide psychologique gratuits et informels qui tiennent compte des expériences pré-immigration pour les familles séparées.
Développer un programme de collaboration entre la ‘’Children’s Aid Society’’, la police, les écoles et les travailleurs en établissement qui encourage les occasions pour des discussions intergénérationnelles, l’éducation et les activités.
Augmenter l’appui et les programmes pour les aînés et les jeunes immigrants.
Augmenter les programmes d’été pour les jeunes.
Augmenter les programmes pour les aînés avec des facilitateurs qui parlent leur langue.
Augmenter la collaboration avec la ‘’Children’s Aid Society’’, les centres ‘’Ontario Early Years Centers’’ et les services d’établissement en vue de fournir des ateliers sur l’éducation des enfants en différentes langues aux nouveaux immigrants.
Former les leaders communautaires des associations ethnoculturelles pour faciliter les ateliers sur l’éducation des enfants.
Promouvoir et améliorer les programmes existants qui fournissent aux partenaires ou aux époux/épouses les outils et l’information sur leur rôle, leurs droits et responsabilités dans la communauté.
4. Logement
Faire des représentations pour une planification urbaine qui fait des représentations pour répondre aux besoins de logement des nouveaux arrivants (WCI, Characteristics of a Welcoming Community report)
Améliorer la capacité du logement temporaire existant à la réception fourni dans la ville pour les réfugiés en attente de statut et pour les réfugiés en vertu de la Convention. Créer un centre de réception conjoint coordonné par tous les services d’établissement (francophones et anglophones) qui fournisse un logement temporaire pour les résidents permanents pour une période de quatre à six semaines (un service à taux fixe). Bâtir sur des ateliers qui enseignent aux individus de façon pro active leurs droits et responsabilités et comment répondre lors de conflits entre locataires et propriétaires.
Faire des représentations et créer des opportunités que les interprètes soient impliqués dans la formation et aient une connaissance de l’information concernant l’établissement.
Créer des ateliers interactifs continus pour éduquer les immigrants sur la façon d’administrer tous les aspects des finances personnelles comme les transactions bancaires, le crédit, la transition du parrainage gouvernemental, les impôts et le paiement des factures.
36
En Conclusion
Avec l’établissement du LMLIP, notre communauté est encore plus mobilisée vers un but commun qui est de s’assurer que l’immigration apparait sur les programmes de planification de tous.
Ce plan n’est que le début-un guide pour le travail à venir de notre communauté. Alors que nous poursuivons notre travail, nous serons guidés par ce qui suit:
• Renforcer les capacités existantes et bâtir sur le travail des réseaux existants pour planifier et coordonner l’amélioration d’une livraison intégrée des services
• Utiliser le Portail de l’Immigration actuel comme moyen de communication • Coordonner et s’associer pour fournir des services intégrants et ainsi tirer le plus grand
avantage des financements et des ressources existantes • Des communications transparentes entre les services • Engager la communauté immigrante dans la planification et la mise en œuvre • Le réseautage des fournisseurs de services sur une base régulière améliorera la connaissance
des capacités dans les secteurs et entre eux et facilitera une réponse en temps opportun aux besoins émergeants.
• Fixer de façon continue les priorités et s’engager dans des évaluations régulières • Travailler avec les partenaires pour aborder les problèmes de racisme et de discrimination
pour réussir une saine intégration de l’immigrant La communauté de London et Middlesex sera attentive à ce qu’une livraison globale des services soit faite pour mieux servir la population immigrante. Les immigrants ne sont pas des talents ou de la main d’œuvre nécessaires pour maintenir le bien-être économique dans les décennies à venir, mais sont plutôt une infusion saine qui enrichit notre communauté de plusieurs façons.
37
Annexe A: mandat Le Conseil du Partenariat local d’immigration pour London et le comté de Middlesex (LMLIPC)
Mandat
INTENTION
Le Conseil du Partenariat local d’immigration pour London et le comté de Middlesex est l’organisme stratégique de planification qui s’assurera que plusieurs parties prenantes participeront dans la planification et la coordination pour améliorer la livraison des services d’intégration à tous les immigrants.4
Le Conseil développera et mettra en place des stratégies qui faciliteront un meilleur accès à tous les services, particulièrement aux services existants recevant le support de Citoyenneté et Immigration Canada et du Ministère des Affaires Civiques et de l’Immigration de l’Ontario et aidera les autres fournisseurs de services et la communauté à avoir une meilleure compréhension des services et des besoins des immigrants.
PRINCIPES
Le travail du Conseil sera guidé par les principes suivants :
• Inclusion : notre cadre inclura tous les immigrants de London et du comté de Middlesex, sans égard à leur statut, leur citoyenneté, leur âge, leur genre et leur nombre d’années dans notre communauté.
• Représentation : Représentation pour l’intégration des immigrants (pour le logement par exemple).
• Collaboration : Il y a une responsabilité mutuelle inhérente entre notre communauté et les immigrants.
• Diversité : Nous respectons la diversité entre les communautés immigrantes et nous bâtissons la compréhension par le biais des communautés et cultures des immigrants.
• Justice sociale : Nous chercherons à promouvoir l’inclusion et l’engagement civique de tous les immigrants et nous travaillerions à apporter les changements qui assureront leur intégration.
• Orienté vers le client : les besoins holistiques de l’individu sont au centre de nos travaux.
4 Pour les fins du LMLIP, un immigrant est identifié comme étant un individu qui se définit lui-même comme immigrant; ceci inclut sans être limité : Les Citoyens Canadiens, les Résidents Permanents, Les Réfugiés au sens de la Convention, les résidents temporaires et les individus sans statut d’immigrant.
38
• Responsabilisation : Nous améliorerons et restaureront la capacité des immigrants de vivre une vie saine et nous leur permettront de prendre des décisions éclairées.
• Responsabilisation : nous améliorerons et restaurerons leur capacité de vivre une vie saine et nous leur permettrons de prendre des décisions éclairées.
Les centres d’intérêt
Il est entendu que les centres d’intérêt qui suivent ne sont pas distincts l’un de l’autre mais sont plutôt inter reliés:
• Éducation – ce centre d’intérêt inclut l’Anglais langue seconde (ESL), les cours de langue pour immigrants au Canada (CLIC), l’éducation de niveau élémentaire, secondaire et postsecondaire.
• Emploi – ce centre d’intérêt inclut le mentorat, les programmes relais, les programmes de recherche d’emploi, l’évaluation des titres professionnels, l’emploi et les supports à l’emploi.
• Santé et bien-être – ce centre d’intérêt inclut, sans limitation, la santé mentale, l’impact des traumatismes/guerres, l’accès aux services, les loisirs, la nutrition et les habiletés fondamentales
• Inclusion et engagement civique – ce centre d’intérêt inclut les soutiens et appuis sociaux, parentaux, culturels et à l’enfance.
• Justice et services de protection – ce centre d’intérêt inclut la police et les services de prévention comme la justice criminelle, les services de protection des enfants et autres services.
• Établissement – ce centre d’intérêt inclut les services d’interprétation, le logement, les services de transition, l’information et l’orientation.
Résultats anticipés
Nos résultats anticipés incluent:
• Un accès amélioré aux services • Une prestation coordonnée des services • Des résultats améliorés pour le marché du travail • Une capacité stratégique renforcée de la municipalité par rapport aux problèmes
d’immigration • Une plus grande capacité communautaire de répondre aux besoins émergeants • Une plus grande conscience communautaire des besoins des immigrants
Les parties prenantes clé
Nous croyons que la communauté dans son ensemble a une responsabilité partagée. Parmi les parties prenantes clé pour le Conseil nous retrouvons: 1) Les immigrants représentants non seulement leur groupe ethnoculturel, mais également
leur expérience en tant qu’immigrant 2) Les services;
i) Éducation ii) Emploi iii) Santé et bien-être iv) Inclusion et engagement civique
39
v) Justice et services de protection vi) Établissement
3) Gouvernement 4) Groupes fondés sur la foi 5) Communauté francophone
Il est à noter que les autres parties prenantes pour le Conseil incluront:
• La liaison avec la recherche • La Ville de London en tant que corporation et organisme de planification • United Way of London & Middlesex représentant le développement communautaire • Les bailleurs de fonds, lorsque requis
GOUVERNANCE
Le travail du LMLIPC sera guidé par un Conseil Central et six sous-conseils représentants les six centres d’intérêts de notre communauté
A. Conseil Central
COMPOSITION5
Le Conseil Central sera composé d’un maximum de 17 membres représentant:
1. La présidence de chaque sous-conseil (6) 2. Un nombre égal ou supérieur d’individus représentants l’expérience des immigrants.
Notons toutefois que les représentants des immigrants sont en addition à ceux qui siègent sur les sous-conseils (6)
3. L’agent de liaison pour la recherche de l’Initiative de Communautés Accueillantes de l’Université Western de l’Ontario (1)
4. Les bailleurs de fonds incluant, non limitativement, Citoyenneté et Immigration Canada et le Ministère des Affaires Civiques et de l’Immigration de l’Ontario
5. La coprésidence assurée par la Corporation de la Ville de London et par United Way of London & Middlesex6
Note : les membres des organisations communautaires, incluant les Francophones, représenteront le secteur et non pas leur organisation individuelle.
5 Les membres votants et non-votants déterminés par le Conseil
6 À titre de coprésidence de l’Initiative des Communautés Accueillantes et de coprésidence pour le comité consultatif du Partenariat Local d’immigration, nous recommandons que la Ville de London et United Way of London & Middlesex continuent d’agir à titre de coprésidence pour le Conseil afin d’en assurer la continuité. Leur rôle sont ceux de partenaires de développement communautaire et non pas de bailleurs de fonds, et l’association entre les deux organismes constitue une innovation stratégique pour assurer un leadership conjoint, gouvernemental et à but non lucratif, à London et dans le comté de Middlesex.
40
RÔLES ET RESPONSABILITÉS
Démarrage
1. Confirmation des termes de leur propre mandat 2. Détermination de leur processus décisionnel 3. Confirmation de leur projet de lignes directrices relatives aux conflits d’intérêt
Plan stratégique
4. S’assure que les réunions régulières ont lieu 5. Révise les rapports des sous-conseils et assure une direction, une adhésion et une vision 6. Développe le plan stratégique, incluant les buts et objectifs 7. Met à jour et fait le suivi du plan stratégique 8. Communique avec les présidences des sous-conseils sur une base régulière pour
s’assurer de la connectivité
Implication communautaire
9. Fait des consultations avec les chercheurs et avec la communauté sur une base régulière pour s’assurer que les besoins et les lacunes sont identifiés
10. Établit les priorités en se basant sur les informations recueillies lors de la Journée de Mise en Action et indique aux sous-conseils quelles sont les priorités
11. Communique avec la communauté par rapport aux succès et aux opportunités d’action
Conseil et représentation
12. Fait des représentations par rapport aux problèmes des immigrants au nom de la communauté
13. Conseille les bailleurs de fonds et les décideurs politiques sur les besoins et les lacunes
B) Sous-conseils
Les sous-conseils représenteront chacun des six centres d’intérêt : éducation, santé et bien-être, inclusion et engagement civique, la justice et les services de protection et l’établissement.
COMPOSITION
Chaque sous-conseil sera inclusif et ouvert à quiconque manifeste un intérêt dans ce secteur.
1. Les membres de conseils existants et des réseaux doivent être inclus
41
2. Les individus provenant des organisations communautaires incluant les organisations ethnoculturelles, avec l’expérience, les connaissances et les habiletés reliées aux centres d’intérêt
3. Un minimum d’au moins un immigrant à chaque sous-conseil 4. Des représentants de chaque groupe de parties prenantes clé
RÔLES ET RESPONSABILITÉS
Démarrage
1. Révise, confirme le Mandat recommandé par le Conseil Central 2. Détermine la présidence et la vice-présidence du groupe 3. Nomme la présidence en tant que représentant au Conseil Central
Plan stratégique
4. Développe la stratégie thématique pour les centres d’intérêt 5. Fait des recommandations au Conseil Central 6. Fait des consultations auprès des chercheurs sur les problèmes reliés aux centres
d’intérêt 7. Partage les meilleurs pratiques entre les sous-conseils
Conseil et représentation
8. Conjointement avec le Conseil Central fait des représentations et est le porte parole des problématiques spécifiques qu’il représente
Lignes directrices relatives aux conflits d’intérêt
Tous les membres représentent la problématique et non pas leur organisation. Néanmoins, un conflit d’intérêt peut survenir durant le processus d’évaluation ou durant le processus décisionnel. Conséquemment, tous les membres se doivent de suivre les lignes directrices suivantes :
a. Tous les membres du Conseil agissent avec une rigueur telle que les recommandations du Conseil résisteront au plus rigoureux examen public.
b. Les membres devraient déclarer leur conflit d’intérêt si le résultat de leur décision ou si l’évaluation bénéficie à leur organisation, directement ou indirectement. Si une proposition reliée à l’organisation du membre est évaluée, le membre devrait ne pas assister à la réunion.
c. Les membres devraient s’assurer qu’aucun conflit ni qu’aucune apparence de conflit n’existe entre leur intérêts privés et leurs devoirs en tant que membres du Conseil.
42
d. Les membres devraient dévoiler toute possibilité de conflit avant de devenir membre du Conseil et devraient également dévoiler toute possibilité de conflit qui pourrait survenir ultérieurement.
e. Les membres se retirent volontairement de toute évaluation de laquelle un membre de la famille ou une connaissance peut bénéficier.
f. Il est entendu qu’étant donné la composition du Conseil et des sous-conseils et la nécessité d’avoir des membres possédant une certaine expertise, des conflits d’intérêt potentiels peuvent survenir. Quand un conflit potentiel survient, le membre devra immédiatement en aviser le conseil, ne pas discuter avec tout autre membre du Conseil du sujet qui fait l’objet du conflit d’intérêt et ne pas voter sur ce sujet. Le membre devra se retirer du Conseil lorsque le sujet qui donne lieu au conflit d’intérêt est discuté.
Chronologie et formation du Conseil et des sous-conseils
La membriété est basée sur le principe de l’inclusion et sera ouverte à tout individu, groupe ou organisation ayant un intérêt pour les problèmes d’immigration à London et dans le comté de Middlesex. Le processus pour la membriété pour le Conseil sera le suivant :
1. Au plus tard le 18 décembre 2009, le Comité Consultatif développera et publiera une Expression d’intérêt (EI) qui sera distribuée dans la communauté. Il y aura une large distribution pour la soumission des expressions d’intérêt par le biais de courriels aux réseaux existants, aux groupes ethnoculturels, aux groupes fondés sur la foi et par la publication dans les médias locaux et le portail internet sur l’Immigration L’expression d’intérêt détaillera le terme pour lequel la personne intéressée s’engagera, les objectifs et les rôles du Conseil central et des sous-conseils7
2. Toute partie intéressée pourra soumettre sa réponse au comité Consultatif à l’attention du coordonnateur de projet au plus tard le 18 janvier 2010.
Toutes les parties intéressées sont conviées à assister à la Journée d’Action Communautaire prévue pour le 2 février 2010. Advenant l’impossibilité pour tout individu d’assister à cet événement, ils pourront quand même soumettre leur candidature au Conseil du Partenariat (qui sera créé la journée d’Action Communautaire) en indiquant leur secteur d’intérêt, leur compétence et leur connaissance.
La Journée d’Action Communautaire du 2 février 2010 :
1. Les individus sélectionneront eux-mêmes le sous-conseil qui correspond à leur intérêt et à leur compétence.
7 Un an ou pour une durée échelonnée
43
2. Chaque sous-conseil choisira sa présidence et sa coprésidence et déterminera les membres provenant de la communauté immigrante.
3. Le Conseil du Partenariat local d’immigration pour London et le comté de Middlesex, composé d’un comité central et de cinq sous-conseils est créé.
4. Les membres du LMLIPCF se réuniront à toutes les deux semaines du 2 février jusqu’à la fin mars, avec comme objectif de confirmer un plan stratégique local au plus tard le 31 mars 2010. 8
8 Cette date peut changer dépendamment des discussions avec Citoyenneté et Immigration Canada
Financé par: Co-présidé par:
44
Annexe B: Organismes participants et Associations
• Access Centre for Regulated Employment
• ACFO de London-Sarnia • Across Languages • Afghan Social Committee of London • AIDS Committee of London • Anago • Azeri Women’s Group • Brazilian Women of London • Canadian Arab Society • Canadian Council of Muslim Women • Canadian Latin American Association • Canadian Liver Foundation • Canadian Mental Health Association • Canadian Palestinian Association • Carrefour des Femmes du Sud-Ouest de
l’Ontario • Centre communautaire régional de
London • Centre for Addiction & Mental Health • Changing Ways • Childminding, Monitoring, Advisory &
Support • Childreach Centre • Children’s Aid Society of London &
Middlesex • Chinese Canadian National Council
(London Chapter) • Citizenship and Immigration Canada • City of London • College Boreal • Community Living London • County of Middlesex • Crouch Neighbourhood Resource Centre • Daya Counselling Centre • Elargir l’espace francophone • Elgin, Middlesex, Oxford Local Training
Board • Ethnocultural Council of London • Family Networks • Family Service Thames Valley • Fanshawe College • Francophone Immigration Network
System • Glen Cairn Community Resource Centre • Goodwill Industries • Hospice of London • Hutton House • John Howard Society of London &
District • Kala Manjari
• La Jornada Spanish Journal News • Leads Employment Services • Life Resource Centre • Literacy Link South Central • London Arts Council • London Children’s Connections • London Community Foundation • London Community Resource Centre • London Cross Cultural Learner Centre • London District Catholic School Board • London Employment Help Centre • London Health Sciences Centre • London Heritage Council • London Intercommunity Health Centre • London Interfaith Refugee Sponsorship
Alliance • London Muslim Mosque • London Police Service • London Public Library • London Regional Children’s Museum • London West NDP • London Middlesex Immigrant
Employment Council • LUSO Community Services • Magazine Latino • Merrymount Children’s Centre • Middle Eastern Women’s Association • Middlesex-London Health Unit • Ministry of Community Safety and
Correctional Services, Probation and Parole
• Muslim Resource Centre for Social Support and Integration
• Networking for an Inclusive Community • North Park Community Church • North West London Resource Centre • Ontario Early Years Centres • Ontario March of Dimes • Ontario Ministry of Citizenship and
Immigration • Ontario Trillium Foundation • Over 55 Inc. • Pathways Skill Development • Pillar Non-Profit • Platinum Leadership Inc. • Portuguese Congress • Regroupement Multiculturel Francais de
London • Réseau franco-santé du Sud de l'Ontario • Rotholme Women’s and Family’s Shelter • Scouts Canada
45
• Sexual Assault Centre London • Somali Association of London • South London Neighbourhood Resource
Centre • Sure Start Children’s Centre (Wales, UK) • Thames Valley District School Board • The Canadian Iraqi House (London
Chapter) • The University of Western Ontario • United Way of London & Middlesex • Vanier Children’s Services • Welcoming Communities Initiative, The
University of Western Ontario • Wheable Employment Centre • WIL Employment Connections • Women’s Community House • YMCA of Western Ontario • Youth Opportunities Unlimited
46
Annexe C: Priorités détaillées pour chacun des sous-conseils
GABARIT POUR ÉTABLIR LES PRIORITÉS DU SOUS-CONSEIL DE L’ÉDUCATION
9 E
nga
gem
ent
Stra
tegi
es
for
Div
erse
Cu
ltu
ral C
om
mu
nit
ies,
Yea
r O
ne
Pro
gre
ss R
epo
rt, C
hild
reac
h, L
on
do
n O
nta
rio
Pri
ori
té
Stra
tégi
e
Rai
son
s Éc
hé
anci
er
1.
Acc
ès
à l’é
du
cati
on
:
No
tre
pri
ori
té e
st d
e f
aci
lite
r l’
acc
ès
à
l’é
du
cati
on
po
ur
tou
s le
s im
mig
ran
ts
san
s é
ga
rd à
le
ur
sta
tut.
1.
Gar
de
d’e
nfa
nts
/gar
de
rie
1.a
No
mb
re li
mit
é d
e p
lace
s e
n
gard
erie
/gar
de
d’e
nfa
nts
1.b
. Acc
ès
limit
é à
des
ser
vice
s d
e
gard
e d
’en
fan
ts a
bo
rdab
les
po
ur
les
étu
dia
nts
qu
i po
urs
uiv
ent
un
niv
eau
plu
s él
evé
d’é
du
cati
on
Bes
oin
d’a
ugm
ente
r le
s se
rvic
es g
ratu
its
de
gard
e d
’en
fan
ts e
t/o
u d
e ga
rder
ie e
n
dem
and
ant
du
fin
ance
men
t ad
dit
ion
nel
à C
ito
yen
net
é et
Imm
igra
tio
n C
anad
a
po
ur:
a.
Co
llab
ore
r av
ec le
s ga
rder
ies
auto
risé
es
et n
égo
cier
l’ac
hat
de
pla
ces
po
ur
mai
nte
nir
de
s
serv
ices
de
gard
erie
de
qu
alit
é
(50
pla
ces
ann
uel
lem
ent
po
ur
les
béb
és e
t le
s b
amb
ins)
b.
Inci
ter
les
autr
es b
aille
urs
de
fon
ds
(Le
Min
istè
re d
es A
ffai
res
Civ
iqu
es
et d
e l’I
mm
igra
tio
n d
e
l’On
tari
o e
t la
Vill
e d
e Lo
nd
on
)
à fo
urn
ir d
u f
inan
cem
ent
po
ur
des
pla
ces
en g
ard
erie
sub
ven
tio
nn
ées
dan
s le
s
qu
arti
ers.
c.
Exp
lore
r ce
qu
i est
dis
po
nib
le
Dan
s u
ne
réce
nte
étu
de
eff
ectu
ée à
Lon
do
n, 5
8%
des
fe
mm
es
inte
rvie
wé
es
on
t in
diq
ué
qu
e la
dis
po
nib
ilité
des
pla
ces
en g
ard
erie
/ ga
rde
d’e
nfa
nts
con
stit
uai
t u
ne
bar
rièr
e à
leu
r
par
tici
pat
ion
à t
ou
t p
rogr
amm
e
stru
ctu
ré.9 D
e fa
çon
à c
e q
ue
les
fem
me
s
pu
issa
nt
avo
ir a
ccès
à la
fo
rmat
ion
lan
gagi
ère,
de
s p
lace
s en
gar
der
ie o
u e
n
serv
ices
po
ur
la g
ard
e d
’en
fan
ts s
on
t
néc
ess
aire
s. L
e m
anq
ue
de
com
pét
ence
lan
gagi
ère
en a
ngl
ais
les
ren
d p
lus
vuln
érab
les,
dép
end
ante
s et
en
trav
e
gran
dem
ent
leu
r in
tégr
atio
n d
ans
la
com
mu
nau
té d
ans
son
en
sem
ble
.
Le
no
mb
re li
mit
é d
e p
lace
s en
gard
erie
/gar
de
d’e
nfa
nts
ré
sult
e en
un
e
éno
rme
per
te d
e p
ote
nti
el p
ou
r la
Vill
e
et e
n u
ne
én
orm
e p
erte
d’o
pp
ort
un
ité
po
ur
les
ind
ivid
us-
tan
t le
s m
ère
s q
ue
les
enfa
nts
.
Co
nti
nu
47
en m
atiè
re d
e fi
nan
cem
ent
ou
de
sub
ven
tio
ns,
par
le b
iais
du
Ch
ild a
nd
Yo
uth
Net
wo
rk.
d.
Exp
lore
r d
es p
rogr
amm
es
alte
rnat
ifs
com
me
les
pro
gram
mes
‘’Fa
mily
En
glis
h a
s
a Se
con
d L
angu
age’
’
pré
sen
tem
ent
en p
lace
à
Ott
awa.
e.
Pla
nif
ier
la c
oo
rdin
atio
n e
ntr
e
les
fou
rnis
seu
rs d
e se
rvic
es a
u
niv
eau
de
la F
orm
atio
n
Lan
gagi
ère
po
ur
les
No
uve
aux
Can
adie
ns
de
faço
n à
rati
on
alis
er le
s p
lace
s
exis
tan
tes.
f.
Inci
ter
les
bai
lleu
rs d
e fo
nd
s à
de
la f
lexi
bili
té a
vec
le
fin
ance
men
t (s
i les
fo
nd
s n
e
son
t p
as u
tilis
és
po
ur
un
sit
e,
fair
e d
es
rep
rése
nta
tio
ns
po
ur
qu
’ils
soie
nt
tran
sfér
és
à u
n
autr
e si
te o
ù il
exi
ste
un
bes
oin
).
Les
enfa
nts
rat
ent
l’op
po
rtu
nit
é
d’a
pp
ren
dre
l’A
ngl
ais,
de
soci
alis
er e
t d
e
se p
rép
arer
à e
ntr
er a
vec
succ
ès d
ans
le
syst
èm
e d
’éco
le é
lém
enta
ire.
Pré
sen
tem
ent,
il y
a p
rès
de
50
imm
igra
nts
qu
i so
nt
en a
tten
te p
ou
r d
es
pla
ces
en g
ard
erie
po
ur
le p
rogr
amm
e
Lan
guag
e In
stru
ctio
n f
or
New
Can
adia
ns
(LIN
C)
et u
n n
om
bre
éq
uiv
ale
nt
est
en
atte
nte
po
ur
des
pla
ces
abo
rdab
les
en
serv
ices
de
gard
e d
’en
fan
ts a
uto
risé
. La
maj
ori
té d
e ce
s im
mig
ran
ts s
on
t d
e
jeu
nes
mèr
es
qu
i ne
son
t p
as c
apab
les
de
par
tici
per
au
x co
urs
d’a
ngl
ais
lan
gue
seco
nd
e (E
SL),
LIN
C o
u à
to
ute
au
tre
form
atio
n.
2.
Stat
ut
et É
ligib
ilité
2.
Cit
oye
nn
eté
et Im
mig
rati
on
Can
ada
dev
rait
ass
ure
r d
u f
inan
cem
en
t p
ou
r
élar
gir
et é
ten
dre
les
crit
ère
s d
’élig
ibili
té
exis
tan
ts p
ou
r in
clu
re le
s ré
fugi
és e
n
2.
Le s
tatu
t et
l’él
igib
ilité
tan
t p
ou
r le
s
réfu
giés
en
att
ente
de
stat
ut
qu
e p
ou
r le
s
no
uve
aux
cito
yen
s ca
nad
ien
s af
fect
ent
la
fam
ille
et e
n r
eto
ur
la c
om
mu
nau
té.
Lon
do
n, c
om
me
tou
tes
les
ville
s au
Can
ada,
con
tin
uer
a d
e re
cevo
ir d
es
imm
igra
nts
et
il
fau
t d
on
ner
à c
es im
mig
ran
ts le
s m
oye
ns
de
dev
enir
de
s m
emb
res
qu
i par
tici
pen
t
48
3.
Rec
on
nai
ssan
ce d
es
Ind
ivid
us
form
és
à l’
étra
nge
r (I
TIs)
,
atte
nte
de
stat
ut
et le
s n
ou
veau
x
cito
yen
s ca
nad
ien
s p
ou
r p
erm
ettr
e à
ces
gro
up
es
d’a
voir
acc
ès a
ux
pro
gram
mes
qu
i am
élio
rero
nt
leu
r
édu
cati
on
s et
leu
r ac
cès
à l’e
mp
loi.
- Q
ue
l’éva
luat
ion
, l’in
form
atio
n e
t
Selo
n S
tati
stiq
ue
s C
anad
a, L
on
do
n r
eço
it
un
trè
s gr
and
no
mb
re d
e ré
fugi
és e
t d
e
rési
den
ts p
erm
anen
ts. S
elo
n le
s d
on
née
s
du
rec
ense
men
t 2
00
6, 1
9,3
1%
de
la
po
pu
lati
on
de
Lon
do
n e
st c
on
stit
uée
d’im
mig
ran
ts. U
n b
on
po
urc
enta
ge d
e
réfu
giés
en
att
ente
de
stat
ut
reço
it u
ne
rép
on
se p
osi
tive
lors
de
leu
r au
dit
ion
; de
ce f
ait
dan
s le
cad
re d
’un
e ap
pro
che
pro
acti
ve le
s ré
fugi
és e
n a
tte
nte
de
stat
ut
do
iven
t êt
re é
ligib
les
aux
pro
gram
mes
qu
i leu
r p
erm
ettr
on
t
d’a
mél
iore
r le
ur
con
trib
uti
on
à
l’éco
no
mie
et
à la
co
mm
un
auté
.
Les
no
uve
aux
cito
yen
s ca
nad
ien
s
tom
ben
t ég
ale
men
t d
ans
cett
e ca
tégo
rie.
Lors
qu
e le
s ré
sid
ents
per
man
ents
dev
ien
nen
t ci
toye
ns,
ils
per
de
nt
l’ava
nta
ge d
’avo
ir a
ccès
au
x p
rogr
amm
es
men
tio
nn
és f
inan
cés
par
le f
éd
éral
. Cec
i
affe
cte
les
no
uve
aux
Can
adie
ns
de
plu
sieu
rs f
aço
ns.
Po
ur
ceu
x q
ui o
nt
des
reve
nu
s lim
ité
s, q
ui n
’on
t p
as a
ccès
à u
n
véh
icu
le e
t q
ui s
on
t in
cap
able
s d
e p
ayer
po
ur
la g
ard
e d
’en
fan
ts, i
l dev
ien
t
imp
oss
ible
po
ur
cett
e p
op
ula
tio
n d
e
con
tin
uer
leu
r ap
pre
nti
ssag
e d
e l’a
ngl
ais.
Le r
ésu
ltat
est
un
e fo
ule
de
pro
blè
me
s
po
ur
la f
amill
e et
po
ur
la c
om
mu
nau
té
dan
s so
n e
nse
mb
le.
3. L
e p
roce
ssu
s d
’éva
luat
ion
des
acti
vem
ent
à n
otr
e so
ciét
é; p
ar c
on
séq
uen
t,
le b
eso
in p
ou
r ce
fin
ance
men
t es
t ac
tuel
.
Fair
e d
u lo
bb
yin
g et
de
la r
epré
sen
tati
on
aup
rès
de
Cit
oye
nn
eté
et Im
mig
rati
on
Can
ada
po
ur
éten
dre
l’él
igib
ilité
des
cri
tère
s
de
serv
ices
po
ur
incl
ure
les
no
uve
aux
can
adie
ns.
Co
nti
nu
(b
asé
sur
le m
od
èle
du
Ph
ysic
ian
Cre
den
tial
s R
egis
try
of
Can
ada
(PC
RC
)
49
form
atio
n e
t m
ise
à n
ivea
u
l’aid
e p
ou
r fa
ire
un
e d
eman
de
soie
nt
fait
es à
to
ute
s fi
ns
uti
les
en u
ne
seu
le
fois
ré
sult
ant
en u
n d
épo
sita
ire
un
iqu
e
des
do
cum
ents
do
nt
la s
ou
rce
est
véri
fié
e. C
eci
peu
t êt
re a
ttei
nt
en
adap
tan
t le
mo
dèl
e d
u P
hys
icia
n
Cre
den
tial
s R
egis
try
of
Can
ada-
PC
RC
et
aura
co
mm
e ré
sult
at d
e fa
ire
en s
ort
e
qu
e to
ute
s le
s o
rgan
isat
ion
s ac
cep
ten
t
des
co
pie
s ce
rtif
iée
s d
es o
rigi
nau
x, d
es
rap
po
rts
d’é
valu
atio
n d
étai
llés
do
nt
la
sou
rce
est
vér
ifié
e.
- B
eau
cou
p d
’imm
igra
nts
do
iven
t se
sou
met
tre
à d
es m
ises
à n
ivea
u o
u à
de
la f
orm
atio
n s
pé
cifi
qu
em
ent
relié
s à
un
e
pro
fess
ion
. Cet
te f
orm
atio
n a
cad
émiq
ue
req
uis
e es
t fo
urn
ie s
ou
s la
fo
rme
de
pro
gram
me-
rela
is q
ui p
ou
rrai
ent
être
off
erts
par
les
collè
ges
com
mu
nau
tair
es
loca
ux
et le
s u
niv
ersi
tés.
Un
enga
gem
ent
po
ur
du
fin
ance
men
t se
rait
néc
ess
aire
po
ur
crée
r d
es
pla
ces
add
itio
nn
elle
s d
ans
de
s p
rogr
amm
es, e
n
add
itio
n a
ux
pro
gram
mes
re
lais
act
uel
s
(Aff
aire
s et
Sci
ence
Infi
rmiè
res)
rép
on
dan
t au
x b
eso
ins
du
mar
ché
du
trav
ail à
Lo
nd
on
.
dip
lôm
es e
t d
es a
tte
stat
ion
s p
ren
d
bea
uco
up
de
tem
ps.
No
tre
pri
ori
té e
st d
e
no
us
assu
rer
qu
e la
rec
on
nai
ssan
ce d
es
dip
lôm
es e
t at
test
atio
ns
soit
rati
on
nal
isée
de
faço
n à
ce
qu
e le
s
no
uve
aux
arri
van
ts p
uis
sen
t s’
atte
nd
re à
po
uvo
ir f
aire
vér
ifie
r le
urs
dip
lôm
és
et
atte
stat
ion
s p
ou
r d
es f
ins
mu
ltip
les
incl
uan
t : l
’éd
uca
tio
n, l
’em
plo
i et
l’ob
ten
tio
n d
e p
erm
is.
L’éd
uca
tio
n e
st d
iffé
ren
te à
tra
vers
le
mo
nd
e et
les
no
uve
aux
arri
van
ts
bén
éfic
ien
t so
uve
nt
d’u
ne
form
atio
n
spéc
ifiq
ue
en O
nta
rio
qu
i au
gmen
te le
urs
con
nai
ssan
ces
et le
urs
po
ssib
ilité
s
d’e
mp
loi.
Les
no
uve
aux
arri
van
ts s
on
t
tro
p s
ou
ven
t in
cap
able
s d
’acc
éder
à la
form
atio
n r
elai
s d
on
t ils
on
t b
eso
in p
arce
qu
e l’o
ffre
de
tels
pro
gram
me
s n
’est
dis
po
nib
le q
ue
dan
s le
s gr
and
s ce
ntr
es
urb
ain
s (G
TA).
Avo
ir a
ccè
s à
cett
e
édu
cati
on
fac
ilite
rait
l’ac
cès
des
no
uve
aux
arri
van
ts à
la p
rofe
ssio
n d
e
leu
r ch
oix
. Cet
te a
ctio
n b
énéf
icie
rait
à la
fois
à l’
ind
ivid
u e
t à
la c
om
mu
nau
té.
Il es
t gé
nér
ale
men
t ac
cep
té q
u’o
n
s’at
ten
d à
ce
qu
e le
s im
mig
ran
ts f
asse
nt
véri
fier
leu
rs d
iplô
mes
et
atte
stat
ion
s
acad
émiq
ue
s.
Cep
end
ant,
on
dem
and
e
à b
eau
cou
p d
’imm
igra
nts
de
fou
rnir
des
véri
fica
tio
ns
po
ur
rép
on
dre
à d
iffé
ren
ts
Co
nti
nu
50
bes
oin
s: e
mp
lois
po
ur
leu
r su
rvie
,
emp
lois
en
rap
po
rt a
vec
leu
r éd
uca
tio
n
et le
ur
exp
érie
nce
, de
l’éd
uca
tio
n
po
stse
con
dai
re e
t u
niv
ersi
tair
e et
les
org
anis
mes
de
régl
emen
tati
on
.
Il ex
iste
dif
fére
nte
s é
valu
atio
ns
ave
c
dif
fére
nts
niv
eau
x d
e d
étai
ls d
ans
ces
éval
uat
ion
s. C
on
séq
ue
mm
ent,
les
no
uve
aux
arri
van
ts f
inis
sen
t à
un
cer
tain
mo
men
t p
ar f
aire
de
mu
ltip
les
app
licat
ion
s. U
n s
ervi
ce d
’éva
luat
ion
‘en
un
e se
ule
éta
pe’
ave
c le
plu
s h
aut
deg
ré
de
fiab
ilité
et
d’e
xam
en p
ou
rrai
t êt
re
uti
le a
ux
no
uve
aux
arri
van
ts d
e p
lusi
eurs
faço
ns.
No
tre
pri
ori
té e
st d
e n
ou
s as
sure
r q
ue
les
imm
igra
nts
qu
i so
nt
à la
rec
he
rch
e d
’un
e
mis
e à
niv
eau
aca
dé
miq
ue
ou
sp
écif
iqu
e
à u
ne
pro
fess
ion
pu
isse
nt
la r
ece
voir
loca
lem
ent.
Il y
a p
rése
nte
me
nt
un
e
dis
po
nib
ilité
lim
itée
de
pro
gram
mes
de
form
atio
n e
t d
e p
rogr
amm
es
rela
is. U
ne
off
re c
om
plè
te d
e p
rogr
amm
es r
ela
is e
st
néc
ess
aire
po
ur
les
div
ers
mé
tier
s et
po
ur
les
pro
fess
ion
s ré
gle
men
tées
.
4.
Cla
rté
entr
e ES
L et
Lit
téra
cie.
C’e
st à
la f
ois
un
e la
cun
e et
un
e
pri
ori
té p
arce
qu
e le
man
qu
e d
e
clar
té a
ffec
te le
s im
mig
ran
ts. I
l y
a d
es s
ervi
ces
de
Litt
érac
ie, d
es
Ap
pre
nd
re d
es a
utr
es
juri
dic
tio
ns.
•
Lon
do
n/M
idd
lese
x n
’est
pas
la s
eule
zon
e gé
ogr
aph
iqu
e av
ec
cett
e
gam
me
de
serv
ice
s o
u a
vec
ces
zon
es g
rise
s en
tre
les
pro
gram
mes
pro
vin
ciau
x. K
itch
ene
r/W
ater
loo
a
•
Le p
roje
t K
/W f
inir
a le
31
ao
ût
20
10
et
no
us
po
urr
on
s al
ors
uti
liser
le r
app
ort
du
pro
jet
po
ur
no
us
info
rmer
de
no
s
pro
pre
s p
rogr
ès
loca
ux.
51
serv
ices
d’A
ngl
ais
Lan
gue
Seco
nd
e et
de
s se
rvic
es
de
Litt
érac
ie A
ngl
ais
Lan
gue
Seco
nd
e à
Lon
do
n/M
idd
lese
x
fin
ancé
s p
ar d
iffé
ren
ts
min
istè
res.
Co
mm
e ré
sult
at,
l’in
terp
réta
tio
n d
es c
ritè
res
d’é
ligib
ilité
po
ur
ces
pro
gram
mes
n’e
st p
as
coh
éren
te e
t d
es
clie
nts
peu
ven
t
glis
ser
et t
om
ber
en
tre
ces
lacu
nes
. Co
mm
e le
s tr
ois
sect
eurs
de
serv
ice
ne
se s
on
t
pas
co
nce
rté
s p
ou
r la
pla
nif
icat
ion
des
ser
vice
s ju
squ
’à
ce jo
ur,
il n
’y a
pas
eu
d’o
pp
ort
un
ités
po
ur
iden
tifi
er e
t
serv
ir c
es
lacu
ne
s.
•
Iden
tifi
er le
s p
oss
ibili
tés
de
Serv
ices
de
Litt
éra
cie
, d’A
ngl
ais
Lan
gue
Seco
nd
e e
t le
s Se
rvic
es
de
Litt
éra
cie
An
glai
s La
ngu
e s
eco
nd
e à
trav
ers
la v
ille.
.
•
Iden
tifi
er le
s cr
itèr
es
d’é
ligib
ilité
po
ur
chac
un
de
ces
tro
is t
ype
s d
e
pro
gram
mes
.
•
Réu
nir
les
fou
rnis
seu
rs d
e se
rvic
es
des
tro
is t
ype
s d
e p
rogr
amm
es:
Litt
érac
ie, A
ngl
ais
Lan
gue
Seco
nd
e
et L
itté
raci
e A
ngl
ais
Lan
gue
Seco
nd
e (o
u d
es
rep
rése
nta
nts
de
chaq
ue
sect
eur)
po
ur
dis
cute
r to
ut
pro
blè
me
de
pla
nif
icat
ion
des
serv
ices
. .
un
pro
jet
qu
i vis
e à
iden
tifi
er le
s
zon
es g
rise
s et
no
us
po
uvo
ns
app
ren
dre
de
ce p
roje
t.
•
Savo
ir o
ù t
ou
s ce
s p
rogr
amm
es s
on
t
loca
lisés
( d
’un
co
up
d’œ
il) a
ider
a le
s
gen
s à
fair
e d
es a
igu
illag
es
écla
irés
.
•
Savo
ir à
‘’q
ui’’
réf
érer
est
to
ut
auss
i
imp
ort
ant
qu
e d
e sa
voir
‘’o
ù’’
réfé
rer.
Il y
a p
eut-
être
un
bes
oin
po
ur
des
serv
ices
qu
i n’e
xist
ent
pas
pré
sen
tem
ent
qu
i néc
essi
ten
t la
co
llab
ora
tio
n d
e d
eux
min
istè
res
ou
de
deu
x se
cteu
rs p
ou
r
rép
on
dre
au
x b
eso
ins
de
s cl
ien
ts.
•
Les
pro
gram
mes
de
litté
raci
e o
nt
réce
mm
ent
élab
oré
un
e ca
rte
de
leu
rs
serv
ices
ave
c l’a
ide
de
la V
ille
de
Lon
do
n
(OW
). N
ou
s p
ou
rrio
ns
uti
liser
la m
êm
e
cart
e et
y a
jou
ter
An
glai
s La
ngu
e
Seco
nd
e (E
SL)
ET
Litt
érac
ie A
ngl
ais
Lan
gue
Seco
nd
e (E
SL).
Éch
éan
cier
: 3
1
aoû
t 2
01
0 .
•
Uti
liser
le p
roje
t K
/W c
om
me
po
int
de
dép
art.
Réu
nir
les
fou
rnis
seu
rs d
e
serv
ices
de
Litt
érac
ie, d
’An
glai
s La
ngu
e
Seco
nd
e (E
SL)
et d
e Li
ttér
acie
An
glai
s
Lan
gue
Seco
nd
e (E
SL)
po
ur
un
fo
rum
de
par
tage
d’in
form
atio
n p
ou
r d
éter
min
er
si lo
cale
men
t n
ou
s so
mm
es
d’a
cco
rd
avec
les
crit
ère
s d
’élig
ibili
té d
iscu
tés
dan
s l’É
chéa
nci
er K
/W –
oct
ob
re/n
ove
mb
re 2
01
0.
•
Avo
ir u
ne
séan
ce d
e p
lan
ific
atio
n e
n
févr
ier
20
11
.
2.
Ap
pu
is:
Thè
me
De
ux:
No
tre
pri
ori
té e
st d
e f
ou
rnir
du
sou
tie
n a
ux
éd
uca
teu
rs, a
ux
par
en
ts
et
aux
étu
dia
nts
po
ur
s’as
sure
r q
ue
les
imm
igra
nts
et
les
Ap
pre
nan
ts e
n
Lan
gue
An
gla
ise
so
nt
cap
able
s d
e
1. F
ou
rnir
de
l’in
form
atio
n s
ur
la
resp
on
sab
ilité
tan
t d
es p
aren
ts q
ue
de
l’éco
le s
ur
la n
éce
ssit
é p
ou
r le
s p
aren
ts
d’in
tera
gir
avec
les
éco
les
en a
ssis
tan
t
aux
évén
em
ents
/réu
nio
ns
de
l’éco
le e
t
Co
nti
nu
52
par
tici
pe
r p
lein
em
en
t e
t av
ec
succ
ès
dan
s n
os
éco
les
tou
t en
se
dé
velo
pp
ant
com
me
cito
yen
s gl
ob
aux
au C
anad
a.
Ap
pu
is
1. P
are
nts
Rel
atio
n e
ntr
e le
s p
aren
ts e
t le
s é
cole
s
en s
e jo
ign
ant
au c
on
seil
de
l’éco
le e
t à
un
e o
rgan
isat
ion
de
par
ents
. Cet
te
info
rmat
ion
a b
eso
in d
’êtr
e m
ult
ilin
gue,
refl
étan
t le
s b
eso
ins
lingu
isti
qu
es d
u
qu
arti
er. I
nci
ter
le ‘’
Tham
es V
alle
y
Par
ent
Invo
lvem
ent
Co
mm
itte
e’’
(TV
PIC
) à
enga
ger
des
tra
vaill
eurs
de
pro
xim
ité
à te
mp
s p
arti
el p
rove
nan
t d
es
gro
up
es e
thn
iqu
es r
epré
sen
tés
dan
s le
s
éco
les
qu
i n’o
nt
pas
de
Trav
aille
urs
de
l’Éta
blis
sem
ent
dan
s le
s Éc
ole
s (T
EE).
Les
par
ents
et
les
mem
bre
s d
e la
com
mu
nau
té s
ero
nt
ain
si in
cité
s et
enco
ura
gés
à fo
urn
ir d
es a
telie
rs, d
e la
form
atio
n e
t d
e l’é
du
cati
on
au
per
son
nel
de
s éc
ole
s p
ou
r au
gmen
ter
leu
r se
nsi
bili
té e
t le
ur
con
nai
ssan
ce
glo
bal
e.
Po
ur
les
par
ents
qu
i so
nt
illet
trés
dan
s
leu
r la
ngu
e p
rem
ière
, cré
er u
n b
assi
n d
e
volo
nta
ire
s q
ui p
arle
nt
dif
fére
nte
s
lan
gues
et
leu
r d
on
ner
un
e fo
rmat
ion
po
ur
être
bén
évo
les
po
ur
de
s éc
ole
s
spéc
ifiq
ues
, po
ur
accu
eilli
r le
s p
aren
ts,
peu
t-êt
re m
êm
e le
ur
fair
e f
aire
un
e
visi
te g
uid
ée
de
l’éco
le e
t le
s p
rése
nte
r
à l’e
nse
ign
ant
de
leu
rs e
nfa
nts
. (C
eci
com
plè
tera
le t
rava
il d
es T
rava
illeu
rs e
n
étab
lisse
men
t TE
E d
ans
les
éco
les)
1. L
es p
aren
ts im
mig
ran
ts o
nt
bes
oin
d’in
form
atio
n s
péc
ifiq
ue
qu
i so
nt
en li
en
Co
nti
nu
53
2.L
es
en
seig
nan
ts (
es)
2.a
. Ob
ligat
ion
de
par
tici
per
au
x
form
atio
ns/
atel
iers
dis
po
nib
les
sur
la
div
ersi
té e
t l’i
ncl
usi
on
2.b
Fo
rmat
ion
sp
écia
lisée
et
req
uis
e
po
ur
les
ense
ign
ants
(es)
des
éco
les
élé
men
tair
es
et s
eco
nd
aire
s p
ou
r
rép
on
dre
au
x b
eso
ins
de
s n
ou
veau
x
arri
van
ts
avec
un
e é
cole
en
par
ticu
lier
et a
uss
i
d’u
ne
com
mu
nic
atio
n c
on
stan
te a
vec
l’en
seig
nan
t (e
) et
le p
erso
nn
el
adm
inis
trat
ive
de
l’éco
le d
e le
ur
enfa
nt.
Ain
si u
n g
rou
pe
de
bén
évo
les
coo
rdo
nn
és p
ar d
u p
ers
on
ne
l
con
trac
tuel
et
par
des
Tra
vaill
eurs
TEE
do
it ê
tre
iden
tifi
é p
ou
r ap
pu
yer
les
fam
illes
d’im
mig
ran
ts e
t p
ou
r en
trer
en
con
tact
ave
c e
lles
aprè
s le
pro
cess
us
init
ial d
’éta
blis
sem
ent.
Les
stra
tégi
es
suiv
ante
s p
ou
r ab
ord
er
le p
rob
lèm
e d
e l’
app
ui a
ux
ense
ign
ants
(es)
Trav
aille
r av
ec le
s sy
nd
icat
s et
les
deu
x
com
mis
sio
ns
sco
lair
es
po
ur
qu
’un
e
form
atio
n s
pé
cial
isée
po
ur
les
ense
ign
ants
(e
s) d
es
éco
les
élé
men
tair
es
et s
eco
nd
aire
s d
evie
nn
e
un
e co
nd
itio
n d
’em
bau
che.
Rec
om
man
der
à l’
Ord
re d
es
ense
ign
ante
s et
en
seig
nan
ts d
e
l’On
tari
o q
ue
‘’En
seig
ner
dan
s d
es
Cla
sse
s M
ult
ilin
gue
s’’ s
oit
dé
sign
é
com
me
étan
t u
ne
exig
ence
ob
ligat
oir
e
po
ur
être
cer
tifi
é en
On
tari
o.
Co
llab
ore
r av
ec l’
Un
iver
sité
Wes
tern
de
l’On
tari
o p
ou
r re
nd
re o
blig
ato
ires
plu
tôt
qu
’op
tio
nn
els
po
ur
les
can
did
ats
à
l’en
seig
nem
ent
cert
ain
s co
urs
(v.
g.
Co
nti
nu
De
ux
fois
par
an
né
e
Co
nti
nu
54
ense
ign
er d
ans
de
s cl
asse
s
mu
ltili
ngu
es)
.
Co
llab
ore
r av
ec l’
UW
O e
t le
Co
llège
Fan
shaw
e p
ou
r d
on
ner
de
la f
orm
atio
n
spéc
ifiq
ue/
de
s se
ssio
ns
de
dév
elo
pp
em
ent
pro
fess
ion
nel
/des
co
urs
po
ur
les
ense
ign
ants
(es
) en
ser
vice
.
Rec
rute
r p
lus
d’e
nse
ign
ants
(es
) q
ui
rep
rése
nte
nt
le m
ilieu
ou
les
ori
gin
es
des
étu
dia
nts
dan
s le
sys
tèm
e s
cola
ire
(v.g
. de
s en
seig
nan
ts(e
s) f
orm
és(e
s) o
u
ayan
t ét
ud
ié à
l’ét
ran
ger)
.
Iden
tifi
er d
es
ense
ign
ants
(es)
en
po
ste
qu
i par
len
t u
ne
autr
e la
ngu
e q
ue
l’an
glai
s p
uis
qu
e ce
s en
seig
nan
ts(e
s)
peu
ven
t êt
re u
n a
ctif
po
ur
com
mu
niq
uer
ave
c le
s p
aren
ts e
t le
s
étu
dia
nts
aya
nt
la m
ême
lan
gue
d’o
rigi
ne.
Ad
apte
r ce
rtai
ns
mo
du
les
uti
lisé
s au
x
État
s-U
nis
tel
s q
ue
(LEP
- Te
ach
ing
Lim
ited
En
glis
h P
rofi
cien
t St
ud
ents
) o
u
aille
urs
au
Can
ada
et e
n Ir
lan
de.
Rev
oir
les
curr
icu
lum
s ac
tuel
s p
ou
r
iden
tifi
er le
s b
eso
ins
et f
aire
des
reco
mm
and
atio
ns
bas
ées
su
r u
ne
révi
sio
n d
es la
cun
es d
ans
les
curr
icu
lum
s ac
tuel
s.
Act
ue
l
Do
nn
er
un
e te
lle o
pp
ort
un
ité
un
e f
ois
par
ann
ée
po
ur
chaq
ue
en
seig
nan
t (e
)
Un
an
55
2c.
Le
Cu
rric
ulu
m d
e l’
On
tari
o p
ou
r
les
éco
les
élé
me
nta
ire
s e
t se
con
dai
res
n’e
st p
as a
sse
z ri
che
en
mat
ière
de
con
nai
ssan
ce g
lob
ale
3.É
tud
ian
ts:
Ap
pu
is p
ou
r le
s A
pp
ren
ants
en
lan
gue
An
gla
ise
(A
LA)
et
po
ur
les
Étu
dia
nts
en
Dé
velo
pp
em
en
t d
e la
Lit
téra
cie
An
gla
ise
(ED
LA)
3a.
Le
syst
ème
d’e
nse
ign
em
en
t ac
tuel
app
elle
à la
ség
réga
tio
n o
u a
u r
etra
it
des
ALA
s)
3.b
.Men
tora
t co
mp
tan
t su
r le
s o
rigi
ne
s
cult
ure
lles
2c.
Uti
liser
le c
urr
icu
lum
act
uel
po
ur
dév
elo
pp
er
l’in
clu
sio
n, l
’ou
vert
ure
à la
div
ersi
té e
t le
dé
velo
pp
em
ent
d’u
ne
cito
yen
net
é gl
ob
ale
et à
l’es
pri
t o
uve
rt.
Enco
ura
ger
la p
arti
cip
atio
n a
ctiv
e d
es
imm
igra
nts
dan
s la
dis
cuss
ion
act
uel
le
sur
le p
lan
str
atég
iqu
e su
r l’
Équ
ité
et
l’éd
uca
tio
n in
clu
sive
en
On
tari
o.
3a.
Rec
om
man
der
qu
’un
co
nsu
ltan
t
ind
épen
dan
t so
it e
nga
gé p
ar le
s
fou
rnis
seu
rs d
e se
rvic
es t
rava
illan
t av
ec
les
éco
les
po
ur
révi
ser
l’en
seig
nem
ent
de
l’an
glai
s la
ngu
e se
con
de
et d
u
Dév
elo
pp
em
ent
de
la L
itté
raci
e A
ngl
aise
po
ur
voir
co
mm
ent
la s
égr
égat
ion
peu
t
être
réd
uit
e et
po
ur
augm
ente
r
l’in
tégr
atio
n e
n g
ard
ant
un
œil
sur
la
réd
uct
ion
de
l’im
pac
t p
sych
o-s
oci
al d
e
la s
égré
gati
on
su
r le
s ap
pre
nan
ts e
t le
s
étu
dia
nts
en
lan
gue
An
glai
se q
ui n
’on
t
pas
reç
u d
’éd
uca
tio
n f
orm
elle
et
qu
i on
t
bes
oin
d’u
n p
rogr
amm
e d
e
Dév
elo
pp
em
ent
en L
itté
raci
e A
ngl
aise
.
3b
. Pro
mo
uvo
ir le
men
tora
t
inte
rcu
ltu
rel p
ar le
s p
airs
:
TEE/
par
ents
/en
seig
nan
ts(e
s)/p
ar le
bia
is d
u C
on
seil
de
l’éco
le a
vec
un
fin
ance
men
t d
u T
VP
IC. C
réer
des
évén
emen
ts q
ui f
avo
rise
nt
la
Évé
ne
me
nts
te
nu
s d
eu
x fo
is p
ar a
nn
ée
De
ux
fois
par
an
né
e
Act
ue
l
56
3c.
Pro
gram
me
s d
e le
ader
ship
insu
ffis
ants
po
ur
les
jeu
nes
imm
igra
nts
3d
. Ap
pu
is in
suff
isan
ts p
ou
r le
s
Ap
pre
nan
ts e
n la
ngu
e A
ngl
aise
dan
s le
s
mat
ière
s d
e co
nte
nu
con
nai
ssan
ce c
ult
ure
lle, l
a
com
pré
hen
sio
n e
t le
res
pe
ct m
utu
el.
3c.
Qu
e le
s fo
urn
isse
urs
de
serv
ices
qu
i
fou
rnis
sen
t d
e te
ls p
rogr
amm
es
dem
and
ent
du
fin
ance
men
t à
Cit
oye
nn
eté
et Im
mig
rati
on
Can
ada
po
ur
augm
ente
r d
e te
ls p
rogr
amm
es
po
ur
les
jeu
nes
.
3c.
Ass
ure
r d
es
‘’re
trai
tes’
’ po
ur
les
jeu
nes
de
tou
tes
cult
ure
s q
ui f
avo
rise
nt
la s
oci
alis
atio
n, s
péc
iale
men
t p
ou
r ce
ux
qu
i en
tret
ien
nen
t d
es r
elat
ion
s d
e
‘’m
ento
rat’
’ ou
de
‘’co
pai
n’’
.
3d
Fo
rmer
de
s m
ento
rs, q
ui p
arle
nt
pré
féra
ble
men
t la
lan
gue
des
étu
dia
nts
,
po
ur
trav
aille
r in
div
idu
elle
me
nt
avec
les
étu
dia
nts
qu
i on
t p
eu o
u p
as d
e
com
pét
ence
s la
nga
gièr
es e
n a
ngl
ais.
3d
. Dév
elo
pp
er d
es
app
uis
so
ciau
x
com
mu
nau
tair
es/
rése
aux
à l’i
nté
rieu
r
Act
ue
l
Act
ue
l
57
3e.
Ap
pu
is in
suff
isan
ts d
ans
les
salle
s
de
clas
se p
ou
r le
s en
fan
ts im
mig
ran
ts
ayan
t d
es b
eso
ins
spéc
iau
x.
d’u
ne
co
mm
un
auté
iden
tifi
ée
où
il y
a
un
bes
oin
d’a
ider
ces
ap
pre
nan
ts d
ans
les
mat
ière
s d
e co
nte
nu
. Cec
i peu
t êt
re
fait
en
en
gage
ant
un
Co
ord
on
nat
eu
r
(tri
ce)
po
ur
un
gro
up
e d
e d
’exp
erts
bén
évo
les
dan
s d
iffé
ren
ts s
uje
ts p
ou
r
aid
er le
s ét
ud
ian
ts im
mig
ran
ts e
n
deh
ors
de
l’éco
le. (
L’en
gage
men
t p
eut
être
fai
t p
ar la
Vill
e d
e Lo
nd
on
ou
par
les
org
anis
mes
loca
ux)
.
3d
. Co
ord
on
ner
les
clu
bs
de
dev
oir
s
exis
tan
ts d
ans
la v
ille
en u
tilis
ant
le
Po
rtai
l de
l’Im
mig
rati
on
.
Off
rir
de
s cl
asse
s à
dif
fére
nts
niv
eau
x,
de
dim
ensi
on
res
trei
nte
à d
e p
etit
s
gro
up
es e
t st
ruct
uré
s p
ou
r la
lect
ure
,
l’écr
itu
re, l
e la
nga
ge, l
a co
mp
réh
ensi
on
et la
fo
rmat
ion
de
niv
eau
ava
ncé
.
3e.
Au
gmen
ter
le f
inan
cem
ent
po
ur
l’aid
e à
l’éd
uca
tio
n e
t le
s se
rvic
es d
e
dév
elo
pp
em
ent
lan
gagi
er p
ou
r le
s
étu
dia
nts
aya
nt
des
bes
oin
s sp
écia
ux.
58
GABARIT POUR ÉTABLIR LES PRIORITÉS DU SOUS-CONSEIL DE L’EMPLOI
Pri
ori
té
Act
ivit
é/S
trat
égi
e
Rai
son
s Éc
hé
anci
er
Co
mm
un
icat
ion
/In
tégr
atio
n:
No
tre
pri
ori
té e
st d
e n
ou
s as
sure
r
qu
e le
s im
mig
ran
ts à
la r
ech
erc
he
d’u
n e
mp
loi p
uis
sen
t s’
atte
nd
re à
rece
voir
de
l’in
form
atio
n c
on
sist
ante
,
exa
cte
et
au b
on
mo
me
nt
po
ur
les
aid
er
dan
s le
ur
rech
erc
he
d’e
mp
loi.
1.
Un
pro
cess
us
com
mu
n
d’é
valu
atio
n q
ui r
esp
ecte
ra le
s
bes
oin
s d
es
clie
nts
.
2.
De
l’in
form
atio
n a
pp
rop
riée
po
ur
un
aig
uill
age
au m
om
ent
app
rop
rié
sera
co
lligé
e en
con
form
ité
ave
c la
loi s
ur
la
Pro
tect
ion
de
la V
ie P
rivé
e.
3.
Bât
ir s
ur
la c
apac
ité
exis
tan
te
et f
aire
le li
en a
vec
Wel
com
e
Lon
do
n.c
a –
bes
oin
d’u
tilis
er
les
rése
aux
exis
tan
ts p
ou
r
amél
iore
r le
s co
mm
un
icat
ion
s
entr
e le
s se
rvic
es
d’a
ide,
ESC
LM e
t N
IC.
Il es
t gé
nér
ale
men
t re
con
nu
qu
’à
Lon
do
n il
exi
ste
un
e gr
and
e va
riét
é
de
serv
ices
et
d’a
ide
à l’e
mp
loi m
ais
qu
e la
co
mm
un
icat
ion
de
ces
serv
ices
et d
e ce
tte
aid
e au
x fo
urn
isse
urs
de
serv
ices
et
aux
imm
igra
nts
n’e
st p
as
bie
n f
aite
.
Les
pro
blè
me
s p
arti
culie
rs d
u c
lien
t
imm
igra
nt
do
iven
t êt
re in
clu
s d
ans
le
pro
cess
us
d’a
dm
issi
on
. Le
sect
eur
de
l’em
plo
i et
de
la f
orm
atio
n à
Lo
nd
on
uti
lise
de
faço
n u
niv
erse
lle le
pro
cess
us
’’Év
alu
atio
n C
om
mu
ne’
’.
Ce
pro
cess
us
de
vrai
t êt
re e
xam
iné
po
ur
s’as
sure
r q
ue
les
be
soin
s d
es
imm
igra
nts
so
nt
pri
s en
co
mp
te.
Étab
lir d
es p
roto
cole
s d
e
com
mu
nic
atio
n im
pliq
uan
t to
us
les
rése
aux
actu
els
au 3
1 d
éce
mb
re 2
01
0
po
ur
assu
rer
la d
iffu
sio
n g
éné
ralis
ée
et
au m
om
ent
op
po
rtu
n d
e l’i
nfo
rmat
ion
rela
tive
à l’
emp
loi e
t à
la f
orm
atio
n. L
e
mai
nti
en d
e ce
s p
roto
cole
s se
fer
a su
r
de
faço
n c
on
tin
ue.
En t
rava
illan
t av
ec le
s re
pré
sen
tan
ts (
es)
du
Co
mit
é su
r l’É
valu
atio
n C
om
mu
ne
du
ESC
LM d
u s
ou
s-co
nse
il su
r l’e
mp
loi,
on
cher
cher
a à
s’as
sure
r q
ue
le p
roce
ssu
s
actu
el p
rép
are
les
fou
rnis
seu
rs d
e
serv
ices
à c
olli
ger
et u
tilis
er le
s
do
nn
ées
néc
essa
ire
s p
ou
r d
es
aigu
illag
es
app
rop
riés
et
po
ur
le
dév
elo
pp
em
ent
d’u
n p
lan
d’a
ctio
n p
ou
r
l’em
plo
i. D
ate
limit
e, 3
1 m
ars
20
11
.
Thè
me
# 2
Co
nn
exi
on
s av
ec
les
em
plo
yeu
rs:
Po
ur
amé
liore
r le
lie
n e
ntr
e le
s
imm
igra
nts
et
les
em
plo
yeu
rs d
e
Lon
do
n M
idd
lese
x co
nd
uis
ant
ain
si à
du
su
ccè
s e
n e
mp
loi.
Ce
ci s
era
acco
mp
li e
n a
pp
uya
nt
les
init
iati
ves
Co
nti
nu
er
à ap
pu
yer
les
init
iati
ves
loca
les
suiv
ante
s:
•
Co
nse
ils in
div
idu
els
po
ur
les
imm
igra
nts
à la
rec
her
che
d’u
n
emp
loi.
•
Do
nn
er d
e la
fo
rmat
ion
au
x
imm
igra
nts
à la
rec
her
che
d’u
n
Tel q
u’e
xpri
mé
ci-d
ess
us,
il y
a e
u u
ne
reco
nn
aiss
ance
gén
éral
e q
u’il
exi
ste
à
Lon
do
n la
plu
par
t d
es p
rogr
amm
es q
ui
son
t n
éce
ssai
res
po
ur
app
uye
r
effi
cace
men
t à
la f
ois
les
em
plo
yeu
rs e
t
les
imm
igra
nts
à la
rec
her
che
d’e
mp
loi
po
ur
qu
e l’u
n e
t l’a
utr
e tr
ou
ven
t ce
qu
’ils
cher
chen
t. L
e so
us-
con
seil
sur
l’em
plo
i a id
enti
fié
ces
init
iati
ves
En c
ou
rs
59
exi
stan
tes
et
en
ide
nti
fian
t e
t
dé
velo
pp
ant
de
faç
on
co
llégi
ale
de
no
uve
lles
stra
tégi
es.
emp
loi
rela
tive
men
t à
leu
rs
com
pét
ence
s tr
ansf
éra
ble
s et
à la
cult
ure
de
la m
ain
d’œ
uvr
e
can
adie
nn
e et
au
x em
plo
yeu
rs
rela
tive
men
t au
x
acco
mm
od
emen
ts n
éces
sité
s p
ar
un
e m
ain
d’œ
uvr
e d
iver
sifi
ée.
•
Ap
pu
yer
ces
pro
gram
me
s q
ui
met
ten
t en
co
nta
ct le
s im
mig
ran
ts
à la
rec
her
che
d’u
n e
mp
loi a
vec
les
emp
loye
urs
, in
clu
ant
le m
ento
rat,
le r
ése
auta
ge, l
es
pla
cem
ents
d’e
xpér
ien
ce d
e tr
avai
l bén
évo
le
et le
s st
age
s et
les
pro
gram
mes
rela
is.
•
Par
le b
iais
de
LMIE
C p
rom
ou
voir
tou
tes
les
ress
ou
rces
qu
i so
nt
dis
po
nib
les
po
ur
les
emp
loye
urs
po
ur
les
enco
ura
ger
à en
gage
r d
es
imm
igra
nts
, in
clu
ant
les
do
nn
ées
de
‘’Sk
ills
Inte
rnat
ion
al’’
.
•
À m
ettr
e en
œu
vre:
un
e
colla
bo
rati
on
act
ive
entr
e le
s
rep
rése
nta
nts
du
so
us-
con
seil
de
l’éd
uca
tio
n e
t ce
ux
du
so
us-
con
seil
po
ur
l’em
plo
i po
ur
s’as
sure
r q
ue
les
pro
gram
mes
de
form
atio
n a
xés
sur
les
pro
fess
ion
s so
nt
coh
éren
ts
avec
les
exig
ence
s ac
tuel
les
du
mar
ché
du
tra
vail.
com
me
étan
t d
es s
ervi
ces
qu
i dev
raie
nt
con
tin
uer
à ê
tre
sup
po
rtée
s. (
Deu
x d
e
ces
init
iati
ves
on
t ét
é ci
tée
s d
ans
le
Rap
po
rt d
u W
CI s
ou
s la
ru
bri
qu
e
Emp
loi-
Me
illeu
rs P
rati
qu
es-L
MIE
C
(in
clu
ant
le p
rogr
amm
e d
e m
ento
rat)
et S
kills
Inte
rnat
ion
al).
Édu
cati
on
/fo
rmat
ion
vo
nt
de
pai
r av
ec
emp
loi.
Le s
ect
eur
de
l’em
plo
i aim
erai
t
s’as
soci
er a
vec
le s
ou
s-co
nse
il d
e
l’éd
uca
tio
n p
ou
r s’
assu
rer
qu
e la
form
atio
n e
st c
om
plé
men
tair
e et
qu
’elle
so
uti
enn
e le
s d
em
and
es
émer
gen
tes
du
mar
ché
du
tra
vail.
Tel q
ue
ci-d
ess
us.
Imm
édia
t
En c
ou
rs
60
•
S’as
sure
r q
u’u
ne
révi
sio
n r
égu
lière
des
do
nn
ées
dis
po
nib
les
rela
tive
s à
l’in
form
atio
n d
u m
arch
é d
u t
rava
il
loca
l est
fai
te d
e fa
çon
à s
’ass
ure
r
qu
e ce
tte
info
rmat
ion
est
tran
smis
e au
x im
mig
ran
ts à
la
rech
erch
e d
’un
em
plo
i.
Thè
me
# 3
bar
riè
res
syst
ém
iqu
es/
pro
blè
me
s te
chn
iqu
es
Fair
e d
es
rep
rése
nta
tio
ns
po
ur
un
syst
èm
e a
cce
ssib
le q
ui g
ère
les
atte
nte
s d
es
imm
igra
nts
et
de
s
com
mu
nau
tés
les
rece
van
t p
uis
qu
e
ceci
est
en
lie
n a
vec
leu
r e
mp
loi.
•
Fair
e d
es
rep
rése
nta
tio
ns
po
ur
des
pro
gram
mes
et
leu
r liv
rais
on
qu
i
con
trib
uen
t à
un
e co
mp
réh
ensi
on
mu
tuel
le d
u m
ilieu
du
tra
vail.
•
Fair
e d
es
rep
rése
nta
tio
ns
po
ur
un
accè
s u
niv
erse
l à t
ou
s le
s
pro
gram
mes
et
serv
ices
d’e
mp
loi/
trav
ail i
nd
épen
dan
t
mal
gré
le s
tatu
t d
’imm
igra
tio
n e
t
les
sou
rce
s d
e re
ven
us.
•
Ap
pu
yer
ces
pro
gram
me
s et
serv
ices
pan
can
adie
ns
qu
i
enco
ura
gen
t le
s im
mig
ran
ts à
se
pré
par
er o
utr
e-m
er a
u m
oye
n d
e
l’acq
uis
itio
n d
e la
lan
gue
et d
e
l’éva
luat
ion
des
do
cum
ents
et
cert
ific
ats
pro
fess
ion
nel
s.
•
Rec
om
man
der
un
su
pp
ort
co
nti
nu
du
‘’A
cces
s C
entr
e fo
r R
egu
late
Emp
loym
ent’
’.
•
Enco
ura
ger
tou
s le
s p
alie
rs d
e
gou
vern
em
ent
à d
eve
nir
de
s
Ces
item
s so
nt
les
bar
rièr
es
syst
ém
iqu
es
qu
i peu
ven
t e
mp
êch
er
ou
inh
iber
le s
ucc
ès
de
s d
eux
pri
ori
tés
pré
céd
ente
s. L
eur
imp
act
est
bie
n d
ocu
men
té p
ar le
s
rech
erch
es e
n c
ou
rs e
t p
assé
es.
Cet
te r
esso
urc
e lo
cale
a é
té
do
cum
enté
e et
co
nsi
dé
rée
com
me
étan
t es
sen
tiel
le p
ou
r s’
assu
rer
qu
e
les
imm
igra
nts
re
çoiv
ent
de
l’in
form
atio
n ju
ste
et u
n s
ervi
ce d
ans
les
dél
ais
de
faço
n à
ce
qu
e le
urs
En c
ou
rs
61
cham
pio
ns
dan
s le
su
pp
ort
de
l’uti
lisat
ion
co
mp
lète
des
tal
en
ts e
t
com
pét
ence
s d
es im
mig
ran
ts.
•
Fair
e ac
tive
men
t d
u lo
bb
yin
g à
tou
s le
s p
alie
rs d
e go
uve
rnem
ent
po
ur
s’as
sure
r q
ue
de
s re
sso
urc
es
adéq
uat
es s
on
t d
isp
on
ible
s p
ou
r la
com
mu
nau
té d
e L
on
do
n e
t
Mid
dle
sex
et p
ou
r s’
assu
rer
qu
e le
s
gou
vern
em
ents
tra
vaill
ent
ense
mb
les
de
faço
n à
évi
ter
de
crée
r d
e la
du
plic
atio
n d
e se
rvic
es.
dip
lôm
es e
t at
test
atio
ns
pu
isse
nt
être
éva
lué
s.
Dif
fére
nts
min
istè
res
pro
vin
ciau
x
(MFC
U e
t M
AC
I) e
t fé
dér
aux
(HR
SDC
et C
IC)
dé
velo
pp
ent
des
pro
gram
mes
et d
es s
ervi
ces
po
ur
les
imm
igra
nts
qu
i en
fai
t se
déd
ou
ble
nt.
Le
Co
nse
il
dev
rait
, à l’
aven
ir, ê
tre
cap
able
de
dév
elo
pp
er
des
so
luti
on
s lo
cale
s q
ui
uti
lisen
t to
ute
s le
s re
sso
urc
es
d’u
ne
man
ière
inté
gré
e p
ou
r at
tein
dre
à la
fois
l’e
ffic
acit
é et
la r
enta
bili
té.
Un
e fo
rmat
ion
co
nti
nu
e d
es m
em
bre
s
du
Co
nse
il re
lati
vem
ent
aux
div
erse
s
init
iati
ves
de
fin
ance
men
t lo
rsq
u’e
lles
dev
ien
nen
t d
isp
on
ible
s et
rel
ativ
em
ent
aux
pro
gram
me
s et
ser
vice
s e
xist
ants
et
com
men
t el
les
peu
ven
t êt
re r
elié
es.
62
GABARIT POUR ÉTABLIR LES PRIORITÉS DU SOUS-CONSEIL DE LA SANTÉ ET BIEN-ÊTRE
“La
rech
erc
he
su
ggè
re q
ue
les
me
sure
s d
e l’
éta
t d
e s
anté
ne
de
vrai
en
t p
as ê
tre
bas
ée
s u
niq
ue
me
nt
en
co
nsi
dé
ran
t le
s m
esu
res
de
san
té p
hys
iqu
e p
uis
qu
e l’
éta
t d
e s
anté
est
un
e co
mp
osa
nte
imp
ort
ante
du
bie
n-ê
tre
.’’
Pri
ori
té
Stra
tégi
e
R
aiso
ns
Éc
hé
anci
er
1.
San
té m
en
tale
/mal
adie
et
dé
pe
nd
ance
Au
gmen
ter
la c
on
scie
nce
et
la c
on
nai
ssan
ce d
es
imm
igra
nts
au
su
jet
de
s p
rob
lèm
es
de
d
épen
dan
ce e
t d
e sa
nté
m
enta
le (
tels
la
sch
izo
ph
rén
ie, l
a d
épre
ssio
n p
ost
par
tum
et
le s
tre
ss.)
.
a.
Les
org
anis
mes
po
ur
la s
anté
m
enta
le e
t le
s d
épen
dan
ces
app
ren
dro
nt
de
et t
rava
iller
on
t av
ec le
s ge
ns
de
div
erse
s co
mm
un
auté
s et
hn
ocu
ltu
relle
s p
ou
r d
ével
op
per
de
s st
raté
gie
s,
des
pré
sen
tati
on
s et
du
m
atér
iel p
ou
r in
form
er le
s co
mm
un
auté
s au
su
jet
de
la
san
té m
enta
le, d
es m
alad
ies
men
tale
s et
de
s d
épen
dan
ces.
b.
Fou
rnir
de
l’in
form
atio
n q
ui
tien
t co
mp
te d
es
cult
ure
s d
ans
div
erse
s la
ngu
es e
t p
rom
ou
voir
la
sim
plif
icat
ion
de
lan
gage
p
ou
r l’i
nfo
rmat
ion
se
tro
uva
nt
dan
s le
s b
roch
ure
s d
es
org
anis
mes
.
c.
Co
ntr
er la
dis
crim
inat
ion
et
les
stig
mat
ism
es
à l’e
nco
ntr
e d
e la
sa
nté
men
tale
en
uti
lisan
t u
ne
stra
tégi
e m
édia
plu
s gl
ob
ale
(an
no
nce
s té
lévi
sio
n, r
adio
et
Inte
rnet
). E
nga
ger
un
pu
blic
iste
so
cial
po
ur
dév
elo
pp
er u
ne
cam
pag
ne
mu
ltim
édia
.
Les
com
mu
nau
tés
eth
no
cult
ure
lles
son
t: v
uln
érab
les
aux
pro
blè
me
s d
e sa
nté
men
tale
et
d’u
sage
de
sub
stan
ces
du
es
au
trau
mat
ism
e p
ré-i
mm
igra
tio
n, a
ux
dés
avan
tage
s éc
on
om
iqu
es e
t so
ciau
x, à
l’is
ole
men
t, a
u r
acis
me,
à la
dis
crim
inat
ion
et
aux
pre
ssio
ns
cult
ure
lles.
De
faço
n g
énér
ale,
les
imm
igra
nts
n’o
nt
pas
la c
on
nai
ssan
ce n
éce
ssai
re d
es m
alad
ies
men
tale
s et
des
ef
fets
né
fast
es d
es
dro
gue
s. Il
s te
nd
ent
à m
oin
s p
arti
cip
er
qu
e la
p
op
ula
tio
n e
n g
énér
al a
ux
pro
gram
mes
de
pro
mo
tio
n d
e la
sa
nté
, de
pré
ven
tio
n e
t d
e tr
aite
men
ts. I
ls t
end
ent
à m
oin
s re
cevo
ir le
s so
ins
néc
essa
ire
s q
ue
la p
op
ula
tio
n e
n g
énér
al à
ca
use
de
s b
arri
ère
s q
ui i
ncl
ue
nt
la la
ngu
e et
les
fact
eurs
cu
ltu
rels
, la
dis
crim
inat
ion
, le
s st
igm
ate
s et
la m
éfia
nce
des
fo
urn
isse
urs
de
serv
ices
tra
dit
ion
nel
s.
Il es
t re
com
man
dé
qu
e ‘’
les
fou
rnis
seu
rs d
e se
rvic
es
de
san
té, d
e se
rvic
es s
oci
aux
et c
om
mu
nau
tair
es s
’ass
oci
ent
avec
les
lead
ers
des
co
mm
un
auté
s im
mig
ran
tes
po
ur
étab
lir d
e m
eille
ure
s st
raté
gies
po
ur
dis
sém
iner
de
dif
fére
nte
s fa
çon
s le
mat
éri
el d
e p
rom
oti
on
de
la s
anté
et
l’in
form
atio
n s
ur
les
serv
ice
s d
isp
on
ible
s. L
es f
orm
ats
stan
dar
ds
tels
qu
e co
urr
ier
et jo
urn
aux,
té
lévi
sio
n e
t ra
dio
se
son
t av
éré
s e
ffic
ace
s co
mm
e d
’aill
eurs
les
pam
ph
lets
, le
s p
ost
ers,
les
pré
sen
toir
s, le
s fo
ires
, le
s at
elie
rs e
t le
s ca
mp
agn
es
plu
s gl
ob
ale
s’’
(Rei
tman
ova
, 20
09
; 53
).
Il es
t p
arti
culiè
rem
ent
imp
ort
ant
de
sup
pri
mer
les
bar
rièr
es d
e l’i
nfo
rmat
ion
en
fo
urn
issa
nt
au
x im
mig
ran
ts d
e l’i
nfo
rmat
ion
p
réci
se, d
étai
llée
et e
n t
em
ps
uti
le r
elat
ive
men
t au
x so
ins
de
san
té e
t au
sys
tèm
e d
e so
ins
de
san
té. ‘
’Lo
rsq
ue
c’e
st p
oss
ible
, ce
ci in
clu
t d
on
ner
acc
ès
à l’i
nfo
rmat
ion
méd
ical
e d
e b
ase
en
p
lusi
eurs
lan
gue
s (v
.g. p
ar le
bia
is d
’un
sit
e In
tern
et e
t p
ar d
u
Sen
sib
ilisa
tio
n :
ou
tils
-1
-2
an
s, s
uiv
i par
un
e ca
mp
agn
e in
ten
sive
de
sen
sib
ilisa
tio
n –
en c
ou
rs
63
m
atér
iel i
mp
rim
é)’’
(Es
ses
et a
l, 2
01
0; 6
0).
L’
inég
alit
é ra
cial
e et
eth
niq
ue
et
la d
iscr
imin
atio
n s
on
t d
es
bar
rièr
es
au m
ain
tien
de
la s
anté
men
tale
de
s im
mig
ran
ts. L
es
imm
igra
nts
ép
rou
ven
t d
e la
dis
crim
inat
ion
qu
and
leu
rs
cro
yan
ces
et p
rati
qu
es c
ult
ure
lles
son
t m
al r
epré
sen
tées
, so
us-
éval
ué
es o
u f
on
t l’o
bje
t d
’un
man
qu
e d
e re
spec
t. L
a d
iscr
imin
atio
n a
co
mm
e ré
sult
at u
n a
ccès
mo
ind
re a
ux
serv
ices
co
mm
un
auta
ire
s et
de
san
té à
cau
se d
e le
ur
race
, de
leu
r et
hn
icit
é o
u d
e le
ur
relig
ion
. Les
fo
rmat
s st
and
ard
s te
ls q
ue
le
cou
rrie
r et
les
jou
rnau
x, la
tél
évis
ion
et
la r
adio
se
son
t av
éré
s ef
fica
ces
tou
t co
mm
e le
s p
amp
hle
ts, l
es p
ost
ers,
les
pré
sen
toir
s,
les
foir
es,
les
atel
iers
et
les
cam
pag
nes
plu
s gl
ob
ale
s o
nt
con
nu
d
u s
ucc
ès d
ans
la p
rom
oti
on
de
l’in
form
atio
n e
t d
es
serv
ices
de
la s
anté
men
tale
(R
eit
man
ova
, 20
09
; 47
).
Au
gmen
ter
l’acc
ès
des
im
mig
ran
ts a
ux
serv
ice
s d
e sa
nté
men
tale
et
de
dép
end
ance
.
Uti
liser
de
s tr
avai
lleu
rs d
e p
roxi
mit
é/d
es p
rogr
amm
es, b
âtir
su
r ce
qu
i exi
ste
déj
à d
ans
la
com
mu
nau
té i.
e. d
ével
op
per
les
Se
rvic
es
de
Qu
arti
er, l
es
pro
gram
mes
de
sen
sib
ilisa
tio
n.
Les
gen
s d
es
com
mu
nau
tés
eth
no
cult
ure
lles
son
t le
s m
eille
ure
s so
urc
es
d’in
form
atio
n q
uan
t au
x b
arri
ères
au
xqu
elle
s ils
fo
nt
face
et
po
ur
dét
erm
iner
qu
elle
s st
raté
gies
peu
ven
t êt
re e
ffic
aces
p
ou
r eu
x. C
eci e
n s
oit
peu
t co
ntr
ecar
rer
un
e ce
rtai
ne
dér
esp
on
sab
ilisa
tio
n q
ue
vive
nt
les
imm
igra
nts
. Le
su
pp
ort
so
cial
info
rmel
de
la f
amill
e, d
es a
mis
et
de
s co
mm
un
auté
s es
t as
soci
é à
un
e m
eille
ure
san
té m
enta
le.
En c
ou
rs
Dév
elo
pp
er e
t m
ettr
e en
œ
uvr
e d
e la
fo
rmat
ion
su
r la
sen
sib
ilité
cu
ltu
relle
p
ou
r le
s fo
urn
isse
urs
de
serv
ices
a.
Dév
elo
pp
er d
es
ou
tils
de
dép
ista
ge e
t d
’éva
luat
ion
se
nsi
ble
s cu
ltu
relle
men
t p
ou
r ai
der
à u
ne
iden
tifi
cati
on
p
réco
ce d
es
pro
blè
me
s d
e d
iffi
cult
és
d’a
pp
ren
tiss
age
chez
le
s en
fan
ts e
t au
ssi p
ou
r id
enti
fier
les
pro
blè
me
s d
e sa
nté
men
tale
et
de
dép
end
ance
po
ur
les
adu
ltes
et
les
jeu
ne
s.10
C
es o
uti
ls
sera
ien
t u
tilis
és
par
les
L’am
élio
rati
on
de
l’éva
luat
ion
des
pro
blè
mes
so
cio
cult
ure
ls
per
met
l’am
élio
rati
on
de
la c
om
pét
ence
clin
iqu
e d
es
fou
rnis
seu
rs d
e se
rvic
es e
t d
ém
on
tre
le b
eso
in p
rati
qu
es
d’é
valu
atio
n c
ult
ure
llem
ent
et
clin
iqu
emen
t p
erti
nen
te d
ans
les
org
anis
atio
ns
fou
rnis
san
t d
es s
ervi
ces
com
mu
nau
tair
es
(Yam
ada,
2
00
8).
D
ans
le c
as d
e la
neu
rop
sych
olo
gie,
‘’l’a
pp
licat
ion
de
mes
ure
s p
sych
om
étri
qu
es
stan
dar
dis
ées
su
r le
s in
div
idu
s d
e ra
ce b
lan
che
de
la m
ajo
rité
cu
ltu
relle
a e
u c
om
me
résu
ltat
un
plu
s gr
and
n
om
bre
de
fau
x-p
osi
tifs
tan
t en
ter
me
de
vari
able
s p
sych
op
ath
olo
giq
ues
qu
e n
euro
psy
cho
logi
qu
e. C
om
me
Ou
tils
de
dép
ista
ge :
en
cou
rs
Form
atio
n à
la s
ensi
bili
té
cult
ure
lle :
P
has
e u
n -
co
nsu
ltat
ion
s –
sen
sib
ilisa
tio
n (
1 a
n)
Ph
ase
deu
x- M
ise
en
œu
vre
(2
an
s)
10
De
tels
ou
tils
incl
uro
nt
la s
anté
men
tale
et
ph
ysiq
ue.
64
fou
rnis
seu
rs d
e se
rvic
es d
e sa
nté
men
tale
et
ph
ysiq
ue.
b.
Intr
od
uir
e d
e la
fo
rmat
ion
cu
ltu
relle
.
con
séq
uen
ce, l
e m
anq
ue
d’u
niv
ersa
lité
de
l’in
stru
men
t em
pê
chai
t n
on
seu
lem
ent
l’usa
ge d
e ce
s in
stru
men
ts a
vec
des
in
div
idu
s d
’ori
gin
es
cult
ure
lles
vari
ées
mai
s ég
alem
ent
les
limit
atio
ns
de
s th
éori
es
de
fon
ctio
ns
hu
mai
nes
, sp
écia
lem
en
t le
ce
rvea
u, q
ui é
taie
nt
sim
ilair
em
ent
un
iver
selle
s d
ans
la n
atu
re’’
(P
uen
te a
nd
Per
ez-G
arci
a, 2
00
0; 3
2)
Les
serv
ices
de
san
té m
enta
le d
evra
ien
t ad
op
ter
les
lign
es
dir
ectr
ice
s p
rop
osé
es
par
Th
e A
mer
ican
Psy
cho
logi
cal
Ass
oci
atio
n q
ui s
ugg
ère
d’é
du
qu
er e
t d
e fo
rmer
les
fou
rnis
seu
rs
de
serv
ices
de
san
té m
enta
le a
u n
ivea
u d
e la
sen
sib
ilité
cu
ltu
relle
. (C
on
stan
tin
e, 2
00
5; 1
6).
Dév
elo
pp
er la
co
llab
ora
tio
n e
ntr
e le
s fo
urn
isse
urs
de
serv
ices
Ass
ure
r l’a
ccè
s à
des
ser
vice
s d
’aid
e su
r u
n c
on
tin
uu
m: u
rgen
t à
lon
g te
rme
sur
un
e éc
he
lle m
ob
ile
Un
e p
lan
ific
atio
n h
olis
tiq
ue
est
vit
ale
po
ur
abo
rder
les
be
soin
s d
es im
mig
ran
ts. C
eci
req
uie
rt d
e la
co
ord
inat
ion
de
la p
art
de
tou
s le
s ac
teu
rs p
rin
cip
aux
de
la c
om
mu
nau
té, i
ncl
uan
t le
s se
rvic
es s
oci
aux,
les
serv
ice
s d
’éta
blis
sem
ent
et le
s le
ader
s d
e la
co
mm
un
auté
.
En c
ou
rs
Au
gmen
ter
les
serv
ice
s re
liés
aux
trau
mat
ism
es
po
ur
les
surv
ivan
ts d
e tr
aum
atis
mes
a.
Au
gmen
ter
le n
om
bre
de
con
seill
ers
édu
qu
és e
t fo
rmés
à
trav
aille
r av
ec le
s su
rviv
ants
de
guer
res/
trau
mat
ism
es e
t l’a
ide
po
ur
ces
der
nie
rs.
b
. A
ssu
rer
du
fin
ance
men
t p
ou
r d
e la
fo
rmat
ion
co
nti
nu
e p
ou
r le
s co
nse
iller
s en
tra
um
atis
me
Trau
mat
ism
e, m
igra
tio
n, r
acis
me,
mar
gin
alis
atio
n, e
xclu
sio
n,
vio
len
ce d
oiv
ent
être
co
nsi
dé
rés
lors
des
co
nta
cts
avec
les
imm
igra
nts
Bât
ir s
ur
ce q
ui e
xist
e ac
tuel
lem
ent
dan
s la
co
mm
un
auté
.
En c
ou
rs
Au
gmen
ter
les
ress
ou
rces
p
ou
r le
s se
rvic
es
de
san
té
men
tale
et
de
dép
end
ance
po
ur
rép
on
dre
au
x b
eso
ins
de
s im
mig
ran
ts s
ou
ffra
nt
de
pro
blè
me
s d
e m
alad
ie
men
tale
et
de
dép
end
ance
.
Fou
rnir
des
esp
ace
s sé
curi
tair
es
(co
nfi
den
tiel
s et
co
nfo
rtab
les)
un
en
viro
nn
em
ent
de
sou
tien
et
ado
pte
r u
ne
app
roch
e h
olis
tiq
ue
dan
s la
rép
on
se a
ux
bes
oin
s d
es
imm
igra
nts
.
Un
e p
lan
ific
atio
n h
olis
tiq
ue
est
vit
ale
po
ur
rép
on
dre
au
x b
eso
ins
des
imm
igra
nts
. Ce
ci r
equ
iert
de
la c
oo
rdin
atio
n e
ntr
e to
us
les
acte
urs
de
la c
om
mu
nau
té, i
ncl
uan
t le
s se
rvic
es
soci
aux,
les
org
anis
mes
qu
i fo
urn
isse
nt
de
s se
rvic
es
aux
no
uve
aux
arri
van
ts e
t le
s le
ader
s d
e la
co
mm
un
auté
.
Un
ap
pu
i so
cial
info
rmel
de
la f
amill
e, d
es a
mis
et
des
co
mm
un
auté
s es
t as
soci
é av
ec
un
e m
eille
ure
san
té m
enta
le.
En c
ou
rs
2.
Ap
pu
is p
ou
r le
s fo
urn
isse
urs
de
se
rvic
es
en
san
té m
en
tale
et
ph
ysiq
ue
Au
gmen
ter
les
app
uis
p
ou
r le
s fo
urn
isse
urs
de
Dév
elo
pp
er e
t m
ettr
e en
œu
vre
de
la f
orm
atio
n e
n S
ensi
bili
té
“ U
ne
bo
nn
e co
nn
aiss
ance
de
la la
ngu
e d
’un
e p
erso
nn
e es
t u
ne
néc
ess
ité,
to
ut
com
me
la c
on
nai
ssan
ce d
es e
xpér
ien
ces
soci
ales
3
an
s –a
pp
roch
e p
aral
lèle
.
65
serv
ices
. C
ult
ure
lle p
ou
r le
s fo
urn
isse
urs
de
serv
ices
en
san
té m
enta
le e
n
uti
lisan
t l’a
pp
roch
e fo
rmer
le
form
ateu
r.
et h
isto
riq
ues
d’u
ne
com
mu
nau
té. L
es c
irco
nst
ance
s u
niq
ues
et
dif
fici
les
des
fem
mes
ré
fugi
ées
on
t su
scit
é u
n m
ou
vem
ent
vers
d
es s
oin
s co
nte
xtu
alis
és.
De
tels
so
ins
tien
nen
t co
mp
te d
es
inte
rse
ctio
nn
alit
és d
e l’o
pp
ress
ion
et
incl
uen
t u
ne
anal
yse
com
plè
te d
es g
enre
s, d
es c
lass
es,
de
la c
ult
ure
et
de
l’en
viro
nn
em
ent
po
litiq
ue
(Ad
ams
& A
sse
fi, 2
00
2; A
tlan
i &
Ro
uss
eau
, 20
00
; G
asse
r, D
resd
en, K
een
y, &
War
ren
, 20
00;
G
uru
ge &
Kh
anlo
u, 2
00
4; J
iwan
i, 2
00
1; S
idie
ris,
20
03
;Wh
itta
ker,
H
ard
y, L
ewis
, & B
uch
an, 2
00
5)”
(B
erm
an, 2
00
6;4
9).
Au
gmen
ter
les
app
uis
p
ou
r le
s fo
urn
isse
urs
de
serv
ices
po
ur
rép
on
dre
au
x b
eso
ins
de
s im
mig
ran
ts a
ux
pri
ses
avec
de
s p
rob
lèm
es
de
san
té m
enta
le e
t/o
u
dép
end
ance
a.
Enga
ger
du
per
son
nel
div
ersi
fié
plu
s q
ual
ifié
b.
Fou
rnir
des
inte
rprè
tes
ayan
t d
es c
om
pét
ence
s la
nga
gièr
es
en f
orm
atio
n m
édic
ale
dan
s le
s h
ôp
itau
x, le
s cl
iniq
ues
de
soin
s d
e sa
nté
et
les
org
anis
mes
de
serv
ices
so
ciau
x.
c.
Au
gmen
ter
la c
olla
bo
rati
on
en
tre
la c
om
mu
nau
té m
édic
ale
et le
s o
rgan
ism
es
d’in
terp
rète
s p
ou
r am
élio
rer
le s
erv
ice
Cec
i est
un
e m
aniè
re e
ffic
ace
de
bât
ir la
cap
acit
é d
ans
un
e co
mm
un
auté
et
d’u
tilis
er le
s re
sso
urc
es
hu
mai
ne
s p
ou
r at
tein
dre
u
n g
ran
d n
om
bre
de
per
son
nes
.
Il es
t cr
uci
al d
e p
lace
r le
s se
rvic
es d
’inte
rpré
tati
on
en
pre
miè
re
lign
e d
e so
ins
par
ce q
ue
la r
ech
erch
e d
émo
ntr
e q
ue
les
bar
rièr
es
de
lan
gues
réd
uis
ent
l’acc
ès
aux
soin
s et
qu
e co
mb
inée
s av
ec u
ne
inte
rpré
tati
on
qu
i n’e
st p
as a
déq
uat
e ce
ci p
eut
affe
cter
gr
and
emen
t la
san
té e
t le
bie
n-ê
tre
de
s cl
ien
ts à
cau
se d
’un
m
auva
is d
iagn
ost
iqu
e, d
e tr
aite
men
ts in
app
rop
riés
et
d’u
n
aigu
illag
e in
corr
ect.
En
san
té m
enta
le o
ù le
dia
gno
stiq
ue
est
rel
ié f
ort
em
ent
aux
mo
ts, l
’imp
ort
ance
d’in
terp
rète
s fo
rmé
s ad
équ
atem
ent
est
cru
cial
e. P
lus
qu
e d
e se
ule
me
nt
trad
uir
e d
es m
ots
, le
s
inte
rprè
tes
com
pét
ents
ser
ven
t d
’age
nts
de
cult
ure
qu
i
tran
smet
ten
t le
s su
bti
les
nu
ance
s d
e la
cu
ltu
re e
t q
ui e
xpliq
uen
t
les
cou
tum
es c
ult
ure
lles.
3 a
ns-
ap
pro
che
par
allè
le
Ap
pu
is p
ou
r le
s tr
avai
lleu
rs d
e p
rem
ière
lig
ne
qu
i on
t d
es c
lien
ts
en s
anté
men
tale
et
dép
end
ance
.
Dév
elo
pp
er u
n o
uti
l po
ur
des
ch
ange
men
ts o
rgan
isat
ion
nel
s p
ou
r le
s o
rgan
ism
es e
t le
ur
per
son
nel
p
ou
r fo
urn
ir d
e l’a
pp
ui s
olid
e p
ou
r le
s tr
avai
lleu
rs d
e p
rem
ière
lign
e p
ou
r p
réve
nir
ou
po
ur
com
po
ser
avec
la d
épre
ssio
n e
t la
fat
igu
e co
mp
assi
on
nel
le e
tc.
La f
atig
ue
com
pas
sio
nn
elle
, le
s tr
aum
atis
me
s in
dir
ects
, la
dép
ress
ion
so
nt
asso
cié
s au
x ai
dan
ts (
es)
qu
i on
t vé
cu u
n
trau
mat
ism
e. Il
est
imp
ort
ant
d’a
voir
des
pla
ns
de
pré
ven
tio
n e
t d
e tr
aite
men
t o
rgan
isat
ion
nel
s et
ind
ivid
uel
s p
ou
r le
s fo
urn
isse
urs
de
serv
ices
qu
i so
nt
vuln
érab
les.
En c
ou
rs
3.
Fo
urn
ir d
es
app
uis
au
x fa
mill
es
et
aux
ind
ivid
us
d’u
ne
man
ière
ho
listi
qu
e
66
Au
gmen
ter
la
con
nai
ssan
ce d
es
imm
igra
nts
su
r le
s se
rvic
es d
isp
on
ible
s.
Ge
stio
n d
e ca
s: c
rée
r u
n s
ystè
me
ind
épen
dan
t d
’aid
e à
la n
avig
atio
n
des
sys
tèm
es
par
le b
iais
de
s se
rvic
es d
‘éta
blis
sem
ent
(bas
é su
r le
mo
du
le d
e l’é
valu
atio
n d
e n
ivea
ux
de
com
pét
ence
lin
guis
tiq
ues
) p
ou
r ai
der
les
fam
ille
s et
les
ind
ivid
us
à m
ettr
e en
pla
ce u
n
pla
n f
lexi
ble
de
2-5
an
s et
par
la
suit
e le
s su
ivre
po
ur
revo
ir c
e p
lan
: ce
qu
i a é
té a
cco
mp
li et
ce
qu
i res
te
à fa
ire.
Avo
ir u
n n
avig
ateu
r in
dép
end
ant
assu
re q
ue
l’aid
e à
la n
avig
atio
n
est
cen
trée
su
r le
clie
nt
vers
us
celle
cen
trée
su
r l’o
rgan
ism
e p
uis
qu
’il n
’y a
pas
d’in
térê
t p
arti
culie
r su
r q
uel
le a
ide
la f
amill
e p
ort
e so
n c
ho
ix. L
es b
eso
ins
des
imm
igra
nts
var
iero
nt
dan
s le
te
mp
s, d
ès
lors
l’ai
de
d’u
n p
rofe
ssio
nn
el p
ou
r n
avig
uer
le s
ystè
me
et le
s re
sso
urc
es
peu
t en
au
gmen
ter
l’acc
essi
bili
té.
“Les
pro
gram
me
s d
’aid
e à
la f
amill
e vo
ien
t au
-de
là d
u b
ien
-êtr
e d
es p
aren
ts e
t d
es e
nfa
nts
po
ur
dév
elo
pp
er la
co
mm
un
auté
dan
s la
qu
elle
ils
vive
nt.
’’ (
FRP
Can
ada,
20
02
). L
e tr
avai
l se
fait
‘’p
ou
r au
gmen
ter
les
op
po
rtu
nit
és e
t p
ou
r re
nfo
rcer
les
ind
ivid
us,
les
fam
illes
et
les
com
mu
nau
tés.
’’ (
FRP
20
04
pg
8)
De
tels
ap
pu
is
occ
up
ent
un
e p
lace
un
iqu
e p
ou
r ai
der
les
com
mu
nau
tés
à b
âtir
des
co
nn
exio
ns
entr
e to
us
ses
me
mb
res.
Par
ce q
u’il
s so
nt
ou
vert
s à
et
accu
eille
nt
tou
tes
les
fam
ille
s, il
s so
nt
cap
able
de
con
stru
ire
de
larg
es c
on
ne
xio
ns
com
mu
nau
tair
es (
Silv
er e
t al
.20
05
a) Il
s u
tilis
ent
des
str
atég
ies
qu
i fo
nt
le p
on
t en
tre
les
cult
ure
s, le
s gr
ou
pe
d’â
ge
et le
s cl
asse
s so
cial
es.
Le
s p
rogr
amm
es d
e re
sso
urc
es
fam
ilial
es
peu
ven
t av
oir
un
imp
act
sur
la r
édu
ctio
n d
es c
on
flit
s ra
ciau
x et
acc
roît
re l’
acce
pta
tio
n d
e la
d
iver
sité
par
mi l
es
fam
ille
s d
e la
co
mm
un
auté
. (N
elso
n e
t al
l,.2
00
5).
les
par
tici
pan
ts a
pp
réci
ent
com
men
t le
s o
rgan
isat
ion
s d
e so
uti
en à
la f
amill
e le
s ai
de
nt
à d
ével
op
per
leu
r se
nti
men
t d
’ap
par
ten
ance
à la
co
mm
un
auté
et
leu
rs r
ésea
ux
soci
aux.
(Si
lver
et
al.,
20
05
b).
1 a
n
C
réer
des
cen
tre
s co
mm
un
auta
ires
d
ésig
né
s, g
ratu
its
et a
cce
ssib
les,
et
des
en
dro
its
dan
s le
s q
uar
tier
s o
ù
les
gen
s d
e to
us
âges
peu
ven
t se
re
nco
ntr
er e
t p
asse
r d
u t
emp
s d
e q
ual
ité.
Les
fam
illes
tro
uve
ron
t p
lus
faci
le d
’uti
liser
un
pro
gram
me
de
ress
ou
rce
s p
ou
r la
fam
ille
qu
i est
sit
ué
dan
s le
ur
qu
arti
er,
acce
ssib
le p
ar t
ran
spo
rt p
ub
lic o
u à
pie
ds.
Un
em
pla
cem
ent
dan
s u
n c
entr
e d
’ach
ats
ou
le lo
ng
d’u
n c
orr
ido
r d
e tr
ansp
ort
imp
ort
ant
es
t p
lus
acce
ssib
le q
u’u
n e
mp
lace
men
t si
tué
à l’e
xtér
ieu
r d
u c
œu
r d
es a
ctiv
ité
s d
e la
co
mm
un
auté
. D
es s
ite
s m
ult
iple
s et
l’u
tilis
atio
n
des
inst
alla
tio
ns
com
mu
nau
tair
es p
eut
auss
i am
élio
rer
l’acc
ès a
ux
fam
illes
.
Ph
ase
1-
1 a
n-
qu
i ap
pro
cher
P
has
e 2
- 2
an
s (n
ou
velle
in
itia
tive
de
la V
ille)
Fo
urn
ir d
es b
roch
ure
s ré
dig
ée
s en
la
nga
ge s
imp
le e
t en
dif
fére
nte
s la
ngu
es d
isp
on
ible
s à
des
po
ints
d
’acc
ès n
atu
rels
: le
s su
per
mar
chés
, le
s o
rgan
isat
ion
s b
asée
s su
r la
fo
i.
Cet
te c
apac
ité
d’a
mél
iore
r l’a
ccè
s à
l’in
form
atio
n s
ugg
ère
qu
e le
s vi
lles
et le
s co
mm
un
auté
s d
evr
aien
t fa
ire
plu
s p
ou
r fo
urn
ir c
e ty
pe
de
serv
ices
au
x n
ou
veau
x ar
riva
nts
qu
i est
un
e fa
çon
de
ren
dre
le
ur
tran
siti
on
plu
s ai
sée
et d
e f
acili
ter
leu
r in
tégr
atio
n.
1 a
n
67
C
réer
un
e p
late
form
e p
ou
r le
s n
ou
veau
x ar
riva
nts
po
ur
fair
e d
es
rep
rése
nta
tio
ns
aup
rès
de
s fo
urn
isse
urs
de
serv
ices
et
de
la
com
mu
nau
té e
n g
énér
al a
u s
uje
t d
e le
urs
be
soin
s, d
e fa
çon
à f
acili
ter
l’in
clu
sio
n e
t u
ne
plu
s gr
and
e co
mp
réh
ensi
on
et
per
met
tre
un
e co
llab
ora
tio
n p
lus
cib
lée.
Les
gen
s d
es
com
mu
nau
tés
eth
no
cult
ure
lles
son
t le
s m
eille
ure
s so
urc
es
d’in
form
atio
n a
u s
uje
t d
es b
arri
ère
s au
xqu
elle
s ils
fo
nt
face
et
po
ur
dét
erm
iner
qu
elle
s st
raté
gies
fo
nct
ion
nen
t p
ou
r eu
x. C
eci e
n s
oi p
eut
con
trec
arre
r u
ne
par
tie
de
la
dér
esp
on
sab
ilisa
tio
n q
ue
les
imm
igra
nts
peu
ven
t ex
pér
ime
nte
r.
En c
ou
rs
Éd
uq
uer
le p
ub
lic s
ur
les
rais
on
s p
ou
r le
squ
elle
s le
s ge
ns
vien
nen
t au
C
anad
a : l
es f
aits
dis
sip
ent
les
myt
hes
.
Il a
été
dém
on
tré
qu
e la
co
uve
rtu
re m
édia
tiq
ue
nég
ativ
e af
fect
e le
se
nti
men
t d
e b
ien
-êtr
e, l’
est
ime
de
soi e
t l’i
den
tifi
cati
on
des
im
mig
ran
ts à
leu
r n
ou
veau
pay
s. C
ela
peu
t au
ssi m
ener
à la
d
épre
ssio
n e
t à
un
sen
tim
ent
d’is
ole
men
t.
La r
ech
erch
e a
éga
lem
ent
tro
uvé
qu
e le
s m
édia
s en
dif
fére
nte
s
lan
gues
, en
tan
t q
ue
mo
yen
d’in
form
atio
n,
peu
ven
t ai
der
les
no
uve
aux
arri
van
ts a
vec
leu
r re
loca
lisat
ion
et
leu
r aj
ust
em
en
t.
L’in
flu
ence
po
siti
ve d
e ce
t in
stru
men
t et
sa
cap
acit
é d
’am
élio
rer
l’acc
ès à
l’in
form
atio
n s
ugg
ère
qu
e le
s vi
lles
et le
s co
mm
un
auté
s
dev
raie
nt
fair
e p
lus
po
ur
fou
rnir
ce
typ
e d
e se
rvic
e au
x n
ou
veau
x
arri
van
ts c
om
me
un
e fa
çon
de
ren
dre
leu
r tr
ansi
tio
n p
lus
aisé
e
et d
e fa
cilit
er le
ur
inté
grat
ion
. (W
elco
min
g co
mm
un
itie
s p
age
91
)
Co
llab
ore
r av
ec le
s au
tres
so
us-
con
seils
4.
San
té p
hys
iqu
e
S’as
sure
r d
e la
d
isp
on
ibili
té d
’un
e in
terp
réta
tio
n m
édic
ale
a.
Pro
fess
ion
nel
s: F
ou
rnir
de
la
form
atio
n e
t d
e l’é
du
cati
on
su
r la
sen
sib
ilité
au
x m
édec
ins,
in
firm
iers
(iè
res)
den
tist
es
et
étu
dia
nts
3n
méd
eci
ne
et e
n
den
tist
erie
.
b.
Fou
rnir
l’in
form
atio
n e
n s
anté
en
lan
gage
sim
ple
et
clai
r et
en
d
iffé
ren
tes
lan
gues
.
c.
Uti
liser
de
s p
rofe
ssio
nn
els
Les
bar
rièr
es d
e la
ngu
e ré
du
isen
t le
s ac
cès
aux
soin
s et
co
mb
inée
s à
un
e in
terp
réta
tio
n d
éfic
ien
te p
euve
nt
affe
cter
gra
nd
eme
nt
la
san
té e
t le
bie
n-ê
tre
des
clie
nts
à c
ause
d’u
n m
auva
is
dia
gno
stiq
ue,
d’u
n t
rait
emen
t in
app
rop
rié
ou
d’u
n a
igu
illag
e in
corr
ect.
Le
s im
mig
ran
ts r
app
ort
ent
gén
éral
emen
t m
oin
s d
e ca
s d
e B
PC
O
(Bro
nch
o-P
neu
mo
pat
hie
Ch
ron
iqu
e O
bst
ruct
ive
) o
u d
’ast
hm
e m
ais
plu
s d
e ca
s d
e h
aute
ten
sio
n a
rtér
ielle
, de
dia
bèt
e o
u d
e m
alad
ie
card
iaq
ue.
Plu
s lo
ngt
emp
s le
s im
mig
ran
ts s
on
t ic
i, p
lus
gran
ds
son
t le
s ri
squ
es d
e m
alad
ies
chro
niq
ues
, si e
lles
ne
son
t p
as d
éte
ctée
s p
lus
tôt.
2 a
ns
68
form
és
à l’é
tran
ger
en
méd
eci
ne
po
ur
fou
rnir
de
l’éd
uca
tio
n e
t d
es p
rogr
amm
es
de
pré
ven
tio
n p
ou
r d
iver
s gr
ou
pes
cu
ltu
rels
et
po
ur
fou
rnir
des
pro
gram
me
s et
de
l’a
ide
dan
s le
s q
uar
tier
s.
d
. Fa
ire
de
s re
pré
sen
tati
on
s p
ou
r d
es c
entr
es m
édic
aux
de
qu
arti
er (
équ
ipes
de
méd
eci
ne
fam
ilial
e).
La f
orm
atio
n à
la s
ensi
bili
té c
ult
ure
lle a
mél
iore
la c
on
nai
ssan
ce e
t le
s at
titu
des
des
pro
fess
ion
ne
ls.
De
tels
ou
tils
aid
ero
nt
les
imm
igra
nts
à u
tilis
er le
s re
sso
urc
es
soci
ale
s et
leu
r ca
pac
ité
fon
ctio
nn
elle
san
s ca
use
r u
ne
augm
enta
tio
n d
ans
les
coû
ts d
e sa
nté
. Fo
rmer
les
trav
aille
urs
à ê
tre
cult
ure
llem
ent
sen
sib
les
et a
utr
es
acti
vité
s co
nçu
es
po
ur
aid
er r
enve
rse
le p
roce
ssu
s et
l’im
pac
t d
e l’e
xclu
sio
n s
oci
ale.
Le s
ect
eur
de
la s
anté
jou
e u
n r
ôle
dir
ect
en a
ugm
enta
nt
l’acc
ès
aux
serv
ice
s d
e sa
nté
ap
pro
pri
és p
ou
r le
s im
mig
ran
ts e
t le
s gr
ou
pes
rac
iau
x q
ui i
nco
rpo
ren
t d
es s
ervi
ces
cult
ure
llem
ent
sen
sib
les
et u
n la
nga
ge s
pé
cifi
qu
e p
ou
r to
us
les
bes
oin
s en
san
té,
incl
uan
t le
s se
rvic
es
de
san
té m
enta
le.
Co
nn
aiss
ance
du
man
qu
e d
’acc
ès o
u d
e l’a
ccè
s à
la
cou
vert
ure
de
s so
ins
de
san
té, d
enta
ires
et
ocu
lair
es d
e m
êm
e q
ue
du
sy
stè
me
de
san
té, i
.e. l
es
hô
pit
aux,
les
clin
iqu
es
san
s re
nd
ez-v
ou
s.
Info
rmat
ion
po
ur
les
imm
igra
nts
:
a.
S’as
sure
r q
ue
les
amb
assa
des
fo
urn
isse
nt
de
l’in
form
atio
n
exac
te s
ur
l’in
acce
ssib
ilité
de
la
cou
vert
ure
de
s so
ins
de
san
té
po
ur
les
pre
mie
rs 9
0 jo
urs
et
de
l’in
form
atio
n s
ur
les
soin
s d
enta
ires
et
ocu
lair
es e
t su
r le
s p
resc
rip
tio
ns.
b
. D
e l’i
nfo
rmat
ion
su
r le
s d
iver
ses
op
tio
ns
méd
ical
es
et
qu
and
les
uti
liser
i.e.
: clin
iqu
es
san
s re
nd
ez-v
ou
s, h
ôp
itau
x
c.
De
l’in
form
atio
n s
ur
l’ach
at
d’a
ssu
ran
ce s
anté
po
ur
la
pér
iod
e d
e 9
0 jo
urs
do
nn
ée
ou
tre-
mer
au
x im
mig
ran
ts.
d
. Fo
urn
ir d
e l’i
nfo
rmat
ion
su
r la
sa
nté
et
sur
les
soin
s d
enta
ire
s au
x im
mig
ran
ts p
eu d
e te
mp
s
Enle
ver
les
bar
rièr
es
de
l’in
form
atio
n p
ou
r le
s so
ins
de
san
té
com
men
ce p
ar f
ou
rnir
au
x im
mig
ran
ts d
e l’i
nfo
rmat
ion
ad
éq
uat
e,
dét
aillé
e et
en
te
mp
s u
tile
au
su
jet
des
so
ins
de
san
té e
t d
u
syst
èm
e d
e so
ins
de
san
té. O
n d
oit
do
nn
er a
ux
imm
igra
nts
, ava
nt
leu
r ar
rivé
e, d
e l’i
nfo
rmat
ion
cla
ire
sur
la p
ério
de
d’a
tten
te d
e tr
ois
mo
is p
ou
r la
co
uve
rtu
re d
es s
oin
s d
e sa
nté
(A
ssu
ran
ce S
anté
d
e l’O
nta
rio
OH
IP)
et a
uss
i de
l’in
form
atio
n s
ur
ce q
ui e
st e
t n
’est
p
as c
ou
vert
et
com
men
t o
bte
nir
un
e co
uve
rtu
re m
édic
ale
ext
ern
e.
Stra
tégi
e d
e co
mp
éten
ce li
ngu
isti
qu
e
-
La li
ttér
acie
en
san
té e
st u
n f
ort
ind
ice
de
l’éta
t d
e s
anté
-
Ceu
x q
ui o
nt
un
niv
eau
de
com
pét
ence
en
litt
érac
ie p
lus
bas
so
nt
de
1.5
à 3
fo
is p
lus
à m
êm
e d
e vi
vre
de
s ex
pér
ien
ces
nég
ativ
es r
elat
ivem
ent
à l’é
tat
de
san
té
Il es
t im
po
rtan
t d
e d
on
ner
l’o
pp
ort
un
ité
aux
imm
igra
nts
qu
i, p
ou
r u
ne
mu
ltit
ud
e d
e ra
iso
ns,
peu
ven
t n
e p
as ê
tre
en m
esu
re d
’exe
rcer
le
ur
pro
fess
ion
d’u
tilis
er le
urs
co
nn
aiss
ance
s et
leu
rs c
om
pét
ence
s en
par
tici
pan
t à
des
act
ivit
és
ou
des
pré
sen
tati
on
s d
e ty
pe
édu
cati
on
nel
. Cec
i le
s ai
der
a à
gard
er le
ur
esti
me
de
soi.
N
ivea
u p
eu é
levé
de
litté
raci
e p
arm
i les
imm
igra
nts
.
a.
Stra
tégi
e n
atio
nal
e
b.
En c
ou
rs
c.
En c
ou
rs
d.
En c
ou
rs
69
aprè
s le
ur
arri
vée.
e.
Fou
rnir
au
x p
atie
nts
les
cho
ix
dis
po
nib
les
qu
and
ils
reço
iven
t d
e l’a
ide
ou
de
l’ass
ista
nce
v.g
. le
se
xe d
es
inte
rprè
tes
ou
des
m
éde
cin
s d
ans
les
inst
alla
tio
ns
méd
ical
es le
s éc
ole
s, le
s se
rvic
es s
oci
aux
ou
les
serv
ice
s d
’éta
blis
sem
ent.
Enga
ger
des
tra
vaill
eurs
en
san
té q
ual
ifié
s p
rove
nan
t d
es
com
mu
nau
tés
imm
igra
nte
s
Mei
lleu
res
pra
tiq
ue
s:
-
Fair
e to
mb
er le
s b
arri
ère
s fi
nan
cièr
es
-
Fair
e to
mb
er le
s b
arri
ère
s lin
guis
tiq
ues
-
Fair
e to
mb
er le
s b
arri
ère
s d
e l’i
nfo
rmat
ion
-
Fou
rnir
des
so
ins
cult
ure
llem
en
t se
nsi
ble
s
e.
Un
an
po
ur
le
dév
elo
pp
em
ent
et la
m
ise
en œ
uvr
e
Ass
ure
r l’a
ccè
s à
l’ass
ista
nce
po
ur
les
lois
irs
po
ur
les
imm
igra
nts
a.
Dét
erm
iner
de
s ce
ntr
es g
ratu
its
et f
acile
s d
’acc
ès
situ
és d
ans
les
qu
arti
ers
où
les
gen
s p
euve
nt
se r
éun
ir e
t d
éci
der
de
s ac
tivi
tés
po
ur
leu
r q
uar
tier
. Des
en
dro
its
amu
san
ts o
ù t
ou
s le
s m
em
bre
s d
e la
fam
ille
peu
ven
t p
arta
ger
de
l’in
form
atio
n s
ur
leu
rs c
ult
ure
s, la
no
urr
itu
re, l
a m
usi
qu
e, le
s ac
tivi
tés,
les
cé
léb
rati
on
s et
c. (
colla
bo
rer
avec
Par
cs e
t Lo
isir
s et
ave
c le
s ce
ntr
es
com
mu
nau
tair
es d
e q
uar
tier
)
b
. C
olla
bo
rer
avec
les
org
anis
atio
ns
bas
ées
sur
la f
oi
et a
vec
les
éco
les
de
qu
arti
er
po
ur
fou
rnir
des
act
ivit
és
de
lois
irs
grat
uit
es o
u a
bo
rdab
les.
c.
Dév
elo
pp
er d
es
crit
ères
et
pro
cess
us
po
ur
qu
e le
s gr
ou
pes
d
’imm
igra
nts
aie
nt
accè
s à
de
s es
pac
es
de
ren
con
tre
ou
de
bu
reau
x gr
atu
its.
Il es
t re
con
nu
qu
e le
s lo
isir
s so
nt
un
fac
teu
r q
ui p
eut
être
p
réju
dic
iab
le a
u b
ien
-êtr
e d
e l’i
nd
ivid
u. L
es b
arri
ères
à u
ne
vie
sain
e p
ou
r d
es in
div
idu
s q
ui o
nt
un
bu
dge
t lim
ité
pe
uve
nt
con
du
ire
à d
es p
rob
lèm
es d
e sa
nté
.
Les
bén
éfi
ces
de
l’act
ivit
é p
hys
iqu
e in
clu
ent
un
e m
eille
ure
san
té,
la p
réve
nti
on
de
s m
alad
ies
chro
niq
ues
et
la p
rote
ctio
n c
on
tre
cert
ain
es
mal
adie
s m
enta
les.
“Co
mm
e M
inis
tre
de
la S
anté
, je
peu
x vo
us
dir
e q
ue
si je
po
uva
is
pre
nd
re s
eule
men
t u
ne
pet
ite
fra
ctio
n d
es m
illia
rds
de
do
llars
q
ue
no
tre
nat
ion
dép
ense
po
ur
com
bat
tre
le d
iab
ète,
les
mal
adie
s ca
rdio
-vas
cula
ires
, l’h
yper
ten
sio
n e
t le
s m
alad
ies
men
tale
s –
san
s m
enti
on
ner
les
mill
iers
de
rem
pla
cem
ent
de
han
ches
et
de
gen
ou
x q
ui s
on
t fa
ites
ch
aqu
e an
née
- et
à la
pla
ce
met
tre
l’em
ph
ase
sur
les
acti
vité
s q
ui a
ider
aien
t à
pré
ven
ir c
es
mal
adie
s en
pre
mie
r lie
u, l
e C
anad
a se
rait
un
en
dro
it p
lus
en
san
té. N
ou
s d
épen
seri
on
s b
eau
cou
p m
oin
s d
’arg
ent
sur
les
soin
s d
e sa
nté
à lo
ng
term
e.’’
(P
arks
an
d R
ecre
atio
n S
trat
egi
c M
aste
r P
lan
, No
v 2
00
9)
“L’
uti
lisat
ion
d’e
spac
es p
ub
lics
et la
par
tici
pat
ion
dan
s le
s ce
ntr
es
de
lois
irs/
com
mu
nau
tair
es s
on
t im
po
rtan
tes
par
ce
qu
’elle
s fo
urn
isse
nt
aux
no
uve
aux
arri
van
ts d
es
op
po
rtu
nit
és d
e s’
inté
grer
à la
co
mm
un
auté
.” (
Wel
com
ing
Co
mm
un
ity
Rep
ort
, p.
86
)
a.
1 a
n
b
. En
co
urs
c.
1 a
n
70
Un
e te
lle p
arti
cip
atio
n p
eut
être
par
ticu
lière
men
t im
po
rtan
te
po
ur
les
jeu
nes
, pu
isq
ue
l’exp
érie
nce
su
ggèr
e q
ue
les
lois
irs
aid
ent
à fa
cilit
er u
n d
ével
op
pem
ent
ph
ysiq
ue
et s
oci
al p
osi
tif
de
mê
me
qu
’un
e id
enti
fica
tio
n a
vec
les
pai
rs.
À u
n n
ivea
u p
lus
glo
bal
, un
ind
icat
eur
de
ren
dem
ent
add
itio
nn
el
des
occ
asio
ns
de
lois
irs
peu
t ê
tre
un
sen
tim
ent
d’in
clu
sio
n p
erçu
p
ar le
s im
mig
ran
ts, p
arti
culiè
rem
ent
par
les
jeu
ne
s im
mig
ran
ts
po
ur
qu
i les
lois
irs
son
t p
arti
culiè
rem
ent
imp
ort
ants
.
Bar
rièr
es
fin
anci
ère
s p
ou
r ac
céd
er a
ux
serv
ice
s d
e lo
isir
s
U
ne
des
plu
s gr
and
es b
arri
ère
s à
l’uti
lisat
ion
des
esp
ace
s p
ub
lics
et d
es in
stal
lati
on
s d
e lo
isir
s e
st le
man
qu
e d
e re
sso
urc
es
fin
anci
ère
s. P
ou
r re
nd
re la
par
tici
pat
ion
ab
ord
able
, les
m
un
icip
alit
és
peu
ven
t vo
ulo
ir r
eco
nsi
dér
er le
urs
sys
tèm
es
de
pai
emen
t o
u a
ugm
ente
r l’o
ffre
de
sub
sid
es f
inan
cier
s à
ceu
x q
ui
son
t d
ans
le b
eso
in. E
lles
peu
ven
t ég
alem
ent
vou
loir
re
con
figu
rer
la r
égle
men
tati
on
rel
ativ
e au
x in
stal
lati
on
s q
ui s
on
t so
us
uti
lisée
s.
Il es
t im
po
rtan
t d
e cr
éer
de
s o
pp
ort
un
ités
po
ur
qu
e le
s fa
mill
es
imm
igra
nte
s p
asse
nt
du
tem
ps
agré
able
et
inte
ract
if le
s u
ne
s av
ec le
s au
tre
s p
ou
r co
nse
rve
r le
ur
sen
s d
e la
fam
ille
et d
e la
co
mm
un
auté
.
Les
bar
rièr
es à
la p
arti
cip
atio
n q
ui o
nt
été
per
çues
et
qu
i on
t ét
é ci
tée
s le
plu
s so
uve
nt
son
t: le
s ap
titu
des
po
ur
l’An
glai
s, le
s o
pp
ort
un
ités
, le
man
qu
e d
e p
arte
nai
re, l
es
rest
rict
ion
s fi
nan
cièr
es,
la c
on
nai
ssan
ce d
es s
ite
s et
de
s ac
tivi
tés.
Tan
t l’e
stim
e d
e so
i qu
e l’i
nté
grat
ion
cu
ltu
relle
on
t u
ne
corr
élat
ion
p
osi
tive
sig
nif
icat
ive
avec
le m
on
tan
t to
tal d
e p
arti
cip
atio
n a
ux
lois
irs
et u
ne
corr
élat
ion
nég
ativ
e si
gnif
icat
ive
avec
le n
om
bre
to
tale
de
bar
rièr
es
per
çue
s.
(O
CA
SI, 2
00
5).
71
GABARIT POUR ÉTABLIR LES PRIORITÉS DU SOUS-CONSEIL DE L’INCLUSION ET DE L’ENGAGEMENT CIVIQUE
Re
pré
sen
tati
on
: -
Gar
de
d’e
nfa
nts
-
Info
rmat
ion
pré
-im
mig
rati
on
- L’
emp
loi e
t la
re
con
nai
ssan
ce d
es d
iplô
mes
étr
ange
rs f
ait
par
tie
de
l’in
clu
sio
n
- U
n c
réd
it d
’imp
ôt
po
ur
la lo
cati
on
d’e
spac
es a
ux
org
anis
me
s co
mm
un
auta
ires
- L’
incl
usi
on
des
imm
igra
nts
dan
s le
pro
cess
us
déc
isio
nn
el e
t/o
u la
co
llab
ora
tio
n à
to
us
les
niv
eau
x d
e L’
enga
gem
ent
soci
al.
P
rio
rité
St
raté
gie
R
aiso
ns
Éch
éan
cie
r
1.
Pro
mo
uvo
ir l’
enga
gem
en
t b
asé
sur
les
com
pét
ence
s à
tou
s le
s n
ivea
ux
de
la s
oci
été,
to
ut
en r
eco
nn
aiss
ant
qu
e ce
ci p
eut
ne
pas
êt
re u
n p
arco
urs
lin
éair
e
Fou
rnir
au
x im
mig
ran
ts d
e
l’in
form
atio
n r
elié
e au
x
op
po
rtu
nit
és d
’en
gage
men
t
•
Cré
er d
u c
on
ten
u q
ui s
oit
cu
ltu
relle
men
t
info
rmat
if p
ou
r le
s m
édia
s p
ub
lics
et
eth
niq
ues
loca
ux
en p
arte
nar
iat
avec
les
org
anis
mes
d’é
tab
lisse
men
t, le
s m
édia
s et
les
autr
es
gro
up
es o
u in
div
idu
s
eth
no
cult
ure
ls d
ans
les
méd
ias
pu
blic
s
loca
ux
(i.e
jou
rnau
x, r
adio
, tél
évis
ion
) q
ui
met
l’ac
cen
t su
r le
s o
pp
ort
un
ités
d’e
nga
gem
ent
et f
ou
rnit
de
l’in
form
atio
n
en d
iver
ses
lan
gue
s.
•
On
s’e
nte
nd
su
r le
fai
t q
u’u
ne
des
bar
rièr
es
à l’e
nga
gem
ent
est
le m
anq
ue
d’in
form
atio
n. É
limin
er c
ette
lacu
ne
ou
vrir
a la
vo
ie à
un
e p
arti
cip
atio
n p
lus
gran
de
des
imm
igra
nts
dan
s le
s
op
po
rtu
nit
és d
’en
gage
men
t so
cial
et
civi
qu
e.
•
Selo
n “
Ch
arac
teri
stic
s o
f a
We
lco
min
g
Co
mm
un
ity”
, “À
leu
r ar
rivé
e, le
s
no
uve
aux
arri
van
ts o
nt
trè
s p
eu
d’o
pp
ort
un
ités
de
par
tici
per
au
mili
eu
po
litiq
ue
et o
nt
sou
ven
t d
es d
roit
s
limit
és
en c
e q
ui a
tra
it à
leu
r
par
tici
pat
ion
. Les
no
uve
aux
arri
van
ts
rap
po
rten
t êt
re m
oin
s in
form
és a
u s
uje
t
du
pro
cess
us
po
litiq
ue
au C
anad
a et
ne
son
t gé
nér
alem
ent
pas
au
ssi a
ctif
s
po
litiq
uem
ent
qu
e le
s C
anad
ien
s d
e
sou
che.
Ave
c le
te
mp
s, la
par
tici
pat
ion
72
des
no
uve
aux
arri
van
ts a
ugm
ente
de
sort
e q
u’il
s m
on
tren
t u
n t
aux
de
par
tici
pat
ion
au
x él
ecti
on
s p
lus
éle
vé q
ue
leu
rs h
om
olo
gues
de
sou
che”
(2
01
0).
Cet
te a
ugm
enta
tio
n d
e p
arti
cip
atio
n a
vec
le t
emp
s p
eut
être
du
e à
un
e
augm
enta
tio
n d
e l’i
nfo
rmat
ion
et
un
e
plu
s gr
and
e fa
mili
arit
é av
ec la
com
mu
nau
té d
’acc
uei
l.
Enco
ura
ger
les
imm
igra
nts
à
par
tici
pe
r au
x o
pp
ort
un
ités
d’e
nga
gem
ent
civi
qu
e et
so
cial
•
Pro
mo
uvo
ir le
s ac
tivi
tés
et é
vén
emen
ts d
e
qu
arti
ers
et c
om
mu
nau
tair
es q
ui
fou
rnir
on
t d
es o
pp
ort
un
ités
au
x
imm
igra
nts
po
ur
s’en
gage
r et
par
tici
per
à
leu
r n
ou
velle
co
mm
un
auté
.
•
Les
op
po
rtu
nit
és d
e p
arti
cip
atio
n c
réen
t
un
sen
tim
ent
d’a
pp
arte
nan
ce à
la
com
mu
nau
té p
lus
éle
vé. S
elo
n
Stat
isti
qu
es C
anad
a, le
s ét
ud
es
po
rtan
t
sur
la s
atis
fact
ion
de
leu
r vi
e au
Can
ada
par
mi l
a p
op
ula
tio
n e
n g
énér
al
dém
on
tren
t u
ne
corr
élat
ion
po
siti
ve
entr
e le
s lie
ns
soci
aux
et le
bie
n-ê
tre.
(htt
p:/
/ww
w.s
tatc
an.g
c.ca
/pu
b/1
1f0
019
m/2
0103
22/
par
t-
par
tie1
-en
g.h
tm)
•
Le L
on
do
n S
tren
gth
enin
g
Nei
ghb
ou
rho
od
s 5
Yea
r St
rate
gy a
nd
Imp
lem
enta
tio
n P
lan
iden
tifi
e le
s
stra
tégi
es p
ou
r en
gage
r, m
ettr
e en
con
tact
et
incl
ure
les
rési
den
ts a
u n
ivea
u
du
qu
arti
er e
t d
e la
vill
e d
ans
son
ense
mb
le.
(h
ttp
://w
ww
.lon
do
n.c
a/d
.asp
x?s=
/Co
mm
un
ity_
Vit
alit
y/N
ei
ghb
ou
rho
od
s/St
ren
gth
enin
g_St
rate
gy/d
efau
lt.h
tm)
a.
Enco
ura
ger,
pro
mo
uvo
ir e
t so
ute
nir
le b
én
évo
lat
par
mi
les
imm
igra
nts
au
niv
eau
du
q
uar
tier
et
au n
ivea
u
•
Au
gmen
ter
le t
rava
il d
e p
roxi
mit
é en
vers
les
imm
igra
nts
po
ur
enco
ura
ger
le
bén
évo
lat
en f
ou
rnis
san
t d
e l’é
du
cati
on
à
•
Rec
on
naî
tre
qu
e le
co
nte
xte
du
bén
évo
lat
can
adie
n e
st d
iffé
ren
t d
e ce
ux
des
au
tres
cu
ltu
res.
La
colla
bo
rati
on
73
déc
isio
nn
el c
om
me
les
con
seils
d’a
dm
inis
trat
ion
et
les
pro
cess
us
de
pla
nif
icat
ion
ce s
uje
t et
en
exp
liqu
ant
le c
on
text
e d
u
bén
évo
lat
au C
anad
a et
se
s b
énéf
ice
s.
•
Enco
ura
ger
le c
om
té d
e Lo
nd
on
et
Mid
dle
sex
à ex
plo
rer
de
s m
od
èle
s ré
uss
is
de
bén
évo
lat
(dan
s le
Gra
nd
To
ron
to)
qu
i
per
met
au
x im
mig
ran
ts d
’êtr
e p
lacé
s d
ans
dif
fére
nts
ser
vice
s d
e l’H
ôte
l de
Vill
e p
ou
r
acq
uér
ir d
e l’e
xpér
ien
ce c
anad
ien
ne.
•
Cré
er d
es o
pp
ort
un
ités
de
liais
on
en
tre
les
éco
les
et le
s co
mm
un
auté
s d
’imm
igra
nts
.
(Co
mm
un
ity
Cap
acit
y an
d N
eed
s R
epo
rt,
WC
I-LM
LIP
)
•
Enco
ura
ger
un
pro
cess
us
par
leq
uel
les
imm
igra
nts
qu
i so
nt
bén
évo
les
info
rmel
s
peu
ven
t as
sum
er d
es p
osi
tio
ns
déc
isio
nn
elle
s et
de
lead
ersh
ip.
•
Enle
ver
les
bar
rièr
es
au b
énév
ola
t en
:
fou
rnis
san
t d
es
bill
ets
d’a
uto
bu
s, d
es
chau
ffeu
rs b
énév
ole
s, p
arta
gean
t
l’in
form
atio
n a
u s
uje
t d
u b
énév
ola
t vi
rtu
el,
en e
nga
gean
t d
es n
ou
veau
x C
anad
ien
s o
u
des
imm
igra
nts
à t
itre
de
per
son
nel
rém
un
éré
po
ur
aid
er l’
org
anis
atio
n à
con
naî
tre
la d
iver
sité
et
l’ap
pré
cier
, en
recr
uta
nt
des
no
uve
aux
can
adie
ns
sur
les
con
seils
d’a
dm
inis
trat
ion
, en
fo
urn
issa
nt
de
la f
orm
atio
n s
ur
la d
iver
sité
au
per
son
nel
. (A
Ne
w C
anad
ian
s Fi
rst
Dec
ade
of
Vo
lun
teer
ing-
Pill
ar n
on
-Pro
fit)
entr
e le
s d
iffé
ren
tes
org
anis
atio
ns
de
bén
évo
lat
est
néc
essa
ire
po
ur
pro
mo
uvo
ir e
t co
mp
ren
dre
le b
énév
ola
t
can
adie
n e
t p
ou
r q
ue
les
imm
igra
nts
qu
alif
iés
soie
nt
app
arié
s d
e fa
çon
app
rop
riée
au
x p
ost
es.
•
Les
imm
igra
nts
rap
po
rten
t le
s b
arri
ères
suiv
ante
s au
bén
évo
lat:
le m
anq
ue
d’in
form
atio
n s
ur
les
op
po
rtu
nit
és d
e
bén
évo
lat,
les
coû
ts a
sso
cié
s au
bén
évo
lat,
la d
iscr
imin
atio
n à
laq
uel
le il
s
fon
t fa
ce p
arce
qu
e le
s o
rgan
ism
es
hés
iten
t et
à p
ren
dre
de
no
uve
aux
Can
adie
ns
qu
i on
t d
es c
om
pét
ence
s
limit
ées
en
An
glai
s, le
tra
nsp
ort
et
la
gard
e d
’en
fan
ts. (
Ne
w C
anad
ian
s Fi
rst
Dec
ade
of
Vo
lun
teer
ing)
Fai
re t
om
ber
les
bar
rièr
es
men
tio
nn
ées
au
gme
nte
l’ac
cès
aux
op
po
rtu
nit
és d
e b
énév
ola
t et
bén
éfic
ie n
on
seu
lem
ent
aux
imm
igra
nts
mai
s à
la s
oci
été
dan
s so
n e
nse
mb
le.
•
Bes
oin
de
colla
bo
rati
on
en
tre
le s
ou
s-
con
seil
sur
l’em
plo
i et
les
autr
es
asso
ciat
ion
s d
e b
éné
vola
t et
pro
fess
ion
nel
les
po
ur
enco
ura
ger
et
pro
mo
uvo
ir le
bén
évo
lat.
74
Enco
ura
ger,
pro
mo
uvo
ir e
t
app
uye
r l’i
mp
licat
ion
po
litiq
ue
des
no
uve
aux
cito
yen
s ca
nad
ien
s
par
un
pro
cess
us
qu
i co
mm
ence
au n
ivea
u d
e l’i
nfo
rmat
ion
ava
nt
qu
e la
cit
oye
nn
eté
can
adie
nn
e
n’a
it é
té o
bte
nu
e.
•
Cré
er u
n e
nvi
ron
nem
ent
de
con
fian
ce p
ar
l’usa
ge d
e ca
mp
agn
es d
e se
nsi
bili
sati
on
po
ur
dis
sip
er le
s vu
es d
e ce
ux
do
nt
les
exp
érie
nce
s p
ré-i
mm
igra
tio
n o
nt
créé
de
la
peu
r et
de
la m
éfi
ance
en
vers
les
gou
vern
em
ents
. Fo
urn
ir d
e l’a
ssis
tan
ce
dir
ecte
po
ur
la m
ob
ilisa
tio
n p
olit
iqu
e en
ten
ant
des
ate
liers
, en
cré
ant
des
tro
uss
es
d’o
uti
ls e
t en
iden
tifi
ant
les
lead
ers
dan
s
les
com
mu
nau
tés
eth
no
cult
ure
lles.
•
Enco
ura
ger
les
no
uve
aux
imm
igra
nts
à
suiv
re le
s af
fair
es c
ou
ran
tes
en
fo
urn
issa
nt
de
l’éd
uca
tio
n s
ur
le s
ystè
me
élec
tora
l, su
r
les
can
did
ats
et e
n f
aisa
nt
tom
ber
les
bar
rièr
es
à la
vo
tati
on
co
mm
e le
tra
nsp
ort
.
Le L
on
do
n S
tren
gth
enin
g N
eigh
bo
urh
oo
ds
5
Year
Str
ate
gy a
nd
Imp
lem
enta
tio
n P
lan
iden
tifi
e d
es
stra
tégi
es
po
ur
en
gage
r,
pro
mo
uvo
ir e
t im
pliq
uer
les
rési
den
ts à
par
tici
per
act
ivem
ent
au p
roce
ssu
s él
ecto
ral.
htt
p:/
/ww
w.lo
nd
on
.ca/
d.a
spx?
s=/C
om
mu
nit
y_V
ital
ity/
Nei
ghb
ou
r
ho
od
s/St
ren
gth
en
ing_
Stra
tegy
/def
ault
.htm
An
der
son
et
Bla
ck, d
ans
un
art
icle
cit
é p
ar
“Ch
arac
teri
stic
s o
f a
Wel
com
ing
Co
mm
un
ity,
20
10
”, in
diq
uen
t q
ue
cert
ain
s ty
pes
d’e
nga
gem
ent
po
litiq
ue
com
me
l’act
ivis
me
po
litiq
ue,
les
dé
mo
nst
rati
on
s, e
t d
even
ir
me
mb
re d
’un
par
ti p
olit
iqu
e so
nt
des
acti
vité
s au
xqu
elle
s le
s n
ou
veau
x ar
riva
nts
par
tici
pan
t m
oin
s q
ue
les
Can
adie
ns
nés
ici.
Cec
i peu
t êt
re b
ase
sur
le m
anq
ué
de
sen
tim
ent
d’a
pp
arte
nan
ce e
u é
gard
au
x
pro
blè
me
s p
olit
iqu
es e
t à
la s
ou
s
rep
rése
nta
tio
n d
es g
rou
pe
s d
e n
ou
veau
x
arri
van
ts t
elle
qu
’elle
est
ref
lété
e d
ans
le
pro
cess
us
de
no
min
atio
n (
Ch
arac
teri
stic
s o
f a
Wel
com
ing
Co
mm
un
ity,
20
10
). P
ar
con
séq
ue
nt
les
acti
vité
s q
ui e
nco
ura
gen
t le
sen
tim
en
t d
’ap
par
ten
ance
do
ive
nt
êtr
e
pro
mu
es
de
faç
on
à a
ugm
en
ter
l’im
plic
atio
n
au n
ive
au p
olit
iqu
e.
2.
Au
gmen
ter
la c
on
nai
ssan
ce p
arm
i la
com
mu
nau
té d
’acc
uei
l au
su
jet
de
l’en
gage
men
t d
es im
mig
ran
ts
Co
mm
un
icat
ion
et
con
nai
ssan
ce
des
op
po
rtu
nit
és p
ou
r
l’en
gage
men
t ci
viq
ue
et
1.
Cré
er u
ne
Stra
tégi
e d
e C
om
mu
nic
atio
n à
p
lusi
eurs
niv
eau
x b
asée
su
r la
co
mm
un
auté
en
ap
pro
chan
t à
la f
ois
les
méd
ias
trad
itio
nn
els
et e
thn
iqu
es p
ou
r
1.
Tel q
u’il
lust
ré p
ar le
Par
ten
aria
t Lo
cal
d’im
mig
rati
on
de
Lon
do
n, l
es
dis
cuss
ion
s et
la r
ech
erch
e m
ette
nt
en
lum
ière
le f
ait
qu
’il e
st n
éce
ssai
re
1.E
n c
ou
rs.
2. E
n c
ou
rs. C
ette
in
itia
tive
de
vrai
t êt
re
75
l’in
clu
sio
n.
Cet
te la
cun
e a
deu
x vo
lets
pu
isq
u’e
lle e
xist
e à
la f
ois
dan
s la
com
mu
nau
té d
’acc
uei
l et
dan
s la
po
pu
lati
on
imm
igra
nte
.
La
pri
ori
té d
e ce
so
us-
con
seil
est
de
s’as
sure
r q
ue
les
op
po
rtu
nit
és
d’e
nga
gem
ent
civi
qu
e et
d’in
clu
sio
n s
on
t co
nti
nu
es e
t
un
iver
selle
s.
La r
epré
sen
tati
on
des
imm
igra
nts
dan
s le
s m
édia
s
incl
ure
la v
oix
de
s n
ou
veau
x ar
riva
nts
. Par
ex
em
ple
, éta
blir
un
pro
cess
us
qu
i en
cou
rage
les
com
mu
nau
tés
à co
nte
ster
la
cou
vert
ure
méd
iati
qu
e n
égat
ive
de
s im
mig
ran
ts (
WC
I, C
har
acte
rist
ics
of
a W
elco
min
g C
om
mu
nit
y)en
en
cou
rage
ant
l’uti
lisat
ion
d’a
lert
es q
ui n
oti
fien
t la
co
mm
un
auté
et
les
fou
rnis
seu
rs d
e se
rvic
es à
écr
ire
aux
serv
ice
s m
édia
tiq
ue
s q
ui é
tiq
uet
ten
t d
es g
rou
pes
inju
stem
ent.
2.
Enco
ura
ger
la c
olla
bo
rati
on
en
tre
les
serv
ices
d’é
tab
lisse
men
t le
s fo
urn
isse
urs
d
e se
rvic
es e
t le
s o
rgan
ism
es
com
mu
nau
tair
es
de
faço
n à
en
gage
r p
lus
d’e
ntr
epri
ses
et d
e co
mp
agn
ies
à cr
éer
p
lus
d’o
pp
ort
un
ités
po
ur
l’in
clu
sio
n e
t l’e
nga
gem
ent.
En
alla
nt
au-d
elà
de
con
trib
uti
on
s u
niq
ues
, cet
te in
itia
tive
in
clu
t la
pre
stat
ion
d’u
n a
pp
ui c
on
tin
u p
ou
r cr
éer
un
e co
mm
un
auté
plu
s in
clu
sive
et
accu
eilla
nte
par
la c
om
man
dit
e d
’évé
ne
men
ts, d
’org
anis
atio
ns,
la
fou
rnit
ure
d’e
spac
es,
des
p
lace
men
ts/s
tage
s en
en
trep
rise
etc
. (v.
g.
pla
cem
ents
Co
-op
, tro
uss
es
de
bie
nve
nu
e et
info
rmat
ion
).
3
. Ét
ablis
sem
ent
d’u
n c
on
seil
de
litt
érac
ie
méd
iati
qu
e co
mm
un
auta
ire
po
ur
édu
qu
er
à la
fo
is le
s im
mig
ran
ts e
t la
co
mm
un
auté
d
e Lo
nd
on
et
Mid
dle
sex
au s
uje
t d
es
méd
ias.
Le
bu
t es
t d
e cr
éer
un
e co
mm
un
auté
plu
s in
clu
sive
et
accu
eilla
nte
. P
oss
ible
men
t u
ne
org
anis
me/
con
seil
de
bén
évo
les
inté
ress
és à
pro
mo
uvo
ir
l’in
clu
sio
n e
t à
dis
sip
er le
s m
yth
es, e
t à
com
bat
tre
les
inci
den
ts im
pliq
uan
t d
u
d’a
voir
plu
s d
e co
llab
ora
tio
n e
ntr
e le
s fo
urn
isse
urs
de
serv
ices
po
ur
enga
ger
la
com
mu
nau
té d
’acc
uei
l à c
rée
r p
lus
d’o
pp
ort
un
ités
d’in
clu
sio
n e
t d
’en
gage
men
t p
ou
r le
s im
mig
ran
ts.
2.
Il ex
iste
un
co
nse
nsu
s à
l’eff
et q
ue
la
com
mu
nic
atio
n e
st v
ital
e à
la f
ois
po
ur
incl
ure
et
enga
ger
les
imm
igra
nts
dan
s to
ute
s le
s af
fair
es c
iviq
ue
s à
Lon
do
n e
t M
idd
lese
x. Il
exi
ste
un
bo
n n
om
bre
de
mo
des
de
com
mu
nic
atio
n t
ant
en
angl
ais
qu
’en
div
erse
s au
tres
lan
gues
q
ui p
euve
nt
régu
lière
men
t se
rvir
de
ress
ou
rce
s p
ou
r tr
ansm
ettr
e to
ute
s o
u
chac
un
e d
es o
pp
ort
un
ités
po
ur
l’in
clu
sio
n e
t l’e
nga
gem
ent.
(D
es
évén
emen
ts in
clu
sifs
et
de
pe
tite
s o
u
gran
des
act
ivit
és-
dep
uis
l’ad
hés
ion
à
des
org
anis
atio
ns
po
pu
lair
es ju
squ
’au
x fe
stiv
als
plu
s im
po
rtan
ts.)
3.
La r
ech
erch
e et
les
dis
cuss
ion
s o
nt
mis
en
lum
ière
le f
ait
qu
’il y
a e
u d
es
inci
den
ts d
e ra
cism
e o
u d
es f
orm
es
de
dis
crim
inat
ion
en
vers
les
imm
igra
nts
d
ans
les
méd
ias.
L’é
tab
lisse
men
t d
’un
o
rgan
ism
e m
édia
-lit
téra
cie
po
ur
fair
e d
es r
epré
sen
tati
on
s p
ou
r l’i
nté
grat
ion
d
es im
mig
ran
ts e
t au
gmen
ter
la
sen
sib
ilisa
tio
n f
avo
rise
ra la
cré
atio
n
d’u
ne
com
mu
nau
té p
lus
incl
usi
ve e
t ac
cuei
llan
te.
4
. L’
inté
grat
ion
des
imm
igra
nts
dan
s l’e
nse
mb
le p
ou
r p
rom
ou
voir
l’in
clu
sio
n
et s
ou
lign
er la
div
ersi
té e
t ce
qu
e si
gnif
ie ê
tre
un
cit
oye
n d
e
inté
gré
e d
ans
les
pra
tiq
ues
de
tou
s le
s fo
urn
isse
urs
de
serv
ices
im
méd
iate
men
t. L
es
fou
rnis
seu
rs d
e se
rvic
es
et a
utr
es p
arti
es
pre
nan
tes
(i.e
. le
s m
édia
s) d
evra
ien
t in
itie
r la
mis
e-en
-œu
vre
d’u
ne
stra
tégi
e d
e co
mm
un
icat
ion
à
mu
ltip
les
niv
eau
x et
l’i
nté
grer
dan
s le
urs
p
rati
qu
es s
ur
un
e b
ase
per
man
ente
po
ur
assu
rer
un
e p
rom
oti
on
co
nst
ante
et
con
sist
ante
d
es o
pp
ort
un
ités
d
’en
gage
men
t et
d
’incl
usi
on
.
3
. Éta
bli
en s
epte
mb
re
20
10
. L’o
rgan
ism
e d
e lit
téra
cie
méd
iati
qu
e d
evra
it ê
tre
un
e in
itia
tive
co
mm
un
auta
ire
com
pre
nan
t u
n g
rou
pe
de
me
mb
res
inté
ress
és
qu
i ser
on
t re
pré
sen
tati
fs
de
la c
om
mu
nau
té d
e Lo
nd
on
(ci
toye
ns
de
Lon
do
n, d
e m
ême
qu
e d
es im
mig
ran
ts).
4
. En
co
urs
. Il y
a d
es
pré
céd
ents
à c
eci c
ar il
y
a eu
des
his
toir
es q
ui o
nt
été
pu
blié
es
dan
s le
s
76
raci
sme
et d
e la
dis
crim
inat
ion
(v.
g. e
n
écri
van
t d
es le
ttre
s à
l’Éd
iteu
r)
4.
Favo
rise
r la
mu
ltip
licat
ion
de
form
atio
ns
sur
la d
iver
sité
cu
ltu
relle
po
ur
con
trer
le
pro
fila
ge, l
e ra
cism
e et
l’ap
ath
ie e
n
élim
inan
t le
s b
arri
ères
à l’
acce
ssib
ilité
(c
oû
ts),
l’u
tilis
atio
n d
es
méd
ias,
cré
er
des
in
cita
tifs
po
ur
les
org
anis
me
s et
les
entr
epri
ses
qu
i par
tici
pen
t.
5.
Am
élio
rer
la c
apac
ité
de
s so
urc
es d
e m
édia
s lo
cau
x (
v.g.
dig
ital
e, a
ud
io,
jou
rnau
x im
pri
més
et
virt
uel
s, m
agaz
ines
, té
lévi
sio
n, r
adio
) en
cap
ital
isan
t su
r le
s re
sso
urc
es
exis
tan
tes
po
ur
mie
ux
refl
éter
la
div
ersi
té d
e la
Vill
e.
6.
Am
élio
rer,
pro
mo
uvo
ir e
t co
nst
ruir
e su
r le
s p
rogr
amm
es q
ui a
iden
t le
s im
mig
ran
ts à
d
ével
op
pe
r d
es r
ésea
ux
ave
c le
s au
tre
s im
mig
ran
ts d
ans
les
com
mu
nau
tés
(WC
I,
Ch
arac
teri
stic
s o
f a
Wel
com
ing
Co
mm
un
ity)
. 7
. A
mél
iore
r et
bât
ir s
ur
de
s p
rogr
amm
es q
ui
enco
ura
gen
t le
s m
emb
res
de
la
com
mu
nau
té lo
cale
et
les
imm
igra
nts
à
entr
er e
n c
on
tact
les
un
s av
ec le
s au
tre
s.
Lon
do
n/c
anad
ien
en
20
10
.
5.
Sou
lign
é d
ans
la r
ech
erch
e d
ans
le
do
cum
ent
Wel
com
ing
Co
mm
un
itie
s In
itia
tive
jou
rnau
x d
e Lo
nd
on
et
à la
tél
évi
sio
n d
ura
nt
les
deu
x d
ern
ière
s an
née
s.
Le b
ut
est
de
ren
dre
cel
a p
lus
fréq
uen
t et
plu
s re
pré
sen
tati
f d
e la
d
iver
sité
qu
i exi
ste
dan
s la
vill
e.
6
. En
co
urs
3.
Au
gmen
tati
on
de
l’acc
ès a
ux
esp
aces
par
tagé
s
Au
gmen
ter
l’acc
ès
aux
esp
ace
s
par
tagé
s en
fai
san
t to
mb
er le
s
bar
rièr
es
fin
anci
ères
et
en
amél
iora
nt
les
par
ten
aria
ts
Le s
ou
s-co
nse
il su
r l’
incl
usi
on
et
l’en
gage
me
nt
civi
qu
e r
eco
nn
ait
tou
t le
tra
vail
qu
i a é
té f
ait
dan
s la
co
mm
un
auté
de
Lo
nd
on
et
Mid
dle
sex
en
ce
qu
i a t
rait
au
x e
spac
es
com
mu
nau
tair
es
et
aux
init
iati
ves
exi
stan
tes.
No
us
•
Étab
lir d
es p
arte
nar
iats
dan
s le
se
cteu
r p
ub
lic, p
rivé
et
à b
ut
no
n-l
ucr
atif
po
ur
avo
ir a
ccè
s au
x e
spac
es
com
mu
nau
tair
es
et a
ux
esp
ace
s d
e q
uar
tier
so
us-
uti
lisé
s.
Les
con
trat
s p
euve
nt
incl
ure
des
fra
is
En c
ou
rs
77
reco
mm
and
on
s le
s st
raté
gie
s su
ivan
tes
pro
ven
ant
du
rap
po
rt ‘’
Incr
easi
ng
Acc
ess
to
Co
mm
un
ity
Spac
e f
or
Eth
no
cult
ura
l G
rou
ps
in
Lon
do
n’’
:
a.
INST
ALL
ATI
ON
S P
ERM
AN
ENT
ES P
OU
R L
ES
GR
OU
PES
ET
HN
OC
ULT
UR
ELS
–
Fair
e u
ne
éva
luat
ion
des
be
soin
s d
’infr
astr
uct
ure
s co
mm
un
auta
ires
po
ur
guid
er l’
étab
lisse
men
t et
/ou
l’a
gran
dis
sem
ent
d’e
spac
es
po
ur
fou
rnir
d
es in
stal
lati
on
s p
erm
anen
ts p
ou
r le
s gr
ou
pes
cu
ltu
rels
;
–
Étab
lir u
n g
rou
pe
de
trav
ail p
ou
r ex
plo
rer
la f
aisa
bili
té d
e la
mis
e en
œu
vre
d’u
ne
po
litiq
ue
étab
lissa
nt
com
me
un
e p
rio
rité
l’u
tilis
atio
n p
ar le
s o
rgan
isat
ion
s cu
ltu
relle
s co
mm
un
auta
ire
s s
ans
bu
t lu
crat
if d
es
esp
ace
s ex
céd
enta
ires
, pro
pri
été
de
la
ville
;
–
Qu
’un
rep
rése
nta
nt
de
la V
ille
so
it d
ésig
né
avec
co
mm
e rô
le d
’aid
er le
s gr
ou
pes
cu
ltu
rels
dan
s le
pro
cess
us
de
co
llect
e d
’info
rmat
ion
rel
ié à
l’ac
qu
isit
ion
d’u
n
accè
s te
mp
ora
ire
ou
per
man
en
t à
des
es
pac
es;
–
Dév
elo
pp
er e
t p
ub
licis
er u
n in
ven
tair
e d
es
esp
ace
s p
rop
riét
é d
e la
Vill
e e
t q
ui s
on
t so
us-
uti
lisés
(p
arti
culiè
rem
ent
dan
s le
s b
iblio
thèq
ues
, le
s ar
énas
et
les
cen
tre
s d
e re
sso
urc
es)
;
(Les
rec
om
man
dat
ion
s n
ote
nt
qu
e le
s ar
ran
gem
ents
po
ur
la lo
cati
on
à lo
ng
term
e d
es
esp
ace
s ex
céd
enta
ires
de
la V
ille
ne
de
vrai
ent
pas
exc
éder
les
coû
ts d
ire
cts
de
reco
uvr
emen
t as
soci
és a
vec
l’op
érat
ion
de
l’esp
ace
)
b.
DÉV
ELO
PP
EMEN
T C
OM
MU
NA
UT
AIR
E ET
réd
uit
s o
u p
réci
ser
qu
e ce
so
it s
ans
frai
s,
ou
des
do
nat
ion
s en
nat
ure
des
esp
ace
s et
c.
•
Les
pro
gram
mes
‘’N
eigh
bo
urh
oo
d
Bu
sin
ess
Wat
ch’’
et
‘’B
lock
Par
ent
Bu
sin
ess
’’ p
ou
rrai
ent
fou
rnir
des
lien
s av
ec le
s p
arte
nai
res
d’a
ffai
res
rela
tive
men
t au
x es
pac
es.
•
On
a s
ugg
éré
LDR
RA
C c
om
me
un
e p
arti
e p
ou
r fa
ire
de
la r
epré
sen
tati
on
su
r ce
p
rob
lèm
e.
•
Faci
liter
les
ren
con
tres
co
mm
un
auta
ires
re
nfo
rce
le li
en e
ntr
e le
s co
mm
un
auté
s et
hn
ocu
ltu
relle
s et
bât
it la
co
nfi
ance
en
tre
la c
om
mu
nau
té e
thn
ocu
ltu
relle
et
le r
ése
au d
e fo
urn
isse
urs
de
serv
ice
s.
No
n s
eule
men
t il
est
plu
s fa
cile
de
trav
aille
r av
ec u
ne
com
mu
nau
té e
n s
anté
et
qu
i fo
nct
ion
ne
bie
n m
ais
c’es
t ég
ale
men
t u
ne
exce
llen
te f
aço
n d
’att
irer
d
es n
ou
veau
x ar
riva
nts
. (p
g 2
6 B
uild
ing
Co
mm
un
ity)
•
Bea
uco
up
de
no
uve
aux
arri
van
ts f
on
t le
ch
oix
de
ne
pas
s’é
tab
lir d
ans
des
vill
es
seco
nd
aire
s à
cau
se d
u m
anq
ue
d’in
fras
tru
ctu
re e
t d
e co
hé
sio
n
com
mu
nau
tair
e et
hn
iqu
e (p
g 2
7 B
uild
ing
Co
mm
un
ity)
. •
La p
arti
cip
atio
n e
st p
arti
culiè
rem
ent
imp
ort
ante
po
ur
les
jeu
ne
s p
uis
qu
’il e
st
pro
uvé
qu
e le
s lo
isir
s ai
den
t à
faci
liter
un
d
ével
op
pe
men
t p
hys
iqu
e et
so
cial
po
siti
f
78
PA
RT
ENA
RIA
TS
- D
es s
trat
égie
s p
ou
r at
tein
dre
les
gro
up
es
eth
no
cult
ure
ls d
evr
aien
t êt
re m
ises
en
œ
uvr
e d
ans
les
inst
alla
tio
ns
do
nt
la v
ille
est
p
rop
riét
aire
po
ur
enga
ger
les
gro
up
es
eth
no
cult
ure
ls e
t le
s en
cou
rage
r à
uti
lise
r le
s e
spac
es d
isp
on
ible
s;
- Le
s co
nse
ils s
cola
ire
s d
evra
ien
t fa
ire
la
pro
mo
tio
n d
e l’i
ncl
usi
on
(i.e
. les
pri
nci
pau
x et
les
gard
ien
s d
evr
aien
t êt
re e
nco
ura
gés
à fo
urn
ir d
es e
spac
es
accu
eilla
nts
et
acce
ssib
les
à l’é
cole
po
ur
les
gro
up
es
eth
no
cult
ure
ls);
-
Intr
od
uir
e o
u a
mél
iore
r la
fo
rmat
ion
su
r la
d
iver
sité
po
ur
le p
erso
nn
el d
ans
les
inst
itu
tio
ns
pu
bliq
ues
et
pri
vées
incl
uan
t le
s b
iblio
thèq
ue
s, le
s éc
ole
s, le
s e
spac
es
do
nt
la V
ille
est
pro
pri
étai
re e
t le
s ce
ntr
es
com
mu
nau
tair
es;
-
Pro
mo
uvo
ir le
s p
arte
nar
iats
en
tre
les
gro
up
es e
thn
ocu
ltu
rels
et
les
éco
les,
la
Vill
e d
e Lo
nd
on
, les
inst
alla
tio
ns
avec
de
l’esp
ace,
et
le s
ecte
ur
pri
vé;
-
Étab
lir u
n r
egro
up
emen
t re
pré
sen
tan
t le
s d
iver
ses
com
mu
nau
tés
de
Lon
do
n d
e fa
çon
à
rep
rése
nte
r le
s b
eso
ins
qu
i se
reco
up
ent
et q
ui s
on
t p
arta
gés
avec
le b
ut
de
l’in
clu
sio
n d
ans
la c
om
mu
nau
té.
c.
Sup
pri
me
r le
s fr
ais
d
. Su
bve
nti
on
ne
r le
s fr
ais
e
. A
ccè
s p
rio
rita
ire
f.
AU
TRES
FO
NC
TIO
NS
D’A
IDE
R
end
re l’
info
rmat
ion
su
ivan
te d
isp
on
ible
au
x gr
ou
pes
eth
no
cult
ure
ls q
ui c
her
chen
t à
avo
ir
accè
s à
de
s e
spac
es
com
mu
nau
tair
es :
-
Des
tau
x d
’ass
ura
nce
ab
ord
able
s;
-
Pro
cess
us
léga
ux;
-
L’en
regi
stre
men
t d
es a
sso
ciat
ion
s
de
mê
me
qu
’un
e id
enti
fica
tio
n à
des
gr
ou
pes
de
pai
rs (
cité
par
WC
I)
•
La V
ille
de
Lon
do
n a
un
e n
ou
velle
‘P
olit
iqu
e Sa
ns
Frai
s p
ou
r l’U
tilis
atio
n d
es
Cen
tre
Co
mm
un
auta
ires
et
de
Lo
isir
s’
pro
pri
étés
de
la V
ille
qu
i réd
uit
les
bar
rièr
es
à la
par
tici
pat
ion
, en
cou
rage
l’a
ccès
au
x in
stal
lati
on
s co
mm
un
auta
ires
et
en
cou
rage
la c
on
stru
ctio
n d
’un
e ca
pac
ité
com
mu
nau
tair
e. S
ans
l’ap
pu
i de
la V
ille
de
Lon
do
n b
eau
cou
p d
e gr
ou
pes
ém
erge
nts
et
no
uve
aux
peu
ven
t n
e p
as
être
cap
able
de
tro
uve
r d
es lo
cau
x p
ou
r te
nir
des
réu
nio
ns
po
ur
accu
eill
ir le
s n
ou
veau
x m
em
bre
s et
fai
re g
ross
ir le
ur
org
anis
atio
n.
En f
ou
rnis
san
t d
es e
spac
es
loca
tifs
à c
ou
rt t
erm
e sa
ns
frai
s p
ou
r le
s ré
un
ion
s o
u le
s ac
tivi
tés,
ce
s gr
ou
pes
co
mm
un
auta
ire
s o
u d
e lo
isir
s q
ui s
on
t n
éce
ssai
res
peu
ven
t p
rosp
ére
r et
fai
re d
e Lo
nd
on
la m
eille
ure
pla
ce p
ou
r y
vivr
e, y
tr
avai
ller
et y
jou
er.
•
Le L
on
do
n S
tren
gth
enin
g
Nei
ghb
ou
rho
od
s 5
Yea
r St
rate
gy a
nd
Imp
lem
enta
tio
n P
lan
iden
tifi
e le
s
stra
tégi
es p
ou
r au
gmen
ter
les
lieu
x d
e
ren
con
tre,
am
élio
rer
l’acc
ès a
ux
esp
ace
s
de
ren
con
tre
et p
ou
r en
cou
rage
r le
s
par
ten
aria
ts.
htt
p:/
/ww
w.lo
nd
on
.ca/
d.a
spx?
s=/C
om
mu
nit
y_V
ital
ity/
Nei
ghb
ou
rho
od
s/St
ren
gth
enin
g_St
rate
gy/d
efau
lt.h
tm
79
cult
ure
lles
dev
rait
êtr
e en
cou
ragé
e;
- In
form
atio
n a
u s
uje
t d
e l’a
dm
inis
trat
ion
des
org
anis
atio
ns
à b
ut
no
n-l
ucr
atif
s;
- C
om
pre
nd
re le
s co
ntr
ats
et le
s p
olit
iqu
es d
e lo
cati
on
; et
-
Info
rmat
ion
po
ur
les
pro
pri
étai
res
d’e
spac
es
sur
l’éta
blis
sem
ent
de
par
ten
aria
ts.
g.
AC
CÈS
À L
’IN
FOR
MA
TIO
N
–
Pro
mo
uvo
ir l’
Info
rmat
ion
au
su
jet
des
es
pac
es
exis
tan
ts e
n c
réan
t u
n
inve
nta
ire/
rép
erto
ire
en li
gne
des
esp
ace
s.
–
Un
e m
eille
ure
pro
mo
tio
n d
es p
olit
iqu
es
d’a
ccès
au
x e
spac
es
sur
les
site
s In
tern
et.
4.
Au
gmen
ter
l’en
gage
me
nt
des
jeu
nes
Co
nti
nu
er à
tra
vaill
er p
ou
r
rép
on
dre
au
x b
eso
ins
gén
érat
ion
nel
s sp
éci
fiq
ue
s d
es
jeu
nes
et
aux
pro
blè
me
s d
e
con
flit
s in
terg
énér
atio
nn
els,
de
l’iso
lem
ent
et d
e l’e
xclu
sio
n.
•
Am
élio
rer
les
pro
gram
mes
qu
i co
llab
ore
nt
avec
les
serv
ices
d’é
tab
lisse
men
t et
les
serv
ices
so
ciau
x p
ou
r fo
urn
ir d
es
op
po
rtu
nit
és p
ou
r u
n d
ialo
gue
inte
rgén
érat
ion
nel
, de
l’ori
enta
tio
n s
ur
les
syst
èm
es
et la
cu
ltu
re c
anad
ien
ne
po
ur
les
par
ents
et
les
jeu
ne
s, (
Re
gio
n o
f P
eel
Imm
igra
tio
n D
iscu
ssio
n P
aper
, So
cial
C
oh
esio
n, S
oci
al E
xclu
sio
n, S
oci
al C
apit
al)
•
Co
llab
ore
r av
ec le
s é
cole
s p
ou
r im
pliq
uer
le
s p
aren
ts e
t fa
ire
le p
on
t av
ec la
co
mp
réh
ensi
on
de
la c
ult
ure
des
jeu
ne
s
•
La c
om
mu
nau
té a
bes
oin
d’id
enti
fier
et
de
rép
on
dre
à la
dyn
amiq
ue
des
re
lati
on
s
inte
rgén
érat
ion
nel
les
qu
i mo
dèl
e le
s
exp
érie
nce
s d
es m
ino
rité
s et
des
en
fan
ts
et d
es je
un
es
imm
igra
nts
(W
CI)
-h
ttp
://w
elco
min
gco
mm
un
itie
s.ca
/in
de
x.p
hp
?op
tio
n=c
om
_
con
ten
t&vi
ew
=art
icle
&id
=8:
child
ren
-a-
you
th&
cati
d=
1:m
ain
-co
nte
nt&
Item
id=
15
•
Les
ten
sio
ns
et c
on
flit
s
inte
rgén
érat
ion
nel
s –
les
jeu
nes
imm
igra
nts
iden
tifi
ent
les
ten
sio
ns
avec
leu
rs p
aren
ts s
ur
des
qu
est
ion
s co
mm
e le
cou
vre
-feu
, l’h
abill
emen
t, la
sép
arat
ion
de
la f
amill
e à
lon
g te
rme,
et
le m
anq
ue
de
resp
ect
po
ur
les
ense
ign
ants
.
(htt
p:/
/atw
ork
.set
tlem
en
t.o
rg/d
ow
nlo
ads/
New
com
er_
You
th_B
est_
Pra
ctic
es.p
df)
•
La n
ou
velle
init
iati
ve d
es
trav
aille
urs
en
En c
ou
rs
80
(Reg
ion
of
Pee
l Rec
om
men
dat
ion
s) e
n
invi
tan
t le
s co
nse
ils p
aren
ts-p
rofe
sseu
rs à
s’
asso
cier
au
x tr
avai
lleu
rs e
n é
tab
lisse
men
t d
ans
les
éco
les
(TEE
) p
ou
r fa
ire
un
eff
ort
p
ou
r in
vite
r et
incl
ure
les
par
en
ts
imm
igra
nts
à s
’en
gage
r av
ec le
s é
cole
s.
Fou
rnir
l’ac
cès
au t
ran
spo
rt, a
ux
serv
ice
s d
’inte
rprè
tes
et d
e ga
rde
d’e
nfa
nts
.
étab
lisse
men
t d
ans
les
éco
les
TEE
pla
ce
des
tra
vaill
eurs
en
éta
blis
sem
ent,
qu
i
son
t em
plo
yés
par
des
org
anis
mes
com
mu
nau
tair
es,
dan
s d
es é
cole
s
élé
men
tair
es
et s
eco
nd
aire
s av
ec le
s
étu
dia
nts
qu
i so
nt
de
no
uve
aux
arri
van
ts.
Les
trav
aille
urs
TEE
en
tren
t e
n c
on
tact
de
faço
n p
roac
tive
ave
c ch
aqu
e n
ou
velle
fam
ille
d’im
mig
ran
ts d
e l’é
cole
po
ur
les
aid
er d
ans
leu
rs b
eso
ins
d’é
tab
lisse
men
t,
les
réfé
rer
aux
ress
ou
rces
com
mu
nau
tair
es
plu
s sp
écia
lisé
es,
do
nn
er d
es s
ess
ion
s d
’info
rmat
ion
de
gro
up
e, s
ou
ven
t en
par
ten
aria
t av
ec le
per
son
nel
de
l’éco
le, d
e m
ême
qu
e
fou
rnir
de
l’ori
enta
tio
n s
ur
les
bes
oin
s
d’é
tab
lisse
men
t d
es n
ou
veau
x ar
riva
nts
po
ur
le p
erso
nn
el d
e l’é
cole
. (h
ttp
://a
two
rk.s
ettl
eme
nt.
org
/sys
/atw
ork
_lib
rary
_de
tail.
as
p?p
asse
d_l
ang=
EN&
do
c_id
=10
048
07)
En c
ou
rs
Fou
rnir
de
l’in
form
atio
n r
elié
e à
des
op
po
rtu
nit
és s
ign
ific
ativ
es
d’e
nga
gem
ent
aux
jeu
nes
imm
igra
nts
.
•
Cré
er d
es e
spac
es
sécu
rita
ires
po
ur
les
jeu
nes
au
mo
yen
de
mei
lleu
rs a
ccès
au
x
lois
irs
(pas
se
ule
me
nt
les
éco
les
et
les
fou
rnis
seu
rs d
e s
erv
ice
s) e
n e
nga
gean
t le
s
org
anis
atio
ns
pri
vée
s à
pro
mo
uvo
ir d
es
acti
vité
s ca
nad
ien
ne
s p
ou
r le
s je
un
es e
t le
s
adu
ltes
(p
ar e
xem
ple
Bo
ler
Mo
un
tain
).
•
Pro
mo
uvo
ir d
es
pro
gram
me
s q
ui
per
met
ten
t au
x je
un
es d
e tr
avai
ller
à
l’in
téri
eur
de
leu
rs c
om
mu
nau
tés,
qu
i
iden
tifi
ent
les
pro
blè
me
s et
qu
i
•
Le s
po
rt e
t le
s lo
isir
s p
euve
nt
fou
rnir
bie
n
des
op
po
rtu
nit
és a
ux
jeu
nes
imm
igra
nts
:
rése
auta
ge p
ou
r d
es r
elat
ion
s
per
son
nel
les
et p
rofe
ssio
nn
elle
s,
amél
iore
r le
urs
co
mp
éten
ces
lan
gagi
ère
s, p
rom
ou
voir
la c
réat
ivit
é
par
mi l
es je
un
es, a
ider
à b
âtir
un
e cu
ltu
re
de
pai
x et
de
tolé
ran
ce, a
ider
les
jeu
ne
s
imm
igra
nts
à d
emeu
rer
com
pét
itif
s,
off
rir
un
e im
age
po
siti
ve d
e l’e
spri
t
com
mu
nau
tair
e, p
eut
aid
er le
s en
fan
ts à
ou
blie
r le
ur
pas
sé d
iffi
cile
ou
les
dé
fis
du
pro
cess
us
d’im
mig
rati
on
.
En c
ou
rs
81
con
trib
uen
t au
ch
ange
men
t. P
ar e
xem
ple
:
a)
Le ‘’
Cit
y o
f Lo
nd
on
yo
uth
init
iati
ves’
’; K
ipp
s
Lan
e P
ho
to V
oic
e; “
Rep
rese
nt
20
09
....
Vo
ice
s o
f Yo
uth
in K
ipp
s La
ne”
h
ttp
://w
ww
.yo
utu
be.
com
/wat
ch?v
=hzk
AT6
yNG
q0
htt
p:/
/ww
w.lo
nd
on
.ca/
Co
mm
un
ity_
Vit
alit
y/N
eigh
bo
u
rho
od
s/P
DF/
Vo
ices
ofY
ou
thJU
NE1
20
09.p
df
b)
Le ‘’
Cit
y o
f Lo
nd
on
Yo
uth
Lea
der
ship
Pro
gram
(Sp
ect
rum
)’’ q
ui c
ible
cer
tain
s d
es
qu
arti
ers
po
ur
enga
ger
de
s je
un
es d
e
div
erse
s cu
ltu
res
là o
ù il
y a
un
no
mb
re
limit
é d
e je
un
es le
ader
s, u
n m
anq
ue
de
jeu
nes
pro
ven
ant
de
cult
ure
s sp
écif
iqu
es
qu
i po
stu
len
t p
ou
r d
es e
mp
lois
d’é
té/à
tem
ps
par
tie
l et
/ou
un
bes
oin
de
jeu
nes
lead
ers
po
sséd
ant
des
co
mp
éte
nce
s
lingu
isti
qu
es s
péc
ifiq
ue
s.
c)
Le L
on
do
n Y
ou
th C
ou
nci
l réu
nit
les
jeu
ne
s
de
tou
te la
Vill
e p
ou
r s’
exp
rim
er s
ur
des
pro
blè
me
s q
ui p
réo
ccu
pen
t le
s je
un
es g
ens
de
13
à 2
4 a
ns.
Le
s je
un
es a
pp
ort
ent
des
inté
rêts
var
iés
et u
niq
ues
de
chac
un
e d
e
leu
rs c
om
mu
nau
tés
et t
rava
illen
t
ense
mb
les
po
ur
crée
r u
ne
visi
on
com
mu
ne.
h
ttp
://w
ww
.lon
do
n.c
a/d
.asp
x?s=
/Yo
uth
Web
/LYS
P.h
tm
Nat
ion
al Y
ou
th W
eek;
La
‘’N
atio
nal
Yo
uth
W
eek’
’ réu
nit
les
jeu
nes
les
fou
rnis
seu
rs d
e se
rvic
es, l
es
éco
les,
les
org
anis
mes
, et
les
entr
epri
ses
po
ur
célé
bre
r la
jeu
nes
se d
ans
(htt
p:/
/ww
w.o
casi
.org
/do
wn
load
s/O
CA
SI_Y
OU
TH_P
RO
JEC
T_2
004-
200
6_P
rovi
sio
nal
_Mo
de
l.do
c)
•
Dan
s le
pay
sage
so
cio
cult
ure
l en
évo
luti
on
au
Can
ada,
la c
om
pé
ten
ce
cult
ure
lle d
evr
ait
êtr
e u
ne
exi
gen
ce p
ou
r
tou
s le
s o
rgan
ism
es
po
ur
dem
eu
rer
actu
el e
t ê
tre
en
me
sure
de
ré
po
nd
re
aux
be
soin
s co
mp
lexe
s d
es
div
ers
es
po
pu
lati
on
s. Il
est
néc
ess
aire
d’é
larg
ir la
visi
on
de
s je
un
es
imm
igra
nts
au
-del
à
d’ê
tre
de
sim
ple
s b
énéf
icia
ire
s d
e
serv
ices
, et
reco
nn
aîtr
e le
ur
po
ten
tiel
à
titr
e d
e p
arti
cip
ants
au
dév
elo
pp
emen
t
de
serv
ices
cu
ltu
relle
men
t se
nsi
ble
s et
adap
tés
aux
jeu
nes
.
(htt
p:/
/ww
w.e
slac
tio
n.c
om
/mai
n/S
ervi
ces%
20f
or%
20I
mm
i
gran
t%2
0Yo
uth
.pd
f)
En c
ou
rs
82
no
tre
com
mu
nau
té. C
ette
se
mai
ne
est
co
ord
on
née
par
le ‘’
Lon
do
n Y
ou
th C
ou
nci
l’’ e
t se
s b
uts
so
nt:
1.
Cél
ébre
r la
jeu
ne
sse
2
. M
ettr
e en
évi
den
ce le
s p
rob
lèm
es
de
s je
un
es
3.
Fair
e to
mb
er le
s b
arri
ère
s à
la p
arti
cip
atio
n
des
jeu
ne
s
Tou
t se
fai
t p
ar le
s je
un
es,
po
ur
les
jeu
ne
s d
e 1
3 à
24
an
s
htt
p:/
/ww
w.lo
nd
on
.ca/
d.a
spx?
s=/Y
ou
thW
eb/N
YW/d
efau
lt.
htm
d)
Étab
lir e
t p
rom
ou
voir
des
op
po
rtu
nit
és d
e
men
tora
t en
iden
tifi
ant
de
s m
od
èles
, en
créa
nt
des
op
po
rtu
nit
és d
e ré
seau
tage
cult
ure
llem
ent
sen
sib
les
po
ur
enco
ura
ger
les
rela
tio
ns
et é
tab
lir d
es p
rogr
amm
es d
e
men
tora
t av
ec
des
pai
rs d
ans
les
éco
les
app
uyé
s p
ar u
ne
form
atio
n a
pp
rop
riée
(cec
i peu
t êt
re u
n o
bje
ctif
à c
ou
rt t
erm
e
dan
s la
vo
ie d
’un
e in
tégr
atio
n e
t d
’un
étab
lisse
men
t ré
uss
is)
Enco
ura
ger
les
jeu
ne
s
imm
igra
nts
à p
arti
cip
er à
des
op
po
rtu
nit
és d
’en
gage
men
t
civi
qu
e et
so
cial
au
niv
eau
du
qu
arti
er e
t su
rto
ut
dan
s le
s
gro
up
es q
ui o
nt
un
po
uvo
ir
déc
isio
nn
el.
•
Enle
ver
les
bar
rièr
es
à l’e
nga
gem
ent
soci
al
et a
ux
op
po
rtu
nit
és d
e b
énév
ola
t in
form
el
po
ur
les
jeu
nes
au
niv
eau
du
qu
arti
er/d
e
leu
r p
rop
re c
om
mu
nau
té (
ceci
peu
t êt
re u
n
ob
ject
if à
mo
yen
ter
me
dan
s la
vo
ie d
’un
e
inté
grat
ion
et
d’u
n é
tab
lisse
men
t ré
uss
is).
•
Enga
ger
les
jeu
nes
à f
aire
du
bén
évo
lat
•
Le p
roce
ssu
s d
e re
cru
tem
ent
dev
rait
m
ettr
e l’e
mp
has
e su
r l’e
nga
gem
ent
de
trav
aille
urs
qu
i ref
lète
nt
la d
iver
sité
de
la
com
mu
nau
té e
t d
e ce
ux
qu
i on
t la
ca
pac
ité
d’e
nga
ger
les
jeu
nes
dan
s d
es
exp
érie
nce
s va
riée
s.
h
ttp
://w
ww
.lih
c.o
n.c
a/d
ow
nlo
ads/
YOW
_Pro
gram
_U
pd
ate_
-_Fa
ll_'0
8.d
oc
•
Dév
elo
pp
er d
es
org
anis
me
s
En c
ou
rs
83
avec
les
fou
rnis
seu
rs d
e se
rvic
es e
t le
s
autr
es o
rgan
isat
ion
s
loca
les/
com
mu
nau
tair
es d
on
nan
t ai
nsi
au
x
jeu
nes
un
e vo
ix e
t d
es o
pp
ort
un
ités
d’h
abili
tati
on
. (D
iscu
ssio
n d
u 2
fé
vrie
r)
•
Fair
e to
mb
er le
s b
arri
ère
s p
ou
r le
b
énév
ola
t fo
rme
l (o
rgan
isé
ou
b
ure
aucr
atiq
ue)
dan
s le
s st
ruct
ure
s d
écis
ion
nel
les
de
la c
om
mu
nau
té d
ans
son
en
sem
ble
te
ls: l
es
com
ités
co
nsu
ltat
ifs,
les
gro
up
es d
e tr
avai
l et
de
pla
nif
icat
ion
, les
gr
ou
pes
de
trav
ail,
les
dé
léga
tio
ns,
et
les
con
seils
d’a
dm
inis
trat
ion
de
s d
iffé
ren
ts
sect
eurs
(le
sec
teu
r d
es
serv
ices
so
ciau
x et
le
se
cteu
r p
rivé
)
sym
pat
hiq
ues
au
x je
un
es:
re
spec
ter
les
pri
nci
pes
de
la p
arti
cip
atio
n d
es je
un
es,
m
ener
de
s p
rogr
amm
es
par
et/
ou
po
ur
les
jeu
ne
s, é
tab
lir d
e so
lide
s p
arte
nar
iats
av
ec le
s je
un
es p
ou
r q
u’il
s p
arta
gen
t le
s d
écis
ion
s av
ec le
s ad
ult
es, a
voir
un
co
mp
ort
em
ent
qu
i va
vers
les
jeu
nes
et
vers
la p
arti
cip
atio
n d
es je
un
es
(Th
e Yo
uth
Fri
end
ly G
uid
e -
The
You
th
Gu
ideb
oo
k to
Po
licy
Ch
ange
fo
r in
terg
ener
atio
nal
Par
tner
ship
s h
ttp
://w
ww
.cen
-rc
e.o
rg/f
re/p
ub
licat
ion
s/yo
uth
_gu
ide
.pd
f
•
Il fa
ut
con
sid
érer
les
mo
yen
s d
’en
gage
r le
s je
un
es
de
faço
n s
ign
ific
ativ
e:
info
rmer
, co
nsu
lter
, im
pliq
uer
, co
llab
ore
r, r
esp
on
sab
ilise
r
•
Il fa
ut
dév
elo
pp
er u
ne
mei
lleu
re
com
pré
hen
sio
n d
e : c
om
me
nt
me
sure
r le
s n
ive
aux
de
par
tici
pat
ion
et
du
p
roce
ssu
s d
’en
gage
men
t- p
rogr
esse
r se
lon
un
co
nti
nu
um
bas
é su
r :
rece
voir
d
e l’i
nfo
rmat
ion
, ap
po
rter
sa
con
trib
uti
on
, in
flu
ence
r le
s p
rio
rité
s,
par
tage
r le
pro
cess
us
de
pla
nif
icat
ion
p
ou
r in
itie
r et
am
ener
le le
ader
ship
(P
rom
oti
ng
Ne
wco
mer
Inte
grat
ion
an
d
Soci
al In
clu
sio
n t
hro
ugh
Co
mm
un
ity
Par
tici
pat
ion
an
d E
nga
gem
ent:
Fac
ilita
tor
Gu
ide
to E
nco
ura
ge N
ewco
mer
V
olu
nta
rism
- A
n O
CA
SI P
roje
ct)
htt
p:/
/atw
ork
.set
tle
men
t.o
rg/d
ow
nlo
ads/
atw
ork
/Fac
ilita
tor_
Gu
ide_
Enco
ura
ge_
New
com
er_
Vo
lun
tari
sm.p
df)
•
Co
nsi
dér
er d
iffé
ren
tes
app
roch
es p
ou
r
pre
nd
re la
me
sure
de
l’en
gage
men
t
com
mu
nau
tair
e
En c
ou
rs
En c
ou
rs
84
•
Enco
ura
ger
et p
rom
ou
voir
l’im
plic
atio
n
po
litiq
ue
(au
niv
eau
de
la g
ou
vern
ance
) d
es n
ou
veau
x ci
toye
ns
can
adie
ns
par
un
p
roce
ssu
s q
ui c
om
men
ce a
u n
ivea
u d
e l’i
nfo
rmat
ion
ava
nt
l’acq
uis
itio
n d
e la
ci
toye
nn
eté
can
adie
nn
e (c
eci p
eut
être
un
o
bje
ctif
à lo
ng
term
e d
ans
la v
oie
ve
rs le
p
roce
ssu
s d
’inté
grat
ion
et
d’é
tab
lisse
men
t)
(htt
p:/
/tam
arac
kco
mm
un
ity.
ca/d
ow
nlo
ads/
ind
ex/
Mea
suri
ng_
Mo
re_C
om
mu
nit
y_En
gage
men
t.p
df)
•
The
Lon
do
n S
tren
gth
enin
g
Nei
ghb
ou
rho
od
s 5
Yea
r St
rate
gy a
nd
Imp
lem
enta
tio
n P
lan
iden
tifi
e d
es
stra
tégi
es p
ou
r d
ével
op
per
de
s m
esu
res
po
ur
être
en
gagé
act
ive
men
t.
htt
p:/
/ww
w.lo
nd
on
.ca/
d.a
spx?
s=/C
om
mu
nit
y_V
ital
ity/
Nei
ghb
ou
rho
od
s/St
ren
gth
enin
g_St
rate
gy/d
efau
lt.h
tm
•
Mo
bili
ser
les
effo
rts
po
ur
org
anis
er e
t
fair
e d
e la
rep
rése
nta
tio
n p
ou
r le
lead
ersh
ip c
iviq
ue
et la
par
tici
pat
ion
dan
s
no
tre
com
mu
nau
té e
t id
enti
fier
les
init
iati
ves
de
lead
ersh
ip e
xist
ante
s (q
ui
vise
nt
les
imm
igra
nts
/réf
ugi
és
ou
qu
i
vise
nt
la p
op
ula
tio
n e
n g
énér
al)
par
exe
mp
le ‘’
Lead
ersh
ip W
ater
loo
’’, ‘
’VA
C’’
:
( htt
p:/
/ww
w.c
om
mu
nit
ybas
ed
rese
arch
.ca/
reso
urc
es/L
IPC
%2
0re
po
rts/
Task
%20
Gro
up
%20
Re
po
rts/
ILC
P.p
df)
; -
htt
p:/
/ww
w.u
wlo
nd
on
.on
.ca/
libs/
spaw
/up
load
s/fi
les/
Do
cu
men
ts%
20an
d%
20f
orm
s/YL
T-YI
Aan
nu
alre
po
rt0
6-0
7.p
df
;
htt
p:/
/ww
w.u
wlo
nd
on
.on
.ca/
libs/
spaw
/up
load
s/fi
les/
Do
cu
men
ts%
20an
d%
20f
orm
s/YL
T-YI
Are
po
rt07
-08.
pd
f;
htt
p:/
/ww
w.u
wlo
nd
on
.on
.ca/
libs/
spaw
/up
load
s/fi
les/
Do
cu
men
ts%
20an
d%
20f
orm
s/0
8-0
9Yo
uth
Pro
gram
sRep
ort
.pd
f
•
Pro
mo
uvo
ir la
re
spo
nsa
bili
sati
on
des
je
un
es e
t fa
cilit
er
la p
lein
e p
arti
cip
atio
n
des
jeu
ne
s d
ans
le p
roce
ssu
s d
écis
ion
nel
ay
ant
un
e in
cid
ence
su
r la
Vill
e et
ses
in
stit
uti
on
s, e
n li
gne
avec
les
pri
nci
pes
d
’incl
usi
on
et
l’im
po
rtan
ce c
iviq
ue
de
pro
mo
uvo
ir le
lead
ersh
ip e
t d
e m
ain
ten
ir
la v
ital
ité
du
pro
cess
us
dém
ocr
atiq
ue.
(w
ww
.hcc
i.ca
- H
amilt
on
Yo
uth
Pro
ject
. pd
f)
En c
ou
rs
85
•
Il y
a u
ne
mar
ge s
ign
ific
ativ
e, e
n t
erm
es
de
par
tici
pat
ion
pu
bliq
ue,
en
tre
les
jeu
nes
gen
s q
ui s
on
t p
lus
édu
qu
és e
t
fin
anci
ère
men
t à
l’ais
e et
ceu
x m
oin
s
édu
qu
és e
t p
lus
mar
gin
alis
és. C
hac
un
de
no
us
par
tage
la r
esp
on
sab
ilité
d’e
nco
ura
ger
les
jeu
nes
à a
voir
un
inté
rêt
dan
s l’a
ven
ir d
e le
urs
co
mm
un
auté
s et
de
leu
r p
ays.
Les
gro
up
es
com
mu
nau
tair
es,
les
par
tis
po
litiq
ues
et
les
gou
vern
em
ents
do
iven
t fa
ire
de
la
pla
ce a
ux
jeu
nes
mar
gin
alis
és d
e fa
çon
à
ce q
u’il
s p
uis
sen
t s’
exp
rim
er
au n
ivea
u
des
inst
itu
tio
ns
exis
tan
tes
et c
han
ger
les
cho
ses
(
“Yo
uth
Civ
ic E
ng
ag
em
en
t in
Ca
na
da
: Im
pli
cati
on
s fo
r P
ub
lic
Po
licy
” (c
ites
eerx
.ist.
psu
.ed
u -
10.1
.1.1
14.2
289
.pd
f)
5.
Fair
e to
mb
er le
s b
arri
ères
à l’
accè
s au
x se
rvic
es
Co
nti
nu
er à
tra
vaill
er à
fai
re
tom
ber
les
bar
rièr
es q
ui
emp
êch
ent
l’acc
ès
aux
serv
ice
s
et à
l’im
plic
atio
n c
om
mu
nau
tair
e
•
Enco
ura
ger
un
e p
lus
gran
de
com
mu
nic
atio
n e
t co
llab
ora
tio
n e
ntr
e le
s
fou
rnis
seu
rs d
e se
rvic
es p
ar u
ne
mei
lleu
re
uti
lisat
ion
des
re
sso
urc
es
com
mu
nau
tair
es
exis
tan
tes
com
me
le P
ort
ail d
e
l’Im
mig
rati
on
.
•
Met
tre
en p
lace
un
pla
n d
e co
mm
un
icat
ion
do
nt
le m
and
at s
era
de
revo
ir le
s
infr
astr
uct
ure
s et
les
esp
ace
s ex
ista
nts
qu
i
po
urr
aien
t êt
re d
isp
on
ible
s et
fai
re d
es
reco
mm
and
atio
ns
sur
les
mo
yen
s d
e
pro
mo
uvo
ir l’
info
rmat
ion
par
des
mo
yen
s
•
La c
olla
bo
rati
on
et
la c
om
mu
nic
atio
n
dan
s u
ne
div
ersi
té d
e fo
rmat
s so
nt
esse
nti
elle
s p
ou
r le
s fo
urn
isse
urs
de
serv
ices
et
les
réci
pie
nd
aire
s d
e se
rvic
es :
face
à f
ace,
imp
rim
és,
éle
ctro
niq
ues
. Le
s
fou
rnis
seu
rs d
e se
rvic
es lo
cau
x se
ren
con
tren
t p
ério
diq
uem
ent
et
par
tage
nt
l’in
form
atio
n. E
n p
lus
de
l’’’I
mm
igra
tio
n P
ort
al’’
et
Étab
lisse
men
t.o
rg, l
e ‘’
Hea
lth
Lin
e’’ e
t
‘’In
form
atio
n L
on
do
n’’
so
nt
d’a
utr
es s
ites
Inte
rnet
uti
les.
La
Vill
e p
lan
ifie
d’a
mél
iore
r la
pag
e C
YN p
ou
r am
élio
rer
q
86
cult
ure
llem
ent
acce
ssib
les
dan
s u
n a
uss
i
gran
d n
om
bre
d’e
nd
roit
s q
ue
po
ssib
le.
•
Le ‘
’Ch
ild a
nd
Yo
uth
Net
wo
rk, (
CYN
)
End
ing
Po
vert
y Im
ple
men
tati
on
Tea
m’’
a
mis
à jo
ur
l’in
ven
tair
e d
es s
ervi
ces
de
qu
arti
er p
ou
r 1
0 q
uar
tier
s p
rio
rita
ires
et
pu
blie
ra c
ette
list
e su
r le
sit
e In
tern
et
Info
rmat
ion
Lo
nd
on
à l’
été
20
10
.
•
Un
e lis
te d
e se
rvic
es
listé
s d
ans
le
‘’N
eigh
bo
urh
oo
d P
ock
et G
uid
e’’ s
era
exp
érim
enté
dan
s ce
rtai
ns
qu
arti
ers
à
l’au
tom
ne
20
10
.
•
Suiv
i ave
c le
s fo
urn
isse
urs
de
serv
ices
su
r
l’éta
t d
es d
iscu
ssio
ns
en c
e q
ui a
tra
it a
u
nu
mér
o 2
11
po
ur
Lon
do
n q
ui p
erm
ettr
ait
aux
imm
igra
nts
d’a
voir
un
acc
ès g
ratu
it a
ux
con
tact
s (n
um
éro
s d
e té
lép
ho
ne,
ad
ress
es
etc.
)
•
Rev
oir
les
do
cum
ents
du
‘’C
hild
an
d Y
ou
th
Net
wo
rk’’
rel
ativ
emen
t à
‘’H
ub
Imp
lem
enta
tio
n a
nd
Sys
tem
Re-
engi
nee
rin
g’’.
•
Au
gmen
ter
l’uti
lisat
ion
des
infr
astr
uct
ure
s
et d
es e
spac
es
exis
tan
ts p
ou
r p
rom
ou
voir
l’in
form
atio
n p
ar d
es m
oye
ns
cult
ure
llem
ent
acce
ssib
le t
els
les
cen
tre
s
l’acc
ès à
ces
sit
es
et à
d’a
utr
es s
ites
qu
i
son
t ré
guliè
rem
ent
con
sult
és.
•
Plu
sieu
rs c
om
mu
nau
tés
uti
lisen
t la
lign
e
télé
ph
on
iqu
e à
guic
het
un
iqu
e 2
11
. Ce
serv
ice
étai
t fo
urn
i par
Info
rmat
ion
Lon
do
n. U
nit
ed W
ay p
eut
être
cap
able
d’ê
tre
l’in
itia
teu
r p
ou
r fa
ire
des
rep
rése
nta
tio
ns
po
ur
un
ser
vice
21
1 à
Lon
do
n.
•
Un
e st
raté
gie
de
com
mu
nic
atio
n
coo
rdo
nn
ée e
t gl
ob
ale
do
it ê
tre
coo
rdo
nn
ée d
e co
nce
rt a
vec
la V
ille
et
ses
par
ten
aire
s co
mm
un
auta
ires
.
•
Cec
i se
pas
se d
ans
les
cen
tre
s d
e
ress
ou
rce
s ex
ista
nts
et
ce s
era
un
imp
ort
ant
rôle
po
ur
les
‘’N
eigh
bo
urh
oo
d
Ch
ild a
nd
Fam
ily C
entr
es’
’ rec
om
man
dé
s
dan
s le
rap
po
rt P
asca
l et
pla
nif
iés
po
ur
fair
e p
arti
e d
u ‘’
Ch
ild a
nd
Yo
uth
Age
nd
a’’.
Vo
ir le
s d
ocu
men
ts c
on
cern
ant
le ‘’
Lon
do
n’s
Fiv
e Ye
ar H
ub
Imp
lem
enta
tio
n P
lan
an
d S
yste
m
Ree
ngi
nee
rin
g St
rate
gy’’
à
Lon
do
n.c
a/cy
n-
Les
do
cum
ents
an
cilla
ire
s
de
mê
me
qu
e le
pla
n ‘’
Lon
do
n’s
Stre
ngt
hen
ing
Nei
ghb
ou
rho
od
s 5
yea
r
Stra
tegy
an
d Im
ple
men
tati
on
Pla
n’’
su
r le
site
Inte
rnet
Lo
nd
on
.ca.
•
Les
me
mb
res
du
‘’L
on
do
n S
tren
gth
enin
g
Nei
ghb
ou
rho
od
s R
esid
ent
Task
Fo
rce’
’
87
tou
rist
iqu
es, l
es
arrê
ts d
’au
tob
us,
les
éco
les
et le
s ce
ntr
es d
e sa
nté
.
•
Pro
mo
uvo
ir u
ne
app
roch
e d
e q
uar
tier
, de
la v
ie c
ou
ran
te d
ans
la li
vrai
son
des
serv
ices
d’u
ne
faço
n q
ui r
app
roch
e le
s
fam
illes
et
élim
ine
les
bar
rièr
es
•
Enco
ura
ger
des
po
ints
nat
ure
ls d
’acc
ès
po
ur
les
serv
ice
s e
t u
tilis
er d
es
mét
ho
de
s
info
rme
lles
po
ur
la li
vrai
son
de
l’in
form
atio
n e
t d
es s
ervi
ces
de
faço
n à
bri
ser
les
stig
mat
es. P
ar e
xem
ple
, uti
liser
des
act
ivit
és
no
n m
enaç
ante
s et
co
nsi
dér
er
le r
ôle
de
s ar
ts e
t d
es
lois
irs.
•
Co
nsi
dér
er le
s b
arri
ères
tel
les
les
coû
ts d
e tr
ansp
ort
, la
lan
gue
et le
s st
igm
ates
dan
s la
liv
rais
on
de
tou
s le
s se
rvic
es.
Au
ssi,
s’as
sure
r q
ue
l’in
form
atio
n e
st p
rése
nté
e d
’un
e fa
çon
cu
ltu
relle
men
t et
lin
guis
tiq
uem
ent
app
rop
riée
(ex
em
ple
-ce
rtai
ns
no
uve
aux
arri
van
ts n
’on
t au
cun
met
ten
t en
œu
vre
pré
sen
tem
ent
les
stra
tégi
es d
e l’A
nn
ée
1 a
u n
ivea
u d
e la
Vill
e in
vita
nt
les
par
ten
aire
s
com
mu
nau
tair
es,
les
par
ties
pre
nan
tes,
les
entr
epri
ses,
les
asso
ciat
ion
s, le
s
rési
den
ts e
tc. à
par
tici
per
.
htt
p:/
/ww
w.lo
nd
on
.ca/
d.a
spx?
s=/C
om
mu
nit
y_V
ital
ity/
Nei
ghb
ou
rho
od
s/St
ren
gth
enin
g_St
rate
gy/d
efau
lt.h
tm
•
Bât
ir s
ur
‘’ N
eigb
ho
urh
oo
d S
trat
egy
for
Lon
do
n’’
v.g
. ‘’K
ipp
s La
ne
Init
iati
ve’’
, le
trav
ail d
u ‘’
Ch
ild a
nd
Yo
uth
Net
wo
rk’’
im
pliq
uan
t le
dév
elo
pp
emen
t d
es ‘
’ Ch
ild
and
Fam
ily C
entr
es
in S
cho
ols
’’, l
es
cen
tre
s d
e re
sso
urc
es e
xist
ants
et
OEY
Cs
com
me
des
po
ints
d’a
ccès
nat
ure
ls d
ans
les
qu
arti
ers.
•
Des
évé
ne
men
ts im
pliq
uan
t le
s ar
ts, l
a cu
ltu
re e
t le
s lo
isir
s p
euve
nt
réu
nir
so
cial
em
ent
de
s ge
ns
dan
s u
n c
on
text
e am
ical
et
accu
eilla
nt.
De
s ex
em
ple
s d
e ce
ci p
ou
rrai
ent
être
des
évé
nem
ents
te
nu
s au
Vic
tori
a o
u a
u S
pri
ngb
ank
Par
k o
u d
es é
vén
em
ents
ten
us
dan
s la
Vill
e,
dan
s le
s q
uar
tier
s au
tou
r d
es
célé
bra
tio
ns
du
Jo
ur
du
Can
ada,
des
m
arch
és
en p
lein
air
ou
au
tres
év
énem
ents
inte
rcu
ltu
rels
dan
s le
s éc
ole
s et
au
tre
s en
dro
its.
•
Fou
rnir
des
ser
vice
s ac
cess
ible
s d
ans
les
qu
arti
ers
est
l’o
bje
ctif
de
s ‘’
Ch
ild a
nd
88
con
cep
t d
e ce
qu
’est
un
e ca
rte
ou
un
ca
len
dri
er)11
•
Enco
ura
ger
les
org
anis
mes
à u
tilis
er d
es
bén
évo
les
po
ur
acco
mp
agn
er le
s
imm
igra
nts
au
x p
rogr
amm
es
et a
ux
ren
dez
-vo
us12
Fam
ily C
entr
es’’
. Cec
i rép
on
dra
it a
u
pro
blè
me
de
la b
arri
ère
du
tra
nsp
ort
. Q
uan
d il
est
cla
ir q
ue
les
serv
ices
so
nt
po
ur
tou
t le
mo
nd
e, ç
a p
ou
rrai
t co
mm
ence
r à
rép
on
dre
au
x st
igm
ate
s q
ue
cela
imp
liqu
e. E
nga
ger
du
per
son
nel
p
rove
nan
t d
’au
tres
cu
ltu
res
et
fou
rnir
d
es s
ervi
ces
d’in
terp
rète
s lo
rsq
ue
néc
ess
aire
aid
era
po
ur
con
tre
r la
bar
rièr
e d
es la
ngu
es.
•
En p
lus
d’u
n b
on
no
mb
re d
e co
ncl
usi
on
s et
de
reco
mm
and
atio
ns
inté
ress
ante
s, c
e p
roje
t a
iden
tifi
é d
eux
acti
vité
s p
arti
culiè
res
qu
i mér
iter
aien
t d
’êtr
e p
ou
rsu
ivie
s- ‘’
Men
tori
ng
of
Lead
ers’
’ et
la c
réat
ion
d’u
n g
rou
pe
app
elé
‘’Lo
nd
on
M
ult
icu
ltu
ral B
rid
ges’
’.
•
‘’P
illar
’’ a
de
l’exp
erti
se d
ans
le d
om
ain
e d
u b
énév
ola
t q
ui d
evra
it ê
tre
acce
ssib
le
et u
tilis
ée.
Le
rap
po
rt-“
A N
ew
Can
adia
ns
Firs
t D
ecad
e o
f V
olu
nte
erin
g” s
ou
lign
e ce
rtai
ns
de
s d
éfis
et
de
s o
pp
ort
un
ités
. Le
s im
mig
ran
ts q
ui s
on
t fa
mili
ers
avec
le
Can
ada
po
urr
aien
t d
even
ir b
én
évo
les
avec
les
no
uve
aux
arri
van
ts. L
eur
fam
iliar
ité
avec
d’a
utr
es la
ngu
es e
t cu
ltu
res
sera
it u
n a
ctif
.
11
Man
uel
po
ur
Succ
essf
ul E
nga
gem
ent
Stra
tegi
es, C
hild
reac
h, 2
00
9
12 M
anu
el p
ou
r Su
cces
sfu
l En
gage
men
t St
rate
gies
, Ch
ildre
ach
, 20
09
89
GABARIT POUR ÉTABLIR LES PRIORITÉS DU SOUS-CONSEIL DE LA JUSTICE ET DES SERVICES DE PROTECTION
Re
pré
sen
tati
on
:
- En
gage
r le
s in
div
idu
s à
tou
s le
s n
ivea
ux
- A
ssu
rer
la c
olla
bo
rati
on
co
mm
un
auta
ire
et p
erm
ettr
e à
tou
tes
les
com
mu
nau
tés
d’ê
tre
visi
ble
s
- C
on
sid
érer
les
pro
blè
mes
de
bie
n-ê
tre
et d
es e
xpér
ien
ces
pré
-im
mig
rati
on
- A
ugm
ente
r la
rep
rése
nta
tio
n d
es im
mig
ran
ts d
ans
les
pro
fess
ion
s re
liée
s à
la ju
stic
e, la
pro
tect
ion
, au
dro
it e
t à
la p
olic
e (W
CI)
- P
rom
ou
voir
de
s in
terp
rète
s fo
rmé
s cu
ltu
relle
men
t
P
rio
rité
Stra
tégi
e
Rai
son
s Éc
hé
anci
er
1.
Am
élio
rer
le s
enti
men
t d
e
con
fian
ce e
nve
rs le
sys
tèm
e d
e
just
ice
crim
inel
le (
incl
uan
t la
po
lice,
la C
ou
ron
ne,
les
serv
ices
aux
vict
imes
et
les
serv
ice
s
juri
diq
ues
) et
les
serv
ice
s
com
mu
nau
tair
es
tan
t p
ou
r la
pré
ven
tio
n q
ue
l’in
terv
enti
on
(in
clu
ant
les
serv
ice
s p
ou
r le
s
enfa
nts
, le
s se
rvic
es
po
ur
la
vio
len
ce f
aite
au
x fe
mm
es e
t le
s
org
anis
atio
ns
de
rep
rése
nta
tio
n
et d
e re
sso
urc
es).
Am
élio
rer
la c
on
nai
ssan
ce d
es
dro
its
et
resp
on
sab
ilité
s au
Can
ada
par
un
e
app
roch
e co
nti
nu
e au
prè
s d
es
imm
igra
nts
en
ap
pliq
uan
t u
ne
app
roch
e cu
ltu
relle
men
t se
nsi
ble
.
Ad
op
ter
ou
cré
er d
es
pla
ns
de
co
urs
po
ur
être
uti
lisé
s d
ans
les
clas
ses
d’E
SL
ou
de
LIN
C q
ui d
iscu
ten
t d
es p
rob
lèm
es
relié
s au
Sys
tèm
e d
e Ju
stic
e C
rim
inel
le
(WC
I, C
har
acte
rist
ics
of
a W
elco
min
g
Co
mm
un
ity
rep
ort
).
Rev
oir
et
mis
er s
ur
les
pro
cess
us
qu
i
faci
liten
t u
ne
larg
e d
istr
ibu
tio
n d
e
l’in
form
atio
n e
t d
e l’é
du
cati
on
juri
diq
ue
pu
bliq
ue
(W
CI,
Ch
arac
teri
stic
s o
f a
Wel
com
ing
Co
mm
un
ity
Rep
ort
).
Bea
uco
up
d’im
mig
ran
ts r
app
ort
ent
leu
rs e
xpér
ien
ces
nég
ativ
es a
vec
les
syst
èm
es
de
just
ice
crim
inel
le e
t le
s
serv
ices
de
pro
tect
ion
dan
s le
ur
pay
s
d’o
rigi
ne.
De
telle
s ex
pér
ien
ces
crée
nt
un
sen
tim
ent
de
méf
ian
ce e
t d
e p
eur
enve
rs le
sys
tèm
e ca
nad
ien
. Bât
ir la
con
fian
ce e
t le
re
spec
t e
st e
ssen
tiel
po
ur
dév
elo
pp
er e
t m
ain
ten
ir u
ne
per
cep
tio
n p
osi
tive
du
sys
tèm
e d
e
just
ice
et d
u r
ôle
de
la p
olic
e, d
es c
ou
rs
et d
u s
ystè
me
de
pro
bat
ion
. Co
nfi
ance
et s
atis
fact
ion
ave
c le
sys
tèm
e d
e
just
ice
son
t d
es r
ésu
ltat
s d
’un
e so
ciét
é
accu
eilla
nte
iden
tifi
és
par
le r
app
ort
‘’W
elco
min
g C
om
mu
nit
ies
Init
iati
ve
(WC
I), C
har
acte
rist
ics
of
a W
elc
om
ing
Co
mm
un
ity
Rep
ort
’’.
Deu
x an
s
Deu
x an
s et
en
co
urs
, am
élio
rati
on
con
tin
ue
Mis
er s
ur
les
serv
ice
s d
’inte
rven
tio
n
po
st t
rau
mat
iqu
es e
xist
ants
co
mm
e
‘’V
anie
r C
hild
ren
’s S
ervi
ces,
Ch
ildre
n’s
Le p
rem
ier
po
int
de
con
tact
est
cru
cial
dan
s le
dév
elo
pp
emen
t d
e p
erc
epti
on
s
po
siti
ves
de
la ju
stic
e et
de
s se
rvic
es
de
90
Aid
So
ciet
y, W
om
en’s
Co
mm
un
ity
Ho
use
, Lo
nd
on
Ab
use
d W
om
en’s
Cen
tre
et
Ch
angi
ng
Way
s’’ p
ou
r
assu
rer
la f
ou
rnit
ure
d’in
terv
enti
on
s
imm
édia
tes
et p
on
ctu
elle
s q
ui a
iden
t
les
ind
ivid
us
et le
s fa
mill
es e
t q
ui
tien
nen
t co
mp
te d
e le
urs
exp
érie
nce
s
pré
imm
igra
tio
n, e
t en
mêm
e te
mp
s
tien
nen
t le
s fa
uti
fs r
ede
vab
les.
Un
e
telle
rép
on
se s
ert
à d
émys
tifi
er le
pro
cess
us
et à
bât
ir d
es r
elat
ion
s
po
siti
ves.
pro
tect
ion
et
affe
cte
les
résu
ltat
s d
es
serv
ices
po
st t
rau
mat
iqu
es.
2-4
an
s
Co
nce
voir
un
ou
til d
e fo
rmat
ion
stan
dar
dis
é p
ou
r le
s fo
urn
isse
urs
de
serv
ices
qu
i peu
t êt
re a
dap
té à
to
ut
mo
du
le d
e se
nsi
bili
té c
ult
ure
lle, q
ui
inco
rpo
re la
co
mp
réh
ensi
on
cu
ltu
relle
et le
s ex
pér
ien
ces
pré
imm
igra
tio
n e
t
incl
ut
un
e ré
po
nse
à la
vio
len
ce
fam
ilial
e.
L’u
tilis
atio
n d
’un
ou
til d
e fo
rmat
ion
stan
dar
dis
é p
erm
et:
a.
Un
e d
imin
uti
on
de
l’an
xiét
é e
t
met
l’ac
cen
t su
r u
ne
app
roch
e
colla
bo
rati
ve.
b.
Un
e co
mp
réh
ensi
on
par
tagé
e
par
mi l
es f
ou
rnis
seu
rs d
e
serv
ices
de
ce à
qu
oi
ress
em
ble
nt
les
exp
érie
nce
s
pré
imm
igra
tio
n e
t la
vio
len
ce
fam
ilial
e.
Rev
oir
, en
do
sser
et
per
son
nal
iser
en 2
à 3
an
s
2.
Am
élio
rer
l’éd
uca
tio
n e
t la
con
nai
ssan
ce c
ult
ure
lle p
arm
i les
fou
rnis
seu
rs d
e se
rvic
es, l
a
com
mu
nau
té e
n g
énér
al e
t à
trav
ers
les
syst
èmes
gou
vern
em
enta
ux
et n
on
-
Rev
oir
les
ou
tils
exi
stan
ts p
ou
r y
incl
ure
les
asp
ects
cu
ltu
rels
ap
pro
pri
és q
ui
iden
tifi
ent
les
fact
eurs
de
risq
ue
dan
s
les
fam
illes
de
no
uve
aux
imm
igra
nts
.
Un
e ap
pro
che
pré
ven
tive
per
met
un
aigu
illag
e p
réco
ce v
ers
l’aid
e. C
ette
app
roch
e re
con
naî
t et
mis
e su
r le
trav
ail a
ctu
el e
ffec
tué
dan
s la
com
mu
nau
té d
e Lo
nd
on
et
reco
nn
aît
qu
’il y
a u
ne
lacu
ne
dan
s l’i
den
tifi
cati
on
des
fac
teu
rs d
e ri
squ
e d
ans
la n
ou
velle
1 a
n
91
gou
vern
em
enta
ux.
(Str
atég
ies
relié
es à
la c
on
stru
ctio
n d
e
la c
apac
ité)
po
pu
lati
on
imm
igra
nte
.
Met
tre
à jo
ur
les
ress
ou
rce
s ac
tuel
les
d’a
igu
illag
e p
ou
r s’
assu
rer
qu
’elle
s so
nt
incl
usi
ves
des
asp
ects
cu
ltu
rels
.
La c
om
mu
nau
té a
bes
oin
de
con
tin
uit
é
en c
e q
ui a
tra
it a
ux
sou
rces
d’a
igu
illag
e.
5 a
ns
Ap
pu
yer
et p
rom
ou
voir
l’u
tilis
atio
n
d’a
gen
ts d
e lia
iso
n p
arm
i la
po
lice
(WC
I,
Ch
arac
teri
stic
s o
f a
Wel
com
ing
Co
mm
un
ity
Rep
ort
).
L’ap
pu
i per
met
tra
de
con
stru
ire
des
rela
tio
ns
po
siti
ves
et c
on
stru
ctiv
es
avec
les
com
mu
nau
tés
imm
igra
nte
s.
Les
gen
s se
sen
ten
t m
ieu
x d
ans
un
envi
ron
ne
men
t q
ui r
eflè
te le
ur
iden
tité
et q
ui l
eur
per
met
de
se s
enti
r
soci
ale
men
t in
clu
s (c
ité
par
WC
I)
6 m
ois
Co
nti
nu
er la
ten
ue
de
foru
ms
com
mu
nau
tair
es
d’a
pp
ren
tiss
age
qu
i
son
t co
nçu
s p
ou
r le
s se
rvic
es
gou
vern
em
enta
ux,
no
n
gou
vern
em
enta
ux
et le
s fo
urn
isse
urs
de
serv
ices
qu
i aid
ent
à co
mp
ren
dre
les
lois
, la
légi
slat
ion
et
les
dir
ecti
ves
qu
i
son
t re
liées
au
x im
mig
ran
ts.
Un
tel
pro
cess
us
vise
à p
rom
ou
voir
un
e
mei
lleu
re c
om
pré
hen
sio
n d
u s
ystè
me
par
les
fou
rnis
seu
rs d
e se
rvic
es
et u
ne
mei
lleu
re r
epré
sen
tati
on
au
no
m d
es
imm
igra
nts
.
En c
ou
rs
Am
élio
rer
la r
epré
sen
tati
on
méd
iati
qu
e
des
imm
igra
nts
(W
CI,
Ch
arac
teri
stic
s o
f
a W
elco
min
g C
om
mu
nit
y R
epo
rt)
en
enco
ura
gean
t u
ne
rep
rése
nta
tio
n
po
siti
ve d
es im
mig
ran
ts e
t d
es
serv
ice
s
de
po
lice
po
ur
con
trec
arre
r le
s
rep
rése
nta
tio
ns
nég
ativ
es.
Exp
lore
r et
met
tre
en œ
uvr
e d
es
pro
gram
mes
qu
i ch
erch
ent
à ré
du
ire
Un
e st
ruct
ure
clé
qu
i a é
té m
is e
n
lum
ière
par
le W
CI e
st d
’éta
blir
un
pro
cess
us
qu
i en
cou
rage
les
com
mu
nau
tés
à co
ntr
er la
co
uve
rtu
re
méd
iati
qu
e n
égat
ive
de
s im
mig
ran
ts.
Cec
i per
met
un
e re
pré
sen
tati
on
po
siti
ve d
es im
mig
ran
ts d
ans
les
méd
ias.
Sur
un
e p
ério
de
de
3 a
ns
92
les
inci
den
ts r
elié
s à
la h
ain
e (W
CI,
Ch
arac
teri
stic
s o
f a
Wel
com
ing
Co
mm
un
ity
Rep
ort
).
3.
Am
élio
rer
la c
olla
bo
rati
on
com
mu
nau
tair
e et
l’in
clu
sio
n d
e
solu
tio
ns
alte
rnat
ive
s en
tre
les
fou
rnis
seu
rs d
e se
rvic
es e
t le
s
gro
up
s in
terc
ult
ure
ls.
(Str
atég
ies
relié
es à
la
con
stru
ctio
n d
e la
cap
acit
é)
Cré
er u
n r
ése
au in
clu
sif
de
com
mu
nic
atio
n e
t d
e p
lan
ific
atio
n p
ou
r
iden
tifi
er le
s la
cun
es,
les
be
soin
s, la
coo
rdin
atio
n, l
e p
arta
ge d
e
l’in
form
atio
n e
t ét
ablir
un
e ap
pro
che
con
sist
ante
po
ur
l’éva
luat
ion
et
la
pla
nif
icat
ion
par
ticu
lière
men
t en
tre
les
serv
ices
d’é
tab
lisse
men
t et
le S
ystè
me
de
Just
ice
Cri
min
elle
et
les
serv
ice
s d
e
pro
tect
ion
.
La c
om
mu
nic
atio
n e
t la
co
llab
ora
tio
n
entr
e le
s o
rgan
ism
es
a b
eso
in d
’êtr
e
amél
ioré
e d
e fa
çon
à m
ieu
x fa
ire
des
rep
rése
nta
tio
ns
po
ur
les
clie
nts
.
Il es
t n
éces
sair
e d
e p
rocé
der
à d
es
éval
uat
ion
s st
and
ard
isée
s le
s p
rem
iers
3-5
an
s
Exp
lore
r le
s av
anta
ges
d’é
tab
lir u
n
Co
mit
é C
on
sult
atif
Co
mm
un
auta
ire
po
ur
la P
olic
e (W
CI,
Ch
arac
teri
stic
s o
f a
Wel
com
ing
Co
mm
un
ity
rep
ort
).
Le r
app
ort
‘’W
elco
min
g C
om
mu
nit
ies
Init
iati
ve (
WC
I), C
har
acte
rist
ics
of
a
Wel
com
ing
Co
mm
un
ity
Rep
ort
’’ c
ite
la
com
pré
hen
sio
n p
ar la
po
lice
des
div
erse
s co
mm
un
auté
s co
mm
e u
n
résu
ltat
d’u
ne
com
mu
nau
té
accu
eilla
nte
. Ott
awa
a m
ise
en
œu
vre
avec
su
ccè
s u
n t
el c
om
ité,
‘’th
e O
ttaw
a
Co
mm
un
ity
and
Po
lice
Act
ion
Co
mm
itte
e’’ e
st c
on
stit
ué
de
me
mb
res
du
ser
vice
de
po
lice
et d
es
me
mb
res
de
la c
om
mu
nau
té A
bo
rigè
ne.
Il f
ou
rnit
des
occ
asio
ns
po
ur
dis
cute
r d
es d
éfi
s
com
mu
ns,
au
gmen
ter
la
com
pré
hen
sio
n d
es h
isto
ire
s et
des
pré
occ
up
atio
ns
de
la c
om
mu
nau
té e
t
un
e o
uve
rtu
re a
u d
ialo
gue.
(W
CI,
Ch
arac
teri
stic
s o
f a
Wel
com
ing
Sur
un
e p
ério
de
de
3 a
ns
93
Co
mm
un
ity
rep
ort
).
Iden
tifi
er e
t co
llab
ore
r av
ec le
s
org
anis
atio
ns
bas
ées
sur
la f
oi,
les
org
anis
atio
ns
cult
ure
lles
et le
s
per
son
nes
clé
de
la c
om
mu
nau
té e
n
exp
lora
nt
les
ou
tils
et
les
pra
tiq
ues
de
méd
iati
on
et
de
réco
nci
liati
on
.
Il es
t n
éces
sair
e d
e co
mp
ren
dre
et
inco
rpo
rer
dif
fére
nts
pro
cess
us
cult
ure
ls d
e m
édia
tio
n
3 a
ns
Co
nti
nu
er à
exp
lore
r le
s su
ccè
s d
es
mo
dèl
es
de
par
ten
aria
t co
mm
e ce
lui
entr
e ‘’
Ch
angi
ng
Way
s’’ e
t le
‘’Lo
nd
on
’s
Mu
slim
Re
sou
rce
Cen
tre’
’, o
ù la
dis
crét
ion
re
liée
aux
imp
licat
ion
s
cult
ure
lles
est
pri
se e
n c
on
sid
érat
ion
.
Les
mo
dèl
es
de
par
ten
aria
t
enco
ura
gen
t la
co
mp
réh
ensi
on
, la
colla
bo
rati
on
, et
per
met
au
x co
nte
xtes
cult
ure
ls d
’êtr
e p
ris
en c
on
sid
érat
ion
. Il
est
de
com
mu
ne
ren
om
mée
qu
’il n
’y a
pas
de
taill
e u
niq
ue.
3 a
ns
Co
nti
nu
er à
bât
ir e
t d
éfin
ir d
es
mo
dèl
es
de
gest
ion
de
cas
colla
bo
rati
ve e
t d
e
fou
rnit
ure
de
serv
ices
ave
c le
s fa
mill
es
aux
pri
ses
avec
de
s p
rob
lèm
es
com
ple
xes
et r
écu
rren
ts.
Pré
sen
tem
ent,
le ‘’
Lon
do
n a
nd
Mid
dle
sex
Ch
ildre
n’s
Aid
So
ciet
y’’
trav
aille
ave
c le
s p
arte
nai
res
de
la
com
mu
nau
té im
mig
ran
te lo
cale
po
ur
faci
liter
des
typ
es d
e m
édia
tio
n
spéc
ifiq
ues
et
cult
ure
llem
ent
sen
sib
les.
Ce
pro
cess
us
tien
t co
mp
te d
es
exp
érie
nce
s cu
ltu
relle
s et
pré
-
imm
igra
tio
n d
es im
mig
ran
ts e
t se
rait
com
plé
men
tair
e p
ar s
a co
mp
réh
ensi
on
du
fai
t q
ue
dif
fére
nts
me
mb
res
d’u
ne
mê
me
fam
ille
on
t d
iffé
ren
ts
pro
blè
me
s.
Il fa
ut
con
sid
érer
l’ap
pu
i au
x in
div
idu
s,
aux
fam
ille
s et
à la
co
mm
un
auté
en
fais
ant
de
l’aig
uill
age
vers
les
pro
gram
mes
.
1-2
an
s
Exp
lore
r et
met
tre
en œ
uvr
e d
es
pro
gram
mes
qu
i cib
len
t et
fo
nt
la
pro
mo
tio
n d
e la
per
cep
tio
n d
e la
sécu
rité
et
de
s p
rogr
amm
es
qu
i cib
len
t
et e
nco
ura
gen
t la
séc
uri
té p
ou
r le
s
Sugg
éré
par
WC
I co
mm
e ét
ant
un
pro
cess
us
clé
et d
es
stru
ctu
res
qu
i
peu
ven
t m
ener
à a
bai
sser
le t
aux
de
crim
inal
ité
et a
ugm
ente
r la
pe
rcep
tio
n
1 a
n
94
gro
up
es v
uln
érab
les
et à
hau
t ri
squ
e
(co
mm
e le
s je
un
es)
. (W
CI,
Ch
arac
teri
stic
s o
f a
Wel
com
ing
Co
mm
un
ity
Rep
ort
)
de
sécu
rité
par
mi l
es
imm
igra
nts
.
4.
Am
élio
rer
la p
réve
nti
on
et
les
app
uis
po
ur
les
imm
igra
nts
dan
s
les
Serv
ice
s d
e Ju
stic
e C
rim
ine
lle
et d
ans
les
syst
èm
es d
es
serv
ices
de
pro
tect
ion
.
C
e so
us-
con
seil
reco
nn
aît
le t
rava
il q
ui
est
fait
à L
on
do
n e
t ap
pu
ie la
con
tin
uat
ion
et
l’acc
rois
sem
en
t d
es
effo
rts.
Sugg
éré
par
WC
I co
mm
e ét
ant
un
pro
cess
us
clé
et d
es
stru
ctu
res
qu
i
peu
ven
t m
ener
à a
bai
sser
le t
aux
de
crim
inal
ité
et
augm
ente
r la
per
cep
tio
n
de
sécu
rité
par
mi l
es
imm
igra
nts
. (W
CI,
Ch
arac
teri
stic
s o
f a
Wel
com
ing
Co
mm
un
ity
rep
ort
).
1 a
n
Co
nti
nu
er à
am
élio
rer
et à
me
ttre
en
œu
vre
des
pro
gram
mes
de
sécu
rité
pri
vés
et p
ub
lics
po
ur
les
imm
igra
nts
lors
de
l’ori
enta
tio
n in
itia
le a
u C
anad
a.
(WC
I, C
har
acte
rist
ics
of
a W
elco
min
g
Co
mm
un
ity
rep
ort
)
Il fa
ut
reco
nn
aitr
e le
s d
iver
s co
nte
xtes
des
imm
igra
nts
et
le b
eso
in d
’un
e
édu
cati
on
po
rtan
t su
r le
s p
rati
qu
es
cult
ure
lles
can
adie
nn
es,
par
ticu
lière
men
t en
ce
qu
i a t
rait
à la
sécu
rité
pu
bliq
ue
et p
rivé
e. P
ar
exe
mp
le, g
ard
er le
s p
ort
es
de
s ai
res
d’a
ccu
eil d
es a
pp
arte
men
ts b
arré
es.
En c
ou
rs
95
GABARIT POUR ÉTABLIR LES PRIORITÉS DU SOUS-CONSEIL DE L’ÉTABLISSEMENT
Pro
blè
me
s n
éce
ssit
ant
de
la r
ep
rése
nta
tio
n:
- Le
s tr
avai
lleu
rs t
emp
ora
ires
-
La g
ard
e d
’en
fan
ts
- Le
par
rain
age
fam
ilial
-
Le p
arra
inag
e p
rivé
-
L’in
form
atio
n p
ré-i
mm
igra
tio
n e
t p
ost
imm
igra
tio
n
- Le
s p
rop
riét
aire
s et
les
règl
em
ents
et
règl
es r
elat
ives
au
loge
men
t
Pri
ori
té
Act
ivit
é
Rai
son
s Éc
hé
anci
er
1.
Met
tre
les
no
uve
aux
arri
van
ts e
n c
on
tact
ave
c le
s se
rvic
es
a.
Acc
ès
imm
édia
t à
l’in
form
atio
n
•
Dév
elo
pp
er u
ne
tro
uss
e
com
mu
ne
d’in
form
atio
n à
trav
ers
la V
ille
et le
co
mté
,
avec
to
ute
l’in
form
atio
n
relié
e au
x se
rvic
es d
’un
e
man
ière
qu
i so
it
cult
ure
llem
ent
et
lingu
isti
qu
emen
t p
erti
nen
te,
ce q
ui i
ncl
ut
des
bro
chu
res
dan
s d
iffé
ren
tes
lan
gues
qu
i
do
nn
ent
des
exp
licat
ion
s su
r
les
org
anis
mes
d’é
tab
lisse
men
t et
su
r to
us
les
serv
ices
qu
’ils
fou
rnis
sen
t
(co
mm
e le
s Tr
avai
lleu
rs e
n
Étab
lisse
men
t d
ans
les
Éco
les,
le
Par
ten
aria
t
d’é
tab
lisse
men
t av
ec la
Les
imm
igra
nts
on
t b
eso
in d
’avo
ir u
n a
ccès
imm
édia
t à
l’in
form
atio
n d
ès le
ur
arri
vée
sur
les
app
uis
qu
i so
nt
en p
lace
et q
ui f
on
t p
arti
e d
’un
pro
cess
us
d’a
ccu
eil c
on
tin
u.
“Les
no
uve
aux
imm
igra
nts
pe
uve
nt
se r
etro
uve
r d
ans
un
mili
eu c
ult
ure
l et
soci
al q
ui e
st f
ort
dif
fére
nt
de
celu
i de
leu
r
pay
s d
’ori
gin
e, f
aisa
nt
face
à d
iffé
ren
tes
séri
es
de
no
rme
s,
d’a
ttit
ud
es e
t d
e co
mp
ort
em
en
t. U
ne
vari
été
de
rép
on
ses
peu
ven
t êt
re e
ntr
epri
ses
dan
s ce
co
nte
xte
(vo
ir B
erry
an
d
Sam
19
97
; Ber
ry 1
99
7).
La
cap
acit
é d
’un
ind
ivid
u à
aju
ster
ses
‘’ré
per
toir
es
com
po
rte
men
tau
x’’ à
un
no
uve
au m
ilieu
var
ie,
et p
ou
r ce
rtai
ns
le s
tres
s as
soci
é à
ce p
roce
ssu
s p
eut
avo
ir
des
imp
licat
ion
s su
r so
n b
ien
-êtr
e, in
clu
ant
sa s
atis
fact
ion
avec
sa
vie
(Ro
ccas
, Ho
ren
czyk
an
d S
chw
artz
20
00
; Ber
ry a
nd
Kim
19
88
). (h
ttp
://w
ww
.sta
tcan
.gc.
ca/p
ub
/11f
0019
m/2
01
0322
/par
t-p
arti
e1-
eng.
htm
)
Il y
a u
ne
pré
occ
up
atio
n à
l’ef
fet
qu
e le
s im
mig
ran
ts r
eço
ive
nt
par
fois
de
l’in
form
atio
n in
adéq
uat
e su
r le
s p
rob
lèm
es
d’é
tab
lisse
men
t. U
ne
tro
uss
e d
’info
rmat
ion
co
mm
un
e le
s
aid
era
à o
bte
nir
l’in
form
atio
n a
déq
uat
e d
on
t ils
on
t b
eso
in. I
l
4 a
ns
96
Bib
lioth
èqu
e et
c.)
•
Fou
rnir
des
ser
vice
s
add
itio
nn
els
aux
étu
dia
nts
imm
igra
nts
et
à le
urs
fam
illes
en
éla
rgis
san
t la
po
rtée
des
pro
gram
mes
de
Trav
aille
urs
en
Étab
lisse
men
t d
ans
les
éco
les
(TEE
) et
le P
arte
nar
iat
en É
tab
lisse
men
t av
ec la
Bib
lioth
èqu
e (L
SP)
po
ur
aid
er le
s fa
mill
es
et le
s
étu
dia
nts
à e
ntr
er e
n
con
tact
ave
c ce
s se
rvic
es.
•
Am
élio
rer
les
pro
gram
mes
exis
tan
ts q
ui c
réen
t d
es
po
ssib
ilité
s p
ou
r le
s
imm
igra
nts
qu
i on
t ré
uss
i,
d’a
gir
à ti
tre
de
men
tor
po
ur
d’a
utr
es im
mig
ran
ts d
e
faço
n à
ce
qu
e le
s in
div
idu
s
pu
isse
nt
voir
la p
rogr
ess
ion
de
leu
r si
tuat
ion
ver
s u
ne
réu
ssit
e. É
ten
dre
cec
i au
x
jeu
nes
dan
s le
sys
tèm
e
sco
lair
e. (
WC
I-LM
LIP
,
Co
mm
un
ity
Cap
acit
y &
Nee
ds
Rep
ort
).
•
Fair
e d
es
rep
rése
nta
tio
ns
po
ur
amél
iore
r la
fo
urn
itu
re
est
fait
men
tio
n d
’un
e te
lle r
eco
mm
and
atio
n d
ans
le r
app
ort
‘’C
om
mu
nit
y C
apac
ity
and
Nee
ds
Rep
ort
’’.
Un
e fo
is p
ar a
nn
ée s
ur
un
e b
ase
con
tin
ue
97
de
l’in
form
atio
n p
ré e
t p
ost
imm
igra
tio
n p
ou
r fa
cilit
er
l’in
tégr
atio
n (
WC
I-LM
LIP
Co
mm
un
ity
Cap
acit
y &
Nee
ds
Rep
ort
).
a.
Co
mm
un
icat
ion
po
ur
augm
ente
r la
co
nn
aiss
ance
par
mi l
es
imm
igra
nts
b
. C
om
mu
nic
atio
ns
entr
e le
s se
cteu
rs.
Ob
ten
ir d
u f
inan
cem
ent
po
ur
ann
on
cer
les
serv
ice
s
d’é
tab
lisse
men
t d
ans
div
erse
s
lan
gues
à t
rave
rs d
iver
ses
form
es
de
méd
ias
incl
uan
t la
tél
évis
ion
,
les
jou
rnau
x et
les
fest
ival
s et
évén
emen
ts e
thn
ocu
ltu
rels
.
Am
élio
rer
et r
enfo
rcer
la
com
mu
nic
atio
n e
ntr
e le
s
fou
rnis
seu
rs d
e se
rvic
es.
Incl
ure
les
imm
igra
nts
dan
s le
s
étap
es d
e p
lan
ific
atio
n d
e la
livra
iso
n d
es s
ervi
ces
en t
enan
t
des
gro
up
es
de
dis
cuss
ion
et
en
leu
r as
sura
nt
un
e re
pré
sen
tati
on
sur
les
com
ités
de
pla
nif
icat
ion
et
crée
r d
es
op
po
rtu
nit
és p
ou
r le
ur
per
met
tre
de
rétr
oag
ir s
ur
les
serv
ices
Pro
mo
uvo
ir e
t co
ord
on
ner
l’uti
lisat
ion
du
Po
rtai
l de
l’Im
mig
rati
on
de
Lon
do
n e
t
Mid
dle
sex
et le
s au
tre
s o
uti
ls
Les
com
mu
nic
atio
ns
po
ur
augm
ente
r la
co
nn
aiss
ance
de
s
serv
ices
d’é
tab
lisse
men
t p
arm
i le
s im
mig
ran
ts e
st u
n f
acte
ur
imp
ort
ant
dan
s le
pro
cess
us
d’in
tégr
atio
n.
L’au
gmen
tati
on
de
la c
om
mu
nic
atio
n e
t d
e la
co
llab
ora
tio
n
entr
e le
s fo
urn
isse
urs
de
serv
ices
per
met
un
e m
eille
ure
com
pré
hen
sio
n d
es s
ervi
ces
et
par
co
nsé
qu
ent
un
e ca
pac
ité
accr
ue
de
serv
ir le
s im
mig
ran
ts.
Il es
t im
po
rtan
t q
ue
les
fou
rnis
seu
rs d
e se
rvic
es s
oie
nt
guid
és
par
les
bes
oin
s d
es
imm
igra
nts
. Par
co
nsé
qu
ent
la v
oix
des
imm
igra
nts
est
cru
cial
e p
ou
r co
mp
ren
dre
les
be
soin
s et
les
lacu
nes
. L’im
plic
atio
n d
es im
mig
ran
ts d
ans
la p
lan
ific
atio
n
et/o
u le
ur
app
ort
gu
ider
a le
tra
vail
des
org
anis
me
s
d’é
tab
lisse
men
t q
ui e
st c
entr
é su
r le
clie
nt.
Le P
ort
ail d
’Im
mig
rati
on
est
vis
ité
par
les
fou
rnis
seu
rs d
e
serv
ices
et
par
de
no
mb
reu
x im
mig
ran
ts q
ui e
nvi
sage
nt
de
s’ét
ablir
à L
on
do
n e
t M
idd
lese
x. F
aire
la p
rom
oti
on
du
po
rtai
l, p
ar le
bia
is d
e b
roch
ure
s et
de
pam
ph
lets
qu
i do
iven
t
être
dis
po
nib
les
dan
s le
s p
oin
ts d
e p
rem
ier
con
tact
, aid
era
les
no
uve
aux
imm
igra
nts
dan
s le
pro
cess
us
d’a
dap
tati
on
.
En c
ou
rs
En c
ou
rs
98
exis
tan
ts d
ans
la c
om
mu
nau
té.
- A
ttir
er e
t ac
com
mo
der
les
imm
igra
nts
de
la
caté
gori
e éc
on
om
iqu
e
(rés
iden
ts p
erm
anen
ts)
Att
irer
les
imm
igra
nts
de
la
caté
gori
e éc
on
om
iqu
e à
s’ét
ablir
à Lo
nd
on
en
:
- Fo
urn
issa
nt
un
e tr
ou
sse
d’in
form
atio
n à
dat
e su
r
les
dif
fére
nts
asp
ects
de
la v
ie (
emp
loi,
édu
cati
on
, lo
gem
ent
etc.
)
- U
tilis
ant
le p
ort
ail
d’im
mig
rati
on
po
ur
fair
e
la p
rom
oti
on
de
Lon
do
n
et M
idd
lese
x au
x
imm
igra
nts
po
ten
tiel
s
- C
réan
t u
n c
entr
e d
e ré
cep
tio
n c
on
join
t,
coo
rdo
nn
é p
ar le
s se
rvic
es
d’é
tab
lisse
men
t, q
ui
fou
rnir
a d
e l’i
nfo
rmat
ion
à jo
ur
et
un
loge
men
t te
mp
ora
ire
aux
rési
den
ts
per
man
ents
po
ur
un
e p
ério
de
de
4 à
6
sem
ain
es
(un
ser
vice
à
tau
x fi
xe).
(b
asé
sur
le
mo
dèl
e ex
ista
nt
de
loge
men
t te
mp
ora
ire
po
ur
les
réfu
gié
s p
ris
en
char
ge p
ar le
Selo
n u
ne
réce
nte
étu
de,
“D
es v
illes
co
mm
e O
ttaw
a,
Kit
chen
er, L
on
do
n e
t W
ind
sor
son
t…d
es e
nd
roit
s p
rivi
légi
és p
ar le
s im
mig
ran
ts p
ou
r y
vivr
e.’’
w
ww
.rye
rso
n.c
a/n
ews/
med
ia/G
ener
al_P
ub
lic/2
00
90
51
1_m
r_im
mig
tre.
htm
l
Il es
t im
po
rtan
t d
e fa
ire
la p
rom
oti
on
de
Lon
do
n e
t M
idd
lese
x au
x im
mig
ran
ts d
e ca
tégo
rie
éco
no
miq
ue.
Ain
si, c
om
me
com
mu
nau
té, n
ou
s av
on
s b
eso
in d
e fo
urn
ir d
es p
rogr
amm
es
qu
i ref
lète
nt
et c
om
pre
nn
ent
les
be
soin
s va
rié
s et
un
iqu
es d
e d
iffé
ren
ts t
ypes
d’im
mig
ran
ts. O
n p
eut
fair
e la
pro
mo
tio
n
d’u
n t
el p
rogr
amm
e p
ar le
bia
is d
u p
ort
ail d
’imm
igra
tio
n.
En c
ou
rs
99
gou
vern
em
ent)
c.
Stat
ut
et é
ligib
ilité
Fa
ire
du
lob
byi
ng
et d
e la
rep
rése
nta
tio
n a
up
rès
de
Cit
oye
nn
eté
et Im
mig
rati
on
Can
ada
po
ur
éten
dre
les
crit
ère
s
d’é
ligib
ilité
po
ur
y in
clu
re le
s
no
uve
aux
can
adie
ns
et le
s
réfu
giés
en
att
ente
de
stat
ut.
Les
crit
ère
s d
’élig
ibili
té r
est
reig
nen
t et
lim
iten
t le
s b
énéf
ice
s d
es p
rogr
amm
es
qu
i am
élio
ren
t l’é
du
cati
on
, l’e
mp
loi e
t l’i
nté
grat
ion
so
cial
e q
ui s
on
t to
us
des
fac
teu
rs im
po
rtan
ts
dan
s u
ne
com
mu
nau
té a
ccu
eilla
nte
. Les
org
anis
mes
d
’éta
blis
sem
ent
do
iven
t êt
re p
rép
arés
à a
pp
uye
r to
ute
s le
s ca
tégo
rie
s d
’imm
igra
nts
et
à fo
urn
ir le
s se
rvic
es
selo
n
l’ap
pro
che
mo
der
nis
ée d
e C
IC.
Att
irer
et
acco
mm
od
er
d.
Serv
ice
s au
niv
eau
de
s
qu
arti
ers
Cré
er u
n p
ost
e d
e ge
stio
n d
es
bén
évo
les
dan
s le
s o
rgan
ism
es
par
leq
uel
les
bén
évo
les
po
urr
on
t êt
re f
orm
és
à fo
urn
ir
des
ser
vice
s d
’éta
blis
sem
ent
de
bas
e et
du
su
pp
ort
et
fair
e le
suiv
i ave
c le
s im
mig
ran
ts q
uan
d
les
crit
ère
s d
’élig
ibili
té
rest
reig
nen
t le
ser
vice
po
ur
un
e
cert
ain
e p
op
ula
tio
n, c
om
me
les
no
uve
aux
can
adie
ns
et le
s
réfu
giés
en
att
ente
de
stat
ut.
Rec
rute
men
t d
es
bén
évo
les
par
mi l
a co
mm
un
auté
d’a
ccu
eil
et le
s gr
ou
pes
eth
no
cult
ure
ls.
En a
ugm
enta
nt
la li
vrai
son
de
s se
rvic
es
d’é
tab
lisse
men
t au
niv
eau
des
qu
arti
ers,
bas
és
sur
le m
od
èle
exis
tan
t, n
ou
s
sero
ns
cap
able
d’é
tab
lir d
e l’a
pp
ui a
cces
sib
le e
t à
lon
g te
rme
et d
’éta
blir
de
bo
ns
rap
po
rts
dan
s la
co
mm
un
auté
. Le
s
bén
évo
les
sero
nt
cap
able
s d
e fo
urn
ir d
e l’a
ssis
tan
ce d
e b
ase
en a
dd
itio
n à
l’as
pec
t d
e ré
seau
tage
.
En c
ou
rs
2.
Nav
igat
ion
des
sys
tèm
es
a.
Nav
igat
ion
des
sys
tèm
es
bu
reau
crat
iqu
es
Fair
e d
es
rep
rése
nta
tio
ns
et
crée
r d
es
op
po
rtu
nit
és p
ou
r q
ue
les
inte
rprè
tes
soie
nt
imp
liqu
és
dan
s la
fo
rmat
ion
et
aien
t u
ne
con
nai
ssan
ce d
e l’i
nfo
rmat
ion
“En
plu
s d
es a
spec
ts s
oci
aux
et
psy
cho
logi
qu
es d
e
l’éta
blis
sem
ent,
les
imm
igra
nts
fo
nt
auss
i fac
e à
un
e va
riét
é
de
déf
is lo
gist
iqu
es.
Cer
tain
s d
’en
tre
eux,
co
mm
e tr
ou
ver
un
loge
men
t o
u s
e d
irig
er d
ans
un
e vi
lle q
ui n
e le
ur
est
pas
fam
ilièr
e, p
euve
nt
être
su
rmo
nté
s as
sez
tôt
aprè
s l’a
rriv
ée
.
100
rela
tive
à l’
étab
lisse
men
t.
D’a
utr
es, c
om
me
accé
der
au
x se
rvic
es d
e sa
nté
, peu
ven
t
être
un
déf
i co
nti
nu
(S
chel
len
ber
g an
d M
aheu
x 2
00
7).
De
s
ob
stac
les
ou
des
fru
stra
tio
ns
de
cett
e so
rte
peu
ven
t
infl
uen
cer
l’éva
luat
ion
des
imm
igra
nts
de
leu
r vi
e d
ans
leu
r
pay
s d
’acc
uei
l.’’ h
ttp
://w
ww
.sta
tcan
.gc.
ca/p
ub
/11f
00
19m
/20
103
22/p
art-
par
tie1
-en
g.h
tm
Il es
t n
éces
sair
e d
’am
élio
rer
la li
vrai
son
de
s se
rvic
es
d’é
tab
lisse
men
t p
ou
r y
incl
ure
ceu
x q
ui a
iden
t le
s
imm
igra
nts
à s
urm
on
ter
les
dif
ficu
ltés
dan
s la
nav
igat
ion
de
s
syst
èm
es
bu
reau
crat
iqu
es. P
ar e
xem
ple
, un
par
ten
aria
t
entr
e le
s se
rvic
es
d’in
terp
réta
tio
n e
t le
s se
rvic
es
d’é
tab
lisse
men
t él
imin
e la
lacu
ne
relié
e à
la c
on
nai
ssan
ce e
t
réd
uit
les
err
eurs
de
com
mu
nic
atio
n.
b.
Ad
min
istr
atio
n d
es
fin
ance
s
Cré
er d
es a
telie
rs in
tera
ctif
s
con
tin
us
qu
i éd
uq
uen
t le
s
imm
igra
nts
de
faço
n c
réat
ive
sur
la f
aço
n d
’ad
min
istr
er t
ou
s le
s
asp
ects
des
fin
ance
s in
clu
ant
les
tran
sact
ion
s b
anca
ire
s, le
cré
dit
,
la t
ran
siti
on
du
par
rain
age
gou
vern
em
enta
l, le
s im
pô
ts e
t le
pai
emen
t d
es
fact
ure
s.
En a
mél
iora
nt
la li
vrai
son
de
s se
rvic
es q
ui a
pp
uie
nt
les
imm
igra
nts
po
ur
la p
rise
de
déc
isio
ns
fin
anci
ère
s éc
lair
ées
et
info
rmé
es, n
ou
s él
imin
on
s le
s p
rob
lèm
es
qu
i su
rvie
nn
ent
par
la
su
ite.
Par
exe
mp
le, d
es f
actu
res
exce
ssiv
es
de
cart
es d
e cr
édit
, fai
re d
es
chèq
ue
s sa
ns
pro
visi
on
et
trai
ter
ave
c la
so
llici
tati
on
. L’
info
rmat
ion
co
nd
uit
à la
res
po
nsa
bili
sati
on
.
3.
Les
déf
is d
e la
fam
ille
a.
Ap
pu
is p
ou
r le
s fa
mill
es
sép
aré
es
Fou
rnir
des
ser
vice
s d
’aid
e
psy
cho
logi
qu
e gr
atu
its
et
info
rme
ls p
ou
r le
s fa
mill
es
sép
aré
es q
ui t
ien
nen
t co
mp
te
Les
fam
illes
peu
ven
t êt
re s
épar
ées
à le
ur
arri
vée,
ou
peu
ven
t êt
re s
épar
ées
géo
grap
hiq
uem
ent.
Cec
i a u
n im
pac
t n
égat
if
sur
tou
te la
fam
ille.
De
l’aid
e p
sych
olo
giq
ue
pré
coce
peu
t p
réve
nir
la d
ési
nté
grat
ion
des
fam
illes
et
les
aid
era
à d
emeu
rer
fort
es
et s
tab
les.
101
des
exp
érie
nce
s p
ré im
mig
rati
on
b.
Co
nfl
it in
terg
énér
atio
nn
el
(par
ents
et
enfa
nts
)
Dév
elo
pp
er u
n p
rogr
amm
e d
e
colla
bo
rati
on
en
tre
la S
oci
été
po
ur
l’Aid
e à
L’en
fan
ce, l
a p
olic
e,
les
éco
les
et le
s tr
avai
lleu
rs e
n
étab
lisse
men
t p
ou
r d
es
dis
cuss
ion
s, d
es
acti
vité
s et
de
l’éd
uca
tio
n
inte
rgén
érat
ion
nel
les.
Les
con
flit
s in
terg
énér
atio
nn
els
en
tre
les
enfa
nts
et
les
par
ents
peu
ven
t fa
ire
par
tie
du
pro
cess
us
d’é
tab
lisse
men
t.
Les
enfa
nts
ap
pre
nn
ent
vite
; ils
ap
pre
nn
ent
sou
ven
t la
cu
ltu
re e
t la
lan
gue
plu
s vi
te q
ue
leu
rs p
aren
ts. L
a tr
ansi
tio
n
de
soci
étés
co
llect
ives
à in
div
idu
alis
tes
peu
t au
gmen
ter
le
sen
tim
ent
d’is
ole
men
t d
e p
aren
ts a
lors
qu
’ils
son
t la
issé
s à
eux-
mêm
es
po
ur
com
po
ser
avec
ce
pro
blè
me.
La
colla
bo
rati
on
rec
om
man
dée
mèn
era
à l’é
tab
lisse
men
t d
e fa
mill
es li
ées
entr
e el
les.
c.
Pro
gram
mes
po
ur
les
jeu
nes
et
les
aîn
és
Au
gmen
ter
les
app
uis
et
les
pro
gram
mes
po
ur
les
jeu
ne
s
imm
igra
nts
et
po
ur
les
aîn
és. P
ar
exe
mp
le, d
es p
rogr
amm
es
de
form
atio
n in
terg
énér
atio
nn
els
po
ur
les
ord
inat
eurs
cib
len
t le
s
deu
x gr
ou
pes
.
Livr
er c
erta
ins
pro
gram
mes
po
ur
les
jeu
ne
s d
ura
nt
l’été
.
Des
pro
gram
mes
po
ur
les
aîn
és
avec
de
s fa
cilit
ateu
rs q
ui p
arle
nt
leu
r la
ngu
e.
Bât
ir s
ur
les
pro
gram
me
s ex
ista
nts
qu
i ser
ven
t la
po
pu
lati
on
po
ur
évit
er l’
iso
lem
ent
et p
ou
r p
réve
nir
qu
e le
s je
un
es
ne
s’ad
on
nen
t à
des
act
ivit
és
pré
jud
icia
ble
s.
En c
ou
rs
d.
Édu
cati
on
des
en
fan
ts
Au
gmen
ter
la c
olla
bo
rati
on
ave
c
la S
oci
été
de
l’Aid
e au
x En
fan
ts,
avec
les
‘’O
nta
rio
Ear
ly Y
ears
Cen
ters
’’ e
t le
s se
rvic
es
d’é
tab
lisse
men
t, t
ou
t en
gar
dan
t
un
œil
sur
la li
vrai
son
d’a
telie
rs
sur
l’éd
uca
tio
n d
es e
nfa
nts
do
nn
és e
n d
iffé
ren
tes
lan
gue
s
Un
bo
n n
om
bre
d’im
mig
ran
ts p
rovi
enn
ent
d’u
ne
soci
été
colle
ctiv
iste
et
ten
den
t à
fair
e f
ace
à ce
rtai
ns
déf
is q
uan
d il
s
arri
ven
t d
ans
un
e so
ciét
é in
div
idu
alis
te. D
e fa
çon
à é
vite
r le
s
con
flit
s, le
s p
aren
ts o
nt
be
soin
de
rece
voir
de
l’in
form
atio
n
sur
les
atel
iers
su
r l’é
du
cati
on
des
en
fan
ts e
xist
ants
qu
i
peu
ven
t le
s ai
der
à a
pp
ren
dre
de
no
uve
lles
faço
ns
d’é
leve
r
leu
rs e
nfa
nts
dan
s u
ne
soci
été
ind
ivid
ual
iste
.
102
po
ur
les
no
uve
aux
imm
igra
nts
.
Form
atio
n d
es le
ader
s d
es
com
mu
nau
tés
eth
no
cult
ure
lles
po
ur
qu
’ils
dev
ien
nen
t d
es
faci
litat
eurs
d’a
telie
rs s
ur
l’éd
uca
tio
n d
es e
nfa
nts
.
Les
serv
ices
d’é
tab
lisse
men
t e
t le
s au
tre
s se
rvic
es
po
ur
les
enfa
nts
co
llab
ore
nt
po
ur
do
nn
er l’
info
rmat
ion
néc
ess
aire
su
r
l’éd
uca
tio
n d
es e
nfa
nts
et
sur
les
lois
can
adie
nn
es
en
ce
qu
i
a tr
ait
à ce
rtai
nes
mét
ho
des
de
dis
cip
line
.
Pré
sen
tem
ent,
la m
ajo
rité
de
s at
elie
rs s
ur
l’Éd
uca
tio
n d
es
enfa
nts
est
fai
te e
n a
ngl
ais
avec
cer
tain
s se
rvic
es
d’in
terp
réta
tio
n d
isp
on
ible
s. Il
s’e
st a
véré
qu
e la
livr
aiso
n d
e
tels
ate
liers
dan
s la
lan
gue
de
s im
mig
ran
ts e
st e
ffic
ace.
Par
con
séq
uen
t, e
n f
orm
ant
des
imm
igra
nts
qu
i so
nt
cap
able
s d
e
faci
liter
de
tels
ate
liers
, le
s p
aren
ts e
n r
etir
ero
nt
d’a
van
tage
de
bén
éfic
es p
uis
qu
e le
s fa
cilit
ateu
rs c
on
nai
ssen
t le
bag
age
cult
ure
l de
ces
fam
ille
s et
so
nt
cap
able
s d
’éta
blir
un
rap
po
rt
avec
leu
r ex
pér
ien
ce.
Enga
ger
tou
s le
s m
em
bre
s
de
la f
amill
e.
Pro
mo
uvo
ir e
t am
élio
rer
les
pro
gram
mes
exi
stan
ts q
ui
do
nn
ent
aux
par
ten
aire
s o
u a
ux
épo
ux/
épo
use
s d
es
ou
tils
et
de
l’in
form
atio
n s
ur
leu
rs r
ôle
s,
dro
its
et r
esp
on
sab
ilité
s d
ans
la
com
mu
nau
té.
L’o
bje
ctif
est
qu
e le
s h
om
mes
res
ten
t en
co
nta
ct é
tro
it a
vec
leu
rs f
amill
es. L
es h
om
me
s so
nt
plu
s is
olé
s p
arce
qu
e le
s
serv
ices
so
nt
plu
s lim
ités
. On
a b
eso
in d
e co
nti
nu
er à
resp
ect
er le
rô
le d
es
ho
mm
es d
ans
la f
amill
e, e
t le
s in
form
er
de
leu
r rô
le, d
e le
urs
dro
its
et r
esp
on
sab
ilité
s.
4.
Loge
men
t
a.
Pro
blè
me
s
pro
pri
étai
re/l
oca
tair
e
Bât
ir s
ur
des
ate
liers
qu
i
ense
ign
ent
aux
ind
ivid
us
de
faço
n p
roac
tive
leu
rs d
roit
s et
resp
on
sab
ilité
s et
co
mm
ent
réag
ir d
ans
des
sit
uat
ion
s d
e
con
flit
pro
pri
étai
re/l
oca
tair
e.
Cec
i est
un
déf
i à d
eux
vole
ts:
a.
L’im
mig
ran
t a
bes
oin
d’ê
tre
info
rmé
sur
ses
dro
its
et r
esp
on
sab
ilité
s
b.
Les
pro
pri
étai
res
on
t b
eso
in d
’êtr
e im
pliq
ué
s d
ans
le p
roce
ssu
s d
’éd
uca
tio
n
103
b.
Loge
men
ts a
bo
rdab
les
et
con
ven
able
s
Fair
e d
es
rep
rése
nta
tio
ns
po
ur
un
e p
lan
ific
atio
n u
rbai
ne
qu
i
cher
che
à ab
ord
er le
s b
eso
ins
en
loge
men
t d
es n
ou
veau
x
arri
van
ts. (
WC
I, C
har
acte
rist
ics
of
a W
elco
min
g C
om
mu
nit
y re
po
rt)
Am
élio
rer
la c
apac
ité
de
s fa
cilit
és
actu
elle
s d
e lo
gem
ent
tem
po
rair
e fo
urn
ies
lors
de
la
réce
pti
on
à t
rave
rs la
vill
e p
ou
r le
s ré
fugi
és e
n a
tten
te d
e st
atu
t et
les
réfu
giés
en
ve
rtu
de
la
Co
nve
nti
on
.
Cré
er u
n c
entr
e d
e ré
cep
tio
n
con
join
t, c
oo
rdo
nn
é p
ar le
s se
rvic
es d
’éta
blis
sem
ent,
qu
i fo
urn
it u
n lo
gem
ent
tem
po
rair
e p
ou
r le
s ré
sid
ents
per
man
ents
p
ou
r u
ne
du
rée
de
qu
atre
à s
ix
sem
ain
es
(un
ser
vice
à t
aux
fixe
).
La c
réat
ion
de
loge
men
ts q
ui s
on
t se
nsi
ble
s au
x b
eso
ins
de
no
uve
aux
arri
van
ts t
ou
t en
s’a
ssu
ran
t q
ue
les
imm
igra
nts
son
t ga
rdés
ho
rs d
es
silo
s, e
st u
n p
as v
ers
l’in
tégr
atio
n d
es
imm
igra
nts
. Des
loge
men
ts a
bo
rdab
les
et c
on
ven
able
s so
nt
imp
ort
ants
par
ce q
ue
ceci
aff
ecte
la c
apac
ité
des
no
uve
aux
arri
van
ts d
’acc
éder
au
x éc
ole
s, a
ux
emp
lois
, au
x se
rvic
es c
lé,
com
me
les
soin
s d
e sa
nté
et
auss
i po
ur
leu
r in
tégr
atio
n d
ans
la s
oci
été
can
adie
nn
e (W
CI,
Ch
arac
teri
stic
s o
f a
We
lco
min
g
Co
mm
un
ity)
.
Des
loge
men
ts a
bo
rdab
les
et c
on
ven
able
s so
nt
un
élé
men
t
clé
dan
s l’a
ccu
eil d
’un
e so
ciét
é ac
cuei
llan
te t
el q
u’in
diq
ué
dan
s W
CI C
har
acte
rist
ics
of
a W
elco
min
g C
om
mu
nit
y
Les
imm
igra
nts
fo
nt
face
à u
n im
men
se d
éfi l
ors
de
leu
r
arri
vée
lors
qu
’ils
dés
iren
t lo
uer
un
loge
men
t. Il
s n
’on
t p
as d
e
lett
res
de
réfé
ren
ce (
de
pro
pri
étai
res
pré
céd
ents
) o
u u
n
emp
loi r
égu
lier.
Tro
uve
r u
n p
rop
riét
aire
qu
i est
réc
epti
f et
qu
i fai
t p
reu
ve d
e co
mp
réh
ensi
on
peu
t p
ren
dre
du
tem
ps
et
ceci
cré
e u
n im
pac
t su
r le
s im
mig
ran
ts d
e p
lusi
eurs
faç
on
s.
Le f
ait
d’a
voir
un
cen
tre
de
réce
pti
on
, à t
aux
fixe
, per
met
tra
aux
fam
ille
s d
’avo
ir le
tem
ps
qu
’il f
aut
po
ur
cher
cher
un
e
rési
den
ce f
amili
ale
et p
ou
r n
égo
cier
ave
c le
s p
rop
riét
aire
s
san
s d
épen
ser
un
bo
n m
on
tan
t p
ou
r d
es a
pp
arte
men
ts
meu
blé
s o
u d
es c
ham
bre
s d
’hô
tel.
Imm
édia
te –
en
co
urs
104
Annexe D : Définition d’Inclusion et d’engagement civique
Dans le contexte de l’immigration canadienne et pour les fins de ce sous-conseil, nous avons décidé de reconnaître que les mots "Inclusion" et "Engagement Civique" sont distincts mais demeurent des termes inter reliés. Nous avons défini "inclusion" comme étant un sentiment d’appartenance à un groupe, à une communauté et à la société considérée comme un tout, en appréciant une complète acceptation et reconnaissance. Ce sentiment est habituellement absent chez ceux qui ont été déracinés de leur communauté d’origine et qui ont été ré enracinés dans une société complètement nouvelle et différente. De plus, nous en sommes venus à la conclusion que ce sentiment d’appartenance ne peut être atteint qu’avec la création d’un environnement dans lequel il n’y a pas de discrimination, d’étiquetage ou d’oppression de quelque sorte que ce soit et où il y a la reconnaissance du fait que nous faisons partie d’une même réalité collective, même si individuellement nous ne sommes pas les mêmes.
Dans une communauté inclusive, les gens sont appréciés à cause de leurs différences et non en dépit de celles-ci. L’Inclusion crée un climat où la diversité est vraiment appréciée. Chaque personne est respectée, et non pas seulement tolérée, pour ses différences. Chaque personne est reconnue et développée et ses talents sont régulièrement exploités (v.g. participation dans les structures économiques et décisionnelles).
"L’Engagement civique" est le résultat direct de l’inclusion et il implique le développement de la connaissance, des compétences, des valeurs et de la motivation nécessaires pour participer dans le processus décisionnel et/ou collaborer à tous les niveaux d’implication sociale (domestique, organisationnel, entrepreneurial, municipal, provincial et fédéral).
105
Annexe E: Ouvrages cités
Alboim, N and McIsaac, E. (2007) “Making the Connections: Ottawa’s Role in Immigrant Employment”, IRPP Choices 13 (3)
Alboim, N., Maytree Learning Exchange, “Replicating good ideas.”
Austin, Zubin. (2008) Bridging to Success: A Learning Day about Bridging Programs in Regulated Professions, Ontario Regulators for Access Consortium.
Banerjee, R. and W. Robson. (2009) Faster, Younger, Richer? The Fond Hope and Sobering Reality of
Immigration’s Impact on Canada’s Demographic and Economic Future. Toronto: C.D. Howe Institute.
Beach, C., A. Green, and C. Worswick. (2009). Improving Canada’s Immigration Policy. Toronto: C.D. Howe Institute.
Berman, Irias Giron, Marroquin. (2006). A Narrative Study of Refugee Women Who Have Experienced
Violence in the Context of War. Canadian Journal of Nursing Research, Vol. 38, no. 4, pp 32-53.
Bond, S. (2007) Northern Lights: International Graduates of Canadian Institutions and the National
Workforce. Ottawa: Canadian Bureau for International Education.
Building Community: A Manual of Successful Strategies, Childreach. (2009). CAMH. (2008). Cross Currents: The Journal of Addiction and Mental Health. Cultural Competence,
Making a World of Difference. Canadian Chamber of Commerce. (2009). Immigration: The Changing Face of Canada. Economic
Policy Series.
Canadian Federation for Independent Business, Canada’s Training Ground, “SMEs’ $18 Billion Investment in the Nation’s Workforce.”
Canadian Federation for Independent Business, Canada’s Training Ground, “SMEs’ $18 Billion Investment in the Nation’s Workforce.”
Canadian Federation for Independent Business, Ontario Business Barometer, August 2009 Results.
Canadian Manufacturers & Exports. (n.d.) Take a Look at What’s Working. Toronto: Ontario Ministry of Training, Colleges & Universities (MTCU).
Canadians & the Common Good: Building & Civic Nation through Civic Engagement. Canada 25. Retrieved from: http://www.canada25.com/collateral/Canada25_FULLFINALreport.pdf
Catalyst and the Diversity Institute in Management & Technology, Ryerson University (2007). “Career
Advancement in Corporate Canada: A Focus on Visible Minorities.
Centre for Research and Education in Human Services. (2003). Voices for Change – Making Use of
Immigrant Skills to Strengthen the City of London.
Chuang, S. New Start: Immigrant Serving Agencies Perspective on the Issues and Needs of Immigrant and Refugee Children and Youth in Canada (OCASI).
106
CIC CFP: London and Area Settlement Workers in Schools (SWIS). (2009, March). At Work
Settlement.org. Retrieved from: http://atwork.settlement.org/sys/atwork_library_detail.asp?passed_lang=EN&doc_id=1004807
City of London, Department of Community Services on behalf of Welcoming Cultural Diversity in
London Steering Committee. (2006) Welcoming Cultural Diversity in London: A Community
Action Plan.
City of London, London Strengthening Neighbourhoods 5 Year Strategy and Implementation Plan. Retrieved from http://www.london.ca/d.aspx?s=/Community_Vitality/Neighbourhoods/Strengthening_Strategy/default.htm.
City of London, The Creative City Task Force Report.
Conference Board of Canada. (2007). Ontario’s Looming Labour Shortage Challenges. Ottawa.
Conference Board of Canada. (2009). Immigrant-Friendly Communities, Leaders’ Roundtable on Immigration.
Constantine MG, Sue DW. Overview of the American Psychological Association’s multicultural guidelines: Implications for multicultural competence. Hoboken: John Willey & Sons, Inc.; 2005. p. 3–18
Daya, S., & De Long, B. (2004, September). A New Canadians First Decade of Volunteering. Pillar
Nonprofit Network. Retrieved from: http://www.pillarnonprofit.ca/documents/FinalReportNewCanadians.pdf
Ed. Guruge, Sepali and Collins, Enid. (2008). Working With Immigrant Women. Issues and Strategies for Mental Health Professionals.
El Dakikiy, M. and J. Shields. (2009). Immigration and the Demographic Challenge: A Statistical
Survey of the Ontario Region, Policy Matters. No.38.
Esses, V; Hamilton, L; Bennett-AbuAyyash, C; and Burstein, M. (2010, April).Characteristics of a Welcoming Community. Citizenship and Immigration Canada.
Facilitator Guide to Encourage Newcomer Voluntarism. http://atwork.settlement.org/downloads/atwork/Facilitator_Guide_Encourage_Newcomer_Voluntaris
m.pdf Family Resource Program Canada. E-Valuation/Evidence.
Federation of Canadian Municipalities (FCM). (2009). Quality of Life in Canadian Communities:
Immigration & Diversity in Canadian Cities & Communities (Theme Report #5).
Gandz, Jeffrey. (2001). A Business Case for Diversity. London: Richard Ivey School of Business, UWO.
Health Literacy and Immigrant Populations (Not posted yet on the Strategic Initiatives and Innovations Directorate of the Public Health Agency of Canada 2009)
Houle, R. & Schellenberg, G. New Immigrants' Assessments of Their Life in Canada (Analytical Studies
Branch Research Paper Series). Statistics Canada. no. 322. (2010, February). Retrieved from: http://www.statcan.gc.ca/pub/11f0019m/2010322/part-
107
partie1-eng.htm)
Hunter, Trevor: “Enhance London: A Strategy for Economic and Societal Prosperity” prepared for the London Economic Development Corporation by King’s University College, UWO, August 2009; See also “Six Keys to Unlocking London’s Future Prosperity,” London Free Press, June 18, 2009.
Hussein, H. (2009, March). Engagement Strategies for Diverse Cultural Communities- Year Three Report. Childreach. Retrieved from: http://www.childreach.on.ca/sites/default/files/media/pdf/Year%20Three%20Report%202009.pdf
Immigrant Leadership and Civic Participation Task Group Summary of Discussions. (2009). Centre for Community Based Research. Retrieved from: http://www.communitybasedresearch.ca/resources/LIPC%20reports/Task%20Group%20Reports/ILCP.pdf
Immigration Mental Health Policy Brief. (Not posted yet on the Strategic Initiatives and Innovations
Directorate of the Public Health Agency of Canada 2009). Increasing Access to Space Report. (2005). Welcoming Cultural Diversity Committee
Industry Canada, Small Business Quarterly. (2009, August). Vol. 11, No. 2.
Kukushkin, V and D. Watt. (2009). Immigrant-Friendly Businesses: Effective Practices for Attracting,
Integrating, and Retaining Immigrants in Canadian Workplaces. Ottawa: The Conference Board of Canada.
London Economic Development Corporation. (2007). A Workforce Development Strategy for London.
London Economic Development Corporation. (2007). Global Talent.
London Economic Development Corporation. (2009). “London Economic Summit: Creating the Action Plan for the Next Economy” referencing a TD Economics presentation by Don Drummond entitled “The Road to Economic Recovery”.
Looking At Our Quality of Life in London: Local Fact Sheets. Retrieved from: http://www.london.ca/About_London/PDFs/Local_Fact_Sheets_20041.pdf
Martin Prosperity Institute. (2009). London 3Ts Reference Report, Benchmarking Project: Ontario
Competes. Toronto: Rotman School of Management, U of T.
Martin Prosperity Institute. (2009). Ontario in the Creative Age. Toronto: Rotman School of Management, U of T.
OCASI. Critical importance for the integration of youth. Ontario Council for Agencies Serving Immigrants. (2005).
Ontario and LHIN Canadian Community Health Survey 2005, 2007,-2008. Ontario Chamber of Commerce (OCC). (2009). 2009 Business Climate Survey, Ontario Business
Survey Program. Toronto: OCC.
Ontario Council of Agencies Serving Immigrants. (2005, April). OCASI Research on Inclusive Recreation Model for Immigrant and Refugee Youth: Provisional Model. For The Ministry of
108
Tourism and Recreation. Retrieved from: http://www.ocasi.org/downloads/OCASI_YOUTH_PROJECT_2004-2006_Provisional_Model.doc
Patchwork, Sidelining and Marginalization: Services for Immigrant Youth. (2009). Journal of Immigrant & Refugee Studies, 7:82–100. Retrieved from: http://www.eslaction.com/main/Services%20for%20Immigrant%20Youth.pdf
Paul Anisef, Kenise M. Killbride (2000). The Needs of Newcomer Youth and Emerging Best Practices
to Meet Those Needs., Centre of Excellence in Research in Immigration and Settlement (CERIS). Retrieved from: http://atwork.settlement.org/downloads/Newcomer_Youth_Best_Practices.pdf
Promoting Newcomer Integration and Social Inclusion through Community Participation and
Engagement, Projections of the diversity of the Canadian population, 2006 to 2031. (2010, March). Statistics
Canada Retrieved from: http://www.statcan.gc.ca/daily-quotidien/100309/dq100309a-eng.htm
Promoting Newcomer Integration and Social Inclusion. At Work Settlement.org. Retrieved from:
http://atwork.settlement.org/inclusion/featured/siso.asp Public Policy Forum. (2007). “Comparing Approaches to Recognizing the Skills and Credentials of
Foreign-Trained Workers,” Outcomes Report.
Puente, A and Perez-Garcia, M. Neuropsychological Assessment of Ethnic Minorities: Clinical Issues. In I. Cuellar and F. A. Paniagua (Eds.), Handbook of multicultural mental mealth (pp. 25-44). San Diego, CA: Academic Press.
Racism as a Determinant of Immigrant Health Immigration Mental Health Policy Brief . (Not posted
yet on the Strategic Initiatives and Innovations Directorate of the Public Health Agency of Canada 2009).
RBC Financial Group. (2005). “The Diversity Advantage: A Case for Canada’s 21st Century Economy.”
Reitmanova, S and Gustafson, D. (2009). Mental Health Needs of Visible Minority Immigrants in a Small Urban Center: Recommendations for Policy Makers and Service Providers. J Immigrant Minority Health, Vol. 11, pp46-56.
Represent: Voices of Youth in Kipps Lane. (2009, June). Retrieved from:
http://www.london.ca/Community_Vitality/Neighbourhoods/PDF/VoicesofYouthJUNE12009.pdf
Ryerson University. (2009, May). Newcomers favour Ontario but choose large, diverse cities to live: study. Retrieved from: http://www.ryerson.ca/news/media/General_Public/20090511_mr_immigtre.html
Scott, K., Selbee, k. & Reed, P. (2006, April). Making Connections: Social and civic engagement
among Canadian immigrants. Canadian Council on Research Development. Retrieved from: http://www.ccsd.ca/pubs/2006/makingconnections/index.htm
Social Engagement and Integration Learning from others to inform approaches to integration.
(2008). Citizenship & Immigration Canada. At Work Settlement.org http://atwork.settlement.org/downloads/atwork/CIC_Social_Engagement_2008_Summary_of_Discussions.pdf
109
Social Research & Planning Department of Community Services, City of London. (2004, April). Srivastava, R. (2007). The Healthcare Professional’s Guide to Clinical Cultural Competence. Elsevier
Canada . Statistics Canada, Picot, Hou & Coulombe, “Chronic Low Income and Low-income Dynamics Among
Recent Immigrants,” Catalogue no. 11F0019MIE – No. 294, ISSN: 1205-9153, ISBN: 978-0-662-44993-5.
Statistics Canada. (2007). Immigrants’ Perspectives on their First Four Years in Canada. Canadian
Social Trends. Ottawa: Ministry of Industry.
United Way of London & Middlesex Annual Report Youth Leadership Programs 2007-2008. (2008). United Way of London & Middlesex. Retrieved from: http://www.uwlondon.on.ca/libs/spaw/uploads/files/Documents%20and%20forms/YLT-YIAreport07-08.pdf
Wayland, S. and M. Goldberg. (2009). Access to Trades for Newcomers in Ontario. Toronto: Council
of Agencies Serving South Asians.
When Services Are Not Enough: The Role of Immigrant and Newcomer Service Organizations in Fostering Community Leadership Development. Retrieved from: http://www.ocasi.org/downloads/OCASI_Leadership_Research_2005.pdf
WIL Counselling and Training for Employment. (2003). Voices for Change: Making Use of Immigrant
Skills to Strengthen the City of London.
Wong, Winnie. (2008). From Immigration to Participation: A Report on Promising Practices in
Integration. Ottawa: Public Policy Forum.
Yamada and Brekke. Addressing mental health disparities through clinical competence not just cultural competence: The need for assessment of sociocultural issues in the delivery of evidence-based psychosocial rehabilitation services. Clinical Psychology Review, issue 28, 2008, pp 1386-1399.
Youth Web. City of London. Retrieved from: http://www.london.ca/d.aspx?s=/YouthWeb/LYSP.htm. Yu, Ping; Berryman, Doris L. The relationship among self-esteem, acculturation and recreation
participation of recently arrived Chinese immigrant adolescents. Journal of Leisure Research. Vol 28(4),1996, 251-273.
Top Related