Ticao t ag ie. Vu2 ; , 'VVtixo -V loirs › download...Le plus fort n est jamais assez fort pour...

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  • WiiriiLi'Ji

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  • Le p lus fo r t n est ja m a is assez fo r t pour être toujours le m aître, s'il ne transform e sa force en dro it e t l'obéissance en devoir. De là le droit du plus fo rt; droit pris ironiquement en apparence, et réellement établi en principe. Mais ne nous expliquera-t-on jam ais ce m ot ? La force est une puissance physique ; je ne vois point quelle moralité peut résulter de ses effets. Céder à la force est un acte de nécessité, non de volonté ; c est tout au plus un acte de prudence. En quel sens pourra-ce être un devoir ?

    Supposons un moment ce prétendu droit. Je dis qu'il n'en résulte qu'un galimatias inexplicable. Car sitôt que c'est la force qui fa it le droit, l'effet change avec la cause ; toute force qui surmonte la première succède à son droit. Sitôt qu'on peut désobéir impunément on le peut légitimement, et puisque le plus fo r t a toujours raison, il ne s'agit que de fa ire en sorte qu'on soit le plus fort. Or qu'est-ce qu'un droit qui périt quand la force cesse ? S'il fa u t obéir par force, on n'a pas besoin d'obéir p ar devoir, et si l'on n'est plus forcé d'obéir, on n'y est plus obligé. On voit donc que ce mot de droit n'ajoute rien à la force ; il ne signifie ici rien du tout.

    Rousseau Du contrat social (1762)

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  • TEXTES SUR LA NOTION D'ETAT

    L État, c’est le plus froid de tous les monstres froids : il ment froidement et voici le mensonge qui rampe de sa bouche : « Moi, l’État, je suis le Peuple. » C’est un mensonge !

    NIETZSCHE Ainsi parlait Zarathoustra. (1883)

    Je veux imaginer sous quels traits nouveaux le despotisme pourrait se produire dans lemonde : je vois une foule innombrable d'hommes semblables et égaux qui tournent sans repossur eux-memes pour se procurer de petits et vulgaires plaisirs, dont ils emplissent leur âme.Chacun d eux, retiré à l'écart, est comme étranger à la destinée de tous les autres ses enfants etses amis particuliers forment pour lui toute l'espèce humaine; quant au demeurant de sesconcitoyens, il est a côté d'eux, mais il ne les voit pas; il les touche et ne les sent point; il n'existequen lui-meme et pour lui seul, et, s'il lui reste encore une famille, on peut dire du moins qu'il n a plus de patrie. ^Au-dessus de ceux-là s'élève un pouvoir immense et tutélaire, qui se charge seul d'assurer leur jouissance et de veiller sur leur sort. Il est absolu, détaillé, régulier, prévoyant et doux. Il ressemblerait a la puissance paternelle si. comme elle, il avait pour objet de préparer les hommes a age viril, mais il ne cherche, au contraire, qu'à les fixer irrévocablement dans l'enfance; il aime que les citoyens se réjouissent, pourvu qu'ils ne songent qu'à se réjouir. Il travaille volontiers à leur bonheur; mais il veut en être l'unique agent et le seul arbitre; il pourvoit à leur sécurité, prévoit et assure leurs besoins, facilite leurs plaisirs, conduit leurs principales affaires, mge leur industrie, règle leurs successions, divise leurs héritages; que ne peut-il leur ôter

    entièrement le trouble de penser et la peine de vivre?"

    Alexis de Tocqueville, De la démocratie en Amérique H 840)

    Résistance et obéissance, voilà ;l es deux vertus du citoyen. Par l'obéissance il assureI ordre; par la résistance il assure la liberté. Et il est bien clair que l'ordre et la liberté ne soitpoint séparables, car le jeu des forces, c'est-à-dire la guerre privée à toute minute,n enferme aucune liberté ; c'est une vie animale, livrée à tous les hasards. Donc les deuxtermes, ordre et liberté, sont bien loin d'être opposés : j'aime mieux dire qu'ils sontcorrélatifs. La liberté ne va pas sans l'ordre : l'ordre ne vaut rien sans la liberté.

    Obéir en résistant, c'est tout le secret. Ce qui détruit l'obéissance est anarchie : ce quidétruit la résistance est tyrannie. Ces deux maux s'appellent, car la tyrannie employant laforce contre les opinions, les opinions, en retour, emploient la force contre la tyrannie : et,inversement, quand la résistance devient désobéissance, les pouvoirs ont beau jeu pourécraser la résistance, et ainsi deviennent tyranniques. Dès qu'un pouvoir use de force pourtuer la critique, ¡1 est tyrannique. Voilà d'après quoi un citoyen raisonnable peut d'abord orienter ses réflexions.

    Alain (Emile Chartier) Le citoyen et les pouvoirs MQ7M

  • HOBBES TEXTE 1 L'état de nature

    I ap p ara ît c lairem ent p a r là q u ’a u ssi longtem ps que les hom m es vivent san s u n pouvoir com m un qui les tienne to u s en respect, ils sont d an s cette condition qui se nom m e guerre, et cette guerre est guerre de c acu n con tre chacun . Car la GUERRE ne consiste p a s seu lem ent dans la bataille et d an s des com bats effectifs ; m ais d a n s u n espace de tem ps ou la \ olonte de s affronter en des batailles est suffisam m ent avérée : on doit par conséquen t ten ir com pte, relativem ent à la n a tu re de la guerre de la notion de durée, comme on en tien t com pte, relativem ent à la n a tu re du tem ps q u ’il fait. De m êm e en effet que la n a tu re du m auvais -emps ne résidé p as d a n s une ou deux averses, m ais d an s une tendance qui va d an s ce sens, p e n d an t u n g rand nom bre de jo u rs consécutifs, de meme la n a tu re de la guerre ne consiste p as d a n s u n com bat effectif m ais d an s u n e disposition avérée, a llan t d an s ce sens, au ssi longtem ps PAIXn 7 0 PaS d a ssu ra n c e du contraire. Tout a u tre tem ps se nom m e

    C est pourquoi tou tes les conséquences d ’u n tem ps de guerre où chacun est 1 ennem i de chacun , se retrouven t a u ss i en u n tem ps où les hom m es vivent sa n s a u tre sécurité que celle d on t les m u n issen t leur propre force ou leu r propre ingéniosité. D ans u n tel é ta t, il n 'y a pas de place pour u n e activité industrieu se , parce que le fru it n 'en est pas a ssu re : et consequem m ent il ne s'y trouve ni agricu ltu re , ni navigation ni usage des richesses qui peuvent être im portées p a r m er ; pas dé constructions com m odes; pas d 'appareils capab les de m ouvoir et d enlever les choses qui po u r ce faire exigent beaucoup de force ; pas de connaissances de la face de la terre ; p as de com puta tion du tem ps ; pas d a rts ; p as de le ttres ; p as de société , et, ce qui es t le pire de tout, la crain te e t le risque con tinuels d ’une m ort violente ; la vie de l’hom m e est alors solitaire, besogneuse, pénible, quasi an im ale e t brève. », . . , , . HOBBESLeviathan. chapitre 13

    Texte 2 Le pacte d’association :

    a seule façon d'énger un tel pouvoir commun, apte à défendre les gens de l'attaque des e rangers, et des torts qu'ils pourraient se faire les uns aux autres, et ainsi à les protéger de e e sorte que par leur industrie et par les productions de la terre, ils puissent se nourrir et

    vivre satisfaits, c'est de confier tout leur pouvoir et toute leur force a un seul homme, ou à une seu e assemblee qui puisse reduire toutes leurs volontés, par la règle de la majorité, en une seule volonté. (. . .). Cela va plus loin que le consensus, ou concorde: il s'agit d'une unité reeile de tous en une seule et même personne, unité réalisée par une convention de chacun avec chacun , de telle sorte que c'est comme si chacun disait à chacun: j'autorise cet homme ou cette assemblee, et je lui abandonne mon droit de me gouverner moi-même, à cette condition que tu lui abandonnes ton droit et que tu autorises toutes ses actions de la même

    TaTT ’ lf multltude ainsi unie en une seule personne est appelée une UBLIQUL, en latin CIVITAS. Telle est la génération de ce grand LEVIATHAN ou

    plutôt pour en parler avec plus de révérence, de ce dieu mortel, auquel nous devons, sous le Dieu immortel, notre paix et notre protection.

    Thomas HOBBES Léviatahan Ch? ]