Le numéro'. 7 5 centimes \'t::-;01U101 29 Arna. 192i

Cs t rTE. llEBOOMADAIRI; PAR L5SAXT LI·: VE1\DR~'l>I

L. DUMO"' r WILDEN o. tlARNIR L • .:'>Ol <JUENET

M. CAMILLE GUTTENSTEIN Chef de Cobinet du JYhnistre des Finonces

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CREDIT ANVERSOIS li TAVERNE ROYAuE ,1 !.W...-,.,.......,_ lfi&_ - c-..t IO...._ ... t...._.

Galerie du Roi 1

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M. CAMILLE GUTTENSTEIN <.. est une chose troublante que l'incurable mé­

diocrité inJelleetuelle et morale des gens qui préten­dent à nous gouJ1erner. Dans le civil il arrive que ces gens ne sont pas plus Mies ni moins estimables que d'autres; mais, dès qu'ils sont au pouvoir, ils se ré­vèlent ne sachant plus ce que c'est qu'un engage­ment, ignorant que deux et deux font qualre et la valeur d'un oui ou d'un non. L'intérêt général n'existe qu'en tant qu'il ne contrarie pas l'intérêt de leur parti et leur intérêt propre, car toute leur science et leur volonté se nisume à ceci: durer.

Ils se croient d'ailleurs faits pour mener les hom­mes. Leur superbe est comique; elle est na11rante parce qu'elle faltillusion. lis ont été créés et mis a1i monde pour cela: être députés, ministres. Dieu, pour les pétrir, a d(L choisir un limon plus fin et plus dis­tingué. Parfois quelque homme de culture -et àe bonne foi va les écouter et se sent troublé. Verhae­ren, ayant été un jour à la Chambre, interrogeait ses amis avec angoisse: u /e me demande si ce sont eux qui sont des imbéciles ou moi;; "

li est vrai qu'à voir le rôle tenu par un homme politique, on se dit qu'il est malaisé de le recruter dans une noblesse intellectuelle et désintéressée. Disori.s-n.ous bien qu'un Woeste,cet as de la politique belge et, certes, d'une vie parfailement estimable, ne dépasse pas en culture et en idées le niveau d'un brigadier de gendarmerie. Et ce qu'on dit là de Woeste, on peut en dire autant de gens pris dans tous les partis. La politique est le dépotoir des lcfissés pour compte. Ce qui est singulier aussi, c'est que ces grands hommes pour comices agricole$, prétendent encore être journalistes. Ils sont, dans ce métier, dé· plorables et bien payés, pdrce q1ie leurs noms don-

nent une étiq,uette avantageuse à la maison. Mais quelle gazelle de Binche ou de Renaix ne refuserait les articles d'un Poincaré - aussi indigents de for­me que de fond - s'ils étaient signés d' un simple /zonnéte homme et non d'un ancien président de la République?

Et puis, quoi, lisez,attentivement Le Soir, qui s'est fait en Belgique une spécialité de nous dévoiler des syntaxes de ministrables. Il est vrai qu'il a un M. Tschoffen, leq1œl a l'humour d'un sacristaùr. qui a liché les burettes .. . Heureusement, il y a Janson.

Comme il arrive cependant que des grands u hom­mes d'Etat» se rendent compte qu'ils sont inférieurs, dans toute leur gloire, à ce qu'ils auraient été s'ils étaiènt restés vétérinaires, bedeaux ou avôcassons, ils essaient de se faire étayer par quelque jeunesse plus avertte, plus libre de raison, d'allures, n'étant pas encore encroûtée dans la profession et pouvant - pour un temps - ne voir dans la politique qu'tm sport intéressant, comme une science, a condition qu'on le voie de haut, de loin et qu' il soit bien à sa place dans le résumé des désirs et des possibilités générales.

Napoléon a dit quelque part que l'art de la guerre était une affaire de bon sens. Cela doit être encore partiellement vrai de la politique, mais le bon sens en politique est la plus rare des denrées. Or, elle abonde dans le journalisme, où des individus sans mandat ni responsabilité - et pour cela - mais bien placés pour voir et ;uger, résolvent tous les matins les grands proolèmes politiques. En général, ça n'a aucune importance. Les grands hommes rr'attachent aucune cariosité à ces ;eux de folliculaires.

Mais ü est donc arrivé que certains d'entre eax,

H IRS'CH 81. c~ lhaeJlhm-.e ~

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292 Fourquoi Pae?

conscients peut-~tre da danger que courent leur intégrité mentale ou morale, ont eu recours aux lumières de ;ournalistes, de ;ournalistes-avocats, parce qu' en Belgique l'avocat a tou;ours réussi â faire croire qu'il savait parler et raisonner. Cette caste s'est emparée du pouvoir par un coup d'Etat sournois, qat est bien un des plus drôles qui soient. Il n'y a qu'elle - elle fe dit, on peut le croire - qui voit à peu près clair dans l'imbroglio des lois ... 'gu'elle a créées.

Auprès de M. Desirée, nous vous avons montré Richard Dupierreux; regardez auprès de M. Theu­nis - qui n'est que transitoiremenl un homme poli­tique - voici M. Gutt. ,,,

Camille Gattenstein, né d' un père tchéco-slova­que, naturalisé belge, el d'une mère française, est un avocat et un ;ournaliste.

On l'a connu. d La Chronique, sous le pseudo­nyme de Silly, mais on l'a, dès toujours, appelé Gutt. Dans fes sphères étoilées de la rue de la Loi, on dit M. Gutt.

L'homme a bien le sourire amusé et malin -toutes dents dehors - de celui qui, en écoulant ce que lui dit un quidam, écoute attentivement ce que 'celui-ci ne lui dti pas. Les yeux sont dans une figure qui n'est pas apollonienne, charmants d'éclat, et les oreilles sont deux instruments étonnants, à qui les bruits des ~es ne doivent pas échapper. Sur le tout, an sourire qui est, -en somme, "d'un bon garçon.

1' el quel, on ne l'aurait pas imaginé en d' .Arta­gnan courant, flamberge au vent, sur les grands chemins. Cependant, il raconte volontiers certain exploit sportif. Comme sa femme, notre plus glo­rieuse sportwoman, traversait la Seine à la nage, un jour de Noël (un quart de degré sous zéro), Outt fit la ml!me traversée ... mais en canot. Après tout, c'est d'un mari plein de sollicitude.

La guerre nous rhéla un Outt équestre. Un bruit s1 répandit un four de Fleet street (Loftdres) au Petit Socco (Tanger) : Gutt est spahi l

C'était, ma foi, vrai; cette guerre nous a révélés les uns aux autres dans des attitudes imprévues. Il serait long et oiseux de vous expliquer comment Gutt, désireux de servir la Belgique par le seul moyen 'qui importait alors - quand nous vous di-3ions que cet avocat a du bon sens - prit au ser­vice, en 1914, 'dans l'armée française.

Les gens de bonne vol.onté passèrent alors par aes avatars to11rnemaboulants. Le fait est que Gutt 31 trouva enrôlé dans les goumiets du Mnéral du Jonchay, qui opéraient alors dall$ les danes, où leurs Je;, rouge$, lears burnous rouges et blancs, leurs bottes en fllaü, leurs petitJ llhevaux, leuri sel­._ à baaG ~i, i!onnaûnl il H IDin IXtt'ltne

du grand tableau d-e la guerre, une note savoureu­sement orientale.

GuH flII spahi comme un fils de Sidi Medjahed; les Dunkerquoises lui parlaient de sa tente, de son harem, et du minaret de sa paroisse. Jamais vous n'auriez pu faire admettre à ces dames que ce bé­douin-là était un avocat de Bruxelles et un journa­liste narquois des Galeries Saint-Hubert. L'an der­nier, des Arabes de grande tente, chamarrés de croix de guerre, échouèrent - poussés par un si­moun administratif - à Bruxelles. lis tinrent à rel'oir leur camarade Outt.

Cependant, on licencia les goumiers de du /ou­chay (c'est un étonnant général d'Afrique qui rê­i•ail de conquérir la Palestine), guerriers magnifi­ques, mais qui tiennent mal à l'humidité.

Gutt alla se mettre à la disposition du gouverne­ment du Havre, 'qui l'expédia. d Londres. Il y eut à Londres, dès lor~ un certain Theunis, qui veillait au ravitaillement de l'armée. Chose extraordinaire, c'était un homme d'affaires et de finances, et on l'avait mis dans les affaires et la finance. Au nom de G utt, il /IL la grimace: « Zut/ dil-il, encore un avocat! n Ce Tlteunis a du bon sens. Et il pn't Gutt, que le Havre lui envoyait, et ces deux hom­mes s'emmanchèrent.

On a déjà dit l'extraordinai.re besogne que firent, surtout de Londres, ceux qui ravitaillèrenl une ar­mée qui manquait de tout, depuis le papier hygié­nique jusqu'au canon. Toutes les intendances lor­gnaient vers Londres, et la « petite Belgique », qui tenait sa place au feu, devait se hausser sur la pointe des pieds pour obtenir les instruments néces­saires. T heanis a la voix claire; il se faisait enten­dre. L'Anglais entend quand on parle clair. Cepen­dant; ces bureaux belges le scandalisaient: on y tra­vaillait le dimanche. Entretemps, Gutt collaborait à L'indépendance belge.

?7? La guerre finit - du moins on l'assure - li tout

le monde - non, pas tout le monde, hélas! - les survivants se retrouvèrent, qui d sa charrue ou à son usine, qui le nez dans ses dosiers, qui sur son rond-de-çuir; Gutt reprenait le chemin du Palais de justice. Ah! redevenir un robin, quand on a été un spahi éclatant/ Alors Theunis, qui siégeait d la Commis.sion des réparations, d Paris, fe convoqua ld-bas.

Il y aurait de !1ien piquantes histoires tl raconter à propos de celte commission.

Et voici qu'un bruit nouveau, aussi curieux que celai du début de la guerre: Gutt est spahi, se répandit à Bruxelles, On s1 rhtichota: cc Oatt li.il trèS fort/ " G utt et son patron montrèrent là-bas -on 'l6 sait - da bon sens (encore) et ae la volonti . G:~ W 1inilllar16a..-. MaJr.. fQmlft# li B""48 rt'a

Pourquoi Pas? 293

pas l'outT'ttuiJanu d'être longtemps originale, on les a remplacés par l'honnête M. Delacroix.

D'ailleurs, Thtunis 1·cnilil à Bruxelles comme ml· rustre des finance(: un ptu convoquA comme le m«­decin au che1·et d'une 1·ie1Ue dll1ne morte dtpuis deux heures. Theunis ramena le fidèle Gull.

Ct terrible Theunis, nous l'avons l'u arri1•er comme le chirurgie11 redouté et qu'on ad/ure d'op~­rer. Radn111Jern-t-il la 11ieil/e dame;>

Puis, sac/11•: bic11, si le receveur des contribu­tions vous est tombé sur le poil, si la douane ou11r1• les yeux, s1, s1 1·1 s1 •• c'est la faute à Theunis (gloire à lui!), mais Gulf - Jll. Camille Gutten­stein, chef de ca1>1net de Af. le ministre des finances - n'est pas loin de Thtunis, et il doit lui donner dt mau1·au conseils.

" Moi. disait-il dtrni~rement, qui sais morale­ment obligé de rayer rnt5 contributions ... " Nous y sommes tous tenus moralement; moins que lui pourtant ... t't, gnmaçants et résignés, nous espé­rons bien drs dhagrbnents nécessaires d'un mi­nistère où la sordide rvlilique règne peut-étre moins que dans un autre, et où le bon sens d'un homme d'affaires a consenti d consulter parfois le bon sens d'un journalfste

Et puis, s1 nous leur disons de ces choses vague­ment aima/iles, c'est reut-etre bien que nous espé­rons qu'on y regardera d deux fois avant de nous serrtr la 1·1s fiscale - de faire suer notre burnous, comme disait le srahi Cult.

LES TROIS MOUSTIQUAIRES.

Souscription pour le monument à élner à Paris l la mémoire des Soldats Belges morts en France

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du 29 auril au 5 mai

294 Pourquoi Pa.a 't

Les Elections Communales Le télé,,.amme du notaire

• Pour 11 prcnu~.rc fa , JI t1 t ~J• x an•, r~ no-tant llarlhHém} pGUrra ch1nl'tr aoa telt-cramme.

- ?'7 - \'011• trtnle-dtus ans que ce nGtairr. l~pt parlait

du '1"1tu1 l1lJVal, quitte ion \llh,ire, les jours d'füction. s1lôl •prh IT01r vol6. Il t1rn1 6 tire à llruulles pour a_<­!l!ltt Il 11 procl111Ull n des rbull.1l• Il l'Anonation lî~­rclt: c'est une babuude qu'il 1 gardée de acs anntt5 uni­•Uullires. tee 101! lt rfsullal global arqui•. il têltf!a­plnt au 1-rgmestrc dt aa locaht!, hbttal comme lui. Or, dtpuii 1reole-dw1 anJ, c'est la rnbne dlpkbe quïl ~ p<.rltt 1u bureau: mfme, 11 la r'd1gra1l aoUctpaUH•mtnl ~'.lie ~1111 cooc11t, pric1se, 11mplc el na\nnte: • Reçu pile ipou\'antablr. •

• Dunand1e dtrmer, le 1,11, 11, enhn, f•U èlre modifié : le parti hWral 11'1 p83 encort lait une pkhe m1ra~-u­leu-~. mais 11 •teol tout d• m~me de r1m1• •• r du lretin mnnmpal, dt 11 b lh· hl, 11• h.0111•

Une lettre intéreuante Mt •l•llr 1t h'''" \ f n tJ')u.aitt! ,

Unti •~,f'tlMUr (llf.. .iew.t11 a l' rirfl!!) t6iaigoM,., qui a trimé dlmanch• dormor d11 7 h IJll A 2 Io. l l, .... 1 1ept b~s do tfll\.'aÎl1 l&fll complM h1 lChlflll t1i-C'ftJl1dto à H rt'ndre d~ chez ~Ut DU 'JUfi'AU dt4 \'ôte tt ht 1f'tonr, \'uo• en\'Oi" !IOUI <1e pli, f'Mlllt lr soot1111r11'1r1l à '11•\r>r A Paria à là mt':mc:titt detJ aoldats btlt;l'il mort• "" ~·rarin.r, 1o prix d1J11Î la Lngr..,.r du 'ouveme* IZIOht li:&)& IC't J cme.

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La baronne dana le box On n'a p1t· u.. lai~ la t l wninne

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Ln barr.nne u rrnu•r 11~ 8\'I r rllus1nn - cl quoml le lendemarn, le pr&;id1·11l l'a 111\lll·e 6 •~ 11·111lr1• dans IÏllO· loir, elle 1111 a 11'ponolu a\o·~ 1111 ~0111 irr qui 1•11 di".111 long sur l'opinion qn'l'll1• A>Ai l d1• lui :

« .\on non , 1111 " ln " foi! p1·11l Mn• ,\ dt>~ irlt<•lr~; mais •• 1 nwi1 on Ill" Ill f11il pn111 ! Pour 111t' 11Uotln 1l.•1hin~, li foui êl"· rdu-. m:tlrn 1pw \HOfi u'Nt•\ ._.

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Dieu candidat A Fra111trl<: I< 11 •l • " 1! • liou, une all1d1l

anno11ça1l : • 1 e &Oir, ~rnnJo• , urilérrn .. par llllt \ndr~. prupagan.l11t?: L<>Ui- l'1t'rnrtl, Mpul~. d 11.,.11, •Hululai.•

lfllc Andn· !ail r~ qu'i·llc l"'UI 11< s 111 os d ,1, 6 iambe< pour sa propJgJtinn: Pitir:ud •'"f!l po11r\·u, 1111t1~ lliru n'e"t que candidnl.

Au fond. llieu c~t toujoun rn111l11l.i1. Hll'l' clr• Mcrplion• que nous ne souha11011s 1'3~ Il \l lk .\ndri• 1•! 1111'1gnorc• noir .. glorieux Louis 1'1~rartl

Seulenienl, d" dén'plion NI Ml'Ppliun, lht·u ùsl réliÏ· gné. Jadi~. il pri-trnJail b Nt., nnr ~01 h• 1lr :\aµoléon: mainlenanl, il conse11t il n'éll~ qu~ ro11sw11ll't ,-ornmunel à frameries ...

Au moins, a-t-il m ~lu 7

PO\U'qUOi Paa 7 295

La ménag6re 'J••w#fT' • 11111111• 1 1 • •oin du mtuago, •rn·1nt~. dit

Ir larouut. 1;mplo)~ pour d"'ii:n•r un• prr./eu10", <e mot a donc

un !ens hitn prlcrc. Oo peut l'rmploHr •n pa~lant d~ la 1 fcar9ocmnu11 a11~la1k' u•l dt la • f•mme à 1ourn~fS • 111 unllnife. Il 11'1•!1 rt111·• point humili1inl : le fait ne ma· 11irr IA " l0<J11r ~ rrlnq111·t•r • n'a rien que d• tr~~ hMn­ral1l•·. <11rto11t i n11tr~ fpnque dr tll•mnrr~t1e r11n•r11•nlfl ri nr.cani•~e. qui $4' ri•Jll• ile fair• rl•r• 1111• plue humt.1 .. •11r 11•! li•!,. 1!1• rn111l1tl•I• ~"" mnnrlftl• /olrrlif•. \u"i rom. prrn<f.nn parf,1ilrntrnt 1111'un• tlP< frmm•• lec plu• tlΕlrn· :r11~1• 1lr ln •onNf hrin•llni<' riit rf<11l11m•ol prH~n1 rell• qunlir1rnllnn dr m~nn•''" A tn11t1• nutr•. pour forurrr tli\. rrmmrnl sur """ h•tr soriali•I•

Mat< la :1t'a":r ni' r•ril jamai• •1• droit• t Rrirullr,, "' un• prtilt annone• d'un c.-rand quntidi•n lai•ait P•l'Te­nir A la randit!.11•. A la 1·•ill• d~ ~IHtions. un •Olumi· '"'"' coum<r auqutl . '~"~ dont•, •lie ne •'att•ndait ra!

F.n 1•l•in• rri~c if··• ••nanlr<. rnmm•nl un• annonr" aus•i ~ttrnanll' qur ctlle ri-tlP•<011s ••rail-elle. rn rift! , ra•.N- inapHt;ll~:

\12NAGEll2 flhrc ln• le< ••Il•• de 8 htar .. l midi doaund1 cniplol.

F· 1 irt 'f"'u•e S • rae X

Il nnuA r-11cnl tnulrlni• qu'aurun• 11rnnn,itinn d1• f( petit rn~nA~• A lairt• •n villr » n'a reçu urruei l

Meeting borain

Sotre ami T,1111i Pi1~ •I donnait . .amtdi. au Rorin•MC. wn ,fn11l-!i'<i~m,. 1·1 tlt-rnipr merlin~.

• Il faut. dil•il, rn torminant. qu~ j'indiqut uu• !ni• •nrnre. au• il.ltttnre• qui •e trounnl dan• t•ll• ull• rommPnl l'on doir TOl•r. •

1 n ltmme l'inttrromr•I. ~• aie : • 8 ·h ! c'nc•t n1• l'peln• mnn hnmm• m• l'a mn11~tr~

(mnntr~). • lli lnrit~ 11~n~rnl1·. • \ ~u•llr hrur~ 1 • , ripo~te l'nr9t•ur •nns •ourciller. f.t la l1'nlJ11e 1lr ri1pondrr, ~an~ prrdno IP ~ord non plus : • On n'prort no l'dir~. ,.

Con1eil1 aux dame•

Il un ,·a~1t I"' """"'" le~ g1·n- q111 nt li•e11l q111• fi• a1uw11 " pourrnr ~nt I•' r•en<er. 1l'une rèclame 11nur un• m~u1 ure ou un• car• trt 1flt. \1 f!t. 1 •.. r ('lcc1r

BLUE

•r•nt doté toule5 les communu de l'egglomératioo de ruu•cill~rtS, il esl • préoumer qut, dans lt• palabres com· munalts futures, l'urbanité et 11 polite!'e auront enlin d .. Jroits et que '" •~•nets de• conseil•. 1?rice • la pr~ Rnre d• l!>utes et! dam!'!, dt•iendront comm• un u,alon».

l.es di~pules. lt5 obstructio~. les querelle• <I mem. ,.., z"anres ont trop sou\ent. dan• lt pa•s~ lait rt"embler les rrunions de nos ~Jil~s b de!I para•ltS dt tréteaux. Lto journali•tes de ~rvfrp s~ crurent plu• d'une lois au thM­trr - eu~ petit• th~Alrc•: il• intitulaipnt couramment 1 .. 1ir• comptes rendu•: Ltt foliu tthnerbnkoiru, ou an­tlrrlrchtois~s. ou 'llrrbr~lt.11ius.

OorfMvant, on ne tiendra plus le crachoir. mais le dr•· 1?roir. F.t il y aurn, dan• la salle. •inon une vague de aa· 1oir-vi1r~. tout au moin• des on1lulntion~ ...

Surtout, mesdame•. ne vous mrttn jamaia en colère, rar, comme ,·ous !a\tt, la colère est mau1·aise conseilllre.

Et \'Ou• lies toutes bonnu . • F.ti-n ...

- Croyez:·mol, si l'on comprimait les d~peoses de l 'Etat comme on comprime les voyageurs sur les plateformes des trams, la s ituation flnanci~re serait bien vite r~tablle •..

BAND SETTER THAN BUTTER

La célèbre margarine anglaise

Un vrai régal sur le pain et dans la cuisi.i:ie EN ~"TI: .P..UTOU.r A 11'. 3..,.0 LD 112 Jl:IL()

P ourquoi P a s ?

ües fdiettes .

L'intempettif conférencier

\1. P 11. ,, ~t embauch• dit 1 · upc d•• • grande< wnlktn~ ratholiqu..- », 11 · 1 que I" quihh~ un rnm­munaqu~. Ct li. Poincaré i~nore-1-rl qu'•n llt!l.'lqu~. Je mnt radaoliqru. t-sl rëtiqutUe d'un parti'? t.I, s'il fagnore, romment le lui la~t-on ~moru 7

Tous lt• 11:ens qui ont ici rullivt l'amili~ franco-bdl!e ont \Oulu le faire en d•Jic.rs de.• partis. Il rt\fnaat à M. Poinran! de renier utle 5a!:t ron~cntion - r:ar nou• M p1rlon• pu d"un Henri Bordr.1111, .. 111olli•nl <·I cata­plumatiqur, qui endort les douairi~rf ,!An• lt· ra~otH fa. ri "'C rie •e• harangues !

M. Jloinrnrè, il est vrai, n'attache pa Paiur~r+ nYec des saucisse,. Avanl ri• llerrirr - comme on dit la !'Alhambra t•rrain ailleurs.

• l'lwx mille cinq! >, al-ail-il /.nonce.

Ir loulou dr \!me •1,1111rr avl'C ll11r

il n•eil tatP Ir

l'lwx mille cinq pour un• contfrrnrr, c•t!ot un l.hifire, car enfin, Poincaré n'e!>t pas Canuo !

liais llgr ll~rcier a dll prom•ttre mitut : unr anduk~oce pll.nitre par eX"emple - fl c'etl lui qua A e!!Eag~ l'arti•te duu son lhHtrP .

Let savon. Bertin aont parfait.a

Ra ncune royale l.r~ membres d& la Conr~rrnrr 111lernnt111nnlr dr' trnn~

ports, qui a si~gé à Barcelone, ont Ni• r~tus à la cour 11"F'r·•Rn•. Drpuis le voynite drs journali I« hrl~e~ nu ·li·l!1 rfr, monte. on n'a plu~ • Mrrir1· k• •rl•n~cu" dé­•u;les du palais dt \ladrid. Mn plu• qut ln rourtoi•ie de~ ~•ttrl'ain• ~pagools. Ceux-ci. URI' ro~ •.OCOl l"., on1 Hé plein! d•attentions pour leu!'! hlitell. Il y a eu ile!! rttl'ptil)JI• tplmd1des. au.xquelle5 a«i~bit la reme-mm. ûllt~i ,.'e11 montr-tt parfailemenl eT1CieaH pour tou• I~ d~lf­gul:!, trouunt p<1ur chacun d'eul qu•lqut$-uru de c,... mol! aimabl~ qui montrent qu'un !OU"fffain ou un• •l)U

\trRin•, fu«ent-ils hoMrairt•. !Hent leur rr.Etitr. Yaa quand ell• arrin devant le jll"Oupe dt! 5rr~~. ~t< Tch•rn Slonqut• f'I drs Polonai~. cil• p111.oa uns mn1 dir•, >u h1lrm"lll llP glace. EUe ~e l<OllYl'nait qu'•llt ~l n~t •rchi­d11chcs5e d" \ulriehe. Il se po~l!l'ra lonl(lrmp~ avant 'I'" 1, familles royales aient parrlonn~ aux EtAI~ h~rilierg de la vieille monarchie b11bsbourgeoieo.

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1emaine

u• lte ~ t. hr. Le tQfire-lon dr l'El•t : la ragru de pbr La paix tjUI m tira lin au~ bo;tilitL· l!J"CCo-tUrtjUtl

'4 paiz dt rll.fta.r. Yilt ~.-1 • /, lulA à mam pla,,. - 8ibrnr. :.1. •·ou '•rnon• • /, IOt pl:rillnir. Le marerh1I Foch : Ir urrr-ri1 anti-1cept1qut. l,'rl~llon rlu !!l ll\l'll: la Jm;rnu dn luptJ /f.tnri•

btlgr im·rnit 1

La Buick 6 cylindre&

L'e,cellrnr.., de la voiture BIJICK, au poinl rlr vur m~ canique, re!sort db le prtmier jour. et l'u•agr prnll)n ~ ne lait qu'tn a~ctntucr l'évidence. Demanda A ctltu qui oo«o\d• une (Jl'ICK rt qu'il en pense.

D ., 1 1 , lf'll d '"'' .mb dn _, al1•mt n'on eu qu"un ob~rr dtpm• l'arm1•u~e: rnumlilu~r l'lnl•r nallouale. Cfla J~ compPnd ; c'est à llnttrnallonalc qu'r d"aient le meilleur de lrur pre~lige. C• super11ou•crn ment in•rirait à lou~ lt.! i:ou.cmements un re•pecl apr11n1 et Camille lluy~m•n• llail un tr~ gros pe™>nn•~e mon dia! \lait, quoi qu'en di<rnt les vieux orl{nnM othri~lc 1t1

sociali~mc,la 11111•rrr a eu pour clEel immédiat or Aurr~ri rr il tel point le ~rnl imrnt natinnsl, que J'ln ternnlionnlr, qu n'a pn~ pu •mp~fht•r l.1 g1wrre, e~l tombM> rn mor~•au\ Le doclrinar"rn~ dr. l, 1inç ,.t J'opportuni'm~ 11' \lb111 Thn mas l'onl achr•~e. î1>1JI• la •liplomatie dr \'andt1-vel1le n·~ pas arri•& la raprr()(brr le~ tronçon• du !erp•nl ra moien dt M11a~l' une nou•elle doctrine du mac:ma Mn fo! que lt! ambition• rndnrdu~ll·~ •t r .. 1iti:ataon~ ~l torale• cool dkloir~ ont fait dt l"3Dei nn.- .11$('.rplrn oorrih~. lAi 1•1tiri~" prol~tarien divairue r"mm,. 11 n' 1uiai• ilin1;11~.

Ct n'e!t p:a I• lirliqut qur. I~ <ocialismP a 1doplH VI

à·\Î5 de l'\llrmçn11. q111 lur •rndra •on r·d11. AH o ·~n· l'ffYtnl11nrnt rlts i:rand· chrl• - on n• sait i•rnni - lou< ln 1•ar1i~ snriah•tr•. au••• bien d•n' '" ra\• d l'f.nltnte 11111• •lan1 ll'j! p~H nrulrrs . .,, •nnl rni• ~ lnir ~ampagnr pour ~11ar11nrr au Reidt Ir• ~anrhnnA tln111 "' Ir mr.narr ri •1ui rami&~• nt Nrc le s•ul mo,en ilr h· fa ir paver. F.n 1 nre. M nppMe des allirh" annonr:111I qu le j!OU\I' ,, rnrnt • 1rnpri 1.11Î5m ri mili1ari,f1 " du « rrn 11at • RnJnil a iltlti•l6 M rtcomment:Lr la t?U•rr• rt pr.1( ni•ant I• •3bvlue tl la rrh-e genûale. En Anplrlerrf, o rtcont• que 1'011 a molriliw S«ùtemenl, que de nouveau

Pourquoi Pas ? 297

tOl'Jl' d'um/<e <ml ;1~ • nvo,.~, 'ur lt continent. ri l'on •tr­f,,r<• de trall.!(orrrorr la ~tt.\t tir! miuturs •n un~ menir•J­lllllon antim1htar1Plr. l.tl ~nc11hit~ 1tahtn• irairnt Bal•' dou!~ J•lu~ loin •n«xe, •1 le mou~•meot ri~ci·~ n~ r., nait littiral•mrnt trrrorish. f.t •ont mamt~nant lrs ora· tturs rl•ofttjonmurt qui ~ !ont a:s>11m11~r 1•ar de! eudi­ltlll'! \01.,nl•1tcment ~ourds. Parlr.at, r.n tnat cas, la prt$~ •oc:1ahste IJrt cr qu'dlr !'('Ut pour rncoura.;-~ l'Alltma­fllt à la rto$ut•n< '"

? '? t. e•l '"" ltrau~t· la<ttrjU•', et qui [>0urra1t birn lui ~lr1

four•!•, rn1 r. s nnhnuhlar"lo·~ anhnahonaut, qua fout dt la 1ftrroa11oph1ho ('UUI' rnil-'!rr lt·• gou\1·rnrmrnts, \Ollt

nea~~irtn1• nt au to()h hr·•Î•me inlf ~rai. li• n~ tont plu' •oüoh•to s que dt n<itn ri, â leu~ }tUt, \'andtr1o•lcle uu \lbtrt Th~mal\ n• 'aient irul're mif:UJ que Rri.uad ou 1111-leranoi. Ils d1s.'nl OU\, rttmtnl que l••r•IJUt 'ien~ra lt • irrand coir •, cr• co1up~. nons-min1•l1"t"! Yl'tlnl ·I~ 11 1•ro-111iÈ'rr:: r.harrtlt"'.. '

Celle d1•IO<'•hon du Mltiali;mt 1n•.rn1lleor.1l prut en­{!iant•r 1,. c0Mtr•alt11re • tro1Lo: 11 con>htue en rhht" 1111 ttritalJl1 dan111?r, car le !OCiefümt l\ll1ciel ninali•ait trb h"11rru>m1ent l'i!c.,rndlr re>endir.ation r~'olutaon­nrure. JI i!!Jil drwnu un p•rh commr un autre, un p1rh lrè' ulll~ 1u bon lonrhl)nt1tment dt la mnrh1nt politique. un parti avrr lrirurl 11 ) n\•ait toujour• mo,·en dr s'enlfn• Jrr. 1.r• ponh!r• tir l' lntnnntionalr n'ont pas tout ~ foit tort 1111a111I 11~ rlis1•nt 1111•· Ir monde eRt rn proir h la 1·011rlion, rnni~ 11~ ' •ont pour quclqur d1M1•

lnd Coope & Co. Stou t et Pale Ale, let mrilleura.

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rrt h1EIOtri' ~NU• rl'ur fair. •u1te IUJ " ÎDt• dt ttam• •>aH, 1<i !tdl>lrm•nt tran•critt• :

l.a 11<~nr npr•'<U1lt un • Cho.,""<>lat 11, BourMoplate llau­rir~ \an lleenen. 1, thrrmomi•trr m1rq1w. à l'h~ure 1!~ wi1lt, :!O Jrgrfs. ln "')•tgrur montP. dans la \nÎtore Jt

l'arr~t M 1.t f>IJca 1!.. (3 Cha1wlle l'I >Ïn~tallr à l'interirur. 1.r< Jlé'hl> •a,i•lds !uni OU\t~I•. 1.'anl~nlion •1'1 hon11c. à toutr è1 Hknc<', 111• la part du pcr•onnd. Pourt~nl, dt·• tlam..s ~out 111• 0111n1<•lo1r$ par I•· courant 11'air: le nou•eau \COU i.u1.,i

1~ rt'Cl'\'tur, Et>n hlor dr hcLrt~ /J I~ main, •'adrt-"~ au Mu\rl arn•·~ :

• !'iou riait 1 • Pardon, rtt•>rur, ces d~m•~ se plaigntnt rlu c>iurant

d'air. \'tmlln l\Olr l'obhi:e~nct Ife f•nn•r 1 .. ,.••i•ta•. \rn~t-cinq' \'eu1ll"l d'alltlrrl l•nn•r.

- hrn d',t10rd '

CORONA • •

- Fennu d'abord ! \'ou$ ne pa i·ei pas T

- Je n'ai jam&Î$ relu!~ de r•111 ! ~ Payu. ou je rais arrfler .... • ln silence .. Dioi: ! ! ... U- tram 5l0ppe. u t"Oyagl!Ur. - Voilà ! c'"t p1rl111. le •oll'S re.mereie;

rommc ça. Ir rourant d'air n'ni1!r plu• ! Le tram demeure •rr~I/' à haut•11r de la Portf'.Rouge. L~ rer•~eur d~end dt la vo1turt, aprrçoit un agtol tl

l 111.-ile à lui prêter Éon concoure. • f.e .-oya~eur relu•• de paytr ! - Ce n'e5t pu vrai ! - Parei alor~ ! dit l'atrtnt. - J'ai demanM polimtnt au rntvtur d• hitD vouloir

fermer les 't<t.'!i!ta~. - A Urie ! allfi~ ! accrz discuM: on n pas tnlntr

uM demi-heun ici, 1u•el• ! l'tnahunki•uit .. . • En effet. le serTire ftaot particulitttmtnt inten•if,

de1n tram! !lationnmt dlj.\ dtrri~r• 11 •oilure immobl· li•'e.

Intervention d'on contrôleur;: • Qu'est ce qui gnia ? • Souvelle explication : lte •oreiceurt , lu d1mu , le r~

•eur, le con trôleur et l'agrnt e'expriment avee volubilit4. Enfin, le contrôleur, brave hommr, bon orbitre: << Allons . c'eat dfja bon ... Merri, &lon1ieur l'agent (ioi

gnnnl le ge~le à la parole) : Jt vai~ frrmer les vu istu, et monsieur va payer ! a place. l n avent !.. •

Din1;-ding ! !. .. • Combien? • demandt, ro11ur, lt ruereur ou client. Et celui<i. d'un air candide : • Rieo du fout : voici mon billet d, corrC'poOdaott ! • Rideau.

Le citoyen contre )' Admini1tration

:'Î<» rél-êlations au •ujfl de l'ill~111li1~ que commet l'admini,tratioa en ch1p3nl leur carte d'irlrntité et leur pa.·~rpnrt au1 c 11oyen~ qui ne ~ trou1·tnl p•• tout i lait rn rtgle, el en fl'llr imposant une am•nrle d• 20 francs-or, nou• ont ~alu ua certain nnmbre de lrltrf< :

• Ça ~u~ eL .. nne? nou! dit UD lect~r. liai! l'admini•-1ral1M1 omrupot•nli' commtt con•tamment de~ illégalit•• d~ rPtt• naturr ! V• uLa~•· admini!tratih ont champi-

V~i '1taclri1Jt cl luire

P'f'MCIJelJt

l I Alfü::;Sl'MENTS

o. VAN t{OEC~E U , Ma.rcbf eu Clu1rbon:"' 6RUXfll.ES

298 Pourquoi Fas ?

gDOIUlÔ autour dt la loi. de ttllt m~niùtl q\lt ullo-<:1 ~I •ouTrnt complelfmtnt fau~h. Il ut \TIÏ qu"1l ! a pufo11 d"autrc• r~gl ments admiru5tralll1 qui pourraient dllen· dre le contribuable contre l'admmillrahon. S ul•m•nt, le conlribuJLlc ne I~ connait pas. •le sorte qu'~nlrc les mains de M. l.t"loureau. ii n'c•t gtn~ral~nt qu'une •Ïc­hme ri i n c. Rien ne ~ra11 plus uhlr nui citoyens bd· gcs qu'un cours pratique de lfroit ndmmi<lrnh!. Ça leur ptrmeUra11 en Lien d~ cas d'WTO\fn promener leur tyran, le ID(iMrtur du bureau ou du guich t. •

Il a raison, uotre corrCEpondant, ~h·in1·rnrnt ia1••in ! ,\.ius 1110115 6tJll• un 1t!girne tlr l1h(ortc, .lit-on, <'fi 1!.·mo­

rr~li•. l'<otu 010111 rcn1·ersé les 1\1 an,. \l~i, 11, nnl •'Il• remi·l~1·f.~ par une hrnnnio anvn)~"" irrc•pon•ahlc et 111-Ul•U~ablc: c-l!ll~ drs • i:ens charmant$ •. des m1ni•tè.res cl dt! gens ansupp rtablt~ ~ gui h<l5. li s'ag-it de nous or­i;aru• r pour noU! dH~ndre. Qu~ tous 1 ttn< a .. •I:!. • qui l"nptncn c a app:i< un mo) n l!gal et rigkm nt.me de remeUr• au pas lt t,·rannt:iu en manthl'! de lu•triM nous Ir lll!!tlll connaitre. Pourquoi f'lll • ne dtmandc pJ• mieu~ que de unir ile guidt au citQ•en rlans ea lutt• contn! un• burcaucrahe à qui la gum·e a donn~ d" ha­bitudes de plus en plus auloritairt;i. Et cele noU! rir~lera un. doute de 1ncv ·~uses c,... .. •cnes.

Les ;~~;;;~·;;~·~~j:;~:s1 Mwr. Keuen:

OCCUPE-TOI D'HOMÉLIES i ~ .................................. ~ Les Zeeps causent

- o..enc oou. . _,, ae,à tomb#e dan! l"alxlomtn pu· bhc.

- t:'nt ~acore un de ce, l)pes q111 prend u 1rM1t pour uuc lanltrnc ~

l'en•!Dlll l'occupation, c\ lAll ~j p~mble ile p<l<!l<'r devant lo g11h11t• ou la senlmefü 111• lu Komrnanduutur oc trnait rr1 pul1i'laclion.

- I.,.>• OUH11 rt ! C'est devrnu krr1hle dq1uis la guen c ! 11< dtmaudcnt trois lrancs l'heure d, quand ils ace 11te111 d' 1rna1IJ r, ils ont e.ocore l'air de •ous !aire u1ic L'fllil1-c.i1 n.

- Il e r•t ou• 6 nre à 1t111tt df.boulono~. - Il d1trch• une pierre d'tthapperuent, - J'ai !oit faire le< parterr~s en bombanu dans mon

13rdin. - li est lomW o•a sa ; dans !'tau.

??? JJl.noYat.loo ab!!Olae: Tou' le monde pourra partMptr aux Urai;e11 df'

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Pour la prochaine ruerre ... C... brarc homn:e ( 1\ an!, en~aré 1»ioah1r•, •· 01t

dr ;iuerre), now d11 : « J~ m·en aperçois oujounl'hu1 : JC n'ai <té qu'une poirr.

Quand la guerre a éte dëdar~. mon ...uic n'a fait qu"un tour. J"a1 oublié qu fnais un !1111ill!'. <'•s alfairf$, du ~mii el dr.s habitudes; 1c III(' •u15 en!ta11e. Pendant qu~ 1e croup1S.<J1s d~n• ltS traorhh! ou qu~ je moisim1• lfan$ lts tanlonnemcnts, fnppttnRU' f{Ue me n-irurrents f~i>~i.,11 •l'evollrutr< nHa.ru tl r1ue qutlqurs-un• n'h~· s1laienl m~rm• p;1< Il en lair1• n1ec l'<'nnemi. On 1111· rar1111 . lait •1u re rl1m11n1iant rie \ , une de me.< ro•lation• rlr jad1-, rn.111 •cc nolntrc, tin• nntl riirect1-ur ~en~ral lfans I• ~9~•unen tnt all.iÎ<le. •Les pl~u!rt5, !~·:crétin•, me di· •a•'-JC, al• u'ont 1••s conhan e dan~ noire cau•r. ouïs '~ ç1iaprè• l• \ Imre ils lori pa.,r ~h r leur complai•anœ, leur tup1d1lc· d ltur I~ htl~ : •

"L.l 111 loirr Hl •tn P. ll r n. urr•nr, joui«rnl n p111 d;o la t.tllc !ortuor qu"1ls ont fo1tt p•ndanl la 1?11err~; r• >Ont •les Zc ps fvrt .J1uin!('Jk ceux qui nnt trnFqu~ nier l'eont:.1i ont eu qu lqn• moi d'1a 111iHwfc· m~•· il• •ont ii pr~rnt tout A lait ra rur~. Q 1ant ~ ra.hn•' \ , 11 a bien fû rondamn~ i q 1rlqu ilnn.<.'- de p• •on, ma•s 11 nml d'~tr~ ml! •n hbrrt~. tl 11 e•I dL<p05e à allrr jouir en Hollande de~ ullu qu"il 1 nchtttt> •ur ,,. «oro i '· Ce ;onl ,1,,, malins

"> Au~~1, f1 la proclh1Înt' u11HH1 • j.- 1'ïai,; hi11n ,.,. '1ll" jr !erai .. 'fon f•'•llrnwnl je 1w rn'~n~.1gerai p~s (je •rrn1 •an• doute trop 1i1·ux d'aillr11r6). mais i• m'arrangn.1i pour faire emt.usqner mon !il~ dam lln comil" dP rn•1taill,.. mtnl. Puis p• \tndrai d~ clilu«un ... du •.won. d~s fu. ~i'c. du btnrnl. du !11 de Ier barl.el~. dt· t:OUTellurr• d• laine. du p p1tr. n"im'lllrle qu i. au be<oin. r.t qui m• resltra de ton ricnce. Jr ~pttul•rai a\>tt n'impnrti- q111, lût-ce IH't lts Bot<Xudo• ou lrs ru~tn~. el mo~ nu •i i• de1·iendrai millionnair~. J'ai #If poirP one ois: je nP IP ~"'niÎ p.a_lli d ~ui •

fo1là l'et!l d' ·prit qu'ont lait nallr• lt.• non.J1tu1, 1,.. acquit~mtnl• <I le• c net de cl~rnenc.> • d~ c~ d rmtn • JU-"'·

8TO UT 1."l' A.LE!; Ilet l'tme en joir

Co11rom• Pourquoi Pa.1' Til ' 6ruxelle! ll~ .11 1

.\nver• 4~

Lainez moi pauer, que j"y coure!

La cl " dt! le111~ ,, scie - >rai<~ 11tadra 68 séance pulol1quc annurlle le 4 11101, au palais dts AcaJè· mi.;;.

On eottndra une leclun1 i!,. li. J. Bërlez @ur: .ta l'•· ntnt d~ ftmpcr~w lulici.

~P-> Musique auatro-Aamande

D1lft11 .. nl• <l tr ·ti:u s 1!1· lh•'~!I" ilr llruxtllP• onl ffCll la ldtr~ s1111 011ti- :

)Io:; • au J ·., 1 l:cl>! •W' do '"""' IN rmer q.., J ., doim6 b tep~

\a.De• ~b4ra. • d• "'°" Miu= pov le> "!'riooc•&tlllm .,. i....

Po1.1.rquoi Fas ? 299

i o• 8amand• " 8el~1t\111, A )1 .101, • • 11 Da.mmt, Oand. 6f. rut U..ute M: .Tc • ••n ()_i\n1tflfl ,..\ 1\!)1tC 4' 1\0rit4 rh1 ror.tr._r t.r des GUY-,. dP mata Mitlou t t d• t•i1• l'f'~m"'f<l dt• l-'n· t.if:.m .. • T ,.latin• M d'•l!tttf1~ndt0 todL 11n mon nom <l,., t'1

qlli ~ mtJD M.ttion. • Je FUti anc unt! eoll.'lldhation puf•u"'",

J-ph Wrin~ct~"·

Il. fo. 1 W•mlM"rj;tr (JIM1tW1rn 11nd C /intn l'~rlag) •Ul'll-t-il ['llr.' dr •ucds pur~s du ruLlic brutt!lor• que ri"~n ont ru ic:i, ctlt. semarnr. lt• pnmpirrs d• V"nne1 P~cwa-t-il rninn !t! • tt.•!tn•ilM • q11"1l1 n"nnt remplaré Ir. f,UI'?

Cr•I t.1o•n 1, ra• dr drrr : l'orhrl1e I• ~urlt•

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\end la rfo~1n. 1fr -~· p~rerl• Î< 11ua1 anlr. Jous ~ 1 \ ul i'~· frollf . . Re:rn-1• ri b. a ' •

fl·•rinar. - R..-grelS • nou• ~IOM dljà tant dt' 11 t.111!-1

conn3i•sanct' ..

A la bibliothèque nationale .ou

• Le<: rnnil•-dl"-('mr ·~mbl. nt a"1ir proh~ dt Li trutrrr pour r•ndr~ d,:,.arr·'abl• la frfqu•nlat1nn dr la n1blioth~ qur. •

11 J"enlre donr. •amrdi :!3 ••ril. d.in• cri #l~hli>!t11trn1 fnmm• i~ monte I• !?l"and rs~:ilirr. IP pr#po•~r nu v~ li~ir• mïntrrpell•:

• • Mnnsi•ur. mon•Î•ur! 1r1l~rill 1tu flAr•ll'c.u• r•I 11hh t:tlnire.

,. Allons. hon ~ F;t pnurquni •'il •·nu! plall 1 ,. C'f'<I le rëel•m~nt. tl Jp m'exécute ! On r•ul j!~rMr •nn 1·h;1J1rn11 ri lll~•OP

•nn parapluir. [,e pardr••11• •·~t ~11~rrrl. Pnur<fuoi 11'irn· pPSrrnit-Otl (lOS le pOl'f d1• ln 11111Rr)ii\r1•? rrl~ r1t1p~d11•r11il dr il· vorrr lrs IΕ'res.

" Je r-monte l'rPca lirr \ 11 mnmrnl ri•' p~nMrrr •Inn• Ir >anctunirr du livre. un lonrtionn1in·. 6Îlu~ dnn• 11111•

cnirc de verre, m'apo~trophr ~ •1111 10111· :

• - \lonsieur. rolr•· r.irl, ~·rnlr~r ? " .\h ! il laut un,• cartr? \'orrr mo 1•art• 1l'i1tr111i1~ • - Cela ne suffit ra,. Il faul IUlO CM Ir. r."c•t Ir. ,.,._

~lrment.

- 11 - C"~t idiot ! • - D'accord. YoHz L~·ba<. daM la rur, au n• r, • Je re('llrs : à rer.t ou cent cmquanlr u1~lrc~ plu! haut

nouvelle •talion. 't l'n autre moo<ieur. saru; ea:?e ctllr loi!, lran•t.rrt •or

un ca~lon I~ indication• de ma cari<! d'idr<1tit~. le •uΕ ~n ~le.

• Je rei.>urne à la niblio!bl-qu~. J'entre. Vn qu3lri~m• p~rronna.:• me demande quelle place je choisi!. 1\ouvtll• carte.

• f.nfin. •ur une formule qu'on mt trnd, jÏnKns '" !i\rt souhaité.

" Pcooant que j•· •u" U i hlllrr nu1 rorn,illr$, j~ r& ll""h1; que la carte d"enlr~. ~mplc tranoenption de ma

I• ~"idenlllé. t»I une pure c.bino11eri~ ro 'l'llUOÎ 1!1 li,

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La célèbre margarine anglaise

Un vra i r ég a l s ur le pa in et d a n s la cuisine 1'Jl'i Vl ll\'l.:l:l l'AkT001' A J.r. 3. '> 0 LE 1/2 KI.LO

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• !'out.li .. 11~ '""' qn'Pn !Orlan! ile la R1hho!htq11•. il r.111 rr1111•Ur.:_ la .arte portant 1. 11111nlr<> ·'r ln plan•" Cii­,.~. !

• lf, p, ~lrèr fü• MurraÎt·il t?ft(>tfrr Jr< fon1 IÎonnaÎr('< d, la Bibhorhi.qu,. nàti..nalo• ou liu11 uns ? •

~In Lill~.

~··········~~·~ ....................... ~

1 Les sobriquets du jeudi 1

• M E. V aodm•ld, dinant d,.. M<~•• ,

• THÉMISTOCLET

~··-··········-.·~ ...... Petits Belges ...

l ,, "'' "' Gh111·01/r, ou• l 1 fl~11:1'11H• fi, \1 , \u~u•tr lie­lot lf'l'""' ar Ir rhlr ile ""' 111'!1 ~111 • A l'1•tra111r•·r. Il. \ft'­lor Cil fui, r1·111)a11( fa g111 f1t' , 11 foriJJ,, (l'u11lrr• 1"11 bnfl~ •u••i •111a• al parait •111'~ leur eynr~ 11 n~ lw111 ritn e~a­~hrr.

\'Q1ri f, I'• ••.1ze. rt Ou1tl~ du l/tmntto q111" P"lrit " ; • r..,, .., ,,..,.,. nn.i"' .. m.,..., , 1 ... .u1~ c1e li a.1.

i::;q"• diri~tt:aknt i.. Jolo.tJo. m""""'1tnl Io ,... ot 1....Itt• roc •la111""""1 ocra~ à rhoiicilJ..,. \f\I l.lov.-1 Cl""IV t! Bri.&nd rln !~!;;<> qui ,. ......Ït airui i..;,_.~ boumrt la cri1lf' &tlftÏI ~té on l""" dlçu A 11. l«tatt d .. joorDAIU angblt \ L, •hit~. notn' t.,J)• rf'4t• tf'è, wytnpat.hiqnt' ottnne Gftf' pbr.f. ht•fh·ra.bko. mai .. ,.ou.• pftac- J.., l(_lft)1)f'r •h:ns le ntfit'11lct. noo1 M deYOM jamat• 1M1bh.-r qu'•,ar,t La J:nrrtl'. b ~lgique ,,. joua.t aucnn r6le rlllna h tfnnioll::I ,,ù ,·:\qitafont ln ,i.:"'ndil"!i qu~tiorv: d" poli· 1lqt11"' folttnlliMt.A!.- - ôn nc;u• A mf-mt' ttfUt# <l<- ilf,.nd"' nC"JU· "'""°f'tl •n r"htl"ft, lin Ît•tlfft• t~l~N ?N"m('h: 'JO'fl)J,,: n'a '1J. (..fhf'Ji"'Uf'fTWr• • ~,. • q ,. dt'fotDt.a la db:l.uat on do B avt'I!" "l qu',.J}ft ri,. 1n1t tl•l!M" mn#"T à dar.:7'fr ),. lan u'" 'itu!\ ha 1 !l ./..,. (fflt !.. "11100n., bien aul.rf'mf>tj' puil«act.I qa'f"lle ..\11 nt: 11tu, -.r.,.. rw.t,.. aprè. f'ftlNnl' 111~ tt.a t •n.nt la ~. une ,,..ut,,. 1 ' ""o dr ...-P' ~nllimtJ d b,.)Ht..nt. n"a, .. t qu'"LnP prtit~

"""''"'' • ""'-"""" bkltan•• "*''' • lnMIWF'nw: ,,., d'•ro-r.f "l ,,. d'w: ,. rd.if,. arrrk 1nJaff11•mav t natillf.,. "1. ~ ~tllft fi ""11,..,.,. "-ont Mi dfhot u ,., rnlinu• 1'M CNnt•tlu Nr ..,. ntt1Taze h• t f.t:,. llP 1.,.ul •lf':ltte a101r ttn"IUM' f f't1h1 u.fluf!'nœ.. Qu.1.nd ,.u., tP.t r .. pttot,. tH- tt=Jr tfri1 hrimmr• ''" valftur. t,.i. 'Ill .. 'Or Ttu•uoLJ fll .h .. par, rt '1'''" p.ar lrnr Of'Rln,., d?ri au,:~ro d,.. for. lTIUÎM r1t1fl'1llt"l&, nn 14<'.'flf'r'f'° \ nl1ml lt'/" • f'JI !ll~ttMt)ons., Î '\ Wli

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Elle eet b1tnvt1llarit•, tl'a1lk11r•, la llrr11, f:ln!'fn/, r. 111ilialemtnl. Li•u la •uit•:

Il faul r .... r. .... ltn d'&ilJeun q .... M<." n t MV°"• ~ p.> ~rohtu d• ~ l1CI' a-:antAps.. \1on q .. ~ d~ zrardt payt, ccnuTflt 1.-\n~lot•rn rl b Frantt, ,. 1 111 rtpri.orntn pœr 11ttn>1•.-1Mar a.v.tori"· par ltur prrnu,.r 111ü.U..~""· l& lkl;iqu. n'C'DToi. .. <t'a mtOÎODS qoe dH •tteodo r6lft )f ~Jacrci• ~ fgl S- 1 "•nulles M r...,too do \\W\ n• l;.t Ill 1 l'AN, ni & lmidtH

V. r.arton lie \\ Î3rt 11111on •acr~~ a•a~t 11»11 ••n H~ta.iuem<-nl n:nre dt \ojr rt du1rr ain<i I•• r1 .. lp .1 ... H mo. •l••I•> nnjnints (• •npr<>scr, nnu• le ri·p~ton•, qur ceu\-• 1 ~\Î<ll'nl r,.tllem•·nl). Quant a \1. tlo}J C•o :•'• nul .louh• qu'il •oil natt• a11 11111• haut (lllÎnt d'f.lrr n11• •ur ,,. m~me rie.! que nntr. • prcrni'f • .

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l e Tilon ludro,t.

Quand il• n'entendent p&1 ••• (.'. ,, 1. lit .!11 ,, •i r "' ' ,1 r p l lh,,~utrilr :

fJio/0911., de f mmt • \ou~ ne le• rttornmand•ron• ra• a ' jeun'' r.lle•. \'01 •

f>en«•fl5 d·a11lturs qu'il n'' n r•· be;iurour dt j-.m .. l1ll•s r•anni I~ ktltrrf'S de rourqut>i ras • ~ou• ne l•• recom· manderon• rn~m~ ra< 8111 JtU~.S rrmm•S; ff air• )t$ do11a1ri· re~ ~p1rt1u•llt• •l mdulin nt .. I•• l•ronl •an• in· dicnahon. M~•& nou• lé• rccommantlrro~ •ans 1 .. .irrr an• l!PD< tl"' l•llrr! qui ""t l'n1w ut tl" jt.'h• h1l>tlol• hlh r:11· rpc, tlu shl• h.1nh, I~" 1 •1 maanrè. où I" f• mmt! tJ•

~lfrnl q11an1! •Il" '""' f.nn k ri\nin •·t au\ t•h1lnsophro 'fUi rrrl1'rth•11I Ir 1l'1•·uinrnl humain 11 n\ ~ 1111·11n1• l•mnw pour pnrlrr d"' frnun'' .,.,., r.ltr lill'"rlr, r•ll1• uh <rnr~ total!• tf'hypnrrÎ<Ε'. rrft• 11n1111dr11r 1nnor-.1fr

L'homrnr'. 1•1 s11rl11111 l'hn111111t dt• lrlll'r•, r<I un 011i111nl mn. ml; qnanr! 1l 11r p1t"rhr ra' la""''"· il rn'rhr Ir,;,,, 1'111• frmm• !<i•uli• Jl•lll Nrr • nat111" • ""'r <implirat~. 1,' h"'­roinr< air I.11 c 1• r 1111 11.ir~u··rili· "'"' M• 11rtil.• RllÎOIUU\ ~auvage~ qui <e \IUlrtnl dan~ d~< )ils de tfrnt•IJU ptrru. m.U. par Arya ou par Coly.

Pourau.oi Pae? 301

Où dorment les Atlantes

\otri Il '' F '"?ar lut ck l'ai u!lr• '"l•~• ~ n cornvai;n" dt Loua• 1'1&ard, M Barthélmly fi du roa Al· l· ri, 11 a p1rt0un1 I~ ll~il. On -e wu•Î•a.l dts ucclltnl• 11rtJdr! qu d • emo• es 1 f,a. \oli011 trlgt. Il 1 a rrm•· m•J<, rnmpléli'!, rlas:ult. ('OUr •n laite un lnTc.

l.n re rh:tr111:1nl, 11lt111 tt• c.ouleur. de \a.•, d'ob._"-'' \ ,tl1n11~ ÎtOflHflJt~ t t hn•'l'. f h.,rlc:"' U··ntarJ JllW ra 101111. nu·nl 11 br.11n 1ll1J,.,111\, li·• lt•IJ~• •latues el I'"' l"'""' pu1 •il·

J(e•; 11 wn11 11•• VOll' 1'1 lr< lau e voir. L<>s s1h" lrop1r.iu~ , l Ir• ,1,1w• I• 1111prf1•11• dr te pays tout Muf ont co11Aliluf de rnr1 Vt'illru1 cu·1ln11I• pour son ima~inn1io11, 1·! ri'' noir• do 1·11y;iges ont iouvenl le r~lhmr <'I l'nlfJ4'h•ur !Ir •~n1.1!1l"1' 1•ui'1111·

~ lra ehtToniqae da 5pOPt

l'our la pmni~l'f: loi•, en Belgique. le • 11nc • a l•1l •011 eppnro1io11 1lan• la rampagne électorall' .. \ l'ooruion M• '·lrdion• rommunal••, plusieurs group••, dr parlas polit11p1r~ 1hll~1r11l•. nlfrl'li'renl en effel des avion• qui nl­l~rrn l jMflr th'• Irai I< ~ur les grandes villes du par~. C'r~t n1n<a 11110, 1ln11• 11•1!1• ril<' de I ~ provi11re il' \nv1•1'11, IP~ hn lulanl> rrç11n-11I 1111 .1vrrtissemenl exp<'di~ par ll1r11 lui· m~rnr • Il rlrsct111I du ciel, la volnnli' du To11l-P11i,..Anl v.1t foitft. \'0119 •nlert1 pour la lislr n• ... " tl1•Airnl lrs pm•pecln• •1ui lnnilti'rtnl à profusion 5ur I~ 1 ill1•. llan~ IP ltr1hant, r~ lurent t~ 11i .. a111: libéraux ou J11 Frnnl· p.artai qui ~plr+.rtnl, Pour ce• demitr;, l'a>Prti!lrmtnl t!rnul ~lrr npfd1o\ par le diabl-. hims.11 1 P.nhn. •0-,1 .. ~~ de C:pa l!\'Olua à iliflolrenles rtprÎ!f• un IUJ>fr"'° l>iplan. rm 11nt l~ couleur; du baron-malrur Jovph de fra,.hPt - 11t1Lltt•e ohlil?~ - qui ne manqua pao il'im­l''r~ionn•r I~ H«lrur<.

~ .. 1 ..... , "rnr•-. a11tT'• mrr-u,... ! ?n

l'ai ~111111•nl rnt.•111111 p01trr la que;1tion: " \ln'" pourquoi Ir• •porl• Miil-i i~ •i pop11 l oire~ rn Am~riqur ri rn ~nglr­fr1w 1•1 1>o111·1111ni, tl1111A ces po•&. le pcuplr, 10111 1•11li1•r. 1 ron•11rrr-t il 11n1• Jlrnnrlr (lArlie de ~C1! lni•ir• '} »

l,.1 rl1111n ,. rst IMil•· · r"r,I parc- IJUP I• ~olH d11 •port 1·•1 ôu11n~ Ull\ rnlunl 11" \ml'rique •I 11'An~l•l•rrn Ms l'~tnlr •I qu'il Nol I• nu tn honneur dall" '·"' uni• .. niti'co .

\oo• n911• '" s<>mm•~ bi•n ap~n;11• d'aillrurs dt1•uis Id rf.D8Ï .. 1nr~ du J.a" Ol!mpiqu•• : r~<JUP 11111• lt• •hampaon~ d"athll111m. qui in-.:ri"n-.nt lrtar nrom •11 ~lt> n~• palrnark. -ui•nt des uand"" unn~tl#• d'nulr,._ \tlantaq11~ <>11 d'oulr,,.~1.incbe. a~mirahl•• fot•r~ ilr pro­r:i~ndr pour l'#ducation rh' •iqu• natinnalr.

<:'ut J"fturquoi on nr saur.il aup tnC"'•Ufa('t..,.. , prat1 · qu" 11~• jru• i\,• ptrin air dan• nos collti:•• •'1 no. hrH-<. r 1 r'~•I "i!~lrm•nl la ra1•on pour l•'JU•ll•l 0011• a1•pl.1ud1•· •oM •11• lo>ul rrr-11r ;, l.1 rPprisr de< rhampin1111at• inh 1·

univrr•1ln11 D~ lorl11e.. qui n'avaient plu• /off di~p11t1I~ 1lr· rui. LI ~111•rr••. Il~ aurMI lieu 3 llruxrtlr•. 1 .. , n. 7 >'l R in.1i I""' 110111• ri nnn• n• do11ln115 pn' 1111• k• nrg1111i· MIN11$, n1.111I 9111111•' .\ inviler \1. Ir miniMrr 111' .,..j, nrr. tl ''" ~' I• 11 lt• fnnrtu•nnairrs imporlants dr eon Mpar­l!'llltnl . b. lt' pr~.sidu, ils n'obtitnne.nl toul t .. 1uer}! qu'ils m•nttnl auprt• du publie el rditonent l'altantio•

d• fit>" dirÎ1.fe3nl•, ~M ptrlÎ d'op1mor. OU nt couleur po­loliqur.

La ~ueEÙ'>n ~fl"l'tl't "' un• quution oatwnale !

'" l,r'l ,porttfs rompu• au1 tvrdrt' ath!Hiqut:a tt <t. pltin air ,(1-t •ain• d: G<•rps tl d'Npnl ri lt• ca• oil des ~ auonn•ux ou immoraut ~~ rrnNnlr~nt daM leurs ranizs •ont .. nrememenl rarr1. C'Mlt pourquoi. lo~·uoe et· rrplion se produ1I. l~• 1liri111·.i111< d1•. n11• !édéJ'!'Lions et. dt nll" clubs n'hé~ilenl pa•: 11111· •,rnrtron ~nrrgaque el am· patoyeble, un coup rlr bi•Lmm : If •• nwmbl't' 11 malade e!ll Rertionné.

I.e cas s'est produil re• jour• tl1•rnirrs dans le monde de la nalation. LP lrislr •irt. h~rn~ il~ l'a,rnt11re - un i·lran~•r d'ori11im allemand•• d'aillrur< •ai•i au collel, ~·•mpre5sa d'ollrir <a d~mÎ!fÎon d• mrmbri• de •on club : • • Ni:>n. ~bez nnu<, pH il• Mmi .. ion : un• radiation, pr~ nomrent '"" ju~•; mai• l'ol>Jintion a11~•i d'en~O!tr '"'"" ~~mi>sion ~ lous 1., rluh$ dont '"~ lait,.. parue.

Vbne à ma 5"Cill~ d'a,.iMn? lannot;i l~ courabl• f•idemmtnl !

-liais je ne til'f' qu'en •kill ... al n'• a done a11~00 dan· j[l!'l' ! •

Le mot a au moin• I• m~ril• 1t'~lff rlri\I•.

'?1 Le bon pilolP d• l'n1•iR1ion rival • . Iran Van Opsl.aele,

l'un des « a~ 11 actuel~ dr• lo11nr~ Mrarnnf'f; anternal.lonn· lrs. ùst cassé ta jambP.

Encore un arrirlcnt ~·avifttinn ! allN rn11~ dire. Son pas. !In trh qurlronq111• artidrnl rl'aulomobile. un•

i:loart rl <;in~ paoar.hr • •i 1'00~ ri•qurr C•llc mau~ai~t petite plaiBanterie.

liai~ \'an Opstaele, qui a fa11 d•! 1nalhr~ de k1lomèlrt• ~u a•1on ~n5 jamai• a•oir ru~ un hl. ,..t d•liniti<Pment tl":iool" de l'ant<>: .r.e •port Mm11M P!I '"'P danl!tl"Wl •· 3-l·il 1liclaré à ~t! ami!, accoum' il ton CM\tl pour le

VICTOR Bor<.

IH L<>ui~ Pitrard. u mN : Cl:e'f'IJ l.lrUJ;,

n -.:rr..as en ~ &mT4 a:r~ b;rn ~..n· . •l i ~ :au:Nl J .­'Hl:.!', d&.œ ,-o;~ Cam du rion die c.-tt. tt.icaa .. qiMt \'"Om ,.. '""TI-1.

t•DUal""t:.t a.ne pbAH' qu~ f•1 mi_u, 1• 19 avri), dUl9 Q..D a t llcle d,. c. S.ud,.la.irt1 â HtuJ;tUn • Ot, la phta..•fl "'D q\l.tt+ion ·•L .. d~ Tbéo_phàkt (';au11f'r Vnu.t )A trou"~~r ria~ la dJeb~ rr~tacr: iilO..~ c_ F1· \lf"' cha M11 ' LN 'J ''°" do • Soir • ont mal p~ le~ goilltimtti1, T(\ill tn1.1t .l'&Y\.lll>f". qufl lt·1' prrmien mot•, t.f'l qu~ voo.s; lrl' 1t-prodU1""""'· (nnt ,.nurir• M.Am Gautier &VliU rcrit.. : • La nouveiJln (df 111~ murl), t1UhlftU4' f!lUN"t. n'éttdL qul' p1imllturf.menL vraie. • AJh1Ainn l Ir. p•J"Rly1fo ~n&ralo.

M4i& j"nvoue que '" • pnrfui~ 1na~u·u·11 t11 lf•lt·t"i;"l\ f11l.nça.o-e.- • t•t.-. M aen·•i~ ce jDur.L\ tfo tl'nu( un 1•t·C t"rn.bùu:ot'3

Pieu cordfalcmfnt à '\"OU•, t .. i. Pltra.rd.

717

~02 Pourquoi Pae ?

T t le m.qnd,. N! 110u'rle' t d" li t~rnlilt1 1.-.tt'Qt•h" ntl !t Jl~n10 t.l'hadom lluncr.u ra.rot avoir i't~ locnl.I: "'" mt.mr.1 lrinp• 'l f'I l('.t tlll"'11t flthhl rnf·:rnte- ••

Lr 1·1n t 1·1 f1•11r tlnnnlÎI. .

l 111• c11 i;r1 :!I n11I 1~21 •

?7?

firl\t' •ccldrttt Jt chtmf:u dt- rcr .. Cncmt1. t D ""• fdncr tuè.

J 1 po <JU• ronfond !; • •••rr f 11 ttt 1 •1~ ·ft'tn r< Il l!rr lrl nd&I!

"' ~ami 19~1 •

??? t r nr nnl l'tt!li 1"111 ·m11nt 111-C mn1111tÎtJllai1 ,1~ fJllÎ c:1 tlir11 I

1111'1111 l•lllJOr\·141 :' ln formr rl'utu~ H•ll• : r'l'•t n11t14.i M. li 111rir1 .Ir \\•l .. Hr. b pr,.u..-• r',,l ~11"11 •'rr 1l 1lnn• / q /lr1111rrr llrurr 0•1 '.!R r1111r~nt ·

1 t"'' ttnH n•cfli p11ur ~ f101

nn • 1 rr en colttn,~n t.. et rs dti cornm~ co !.mlroeTÏ

?'7

,,, ~1: I• I. M qu'><'<r qu'il• Tnnl dire" Il \ a U unP «1 indPniahlP que d lo•ale.

??? 1111 1 n "'"nc!•nl hu!i>Ï< dP I a \atir•PI l r/11r • IM frmmtt ~ cn:ü.-ert m !OuriMt comm~ f,. f nt dts en

f u1L! A qUl 1'011 a r~-1!'Ù4 un no11\' .. a11 J"''" fh""" •.1it. rn pf1el, qn• 1lr• qur 1lrs rnl.1111• nnl r•ru

0 1111 jou~l. il• '•mpres•ent do •r rroi.-1· 1·11 •ourÎMll.

"' llnn~ flm1rsi~11nr Pr>lici,r .), fll·lh 0111111r<nrl po-• :;~'.\. \S~ . t .., ••nWI bl'u bas • il dr•in>it qa'1I lt l ptrdu : ..

•ru #t.&!t wilk • ..t J0uW do i.. J"'Ïnr Il l'tnl nd,.. 11 l.ùbit

m approrbe tout ptt< de ..... omU.. ,. ... e<>mpri• pl t l """ rç;ard qa-.i -=~ à ""' co::! •l'!w chooe do ~ ...

Qu lit • l de !

11'- /.a r.a:Ftlr rlu 25 arril : ~· r"<'lt d"an Iront _,,., .•• t-r~lr· '"'"' Io .. u.t. lltln du d" olr

&«omrli flRt 11~ mairur rid~f", on hNnbl1ntf'S ou 'm.an"", ""' ~1111' i.. 11011.Un d•n.• l'urne

'""' 1·npions f1'' li~nP< tl'nn•' plu1111· d1 an~l~1· p.ir l 1~1001io11

??? Jin \ \ ~u'r/1 1111 :la "~ril : l.1'! 11 Vl'l" Jenûrr. If!! r1otnmr t-·,.r~nd f'lrnUtui tH lm~ l ~"U2 ro!dat..s, qui k roa•~rrnt le • 1 • •• Ji

Io l•t'1'Dt d• llOD poft<oltUillt

C mmc dfüc~t10n. c"e-;t plutôt n aigu

Crédit Général de Belgique R\PPORT Ol C'O\..,fJI. O'\.OlllcqSTRHIO~

• ra .. v1111>1H g<n• rai• du ~ auil i9!1

Mu1u:11u. Dure.ni l"anntoo tl!!!O, un <ll4r• ::o~ <!.!r&?>:.- a ~ !<>Uml

par notre pa)"W pour eontln~ l"œnrre de ~ e! cle ~ptaUon P'UMN '"'" ~"'Pat; la slgna!u...,. cle la J)&lz.

C...I e:f.)f\ n'a paJ fit. V&!!I : ~ si&~ du m u­\"dl'A!l'•l ~ DOS •ok"'S le"""-'S tl ~ notre commerct '<t.!· r'•ur "n ll:lnl ~ ~mo•na élNJutnt• et réconl,nanta. Il lmpor'" de k s 111tlt,.... en tun,.re en ce moment oO 1' comm~rr.r et l'U1d11~1Mn ont loujolll'!' à le.Ire IS«" A un" siluaUon dllftcllt'. Ctr!t"· ce ne ~ pas trop dt> tou~ l'én<-rj.t~ cl du bon """" M ln nalloo poUr valnere I" dilOcultés pr~•nl•~. m•L~ Cl' qui a N~ ru:c<>mpll prndanL œs d~ux dcm1~r~ nnn~ ! f'('rm<.>l d'augurer avtt un l•r· •enl ·~Ir oo l'l\-.11lr du paf'.

L"n•TClœ oooul~ le t""111J«lll&lrlêllla de notre "~'""~ soda"., S11r I< s ~nt.Jans duqut'I Mus '""r.ons vous I• "' ..appo.-t, • fit ad1f <-t lrucll!~ux Gnlce anx CA;>ilaux DOU· •'e&tD que ,_, "n. ~ l not."'e d~:!Gn per la rf.. cœ·~ lltlgm•""ullfn d:.r cap W roda!. aou.• &•"MS pu d~ •·eJo.c~·,: DO!t'f' d>fnlt!(, eom!l1"rcla1" ..& ~t:il'!S... ~I lui apporl.."t' .r,.., a~ d'llrac" qut n"en:&~ pa.• i. prud<""n<"' ~·p:tr~~<S

Us rts'J 141.t "' '"~·~ llCUS l"'f1Il-l'=! .:. • us pro. ~· ta l"ff'UI:' n d"Un dlvl<lmd.> ,,., '1 p. c e• O.- vow de~and.Y d"afüc~r an m lion & francs Il la l't$('n.., e:<lraOl"I r.Jllro, qu"O lmporf• de 1?nfC!'OE'!' en nl!S.:n ~ l'él"''al'on du cor ta! d<' 1101.n! S<lC;#t#

" '"• avona, au d~but 1!.• l'onn~ 19'~1. ouvm un bu""u su•lUnil'f' au bou•~v•1l'tl d' \nvrrs. dans !<! quart•...,. du port d~ nn1x•J'"" •l "°''" t'6pl.-ron• q11e Ce burrau pourrtl rournir pro~m«h'Nn~nt un appotnl lnl~•nl h nolrr cl!enme.

Nou.• avnn~ M1(1rU nu bllnn ll'S frets d'améM~•ID<'nl tlo• l'imr1l<",1bl-t' <llJ"" l'\t"IU~ ft\ cin.~ ll'>u~ pour ins!aJJr.r t•• hu~"" a.u"t11· "1'f'e, JI' mtimt qur- ~ rrnl~ d'appropri.at "" de n 11

""'ux loeau' dan! nos lmn:•11N.-s es. le ri;. du r_,,nc.+s r...- ~'d ri"' nt tl.• n !S .. ....-.foes nlério?~. ,...nJu nè­

~L-.e r r u"" ri • l:'T'&ndo• emp!.-,u• "'" nos r.ritrat Ni.1 nous a a.,,....,~ d autz,, part. Il. =Dr= l!!lo.'01>! nottt f"'l";orme ~ • a vt' Il\ UTt "3 rcluki lllJ CO!lf"OU.., ~l!\"001' ~ us n p!a ns à ~noan.... v n:itt,. ~! d-s appo!n~!s. le ma!ntlm c'>-s alloul!or.s M ...-_... '"êr.- finll~ JMlr l<> ccct t:uJours ex~r M le"""· a ~ rtldpallon lltnU ait<' du 1~ r.r:e! el l"ID'rr.·..,,Uon ~- 1 ton~ clanJ '" .,,..,.,.., M 1• ca'.se cl<' ~:ra l"5 ~I "' "" ~~r nl nl\fur• 1.-rnf'llt ~ un.., m~j rn· ! on = h"• do-1 Irais i:éno\raU\

MUSl&ORS.

.\Jn.,i q,14. k" 11nn~~ nrœt-tJ. .. nlM. nou.; \'tm1; cfonnn111 ct-arrll!; qu~!~w~ 1•x111tral Inn• 'ur le< dillérenls cbapil.rr• oo nolrt' hllan rn 1nu< 8lM1tn!ortl au prealobl<> q1i.l~•I'•· un~< dd e>r~nllM• a11«1u~n .. • nou• avnns p•rllclr~ 'l-•t" .,v, no M'U pnrl ~ n·mrninl ln~rieur 5 p. r ~ prfm• d-' J!.r.!O a l'~mf~ nn dt!I B~ns du Trts.:>r be1J1e Il •lx m I• •1 è. 1 E"'pru1 1 Il" b • 'l" dt ~n:.~ro- • n Lons d<' al: '' 5 p. c. de m~ qu'à la corc •t:•utton de l'.\l.'l'Ilt'>' Tt t_c:ra­ph!qu.o &il"' '\OIJS evOO! C"UY<'rt oos ~b Il la .....,. sc.npl~ aW1 aurmmta • de c:al'!l& de la <:.':eu ll.,

Pourqu.ol Pae ? 303

i.Uutj11qll<! Or1'lprov!rn~ du ~Udl de la RU!:<.-, oo ln 5'w:IC!l! '•Ilona "'.\ w llM l\o .s.tvli;l•ano el d.> la &oCJtit M~tallur,'1u• dol G.>rpbal o ~ a\Om ii;aleW>"nl pr4'M noire ~ars & I• C(',n.s:Jtulion de Ils ~~1<16 A11-0111m­de ~oolèo "" la Soo:it'~ Grand< '!•':;on de J.;.aoc, ~• a l'oc~ cl< npllal de la ~~~é lka l'rodlllts Ull• mlques tL füii:rals L. llcmard. affaires daru ltsqutl,.,_ ,,.,. ... nous llOlllJ1l':$ lnU"""8tS

:\OWI So>U!Mllôlll ~W! à \Oil• opprob&Uon. ~l-es-• eura, i. t>llan ri eomp'> de proms .,. i""'• arrttf. au 31 déh fJ'll r• l·.~J •

• Oil.A' Al 31 DCl:L.\lllRF. 1920

ACJ1t W">C ............................................ Ir. Bo.nqulaa cl oonT~pondanis • &ra du l'rmr $ p. c .. •• l::e<L• ai port<:lculU< ..... .. - •. • , .... !«ports et ••anoe. allr litres •. .•• • ..•... Co:llp:C-$ d~b!:.CUl'I - .... • • ...... .. ••• FOU<li publlœ .. \akun dl•~ ····---··· ·-. P4l'tlr.•paUœlJ .... ••• •••.••• •••••••. • •••• • llllmtUblc 1-0Clal 't ooUres-lorta ................. . Immeuble n, 1i, ni. du Coo11tù :\.tobU .. ::r .... • ••• •••••. •• • • Ac.>e1,tat.011$, ~•l'ILl!Ues 1·t r.a11i.oru1emtn16 ••. f '.aulJQnn del &tJmtnlll"&~Un! I'\ COtlllO~' IJ<f>l)ts \·olonl41rc-s d de a•r:mll< (Ull'l'S)

Fr. 123,0 .;ü,783.13 l'ASSll'

r.Jl111Jal (00,000 ocl~ma dr i.oo rr1lJlcs) .. rr. lié.'l<·rv~ atnlutAlN' ....... . ll~><:l'\'l' extruurwno1rc l'rovlslou pnur pal1•nt1: & j:,.~('f~1~ Ï'.r.!O r:Omptd crtdtW-uro

A \'\l"' • • ..... •• • • ..... 2:?,,!9,ti7:?.Cit; A l•rn"' 1~."™>.001.m

.\~ ptallons, ir.iranlln el eftuUonnemenla. Cliu~llMmC!lla de.li admlnlslr. et eommJss. l>f?OS11nll i;tmJ rroa:.s et pcr11.-a •

S0,000,000. · 1,500,000.· 1.5'X>.~.

80.CW'IO -

36.179 r,'l'J.11 3.W>.WJiO

:!30,M). «.~'1Pl3U9 3,4'i,7SB.Sl

Fr 1:!3~.'l!ll.13

C.O\IPTI oc l'Rfll IT""' cr rr.nn.:s DEBIT

f"r•b geMraux ri divcni • ••• •••.. . Ir. Pn1'15aon pour 1••l• n~ de 1 cxcrMc .... l'J'!ù i\Olortisso'.men'... • • • ............. .. s.,1,1 .. •.n Wntlloo •. • •• • ..... • . ..

Fr. CREDIT

11q>orl dft l'ul'?Cltt 1919 . •. • .Ir. l'rorala •1 .ntlrtt' Hrtû par les $0USClip\.eUr5

de l aui:mcnta' on o., copl!AI d• l:.<!O • . • ln'.t:tll, dM<kn~. HCO!llplt'S., cbangcs, .iom·

mlsmlns cl dhm • _ ••

F"r. ll•J'Orhlk•n :

~ p. c. a la rà<'rvo l~~ai. • • • ... •••.• Ir. l'r<'l!l~r dMdè:tde de $ p. c. aux acUOM • T•ulltme.> aux adm~!<-un et eommlss [}.,1rx ~n.c J1vhlrlltlt de 2 p. c. aux IJ(;!Jons Allribullon à Io rt•ne rxtraonlinolre ... A " portt-r " nou"'"'" •

1.00l.œ3.iQ 80,000.­!lM:..i.~

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fr, S,44?,'7G8.113 Arrelé Mr ln oonscJI d'11dmlnisb"ftLlon en H\nnœ du

tG r~vrl1•r tlk!I • l~"'"'l l.IOna1·1, 1>1•éllld~n1: Paul Tra11enstcr, vloo·préSldenl;

f•rnand P116wkk, f.omto J•an de HcmpUon~. Wiily Van do WJ..lc, Julca ColUn, René lioo!l('n, EdmC>nd Prouvo>I· F.loy, admlntsttall-u..,. Avprauv~ pv ~ rollh'.•l des oommusaln:e :

&ron JOl9epb ~ Marmol, Paul FrllléUr, Reo• "-!!Mt da RaaM

Proûnils ~himiijues ne Droo~en~osch 1t 1 t>l'O RJ. Dl lO~.:>l.11. Il" \ll J.i'\1:--dt ~·1111\

q111 a tic prr.rnli ri ftuumbl t du 19 a il l!f.!1.

lÙ59XUIL>,

:-"ous avons l'hooneur de rniu pre$eoter le rn1 J>Ort sur le& opemtiou1 du nolrn IO<"Îélé JH."'.lld&:.l l'exercice >oci.31 a"éten,lnnt 1lu 1• 1uilkt llJlfl au ~I un.:t-mbre r~, rt de •ouuu:tlre • \olro O.l1Utvb&t.iou le bilnn et le complu J11 probt l 1•t 1• rte• au 31 J' <-etnbre l:r..IJ. ...

B IJ .. L, ,\ U 31 Ul.t.H:l1Jl llt. ltl!•I (pour uo exer.:foe Je ID moi•)

ACTlf

l wiu .. ub"!e .... u ... 1ru-..ilt"'~ thtt. tt-rr.:iiin", m .. 1<-neJ •.. . .r. s.100.•3.,.~11

t'.e coœp.e s 1•<t .>œru Jlflllt·1piJ~ru•u! du r-rix ,··~qu14'it1tJu Je• n111i w • .,r .. BurguL et Je lt!ur , ... t,ri•I.

Rfalisabl" : 111\'eot.~ircs :

.lppro' i'iunncweu l~. 1uareh~111 1li"t\ ... outil~, emballage~ ..... • ..••... fr. 7,~i!,[.l" t.i~

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Mhitenr.. dhet"' • fr. :.,43'; .~!3 SI For.,,;, à.isponihl<'s el fü·nuao111 rea·

taot à payer par l<'s dicnu. romp~ d"ordrt' . .. . .•..• rr. 13l,00û.-Action• en dépôt. Cautionnement de ~BI. les aù1ninis·

trateurs et e<>mr 'asnin. (contre rarlio au passif) ------

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600 francs. Cowp(e réserv~ el d~ I'"'' l•i1111 •• .fr. Créaireurs dhel'l! ..................... .. fr. Mo!ltam de• rrr.an•·" cl~ no• four

nitseurs et de Ill pan1dpalwn de I& Compagnie Belge pour le.a ln1lu1tri~• Chimiques dao~ (9 uain~• de llurght a'ële,·ant à fr. 4,6';3,"611.30

Dlridodes P'C'•tnnl il pl)rr . fr. :Uootant des eoupona k'hua de• ne·

lion~ de notre •O<'Ïo:ltl\ re•IAnt Il pnyer. Compte d 'ordr.• • .. ....... • ... fr. Cftntionnemeut do ·••I. lea 1ulmini•·

lrateurs et commissaire• {contrc•f)l>r tie à l'114tif).

ilol<le en lléné!lct- .... fr.

IO,OUU,000.-

451>,000. -8.i49 ..... 1;.111

135,0oo.-

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~·r. 18,7~7,ba~.117 fuSSlEUllS,

L'exercice qui vient de a'6coulcw ol doot voue 011

manquerez pas d'appr6cier lea r~wultats lt.ve>rnblea, mt.rqlU! une étape importante da.na I& Yie da la

Société t.nonyma dt> Produita Chimiques de Droo·

Pourquoi Pa.ta?

Rf"nboKb ._ La P< node cx~ptfonnello de dix huit moia qu'dlf" f"rohraase a vu "" prodaar.i d'"• ruodi · 6e&tton1 profondd Ja111 J,. rorut1tuhon d,. n •tre •lfoiro tt Jana l'unportance de M'I part1c1pat1•,os.

Commo •oui le HHZ, ,J,., actioonaarc. etrau~er> 1.os&t.la1rnt J&ÙI\ "''"" 1ou·rét5 marqués dana la ao c16~ ; aprca 1 armistice, wi lot eonaulerable de u trt'S fut 1•IM:é •mtre lf'.a maina Ju aéqur.stte des L1eus rur1cuu•. Le I" J6ccmbre J~lll, Ill c C<>wp&((oie llf'hre pour le.. U.J11stri~a Chtnuques • a •te d~ctr .. rée 11diu•lu:-ata1te de ""s ac:Llon>, do telle llOrte qu un rCrMtcr,, atri~lem"n~ national a pu être doo11e l ""'"' .e11trepr1M! qui t•t apprl~e l prtmlre une pl&Q wipor\&nt.i d&aa une bra.o.:bo •le 1 iruJu•t.rie tron uéghsée JU"'IU ici par uo1 compatriotes.

La s ... i~té aoouymf' de l'rodu11.1 Cb1m1ques Jf' Droo11enbo6<-h a trou•e .:htt - 11ouH1aux actroa DAI...,. t..ut le concoura 6haacirr et tout l'appui t•clinU}Uf" Jont p•:ut dllp<>< .. •r UD truH PUllS&llt..

Le 31 mai 1m, une aMemblee !!"-Déraie ~xtraor d1DAir" a J>rOr gé la durù de la tOCJétc JUl<}u'au 31 dtlC'<'mbre Jl'IO; elle a aagmenté le capital 1<>· c>al de ;,~.ooo franca u a 'lpporté aux at.atuu dioertt• moditiratioos pour let mettre en coocor­dM1ce avec lt-41 ré.oluûone vot<.~• et a•f'C l~a d16po 11t.ion1 nou•·eJlr.e de la loi .

L'~rn• ion dea 1&,000 action• nt'lu•f'llcs, entière­ment rO\l'nllt l 001 aeula &etioona1re1, fut tnLél!rn­lemMt aouacrit.c. L'au11mont&t.1on do capit.al l\\'llÎ~ un trip)~ but: accroitre notre fonds de roulemt•ut; !lôvelopper not~ p roduction; oréer des r11bricn.l10111 nouvel!,.. f't !aire lace aux dé~n..P• n~il~ta pa1 l'acqui•1tion 1·t l'l'xploitalÎOII d~ l'u-ÎM d'engraiA chim1quN de Burght, acqu1~ t'fl compt-0 à demi a~ee la Compagnie Belge pour le• lo<iuatril-. Chi· miqul'J,

\·ous n' il(tloru pas, en dfcl que 1"11 cond1tion1 M'tuellt"11 dl' t rna1l ~ de rr;;.Juc11cm ne IODt plue le. m~mes qu'autrrfoia. L appro,iAJonll('ment en rnat1êrf'a prcmièrM notamment et le rencb.;risae­ml'ot de la maui-c:l 'œintt oat <'ntral~ fatal<"ment une augmNllAtioo con&><Ïérablf! des eap1tawr nét:-t• "'irH & tcllte indu!t ric. D'autre part, noua avOII~ •Wi amtoh a en•·i&A!ltr certa1nf'.a tr&11~format1oo.t aiiD d~ m~u ri' nolr~ eapae:ie de production ruteux f'D rapport &\fie 11-.s <'xl8f'llC"'a du marcb~.

Cff objecufa ont .. ~ attcintA.

L' txMcice aocial écoulé, qui a é~ Je 18 moa, a donné, comme l'indiqu~nt les rhilrrM du bilau, deo r&mltata ntt~ment fnorabl,s pu1aqu' 1l1 nou• pu· mettent dl' \'OUI propoetr, 1ur un bl'nrfi<'<> not de fr 1 366,1;90,ll l, la nvarution de l, 1 :!a.000 franu, • 11t :i2J fr•IKll par ac:tion, et de reporter l nou .. cau un • Cl · Je fr. IOS,061.64 . C..-. rieultata ~11-nt él.; me1 lt:un •nccre aaiu la cnse indmtrielle qui all"it avf!C int<·na1l.fl depuis plua de su moia <'l qui a forte· men~ ral•nti notl'\I 11<:h'1té; noll.! dM"Orts noter tn m~me tf'm1is l"npp:u1tion <il' la concon1·n•~ all•m•n· de fa»or~ par le baa coura du 1narlr. alora ou& nou• eubi...,nt le eoutro-coup dt.\.• prix ~l•vh de la main-d'crune ;·t du •·harbon . Ml\lt rrUe •itu1thon n '(lit poilll partiruhore il. notre 4'nlr.pri•• ni à notre pay9 et partout lflll uaines de prndui la rhimiqne. • u­bi&IMlnt ll'I m&mee t lfeh due ~11x m6mt1 cau.e1,

Nou. 11von1 ~nv ie11g6 rtvf'C 1oin Ici e xiguoooi d e la p4•iode uou vellu r1u1 1'a11nonru H noua ""tiinooa quv aou. f191ltOn• l 'obotder a• • conha not

Banque de Bruxelles P...!PPORT Dl tO,.,l.JL D'\D'Jl:"ISlR\Tlll ,\

prr ftntc 4 I autmb.o li ,,,,J, du!~ uml 11./

lJ.ateUl'5, L'a.cti•it.; d'un grand ~tabli-wr::it fu1oncior '"'

P,êOt s'appri'<:1er 11<>!,lrnent : •·llu d6pènd par t.rup J., hem d~ rond1t.1on1 <iconom1q11cs général..,, na110111 les et. 1nteru.attoualca., t_·t, Cl".llt·s·ci •ont d!tu·mtiuwa en rapport Jm'ci a•~c la ~t.>1allon poh11que du paya et du monde ent.l<'r.

Le. riparat1on1 daes en \'rlrlu du tra>t.' de \ ·or· saill!S d~meurent dttCUt«o, c•u" qui a.-aier1t cru que l ex.ocncC1a du tr .. t6 reocontrtrait la bonne ,·olont.': ~e ttax qui l'ont aiRU~,ae eoot raite d" grandes illu SlODS_

De. impU. nouvaux et flé~.S. ont t'.té étabha, dont le rend~nt ne peut encore ~tre cb11Tré exact< ment . Lenr paiement n'°' po11rra macquer d'avoir nne in· Jiuenœ ~ur la fon:e d'fp&l'l:Oe do pan"'· par ooo· séqaent, •Ur •a capu1té d'in-r•tir dans l'1ndu•tr1• et le commerce l<.'1 cap1laux 'l"e rérla.m~nt 1m~rieu· semeot le relè•·eU>eut et Io ,J,.vloppemtnt d• 1 une el de 1'.au.t.re, et.mite pN'llP<-"Ctl\'e Ht do nat111~ à faire réflecbir. Maia Ici. cbari1ca publiquee doi.,eot Gtre couvenoo, ~t c'eet avec ra.ieon que l'Et.Bt ri fait ap pel à ce q u 11 nomme Io • cou 1·ai:~ fiscal " d"" contri· buables.

Les relations ont.re la m.Otropole et $1L onlooie, et en gânéral entre l.1 Ht'll(1qu~ et le• pa)'I d'oulro­mer, seraient gr.1nd•mtnl 11J11flior,:e1 auMi. au poio~ de vue du chan~•· el dftl pri" d!l tran•porl, par le développ<>ment d'une manne marcb"ndf' nntionale.

Poor.ui .. ant au cours de cet cnrciro l'cxl~ution du programme d'UIA'OAion d11 notn influenc. eu provmoe, nous avocs pris un inthit p.-rmuent dans le capit.al des étab!iOS>OlllM>la •UÎ~ant<. • Ban~ue Gantcüe de Cr&lit, à Gand; Crédit TirlemontoÎI, à Tirlt>mont; B=que Centrali- tfe la I.ys, à Coun.rai: Bu•1ne de !I U>clt, Îl Hiwe!I : Banque de :llalines à Malines. D'autre part , noua l\·ono cooat1w~. a\'ee le eon•

oours de la Banque Gantoiae de Crédit, la Banque d' Aloet, à Aloat, et, depuia la clôture de lexercice, avec le concoura de la Banque lnternat.iooale à L uxembourg, la Danque d'Arlon, à Arlon , ?-:out nous sommM -ur6 pour la .. rhtioo de ON deux banques la oollaborat.ioo de Pf'raonoalitti@ de la ré­gion.

Xons avon• 6'?alem•nt eu ]., plai&ir •fo r~N' défuùtivtmonL ll'I c:xcdlent.. rapporta que Dot.ri\ Banque "ntrf"litnt depuuo de looru,. ;urnées a""'' la Banque Centrale ..\ n>erooiso. Cellt~i i·rocède à une augmf'ntat.iou d" c"'pital, à la fav41ur de laquelle nous seron• m111 à m~rne de prundre un largo 10té­r!t Jana cet 1wport.ant 't•blï..ement. La Ba nque Centrale Anver.oille .. ·ra daorwais à Anv .. n 1"411-. blisse-nt affilié à la Ba11•1u" cte Ilrnxel!Oll, !H wn• ventions l!Dtre ,,.,.11 ..... ; ('l 1 .. Uan1111c dP. Cnhl1t rom mercia.l ayant ~tr. rlw<1li~ <le commun nccord.

Nous voue avoua dit , 1'110 dornior. quo votr& rou seil s'e.tTorçait do développur et de créer dt1e nola tions de oollaboration intime 11•·oc rlr<i banquN d••, pay• allié& ou amie. C'otl dan• cat capril que 0011• avons proe4d•. d'accord M·tc la B anque d~ l'Unrnu P ari1if!on11, à la r~~fR&uiaatioo d e la Banque Int.er• œtionale à Lunmbourq , ' tablinamtnt 4Jlancier I• plua ancfon ~ Bu qua • "liai-on da Orud-DucU j• L-llotrJ.

D'aut,.. part, nou1 &\'OM a.cquill un import.&11t W• UrH tl 'act.aonuajro d•n! Je capital de la Banoui> d ' J::wornpte do HohEmo et Soc 1ét.é de Crédit. à l'ra• i:uo. <:eL établisseme nt, çréé eo 1:.63. occup& une 11· ·•.a n do l'"'m1er ordre en Tcbéco-:-lo.-aqu:e. 11tua• L' . u11:ore renfor<éo par 1rno étr01~ allia.nce .,.oc la Z1>i •teiuka Banka, &\'OC JaqueU.1 il possroi> Je uomlireux 1D1.ér6t. t·<;an1nuo.a, pr~pond~ranw dao1 l'i11d1t1lr1e t.ch1îe<1-1lovaquo. Notre int;irv~nt1011 d•n• la Uouque 11' ~;•e<>mpto d~ Uohi•me et 80çièt11 tl• ()récltt a préocut•i pour nous, en dehors do eon 1111/,rH propre, l 'ava11IMRO d 'un rapprochement &•OO l.t. Z1v11a.t<'nska Uanka.

!::11 \'lit> d.a pc>npc..t1v\ll de dé .... Joppememt dta te· lawo•I# cotnlllerc1•lt-. a'.c le. pay1 d'tJneo~ et Io_ ba .. ain de la .Méditorrant'o, nous a.voua Pl'lB an 1nttl· rêt dao1 )a Banque üowmerc1alo de la Méditorro. n6e, •1u1 v1eot ellt wewe de CODSLituer la Commercial u .• ,,~ ',f J:;~vpr

!\oui &\"ODa noué de nOU\'<&UX aocarchi a.-eo é<,. ctablU1Se?Dent. de c rédit éttani;cn, P"rmi l~uelt oou.a teno111 i clt•t la Briti5b O•·trseas Bank, d" Londr.,., celle·<:1, rr""° pa.r un groupe de banqu"" britano1que1 dee plwi 1mport&ntes, a'eet trM:é comme pro11nuo1110 do cout.nbuor au à•\"eloppement dt'S re• 1a~101ia de l ' Anglct...:ro avec l'étrauger. ~ous aotn· mee h .. urooux do 1airo r•uortlr que les rapporta que oou1 avu11a ai~ et1 Io pl1uair d otablir .ont l'une parfait•.' uordiaht..

Am1i que noua vuua l'avooa dit, nous estimou• quo lout co qui pouniL tllro fait eu vuo du dévelopJJO· mout de la Colo1110 contribuer& l affranchir Ill paya du tribut l'"Y" à. l'élra.og.:r par •Ulto do l'uu· i.JOrt&UOO do ma~.trCI premiènie. c œt da.i11 l'et Or· dre d'itlce& quo no111 IOIDQle& ini.ervenus dana le ca

p1t<>I d 'enl.r•!Jn""' ai;ncoles , comm.,n:iaJes ol Ill · <1u1t.r1d1COi. ~out a\'0111, en out.ro, équipé uno mta· '10n 1Ç100~1ilque, •1111 effectue actuellement de.1 ~ chtn:ues uunwrei.J uau~ le.:, uouvl':lU-X t..errtto1TC'6 aira ~ cain1 placés eoua l'admioiltra~ioo ~lge.

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6ll,391,<>JQ r.,rtcfeuiUe. 'f1tre. ..• e () C,ompl1-.. d'ordre l

om11tea divon1 • ................ ..... 39,613,4~cU, Valoura d• io•tituhon• de pnvoyuc..

eo f&veur du 111raonuol.. ••. i ,8116,GG0.70 Jl6p6te (titrM) .. .... l ,3'0,~3,0llO.-CauL10QDemtoC. ot&tllWN• (d,~)

(p.;.ar ••moi r9) .... ... ·· -~ -·· -·"

305

PASSIF A. - De la 'ot1N6 t.ll~tn. flh•·w~me:

Capital sociaJ. m,(ll)ll rtions <k 1() fr. •.. fr 100,000,000. -

R~rr ... : •tatutair• ...... .... fr. ~.~l,31G.GQ c~tr ord•naire !:!0,~.000

H lie la so<-INé t'nrr.rs les t11•r11 : Fondt 11& prévision tl'mporairf' .. Cornpt~• courants. Suldee crfldit Effet. à payer .. ... . ... • .•..•

llivi<leodes non ~amNi... ... . •... (.l, - Cowplt'd d 'ordre:

üompl<-• divers . .. .. ..... ...... .

:Jti,301.310. ;ill

l 2"177. 090. 2-1 483,678, 169. 21;

12, 779,8111.33 305,011.ljl)

39,613,440.47 ln•titutions de pré"oyo.nce en fav1>ur

du p~rsuOllel . .. ... •• ••• ... .. ........ !,896.690. 76 Dépueaot.. (titres) ......... ........... 1,3"°,483,600. Cauhonncm.. sMl.tutair~a (d~posant•)

(pour mé.m~) •.•. : .. ...... . ..... . D . - J>rott.. et pf'rtf~:

Sold~ eu bénéfice... """······ •. 8,SOl.l'!l().611

~·r 2,030,166,:JOG.~•

fOll PE DE PROFITS l'T l'i.HTl;i:; L'I C• mpte de profil• et pertt 1'4tablit comme

111it . CREDIT

Solde rtl>Ol'W de l' exncice 1919 fr. f nt6r6ts. commi•aion•, dh·id~ndce ~t

divors .................. ................. ....... ..

Tot&! . ...... .. fr DEBIT

~Il~~~ (art. tl et ~ dee atatut..) F ra11 ~eneraw: .. .... ...• .. .. ••.• Me1urea exceptionnelle• tn fanur

du pel'1!oonel et bienfaisance . ... .. .... Dotation des 1n•litutions de pré,

Tova ace .... ~... .. ••• •• -· ...... ......... ••• !::iubnntion aux ecolu lechoiquu

de. uoi\"er~ir:.M libree de Bruullu et de Louvain

Amortissement aur immeublta Pa.M.ieipatioo du pel"llOooel aux ··b;i:

o6hc~8 ............... . .. ........... .. Soldl' en béo6f1ce .

427,510.5-ll

19,549,89ll.G2

111,977,ro1.20

82,030.llù e,ssa, 731.~!

l,9«,930.67

336,œ.~.-

All).-

l,03S,Sl5 71

586,166.00 8,801,180.60

Total rr. 19,977,90(.20 Noua vous pruposo111 de r6partir le aolde d11poni­

ble, coofor'mément à l'&rticle 40 df'I statut.a, de la utanitre suivaote:

A la réserre légale 6 p.c. .......... fr. Premier diri~nde de 6 p. o. Mllt : 100.~ actions tnt1ertwent lib6,_a

418,683 &O

au 31 decembre 1919 . ...... .... ....... ••• t,516,876.-2.36.~ actions do l 'eauuioo 1114, c pro-

rata temPOria • .• •.••.•.•. •• . . ..... . •• 103.000 acldona de l"èm1 .. ioo de 1019,

c 11mrata temporil • ...... ... ... ... .. ...... l,M!l,000.-Au COD&eil d'adminiatration lt p. e .

1ur fr. 3.S39.~.!JO ... .• .. . ...... •• •.•• • 460,730.60 Aux commuisairu ....... .......... ••...• 80,367 .80

Deuxième diTidend~ de 3 p.c. aux' I00.63b a.ctione eotiàrement li~réee l,llOll,1125.­ll.311~ actions do 1'6miaaioo de 1014, 11rur&ta temporÎ8 • ................ .... .. 100.000 act.iooe de l'émia1io11 d• 1010,

11<1ur la période tlu Ier juillet au 31 d•<embro .... . ... .... ..

A la r' u r ... extrM>rd1n9ire . .. et da reporhr l llOU'l'N ll ·····~·-·····

32,81• .88

7711,600.-1,000,000.-

400,IJIN.-

TcMl ....... ~ ...... tr 8,801,llO.•

306 .Po urq_uoi J?ae ?

Si .-ous acc!pWl !ta propos1tioo1 q ui pr6cèdcol, !• dividende aora ~y&ble, à partir •lu ~ mai pn> chain. cl'mmr • u11 , l ' unpbt cédulaire •• 10 p.c 'tant .< la cbanw d~J MllOADalrP! :

.sident; William Thys, admùilitralaur dél~é; Jule. Wilmart-U rb&n. Gsst-00 "Barb&Deoo, baron Evence Coppée, lAioo Guinotte. Jdn Cou.sm, baron .-q der Strae.t<'u l:iolay. Léopold R.an~lot Constaolin ,f., Burlet. (0 rrane'> (36 rraoea D~L) ILUX actir,ns Cllliàremeot

lih<irè()l; à la dal" rlu 31 docembre Hl19. cootrc rc mù-e du coupon n. 11 ;

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Cullège des cumml"<!alrv~ : MM. le vicomte Baudouin de Jongbe pr6sident;

Edouard Peltzer-de Clermont, :Mnurice de La..ve1eye, Edoua.rd Su.rn. Baron Arnold de Woot de Trixh~. baron Léopold Donny, Louis Ja.cob11 Havonith, Jun R.ampelberstb.

Direction: MM. William Tbys, admini6tnr.teur délégué; Oscar

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