Humouraji Gala Afrika Jamel Comedy Club en solo › Mag_Du_Rire_2019.pdf · Conception magazine :...

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1 en solo au badii malik bentalha RENCONTRE Amoutati Booder Marine Llado Marion Mezadorian Taliss Jalil Tijani DES PLATEAUX EXCEPTIONNELS Humouraji Gala Afrika Jamel Comedy Club La marrakech du rire présente DANS LES COULISSES Laid Liazid , photographe Mohamed Hamidi , réalisateur et metteur en scène CINÉ Toy Story4 Jusqu’ici tout va bien CINÉ Toy Story4 Jusqu’ici tout va bien

Transcript of Humouraji Gala Afrika Jamel Comedy Club en solo › Mag_Du_Rire_2019.pdf · Conception magazine :...

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    1en solo au badiimalik bentalha

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    DES PLATEAUXEXCEPTIONNELSHumourajiGala AfrikaJamel Comedy Club

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    DANS LES COULISSESLaid Liazid, photographeMohamed Hamidi, réalisateur et metteur en scène

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    RAM

    Sommaire

    Fondateur & Président : Jamel DebbouzeDirecteur général : Olivier RodotDirection financière : Nathalie Leyendecker et Michèle BitounProgrammatrice du Festival : Ludivine BonjouxDirection artistique du Gala Jamel & ses amis : Mohamed Hamidi & Khaled AmaraDirection artistique du Gala Humouraji : TalissDirection artistique du Gala Afrika : AmoutatiDirection artistique Masterclass du Rire : Oscar SistoDirection Communication & Section Cinéma : ATG - Fred Cassoly & Clément Lemoine Relations Presse Maroc : Publikart – Sana SmyejConception magazine : Éliane Couprie Graphisme magazine : Agence 109Photo couverture : Affiche MDR2019 ©

    ÉDITOJAMEL DEBBOUZE [4-5]

    INFOS PRATIQUESPROGRAMME ET PLAN [8-9]LES CHIFFRES CLES [10]

    DES PLATEAUX D’EXCEPTIONHUMOURAJI [14-15]GALA AFRIKA [18-19]LA TROUPE DU JAMEL COMEDY CLUB [20-21]

    EN SOLO AU BADIIMALIK BENTALHA [24-25]

    RENCONTRES AVEC TALISS [13]AMOUTATI [16] LAID LIAZID [26-27]JALIL TIJANI [40-41]MARION MEZADORIAN [42-43]BOODER [44-45]MARINE LLADO [46-47]

    MASTERCLASS DU RIRELES JEUNES TALENTS 2019 [48-49]LE STUDIO DES ARTS VIVANTS [50]

    SECTION CINEMAJUSQU’ICI TOUT VA BIEN [35]MOHAMED HAMIDI [36-37]TOY STORY 4 [38]BOUALEM LAMHENE, VP WALT DISNEY FRANCE [39]

    DÉLOCALISATIONS RADIOSRTL [23]HIT RADIO [34]

    ENGAGEMENT CITOYENMAGIE A L’HOPITAL [52]NOUJOUM – RIRE ET GUERIR [53]FONDATION ERIC ABIDAL [54]L’HEURE JOYEUSE [55]

    REMERCIEMENTSSPONSORS ET PARTENAIRES [59]

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    Merci à tous ceux qui ont participé de près ou de loin au Marrakech du Rire depuis sa création.Merci à ceux qui ont joué, chanté sur cette scène devenue mythique.Merci à ceux qui ont regardé à la télé…Merci aux diffuseurs, aux sponsors et partenaires et surtout au Maroc de nous soutenir et nous accueillir aussi chaleu-reusement depuis 9 ans !Merci à vous tous, car, grâce à vous, chaque année on peut recommencer à rire et faire rire !Ce qui est, pour moi, le mieux dans la vie… Merci !Pour cette 9e édition du Festival Mar-rakech du Rire, avec plus de force et d’envie, toute l’équipe du MDR accueille-ra et fera rire à gorge déployée un public toujours aussi nombreux.Nombreux pour les humoristes marocains qui chaque année sont fidèles au ren-dez-vous d’un Festival autant arabophone que francophone. Nombreux pour les artistes subsahariens qui ont rejoint, il y a 3 ans, ce rendez-vous annuel de l’humour.Nombreux pour les artistes français qui se produisent depuis 9 ans sur les scènes de la ville ocre.Nombreux au Palais Badii, au Théâtre Royal, à l’Institut Français, au Colisée et, pour la 3e année, sur la Place Jemaa El-Fna !

    JamelDebbouze

    D’année en année, le Marrakech du Rire s’est imposé comme un trait d’union entre les cultures et prouve, si cela est nécessaire, que le rire et l’humour sont universels. Notre plus grande fierté est de constater chaque année que le public du Festival est issu de toutes les généra-tions et de tous les horizons.Vive la vie ! Vive vous ! Vive le MDR !Venez nombreux, car, comme chaque année, cette édition 2019 sera plus drôle que les autres années ! Je vous le jure sur un ami !

    2 conseils : venez nombreux et riez 3 fois par jour minimum !Merci à

    vous TOUS !!

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    ÉDITO

    ÉDITO

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    89&PROGRA

    MME

    PLAN

    SUIVEZ-NOUS SUR

    INFOS ET BILLETTERIEwww.marrakechdurire.com

    Billetterie du festival ouverte au théâtre Royal de Marrakech tous les jours à partir du mardi 4 juin entre 10 h et 17 h. Nocturne exceptionnelle pour le Ramadan, les 4 et 5 juin de 21 h à 23 h 30www.fnac.comwww.hmizate.mawww.guichet.ma

    Institut français13 juin MARION MEZADORIAN - 21 h14 juin BOODER - 20 h 3015 juin EMMY FAIT SON ONE KID SHOW - 11 h & 14 h15 juin MASTERCLASS DU RIRE - 19 h

    cinéma le colisée12 juin JUSQU’ICI TOUT VA BIEN - 19 h13 juin TOY STORY 4 - 19 h

    théâtre royal13 juin GALA AFRIKA - 21 h14 juin JALIL TIJANI - 21 h15 juin TROUPE DU JAMEL COMEDY CLUB - 20 h 30

    place jemaa el fna12 juin HUMOURAJI - 21 h13 juin EKO ET SES AMIS - 21 h14 juin JCC MAROC - 21 h15 juin JCC MAROC - 21 h

    palAis badii12 juin HUMOURAJI - 21 h13 juin MALIK BENTALHA - 21 h14 juin GALA JAMEL & SES AMIS - 21 h15 juin GALA JAMEL & SES AMIS - 21 h

    www.marrakechdurire.com

    marrakechdurire marrakechdurire marrakechdurire

    Programme et plan Infos et billeterie

    INFOS PRATIQUES

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    1011

    90 0000festivaliers

    6 sitesaccueillant le Festival100artistes internationaux invités

    700personnes mobilisées pour l’organisation du Festival

    900+retombées presse dans les médias nationaux & internationaux

    1ERfestivaldu rire francophoneau monde

    1ERTOP tweetmondial. Depuis 4 ans le #MDR est n° 1 du top tweet mondial pendant la diffusion du Gala sur M6.

    20To

    us co

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    tsév

    énem

    ents

    portée totale+100 millions de personnes suivent les différents comptes liés au Marrakech du Rire, à jamel, aux invités et youtubers du festival.

    70millionsde téléspectateurs à travers le monde grâce aux multidiffusions sur M6, TV5 Monde, TV2M, Edan TV, Canal International…

    record

    5JOursde fêtes

    5 soiréesde spectacles

    530 00075 000 abo

    nnés

    Chiffres clés

    CHIFFRES CLÉS

    d’audience

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    ali

    L’HUMORISTE QUI AVAIT UN RÊVE L’HUMORISTE QUI AVAIT UN RÊVE

    RENCONTRE

    Comment est né Humouraji ?L’idée est née dans un café à Casa. Je me demandais comment faire rire les Casablancais toute l’année. Et je cherchais un concept pour réunir des humoristes. Mon rêve, c’était : comment faire un gala, chaque mois, avec les mêmes artistes et des stars invitées ? Sur le premier spectacle, j’ai réuni 24 artistes pour un spectacle qui a duré 4 heures ! Le rêve prenait corps… Aujourd’hui, la troupe est moins importante (une douzaine d’humoristes), mais elle n’arrête pas de jouer. Elle est composée d’artistes résidents, humoristes confirmés, accompagnés de jeunes talents qui ont ainsi l’opportunité de faire leurs premières armes.

    Avec Humouraji, y a-t-il une autre ambition que de regrouper des artistes ?Oui… Humouraji, en dehors des galas, c’est un immense atelier d’écriture : développement de concepts, de sketchs, sitcoms, etc. On écrit, on tourne, on diffuse sur tout ce qui est digital… Et alors on a la chance de voir sponsors et télés venir vers nous pour demander de développer d’autres concepts pour eux. Donc on se remet à écrire et on re-tourne ! Et puis, cette année, au début du Ramadan, on a lancé le premier café-théâtre à Casablanca. Pour faire connaitre des jeunes talents, rôder leurs passages, leur don-ner une scène pour s’exprimer. En espérant qu’à terme, ce café-théâtre devienne un endroit incontournable des sorties culturelles casablancaises.

    C’est le 2e gala d’Humouraji au Festival de Marrakech. Qu’est-ce qui a changé depuis 2015 ?En 2015, c’était le tout début d’Humouraji et le Festival nous a fait confiance. Nous avions joué au Colisée, une salle de 800 places environ. Aujourd’hui, Humouraji est devenu une marque ; la troupe joue à guichets fermés. On remplit des salles de plus de 1500 places. Et le public en redemande. On a joué aussi à l’étranger (France, Belgique, Suisse, Canada) avec autant de succès. En 2019, on fait le gala d’ouverture du Festival au Palais Badii ! Le rêve est devenu réalité !TALISSTALISS

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    HUMOURAJI

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    1) YASSAR LEMGHARIDepuis sa victoire au Comedia en 2010, Yassar ne cesse d’être sollicité : petit et grand écran, digital, scène. Ce jeune humoriste est l’un des piliers de la troupe. Connu par son style décalé qui ose tous les sujets, il arrive à faire rire et à trans-mettre des messages importants. Avec son style agressif, incisif, et drôlement méchant, Yassar n’épargne per-sonne, et surtout pas son public, conquis d’avance.

    Entourant Taliss, ces jeunes artistes ouvriront la 9e édition du Festival du Marrakech du Rire

    Entourant Taliss, ces jeunes artistes ouvriront la 9e édition du Festival du Marrakech du Rire

    2) RACHID RAFIK Rachid Rafik est l’un des humoristes ma-rocains les plus plé-biscités du moment. Avec son sourire généreux, Rachid est un comédien qui met tout de suite à l’aise son public et qui porte sur scène une forte présence scénique et un punch et un dynamisme iné-galé. Il a su se tracer un chemin brillant, depuis son début dans l’émission Comédia, où le public l’a découvert.

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    3) HAMZA FILALIHamza Filali se démarque sur scène par son attitude dé-sinvolte et son éner-gie contagieuse. C’est avec sa toute première série de capsules « Hadi Hyati », diffusée sur le digital qu’il s’est démarqué par ses personnages bien typées de la société marocaine. Il se fait remarquer par la chaine novatrice, Medi 1 TV, qui dé-cide de le parrainer.

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    4) SAID & WADIICe duo originaire de la ville de Safi nous fait plonger dans un humour fin et souvent décapant, au rythme endiablé et au sens du détail hors du commun. Armés d’un style incomparable, Said & Wadii em-barquent le public dans un spectacle enrichi de situations absurdes et de personnages inatten-dus. Vous ne voyez pas les vannes venir… La surprise n’en est que meilleure !

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    7) KAMAR SAADAOUI Surnommée Hamaka, Kamar Saadaoui en-chante le public depuis quelques années avec des capsules diffusées sur le web. Avec un sens affûté de la répartie et de l’autodérision, mêlé à un peu de désinvolture et beaucoup d’esprit, elle rejette les codes, dépasse les limites et s’aventure au-delà. Le public l’a découverte sur YouTube bien avant qu’elle ne fasse son apparition à la télé et n’arrive sur le devant de la scène.5

    5) KAWTAR BAMOKawtar Bamohamed : un regard malicieux, un sourire contagieux, une grande maîtrise des réseaux sociaux. Elle a su faire une place dans le cœur de ses nombreux followers et parmi la jeune génération de comédiens. Son papa, présent dans la majo-rité de ses vidéos, est complice de son hu-mour, d’où le surnom de « 3chirt Babaha’. Une jeune femme à suivre absolument !

    10) ADNANE Adnane est un jeune passionné d’art depuis son jeune

    âge, il a suivi des cours de théâtre au conservatoire avant de se retrouver dans l’humour. Fan des réalisa-

    tions de la troupe Humouraji, il rejoint la troupe en 2017 en interprétant des rôles dans les deux dernières sai-sons, pour ensuite se préparer et roder ses premiers

    sketchs.

    66) AYOUB IDRIAyoub est un talent révélé par Taliss Prod, très investi et motivé. C’est un artiste, co-médien calibré, grand passionné de paro-dies musicales. Il se distingue par la qualité de ses sketchs, son audace et sa polyva-lence, car il est aussi concepteur-rédacteur.Il est drôle, percutant, impressionnant et extravagant.

    99) BRAHIM KABBAJBrahim a fait ses débuts en 2014 en se produisant sur les scènes de différents festivals dans tout le Royaume. Ces festivals réunissant plusieurs humoristes visaient à ras-sembler, autour du rire, aussi bien les artistes confirmés que les débutants. Avec des idées plein la tête et une énorme envie d’apprendre, Brahim enchaîne ses pas-sages plus fous les uns que les autres.

    palais badii - 12 JUIN - 21 hhumouraji

    88) YASSINE GHELFANEDès ses débuts, Yassine a su rapidement se tailler une place importante au sein de la troupe. Son humour rassembleur lui permet de parler des sujets dans lesquels tous se reconnaissent. Sa simplicité, sa pertinence et sa spontanéité font de lui un artiste complet doublé d’une personnalité plus attachante. Yassine a également fait des apparitions télé dans une série de capsules humoristiques.

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    théâtre royal - 13 JUIN - 21 hgala afrika

    Vous revenez en grande maitresse de cérémonie du Gala Afrika. Quel sera votre rôle ?Je crois qu’on n’attend pas, cette année, un MC en tant que telle. Comme on dit chez nous, « un morceau de bois fait de la fumée, mais ne fait pas de feu ». Ce proverbe signifie ici qu’on a be-soin de tous les humoristes pour faire de ce gala une fête, le MC ne fait pas tout. On sera tous sur scène pour témoigner de l’Afrique plurielle que le Marrakech du Rire est fier de montrer.

    Quelle sera la thématique du Gala 2019 ?Cette année le Gala se construit autour des proverbes africains. Chaque pays a des proverbes étonnants qui seront mis en valeur. Et chaque pays a son humour bien particulier. C’est la promesse d’une soirée très diversifiée.Il y a un proverbe camerounais qui dit : « quand on accouche d’un serpent, il faut en faire une ceinture ». Cela veut dire que l’on doit s’adapter. Le gala s’adaptera aux artistes sur scène et au public du Théâtre Royal.

    Qui est le public du Gala Afrika ?Les Africains subsahariens se déplacent pour venir voir leurs humoristes. J’ai été très agréablement surprise de voir des Ivoiriens, des Camerounais, des Congo-lais me dire : « on a quitté chez nous, on est venu te voir ! » Ils seront là, cette an-née encore, pour découvrir les nouvelles pépites de l’humour africain.

    Comment sont choisis les artistes du plateau 2019 ?Le plateau est choisi en duo avec Ludi-vine Bonjoux, la directrice de program-mation du Festival. Cette année dans la programmation, il y aura bien sûr Digbeu et Gohou, incontournables de la soirée. On les attend avec beaucoup d’impa-tience et de plaisir. Mais surtout, il y aura des humoristes que l’on n’a pas encore vus à Marrakech. Ce sera une soirée de découverte. Comme le jeune duo « Les Nyota », deux jeunes femmes très drôles qui mettent la femme africaine en valeur. D’ailleurs les femmes africaines, à l’humour si particulier, vont prendre le pouvoir de ce gala Afrika 2019 !

    RENCONTRE

    AMOUTATIOn a quitté chez nous,on est venu te voir !

    Amoutati On a quitté chez nous, on est venu te voir !

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    LES NYOTASCe duo féminin d’humour congolais est constitué de Princesse Watuwila et Jovitha Songwa, comédiennes de formation au conserva-toire de Kinshasa/Institut

    National des Arts, en art dramatique. Très vite elles ont été empor-tées par la vague hu-moristique. Après des ateliers d’écriture avec

    Ronsia Kukielukila, l’initia-teur de ce magnifique duo, elles

    décident de se lancer. Elles enchainent une succession de performances en Afrique : le Festival International d’Humour de Kinshasa, « TOSEKA », le Festival « Made In Congo », « KINACT », le Festival Tuseo de Brazzaville, Le Parlement Du Rire (2017 et 2018), le Lubum Comedy Club.Se démarquant particulièrement par leur parfaite synchronisation vocale et gestuelle, ce duo d’étoiles est une pépite de l’humour africain, et est déterminé à atteindre la lune.Crédit Photo : © Magic Pics Communication

    IGNACE ESSOUNGA Tout jeune, c’est après avoir joué la passion du Christ à l’Église catholique que le jeune Ivoirien, Ignace Essounga, découvre sa propre passion pour le théâtre.En 2007, il est définitivement touché par le

    virus de l’art, intègre le théâtre du Nyong où il se forme pendant

    trois ans. Dès lors, plus aucun retour en arrière n’est possible et le virus le ronge de plus belle, le conduisant dans quasi-ment toutes les salles de

    spectacle du Cameroun.En 2010, il commence à

    écrire des sketchs, mais c’est

    GALA AFRIKALES INCONTOURNABLES

    LES NOUVEAUX VENUS

    Michel GOHOU Michel Gohou est le comédien humoriste le plus emblématique de Côte d’Ivoire et d’Afrique francophone. Sa popularité est immense auprès de millions d’Africains. Grâce à des séries télévisées qui sont devenues cultes tels que Ma Famille ou Le Gohou Show, la silhouette de ce petit homme a fini par intégrer le quotidien des Africains. Il se produit un peu partout avec son nouveau one-man show Je vais te gifler, et tourne dans de nombreux films et séries. Gohou se distingue par sa manière toute personnelle d’interpréter ses personnages et par un humour à toute épreuve.Crédit Photo : © Gondwana City Productions

    DIGBEU Digbeu Cravate, originaire de Côte d’Ivoire, est le surdoué de la bande ; comédien, stand up, humoriste, conteur, il sait tout faire avec

    une facilité déconcertante. Sa personnalité séduit autant

    que son talent. Il partage son temps entre la TV et la scène ivoirienne et internationale. Il est reconnu sur toutes

    les scènes africaines comme l’un des meil-

    leurs de sa génération. Toujours à la recherche de

    la perfection dans son domaine de prédilec-tion, Digbeu est propulsé au sommet de son art. L’acteur désormais metteur en scène et formateur, est en donc en train de tracer une autre histoire et un sillon de sa carrière artiste.Crédit Photo : © Gondwana City Productions

    seulement en 2016 qu’il commence à les jouer en public. En novembre 2017, il est repéré par Valery NDONGO qui lui propose de jouer une fois, puis deux dans le cadre du Valery Ndongo Comedy Club…

    HERVE KIMENYI HERVE KIMENYI est un jeune acteur comé-dien rwandais de 31 ans. Sa carrière débute en amateur sur une scène de danse RnB et Hip Hop de Kigali (COOL FAMILY). Quelques années plus tard, il découvre le théâtre avec ISHYO Theater Compagnie de CAROLE KAREMERA.Le stand-up, qui est sa passion, débute avec

    un tout jeune groupe d’humo-ristes : le COMEDY KNIGHTS

    de Kigali qui, de fil en aiguille, l’emmène sur les planches du BUJA SANS TABOU (festival burundais de théâtre de Freddy Sabimbona), du

    TOSEKA (festival du rire de Kinshasa) et du MONTREUX

    COMEDY FEST où il sera le premier Africain d’origine à participer pour la 25e édition et à atteindre la finale.BOUTABOU, son premier one-man-show en cours de réalisation.

    SOW PEDROJeune humoriste Guinéen, Sow Pedro fait ses débuts en 2012 avec le collectif de Stand Up : Les Serial Rieurs. En 2014, il se lance dans son projet solo. Son style de prestation, sa capacité à aborder de manière souple les sujets les plus délicats, lui ont permis de participer au MASA d’Abi-djan en 2016 et 2018, au Parlement du Rire

    Saison 4, au FAR de Labé en 2017 et 2019, et au Match du Rire

    à Conakry… En 7 ans, Sow Pedro a réussi à confir-mer son talent en tant

    qu’humoriste, scénariste, metteur en scène et comme coproducteur de la première émission télé 100 % humour : Le Sow Pedro Comediz.Tout ceci n’est qu’un début parce que, selon lui, le secret d’un bon parcours se trouve dans le travail, la rigueur et l’humilité.

    ULTRICH TAKAMUlrich Takam est passion-né d’art et de commu-nication depuis le bas âge. À l’université, il étudie le théâtre, mais très vite l’humour s’impose à lui. Entre 2013 et 2016, il écrit et interprète trois one man shows et se produit dans différentes villes du Cameroun. Animateur d’une émission culturelle et comique sur les antennes de la radio Kalak Fm depuis plus de trois ans, Ulrich Takam est également présen-tateur de l’émission « Comédie Presse » sur Canal 2 International. Il est primé Révélation humoristique 2018 de la Caravane de l’humour. Il a également été parmi les dix finalistes du prix RFI Talents du Rire 2018. Aux côtés de Moustik Karismatik et des Sénateurs de l’hu-mour, il représente le Cameroun à la saison 6 du « Parlement du Rire » en Côte d’Ivoire.

    OBSERVATEUR ÉBÈNEObservateur Ébène est

    originaire de Bouaké en Côte d’Ivoire. Enfant, il inventait des histoires pour ses copains du vil-lage, et aujourd’hui, il fait

    marrer des millions de fans sur les réseaux sociaux.

    Loser, charmeur, influenceur, conteur, arnaqueur, vanneur…

    Observateur ! Des fans aux femmes, en passant par les technologies, les préjugés, la nourriture et les différences entre l’Afrique et la France, Observateur Ébène nous parle de tout et sur-tout nous raconte, sur scène, l’aventure d’un enfant africain devenu star en France.

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    2021

    LENNY M’BUNGAPour Lenny, le rire a toujours été un moyen de transmettre des messages bien plus puis-sants que de longs discours barbants. Issu du théâtre contemporain, il traite dans son spectacle des relations hommes-femmes, de sa vie quotidienne mais aussi de thèmes engagés comme la co-lonisation ou la discrimination.Ayant fait les premières parties de Mos Def, Fary ou Lauryn Hill, Lenny M’Bunga est une des révélations de Montreux et de la grande soirée Stand Up lors du Festival d’Humour de Paris

    © H

    omaY

    oun

    UN PLATEAU D’HUMORISTESUN PLATEAU D’HUMORISTES POUR UNE SOIRÉE DE

    FOLIE

    POUR UNE SOIRÉE DE FOLIE

    DJIMOGagnant du Grand Prix du festival d’humour de Paris 2018, Djimo n’est pas pressé, mais il est drôle. Djimo va à son rythme, mais il n’est pas largué. Comme il dit, « rien ne sert de courir, il faut vanner à point. »

    inèsNe vous fiez pas au mètre cinquante d’Inès ! Après avoir fait les Cours Florent, elle se lance dans le stand-up avec une bonne humeur communicative, une auto-dérision touchante et une énergie débordante. Son charme piquant opère lors des DEBJAM et lors de ses apparitions dans le Jamel Comedy Club.

    Farid chamekhFarid Chamekh vous raconte absolument tout, même ce qui n’est pas permis. Avec un sens inné de la dérision, il expose sa vision du monde avec des mimiques et une gestuelle peu commune. Il joue, improvise, danse avec son public et il se pourrait que vous ayez envie de danser avec lui…

    WAHIDWahid dissèque pour vous les relations hommes/femmes, découpe au scalpel tous les clichés, ausculte l’air du temps, pour des fous rires de malade ! Wahid vous prescrit d’urgence une bonne dose d’humour. Venez découvrir Wahid comme vous ne l’avez jamais vu, à « cœur ouvert ».

    FRANJOFranjo est membre de la troupe du Jamel Comedy Club depuis 2016. Il est monté sur scène pour la première fois en 2015 au Théâtre du Gymnase puis a enchainé les scènes parisiennes telles que le Café Oscar ou encore le Paname Art Café. Il a également fait les premières parties d’Artus à la Cigale en 2016.

    théâtre royal - 13 JUIN - 20 h 30la troupe du jamel comedy club

    JAMEL COMEDY CLUB

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    2223À LA BONNE HEURE

    Du lundi au vendredi de 11 h à 12 h 30, Stéphane Bern, entouré de ses espiègles chroniqueurs, reçoit une personnalité de l’actualité culturelle pour une heure trente de « drôleries ».

    jeudi 13 juinune émission en direct

    de 11 h à 12 h 30 (heure française) suivit de l’enregistrement

    d’une deuxième émission.

    Palace Saadiça se passe au…

    DÉLOCALISATIONS RADIOS

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    2425

    Originaire du Gard, Malik Bentalha monte à Paris à l’âge de 18 ans et étudie au Cours Florent. Dans le même temps, il se produit dans des cafés-théâtres parisiens. Étoile montante de la scène comique française, Malik Bentalha a été propulsé sur le devant de la scène dès 2010 grâce au célèbre Jamel Comedy Club. Son spectacle, Malik Bentalha se la raconte, a été joué dans les plus grandes salles de spectacles de France. À partir

    PREMIER ARTISTE SOLO PROGRAMMÉ AU PALAIS BADII

    MALIK BENTALHARENCONTRE

    L’aventure de Malik Bentalha avec le Festival du Marrakech du Rire commence dès le premier Festival en 2011. Depuis, il ne manque jamais une occasion de revenir jouer avec ses amis au Palais Badii, pour le Gala en 2013, 2014, 2018… Malik est toujours de la fête. En 2019, ce sera le 1er artiste solo à être programmé au Palais Badii.Soyez au rendez-vous !

    2011

    2018

    20132014

    palais badii - 13 JUIN - 21HENCORE

    de 2011, il assure les premières parties de Jamel Debbouze et de Gad Elmaleh. Il joue son spectacle solo, Malik Bentalha se la raconte, mis en scène par le wonder-boy du rire Alex Lutz puis par Mohamed Hamidi au Bataclan, à la Cigale, au Casino de Paris, puis dans toute la France. Il revient aujourd’hui avec son tout nouveau spectacle Encore en tournée dans toute La France, ainsi qu’en Suisse, Belgique, Luxembourg.

    MALIKEN QUELQUES MOTS

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    RENCONTRE

    LAID LIAZID

    TÉMOIN PHOTOGRAPHIQUEDU FESTIVAL

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    Comment est-ce que le Festival a commencé pour vous ? En 2010, avec l’aventure du tout premier festival. Tout était nouveau : toute jeune troupe du Comedy Club, toute jeune équipe de production. On faisait tous plusieurs boulots : sur scène, en coulisse, dans l’organisation. C’était très excitant avec une atmosphère très familiale, même si c’était, également, épuisant physiquement.Je faisais tous les shootings : les spec-tacles, les soirées, le « off » aussi, les coulisses, les équipes. C’est comme ça qu’en 2010 j’ai découvert le Maroc ; et aujourd’hui, j’y vis !

    Vous allez exposer une série de photos des Festivals passés. Comment avez-vous fait cette sélection ?Il s’agit d’une rétrospective des 8 éditions passées, que les spectateurs des Galas pourront découvrir en entrant dans le Palais Badii. Mais ce seront surtout des clichés d’un festival que personne ne voit et qui donneront encore plus envie de participer à l’événement : du off, du

    back-stage, les répétitions à 2 h du matin, Jamel qui éclate de rire avec les Twins en plein après-midi au Badii par 40°, les équipes techniques Marocaines et Fran-çaises qui travaillent… ou qui prennent quelques instants de repos… Tous les à-côtés, quoi !

    Quels sont vos autres liens photographiques avec Marrakech ? J’ai fait une série de photos intitulée « Marrakech People », des portraits en noir et blanc des Marrakchis qui font par-tie de ma vie ici. Pour montrer la beauté de cette ville à travers sa population très éclectique, aux origines si diverses. Ces photos ont déjà été accueillies à la Conciergerie. Et elles seront de nouveau exposées en juin à Marrakech.

    Quel est votre meilleur souvenir du Mar-rakech du Rire ?C’est en 2012. La répétition, à 2 h du matin, de l’orchestre marocain et de Stro-mae pour son titre : « Alors on danse » de-venu, pour l’occasion, « Alors on chtah ».Ils ont découvert le morceau ; ils l’ont adopté, adapté et remixé sur scène en quelques instants. Avec la nuit, les étoiles, j’ai kiffé un max. C’était de la vraie magie. Un impressionnant moment où tout se crée, un pur moment de poésie. En vrai, je suis un mec très chanceux… d’être le témoin de tout ça !

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    DÉLOCS RADIODÉLOCALISATIONS RADIOS

    vendredi 14 juinde 6 h à 11 h

    Momo et son équipe du Momo Morning Show réveillent le Maroc et Marrakech !

    Avec des topics liés à l’actualité ou mode de vie, des rendez-vous interactifs comme

    Madrassat Momo, Mashmoum Test, Top 10 Morocco et des jeux. Des Hits, des cadeaux et beaucoup de délires pour

    démarrer la journée de bonne humeur.

    MOMO MORNING SHOW

    movenpickça se passe au…

    Un film de MOHAMED HAMIDI avec Gilles Lellouche, Malik Bentalha et Sabrina Ouazani

    Fred Bartel est le charismatique patron d’une agence de communication pari-sienne branchée, Happy Few. Après un contrôle fiscal houleux, il est contraint par l’administration de délocaliser du jour au lendemain son entreprise à La Cour-neuve. Fred et son équipe y font la ren-contre de Samy, un jeune de banlieue qui va vite se proposer pour leur apprendre les règles et usages à adopter dans ce nouvel environnement. Pour l’équipe d’Happy Few comme pour les habitants, ce choc des cultures sera le début d’une grande histoire où tout le monde devra essayer de cohabiter et mettre fin aux idées préconçues.

    jusqu’ici tout va bien - 12 JUIN - 19 hcinéma le colisée

    JUSQU’ICI TOUT VA BIEN

    JUSQU’ICI TOUT VA BIEN SECTION CINÉMA

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    « Jusqu’ici tout va bien »… Un titre de long métrage qui en dit long sur votre carrière de réalisateur cinéma ?Effectivement ! J’ai eu le plaisir de faire 3 films en 5 ans, je suis en montage du 4e. J’ai la chance de faire ce que j’aime. D’écrire et de réaliser ces films avec des acteurs que j’aime. D’avoir des produc-teurs, distributeurs, diffuseurs qui me suivent. Donc, oui, jusqu’ici tout va bien !

    Deux fois primé à l’Alpe d’Huez. Deux fois programmé à Marrakech. Vous connaissez bien le public cinéma du Festival, comment le définiriez-vous ? « La Vache » avait reçu 3 prix à l’Alpe d’Huez : du public, du jury et du meilleur acteur pour Fatsah Bouyamed. « Jusqu’ici tout va bien » a reçu, cette année, le prix du public. J’ai tourné mes 2 premiers films au Maroc et autour de Marrakech : « Né quelque part » et « La Vache ». Le Maghreb fait partie de mon identité. J’y ai donc toujours montré mes films. Les sujets sont universels, nous avons un langage commun. Et le public est très réceptif à mon cinéma : mon humour, mes histoires, ma comédie.

    Après le tapis rouge du Colisée, vous repartirez dans les coulisses du Badii où vous œuvrez également comme metteur en scène du Gala. Comment se construit un tel spectacle ?Le gala se construit d’abord autour de Jamel et de ses envies. Et puis aussi en fonction de l’histoire du Festival : son aura, sa notoriété, son passé. Avec

    MOHAMED

    HAMIDI

    Jusqu’ici tout va…

    très bien !Khaled Amara, co-metteurs en scène du Gala, nous essayons d’apporter de la nouveauté, de proposer une diversité dans le type d’humour, le style et le type de sketchs. Et nous écrivons aussi beau-coup de sketchs inédits, de passages entre les artistes.

    Y aura-t-il un nouveau « skontch » en 2019 ?Il y a une sérieuse réflexion autour du « skontch ». Nous ne savons pas encore s’il gardera cette forme, 15mn de folie pure à la fin du gala, ou si on privilégiera des ponctuations, distillées tout au cours de la soirée. Ce sera en fonction de l’en-vie des comédiens. On propose, on écrit et on voit ce qui retient l’attention et fait rire. La réponse… au Gala !On travaille aussi sur les magnétos avec des gens qu’on aime et qui ne peuvent pas être là physiquement. Les magnétos sont toujours en interaction avec Jamel, avec la scène… comme si on était en duplex ! C’est très vivant.

    Quels sont vos meilleurs souvenirs du Marrakech du Rire ?J’ai un souvenir tout particulier de la 1re an-née au Badii avec un casting exceptionnel et ce sketch réunissant Zinedine Zidane, Omar Sy et Jamel Debbouze. Il y avait une folie toute particulière.Et puis un grand souvenir du sketch des Daft Punk avec Michaël Youn et Jamel. 3000 personnes en délire qui avaient l’im-pression que les Daft Punk étaient effecti-vement sur la scène du Badii !Et encore notre premier « skontch » sur les 1001 nuits… Quel choc quand on a diffusé le mapping sur les murs du palais. On avait totalement changé le Badii. C’était très fort.Mais en vrai… j’espère que mon meilleur souvenir sera cette année ! 36

    le colisée - 12 JUIN - 19 hjusqu’ici tout va bien

    RENCONTRE

    MOHAMED HAMIDI, Jusqu’ici tout va… très bien !

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    4SECTION CINÉMATOY STORY

    TOY STORY

    Woody a toujours privilégié la joie et le bien-être de ses jeunes proprié-taires – Andy puis Bonnie – et de ses compagnons, n’hésitant pas à prendre tous les risques pour eux, aussi inconsidérés soient-ils. L’arri-vée de Fourchette, un nouveau jouet qui ne veut pas en être un, dans la chambre de Bonnie met toute la petite bande en émoi. C’est le début d’une grande aventure et d’un extraordinaire voyage pour Woody et ses amis. Le cowboy va découvrir à quel point le monde peut être vaste pour un jouet…

    Un film deJosh Cooley

    avec les voixfrançaises de

    Jean-Philippe Puymartin (Woody) Richard Darbois (Buzz L’Éclair)

    LES NOUVELLES VOIX FRANÇAISESL’auteure-compositrice-interprète belge Angèle, donne de la voix à Gabby Gabby une poupée capable de paraître accueillante et amicale puis de devenir extrêmement froide et terrifiante en quelques mots… La comédienne Audrey Fleurot apporte toute sa palette d’émotions au formidable person-nage de La Bergère.Jamel Debbouze (Ducky) et Franck Gas-tambide (Bunny) apportent tout leur ressort comique et leur talent d’improvisation à ces irrésistibles personnages.Le talentueux comédien Césarisé, Pierre Niney, prête sa voix à Fourchette, un jouet pour le moins atypique, drôle et touchant.

    toy story 4 - 13 JUIN - 19hcinéma le colisée

    projection exceptionnelle

    Section cinéma en partenariat avec le Festival International du Film d’humour de l’Alpe d’Huez.

    Disney a rejoint la Section Cinéma du Festival du Marrakech du Rire en 2018. Pourquoi ce partenariat ?B L : Nous en avions discuté avec Jamel Debbouze il y a quelques années, nous aimons beaucoup ce festival, nous y associer en présentant des films était une évidence.

    Est-ce important de proposer au jeune public du festival des projections exceptionnelles des nouveaux films d’animation Disney.Pixar ?B L : Le cinéma doit voyager ! Nous nous devons d’accompagner nos films et de les faire connaître au plus grand nombre et particulièrement aux plus jeunes.

    Quelques mots sur votre expérience de 2018 avec Les Indestructibles 2 ?B L : C’était notre première colla-boration ! L’accueil enthousiaste reçu par Les Indestructibles 2 avec

    Entrevue Boualem Lamhene

    LAMHENE Boualem

    Gérard Lanvin nous a rempli de joie. Le Festival du Marrakech du Rire est une très belle initiative et cela nous fait plaisir d’y revenir cette année avec Toy Story 4.

    Pourquoi présenter Toy Story 4 lors de l’édition 2019 ?B L : Les personnages de TOY STORY ont gagné leur place dans le cœur des spec-tateurs du monde entier, toutes généra-tions confondues. Nous sommes heureux de présenter ce nouvel opus au casting riche de talents avec, entre autres, Pierre Niney, Franck Gastambide, Audrey Fleu-rot, Angèle et Jamel Debbouze au public du Marrakech du Rire.

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    Vice-président de Walt Disney Company France

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    JALIL TIJANI, Revenir, avec un spectacle abouti, dans la ville où tout a commencé…

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    Revenir,avec un spectacle abouti, dans la ville où tout a commencé…

    Quelle est votre formation à la scène ?J’ai passé 3 ans à l’École du Jeu à Paris. C’est une école de formation d’acteurs. Avec Delphine Eliet, j’ai appris l’incar-nation et la psychologie du personnage, complété par un travail sur le rapport au corps.

    Êtes-vous passé, comme nombre d’humoristes par l’improvisation ?De retour au Maroc, en 2015 et 2016, j’ai intégré la Ligue d’improvisation théâtrale du Maroc. J’ai participé à 2 tournées en Europe, joué à Paris (La Cigale), Bruxelles, etc.Je m’amusais beaucoup à rentrer en improvisation avec un personnage. C’est une discipline qui m’a beaucoup aidé pour l’écriture de mon spectacle.Jeux de société.

    Comment est né ce premier spectacle ? De retour au Maroc après mes études, j’ai eu envie de parler de la société ma-rocaine, de ce qui me gênait. Quand un humoriste écrit sur un sujet, c’est que le sujet abordé est dysfonctionnel : fracture sociale, rapport à l’argent, matérialisme, mœurs, rapport au pouvoir… Il y avait plein de choses que je trouvais rigides. Et par ce spectacle, j’essaie de ramener de la souplesse.Tout naturellement ce spectacle s’est écrit en mêlant français et darija, car c’est aussi mon identité. C’est impor-tant pour moi d’aller vers ce qui me ressemble, de garder une démarche authentique.

    Qu’est-ce qui relie vos personnages ?Quand j’ai écrit le spectacle, je n’avais pas l’intention de créer du lien. Et puis le spectacle a évolué, passant de 55’ à plus d’1 h 30 ! Je ne peux pas m’empêcher de rajouter des choses… Et quand j’ai vu le tableau final, j’ai constaté qu’il y avait énormément de liens entre

    tous ces personnages. Alors je me suis amusé à renforcer ces liens, à imaginer des situations entre les personnages : liens familiaux, drague, ou personnages qui se croisent alors que rien ne les pré-dispose à cette rencontre…

    Pensez-vous déjà à l’après « Jeux de société » ? Si, en France, on peut facilement jouer 200, 300 fois ou plus le même spectacle, la réalité au Maroc est différente : il faut se renouveler plus souvent et le volume de spectateurs pour un spectacle donné est plus limité.Alors, même si c’est un « jeune » spec-tacle, j’ai déjà des choses nouvelles à l’esprit. J’ai toujours des choses dans ma tête, d’ailleurs ! Mais je ne sais pas encore quelle forme cela va prendre…

    Qu’est-ce que cela vous fait de revenir à Marrakech ?La première fois, c’était il y a 4 ans pour la Masterclass du Rire. C’était pour moi une bonne opportunité. Cela m’a permis de présenter mes premières écritures. Je suis rentré chez moi en ayant à l’esprit ce qui marchait… ou pas.Alors, revenir cette année avec un spectacle abouti, dans une ville où tout a commencé c’est un beau clin d’œil.

    JALILTIJANI

    théâtre royal - 14 JUIN - 21 hJeux de société

    RENCONTRE

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    MARION MEZADORIAN, Si on ne fait pas ce qui nous ressemble, ça n’a aucun sens !

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    Si on ne fait pas ce qui nous ressemble, ça n’a aucun sens !

    MARION

    MEZADORIAN

    dans tous les cas, à la respiration et aux rires du public. Quand il y a une réaction particulière, des rires qui s’éternisent alors j’interviens. Mais dans l’ensemble, je raconte mon récit.

    One-woman show, théâtre, cinéma, radio ? C’est important pour vous de pratiquer diffé-rentes expressions artistiques ?Le cinéma et le théâtre, je les pratique depuis 10 ans. Je me sens plus comé-dienne qu’humoriste. Les chroniques radio sont venues plus récemment avec le spectacle. Et tout ça fait partie de ce que j’aime faire.

    Quel regard portez-vous sur le début de votre carrière ?C’est un vrai rêve que je vis. Il y a 10 ans, après mon bac, je suis venue sur Paris, je voulais faire une école pour être comé-dienne, mais surtout je voulais écrire mon « one-man ». Quand j’ai terminé ma formation, j’ai com-mencé à travailler comme comédienne. Très vite j’ai senti qu’il fallait que je me lance dans l’écriture.Il semble qu’on attire des gens qui ont envie de nous accompagner. Pour ma part ce fut d’abord François Magnin, mon premier metteur en scène, qui m’a aidé à structurer le spectacle ; puis Alexis Gobé

    Le 13 juin prochain, vous vous produisez à l’Institut Français. Vous n’êtes pas supersti-tieuse au moins avec une telle date ? Je viens des Bouches-du-Rhône donc c’est un signe !

    C’est votre première scène au Maroc ?Oui. Et que ce soit dans le cadre du Festi-val, c’est exceptionnel. Je ne m’attendais pas à faire partie de la sélection. Je n’ai réalisé que quand la billetterie internet a été ouverte. Ça a été un moment inou-bliable.Mais, en fait, ma première fois que j’ai lu mon spectacle, j’étais au Maroc avec un groupe d’amis ! Quand ils ont appris que j’allais me produire au Festival, ils ont tous dit qu’ils allaient venir me soutenir.

    Allez-vous adapter votre spectacle au public marocain ? C’est un conte, une histoire, avec une galerie de personnages. Alors je vais le jouer tel quel. Même si je m’adapte,

    et Alexandra Roth, deux autres metteurs en scène et co-auteurs. Sans oublier Léo Domboy mon attachée de presse. On a fait des choix ensemble. Ils m’ont aidé à avancer et à être là aujourd’hui. Sans oublier, bien sûr, le soutien de la famille et des amis.

    Finalement, est-ce qu’être comédienne c’est plus, ou moins, la galère que d’autres orienta-tions professionnelles ?On m’a tellement dit que c’était impos-sible… On m’a aussi dit que tout était bouché, difficile… Même médecine ! Je me suis dit que, de toute façon, si j’allais au-devant de la galère… Autant faire ce que j’aimais. J’avais vraiment envie d’être comédienne. Et si on ne fait pas ce qui nous ressemble, ça n’a aucun sens. Il y en a qui y arrivent alors pourquoi pas moi ! Je n’ai pas prévu de plan B. J’ai fait des soirées au chapeau, du babysitting… Et, finalement, je m’en sors très bien.

    institut français - 13 JUIN - 21 hpépites

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    RENCONTRE

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    Jamais 2 sans 3… Quoi de neuf depuis nos interviews 2017 et 2018 ?Plein de choses. Tout d’abord la fin de « La Grande Évasion » que nous avons jouée 5 ans, avec une captation pour C8, à La Cigale, avec tous les copains dans la salle.Et le début d’un nouveau One-man qui était dans ma tête depuis un bon moment et que j’avais envie de faire naître.

    Après quelques années à jouer en troupe, comment revient-on à la scène en solo ?C’est un retour aux sources. J’ai com-mencé seul sur scène, puis j’ai fait des films, du théâtre, j’ai appris à jouer avec les autres, j’y ai pris goût…Mais j’ai eu envie de revenir seul en scène, de partager tout ce que j’avais vécu : sur la scène, dans le monde du cinéma et aussi mon expérience de jeune papa.J’avais envie de dire tout ça, de m’expri-mer.

    C’est bien de rire à l’unisson, ensemble !

    BOODER

    C’est donc un jeune spectacle que vous offrez au public du Festival. Il est encore en mutation ?Oui, j’ai commencé à le jouer en sep-tembre dernier. Je fais du spectacle « vi-vant » donc, par définition, ça bouge tous les soirs. L’écriture n’est jamais finie.J’ai un fil rouge, un décor : le public est avec moi dans ma chambre (bienvenue chez moi !).Mais il y a toujours une part d’improvisa-tion en particulier lorsque je fais monter une personne du public pour le sketch du nez de Cyrano ! Ce n’est jamais la même personne… Donc, jamais la même chose.

    Vous avez déjà joué ce spectacle au Maroc. Quel accueil avez-vous reçu ?J’ai joué au Studio des arts vivants de Ca-sablanca en mars et j’ai eu un succès de malade. Salle comble, remplie de familles, des grands-parents aux petits-enfants. Et tout le monde rit et passe une bonne soirée. C’est bien de rire à l’unisson, en-semble. Et quand la lumière se rallume je vois des gens assis côte-à-côte qui ne se seraient même pas salués dans la rue.

    Pourquoi le clin d’œil à Hitchcock sur votre affiche ?Deux choses me lient à Hitchcock, qui est un de mes romanciers préférés.Nous sommes tous les deux nés un 13 août ! Et nous avons tous les deux la particularité d’avoir une tête reconnais-sable dans l’ombre. Lors de la séance photo, mon photographe m’a dit : « tu pourrais même ne pas mettre ton visage, les gens sauront que c’est toi ». Alors on a retenu cette affiche.

    institut français - 1 4 JUIN - 20H30BOODER is back

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    RENCONTRE

    Booder, C’est bien de rire à l’unisson, ensemble !

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    MARINE LLADO, EMMY a 7 ans ET monte sur scène comme les grands Comment s’est faite votre rencontre avec

    Emmy ?J’ai rencontré Laura Bensimon, l’auteur d’Emmy, sur un autre projet. Elle m’a pro-posé d’auditionner. Et voilà, cela fait trois ans que tout a commencé.Ce spectacle existe depuis 5 ans. Il a été joué par 5 comédiennes différentes. Dans les festivals, on fonctionne parfois en alternance, comme à Avignon. Mais à Marrakech, je serai Emmy.Et bientôt, il y aura un Emmy 2… qui verra le jour au festival d’Avignon.

    Pourquoi ce rôle ?J’ai souvent joué en troupe, mais ce qui m’a intéressé dans Emmy c’est que j’étais seule en scène. En plus, c’est un spectacle pour enfant, intelligent. On est tout de suite en interaction avec eux. Pour interpréter Emmy, il fallait donc être à l’aise seule en scène ; et à l’aise en improvisation. Au début c’était effrayant, mais ce fut un magnifique challenge.

    MARINE

    LLADO

    EMMY a 7 ans ET monte sur scène comme les grands

    Lorsque Emmy joue à l’étranger, est-ce que certains sujets varient ? Quelle que soit la nationalité des enfants que l’on rencontre, ils ont tous les mêmes problématiques. Emmy est une enfant de 7 ans qui monte sur scène comme les grands, mais pour parler de la cour de ré-cré, de sa maitresse, de ses copains, etc. Comme tous les enfants du monde. Donc le spectacle, tel qu’il a été écrit par Laura Bensimon, est universel… On adapte juste les prénoms des copains…

    Quels sont les sujets qui font le plus rire les enfants ?En fait, dès qu’on leur donne la parole, passées les premières minutes de timi-dité, les enfants sont très réactifs et ils interviennent avec beaucoup de facilité. Ils acceptent complètement le postulat de départ : Emmy a 7 ans.Quand je rentre en scène, en costume d’Emmy, j’ai leur âge et la capacité de communiquer avec eux.

    Les parents sont-ils autorisés dans la salle ?Oui, même si on leur demande par mo-ment de se boucher les oreilles !L’écriture du spectacle permet aussi une double lecture par les adultes qui comprendront le second degré d’une blague quand les enfants la prendront au premier degré.Et les parents s’amusent également beaucoup parce qu’ils retrouvent ce qui se passe à la maison avec leurs propres enfants.

    institut français - 15 JUIN - 11 h et14hemmy fait son one kid show

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    RENCONTRE

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    MASTERCLASS DU RIRE

    EN HERBE QUI VONT VOUS FAIRE RIRE

    ABLA MERJANE22 ans, étudiante en audiovisuel, Abla travaille ac-tuellement en tant qu’assistante-ingénieur du son. Elle joue ses sketchs à l’École supérieure d’au-diovisuel et pour divers événements artistiques… C’est en 2017 qu’elle intègre la Masterclass et découvre un monde nouveau, riche et exigeant. Elle se rend compte avec beaucoup d’humilité du travail qu’il faut accomplir pour monter sur scène !

    RAJAE TOUJANIRajae a 27ans. Quand elle est sur scène, elle se sent capable d’être qui elle veut, ou elle veut et quand elle le veut ; elle adore se mettre dans la peau de personnages, s’imprégner de leurs caractères et vivre leurs histoires. C’est magique, car à ce moment-là, elle oublie la réalité et la scène devient son monde.

    MOHAMED HAGOUCHUn pur produit de Marrakech et… du Marrakech du Rire puisqu’il intègre la Masterclass en 2017. Mohamed est étudiant au conservatoire des arts à Marrakech et chanteur… Le théâtre lui a appris à imaginer sans cesse, la musique à parler avec le rythme dans le sang et la comédie à aimer tout cela. Pour Mohamed, l’humour n’est pas seulement un art de vivre… c’est un art « d’aimer vivre ».

    MOHCINE JABALMohcine, 25 ans, est en 4e année d’étude de « Théâtre arabe ». Il a joué dans plusieurs pièces et fait quelques tournages télé… Son appétence est, et res-tera, l’humour. Une discipline qu’il adore depuis son enfance. Sa participation à la Masterclass s’inscrit dans la continuité de son apprentissage, à travers laquelle son ambition grandit chaque année !

    OUMAIMA ASRICette jeune apprentie comédienne est en 5e année d’études de théâtre au Conservatoire où elle apprend également l’art de l’improvisation et du « story telling ». Étudier son art ne l’empêche pas de le pratiquer déjà. Elle a déjà joué dans plusieurs séries : Waadi, Hyati, Alwajh Alakhar et Kouloub Taiha. Elle fait également ses débuts d’animatrice télé pour une émission pour enfant.

    OTHMAN HASSANI BENMANSOURSes amis le surnomment affectueusement Totoro (le personnage de Myazaki) et il adopte rapidement ce surnom pour la scène. Totoro est connu pour son humour noir, sans limites et sans tabou. Il joue ses premiers sketchs dans les Open du rire de la FOL et au George Comedy Club de Rabat. En pleine écriture de son spectacle « The Fat Man Show », Othman tente également sa chance au cinéma.

    GHITA KITANEGhita, c’est la benja-mine du groupe. Cette passionnée de théâtre et de comédie a tout juste16 ans lorsqu’elle intègre la Masterclass en 2017. Depuis Ghita vit à fond sa passion entre scène, vidéos sur le net, rencontres artis-tiques et bien d’autres accomplissements dont elle est très fière !

    HOUSSINE LEBBARNé à Casablanca, Houssine se dit tout… sauf équilibré. Par contre c’est une personne agréable, attentionnée, cultivée… bref la liste est plus longue que la muraille de Chine. Rire de tout lui permet de mieux relativiser la vie et de profiter des moments de la meilleure des manières possibles. Sa devise : un jour sans rire est un jour de perdu !

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    10 talents en herbe qui vont vous faire rire

    institut français - 15 JUIN - 19 hmasterclass du rire

    DES TALENTS

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    C’est très enrichissant d’avoir accès au tremplin de la

    MASTERCLASS

    MASTERCLASS DU RIRE

    STUDIO DES ARTS VIVANTS

    La Masterclass 2015, dans laquelle figurait Jalil Tijani (à droite d’Oscar Sisto), réunie devant le Studio des arts vivants.

    Vous êtes partenaire de la Masterclass du rire depuis 7 ans. Pourquoi ?

    Le Studio des arts vivants est un vi-vier d’artistes et une école d’art où on enseigne le théâtre. Ce partenariat est extrêmement enrichissant pour nous et une force de proposition pour toutes les personnes qui souhaitent bénéfi-

    cier d’un tremplin comme le MDR pour évoluer dans leur passion du théâtre, du spectacle et de l’humour. C’est offrir l’opportunité à nos élèves, mais aussi à toute personne qui le souhaite, d’intégrer les Masterclass, et de suivre le coaching d’Oscar Sisto.Quelle est la place de l’humour dans la programmation du Studio ?

    L’humour a été, dès le départ, un moyen de réunir un large public, de l’initier à une programmation théâtrale. Chaque année nous programmons systématiquement 4 ou 5 têtes d’affiche de l’humour français. Mais aussi des spectacles pour le jeune public, des pièces de théâtre… L’humour rassemble, unit et encourage les Maro-cains à sortir.Avez-vous vu éclore une nouvelle génération de jeunes humoristes depuis la création du Festival ?

    Sans aucun doute. Un exemple récent est la révélation de l’humour marocain : Jalil Tijani qui a présenté son spectacle en français et en darija au Studio et s’apprête à partir pour une tournée euro-péenne. En 2015, Jalil Tijani faisait partie des jeunes talents de la Masterclass.C’est extrêmement enrichissant pour ces jeunes artistes d’avoir accès ici, au Maroc, à un tel tremplin. Cela leur donne envie d’aller plus loin et l’expérience les conforte dans leurs choix d’études et de carrière.

    C’est très enrichissant d’avoir accès au tremplin de la MASTERCLASS

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    Éric Frot, vous êtes le directeur et fondateur de Magie à l’Hôpital ; comment est née l’association ? Il y a une vingtaine d’années, il y avait 2 initiatives en parallèle. La mienne : je faisais de la magie auprès des hôpitaux à Dunkerque. Et celle des Magiciens de Touraine.Lorsque je suis arrivé à Tours j’ai intégré le club des magiciens et, de fil en aiguille, ai créé en 2006 l’association Magie à l’hôpital, avec 2 objectifs : faire de la ma-gie auprès des enfants dans les hôpitaux, mais aussi réaliser les rêves des enfants malades.

    Casablanca 51 spectacles de clown, 7210 enfants accueillis à la Maison de l’Enfant, 3042 enfants divertis au chevet par les éducatrices de Noujoum, 373 en-fants ont bénéficié du programme d’École à l’Hôpital, 4323 nuitées à Dar al Oum au profit de 749 mamans Marrakech 47 spectacles de clowns et de nombreuses manifestations et goû-ters, Ateliers animés quotidiennement par une éducatrice titularisée par NoujoumL’expérience avec l’association Magie à l’Hôpital pendant le Marrakech du Rire 2018 s’est inscrite dans le même objectif poursuivi par ces deux associations, la volonté d’humaniser les services hospita-liers pour enfants et d’accompagner les petits patients pour les aider à traverser au mieux l’épreuve de la maladie. Rire et fantaisie pour permettre aux enfants de s’évader et les aider à supporter les lourds traitements. Nous tenons à remercier le Comité de cette belle association qui nous a renouvelé sa confiance.

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    C’est votre deuxième année de partenariat avec le Festival de Marrakech et l’association marocaine Noujoum. Quels liens ont été établis ?Avec cette deuxième année, nous es-pérons que c’est le début d’une longue amitié et collaboration entre nous. Nous comptons bien, cette année, renforcer les tout premiers liens tissés en 2018 et pour-quoi pas, intervenir à l’avenir - en liaison avec Noujoum - dans d’autres hôpitaux au Maroc et en particulier à Casablanca.

    Avec le partenariat du Festival, votre association intervient désormais hors des frontières nationales.Oui, nous intervenons partout en France et à Monaco. Spectacles dans les hôpi-taux, interventions dans les chambres, les salles d’attente et aussi ateliers de

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    magie pour que les enfants aient un « pouvoir » que les autres n’ont pas.À Marrakech, il y aura, comme l’an dernier un spectacle en salle, des animations de chambre à chambre et la réalisation d’un rêve. Pour nous c’est une très belle action d’intervenir à l’étranger et dans le cadre du festival du Marrakech du rire avec nos Magiciens du Rire !!!

    Comment concrètement s’organise votre intervention marocaine ?Nous serons à l’hôpital, le 12 juin. Avec la présence de Kamel le Magicien qui sera accompagné de deux autres magiciens de l’association : Anaël Meunier et sa marionnette… et moi-même.Nous avons également demandé aux encadrants de Noujoum de nous dire si des enfants pourraient assister à un des spectacles du Festival. Nous allons nous coordonner pour que ces enfants et leur famille - car nous faisons très attention à l’implication de l’entourage familial - puissent assister à une soirée du Festival.La particularité de cette année est que nous allons réaliser le rêve d’Ilian, jeune garçon d’origine marocaine vivant en France, de venir parti-ciper au Festival.

    LESMAGICIENSDU RIRE

    LESMAGICIENSDU RIRE

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    Association à but non lucratif, reconnu d’uti-lité publique, l’Heure Joyeuse est la première association marocaine labellisée par Vigeo en Responsabilité Sociale de l’Association (RSA). En 2017-2018, plus de 6 500 personnes ont bénéficié de ses prestations. Active depuis 1959, elle lutte contre l’exclu-sion sociale et professionnelle des popula-tions défavorisées avec un objectif principal : retrouver une place digne dans la société. Animée par une quarantaine de salariés, sou-tenue par plus de 60 bénévoles et un vaste ré-seau de partenaires publics, privés, nationaux et internationaux, l’Heure Joyeuse couvre aujourd’hui 3 principaux pôles d’activités.Santé : Lutter contre la mortalité infantile, répondre aux besoins médicaux des jeunes en situation précaire et aider la population en grande détresse médicale. En 2017-2018, 284 bébés dénutris ont été pris en charge par le pôle Santé.Éducation : Assurer un accompagnement éducatif, pédagogique et scolaire adapté aux besoins des enfants et jeunes en difficulté. 109 enfants inscrits en 2017-2018, dont 44 en éducation non formelle.Formation et Insertion : Faciliter l’insertion des jeunes par un accompagnement adapté à

    L’HEURE JOYEUSERedonner aux exclus une place digne dans la société marocaine

    travers le dispositif de la Cellule d’orientation et d’insertion professionnelle, qui s’apparente à une école de la 2ème Chance, pour offrir accueil, orientation et insertion vers des formations, des stages et des emplois ainsi que vers un parcours en entrepreneuriat, pour permettre à chaque jeune de réussir son projet de vie.Aujourd’hui, l’Heure Joyeuse est une réfé-rence en matière d’entrepreneuriat social.

    Éric Abidal, comment est née votre fondation ?Après avoir été diagnostiqué et soigné pour un cancer du foie : cette expérience person-nelle et familiale nous a conduits, ma femme et moi, à chercher comment apporter notre aide face à un problème qu’on connaissait pour l’avoir vécu et y avoir survécu. La fondation est basée à Barcelone, mais intervient à l’international. Nous contactons les hôpitaux, rencontrons les personnels hos-pitaliers, voyons comment ils travaillent, quels sont leurs besoins et définissons un projet pour les enfants hospitalisés avec eux.C’est important pour nous d’apporter notre pierre à l’édifice comme de s’entraider, quelle que soit la maladie.

    Depuis quand le Robot Paul en est-il un membre actif ?Cela va faire à peu près 2 ans. Paul est un pe-tit robot qui se faufile partout et qui intervient toutes les semaines au Barça : grâce à sa ca-méra embarquée, il offre aux enfants malades la visite du musée du club, leur fait approcher les trophées, rencontrer les joueurs, échanger avec eux les jours de match… Ça a pris un peu de temps notamment parce qu’il a fallu régler la question des droits d’exploitation des images qui restreignent un peu le champ d’action de Paul… Mais on y arrive.

    Comment est née l’initiative pour le Marrakech du Rire ? Le Marrakech du Rire a toujours eu un volet caritatif : j’ai participé à plusieurs reprises aux Charity Football Game lors des premiers MDR.Et il y a beaucoup de patients, d’enfants qui sont fans de comédiens et de sportifs. Le festival c’est une succession d’humoristes et de spectacles. Alors, Paul va parcourir le festival et offrir l’opportunité à plusieurs enfants ou groupes d’enfants d’avoir accès à l’événement, d’oublier un temps leur maladie, de leur apporter rire et sourire. Mais nous prévoyons également de rendre visite aux enfants hospitalisés à Marrakech et travaillons sur un projet qui leur sera consacré.

    Et après Marrakech ?Paul a plusieurs projets et notamment nous sommes en contact avec l’UEFA pour pouvoir faire un projet global sur les grandes compé-titions européennes de foot, à commencer – croisons les doigts – par la Ligue des Nations.

    FONDATION ÉRIC ABIDALLE ROBOT PAUL SUIT LE MDR POUR LES ENFANTS ATTEINTS DE CANCER

    Boutique Éphémèredu 12 au 16 juin 2019

    à l’Hôtel Mövenpick Mansour Eddahbi

    Boutique parisienne44, rue François 1er - 75008 PARIS

    ENGAGEMENT CITOYEN

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    PRIX DE LA CONSIGNATION

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    Créatrice depuis plus de 10 ans, Louise Hendricks se nourrit de ses rencontres, de ses voyages et nous raconte une histoire. Porter un de ses bijoux, c’est vivre une de ses aventures et en devenir l’héroïne. Elle revisite l’Orient, y ajoute un côté rock pour créer une allure négligemment raffinée.

    Venez découvrir ses collections : sautoirs, colliers, boucles d’oreilles, bracelets

    Instagram : louisehendricksparis Facebook : louisehendricksbijoux

    Des bijoux inspirants

    PUBLIRÉDACTIONEL

    Merci à nos sponsors et partenaires 2019

    Quels objets sont interdits dans les salles ?Pour des raisons de sécurité, les poussettes sont interdites sur les lieux des représentations. Sont également interdits les objets ou matières présentant un risque pour la sécurité.

    Est-il possible d’utiliser un appareil photo ou une caméra durant les évènements ?Appareils photos, caméras et appli appareils photos des smartphones doivent être éteints pendant la durée des spectacles afin de ne pas perturber les artistes ni les captations de spectacles.

    Quels sont les horaires d’ouverture et de clôture des salles de spectacle ?Les salles sont ouvertes 2 h avant le début du spectacle et ferment 30 min avant le début du spectacle. En cas de retard l’accès à la salle pourra être refusé et les billets ne seront pas remboursés. Prévoyez du temps pour accéder aux lieux de spectacle du Festival.

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    CONDITION D’ACCÈS AUX SPECTACLESLorsque je suis rentré dans la salle, est-ce que je peux ressortir ?Les billets sont munis de code barre qui ne peut être scanné qu’une fois. Par conséquent, toute sortie du lieu est définitive.

    Les enfants peuvent-ils assister aux spectacles ?L’accès aux spectacles est fortement déconseillé aux enfants de moins de deux ans. Chaque personne doit être munie d’un billet pour entrer sur le lieu de la représentation, quel que soit son âge.Si un enfant ou un adulte perturbe le bon déroulement du spectacle, le Festival du Marrakech du Rire pourra l’exclure du lieu de la représentation.

    Pensez qu’au Palais Badii les fins de soirées peuvent être fraiches… Une petite laine peut être la bienvenue.

    Sponsor officiel

    Transporteur aérien officiel Banque officielle Partenaire du talent EAU officielle

    AUTRES Partenaires

    Partenaires institutionnels ET culturels

    Partenaires médias

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    PANTONE OR 874

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