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PSYCIDI-æI E ET OJLTT-R,E LA PSYCLIJLæ I E TIANS LES PAYS EN VOI E DE, DEVELOPPETTENT l'exenple de l'Algerie ( à propos dù geste ) Pàr : Rachid AII-SÀüÀLIÀ chàLgé de cours f P.5.8 vot)loir éxudier le tôle çreste et de 1a nain dans dlfférentes cultures récess-ite que.lgues renatqùes prélininaires d' ordte épisténo- logil)e et néthodologique. A cet égald, if convieDt, à Dotre aÿis , -d,éviter deux atËjtudes appdremetx opposées nais en fait identiques dars .leur calactère ettoûé et êr1ti-scientifique. I1 s'agit d'une part de 1'attitude qui consiste à appli.qùer a,leuglénent lr'//odèles théotiqùes et -instrunents pratjques d'évaTuaxion élaborés pat et pout des Euao- péens et des Ànglo-saxons, ftests, qùestionnaires ) à ute poPu).dtion d'ùn pdgs en voie de déveLoppenenx et ceTa de ,aDjère indistincte et indifférenciée. D'au::re pdrt. jl s'dqix de 1'attitùde aujourd'hùi 1a p).ùs répaûdùe qu-i consjste à reieter en bloc toute -loj unjÿesse.l le afots que celte-ci est -le résu.ltat de gér1éra I i sàt ions tuéxhodiqùenent opétées, toute 7a psychologie qua)ifiée d'occidentale et qui conduit à aqit. dvec pour seu-l ,ecoùrs 1'jDtujtion d'uûe sPécificité itréduc- tiblê qu.il inpofterdjt de cemer ho.rs de toute conception scien- tifique. so]utron gue ,]ous nous efforçons d'éTaboret et de fiettte er, oeuvre coDs-iste à intégrer à toutes ]es lois uniÿerse-lfes les élé- ments de spécificixé ex à exprinet va)dbleneDt -tâ djâ]ectigue de l'uni- versef et ilù pdrxicuiier I.l est celtajn qut actueTl.enùent Ie re.latj- visne cù)tute7 est ùne doctriûe dépassée, ]es tlaÿaux qu'il a ir7Àÿjlés agant abouti â des àana.lités ou à des iûtetPréxdtiohs invérifiables ( probfènes de définitions des ÿàrjààles décomposdnx le nj.ljeu orture-I, ndture des expériences de I'enfance, moales tle sttucxûratiot, qéogta- phique, pelceptifs, technoTogiques du nifieu, etc..'). Les vatiabfês sont 7a plupatt du tenps trop ÿastes, les cotaéLations obsetvées n'ex- pl,iquenx tien. Ensuite, L'extrêne divetsixé des cuitules taaditionne].les ne lEJt guère étre prjse pour base de dépatt des trêvàùx ex opérationneTl enent tes différences cu-ltuae-l]es et 7es spécificixés n'ont de sen.s gue pal 35

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PSYCIDI-æI E ET OJLTT-R,E

LA PSYCLIJLæ I E TIANS LES PAYS EN VOI E DE, DEVELOPPETTENT

l'exenple de l'Algerie ( à propos dù geste )

Pàr : Rachid AII-SÀüÀLIÀchàLgé de cours f P.5.8

vot)loir éxudier le tôle dù çreste et de 1a nain dans dlfférentescultures récess-ite que.lgues renatqùes prélininaires d' ordte épisténo-logil)e et néthodologique. A cet égald, if convieDt, à Dotre aÿis ,

-d,éviter deux atËjtudes appdremetx opposées nais en fait identiquesdars .leur calactère ettoûé et êr1ti-scientifique. I1 s'agit d'une partde 1'attitude qui consiste à appli.qùer a,leuglénent lr'//odèles théotiqùeset -instrunents pratjques d'évaTuaxion élaborés pat et pout des Euao-péens et des Ànglo-saxons, ftests, qùestionnaires ) à ute poPu).dtiond'ùn pdgs en voie de déveLoppenenx et ceTa de ,aDjère indistincte etindifférenciée. D'au::re pdrt. jl s'dqix de 1'attitùde aujourd'hùi 1ap).ùs répaûdùe qu-i consjste à reieter en bloc toute -loj unjÿesse.l leafots que celte-ci est -le résu.ltat de gér1éra I i sàt ions tuéxhodiqùenentopétées, toute 7a psychologie qua)ifiée d'occidentale et qui conduità aqit. dvec pour seu-l ,ecoùrs 1'jDtujtion d'uûe sPécificité itréduc-tiblê qu.il inpofterdjt de cemer ho.rs de toute conception scien-tifique. Là so]utron gue ,]ous nous efforçons d'éTaboret et de fiettteer, oeuvre coDs-iste à intégrer à toutes ]es lois uniÿerse-lfes les élé-ments de spécificixé ex à exprinet va)dbleneDt -tâ djâ]ectigue de l'uni-versef et ilù pdrxicuiier I.l est celtajn qut actueTl.enùent Ie re.latj-visne cù)tute7 est ùne doctriûe dépassée, ]es tlaÿaux qu'il a ir7Àÿjlésagant abouti â des àana.lités ou à des iûtetPréxdtiohs invérifiables( probfènes de définitions des ÿàrjààles décomposdnx le nj.ljeu orture-I,ndture des expériences de I'enfance, moales tle sttucxûratiot, qéogta-phique, pelceptifs, technoTogiques du nifieu, etc..'). Les vatiabfêssont 7a plupatt du tenps trop ÿastes, les cotaéLations obsetvées n'ex-pl,iquenx tien.

Ensuite, L'extrêne divetsixé des cuitules taaditionne].les ne lEJtguère étre prjse pour base de dépatt des trêvàùx ex opérationneTl enenttes différences cu-ltuae-l]es et 7es spécificixés n'ont de sen.s gue pal

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.apport à une .Dotlne de ttavail. connue et étàblie autout dtün @r.IrJsde cornaissances ploùvéês. Dès lors,-i.l est terÊant pout 7es chetch-€IJI9 contenpora-ins des pags jrdustiialisés de constluire 1a fictiond,une ùnité des cultures t.adjtiorne.l.les à pdrtir de 7a constatatjotde l,,absence de certains traits conùnuns â êes cultures pat ràppott àfa cuLtole occidentaLe. Àinsi pour Ja psycholoqie cognitive,lt unitéfiÇtive sê fait souÿent autour de critères te.ls q'ue )tabsence dten-codage sgitbo)jqùe fau sens de J. BRUNER, 1967) des scàèfies de.l,ætjcn,et de 7'absence du manienent )inguistique des re.latiors aàstrartes .

Le6 ptoblènes néthodolagiqves sont en effet nultipjes : coûpa-.ab i 1 ité tles catégor ies descr i pt ives, équ iva )ence foncx ionne I fe alesfaits étudiés, des tâches, des situatjoDs d,examen, choix des échan-tillons, intetprétation des résu_ltats. Nais )a dénatche consistetoujouis à tapporter ]es résultâts à une gril)e d' interprétation oc-cidentale, et cette déûatche.este sous-iacente aux recàercàes lesp.lus récertes, car el.les fondent leurs àgpotèses sur l,exjstence dehouvel.les vaîidb)es jntroduites dans -le.i ni_lieux tradition e.ls par1.,ùtbanisatiorl. la scoldrisation, 1d .nodetnisation, el).e-ûêne...Dar.s ces cas, on techercbe ce gue ces ÿarjables pednetteht ite.prog-aèst aux sujets instiujts ou nor jrstrujts dans ]e nifieu ùtbailr partapport aura sujetsi2lettrés ruraux, Ces rêcàelcàes sut _le§ nutat.ions.ràpjdes des pdgs eD voie de développenent tenforcent dTors la ten-daæ à la .négdtivité des résultats,. Trop r'.res sont en .éaljté _lesrechercàes qùi pernetttaient de conptendrê 7, infLuerrce rée-lle dlr nr_liêttraditionnel dans ]e développenent de ),enfant. fl_les supposerâjerten fait ]a cotupdrdison ertrê -les groupes uràani.sés, récennent venusde 7d canpaqne I les groupes urbanjsés de Loûgue ëlate,et 7es groupesdeneurés dars leur cddre de vie il.otiqine avec .leuls coutumes et _leursÿaleuls. Ces .aecàercàes sont. théotiquêmeDt possibles , en Àlgerieconrne dtailTeurs, majs e.l_les posert des paoàlènes d,échantijlonnageexXtênenent compTexes guj rjsguent latgenent d,invalider pat avanceles conc.lusions .. ce guj nous raraère alors à ld dénarche jllusojrede 7d conparaison avec 'l1a cültùre acciilentdle., dénarche qu.! dslrqrrecependant -la seu.Ze possible, à cohdjtion qu.i7 ntèn soit pas titéatqünent de supério.jté pout cette cu.lture guj fut aussj cel.le duco.lonisateur. Les diffétences culturel.les, gui ne saulajent en aucuncas expliquer la totà-ljté des condui tes àI,IÉjnes se greffent sur uneuaiversaLixé des processus d,éqùilibration gLri corstjtue sars douteLe patrinoine héréditaite de l,espèce hunaine,

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Pou! ne pas cleneuret au niveau des prjncipes, ij convient d'é'rttëùn peu p]lts dans ]e vif du sujet j que saÿons-nous du développenebtde l,eûfant en paqs en voie de développenent ? Cejd peût-ij éclaiterobjectivenertt certains aspects de la réalité algétienne dans .le do-nainè de 1'ehfance? Iln preniet écueil poul je psgchojogue alqétien ,consjste à expljguer tout phénonèûe individuej par un phénonène x\:7a)

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ItE Ée.lle atâia.de .eÿiert à rêpousser T,explicaxion et non 1à proposet,ca. 7a réalité sociale elle-nêtue est un des facteurs ilù cofiportemeDtindividuel dont ]e rôfe exact doit êtrê défiDi, Don .la cause lzEnièrede tous -les phénoûènes psycàigues. L,attitüde se conprenil dans -la nEs-,e où .la réalité socia.le algé.ienhe est coitpTxe, sersià.lerrent dif-férente de cel)e qüe )ron reûcontre da.rs .le6 pags irdustria.Ijsés.L,Àlqetie conpte en effet une popufàtion de noins de vingt a,'s quileptésente plus de .Ia noitié de 7a popùLation totdle, ce qùi siqnifieque 1a psgchologie de l'enfant et de 1'adolescent concerne 672 defapopùTation alqétienne : en oùtre, -les proà.Ièrnes soulevés par 7a sco-.larjsatio, de cette masse d,erfa[ts sont innonbtables et urErents.&ef,1'enfance et .l,ado.lesceDêe iepiésentent un secteu! d.actjon du psgcho-logue dont ).. inpottance est sans doùte beaùcoup p.lus pressante dars.les pags en voie de déveLoppenent gue dans .les pags iDdust.ia-lisés ,ceci pour des ..ajsons à la fois dénogtaphiques et écoroDj q'ues.

Le ptobfène des carerces de stjrru-ldtjoD a soureDt été itiscùté :oh a supposé que daos .les ,nj.ljeux traditionnefs. ou dars .les ,rj.ljeuxttisérables, .les retards de déveLoppeneDt rroteur, puis iDte-l.lectue-lpoùvdient s.exp.liquer par fe fait que 1,enÿilotu enent de ltenfat\tétait pauvte en objets à nanipuTer, L'intétieut dofiestjgue ne conpre-,Jant que des fidtétiaux élénentàires, non spécifiques où l,ààseDcede st.irru-lations des conduites spatio-petcepxives (pas de neuô]es etd,objets de ,rasse favotisant les expétiences spatja-les et .Ia stauctu-tdtion petcept ivo-ncxr ice ). Cepehilant, i-l sernà-Ze aùjoutd'hùi qutonnepujsse jnÿogue. ùniqùenent ce facteür .. tout ,jljeu àu[aj, cuporteen fait st ffisaænt d objexs,ire foræs ét-îGilEF1âàâîfrar peræt-ite à l. entattx un développerenX notnaT.

If faùdtaix surtout s'jntéresser au deÿré d.otqanisatioo de cesstjrru-lations, aùx régLrl-ations spatio-teDporer-Ies gue Ie rjtleg Eqllfouznir à 7'enfant. Dans ces condixions, jl est possjà.le q'ue.lesni-Uar(ttaditionnels. sur des àases trés différentes,fournissent autant d'ot-ganisatjon à l,enfant gue -les nj.ljeux jDdustrja.l j sés, ,nais q'ue parcontte. 7es nj-ljeux déculturés des zones suàurààilles soiert eux-rÉrE6destructuaés à .la fors sur fe pTan spatia, et sur 7e plan tenporel :l'otganisaxioli des stirû.latio.ts de i'eaÿiroDneæDx iro jeu4c e4fa4\caractérise aussj u,r rEde de vie. Des .ecàercàes intéressartes trEurEËétre errtreprjses ea etêe guesÉjo, qui, pe ettraient ëtemextte en éviilence 1e rôl-e rée) de ceata-ires vatiables co!ùÊ la ttaûs-piantaxion utbaine, le tgpe d,habitat, et su.tout 7e rôLe de -la surpo-pùTation dans ulr espace restreirt, où chaque individu se trouÿe dars,l,inpossiùi-ljté de s'approptiet.un espace qùeLconque, où .l'enfant estîejeté saûs cesse àors de L'espace habixé pat 7a fatni77e.

on d invoqùé soùvent fa rareté ex .le caractère frusÊe des ird.És.'eû pattict liet, êette .rareté netttait 7'enfant algétien en difficùLté

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)orsqu'il se trouve en présence de tests psgchonétriques 'occiden-tauxr dont la pl-upart reprennent des natériaux gui constjtuent la àa.É

des jeux spontanés. Là encore, on est allé trop Loin : maints ethno-logues ont noté.la rjchesse des jeux traditionnels, et, à cet égard,j.l serait souàajtaàle qu'i1 g ajt une étude trés approfondie dansles différents nj-ljeux algériens, notanment dans -les niLieux rurauxtraditionneLs,

L'enfant, en présence d'un natérie-l de test ou en ptésenced'we a<périææ éprouve un besoin lmpressibJe de nanipuTer. Non seu-le-ment , i7 s,agit de L,attrait d'un natérieL qu'il ne connait pas raisplus profondénent d'une caractéristrgue 6s 7a pensée en miTieu tradi-tionnel : 1a prinauté de L'activité sur la représentation de cetteactivité, que ce soit au p)an sgnboTique, linguistique ou seu-lernentsur -le p)an de 1a perception analgtique. BRUNBR et ses coflaborateurs1'ont bien monxré à propos des cu-ltures traditionne-l.les africaines.

La pensée s'exprime souvent à trayers L'activité e7le-nêne, outout au noins a-t-efie besoin de ce support pour ensujte se dévelop-per conceptueTLement Enpêcher 1'enfant de nanipuler, ou ne pas luien donner TapossibiTité, c,est compromettre pat un bjajs le résultatet 7a petformance. Or, certains tests reposent précisénent sur 7a non-nanipulation. I

Dans un domaine comne ceLui du déveToppement psvchomoteut.fes facteurs de maturation sont importants, 7es facteurs de mj.ljeune doivent pas, pour autant, être négJigés

Laconclusiondes travaux récents en Algérie montre q'u,j.l exj.stedes relaxions fonctionne-l-Ies errtre -les et -les1i dtexercices et d, les ieux cu-lture-Is

'Àjnsj B. LALAOUI dans sa tàèse rle stgle psycàonoteur d,enfantsà 7'âge de 9 - l1 ans, (Alger 1982) constate;.ies différences oàtenuessont à considérer moins comne des déficits ou des .retards que comne lerésu-ltat d,un ,st9-le d,être corporeT, ptoduit dans un railieu socio-culturel avec des usages et des représentations corporelles qui -luisont propres".

.Les constations, à partjr des premiers essais d,adaptaxion destests, soulignent la nécessité de s,interroger sur ce gue peut êtrela spécificité si souvent invoquée et iargeflient conteètable dansàaau-coup de natériels psgcho)ogiques.

C,est ajnsj que T,utilisation du BRUNET-LEZINE au cours de -laprenière enfance donne des résu.ltats probants- (Travaux cte A. rAKER( 1972. Alger) et de F. BOUFAML ( 1972, Atger).

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Est-ce parce qùe toùte diffétence, toute otiginalixé ne s'ir,s-crix qùe sur un fond d'urtiversalité psgchologiqùe? La diffétenciaLidtne sùppose-t-elle pas toujoûrs f inxégtation dans un ensenble plusvaste posséôlanx des )ois ptoPtês tendant à 1'ûDivetsafité?

Pa! a-l.l.leu.s, pour B. AA)UI (Alget, 1982) les données socio-cu]tule.l.les setaienx suff.isaDtes pout justifier 1'h}pothèse que 'f'en-vironnenent afgétien n'attache pas assez d'inpottance à 7a cu)tütegestuel]e èles enfants! If va encote pTus loin et Eênse découÿ.it une

'inadéquation' entte fa popuTàtioh d'enfants qui Paraissent à priolicorune hgpetactifs dars -leurs activités et -leuls 'jeùx' et tun envitotl-nenent socio-cultùrel' où 'le vécu ex fa représettation èlÛ tcorps'resxent avant tout ceux d'ùn corps 'saqe alans ses postures', 'dtoitdans f,habit", 'figé et tabou clans )e vetbe' (page 284).

Dans sort étùde tenarqùable sur 'Le corps èlans ]a tradition au

t4aqhreb' (PUF, Patis 1984), Malek CHEBEL infirne cette vision. I1nontte par uûe profusion d'exenpfes judicieÙSenent ahaTgsés, toutes.Ies verlus qu'attlibùe ]a ttadition Popùlaite précisénenx à fa nain(pp 6t-66 ).

Àl'est-ce pàs cette ttadition positive qu'iL conviendlait d'iden-tifiet non saDs espait ctitiqüe et d'intégtet sous formes aPPtoptléesdârs .les proqtannes d'éducation à mettre en oeuvte da,ls nÔs EcoTesetaùt!ês fnstjtutiors gui assuaert ùne foncxion de forrûation ? À ]apsgchopédagogiê stouvte ùn vaste chanp d'iovesxigaxioh sut _lâ àase des

renàtqües, à notre avis fonildneltâ7es, ci-dessus fajteS.

Dialectique ile )'uûiversel et du particuLier, du spécifique ,dialectiqùe de )'environnenenx cuTtùre) et éle L'enfaût à éduquet ,dialectique ëlu aléveloppenenx de la ndin et ële lâ peûsée dans lràppten-tissage.

Et paîce que diàfectiqùe i1 I a, i) n'q a poÙr petsonne eÈ n)lleparx Cle porte fernée à l'évofution ex à la pronotion'

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