Didacticiel opiacés Algoed®

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A60 Actes du congrès de la SFETD, Lille, 21—24 novembre 2012 — 24,3 % IC95 %[22,2 ;26,5] douleurs subaiguës (d’installations lentes ou insidieuses) ; — 18,8 % IC95 %[17,8 ;21,8] douleurs chroniques ; — 9,1 % IC95 %[7,6 ;10,5] pas de douleur/bilan ostéopathique. Conclusion.— En conclusion, les ostéopathes sont quotidiennement confrontés à des patients douloureux. Les motifs de consultations concernent majoritairement l’appareil musculosquelettique. Cette étude pourrait être un préalable à la mise en place d’une cohorte descriptive de l’évolution de la douleur des patients traités par ostéopathie. http://dx.doi.org/10.1016/j.douler.2012.08.159 Formation EP27 Mise en place de la musicothérapie au CHU de la Réunion : une action de formation transversale E. De Diego a , F. Cabanes b , S. Guétin c a Consultation douleur chronique, CHU La Réunion, Saint-Pierre, Réunion b Service de réanimation, CHU La Réunion, Saint-Pierre, Réunion c Inserm 1061, service de neurologie, CMRR, CHRU de Montpellier, Montpellier, France Objectif.— La musicothérapie est une stratégie thérapeutique non médicamenteuse dont l’efficacité a été démontrée pour la prise en charge de la douleur aiguë et chronique mais aussi de l’anxiété. La technique développée utilisant le montage en « U » a été validée par de nombreuses études scientifique publiées en collaboration avec l’Inserm, et est implantée dans plusieurs CHU de métropole et des DOM-TOM. Description.— Le contenu de cette formation est principalement basé sur les techniques, les modes d’actions et les différentes applications de la musicothérapie. La technique enseignée est comparable aux méthodes d’hypnoanalgésie. Chaque séance de musicothérapie est construite selon la technique validée du mon- tage musical en « U ». Une banque de données musicales très variées (musique classique, jazz, musique du Monde...) sera mise à dispo- sition du personnel soignant par le biais d’un logiciel informatique créé dans ce but. Ce projet concerne dix services du CHU-GHSR. Il est soutenu et validé par le CLUD. Résultats attendus.— Amélioration de la douleur aiguë, douleur liée aux soins, douleur chronique, anxiété, pour les patients pris en charge dans les services concernés : consultation douleur chro- nique service de maladies rares réanimation pédiatrique anesthésie hémato-cancérologie radiothérapie unité pied diabétique addicto- logie radiologie générale. Conclusion.— Au total, l’ensemble du personnel soignant pourra être formé à cette technique de musicothérapie. La formation a été validée par le ministère du Travail et de la Formation Profes- sionnelle et a obtenu un numéro d’agrément. La musicothérapie s’intègre parfaitement dans un programme de prise en charge de la douleur. Un projet de recherche sera mené dès la mise en place de la musicothérapie dans l’unité de consultation douleur chronique sur l’efficacité de la musicothérapie dans la prise en charge des céphalées. http://dx.doi.org/10.1016/j.douler.2012.08.160 EP28 Accompagnement d’une procédure institutionnelle de formation à l’évaluation de la douleur et de sa trac ¸abilité. Étude du discours des soignants, des facteurs favorisants et résistances L. Bransiet , M. Giroud , M. Francony , S. Gros , V. Guegan , C. Ravier, V. Martin Kua, P. Basset Centre hospitalier, Chambéry, France Objectif.— Ce travail étudie les conditions d’accompagnement d’une procédure institutionnelle, en repérant les facteurs favo- risants ainsi que les résistances à l’instauration d’une culture de l’évaluation. Description.— Dans un CH important [1200 lits/3000 professionnels rémunérés], l’équipe mobile douleur accompagnée d’un représen- tant du service d’évaluation médico-soignante et d’un membre de la direction des soins se rend au cœur des services pour une forma- tion « in situ ». La procédure insiste sur le sens de l’évaluation et sur l’importance de la communication soignant-soigné d’une part et entre professionnels entre eux. Depuis fin 2010, 73 réunions, à un horaire convenu avec les responsables d’équipes, ont permis de rencontrer 868 professionnels au cours de 56 h de formation et d’échanges. Ces formations se font en présence de l’équipe pluri- disciplinaire au moment des consignes. Des audits sur la trac ¸abilité de la douleur et sa réévaluation sont réalisés avant la formation initiale, à deux, six, 12 mois puis tous les six mois. Le retour des résultats se fait par service auprès de l’équipe et non de manière globale à tout l’hôpital. Le discours des soignants est noté et ana- lysé. Sur un plan quantitatif il existe une très nette amélioration de la trac ¸abilité comprise entre 80 et 100 % des dossiers. L’échelle d’hétéro-évaluation algoplus est systématiquement utilisée chez environ 10 % de la population hospitalisée. Si l’évaluation systéma- tique de la douleur à l’admission ou au moins une fois au cours du séjour est très bien réalisée, l’évaluation et la réévaluation des fortes douleurs restent très insuffisantes. Le type de formation « in situ » révèle les facteurs facilitant mais aussi les freins et résis- tances institutionnelles. L’implication médicale est faible, malgré une bonne volonté exprimée. Conclusion.— Il existe une très forte demande exprimée de recon- naissance de la part des soignants vis-à-vis des médecins concernant le travail d’évaluation et de trac ¸abilité effectué. On peut se demander si le soignant n’obéit pas plus à l’injonction de réali- ser une mesure systématique qu’il n’en perc ¸oit réellement le sens. L’implication des instances institutionnelles et le caractère pluri- disciplinaire de la formation sont des préalables indispensables. http://dx.doi.org/10.1016/j.douler.2012.08.161 EP29 Didacticiel opiacés Algoed ® J.-G. Béchier , I. Bailly , S. Lacan Hôpital privé « Les Franciscaines », Nîmes, France Objectif.— La prise en charge de la douleur du cancer impose de la rigueur et un regard pluri-professionnel. L’adhésion du patient et sa participation sont indispensables pour qu’il soit un acteur de sa prise en charge. Les performances et les spécificités des traitements opiacés actuels imposent un parcours d’apprentissage spécifique des patients. Cette réflexion nous a conduit à proposer un outil facile à transmettre aux soignants et au patient : AlgoED ® . Description.— AlgoED ® a été conc ¸u au cours de notre pratique quoti- dienne de consultations douleurs, pendant laquelle nous remettions aux patients des schémas explicatifs. L’outil informatisé met à dis- position des données pharmacologiques non transmises en pratique courante. Ce support visuel renforce le discours pédagogique par une suite animée générant des comportements plus adaptés à la gestion de la douleur. L’acquisition par le patient de connaissan-

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onclusion.— En conclusion, les ostéopathes sont quotidiennementonfrontés à des patients douloureux. Les motifs de consultationsoncernent majoritairement l’appareil musculosquelettique. Cettetude pourrait être un préalable à la mise en place d’une cohorteescriptive de l’évolution de la douleur des patients traités parstéopathie.

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P27ise en place de la musicothérapie au CHU de laéunion : une action de formation transversale. De Diego a, F. Cabanes b, S. Guétin c

Consultation douleur chronique, CHU La Réunion, Saint-Pierre,éunionService de réanimation, CHU La Réunion, Saint-Pierre, RéunionInserm 1061, service de neurologie, CMRR, CHRU de Montpellier,ontpellier, France

bjectif.— La musicothérapie est une stratégie thérapeutique nonédicamenteuse dont l’efficacité a été démontrée pour la prise en

harge de la douleur aiguë et chronique mais aussi de l’anxiété. Laechnique développée utilisant le montage en « U » a été validée pare nombreuses études scientifique publiées en collaboration avec’Inserm, et est implantée dans plusieurs CHU de métropole et desOM-TOM.escription.— Le contenu de cette formation est principalementasé sur les techniques, les modes d’actions et les différentespplications de la musicothérapie. La technique enseignée estomparable aux méthodes d’hypnoanalgésie. Chaque séance deusicothérapie est construite selon la technique validée du mon-

age musical en « U ». Une banque de données musicales très variéesmusique classique, jazz, musique du Monde. . .) sera mise à dispo-ition du personnel soignant par le biais d’un logiciel informatiqueréé dans ce but. Ce projet concerne dix services du CHU-GHSR. Ilst soutenu et validé par le CLUD.ésultats attendus.— Amélioration de la douleur aiguë, douleur

iée aux soins, douleur chronique, anxiété, pour les patients prisn charge dans les services concernés : consultation douleur chro-ique service de maladies rares réanimation pédiatrique anesthésieémato-cancérologie radiothérapie unité pied diabétique addicto-ogie radiologie générale.onclusion.— Au total, l’ensemble du personnel soignant pourratre formé à cette technique de musicothérapie. La formation até validée par le ministère du Travail et de la Formation Profes-ionnelle et a obtenu un numéro d’agrément. La musicothérapie’intègre parfaitement dans un programme de prise en charge de laouleur. Un projet de recherche sera mené dès la mise en place dea musicothérapie dans l’unité de consultation douleur chroniqueur l’efficacité de la musicothérapie dans la prise en charge des

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Actes du congrès de la SFETD, Lille, 21—24 novembre 2012

P28ccompagnement d’une procédure institutionnellee formation à l’évaluation de la douleur et de saracabilité. Étude du discours des soignants, desacteurs favorisants et résistances. Bransiet , M. Giroud , M. Francony , S. Gros , V. Guegan ,. Ravier , V. Martin Kua , P. Basset

Centre hospitalier, Chambéry, France

bjectif.— Ce travail étudie les conditions d’accompagnement’une procédure institutionnelle, en repérant les facteurs favo-isants ainsi que les résistances à l’instauration d’une culture de’évaluation.escription.— Dans un CH important [1200 lits/3000 professionnelsémunérés], l’équipe mobile douleur accompagnée d’un représen-ant du service d’évaluation médico-soignante et d’un membre dea direction des soins se rend au cœur des services pour une forma-ion « in situ ». La procédure insiste sur le sens de l’évaluation etur l’importance de la communication soignant-soigné d’une partt entre professionnels entre eux. Depuis fin 2010, 73 réunions, àn horaire convenu avec les responsables d’équipes, ont permise rencontrer 868 professionnels au cours de 56 h de formation et’échanges. Ces formations se font en présence de l’équipe pluri-isciplinaire au moment des consignes. Des audits sur la tracabilitée la douleur et sa réévaluation sont réalisés avant la formationnitiale, à deux, six, 12 mois puis tous les six mois. Le retour desésultats se fait par service auprès de l’équipe et non de manièrelobale à tout l’hôpital. Le discours des soignants est noté et ana-ysé. Sur un plan quantitatif il existe une très nette amélioratione la tracabilité comprise entre 80 et 100 % des dossiers. L’échelle’hétéro-évaluation algoplus est systématiquement utilisée cheznviron 10 % de la population hospitalisée. Si l’évaluation systéma-ique de la douleur à l’admission ou au moins une fois au coursu séjour est très bien réalisée, l’évaluation et la réévaluation desortes douleurs restent très insuffisantes. Le type de formation « initu » révèle les facteurs facilitant mais aussi les freins et résis-ances institutionnelles. L’implication médicale est faible, malgréne bonne volonté exprimée.onclusion.— Il existe une très forte demande exprimée de recon-aissance de la part des soignants vis-à-vis des médecins concernante travail d’évaluation et de tracabilité effectué. On peut seemander si le soignant n’obéit pas plus à l’injonction de réali-er une mesure systématique qu’il n’en percoit réellement le sens.’implication des instances institutionnelles et le caractère pluri-isciplinaire de la formation sont des préalables indispensables.

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.-G. Béchier , I. Bailly , S. LacanHôpital privé « Les Franciscaines », Nîmes, France

bjectif.— La prise en charge de la douleur du cancer impose de laigueur et un regard pluri-professionnel. L’adhésion du patient eta participation sont indispensables pour qu’il soit un acteur de sarise en charge. Les performances et les spécificités des traitementspiacés actuels imposent un parcours d’apprentissage spécifiquees patients. Cette réflexion nous a conduit à proposer un outilacile à transmettre aux soignants et au patient : AlgoED®.escription.— AlgoED® a été concu au cours de notre pratique quoti-ienne de consultations douleurs, pendant laquelle nous remettionsux patients des schémas explicatifs. L’outil informatisé met à dis-

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ces médicales l’aide à comprendre les mécanismes de la douleurqu’il ressent et à adapter le traitement antalgique. Cette acqui-sition doit se faire en tenant compte de données anamnestiqueset psychologiques adaptées à chacun. Il se traduit par la capa-cité à répondre à l’agression douloureuse par des médicaments etdes prises mieux maîtrisées. L’efficacité d’AlgoEd® a été constatéedepuis plusieurs années dans notre service qui prend en charge enmoyenne 200 patients par an pour des douleurs du cancer. La pré-sentation de l’outil AlgoED® est compatible avec la durée d’uneconsultation médicale. Les patients se montrent très demandeurset la phase d’apprentissage brève. Le recours secondaire est gran-dement facilité par la mise à disposition de documents imprimablesen fin de consultation.Conclusion.— AlgoED® est un outil pédagogique simple d’utilisationpour les soignants et les patients. Notre expérience pratique a clai-rement démontré l’intérêt de cet outil. Sa validation future sur deplus larges cohortes de patients pourrait permettre de systématiserson utilisation en pratique courante.

http://dx.doi.org/10.1016/j.douler.2012.08.162

EP30Plaquette « opioïdes chez l’enfant » guide pratiqued’utilisationC. Thiberge a, R. Deleens b, A. Leguedois c, N. Tremel d,S. Gandon-Laloum c, Y. Perrier e, N. Maure f, C. Delorme a

a Réseau régional douleur, Bayeux, Franceb CH, Lisieux, Francec CHU, Caen, Franced CH, Bayeux, Francee CH, Avranches-Granville, Francef CH, Flers, France

Objectif.— Favoriser l’utilisation des opioïdes chez l’enfant, enBasse-Normandie. Aider et améliorer leur prescription, conformé-ment aux recommandations nationales.Description.— Au sein du réseau régional douleur de Basse-Normandie des groupes pluridisciplinaires se réunissent régulière-ment pour travailler sur différentes thématiques. La douleur de lapopulation pédiatrique étant une priorité, un groupe « douleur etpédiatrie » s’est constitué, avec des pédiatres, des médecins algo-logues, des infirmières. Dans la région, la prescription des opioïdeschez l’enfant est encore insuffisante et souvent non conforme auxrecommandations. Devant ce constat, nous avons réfléchi au moyend’améliorer ces pratiques, dans l’intérêt des enfants soignés. Il nousest apparu nécessaire de créer un outil pratique : une plaquetteformat tryptique à mettre dans la poche, destinée aux internes enmédecine, médecins et infirmiers ou puériculteurs. Contenu de laplaquette :— opioïdes faibles et forts utilisables chez l’enfant, regroupés dansun tableau avec :◦ molécules, voies d’administration, galéniques, posologies, pré-cautions ;recommandations, pics et durée d’action ;— AMM ;— conseils pratiques ;— tableau d’équianalgésie ;— surveillance des opioïdes : évaluation de la douleur — score desédation — fréquence respiratoire ;— effets indésirables et conduite à tenir ;— signes de surdosage et conduite à tenir ;— références bibliographiques.Conclusion.— À ce jour, la plaquette est en cours d’impression.Sa diffusion est prévue dans tous les services hospitaliers de la

région Basse-Normandie accueillant des enfants, aux médecins etpédiatres de ville, aux réseaux de proximité, HAD, dans tous lesétablissements qui en feront la demande. Elle sera également télé-

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hargeable sur le site du réseau. Évaluer l’impact de cette plaquettest indispensable et la démarche qualité est en réflexion.

ttp://dx.doi.org/10.1016/j.douler.2012.08.163

P31OS Douleur Domicile : quand coordination rimevec formation proximité rime avec qualité. Florence

SOS Douleur Domicile, Gond-Pontouvre, France

bjectif.— SOS Douleur Domicile est un réseau de soin unique enrance créé en 2004 pour la prise en charge de la douleur desatients à domicile porteurs d’un dispositif particulier : le cathé-er périnerveux. Notre objectif est de faire bénéficier de cetteechnique à tous les patients qui en ont besoin, sur tout le territoire.escription.— Financé par l’ARS, audité en 2007, et organisme deormation depuis 2006, il est à disposition de tous : malades, profes-ionnels de santé, établissements de soins. . . Il est spécialisé danse traitement de la douleur chronique, aiguë, rebelle des membrest du thorax résistant aux traitements antalgiques habituels. Fort’une expérience locale et de résultats convaincants, nous sou-aitons développer cette technique sur tout le territoire et faireénéficier aux équipes soignantes de notre expertise en :les formant sur la technique ;leur offrant nos procédures, protocoles et outils ;organisant des ateliers pratiques, des QUIZZ et QCM autour des

onduites à tenir, risques et incidents.n programme de deux jours est proposé (14 h de formation) pourormer les infirmières qui souhaitent accompagner les anesthésisteses structures de soins qui voudraient développer cette techniqueu domicile. Le réseau compte à son actif la coordination de5 000 jours à domicile avec plus de 1000 patients suivis qui, faute’une telle organisation aurait dû être maintenus hospitalisés. Avecn taux de satisfaction de 97,6 % pour les infirmières concernanta formation, on retrouve en parallèle un taux de satisfaction de8,4 % des patients au domicile ayant bénéficié de ce dispositif.onclusion.— La coordination et la formation sont les deux pôleshare du réseau, la proximité et la qualité nos deux lignes deonduite.

ttp://dx.doi.org/10.1016/j.douler.2012.08.164

P32ntégration de l’enseignement sur la prise enharge de la douleur dans le nouveau référentiele formation infirmière — promotion 2009—2012. Guyonneau a, N. Pallaro a, F. Sztark a, M. Cadenne a, C. Noé b,.-G. Balutet b

CHU, Bordeaux, FranceIfsi Pellegrin, Bordeaux, France

bjectif.— La douleur n’étant plus identifiée comme élément spé-ifique du contenu pédagogique, l’équipe de l’institut de formationn soins infirmiers de l’hôpital Pellegrin—CHU de Bordeaux (envi-on 180 étudiants par promotion), a sollicité l’unité soutien douleur,our élaborer un projet transversal d’enseignement sur trois ans.n fin de formation, l’étudiant devait être capable de réaliser desoins infirmiers de nature technique, relationnelle, et éducative,out en respectant la législation en vigueur afin de contribuer effi-acement à la prise en charge du patient douloureux dans touteses dimensions.escription.— Le référentiel de formation du nouveau diplôme

’état infirmier est maintenant constitué de 36 matières de for-ation, réparties dans 59 unités d’enseignement. Contrairementl’ancien programme d’enseignement des instituts de formation

n soins infirmiers de 1992, où la douleur faisait partie intégrante