INTERNATIONAL PLASTIC MODELLERS’ SOCIETY

VOOR • MODELBOUWERS • DOOR • MODELBOUWERSPOUR • DES • MAQUETTISTES • PAR • DES • MAQUETTISTES

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160 4/2010PUBLICATION TRIMESTRIELLEDRIEMAANDELIJKSE UITGAVE

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4 Editorial - Redactioneel

6 Dewoitine D.371 1/72e, Dominique JADOUL

11 Dimensional Fabric Paint, Dominique JADOUL

13 E-25 und Mausturm 1/72e, Rob HAELTERMAN

17 Flashback

18 Universal Carrier Mk.II 1/35e, Jacques LABBÉ

24 Walk Around: Universal Carrier, Erwin HEYLENS

28 Alpha Jet AT-18 1/48e, Steven CARPELS

33 AT-18... the making of, Peter ‘Patja’ STAMS

37 Bibliokit

39 Jagdsherman 1/72e, Rob HAELTERMAN

41 Help !

44 Agenda

50 Heinkel He 162 A2 1/48e, Jacques LABBÉ

Reviews: p. 38, 42, 43, 46 & 48

CONSEIL D’ADMINISTRATIONBEHEERRAAD

INTERNATIONAL PLASTIC MODELLERS’ SOCIETY

VOLUME 40 NO 4PAR DES MAQUETTISTES POUR DES MAQUETTISTES

Publication trimestrielle distribuée gratuitement aux membres de l’IPMS BELGIUM a.s.b.l.

DOOR MODELBOUWERS VOOR MODELBOUWERSDriemaandelijkse uitgave gratis verstrekt aan de leden van IPMS BELGIUM v.z.w.

ISSN 1780-9754

SOMMAIRE INHOUD

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Parution- Uitgave

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Parution- UitgaveKIT 161KIT 161KIT 161KIT 161KIT 161Avr - Apr 2010

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Un chasseur oublié…

Le Dewoitine D.371 était un chasseur à aile parasol qui entra enservice dans l’Armée de l’Air en 1936. Développé à partir duprototype D.37 de 1934, il était équipé d’un moteur Gnome-Rhône14K Mistral de 930 cv, et, en 1936, était déjà totalement dépassépar les projets d’autres nations. Par conséquent, il ne fut mis enservice qu’en nombre très limité. Il serait même resté complètementdans l’ombre si le gouvernement légitime de l’Espagne ne s’étaittrouvé cruellement à cours d’avions de chasse lorsqu’éclata laGuerre Civile espagnole. Les Républicains obtinrent ainsi 24 avionsqui furent pilotés en 1936-37 par des volontaires français avec àleur tête l’auteur existentialiste André Malraux. Au sein de cetteEscadra España, les Dewoitine assumèrent l’intérim entre unepoignée de chasseurs Nieuport-Delage NiD.52 qui menèrent lespremiers combats aériens et les I-15 et I-16 fournis plus tard parles Soviétiques.Une variante destinée à l’exportation, le D.372, fut commandéepar la Lituanie, mais ces 14 avions se retrouvèrent plutôt en Espagne(où ils combattirent aux côtés de 10 D.371 ex-Armée de l’Airdonnés par la France). Un total de 18 Dewoitine D.371 restaitinscrit dans les inventaires de l’Armée de l’Air en 1940. Deuxautres variantes, les D.373 et D.376, furent développés pourl’Aéronavale et 44 d’entre eux entrèrent effectivement en service.Le D.376 possédait des ailes repliables.

La maquette d’Azur

Elle date d’environ une dizaine d’années et représente vraimentun kit en injecté à tirage limité (« short-run ») de très bonne qua-lité. Il est composé de 37 pièces en plastique

auxquelles s’ajoutent 20pièces en résine et unpare-brise thermoformé.Les pièces en résine con-stituent les détails ducockpit et le moteur ra-dial et son capot. Lesdécals sont fourniespour 4 appareils diffé-

Een vergeten jachtvliegtuig…

De Dewoitine D.371 was een parasol-jachtvliegtuig dat in 1936bij de Armée de l’Air in dienst werd genomen. Het was ontwikkelduit het D.37-prototype van 1936 en werd aangedreven door eenGnome-Rhône 14K Mistral-motor van 930 pk. In 1936 was hetdoor de projecten uit andere landen al hopeloos voorbijgestreefd.Het kende dus maar een beperkte diensttijd. Het zou nog minderbekend zijn geweest, ware het niet dat bij het uitbreken van deSpaanse Burgeroorlog de wettelijke regering daar een tekort aanjachtvliegtuigen had. Daarom bestelden de republiekeinen 24toestellen die in 1936-37 werden aangevlogen door Fransevrijwilligers, onder de leiding van de existentialistische auteurAndré Malraux. In dit Escadra España maakten de Dewoitines delink tussen een handjevol Nieuport-Delage NiD.52 die aan de eersteluchtgevechten deelnamen en de latere I-15’s en I-16’s die deSovjets hadden geleverd.Litouwen bestelde nog de D.372, een exportvariant, maar hun 14vliegtuigen belandden uiteindelijk in Spanje (waar ze samen met10 geschonken ex-Franse D.371’s vochten). Zo een 18 DewoitinesD.371 bleven op de inventaris van de Armée de l’Air in 1940.Twee andere varianten, de D.373 en de D.376, werden ontwikkeldvoor de Aéronavale en 44 ervan kwamen daadwerkelijk in dienst.De D.376 had opklapbare vleugels.

De kit van Azur

Hij is al een tiental jaarbeschikbaar, hij is ty-pisch voor een degelij-ke, spuitgegoten be-perkte oplage-kit. Hijtelt 37 plastic onder-delen, aangevuld met20 gietharsen deeltjesen een vacuum-gevormd wind-scherm. Bij het giethars zitten de cockpitwanden,de stermotor en zijn motorkap. Er zijn decals voor 4 verschillendemachines (Franse, Spaanse en Litouwse), daarbij is het meertaliginstructieblad goed te begrijpen en te volgen.

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Une histoire de rivets...

Il y a maintenant 10 ans que je réalise des « masters » d’AFV à peti-te échelle pour diverses firmes (dont la mienne). Je suis très inté-ressé par les premiers AFV, que cela aille de bizarres voitures blindéesaux toutes petites tankettes en passant par les monstres multitou-relles; la plupart de ces véhicules ont au moins une chose en commun:ils sont littéralement couverts de boulons et autres rivets.

En tant que créateur, le temps est souvent l’essence même et c’estaussi de l’argent. Trouver un moyen de facilement et rapidementreproduire tous ces détails « qui dépassent » représente uneimportante avancée. Je suis dans le « scratch-building » depuis lemilieu des années 80 et au fil du temps, j’ai essayé et testé denombreuses méthodes pour reproduire des têtes de boulons ou derivets. La plupart ne fonctionnaient pas bien, quelques-unes étaientbonnes. Une bonne méthode consistait à coller de tout petitsdisques de plastique réalisés avec un emporte-pièce (punch& die set). Mais qu’est-ce que cela prenait comme temps !De plus, le fait de chaque fois ajouter de petites gouttes decolle liquide finissait par abîmer la surface en plastique. Etle prix de cet outil spécialisé pourrait représenter un obstaclemajeur pour certains – j’ai presque dévalisé la banque pouracheter le mien! Et puis un jour, il y a 15 ans environ, alorsque je me promenais dans un magasin d’artisanat, je suistombé sur de la « dimensional fabric paint » (DFP). A cetteépoque, j’étais assez bien concerné par la peinture sur t-shirtset ce produit, nouveau à l’époque, ouvrait de nouveaux etpassionnants horizons pour la décoration de vêtements.Appliqué sur n’importe quel tissu, cette épaisse peinture –ressemblant en fait un peu à du plastique liquide – restait enplace et séchait tout en gardant la forme et l’épaisseur dupoint ou de la ligne qui avait été déposé à partir du tube. Eten plus, la peinture séchée pouvait être lavée en machine.Il ne me fallut pas longtemps pour voir le potentiel que ceproduit résistant et séchant en 3D représentait pour le hobbyqui nous réunit dans ces pages de KIT. Contrairement à lacolle PVA que j’ai testée auparavant pour reproduire des ri-vets, la DFP a deux avantages majeurs: elle ne s’étale pas enséchant et est disponible en de nombreuses teintes différentes,ce qui signifie que vous pouvez choisir une couleur contrastantfortement avec celle du plastique sur lequel vous travaillez etainsi bien voir ce que vous faites, épargnant en même temps vosyeux et votre santé morale.

La DFP est mainte-nant facilementdisponible (en An-gleterre du moins,ndlr) et il en existemême plusieursmarques. Plaid etTulip sont lesdeux marques

que je préfère aux autres,probablement parce que j’ai tout simplement débuté avec

celles-là. Maintenant, il n’y a pas de secret : appliquer des centaines

Een verhaal van klinknagels...

Ik ontwerp nu al tien jaar mallen van AFV’s op kleine schaal vooreen aantal firma’s, waaronder de mijne. Ik ben erg geïnteresseerdin vroege AFV’s, van rare pantserwagens tot piepkleine tankjes metveel koepels. De meeste ervan hebben minstens één punt gemeen:ze zijn echt bezaaid met bouten en klinknagels.

Voor een ontwerper is tijd vaak het belangrijkste en dat betekentook geld. Het zou een belangrijke doorbraak zijn om een snelle engemakkelijke manier te vinden om al die opgehoogde details weerte geven. Ik ben al aan het scratch-bouwen sinds halfweg de jaren80 en al die tijd heb ik diverse manieren om bouten en klinknagelsna te bootsen uitgetest en geprobeerd. De meeste lukten niet goedmaar met een paar lukte het toch een beetje. Eén die werkte was

het vastlijmen van zeer kleine schijfjes die met een doorslag (punch& die) waren vervaardigd. Maar het nam zéééér veel tijd in beslag.Daarbij kan het voortdurend aanbrengen van kleine druppeltjesvloeibare lijm het oppervlak beschadigen. Ook de prijs van ditspeciale gereedschap vormt voor velen een grote hinderpaal – debank ging bijna overkop toen ik eindelijk mijn exemplaar kocht!Tot ik op een dag, ongeveer 15 jaar geleden, bij het struinen dooreen handwerkwinkeltje op dimensionale textielverf (DFP) stootte.Ik was toen druk bezig met het beschilderen van T-shirts en ditnieuwe product bood een nieuwe en spannende manier aan omkledij te versieren. Die dikke verf leek eigenlijk wat op vloeibaarplastic; bracht je die aan op gelijk welk textiel, dan droogde zedaar gewoon uit. Ze behield de vorm en de dikte van het bobbeltjeof de lijn die je er met de tube had aangebracht. En dat niet alleen,

Quelques exemples de ce qu’il vous faut... Tulip est la marque que Domirecommande !Slechts een paar voorbeelden van wat je zoeken moet... Tulip is het merk datDomi zou aanbevelen!© D. Jadoul

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Alors que la Seconde Guerre mondiale dure depuis 3 ans déjà,les généraux allemands constatent que leur armée dispose d’unnombre effroyablement varié de véhicules motorisés, ce qui, petità petit, se transforme en véritable cauchemar logistique. Desexperts sont engagés et leur verdict est immédiat : à l’évidence,les gestionnaires du matériel de guerre allemand n’avaient passaisi les fondements du principe de “rationalisation des moyens”.En 1943 et après de longues réflexions, Waffenprufamt 6(WaPruAmt 6) décide, sous la direction du général H.E.Kniepkamp, de commencer à fabriquer la série E. Spécificité :par catégorie de poids, un seul châssis remplirait plusieurs rôles.L’E-10 est le véhicule le plus petit (10 tonnes), l’E-100 (100tonnes) étant quant à lui le mastodonte de la série. L’E-25 (25tonnes) est destiné à remplacer les StuG III, StuG IV etJagdpanzer IV. C’est un véhicule trapu (laid, diront certains),pourvu d’un bon blindage, d’un armement efficace et d’unecertaine ressemblance avec un Hetzer. Pour autant que j’en sache,aucun exemplaire n’est sorti des chaînes de montage. La bonnenouvelle pour nous, c’est que cela laisse plus de marge à notre“liberté maquettiste” lors de la réalisation de notre modèle.

Quelques chiffres, pour les intéressés :Longueur: 5,6 m (sans le canon),Largeur: 3,50 m,Hauteur: 2,1 m,Armement: Pak 44L/70 7,5 cm (ou StuH L/28 10,5 cm) et FlaK38

2 cm,Blindage: 50 mm de front, 30 mm sur les flancs, 20 mm pour le

châssis et les surfaces supérieures.

La maquette de l’E-25(Cpl Overby’s Motorpool 1/72e, Réf. MP052)

MontageLa maquette du fabricant américain Cpl Overby’s Motorpool**,peu connu en Belgique, est livrée dans une boîte en carton solidequi protège efficacement les pièces en résine.La caisse est moulée d’une pièce (sans bavure !) et seules quelquespièces doivent encore y être collées : le mantelet du canon, le canonlui-même, la minuscule tourelle abritant le canon de 20 mm, lestrappes et un phare. Vu le peu de travail de préparation des pièceset l’assemblage parfait des différents éléments, cette étape ne vousprendra que 10 minutes en principe.A ce stade, la caisse rend très bien. J’ai toutefois décidé d’y apporter

Ergens halfweg de Tweede Wereldoorlog begon de Duitselegerleiding in te zien dat er precies wel heel veel types voertuigenin hun wagenpark te vinden waren en dat dit stilaan een logistiekenachtmerrie begon te worden. Management consultants werdenaangeschreven, dewelke meteen aanhaalden dat de Duitsematerieelbeheerders het beheersprincipe “rationalisatie van demiddelen” duidelijk niet onder de knie hadden.In 1943 besloot Waffenprufamt 6 (WaPruAmt 6) onder leidingvan de deskundige Generaal H.E. Kniepkamp, na lang piekeren,om de E-serie in het leven te roepen waarin per gewichtscategorieéén chassis verschillende rollen zou gaan vervullen. De kleinstehierin was de E-10 (10 ton) en de grootste de E-100 (100 ton).De E-25 van 25 ton was bedoeld ter vervangingen van de StuGIII, StuG IV en Jagdpanzer IV. Het was een geblokt (volgenssommigen lelijk) voertuig met een goede ballistische beschermingen goede bewapening dat iets weg heeft van een Hetzer. Voorzover ik weet is het echter nooit daadwerkelijk gebouwd. Het goedenieuws is dat we daardoor iets meer marge hebben voor wat“modelbouwdichterlijke vrijheid” bij het verwezenlijken van onsmodel.

Om wat cijfers te geven, voor zij die dit zouden wensen:Lengte: 5,6 m (zonder kanon),Breedte: 3,50 m,Hoogte: 2,1 m,Bewapening: 7,5 cm Pak 44L/70 (of 10,5 cm StuH L/28) en 2 cm

FlaK38,Pantser: frontaal 50 mm, andere zijden 30 mm, dak en vloer

20 mm.

Het model: E-25(Cpl Overby’s Motorpool 1/72e, Ref MP052)

De bouwHet model van de (in België) minder bekende Amerikaansefabrikant Cpl Overby’s Motorpool** komt in een stevige kartonnendoos die de resin stukken goed beschermt.De romp is een massief (maar heel erg goed gegoten) stuk, waarslechts een klein aantal andere onderdelen moeten wordenopgelijmd: mantel van het kanon en het kanon zelf, kleinegeschutstoren en het 2 cm kanon, de luiken en een koplamp. Vermitser heel weinig opkuiswerk te doen is, en de stukken heel goedpassen, is deze job in principe op 10 minuten geklaard.Hoewel de romp er op dat moment al erg fraai uitzag, besloot ik

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Petit historique

Construit à plus de 100.000 exemplaires, le Universal Carrier Mk.IIfut, de tous les véhicules blindés, le plus produit. Dès 1934 déjà, lasociété britannique Vickers Armstrong étudia sur ses fonds propresune petite chenillette destinée au soutien d’infanterie. Armée d’unemitrailleuse Vickers .303, elle entra en service en 1936 sous ladénomination « Machine Gun Carrier Mk.I ». Deux ans plus tard,le véhicule fut modifié et amélioré : nouveau moteur Ford pluspuissant et emport du fusil-mitrailleur Bren. L’engin fut baptisé« Bren Carrier Mk.I ».La production s’arrêta en 1940 et sa configuration fut réétudiée enprofondeur. Il y avait maintenant trois compartiments distincts : àl’avant prenaient place côte à côte leconducteur (à droite) et le tireur dufusil-mitrailleur Bren. Derrière eux setrouvaient le moteur, en positioncentrale, avec de part et d’autre unespace suffisamment grand pouraccueillir soit un opérateur radio, unmortier, un lance roquette anti-chars,des hommes de troupe, du ravitail-lement, des munitions supplémentai-res, etc, etc. La production commençaen 1942 sous le nom de « UniversalCarrier Mk.II » et ne s’arrêta qu’en1945. Très vite, on s’aperçut que lesqualités de ce véhicule, c’est-à-dire sapetite taille, sa vitesse de mobilité etson agilité en tout terrain, en faisaientun engin idéal pour la reconnaissanceen plus de sa fonction première de soutien d’infanterie et aux charsde combat. Ce petit engin blindé fut produit en Grande-Bretagne,bien sûr, mais également au Canada, aux États-Unis, en Australieet en Nouvelle-Zélande et accompagna les troupes britanniques

Beknopte historiek

Gebouwd in meer dan 100.000 exemplaren was de “UniversalCarrier (universele drager) Mk.II” de meest gebouwde van allegepantserde voertuigen in de geschiedenis. Reeds in 1934bestudeerde het Brits bedrijf Vickers Armstrong op eigen kosteneen kleine gemotoriseerde en gepantserde drager ter ondersteuningvan de infanterie. Uitgerust met een machinegeweer Vickers .303,trad deze in dienst in 1936 onder de naam “Machine Gun CarrierMk.I”. Twee jaar later werd het voertuig gewijzigd en verbeterd:een nieuwe en krachtiger Ford Motor werd geïnstalleerd en hijwerd uitgerust met een Bren mitrailleur. Het voertuig werd “BrenCarrier Mk.I” gedoopt.

De productie van de Mk.I stopte in1940 en de configuratie werd grondigherzien. Er zijn nu drie aparte com-partimenten: vooraan zij aan zij debestuurder (rechts) en daarnaast deBren schutter. Achter hen was de mo-tor in het centrum, met aan beidekanten en achteraan ruimte die grootgenoeg was om ofwel een radio-ope-rator, een mortier, antitankraket,soldaten, bevoorrading, extra munitie,enz. te plaatsen De productie begonin 1942 onder de naam van “Univer-sal Carrier Mk.II” en deze stopteslechts in 1945. Zeer snel realiseerdemen zich de kwaliteiten van dit voer-tuig, zijn kleine grootte, zijn snelheid,mobiliteit en flexibiliteit in alle terrein;

het waren, naast hun primaire taak als ondersteuning van deinfanterie en tank gevechtseenheden, ook ideale verkennings-voertuigen. Dit klein gepantserd voertuig werd natuurlijk gepro-duceerd in Groot-Brittannië, maar tevens ook in Canada, de

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Toutes les photosAlle foto’s

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Un peu d’histoire

C’est en 1978 que le premier Alpha Jet, construit en France, futlivré à la Force Aérienne belge. Les 32 exemplaires restants furentconstruits en Belgique par la SABCA. Ils devaient remplacer lesanciens Fouga Magister ainsi que les derniers T-33 en 1980. Les AJet belges étaient pourvus du nez français, des points (4) d’emportrenforcés allemands sous les ailes, du système de navigationTACAN, d’un IFF et du siège éjectable Martin Baker Mk.10. Ilsétaient mis en œuvre au sein de l’Advanced Training School (EPA/VVS) à Brustem. Le nom changea encore 2 fois avant de devenir

le 9 Wing Training. Suite à la réorganisation du milieu des années90, toutes les écoles d’entraînement ‘Belgian Air Force Train-ing’ furent rassemblées au sein du 1 Wing (Training) et les A Jetdéménagèrent donc à Beauvechain en 1996. Les avions furentmodernisés dès le début 2000, plus spécifiquement au niveau del’avionique. Pour les futurs pilotes, l’Advanced Training Schoola été fusionnée avec l’école d’entraînement française et depuisle 15 septembre 2005, tous les Alpha Jet belges sont stationnés àCazaux en France. Les élèves-pilotes volent pendant 2 ans sur A

Wat geschiedenis

In 1978 werd de eerste in Frankrijk gebouwde Alpha Jet afgeleverdaan de Belgische Luchtmacht. De resterende 32 werden in Belgiëgebouwd door SABCA in Gosselies. Die moesten de verouderdeFouga Magister en de laatste T-33 in 1980 vervangen. De BelgischeAlpha Jets werden voorzien van de Franse neus, Duitseophangpunten (4) onder de vleugel, TACAN-navigatiesysteem, IFFen de Martin Baker Mk.10 schietstoelen. Ze werden gebruikt doorhet Advanced Training School (EPA/VVS) in Brustem. De naamveranderde nog 2 maal tot het de 9 Wing Training werd. Door de

reorganisatie halfweg de jaren 90 werden alle Belgischevliegopleidingen ondergebracht bij de 1 Wing (Training)waardoor alle Alpha’s in 1996 naar Bevekom verhuisden. Sedert2000 ondergingen ze een upgrade, specifiek voor de avionics.Voor de toekomstige piloten werd de Advanced Training Schoolzich samengebracht met de Franse Training school. Sedert 15september 2005 zijn alle Belgische Alpha’s nu gestationeerd inCazaux, Frankrijk. De leerling-piloten vliegen 2 jaar op AlphaJet, voordat ze overgaan naar een operationele F-16 eenheid.De Belgische Alpha Jets hadden eerst een Vietnam-camouflage

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AT-18… the making of

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Pour fêter les 25 ans de l’Alpha Jet à la ForceAérienne belge, …rien n’était planifié. Je venaisd’être posté comme Ops & Training au 1er Wing(2003-2004) et je ne voulais simplement pas passercela sous silence. Au cours de ma reconversioncomme pilote-instructeur sur Alpha Jet, je décidaidonc avec quelques autres ayant la même opinionque moi d’introduire une demande pour la peintured’un avion. Le LtCol Avi Johan Andries était monchef direct en tant qu’OSN et soutenait ce projet. Ilfut demandé à quelques « pilotes-dessinateurs » deprésenter un projet, mais pour diverses raisons, rienne fut proposé. Finalement, suite à une visite decourtoisie de 2 Super Etendard (SEM) de la 17F lorsdes fastes du Wing, il nous vint l’idée le soir mêmed’essayer les couleurs de l’Aéronavale de la Marinefrançaise. Guess what: c’était impeccable et… le“SEM” belge était sur les rails... Hélas, une fois lapeinture terminée suivant le plan approuvé, ce futun peu la déception : les bandes de gris étaientbeaucoup trop larges et il fut donc décidé d’ajouterdes bandes de gris-noir pour obtenir plus decontraste. Lors du premier taxi devant la 11e Escd’alors, je fus accusé d’avoir subrepticement in-troduit un « tigre » sur la base... ce qui n’était biensûr pas du tout l’idée. On l’aime ou on ne l’aime pas,mais il est spécial non ?

Les photos « air-air » ont été prises au-dessus de laCampine à partir d’un autre Alpha Jet. Comme vouspouvez le voir, lors du premier roll-out, l’avionprésentait plus de marquages low viz que de détailscolorés... mais à la demande d’ASD (i.e. flightsafety), cela fut remplacé par des high viz safety in-structions...

Peter « Patja » StamsTrad. D. Waelkens

Om de 25e verjaardag van de Alpha Jet in de Bel-gian A.F. te vieren werd er... niks gepland. Alsnieuwbakken Ops & Training in de 1e Wing (2003-2004) wilde ik dit niet zomaar laten voorbijgaan entijdens mijn korte Alpha Jet instructor-pilotreconversie besloot ik samen met enkele gelijk-gezinden om een aanvraag in te dienen om eentoestel te schilderen. LtKol Vl Johan Andries wasals OSN mijn directe baas en steunde dit project.Er werd gevraagd aan enkele “pilotentekenaars” eenontwerp te willen maken, maar om verschillenderedenen kwam het er nooit van. Tenslotte, na eenvriendschapsbezoek van 2 Super Etendards (SEM)van 17F aan de wingsparade, kwamen we ‘s avondsop het idee om de Aéronavale-kleuren van de FranseMarine eens als project te proberen. Guess what:het viel reuze mee en de Belgische “SEM” was inaantocht... Helaas, toen de schilderbeurt op basisvan het goedgekeurde plan gedaan was, viel hetontwerp ietwat tegen. De stroken grijs waren veelte breed en er werd dan maar beslist een zwartgrijzestrook toe te voegen om wat meer contrast te geven.Bij de eerste taxibeurt voorbij het toenmalige 11 Sqnwerd ik toen beschuldigd van een “verdoken” tigerop de basis te hebben neergezet... wat uiteindelijkdus helemaal niet de bedoeling was. Je bent ervoorof je bent ertegen, maar speciaal is ie wel.

De “Air-to-Air” opnames werden vanuit een andereAlpha Jet boven de Kempen genomen. Zoals menziet stonden er bij de eerste roll-out heel wat minderopvallende en meer low viz details op... wat op vraagvan ASD (i.e. flight safety) moest veranderd wordenin high viz safety instructions...

Peter ‘Patja’ Stams

Juin 2004, roll-out de l’AT-18. Les marquages sont de type“low-viz” et peu nombreux.

Roll-out van AT-18 in juni 2004. Markings zijn van het “low-viz” type en beperkt in aantal.© P. ‘Patja’ Stams

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Historique

Quand les troupes américaines débarquèrent en France, ce n’étaitpas la confiance en soi qui leur manquait, du moins au cours despremiers jours. Et puis… il fallut très rapidement se rendre àl’évidence que les chars Panther et Tigre représentaient une “nastysurprise” contre lesquels leurs petits Sherman ne pouvaient pasfaire grand-chose. Il ne fallut dès lors pas plus d’une minute pourréclamer à haute voix d’équiper ce char d’un canon et d’un blindageplus appropriés. Et réponse fut finalement trouvée à ces deuxdemandes. Le canon fut un 76,2 mm et le blindage additionnelsous la forme d’une couche supplémentaire, un durillon durementpayé, vint renforcer la protection du Sherman.Les “Tank hunters” comme le M10 apportèrent aussi leur contri-bution, mais chaque fois la sensation que c’était insuffisant revenaità la surface. Le fait que les Tigre II, Jagdtiger et Jagdpanther étaientencore mieux armés et/ou blindés ne faisait qu’empirer la situa-tion. Le canon 17pdr du Sherman Firefly aurait bien sûr été bienutile dans ce contexte, mais pour des raisons de fierté nationale,cette solution n’étaitpas envisageable.Finalement, la so-

lution desgénéraux américains

se matérialisa sous la forme du

Geschiedenis

Toen de Amerikaanse troepen voet aan land zetten in Frankrijkhadden ze geen gebrek aan zelfvertrouwen, althans de eerste dagen.En dan… Al snel bleken de Panther en Tiger tanks een “nastysurprise” te zijn, waar hun Shermanneke niet veel tegen konuitrichten. Het duurde dan ook geen vijf seconden of er werdluidkeels geroepen om deze tank uit te rusten met een deftigerkanon en deftiger pantser. Aan beide vragen werd uiteindelijkvoldaan. Het kanon werd een 76,2mm en extra pantser kwam alseen duurverdiende eeltlaag de Sherman wat extra beschermingbieden. “Tank hunters” zoals de M10 droegen ook hun steentjebij, maar steeds heerste het gevoel dat het nog niet genoeg was.Dat de Tiger II, Jagdtiger en Jagdpanther nog beter bewapend en/of bepantserd waren maakte het plaatje alleen maar erger. Het 17pdrkanon van de Sherman Firefly had natuurlijk in deze context heelnuttig kunnen zijn, maar om redenen van nationale trots kon zoietsniet door de beugel.

De uiteindelijke oplossing van deAmerikaanse legerleiding zou komen in

de vorm van de M26 Pershing met 90mmkanon, maar zoals menig ander pantservoertuig met een

90mm kanon keek men ook hier tegen aardig wat vertraging op.In de tussentijd zaten de troepen nog steeds met de handen in hethaar. Inspiratie voor een tijdelijke oplossing werd gevonden bij deverfoeilijke vijand, en meer in het bijzonder de Jagdpanther; naarzijn evenbeeld werd een Sherman M4A3E8 omgebouwd met eenvaste kazemat waar (net) een 90mm kanon in gewrongen konworden. Het voertuig was geen onverdeeld succes. Niet alleen,

paste het nergens in de doctrine van de US Army, maar het 90mmkanon was ook niet in overschot voorhanden, vermits de Pershingabsolute prioriteit had en een extra type munitie logistiekeproblemen met zich meebracht. Er werd even geopperd om een76.2mm kanon in dezelfde structuur te plaatsen, waarbij er geenwinst gedaan werd qua bewapening t.o.v. de latere versies van de

Allez, (encore) aut’chooss une fois !4e partie

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Petit historique

C’est le 10 septembre 1944, alors que l’Allemagne croulait sousles bombes et que l’étau des Forces Alliées se refermaitinexorablement, que le Ministère de l’Air allemand (le RLM) lançaun appel d’offre pour concevoir de toute urgence un avion de chassepouvant arrêter les vagues de bombardiers et leurs chasseursd’escorte. Il faut dire qu’à cette époque, on en était arrivé à ce quechaque fois que la Luftwaffe envoyait ses avions en l’air, elle lesrécupérait très rapidement… truffés de plomb, au sol et enmorceaux… La fiche technique stipulait que le futur chasseurdevait être léger et très facile à produire, par une main d’œuvresans qualification particulière (éventuellement même par desprisonniers de guerre, et ce fut le cas) mais surtout ne nécessitantque peu de matériaux dits « stratégiques » devenant de plus enplus rares.Ce nouvel avion devait pouvoir décoller sur des distancesn’excédant pas 500 mètres et, à défaut de pistes de terrainsd’aviation, sur des pistes sommaires (p. ex. des routes goudronnéesou des portions d’autoroute). Sa vitesse devait être supérieure à750 km/h et son autonomie de vol devait être d’aumoins 30 minutes. Côté armement, il devait avoirau minimum 2 canons de 20 mm. De plus, le RLMestimait qu’il devait pouvoir être piloté par desjeunes gens n’ayant qu’une formation très basique– des pilotes de planeurs issus des jeunesseshitlériennes feraient très bien l’affaire !!! Voler à750 km/h en n’ayant fait que quelques heures devol à voile…, on croit rêver ! Dernière chose :Messieurs les constructeurs étaient priés deremettre leurs projets pour la fin de la semaine(véridique !).Néanmoins, pas loin d’une demi-douzaine defabricants, comme Arado, Blohm & Voss,Messerschmitt, etc., répondirent à l’appel d’offre.Mais ce fut en définitive la firme Heinkel qui futsélectionnée du fait que cette société se disait capable de produirele nouveau chasseur à raison d’au moins 3.000 exemplaires parmois ! Il ne fallut que trois mois entre les premiers coups de crayonsur la feuille de dessin et le vol du premier prototype, le W.Nr.200001, aux mains du pilote d’essais Gotthold Peter, le 6 décembresuivant et pas plus de 7 mois pour l’entrée en service des avions desérie. Mais cet avion se crasha quatre jours après, tuant le pilote.Les essais continuèrent avec les trois autres prototypes disponibles

Een beetje geschiedenis

Op 10 september 1944, wanneer Duitsland ten onder gaat als gevolgvan de aanhoudende bombardementen en wanneer de geallieerdebankschroef zich onverbiddelijk sluit, lanceert het Duitse Ministerievan Luchtvaart (RLM) met spoed een offerteaanvraag voor eenjachttoestel dat de stroom van bommenwerpers en escortejagerseen halt moet toeroepen. Het moet gezegd dat - in deze periodevan de oorlog - de Luftwaffe steeds haar in de lucht gestuurdevliegtuigen recupereerde, maar meestal vol met lood en in stuk-ken… De technische fiche van het toekomstige jachttoestel sti-puleerde dat het licht en zeer snel te produceren moest zijn doorwerklui die geen speciale opleiding genoten hadden (eventueelzelfs door krijgsgevangenen, wat later ook het geval bleek te zijn)maar vooral met een minimum aan strategische materialen, diemeer en meer schaars werd.Het nieuwe toestel moest in staat zijn op te stijgen vanaf pistesmet een lengte van minder dan 500 m en bovendien, bij gebrekaan traditionele landingsbanen, ook vanaf verharde wegen ofstukken autosnelweg. De snelheid moest meer dan 750 km/h en de

autonomie minstens 30 minuten bedragen. De bewapening zouminstens uit 2 20mm kanonnen bestaan. Bovendien stelde het RLMdat het toestel gevlogen moest kunnen worden door jongens meteen zeer beperkte basisvorming – zweefvliegers uit de Hitlerjugendvoldeden al aan het profiel!!! Aan een snelheid van 750 km/h doorhet luchtruim vliegen met slechts enkele uren zweefvlucht achterde rug… ongelooflijk! Laatste detail : de heren constructeurswerden gevraagd hun projecten binnen de week in te dienen

Prototype W.Nr. 200001Coll. D. Waelkens

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Front MB Mk.10Ejection Seat

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