Sint-Guido / Saint-Guidon

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SAINT-GUIDON / SINT-GUIDO

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SAINT-GUIDON / SINT-GUIDO

Page 2: Sint-Guido / Saint-Guidon

Sint-Guido: een stukje Brugge in Brussel

Wie dacht dat Anderlecht enkel

een voetbalgemeente is, slaat

de bal mis. Entertainment,

kunst en multiculturaliteit zijn

maar enkele troeven waarmee

Anderlecht zich onderscheidt

van andere Brusselse gemeenten.

Anderlecht, Sint-Guido, 13:55. In

het cultuurcentrum Zinnema heb

ik afgesproken met Liliane. Lichtjes

verkouden heet ze me hartelijk

welkom in Saint-Guidon. “In Brussel

zeggen we de metrostations altijd

in het Frans. We hebben het dus

nooit over Sint-Guido, maar wel over

Saint-Guidon. En dat geldt ook voor

de straatnamen.” Liliane Dussart,

geboren en getogen in Anderlecht,

woont al bijna heel haar leven in de

Sint-Guidowijk. En daar is ze trots op:

“Het is een heel aangename buurt.

Saint-Guidon kan je een beetje

vergelijken met Brugge, maar daar

zijn er veel meer smalle straatjes.”

Bobbejaan Schoepen

En ik moet toegeven: Lilianes

vergelijking is meer dan terecht.

De Place de la Vaillance (het

Dapperheidsplein) is een knus

en gezellig plein, omringd door

architecturale pareltjes zoals de

Sint-Pieter-en-Sint-Guido-Kerk en de

Muziekacademie. “Toeristen op zoek

naar culturele bezienswaardigheden

kunnen hier zeker hun hart

ophalen.” Maar er is meer: in het

cultuurcentrum Zinnema krijgen

amateurkunstenaars de kans om

hun artistieke vaardigheden te

ontplooien. “Zelf geef ik er al zeven

jaar lang voorstellingen”, zegt Liliane

kwiek en monter. “En altijd voor

volle zalen!”

Liliane staat al 67 jaar op de planken

en is aan haar laatste voorstellingen

toe. Met pijn in het hart. “Maar als

ze nog eens bij me aankloppen,

zal ik zeker geen nee zeggen.” De

podiummicrobe kreeg Liliane te

pakken via haar vader: “Hij was

clown en heeft nog samen met

Bobbejaan Schoepen opgetreden.

Van kleins af aan volgde ik mijn

vader bij al zijn voorstellingen. En

op een gegeven moment vroeg

hij of ik hem wilde vergezellen op

de bühne, want zijn danseuse had

volgens hem twee linkerbenen.”

Liliane is een echte duivel-doet-al:

behalve in dansen blinkt ze ook uit in

cabaret en zang. En de laatste jaren

entertaint ze samen met haar Dussy

Club-team de senioren uit de buurt.

Levende legende

Na onze gezellige babbel in het

cultuurcentrum brengt Liliane me

naar de mooiste uithoekjes van

haar wijk. Om de haverklap wordt ze

aangeklampt door buurtbewoners.

Liliane is graag onder de mensen,

en de mensen zijn graag bij haar.

“Ik gebruik niet graag de lift in het

metrostation, want dan sta ik daar

meestal alleen in. Ik ben trouwens

ook een echte stadsmens. Een

leven buiten de stad, weg van

alle mensen, is niets voor mij!” En

sociaal als ze is, heeft ze het soms

wel moeilijk met de mentaliteit in en

rond het metrostation: “Ik hou van

Saint-Guidon, maar de metrobuurt

is een ‘doorgang’. De mensen lopen

gewoon door en kijken niet naar

elkaar om. Ik vind dat spijtig.”

“Maar tussen de buurtbewoners

onderling heerst er wel een heel

gemoedelijke sfeer. We spreken

Frans, Vlaams en Brussels met elkaar.

Omschakelen van de ene taal naar

de andere doen we automatisch.”

Over spanningen tussen

Nederlands- en Franstaligen is hier

dus geen sprake. “De taalkwestie

wordt gewoonweg opgeblazen

door de media en de politici.”

Zelf was Liliane van oorsprong

Franstalig, maar op haar Nederlands

valt niets aan te merken. “Dat heb

ik te danken aan het toneel, waar

ik vooral in contact kwam met

Nederlandstaligen.” Vervolgens

neemt Liliane me op sleeptouw

naar het Gemeenschapscentrum

De Rinck. De directrice strooit

kwistig met lofwoordjes: “Liliane

is hier een levende legende.

Wanneer ze definitief ophoudt

met haar voorstellingen, zal

dat een groot gemis zijn voor

de lokale cultuurverenigingen.”

Nadat Liliane me uitstekend gegidst

heeft door Saint-Guidon, wil ze me

nog een van de groenste plekjes uit

de buurt laten zien: de tuin bij het

Erasmushuis. We houden halt aan

de vijver. Een merel dompelt zijn

vleugeltjes onder in het stromende

water. Liliane bewondert het tafereel

en geniet.

Page 3: Sint-Guido / Saint-Guidon

Une partie de Bruges à Bruxelles

Celui qui pense qu’Anderlecht est

seulement une ville de football,

se trompe. Le divertissement,

l’art et la multiculturalité ne sont

que quelques atouts par lesquels

Anderlecht se distingue des autres

villes bruxelloises.

Anderlecht, Saint-Guidon, 13h55. J’ai

convenu de rencontrer Liliane dans

le centre culturel Zinnema. Souffrant

d’un petit refroidissement, elle me

souhaite la bienvenue à Saint-

Guidon. «À Bruxelles, nous appelons

les gares de métro toujours en

français. Nous ne disons donc jamais

Sint-Guido en néerlandais, mais

nous parlons de Saint-Guidon. Cela

vaut également pour les noms de

rue.» Liliane Dussart, née et élevée

à Anderlecht, habite déjà toute sa

vie dans le quartier Saint-Guidon. Et

elle est fière d’y habiter: «C’est un

quartier très agréable. Vous pouvez

comparer Saint-Guidon un peu avec

la ville de Bruges, mais là, il y a plus

de rues étroites.»

Bobbejaan Schoepen

Je dois avouer que la comparaison

de Liliane est fondée. La Place de la

Vaillance est une place douillette

et agréable, entourée par quelques

joyaux architecturaux comme

l’Église collégiale des Saints-Pierre-

et-Guidon et l’Académie de Musique.

«Les touristes à la recherche

d’attractions culturelles trouveront

certainement quelque chose à leur

convenance ici.» Mais il y a plus de

choses à faire: dans le centre culturel

Zinnema, les artistes amateurs ont

la possibilité de développer leurs

compétences. «J’y donne déjà des

spectacles de théâtre depuis sept

ans», dit Liliane joyeusement et de

façon enthousiaste. «Et toujours

pour une salle pleine!»

Liliane est déjà depuis 67 ans sur

les planches et maintenant, c’est

l’occasion pour elle d’organiser ses

derniers spectacles. À contrecœur.

«Mais si quelqu’un frappe à ma

porte, je ne refuserai pas de l’aider.»

Son père lui a donné l’envie d’être

en scène: «Il était un clown et a

fait des spectacles avec Bobbejaan

Schoepen. Depuis l’enfance, j’ai

toujours suivi les spectacles de mon

père et à un moment donné, il m’a

demandé si je voulais l’accompagner

sur les planches, parce que selon

lui, sa danseuse ne savait rien faire

avec ses deux jambes.» Liliane

est vraiment une femme à toutes

mains: outre la danse, elle excelle en

spectacle de chansonnier et chant.

Et pendant les dernières années,

elle divertit les personnes âgées du

quartier ensemble avec son équipe

Dussy Club.

Une légende vivante

Après notre bavardage agréable

dans le centre culturel, Liliane

m’emmène aux plus beaux endroits

de son quartier. À tout propos, elle

est accostée par ses riverains. Liliane

aime le contact avec les gens, et les

gens aiment le contact avec elle. «Je

n’aime pas utiliser l’ascenseur dans

la gare de métro, parce que dans

la plupart des cas, je suis la seule

personne dedans. Je suis d’ailleurs

aussi une véritable citadine. Une

vie en dehors de la ville et loin de

tous les gens, n’est pas une vie pour

moi!» Et comme elle est sociable,

elle a parfois de difficultés avec la

mentalité dans et autour de la gare

de métro: «J’aime Saint-Guidon,

mais le quartier autour de la gare

est un lieu de passage. Les gens

simplement passent par là et se

négligent les uns et les autres. Je

trouve cela déplorable.»

«Mais entre les riverains, il règne un

climat très amical. Nous parlons le

français, le flamand et le brusseleir

entre nous. Nous passons d’une

langue à l’autre automatiquement.»

Il n’est donc pas question de

tensions entre les flamands et le

francophones ici. «La question

linguistique est simplement gonflée

par les médias et les politiques.»

Liliane est francophone d’origine,

mais elle parle très bien le flamand.

«C’est grâce au monde du théâtre,

dont lequel j’entre souvent en

contact avec les flamands, que

je parle aussi bien le français.»

Ensuite, Liliane me remorque vers

le centre communautaire De Rinck.

La directrice ne dit que des choses

positives de Liliane: «Elle est une

légende vivante ici. Quand elle aura

arrêté définitivement de donner des

spectacles, ce sera une grande perte

pour les associations culturelles

locales.»

Quand Liliane m’a très bien guidé

à travers le quartier Saint-Guidon,

elle me veut encore montrer un des

endroits le plus vert du quartier: le

jardin de la Maison d’Érasme. Nous

nous arrêtons à l’étang. Un merle

plonge ses petites ailes dans l’eau

courante. Liliane admire la scène et

elle s’en jouit.

Interview: Hannes Tahon Foto/Photo: Camille Marcus

Page 4: Sint-Guido / Saint-Guidon

Je suis tombée amoureuse du Maroc

À la station Saint-Guidon se trouve

le centre communautaire De Rinck,

qui organise des cours de darija,

entre autres (nombreuses) choses.

Le darija est la langue vernaculaire

du Maroc, l’arabe populaire qui

résonne également dans les rues de

ce melting pot qu’est Bruxelles. L’une

des élèves est Martine Spinnoy, de

Dilbeek. «Je suis tombée amoureuse

du Maroc.»

Sa passion n’est pas tombée du

ciel, explique Martine. «Je suis allée

au Maroc pour la première fois il y

a six ou sept ans, lors d’une sorte

de voyage organisé. Le pays m’a

tellement plus que j’y suis retournée

un an plus tard, puis encore l’année

d’après. Finalement, je n’y allais plus

une mais plusieurs fois par an pour

parcourir les magnifiques paysages

qu’il y a là-bas.»

Son profond attachement pour

le Maroc saute aux yeux. Elle est

même en train d’y monter un projet

touristique: la Maison Illela, qui se

trouve dans le sud rustique du pays.

«C’est vraiment un endroit idéal pour

se reposer, et très peu touristique.

La plupart des gens ne connaissent

que Marrakech et Agadir ou ont une

image tronquée du Maroc, basée sur

ce que les médias d’ici montrent des

immigrés.»

Bruxelles serait-elle dès lors une ville

à quitter? «Je trouve que Bruxelles

est une ville agréable. Je prends

souvent le métro et je ne comprends

pas pourquoi tant de gens ont peur

de se promener dans notre capitale.

D’accord, Bruxelles reste une

grande ville avec tout ce que cela

implique, mais elle n’a vraiment rien

d’anormal. J’ai toujours habité en

périphérie et je suis allée à l’école en

ville. Ceux qui trouvent que Bruxelles

n’est pas sûre ne savent rien de la

situation réelle et se fondent sur des

stéréotypes. Cette rue commerçante,

toute proche du centre (GC De Rinck

à Anderlecht), s’est transformée en

une petite Marrakech, mais il n’y a

rien d’étrange à ce changement:

une forte communauté marocaine

habite ici. En outre, affirmer

qu’une telle évolution augmente la

dangerosité ou la criminalité d’un

quartier est totalement dénué de

fondement. Sans oublier que ça me

permet de pratiquer de temps en

temps le darija, que je commence à

baragouiner. En rue et dans le métro,

je saisis un mot par-ci, par-là; il

m’arrive même de pouvoir répondre

ou parler un peu. Un effort apprécié

tant au Maroc qu’à Bruxelles.»

Martine Spinnoy suit donc des cours,

qui plus est en tout petit groupe. Le

jour où nous la rencontrons, ils sont

quatre, chacun ayant ses propres

raisons d’apprendre le darija. «Il

y a une Flamande mariée à un

Marocain, et le seul homme qui suit

les cours possède un commerce

d’articles de maroquinerie. Il fait

du commerce avec le Maroc. Cette

langue ne s’assimile pas toute seule,

elle est trop compliquée. Mais je suis

heureuse de l’apprendre, surtout

que je peux l’utiliser aussi bien à

Bruxelles qu’au Maroc, le pays où je

veux aller par-dessus tout.»

Interview: Christo Mercelis Foto/Photo: Yannick Sluyts

Ik heb mijn hart verloren in Marokko

Aan de halte Sint-Guido vinden we

gemeenschapscentrum De Rinck,

waar onder andere een cursus Darija

georganiseerd wordt. Darija is de

Marokkaanse spreektaal, het volkse

Arabisch dat ook in de melting pot

van Brussel te horen is. Een van de

cursisten is Martine Spinnoy uit

Dilbeek. “Ik heb mijn hart helemaal

verloren aan Marokko.”

‘‘Mijn passie is niet uit de lucht

komen vallen’’, vertelt Martine. “Zes

of zeven jaar geleden ging ik een

eerste keer trekken in Marokko, een

soort groepsreis. Dat viel zo goed

mee dat ik een jaar later terugkeerde

en het jaar daarop opnieuw.

Uiteindelijk ging ik niet één maar

verschillende keren per jaar trekken

door de prachtige landschappen

daar.”

Dat ze verknocht is aan Marokko

mag duidelijk zijn. Ze heeft er zelfs

een toeristisch project op stapel

staan: het Maison Illela ligt in het

rustieke zuiden van het land. “Het is

echt een plek om tot rust te komen,

en helemaal niet zo toeristisch als

andere meer voor de hand liggende

bestemmingen. De meeste mensen

kennen enkel Marrakech en Agadir

of hebben een verkeerd beeld van

Marokko door wat de media hier

over de inwijkelingen laten zien.”

Is Brussel dan een stad om uit weg

te trekken? “Ik vind Brussel een heel

leuke stad. Ik ben vaak met de metro

onderweg en ik snap niet waarom

zoveel mensen angstig zijn om in

Brussel rond te wandelen. Oké, het

blijft een grote stad met alles wat

daarbij hoort, maar zo abnormaal

is het allemaal niet. Ik heb altijd in

de rand gewoond en ben in de stad

naar school gegaan. De mensen die

Brussel als onveilig beschouwen,

baseren zich op stereotypes. De

winkelstraat hier vlakbij het centrum

(GC De Rinck in Anderlecht) is

een klein Marrakech geworden,

maar zo vreemd is dat ook niet:

er woont een grote Marokkaanse

gemeenschap. Bovendien is het niet

zo dat een buurt daardoor gevaarlijk

of crimineel zou worden, dat is

helemaal uit de lucht gegrepen. Met

het Darija dat ik ondertussen begin

te kunnen, kan ik trouwens ook een

beetje oefenen. Op straat en in de

metro kan ik al eens antwoorden of

meepraten. Dat wordt zowel hier als

in Marokko erg geapprecieerd.”

Martine volgt les in een kleine

groep. De dag dat wij haar zagen

waren ze met vier, en elk hebben

ze hun eigen reden om Darija te

leren. “Er is een Vlaamse die met een

Marokkaanse man getrouwd is, en

de enige man die naar de les komt

heeft een handel in lederwaren.

Hij doet zaken in Marokko. Deze

taal leer je niet ‘zomaar’, daarvoor

is het te moeilijk. Ik doe het graag

en ik kan het zowel hier in Brussel

gebruiken als in Marokko, het land

waar ik het liefst naartoe wil.”

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e d

ag i

s h

et t

rou

wen

s g

ezel

lig

zitt

en o

p he

t te

rras

van

het

the

esal

on. D

e

vers

e m

untt

hee

is e

r he

erlij

k.

Op

de h

oek

met

de

Men

enst

raat

vin

d

je e

en in

druk

wek

kend

e gr

affiti

muu

r. M

et

dank

aan

de

jong

eren

van

het

jeug

dhui

s

even

ver

dero

p in

de

Men

enst

raat

.

Bru

ssel

hee

ft d

e N

ieu

wst

raat

, M

o-

lenb

eek

heef

t de

Gen

tses

teen

weg

. Koo

p-

lust

igen

kom

en v

an v

er o

m h

ier

hun

slag

te s

laan

. Je

vin

dt

er d

an o

ok

alle

s: v

an

nam

aakb

loem

en t

ot

kam

erb

reed

tap

ijt.

Dez

e st

raat

ver

gt e

nige

koe

lblo

edig

heid

en c

once

ntra

tie

van

de fi

etse

r.

Jeug

dher

berg

Gén

érat

ion

Euro

pe li

gt

pal

tuss

en h

et k

anaa

l en

de m

etro

stat

ions

Gra

af V

an V

laan

dere

n en

Bee

kkan

t. M

et d

e

fiets

enst

allin

g is

het

de

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le u

itva

lsba

-

sis

voor

ont

dekk

ings

toch

ten

lang

s be

ide

kant

en v

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et k

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l.

Het

B

on

nev

iep

ark

was

o

oit

ee

n

bouw

put v

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e m

etro

tunn

el. D

e re

cent

e

reno

vati

e ge

beur

de i

n sa

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spra

ak m

et

de b

uurt

bew

oner

s. H

oedj

e af

voo

r het

re-

sult

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een

goed

ond

erho

uden

spe

eltu

in

met

on

tsp

ann

ing

smo

gel

ijkh

eden

vo

or

jong

en

oud.

20 S

cho

ols

traa

t 76

is

de

stek

van

ge-

mee

nsc

hap

scen

tru

m

De

Vaa

rtka

po

en.

Hun

wijk

acti

vite

iten

bes

taan

ond

er m

eer

uit

een

str

aatt

hea

terf

esti

val

en b

uu

rt-

aper

os.

O

p

het

zelf

de

adre

s vi

nd

je

trou

wen

s co

ncer

tzaa

l VK

, al j

aren

een

be-

grip

in h

et a

lter

nati

eve

muz

iekc

ircui

t.

Op

d

on

der

dag

voo

rmid

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za

kt

zow

at h

eel

Bru

ssel

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naa

r d

e M

edit

er-

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s ge

tint

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arkt

die

zic

h ui

tstr

ekt

van

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Sint

-Jan

Bap

tist

voor

plei

n to

t he

t G

e-

mee

ntep

lein

. D

e ar

t d

eco

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ren

van

de

gelij

knam

ige

beto

nker

k is

een

bak

en d

ie

je h

erke

nt v

anop

vel

e pl

aats

en in

Bru

ssel

.

22 A

an d

e ge

bouw

en l

angs

het

kan

aal

her

ken

je

het

in

du

stri

eel

verl

eden

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Bru

ssel

. V

and

aag

do

en d

e g

ebo

uw

en

dien

st a

ls w

inke

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unst

enaa

rsat

elie

rs, h

o-

tels

, en

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s. L

angs

de

tien

talle

n w

indm

o-

lent

jes

ligt e

en g

oed

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pad

dat a

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dig

ver

reik

t in

zui

delij

ke r

icht

ing.

In n

oord

e-

lijke

ric

htin

g ri

jst

de h

oogs

te w

oont

oren

van

Belg

ië o

p (1

43m

).

Elke

wo

ensd

agn

amid

dag

is

er e

en

mar

ktje

o

p

het

D

app

erh

eid

sple

in.

Je

vin

dt

er m

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en m

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amer

s

met

am

bach

telij

ke e

etw

aren

. Het

ple

intj

e

is o

mri

ng

d m

et c

afés

en

res

tau

ran

ts:

geze

lligh

eid

troe

f. O

p he

t nu

mm

er 7

ligt

gem

een

sch

apsc

entr

um

De

Rin

ck,

een

ontm

oeti

ngsp

lek

waa

r ie

dere

en w

elko

m

is.

Via

een

sm

al p

ad fi

ets

je r

echt

het

om

mu

urd

e b

egijn

ho

f (1

252)

bin

nen

. In

de K

appe

laan

stra

at 8

wor

d je

met

ope

n

arm

en o

ntva

ngen

doo

r Ala

in. H

ij ve

rtel

t je

graa

g w

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schi

eden

is v

an

het b

egijn

hof e

n de

gem

eent

e A

nder

lech

t.

Een

com

biti

cket

voo

r het

beg

ijnho

f en

het

nabu

rige

Era

smus

huis

kos

t sl

echt

s 1.

25€.

Ges

lote

n op

maa

ndag

.

De

bolle

kas

seis

tene

n, k

lein

e hu

isje

s,

geve

lpla

nten

en

zich

t op

de

kerk

zor

gen

ervo

or d

at h

et P

orse

lein

stra

atje

wel

vak

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omsc

hrev

en w

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een

stu

kje

‘Bru

gge

in B

russ

el’ o

f het

‘Bru

ssel

se M

ontm

artr

e’.

De

An

der

lech

tse

jaar

mar

kt b

esta

at

sind

s 18

25. Z

e vi

ndt

plaa

ts o

p de

din

sdag

volg

end

op

zo

nd

ag n

a 12

sep

tem

ber

.

Ond

er m

eer

de

Weg

gevo

erde

nstr

aat

en

d’A

um

ales

traa

t w

ord

en d

an h

et t

on

eel

van

een

prijs

kam

p vo

or ru

nder

en, p

aard

en

en k

lein

gev

ogel

te.

In h

et B

ospa

rk p

roef

je v

an d

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oene

kant

van

And

erle

cht.

Hel

emaa

l bov

enaa

n

dit

vo

om

alig

ker

kho

f h

eb j

e ee

n m

oo

i

uit

zich

t ov

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e g

emee

nte

. O

nd

eraa

n

het

park

ligt

de

inga

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an m

etro

stat

ion

Aum

ale.

Jacq

ues

Brel

woo

nde

als

tien

er e

en

aant

al j

aren

in

de M

anne

stra

at 7

. N

a de

mid

delb

are

scho

ol e

n vo

or z

ijn c

arri

ère

als

chan

sonn

ier

wer

kte

hij

een

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kart

onfa

brie

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anne

ste

& B

rel’,

van

zijn

vade

r en

oom

.

Als

w

e d

e te

kst

van

zi

jn

lied

‘Mad

elei

ne’

(19

62)

mo

gen

gel

oven

was

Jacq

ues

B

rel

een

g

ebru

iker

va

n

het

open

baa

r ve

rvoe

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n p

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ra l

e tr

am

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te-t

rois

, pou

r m

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r de

s fr

ites

che

z

Eugè

ne».

De

teks

t st

aat

in b

lauw

e st

een

gebe

itel

d op

de

Squa

re H

enri

Rey

. Je

vind

t

er o

ok t

afel

s m

et e

en s

chaa

kspe

lmot

ief.

8 T

ijd v

oor e

en c

ulin

aire

sto

p? D

an k

omt

fritu

ur ‘C

hez

le G

rec’

zek

er in

aan

mer

king

.

Bij g

oed

wee

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en r

uim

ter

ras.

du

sq

uar

e H

enri

Rey

. Vo

us

y tr

ou

vere

z

égal

emen

t des

tabl

es a

u m

otif

d’éc

hiqu

ier.

8 E

nvie

d’u

n ar

rêt

culin

aire

 ? A

lors

, la

frit

erie

«C

hez

le G

rec»

du

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evar

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les

Gra

indo

r to

mbe

à p

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ar b

eau

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ps, l

a

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dis

pose

d’u

ne v

aste

terr

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. Cet

te

pla

ce e

st f

acile

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t ac

cess

ible

par

un

e

pist

e cy

clab

le s

itué

e su

r la

berm

e ce

ntra

le.

9 À

la h

aute

ur d

u nu

mér

o 12

0 de

la ru

e

de B

irmin

gham

, arr

êtez

-vou

s po

ur a

dmire

r

le p

anor

ama

sur

le s

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e Br

uxel

les.

Le

pays

age

qui s

’éte

nd d

evan

t vou

s re

grou

pe,

entr

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tres

, l’a

bat

toir

d

’An

der

lech

t,

l’im

posa

nt p

alai

s de

just

ice

et la

Tou

r du

Mid

i. Le

s bâ

tim

ents

indu

stri

els

(184

0) a

ux

alen

tour

s d

u ca

nal

so

nt u

ne

reliq

ue d

u

«pet

it M

anch

este

r be

lge»

.

10 Je

roen

Pet

ers

est

l’ini

tiat

eur

du ja

rdin

urb

ain

de

la r

ue

Edm

on

d B

on

ehill

. Il

a

tran

sfor

le t

erra

in e

n fr

iche

à l

’om

bre

de l’

anci

enne

bra

sser

ie V

ande

nheu

vel e

n

véri

tabl

e lie

u de

ren

cont

re.

11 I

l n

e re

ste

pra

tiq

uem

ent

rien

de

la

gar

e d

e m

arch

and

ises

(18

72)

d’o

rig

ine.

Auj

ourd

’hui

, cet

te g

are

est

deve

nue

une

imp

ort

ante

pla

qu

e to

urn

ante

po

ur

les

nave

tteu

rs. E

n eff

et, l

es 4

 lign

es d

u m

étro

brux

ello

is y

con

verg

ent

et d

onne

nt a

ccès

à pl

usie

urs

ligne

s de

tra

in, d

e tr

am e

t de

bus.

12 J

eune

s et

vie

ux s

e re

trou

vent

au

parc

Mar

ie-J

osé

. L’

éco

le p

rim

aire

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bo

rdée

d’u

ne p

lain

e d

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ux e

t d

’un

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g. L

es

seni

ors

du c

entr

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font

un

conc

ours

de p

étan

que

sur

le t

erra

in c

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rt.

L’u

sine

de

mis

e en

bou

teill

e du

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,

touj

ours

en

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ité, e

t le

sièg

e de

Del

haiz

e

de la

rue

d’O

sseg

hem

nou

s ra

ppel

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le

pass

é in

dust

riel

de

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enbe

ek.

Les

rues

adja

cent

es s

ont d

es c

ités

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rièr

es d

atan

t

du d

ébut

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iègm

e si

ècle

.

De

la

pas

sere

lle,

vou

s ap

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la b

ande

en

fric

he q

ui s

’éti

re d

e la

gar

e

de l

’Oue

st j

usqu

’à O

sseg

hem

. Q

uelq

ues

han

gar

s d

élab

rés

dat

ant

de

l’an

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ne

gare

de

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chan

dise

s s’

y dr

esse

nt e

ncor

e.

La p

asse

relle

rel

ie l

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ieu

x M

ole

nb

eek

(à d

eux

pas

du

can

al e

t d

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entr

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Brux

elle

s) e

t le

Nou

veau

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enbe

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ais

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’est

pas

vra

imen

t le

mei

lleur

moy

en

pour

fra

nchi

r le

s vo

ies

avec

le v

élo.

Au

carr

efo

ur e

ntre

la

rue

Alp

ho

nse

Vand

enpe

ereb

oom

et

la r

ue G

roen

ingh

e

15

se t

rouv

e un

e pl

acet

te; n

’hés

itez

pas

à y

faire

une

pau

se. Q

uand

le s

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l bri

lle, r

ien

de p

lus

agré

able

que

s’a

sseo

ir à

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rras

se

du s

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de

thé.

Le

thé

à la

men

the

fraî

che

y es

t dé

licie

ux.

Au

co

in d

e la

ru

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e M

enin

, vo

us

déc

ou

vrir

ez

un

m

ur

imp

ress

ion

nan

t

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ert

de g

raffi

tis.

Mer

ci a

ux m

embr

es

de la

mai

son

des

jeun

es, s

itué

e qu

elqu

es

pas

plus

hau

t da

ns la

rue

de

Men

in.

À B

ruxe

lles,

il

y a

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ue

Neu

ve,

à

Mol

enb

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il

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haus

sée

de

Gan

d.

Elle

att

ire

de

no

mb

reu

x am

ateu

rs d

e

sho

pp

ing

qu

i vi

enn

ent

de

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po

ur

y

com

ble

r le

urs

env

ies.

Il

fau

t d

ire

auss

i

que

vous

y t

rouv

erez

de

tout

, des

fleu

rs

arti

ficie

lles

au t

apis

pla

in. C

ette

rue

exi

ge

un c

erta

in s

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froi

d et

une

bon

ne d

ose

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tion

de

la p

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du c

yclis

te.

L’au

ber

ge

de

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esse

«G

énér

atio

n

Euro

pe»

se

dre

sse

entr

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can

al e

t le

s

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ion

s d

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étro

Co

mte

de

Flan

dre

et

Beek

kant

. So

n ab

ri p

our

vélo

s en

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t le

po

int

de

dép

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tou

t d

ésig

po

ur

des

bala

des

de d

écou

vert

e de

s de

ux c

ôtés

du

cana

l. Au

parc

Bon

nevi

e, t

out

a co

mm

encé

par

u

ne

tran

chée

cr

eusé

e p

ou

r la

con

stru

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n d

u t

un

nel

de

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ro.

Sa

réce

nte

nov

atio

n

s’es

t d

éro

ulé

e en

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ite

colla

bo

rati

on

ave

c le

s ri

vera

ins.

Ch

apea

u

bas

p

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sult

at 

: u

ne

plai

ne d

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ux b

ien

entr

eten

ue, a

vec

des

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ssib

ilité

s d

e d

éten

te p

ou

r je

un

es e

t

moi

ns je

unes

.

Le n

um

éro

76

de

la r

ue

de

l’Éco

le

abri

te

le

cen

tre

com

mu

nau

tair

e «D

e

Vaa

rtka

po

en».

À l

a m

ême

adre

sse

se

tro

uve

ég

alem

ent

la s

alle

de

con

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VK

, une

réf

éren

ce d

ans

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ircui

t m

usic

al

alte

rnat

if de

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des

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Le je

udi,

prat

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t tou

t Bru

xelle

s

se

retr

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ve

au

mar

ché

aux

no

tes

méd

iter

rané

enne

s qu

i s’é

tend

de

la p

lace

Co

mm

unal

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squ’

au p

arvi

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int-

Jean

-

Bapt

iste

.

Au

pie

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uel

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izai

nes

de

mo

ulin

s à

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qu

i b

ord

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le c

anal

se

dér

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le u

ne

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ycla

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d’e

xcel

lent

e

qual

ité

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rolo

ngea

nt r

elat

ivem

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vers

le s

ud.

Ch

aqu

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edi

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s-m

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la

pla

ce d

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Vai

llan

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eille

un

pet

it

mar

ché.

Le

nom

bre

des

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s pr

opos

ant

des

pro

dui

ts a

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tair

es a

rtis

anau

x ne

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qu’

y cr

oît

re.

Cet

te p

etit

e p

lace

est

cein

turé

e de

caf

és e

t de

res

taur

ants

 : un

atou

t con

vivi

alit

é im

para

ble.

Au

num

éro 

7

se s

itu

e le

cen

tre

com

mu

nau

tair

e «D

e

Rin

ck»,

un

lie

u d

e re

nco

ntre

to

ut

le

mon

de e

st le

bie

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u.

Un

p

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ch

emin

vo

us

emm

ène

de

l’au

tre

côté

des

mu

rs e

nto

ura

nt

le

bégu

inag

e (1

252)

. Au

num

éro

8 de

la r

ue

du C

hape

lain

, Ala

in v

ous

accu

eille

à b

ras

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rts.

Il

se f

era

un p

lais

ir d

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n

dir

e p

lus

sur

l’his

toir

e d

u b

égui

nag

e et

de

la c

omm

une

d’A

nder

lech

t. U

n ti

cket

com

bin

é p

our

le e

t la

Mai

son

d’É

rasm

e

tout

e pr

oche

ne

coût

e qu

e 1,

25 €

. Fer

le lu

ndi.

Pavé

s bo

mbé

s, m

aiso

nnet

tes,

pla

ntes

en

faça

de,

vu

e su

r l’é

glis

e,

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s ce

s

élém

ents

exp

liqu

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po

urq

uo

i la

pet

ite

rue

de l

a Po

rsel

ein

est

souv

ent

qual

ifiée

de

«pet

it p

an d

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Wij spreken een ‘donne mon boekentas’-taaltje

Al vijfendertig jaar werkt ze in

Anderlecht, en brengt ze jong en

oud in contact met de rijkdom van

de Nederlandse taal. Miet Braem is

docente woord aan de Anderlechtse

academie en kan onmogelijk

zwijgen over haar liefde voor de

stad en de taal.

Jong geleerd...

Brussel is een van Miets grote

liefdes. Als kind namen haar nonkel

en peter haar op sleeptouw, de hele

stad door. Elke vakantie opnieuw

genoot ze van eendjes voederen

in het Warandepark, bezocht ze

talloze musea en tentoonstellingen

en ontdekte ze unieke winkeltjes.

Hoewel haar andere liefde haar

naar Dilbeek lokte, bleef Brussel heel

speciaal voor Miet. “Brussel is echt

het midden van het land. Je kan hier

alles beleven. In Brussel spelen veel

goede theaterproducties. En je bent

hier ook zo mobiel. Met de tram of

de metro ben je in een oogwenk aan

de andere kant van de stad. Behalve

’s avonds laat.”

Echte Brusselaars

“Ik hou van echte Brusselaars”,

zegt de lerares. “Dat zijn zo’n leuke

mensen, vol humor. Een echte

Brusselaar maakt geen problemen.

Horen ze iemand Nederlands of

Frans spreken, dan passen ze zich

onmiddellijk aan. Dat is zo tof!” Miet

is getrouwd met een Franstalige

Brusselaar, en thuis spreken ze de

twee talen door elkaar. “Als ze ons

vragen welke taal we het meest

spreken, moeten we het antwoord

schuldig blijven. Wij spreken een

‘donne mon boekentas’-taaltje. Ik

hou van die tweetaligheid.”

Ook tijdens haar lessen aan de

Anderlechtse woordacademie

komt ze in contact met die talige

verscheidenheid. Veel leerlingen

spreken thuis geen Nederlands. Die

variatie en multiculturaliteit vindt

Miet verrijkend, maar het vereist

wel een specifieke aanpak en andere

accenten.

“Mijn lessen zijn geen taalcursus,

maar een taalbad. Mijn leerlingen

spelen en leren zich uitdrukken

in het Nederlands. Ze willen het

Nederlands echt leren kennen, ze

zijn extra gemotiveerd.”

Het kind en het badwater

Maar Brussel is niet al pais en vree.

Brussel is niet perfect. ‘‘‘s Avonds

is het niet altijd even veilig in

Anderlecht’’, merkt Miet. En vrouwen

die rondlopen met een rokje kunnen

op veel commentaar rekenen. De

reportage van Sofie Peeters, ‘Femme

de la rue’, is voor Miet niet uit de lucht

gegrepen. “Het is heel herkenbaar,

en dat vind ik spijtig. Een van mijn

leerlingen stapt consequent met

een rokje op de fiets. Ze weigert zich

anders te kleden, ze weigert zich

aan te passen om opmerkingen te

vermijden. Ik vind dat knap!” Maar

we moeten het kind niet met het

badwater weggooien, vindt de

docente. De mindere kantjes van

de grootstad kunnen niet op tegen

de rijkdom en de levendigheid van

Brussel. Zou Miet ooit naar Brussel

willen verhuizen? “Ik zou er zeker

niet voor terugschrikken om hier te

komen wonen. Terug moeten naar

West-Vlaanderen, dàt zou ik erg

vinden. In Brussel vind ik de vrijheid

van een grootstad, zelfs al heeft die

vrijheid haar schaduwkantjes.”

Interview: Annelies Verheyden Foto/Photo: Max Meyer

Nous parlons un baragouin du genre donne mon boekentas

Il y a trente-cinq ans déjà qu’elle

travaille à Anderlecht, où elle dévoile

les trésors de la langue néerlandaise

aux jeunes comme aux moins

jeunes. Miet Braem est professeur

à la section arts de la parole de

l’académie d’Anderlecht et ne peut

pas s’empêcher de parler de son

amour pour sa ville et sa langue.

Apprentissage au berceau…

Bruxelles est l’un des grands amours

de Miet. Enfant, elle parcourait toute

la ville dans la remorque de son

oncle et parrain. Dès qu’elle était

en vacances, elle s’amusait à nourrir

les canards du parc de Bruxelles, à

arpenter musées et expositions

et à découvrir de petits magasins

uniques en leur genre. Bien que son

autre amour lui ait fait jeter l’ancre

à Dilbeek, Bruxelles conserve une

place particulière dans le cœur de

Miet. «Bruxelles est véritablement au

centre du pays. Ici, tout peut arriver.

La ville compte de très nombreuses

productions théâtrales de qualité et

garantit un tel niveau de mobilité!

Le tram et le métro emmènent les

voyageurs à l’autre bout de la ville

en un clin d’œil. Sauf tard le soir…»

Les vrais Bruxellois

«J’aime les vrais Bruxellois»,

explique notre professeur. «Ils sont

très sympathiques, et ils ont un de

ces humours. Les vrais Bruxellois

ne créent pas de problème.

Quand ils entendent quelqu’un

parler néerlandais ou français, ils

s’adaptent automatiquement. C’est

super!» Miet Braem a épousé un

Bruxellois francophone; à la maison,

ils mélangent allègrement les deux

langues. «Quand on nous demande

quelle langue nous parlons le plus,

nous ne savons que répondre. Nous

parlons un baragouin du genre

donne mon boekentas. J’adore ce

bilinguisme.»

Ses cours à l’académie des arts de

la parole d’Anderlecht la mettent

également en contact avec cette

diversité linguistique. Beaucoup

d’élèves ne parlent pas néerlandais

à la maison. Miet trouve cette

variété, cette multiculturalité très

enrichissante, mais elle exige une

approche spécifique et des autres

accents.

«Mes cours ne sont pas des cours

de langue mais un bain linguistique.

Mes élèves jouent et apprennent

à s’exprimer en néerlandais. Ils

veulent vraiment l’apprendre, ils

sont extrêmement motivés.»

Le bébé et l’eau du bain

Mais Bruxelles n’est pas que paix

et amour. Bruxelles n’est pas

parfaite. Le soir, Anderlecht n’est

pas toujours très sûre, observe

Miet. Les femmes qui s’y baladent

en jupe doivent s’attendre à une

volée de commentaires. «Femme

de la rue, le reportage de Sofie

Peeters, n’est pas sans fondement

aux yeux de Miet. «C’est typique, et

je le regrette. L’une de mes élèves

porte systématiquement une jupe,

même quand elle se déplace à vélo.

Elle refuse de s’habiller autrement,

elle refuse de changer de tenue

pour échapper aux remarques. Je

trouve que c’est louable!» Mais il

ne faut pas jeter le bébé avec l’eau

du bain, pense notre professeur. Les

aspects négatifs de cette métropole

ne sont rien par rapport à la richesse

et à la vivacité de Bruxelles. Miet

déménagerait-elle à Bruxelles?

«Je ne reculerais certainement pas

devant l’idée de venir vivre ici. Devoir

retourner en Flandre-Occidentale,

voilà ce qui m’effraierait. À Bruxelles,

je trouve la liberté qu’offre une

grande ville, même si cette liberté a

aussi ses inconvénients.»

Page 10: Sint-Guido / Saint-Guidon

Une nouvelle vie commence

J’appuie sur le bouton de la sonnette,

une voix de femme chaleureuse me

répond. Elle m’invite à monter au

cinquième étage. Dans l’ascenseur,

je croise un couple de retraités

italiens qui me saluent d’un sourire

bien méridional. Je poursuis ma

route jusqu’au petit appartement

de mon hôtesse. La pièce est toute

simple; les murs sont décorés de

quelques peintures, plus loin il y a

une table et une télévision. Devant

moi se tient Anne Glorieux. Elle a

ma taille, et des cheveux courts et

foncés. Elle porte un training ainsi

qu’un pull chaud. Je lui donne

40 ans environ mais elle en a 48.

«Veux-tu boire quelque chose?»,

me demande-t-elle. J’opte pour un

Ice Tea et sors un paquet de biscuits.

La glace est rompue, je sens que je

peux poser mes questions sans trop

de problèmes.

Une nouvelle vie commence

Anne Glorieux est née au centre

de Bruxelles mais elle a grandi en

Flandre-Orientale, à Grammont. Son

aventure bruxelloise ne débutera

que 26 ans plus tard. La raison pour

laquelle elle a déménagé à Bruxelles

est une amourette un peu sérieuse.

Elle est tombée amoureuse d’un

autre étudiant, a décidé de se marier

et d’acheter une maison. Son mari

étant francophone, il voulait habiter

dans une commune francophone.

Anne Glorieux a donc suivi son bien

aimé à Bruxelles. «En 1991, mon mari

et moi avons habité un temps à Uccle

avant d’acheter une maison près du

parc de Scherdemael à Anderlecht.

Et un bonheur n’arrivant jamais seul,

nous avons eu une petite fille que

nous avons appelée Justine. J’avais

tout ce dont j’avais toujours rêvé:

une famille, une maison et un grand

jardin!»

Mais après six ans de mariage,

l’amour s’est éteint. Le couple

s’est séparé, Anne et sa fille ont

dû déménager. «Finalement, nous

avons trouvé un petit appartement

près de la station de métro Saint-

Guidon. Le changement a été radical

pour nous. Nous avions toujours

vécu dans une grande maison avec

jardin. Ce n’était désormais plus le

cas.»

Mais elle ne s’est pas plainte,

sa fille et ses nouveaux voisins

l’ont soutenue. Le quartier est un

véritable creuset de cultures. «Rien

que dans mon immeuble, il y a des

Italiens, des Polonais, des Marocains

et de vrais Bruxellois. Ma voisine

marocaine m’invite régulièrement à

boire une tasse de thé à la menthe.»

L’avenir

Lorsque je demande à Anne Glorieux

comment elle envisage l’avenir, elle

réfléchit quelques instants. Elle finit

par me dire que l’année prochaine,

elle va probablement déménager.

Elle attend patiemment que sa fille

termine ses études et déploie ses ailes.

Een nieuw leven begint

Ik druk op de bel en hoor een

warme vrouwenstem. Ze nodigt mij

uit om naar de vijfde verdieping te

komen. In de lift kom ik een koppel

gepensioneerde Italianen tegen en

ze begroeten mij met een echte

Zuiderse glimlach. Ik stap verder en

kom aan in een kleine woning. De

kamer is eenvoudig, aan de muren

hangen een paar kleine schilderijen

en verder staat er een tafel en een

TV. Voor me staat Anne Glorieux. Ze

is even groot als ik en heeft donker

kort haar. Ze draagt een training

en een warme trui. Ik denk dat

ze 40 jaar oud is ze 48. “Wil je iets

drinken?” vraagt Anne me. Ik kies

een Ice Tea en tover een pak koekjes

te voorschijn. Het ijs is gebroken, ik

voel dat ik mijn vragen zonder al te

veel moeite mag stellen.

Een nieuw leven begint

Anne is geboren in hartje Brussel

maar groeide op in het Oost-

Vlaamse Geraardsbergen. Haar

Brusselse verhaal begon pas 26 jaar

later. De aanleiding om naar Brussel

te verhuizen was een serieuze

‘amourette’. Ze werd verliefd op

een medestudent en besliste om

te trouwen en een huis te kopen.

Omdat haar man Franstalig is, wou

hij in een Franstalige gemeente

wonen. Zo volgde Anne haar geliefde

naar Brussel. ‘‘In 1991 kwamen

mijn man en ik een tijdje in Ukkel

wonen, nadien kochten we een

huis dichtbij het Scherdemaalpark

in Anderlecht. Ons geluk raakte

niet op, we kregen een dochtertje

dat we Justine noemden! Ik had

alles wat ik gedroomd had: een

gezin, een huis en een grote tuin!’’

Maar na zes jaar huwelijk doofde de

liefde uit. Het koppel ging uit elkaar

en Anne en haar dochter moesten

verhuizen. ‘‘Uiteindelijk hebben we

een klein appartementje gevonden

dichtbij metrostation Sint-Guido.

Het was een grote verandering voor

ons. Van kindsbeen af hadden we de

gewoonte om in een groot huis met

tuin te leven. Dat was hier niet meer

het geval.’’

Maar klagen deed ze niet, ze kreeg

de steun van haar dochter en haar

nieuwe buren. ‘‘Het is hier een

echte smeltkroes van culturen.

In mijn gebouw alleen al wonen

er Italianen, Polen, Marokkanen

en rasechte Brusselaars. Mijn

Marokkaanse buurvrouw nodigt

mij regelmatig uit om een kopje

heerlijke muntthee te drinken.’’

De toekomst

Toen ik Anne vroeg hoe ze de

toekomst zag, dacht ze eerst even

na. Uiteindelijk vertelde ze dat ze

volgend jaar waarschijnlijk zou

verhuizen. Ze wacht geduldig af

totdat haar dochter haar studies

heeft afgerond en haar vleugels

spreidt.

Interview: Manon Wery Foto/Photo: Johnatan Somirs

Page 11: Sint-Guido / Saint-Guidon
Page 12: Sint-Guido / Saint-Guidon

Metrolijn 5 anders bekeken

Gebruikers van het openbaar

vervoer, en zeker reizigers met de

metro, beschouwen hun traject vaak

als louter functioneel. Men stapt op

de metro zo dicht mogelijk bij de

vertrekplaats om er pas uit te gaan

bij de eindbestemming.

Brussel is nochtans een stad die

telkens opnieuw kan ontdekt worden

en telt enorm veel interessante en

toffe plaatsen. Waarom niet eens

een halte vroeger op- of afstappen

en een stuk van het overblijvende

traject per fiets of te voet afleggen?

De vraag klinkt eenvoudig, maar

voor velen is de drempel groot.

Ik ondersteun ten volle dit project

dat de bruisende, vaak ondergrondse

wereld van metrolijn 5 in contact

wil brengen met de wijken die zich

rond de 28 metrostations situeren.

Dankzij getuigenissen en foto’s van

de Brusselaars die wonen langsheen

het traject van metrolijn 5, krijgen

buurten een gezicht. Wijken worden

vermenselijkt en nodigen uit om

ontdekt te worden. Uiteraard niet

Un autre regard sur la ligne de métro 5

Les usagers des transports publics,

et en particulier les voyageurs

dans le métro, considèrent leur

trajet uniquement d’un point de

vue fonctionnel. On monte dans

le métro au plus près de l’endroit

de départ pour en descendre à sa

destination.

Bruxelles est pourtant une ville

que l’on peut redécouvrir à chaque

promenade et qui compte de

nombreux endroits agréables

et intéressants. Pourquoi ne pas

descendre ou monter à un arrêt plus

tôt et effectuer une partie du trajet

à pied ou à vélo? Cette question

semble simple, mais de nombreuses

personnes redoutent de faire le pas.

Je soutiens pleinement ce projet

qui a pour objectif de faire entrer

en contact ce monde, trépidant et

souvent souterrain de la ligne de

métro 5, avec les quartiers situés

autour des 28 stations de métro.

Les témoignages et photos des

Bruxellois qui habitent le long de la

ligne de métro 5 confèrent une iden-

tité aux quartiers. Les quartiers sont

humanisés et invitent à leur décou-

verte, et ce non seulement par les

visiteurs de notre ville, mais aussi

par les Bruxellois.

Je vous invite à commencer votre

expédition à l’aide de ce journal

ou de l’application sur votre

smartphone. Quittez cette station

de métro et entrez dans le monde

captivant de Bruxelles à pied ou à

vélo. Les histoires, photos et activités

qui vous sont proposées vous en

donnent déjà un bel aperçu. Mais

partez surtout à la découverte des

quartiers de la manière dont vous le

souhaitez: votre excursion n’en sera

que plus instructive.

Ministre bruxelloise des Travaux

Publics et des Transports

Metro 5: Moving People, Moving Stories

Metrolijn 5 doorsnijdt Brussel van

west naar oost, en heeft precies

28 haltes nodig voor zijn tocht

door een bonte mengeling wijken

en buurten. Tussen september en

december 2013 krijgt elke halte

een eigen krant, gemaakt door een

ploeg enthousiaste gelegenheids-

journalisten. Studenten en

medewerkers van de HUBrussel

en Luca namen de metro naar

een hun onbekende ‘Brusselaar’.

Deze inspirerende ontmoetingen

resulteerden in 112 unieke

portretten. Studenten van ISFC

gaven het geheel mee vorm. Om

metrolijn 5 verder in de bloemetjes

alleen door bezoekers van onze stad,

maar zeker ook door de Brusselaars

zelf.

Ik nodig u uit om met deze krant

in de hand of met de App op uw

smartphone uw ontdekkingstocht

aan te vatten. Verlaat dit metro-

station en stap of fiets de boeiende

wereld van Brussel in. De verhalen,

foto’s en activiteiten die men

aanbiedt zetten u al een flink eind

op weg.

Brussels minister van Openbare

Werken en Vervoer

te zetten zijn bij een aantal stations

leuke activiteiten gepland. Cactus

& Co gidst al wie wil gratis met de

fiets langs het metrolijn 5 parcours

en directe omgeving, met uitstapjes

naar de plekjes die in de interviews

aan bod komen.

Meer info via: www.facebook.com/

metro5be

Metro 5: Moving People, Moving Stories

La ligne de métro 5 traverse Bruxelles

d’ouest en est, et pas moins de 28

stations lui sont nécessaires pour

relier tous ces quartiers très bigarrés.

De septembre à décembre 2013,

chaque station aura son propre

journal, réalisé par une équipe de

journalistes occasionnels débordant

d’enthousiasme. Des étudiants et des

collaborateurs de la HUB et de Luca

ont pris le métro à la rencontre d’un

«Bruxellois» inconnu. Ces rencontres

inspiratrices ont débouché sur 112

portraits exceptionnels, que des

étudiants de l’ISFC ont mis en pages.

Pour garder les projecteurs braqués

sur la ligne 5, une série d’activités

seront organisées dans plusieurs

stations. Cactus & Co se fera un

plaisir de guider gratuitement tous

ceux qui souhaitent découvrir le

parcours de la ligne 5 et ses environs

à vélo et organisera des promenades

vers les lieux évoqués dans les

interviews.

Toutes les informations se trouvent

sur www.facebook.com/metro5be

Verantwoordelijke uitgever / editeur responsable: Dirk De Ceulaer, Warmoesberg 26, 1000 Brussel. Contact: [email protected] - 02 210 12 57. Ne pas jeter sur la voie publique. Niet op de openbare weg gooien.

Met de steun van de