Informatica - 9.6.0 - Guide des services de données de SQL ... · Informatica Master Data...

Informatica (Version 9.6.0)

Guide des services de données de SQL

Informatica Guide des services de données de SQL

Version 9.6.0Janvier 2014

Copyright (c) 1998-2014 Informatica Corporation. Tous droits réservés.

Ce logiciel et sa documentation contiennent des informations appartenant à Informatica Corporation, protégées par la loi sur le droit d'auteur et fournies dans le cadre d'un accord de licence prévoyant des restrictions d'utilisation et de divulgation. Toute ingénierie inverse du logiciel est interdite. Il est interdit de reproduire ou transmettre sous quelque forme et par quelque moyen que ce soit (électronique, photocopie, enregistrement ou autre) tout ou partie de ce document sans le consentement préalable d'Informatica Corporation. Ce logiciel peut être protégé par des brevets américains et/ou internationaux, ainsi que par d'autres brevets en attente.

L'utilisation, la duplication ou la divulgation du Logiciel par le gouvernement américain est sujette aux restrictions décrites dans l'accord de licence applicable du logiciel conformément aux documents DFARS 227.7202-1(a) et 227.7702-3(a) (1995), DFARS 252.227-7013©(1)(ii) (OCT 1988), FAR 12.212(a) (1995), FAR 52.227-19 ou FAR 52.227-14 (ALT III) le cas échéant.

Les informations dans ce produit ou cette documentation sont sujettes à modification sans préavis. Si vous rencontrez des problèmes dans ce produit ou la documentation, veuillez nous en informer par écrit.

Informatica, Informatica Platform, Informatica Data Services, PowerCenter, PowerCenterRT, PowerCenter Connect, PowerCenter Data Analyzer, PowerExchange, PowerMart, Metadata Manager, Informatica Data Quality, Informatica Data Explorer, Informatica B2B Data Transformation, Informatica B2B Data Exchange Informatica On Demand, Informatica Identity Resolution, Informatica Application Information Lifecycle Management, Informatica Complex Event Processing, Ultra Messaging et Informatica Master Data Management sont des marques de commerce ou des marques déposées d'Informatica Corporation aux États-Unis et dans d'autres juridictions du monde. Tous les autres noms de société ou de produit peuvent être des marques de commerce ou des marques déposées de leurs détenteurs respectifs.

Des portions de ce logiciel et/ou de la documentation sont sujettes au copyright détenu par des tierces parties, y compris et sans limitation, Copyright DataDirect Technologies. Tous droits réservés. Copyright © Sun Microsystems. Tous droits réservés. Copyright © RSA Security Inc. Tous droits réservés. Copyright © Ordinal Technology Corp. Tous droits réservés. Copyright © Aandacht c.v. Tous droits réservés. Copyright Genivia, Inc. Tous droits réservés. Copyright Isomorphic Software. Tous droits réservés. Copyright © Meta Integration Technology, Inc. Tous droits réservés. Copyright © Intalio. Tous droits réservés. Copyright © Oracle. Tous droits réservés. Copyright © Adobe Systems Incorporated. Tous droits réservés. Copyright © DataArt, Inc. Tous droits réservés. Copyright © ComponentSource. Tous droits réservés. Copyright © Microsoft Corporation. Tous droits réservés. Copyright © Rogue Wave Software, Inc. Tous droits réservés. Copyright © Teradata Corporation. Tous droits réservés. Copyright © Yahoo! Inc. Tous droits réservés. Copyright © Glyph & Cog, LLC. Tous droits réservés. Copyright © Thinkmap, Inc. Tous droits réservés. Copyright © Clearpace Software Limited. Tous droits réservés. Copyright © Information Builders, Inc. Tous droits réservés. Copyright © OSS Nokalva, Inc. Tous droits réservés. Copyright Edifecs, Inc. Tous droits réservés. Copyright Cleo Communications, Inc. Tous droits réservés. Copyright © International Organization for Standardization 1986. Tous droits réservés. Copyright © ej-technologies GmbH. Tous droits réservés. Copyright © JasperSoft Corporation. Tous droits réservés. Copyright © International Business Machines Corporation. Tous droits réservés. Copyright © yWorks GmbH. Tous droits réservés. Copyright © Lucent Technologies. Tous droits réservés. Copyright © Université de Toronto. Tous droits réservés. Copyright © Daniel Veillard. Tous droits réservés. Copyright © Unicode, Inc. Copyright IBM Corp. Tous droits réservés. Copyright © MicroQuill Software Publishing, Inc. Tous droits réservés. Copyright © PassMark Software Pty Ltd. Tous droits réservés. Copyright © LogiXML, Inc. Tous droits réservés. Copyright © 2003-2010 Lorenzi Davide. Tous droits réservés. Copyright © Red Hat, Inc. Tous droits réservés. Copyright © The Board of Trustees of the Leland Stanford Junior University. Tous droits réservés. Copyright © EMC Corporation. Tous droits réservés. Copyright ©

Flexera Software. Tous droits réservés. Copyright © Jinfonet Software. Tous droits réservés. Copyright © Apple Inc. Tous droits réservés. Copyright © Telerik Inc. Tous droits réservés. Copyright © BEA Systems. Tous droits réservés. Copyright © PDFlib GmbH. Tous droits réservés. Copyright © Orientation in Objects GmbH. Tous droits réservés. Copyright © Tanuki Software, Ltd. Tous droits réservés. Copyright © Ricebridge. Tous droits réservés. Copyright © Sencha, Inc. Tous droits réservés.

Ce produit inclut des logiciels développés par Apache Software Foundation (http://www.apache.org/), et/ou d'autres logiciels sous licence et sous diverses versions Apache License (la « Licence »). Vous pouvez obtenir une copie de ces licences à l'adresse suivante : http://www.apache.org/licenses/. Sauf dispositions contraires de la loi en vigueur ou accord écrit, le logiciel distribué sous cette licence est livré « EN L’ÉTAT », SANS GARANTIE NI CONDITION D’AUCUNE SORTE, expresse ou implicite. Se reporter aux Licences pour la langue spécifique régissant les droits et limitations dans le cadre des Licences.

Ce produit inclut des logiciels développés par Mozilla (http://www.mozilla.org/), copyright de logiciel The JBoss Group, LLC, tous droits réservés ; copyright de logiciel ©

1999-2006 de Bruno Lowagie et Paulo Soares et d'autres logiciels sous licence et sous diverses versions du GNU Lesser General Public License Agreement, accessible sur http:// www.gnu.org/licenses/lgpl.html. Les matériaux sont fournis gratuitement par Informatica, « en l'état », sans garantie d'aucune sorte, expresse ou implicite, notamment les garanties implicites de conformité légale et d'usage normal.

Le produit inclut les logiciels ACE(TM) et TAO(TM), copyright Douglas C. Schmidt et son groupe de recherche à Washington University, University of California, Irvine, et Vanderbilt University, Copyright (©) 1993-2006, tous droits réservés.

Ce produit inclut des logiciels développés par OpenSSL Project pour une utilisation dans OpenSSL Toolkit (copyright The OpenSSL Project. Tous droits réservés) et la redistribution de ce logiciel est sujette aux termes publiés sur http://www.openssl.org et http://www.openssl.org/source/license.html.

Ce produit inclut le logiciel Curl, copyright 1996-2013, Daniel Stenberg, <[email protected]>. Tous Droits Réservés. Les autorisations et limitations concernant ce logiciel sont sujettes aux conditions publiées sur http://curl.haxx.se/docs/copyright.html. L'autorisation d'utiliser, copier, modifier et distribuer ce logiciel à toute fin, avec ou sans rémunération, est accordée par les présentes, à la condition que la notification de copyright ci-dessus et cette notification d'autorisation apparaissent dans toutes les copies.

Le produit inclut des logiciels sous copyright 2001-2005 (©) MetaStuff, Ltd. Tous droits réservés. Les autorisations et limitations concernant ce logiciel sont sujettes aux conditions publiées sur http://www.dom4j.org/ license.html.

Le produit inclut des logiciels sous copyright © 2004-2007, The Dojo Foundation. Tous Droits Réservés. Les autorisations et limitations concernant ce logiciel sont sujettes aux conditions publiées sur http://dojotoolkit.org/license.

Ce produit inclut le logiciel ICU sous copyright de International Business Machines Corporation et autres. Tous Droits Réservés. Les autorisations et limitations concernant ce logiciel sont sujettes aux conditions publiées sur http://source.icu-project.org/repos/icu/icu/trunk/license.html.

Ce produit inclut des logiciels sous copyright © 1996-2006 Per Bothner. Tous Droits Réservés. Votre droit à utiliser de tels matériels est défini dans la licence qui peut être consultée sur http://www.gnu.org/software/ kawa/Software-License.html.

Ce produit inclut le logiciel OSSP UUID sous copyright © 2002 Ralf S. Engelschall, copyright © 2002 The OSSP Project Copyright © 2002 Cable & Wireless Deutschland. Les autorisations et limitations concernant ce logiciel sont sujettes aux conditions publiées sur http://www.opensource.org/licenses/mit-license.php.

Ce produit inclut des logiciels développés par Boost (http://www.boost.org/) ou sous licence de logiciel Boost. Les autorisations et limitations concernant ce logiciel sont sujettes aux conditions publiées sur http://www.boost.org/LICENSE_1_0.txt.

Ce produit inclut des logiciels sous copyright © 1997-2007 University of Cambridge. Les autorisations et limitations concernant ce logiciel sont sujettes aux conditions publiées sur http://www.pcre.org/license.txt.

Ce produit inclut des logiciels sous copyright © 2007 The Eclipse Foundation. Tous Droits Réservés. Les autorisations et limitations concernant ce logiciel sont sujettes aux conditions publiées sur http://www.eclipse.org/org/documents/epl-v10.php et http://www.eclipse.org/org/documents/edl-v10.php.

Ce produit comprend des logiciels sous licence dont les conditions se trouvent aux adresses : http://www.tcl.tk/software/tcltk/license.html, http://www.bosrup.com/web/overlib/?License, http://www.stlport.org/doc/ license.html, http://asm.ow2.org/license.html, http://www.cryptix.org/LICENSE.TXT, http://hsqldb.org/web/hsqlLicense.html, http://httpunit.sourceforge.net/doc/ license.html, http://jung.sourceforge.net/license.txt , http://www.gzip.org/zlib/zlib_license.html, http://www.openldap.org/software/release/license.html, http://www.libssh2.org, http://slf4j.org/license.html, http://www.sente.ch/software/OpenSourceLicense.html, http://fusesource.com/downloads/license-agreements/fuse-message-broker-v-5-3- license-agreement ; http://antlr.org/license.html ; http://aopalliance.sourceforge.net/ ; http://www.bouncycastle.org/licence.html ; http://www.jgraph.com/jgraphdownload.html ; http://www.jcraft.com/jsch/LICENSE.txt ; http://jotm.objectweb.org/bsd_license.html ; http://www.w3.org/Consortium/Legal/2002/copyright-software-20021231 ; http://www.slf4j.org/license.html ; http://nanoxml.sourceforge.net/orig/copyright.html ; http://www.json.org/license.html ; http://forge.ow2.org/projects/javaservice/ ; http://www.postgresql.org/about/licence.html ; http://www.sqlite.org/copyright.html ; http://www.tcl.tk/software/tcltk/license.html ; http://www.jaxen.org/faq.html ; http://www.jdom.org/docs/faq.html ; http://www.slf4j.org/license.html ; http://www.iodbc.org/dataspace/iodbc/wiki/iODBC/License ; http://www.keplerproject.org/md5/license.html ; http://www.toedter.com/en/jcalendar/license.html ; http://www.edankert.com/bounce/index.html ; http://www.net-snmp.org/about/license.html ; http://www.openmdx.org/#FAQ ; http://www.php.net/license/3_01.txt ; http://srp.stanford.edu/license.txt ; http://www.schneier.com/blowfish.html ; http://www.jmock.org/license.html ; http://xsom.java.net ; http://benalman.com/about/license/ ; https://github.com/CreateJS/EaselJS/blob/master/src/easeljs/display/Bitmap.js ; http://www.h2database.com/html/license.html#summary ; http://jsoncpp.sourceforge.net/LICENSE ; http://jdbc.postgresql.org/license.html ; http://protobuf.googlecode.com/svn/trunk/src/google/protobuf/descriptor.proto ; https://github.com/rantav/hector/blob/master/LICENSE ; http://web.mit.edu/Kerberos/krb5-current/doc/mitK5license.html. et http://jibx.sourceforge.net/jibx-license.html.

Ce produit inclut un logiciel sous licence Academic Free License (http://www.opensource.org/licenses/afl-3.0.php), licence Common Development Distribution License (http://www.opensource.org/licenses/cddl1.php) licence Common Public License (http://www.opensource.org/licenses/cpl1.0.php), licence Sun Binary Code License Agreement Supplemental License Terms, licence BSD (http://www.opensource.org/licenses/bsd-license.php), le nouvelle licence BSD License (http://opensource.org/licenses/BSD-3-Clause), la licence MIT (http://www.opensource.org/licenses/mit-license.php), la licence Artistic License (http://www.opensource.org/licenses/artistic-license-1.0) et la licence publique du développeur initial Version 1.0 (http://www.firebirdsql.org/en/initial-developer-s-public-license-version-1-0/).

Ce produit inclut des logiciels sous copyright © 2003-2006 Joe Walnes, 2006-2007 XStream Committers. Tous Droits Réservés. Les autorisations et limitations concernant ce logiciel sont sujettes aux conditions publiées sur http://xstream.codehaus.org/license.html. Ce produit inclut des logiciels développés par Indiana University Extreme! Lab. Pour plus d'informations, veuillez vous rendre sur http://www.extreme.indiana.edu/.

Ce produit inclut des logiciels sous copyright © 2013 Frank Balluffi et Markus Moeller. Tous droits réservés. Les autorisations et limitations concernant ce logiciel sont sujettes aux conditions de la licence MIT.

Ce logiciel est protégé par des brevets américains (5,794,246; 6,014,670; 6,016,501; 6,029,178; 6,032,158; 6,035,307; 6,044,374; 6,092,086; 6,208,990; 6,339,775; 6,640,226; 6,789,096; 6,823,373; 6,850,947; 6,895,471; 7,117,215; 7,162,643; 7,243,110; 7,254,590; 7,281,001; 7,421,458; 7,496,588; 7,523,121; 7,584,422; 7,676,516; 7,720,842; 7,721,270; 7,774,791; 8,065,266; 8,150,803; 8,166,048; 8,166,071; 8,200,622; 8,224,873; 8,271,477; 8,327,419; 8,386,435; 8,392,460; 8,453,159; 8,458,230; et RE44,478), des brevets internationaux ainsi que par d'autres brevets en attente.

EXCLUSION DE RESPONSABILITÉ : Informatica Corporation fournit cette documentation « en l'état », sans garantie d'aucune sorte, explicite ou implicite, notamment les garanties implicites de non-infraction, de conformité légale ou d'usage normal. Informatica Corporation ne garantit pas que ce logiciel et cette documentation sont exempts d’erreurs. Les informations fournies dans ce logiciel ou cette documentation peuvent inclure des inexactitudes techniques ou des erreurs typographiques. Les informations contenues dans ce logiciel et sa documentation sont sujettes à modification à tout moment sans préavis.

AVIS

Ce produit Informatica (le « Logiciel ») inclut certains pilotes (les « Pilotes DataDirect ») de DataDirect Technologies, une société de Progress Software Corporation (« DataDirect ») qui sont sujets aux conditions suivantes :

1.LES PILOTES DATADIRECT SONT FOURNIS « EN L'ÉTAT », SANS GARANTIE D'AUCUNE SORTE, EXPRESSE OU IMPLICITE, NOTAMMENT LES GARANTIES IMPLICITES DE CONFORMITÉ LÉGALE, D'USAGE NORMAL ET DE NON-INFRACTION.

2.DATADIRECT OU SES FOURNISSEURS TIERS NE POURRONT EN AUCUN CAS ÊTRE TENUS RESPONSABLES ENVERS LE CLIENT UTILISATEUR FINAL DE TOUT DOMMAGE DIRECT, ACCESSOIRE, INDIRECT, SPÉCIAL, CONSÉCUTIF OU AUTRE RÉSULTANT DE L’UTILISATION DES PILOTES ODBC, QU’ILS SOIENT INFORMÉS OU NON À L’AVANCE DE LA POSSIBILITÉ DE TELS DOMMAGES. CES LIMITATIONS S’APPLIQUENT À TOUTES LES CAUSES D’ACTION, NOTAMMENT TOUTE INFRACTION AU CONTRAT, INFRACTION À LA GARANTIE, NÉGLIGENCE, RESPONSABILITÉ STRICTE, REPRÉSENTATION INCORRECTE ET AUTRES TORTS.

Ce logiciel et sa documentation contiennent des informations appartenant à Informatica Corporation, protégées par la loi sur le droit d'auteur et fournies dans le cadre d'un accord de licence prévoyant des restrictions d'utilisation et de divulgation. Toute ingénierie inverse du logiciel est interdite. Il est interdit de reproduire ou transmettre sous quelque forme et par quelque moyen que ce soit (électronique, photocopie, enregistrement ou autre) tout ou partie de ce document sans le consentement préalable d'Informatica Corporation. Ce logiciel peut être protégé par des brevets américains et/ou internationaux, ainsi que par d'autres brevets en attente.

L'utilisation, la duplication ou la divulgation du Logiciel par le gouvernement américain est sujette aux restrictions décrites dans l'accord de licence applicable du logiciel conformément aux documents DFARS 227.7202-1(a) et 227.7702-3(a) (1995), DFARS 252.227-7013©(1)(ii) (OCT 1988), FAR 12.212(a) (1995), FAR 52.227-19 ou FAR 52.227-14 (ALT III) le cas échéant.

Les informations dans ce produit ou cette documentation sont sujettes à modification sans préavis. Si vous rencontrez des problèmes dans ce produit ou la documentation, veuillez nous en informer par écrit.

Informatica, Informatica Platform, Informatica Data Services, PowerCenter, PowerCenterRT, PowerCenter Connect, PowerCenter Data Analyzer, PowerExchange, PowerMart, Metadata Manager, Informatica Data Quality, Informatica Data Explorer, Informatica B2B Data Transformation, Informatica B2B Data Exchange Informatica On Demand, Informatica Identity Resolution, Informatica Application Information Lifecycle Management, Informatica Complex Event Processing, Ultra Messaging et Informatica Master Data Management sont des marques de commerce ou des marques déposées d'Informatica Corporation aux États-Unis et dans d'autres juridictions du monde. Tous les autres noms de société ou de produit peuvent être des marques de commerce ou des marques déposées de leurs détenteurs respectifs.

Des portions de ce logiciel et/ou de la documentation sont sujettes au copyright détenu par des tierces parties, y compris et sans limitation, Copyright DataDirect Technologies. Tous droits réservés. Copyright © Sun Microsystems. Tous droits réservés. Copyright © RSA Security Inc. Tous droits réservés. Copyright © Ordinal Technology Corp. Tous droits réservés. Copyright © Aandacht c.v. Tous droits réservés. Copyright Genivia, Inc. Tous droits réservés. Copyright Isomorphic Software. Tous droits réservés. Copyright © Meta Integration Technology, Inc. Tous droits réservés. Copyright © Intalio. Tous droits réservés. Copyright © Oracle. Tous droits réservés. Copyright © Adobe Systems Incorporated. Tous droits réservés. Copyright © DataArt, Inc. Tous droits réservés. Copyright © ComponentSource. Tous droits réservés. Copyright © Microsoft Corporation. Tous droits réservés. Copyright © Rogue Wave Software, Inc. Tous droits réservés. Copyright © Teradata Corporation. Tous droits réservés. Copyright © Yahoo! Inc. Tous droits réservés. Copyright © Glyph & Cog, LLC. Tous droits réservés. Copyright © Thinkmap, Inc. Tous droits réservés. Copyright © Clearpace Software Limited. Tous droits réservés. Copyright © Information Builders, Inc. Tous droits réservés. Copyright © OSS Nokalva, Inc. Tous droits réservés. Copyright Edifecs, Inc. Tous droits réservés. Copyright Cleo Communications, Inc. Tous droits réservés. Copyright © International Organization for Standardization 1986. Tous droits réservés. Copyright © ej-technologies GmbH. Tous droits réservés. Copyright © JasperSoft Corporation. Tous droits réservés. Copyright © International Business Machines Corporation. Tous droits réservés. Copyright © yWorks GmbH. Tous droits réservés. Copyright © Lucent Technologies. Tous droits réservés. Copyright © Université de Toronto. Tous droits réservés. Copyright © Daniel Veillard. Tous droits réservés. Copyright © Unicode, Inc. Copyright IBM Corp. Tous droits réservés. Copyright © MicroQuill Software Publishing, Inc. Tous droits réservés. Copyright © PassMark Software Pty Ltd. Tous droits réservés. Copyright © LogiXML, Inc. Tous droits réservés. Copyright © 2003-2010 Lorenzi Davide. Tous droits réservés. Copyright © Red Hat, Inc. Tous droits réservés. Copyright © The Board of Trustees of the Leland Stanford Junior University. Tous droits réservés. Copyright © EMC Corporation. Tous droits réservés. Copyright ©

Flexera Software. Tous droits réservés. Copyright © Jinfonet Software. Tous droits réservés. Copyright © Apple Inc. Tous droits réservés. Copyright © Telerik Inc. Tous droits réservés. Copyright © BEA Systems. Tous droits réservés. Copyright © PDFlib GmbH. Tous droits réservés. Copyright © Orientation in Objects GmbH. Tous droits réservés. Copyright © Tanuki Software, Ltd. Tous droits réservés. Copyright © Ricebridge. Tous droits réservés. Copyright © Sencha, Inc. Tous droits réservés.

Ce produit inclut des logiciels développés par Apache Software Foundation (http://www.apache.org/), et/ou d'autres logiciels sous licence et sous diverses versions Apache License (la « Licence »). Vous pouvez obtenir une copie de ces licences à l'adresse suivante : http://www.apache.org/licenses/. Sauf dispositions contraires de la loi en vigueur ou accord écrit, le logiciel distribué sous cette licence est livré « EN L’ÉTAT », SANS GARANTIE NI CONDITION D’AUCUNE SORTE, expresse ou implicite. Se reporter aux Licences pour la langue spécifique régissant les droits et limitations dans le cadre des Licences.

Ce produit inclut des logiciels développés par Mozilla (http://www.mozilla.org/), copyright de logiciel The JBoss Group, LLC, tous droits réservés ; copyright de logiciel ©

1999-2006 de Bruno Lowagie et Paulo Soares et d'autres logiciels sous licence et sous diverses versions du GNU Lesser General Public License Agreement, accessible sur http:// www.gnu.org/licenses/lgpl.html. Les matériaux sont fournis gratuitement par Informatica, « en l'état », sans garantie d'aucune sorte, expresse ou implicite, notamment les garanties implicites de conformité légale et d'usage normal.

Le produit inclut les logiciels ACE(TM) et TAO(TM), copyright Douglas C. Schmidt et son groupe de recherche à Washington University, University of California, Irvine, et Vanderbilt University, Copyright (©) 1993-2006, tous droits réservés.

Ce produit inclut des logiciels développés par OpenSSL Project pour une utilisation dans OpenSSL Toolkit (copyright The OpenSSL Project. Tous droits réservés) et la redistribution de ce logiciel est sujette aux termes publiés sur http://www.openssl.org et http://www.openssl.org/source/license.html.

Ce produit inclut le logiciel Curl, copyright 1996-2013, Daniel Stenberg, <[email protected]>. Tous Droits Réservés. Les autorisations et limitations concernant ce logiciel sont sujettes aux conditions publiées sur http://curl.haxx.se/docs/copyright.html. L'autorisation d'utiliser, copier, modifier et distribuer ce logiciel à toute fin, avec ou sans rémunération, est accordée par les présentes, à la condition que la notification de copyright ci-dessus et cette notification d'autorisation apparaissent dans toutes les copies.

Le produit inclut des logiciels sous copyright 2001-2005 (©) MetaStuff, Ltd. Tous droits réservés. Les autorisations et limitations concernant ce logiciel sont sujettes aux conditions publiées sur http://www.dom4j.org/ license.html.

Le produit inclut des logiciels sous copyright © 2004-2007, The Dojo Foundation. Tous Droits Réservés. Les autorisations et limitations concernant ce logiciel sont sujettes aux conditions publiées sur http://dojotoolkit.org/license.

Ce produit inclut le logiciel ICU sous copyright de International Business Machines Corporation et autres. Tous Droits Réservés. Les autorisations et limitations concernant ce logiciel sont sujettes aux conditions publiées sur http://source.icu-project.org/repos/icu/icu/trunk/license.html.

Ce produit inclut des logiciels sous copyright © 1996-2006 Per Bothner. Tous Droits Réservés. Votre droit à utiliser de tels matériels est défini dans la licence qui peut être consultée sur http://www.gnu.org/software/ kawa/Software-License.html.

Ce produit inclut le logiciel OSSP UUID sous copyright © 2002 Ralf S. Engelschall, copyright © 2002 The OSSP Project Copyright © 2002 Cable & Wireless Deutschland. Les autorisations et limitations concernant ce logiciel sont sujettes aux conditions publiées sur http://www.opensource.org/licenses/mit-license.php.

Ce produit inclut des logiciels développés par Boost (http://www.boost.org/) ou sous licence de logiciel Boost. Les autorisations et limitations concernant ce logiciel sont sujettes aux conditions publiées sur http://www.boost.org/LICENSE_1_0.txt.

Ce produit inclut des logiciels sous copyright © 1997-2007 University of Cambridge. Les autorisations et limitations concernant ce logiciel sont sujettes aux conditions publiées sur http://www.pcre.org/license.txt.

Ce produit inclut des logiciels sous copyright © 2007 The Eclipse Foundation. Tous Droits Réservés. Les autorisations et limitations concernant ce logiciel sont sujettes aux conditions publiées sur http://www.eclipse.org/org/documents/epl-v10.php et http://www.eclipse.org/org/documents/edl-v10.php.

Ce produit comprend des logiciels sous licence dont les conditions se trouvent aux adresses : http://www.tcl.tk/software/tcltk/license.html, http://www.bosrup.com/web/overlib/?License, http://www.stlport.org/doc/ license.html, http://asm.ow2.org/license.html, http://www.cryptix.org/LICENSE.TXT, http://hsqldb.org/web/hsqlLicense.html, http://httpunit.sourceforge.net/doc/ license.html, http://jung.sourceforge.net/license.txt , http://www.gzip.org/zlib/zlib_license.html, http://www.openldap.org/software/release/license.html, http://www.libssh2.org, http://slf4j.org/license.html, http://www.sente.ch/software/OpenSourceLicense.html, http://fusesource.com/downloads/license-agreements/fuse-message-broker-v-5-3- license-agreement ; http://antlr.org/license.html ; http://aopalliance.sourceforge.net/ ; http://www.bouncycastle.org/licence.html ; http://www.jgraph.com/jgraphdownload.html ; http://www.jcraft.com/jsch/LICENSE.txt ; http://jotm.objectweb.org/bsd_license.html ; http://www.w3.org/Consortium/Legal/2002/copyright-software-20021231 ; http://www.slf4j.org/license.html ; http://nanoxml.sourceforge.net/orig/copyright.html ; http://www.json.org/license.html ; http://forge.ow2.org/projects/javaservice/ ; http://www.postgresql.org/about/licence.html ; http://www.sqlite.org/copyright.html ; http://www.tcl.tk/software/tcltk/license.html ; http://www.jaxen.org/faq.html ; http://www.jdom.org/docs/faq.html ; http://www.slf4j.org/license.html ; http://www.iodbc.org/dataspace/iodbc/wiki/iODBC/License ; http://www.keplerproject.org/md5/license.html ; http://www.toedter.com/en/jcalendar/license.html ; http://www.edankert.com/bounce/index.html ; http://www.net-snmp.org/about/license.html ; http://www.openmdx.org/#FAQ ; http://www.php.net/license/3_01.txt ; http://srp.stanford.edu/license.txt ; http://www.schneier.com/blowfish.html ; http://www.jmock.org/license.html ; http://xsom.java.net ; http://benalman.com/about/license/ ; https://github.com/CreateJS/EaselJS/blob/master/src/easeljs/display/Bitmap.js ; http://www.h2database.com/html/license.html#summary ; http://jsoncpp.sourceforge.net/LICENSE ; http://jdbc.postgresql.org/license.html ; http://protobuf.googlecode.com/svn/trunk/src/google/protobuf/descriptor.proto ; https://github.com/rantav/hector/blob/master/LICENSE ; http://web.mit.edu/Kerberos/krb5-current/doc/mitK5license.html. et http://jibx.sourceforge.net/jibx-license.html.

Ce produit inclut un logiciel sous licence Academic Free License (http://www.opensource.org/licenses/afl-3.0.php), licence Common Development Distribution License (http://www.opensource.org/licenses/cddl1.php) licence Common Public License (http://www.opensource.org/licenses/cpl1.0.php), licence Sun Binary Code License Agreement Supplemental License Terms, licence BSD (http://www.opensource.org/licenses/bsd-license.php), le nouvelle licence BSD License (http://opensource.org/licenses/BSD-3-Clause), la licence MIT (http://www.opensource.org/licenses/mit-license.php), la licence Artistic License (http://www.opensource.org/licenses/artistic-license-1.0) et la licence publique du développeur initial Version 1.0 (http://www.firebirdsql.org/en/initial-developer-s-public-license-version-1-0/).

Ce produit inclut des logiciels sous copyright © 2003-2006 Joe Walnes, 2006-2007 XStream Committers. Tous Droits Réservés. Les autorisations et limitations concernant ce logiciel sont sujettes aux conditions publiées sur http://xstream.codehaus.org/license.html. Ce produit inclut des logiciels développés par Indiana University Extreme! Lab. Pour plus d'informations, veuillez vous rendre sur http://www.extreme.indiana.edu/.

Ce produit inclut des logiciels sous copyright © 2013 Frank Balluffi et Markus Moeller. Tous droits réservés. Les autorisations et limitations concernant ce logiciel sont sujettes aux conditions de la licence MIT.

Ce logiciel est protégé par des brevets américains (5,794,246; 6,014,670; 6,016,501; 6,029,178; 6,032,158; 6,035,307; 6,044,374; 6,092,086; 6,208,990; 6,339,775; 6,640,226; 6,789,096; 6,823,373; 6,850,947; 6,895,471; 7,117,215; 7,162,643; 7,243,110; 7,254,590; 7,281,001; 7,421,458; 7,496,588; 7,523,121; 7,584,422; 7,676,516; 7,720,842; 7,721,270; 7,774,791; 8,065,266; 8,150,803; 8,166,048; 8,166,071; 8,200,622; 8,224,873; 8,271,477; 8,327,419; 8,386,435; 8,392,460; 8,453,159; 8,458,230; et RE44,478), des brevets internationaux ainsi que par d'autres brevets en attente.

EXCLUSION DE RESPONSABILITÉ : Informatica Corporation fournit cette documentation « en l'état », sans garantie d'aucune sorte, explicite ou implicite, notamment les garanties implicites de non-infraction, de conformité légale ou d'usage normal. Informatica Corporation ne garantit pas que ce logiciel et cette documentation sont exempts d’erreurs. Les informations fournies dans ce logiciel ou cette documentation peuvent inclure des inexactitudes techniques ou des erreurs typographiques. Les informations contenues dans ce logiciel et sa documentation sont sujettes à modification à tout moment sans préavis.

AVIS

Ce produit Informatica (le « Logiciel ») inclut certains pilotes (les « Pilotes DataDirect ») de DataDirect Technologies, une société de Progress Software Corporation (« DataDirect ») qui sont sujets aux conditions suivantes :

1. LES PILOTES DATADIRECT SONT FOURNIS « EN L'ÉTAT », SANS GARANTIE D'AUCUNE SORTE, EXPRESSE OU IMPLICITE, NOTAMMENT LES GARANTIES IMPLICITES DE CONFORMITÉ LÉGALE, D'USAGE NORMAL ET DE NON-INFRACTION.

2. DATADIRECT OU SES FOURNISSEURS TIERS NE POURRONT EN AUCUN CAS ÊTRE TENUS RESPONSABLES ENVERS LE CLIENT UTILISATEUR FINAL DE TOUT DOMMAGE DIRECT, ACCESSOIRE, INDIRECT, SPÉCIAL, CONSÉCUTIF OU AUTRE RÉSULTANT DE L’UTILISATION DES PILOTES ODBC, QU’ILS SOIENT INFORMÉS OU NON À L’AVANCE DE LA POSSIBILITÉ DE TELS DOMMAGES. CES LIMITATIONS S’APPLIQUENT À TOUTES LES CAUSES D’ACTION, NOTAMMENT TOUTE INFRACTION AU CONTRAT, INFRACTION À LA GARANTIE, NÉGLIGENCE, RESPONSABILITÉ STRICTE, REPRÉSENTATION INCORRECTE ET AUTRES TORTS.

Numéro de référence : DS-DSG-96000-0001

Sommaire

Préface. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . vRessources Informatica. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . v

Portail Mon support Informatica. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . v

Documentation Informatica. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . v

Site Web Informatica. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . v

Bibliothèque de procédures Informatica. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . vi

Base de connaissances Informatica. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . vi

Canal YouTube du support Informatica. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . vi

Informatica Marketplace. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . vi

Informatica Velocity. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . vi

Support client international Informatica. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . vi

Chapitre 1: Introduction aux services de données SQL. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1Présentation des services de données SQL. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1

Exemple de service de données SQL. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1

Chapitre 2: Données virtuelles. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 3Présentation des données virtuelles. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 3

Services de données SQL. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 4

Définition d'un service de données SQL. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 4

Création d'un service de données SQL. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 4

Tables virtuelles. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 5

Méthodes d'accès aux données. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 6

Création d'une table virtuelle à partir d'un objet de données. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 6

Création manuelle d'une table virtuelle. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 7

Définition des relations entre tables virtuelles. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 7

Exécution d'une requête SQL pour prévisualiser les données. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 7

Tables temporaires. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 8

Opérations de tables temporaires. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 8

Règles et instructions pour les tables temporaires. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 9

Mappages de table virtuelle. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 10

Définition d'un mappage de table virtuelle. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 11

Création d'un mappage de table virtuelle. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 11

Validation d'un mappage de table virtuelle. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 11

Prévisualisation des résultats de mappage de table virtuelle. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 12

Procédures virtuelles stockées. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 12

Définition d'une procédure virtuelle stockée. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 13

Création d'une procédure virtuelle stockée. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 13

Validation d'une procédure virtuelle stockée. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 14

Prévisualisation des résultats de procédure virtuelle stockée. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 14

Sommaire i

Plan de requête SQL. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 14

Optimisation du plan de requête SQL. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 15

Exemples d'optimisation du plan de requête SQL. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 15

Consultation d'un plan de requête SQL. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 16

Chapitre 3: Requêtes du service de données SQL. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 18Présentation des requêtes du service de données SQL. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 18

Types de données. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 19

Opérateurs. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 19

Fonctions. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 20

Instructions et mots clés SQL. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 28

Requêtes. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 29

Sous-requêtes non corrélées. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 29

Sous-requêtes corrélées. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 29

Requêtes paramétrables. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 31

Mots réservés. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 31

Syntaxe d'échappement. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 31

Syntaxe d'échappement pour le mot-clé fn. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 32

Résolution de problèmes de services de données SQL. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 34

Chapitre 4: Connexions du service de données SQL. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 36Présentation des connexions du service de données SQL. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 36

Chapitre 5: Configuration de machine cliente. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 37Présentation de la configuration de machine cliente. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 37

Configuration requise de la machine client. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 37

Mise en cache de l'ensemble des résultats. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 38

Connexions client JDBC. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 38

Installation du pilote JDBC Informatica. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 39

Mise à jour de CLASSPATH. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 39

Connexion au service de données SQL. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 39

Résolution de problèmes de connexion JDBC. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 39

Connexions client ODBC sous Windows. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 40

Installation ou mise à niveau du pilote ODBC des services de données Informatica sous Windows. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 40

Configuration du pilote ODBC d'Informatica Data Services pour PowerCenter. . . . . . . . . . . . 41

Configuration du pilote ODBC d'Informatica Data Services 9.6.0. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 42


Connexions client ODBC sous UNIX. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 44

Installation ou mise à niveau du pilote ODBC des services de données Informatica sous UNIX. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 45

Configuration du pilote ODBC des services de données Informatica pour PowerCenter. . . . . . 46

Configuration du pilote ODBC Services de données Informatica 9.5.1. . . . . . . . . . . . . . . . . 47

ii Sommaire


Résolution de problèmes de connexion ODBC pour PowerCenter. . . . . . . . . . . . . . . . . . . 48

Chapitre 6: Configuration d'outil client tiers. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 49Présentation de la configuration d'outils client tiers. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 49

Configuration BusinessObjects. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 50

Configuration IBM Cognos. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 50

Étape 1. Mettre à jour le fichier de configuration IBM Cognos. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 51

Étape 2. Créer la connexion ODBC et importer les métadonnées. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 52

Configuration MicroStrategy. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 52

Étape 1. Créer l'instance et la connexion de base de données. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 53

Étape 2. Configurer les options de génération SQL. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 54

Configuration d'Oracle Business Intelligence Enterprise Edition 11g. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 54

Configuration QlikView. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 55

Configuration de SQL Server Business Intelligence Development Studio. . . . . . . . . . . . . . . . . . 55

Configuration du client SQuirreL SQL. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 56

Étape 1. Copier le fichier du pilote. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 57

Étape 2. Créez le pilote et l'alias. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 57

Configuration de Tableau. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 58

Configuration Toad for Data Analysts. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 59

Configuration WinSQL. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 60

Dépannage d'outils clients tiers. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 61

Chapitre 7: Intégration de Informatica Data Director. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 62Présentation de l'intégration Informatica Data Director. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 62

Exemple d'intégration Informatica Data Director. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 63

Tâches du développeur de service de données. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 64

Tâches de l'administrateur du domaine. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 65

Tâches de l'administrateur du Hub MDM Informatica. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 65

Mappages de table virtuelle. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 66

Configuration de la sécurité pour la table virtuelle de l'onglet personnalisé. . . . . . . . . . . . . . . . . 66

Mises à jour du fichier de configuration. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 67

Exemple de fichier de configuration. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 67

Attributs d'élément externalLinkChild. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 68

Attributs d'élément externalLink. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 68

Paramètres d'élément externalLink. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 69

Règles et instructions pour le filtre IDS_WHERE. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 70

Chapitre 8: Administration des services de données SQL. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 72Gestion de la sécurité du service de données SQL. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 72

Types d'autorisations de service de données SQL. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 73

Sécurité au niveau des colonnes. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 73

Sécurité au niveau des lignes. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 74

Sommaire iii

Sécurité d'intercommunication. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 74

Configuration des propriétés du service de données SQL . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 75

Propriétés du service de données SQL. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 76

Propriétés SQL. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 78

Propriétés de tables virtuelles. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 78

Propriétés des colonnes virtuelles. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 79

Propriétés des procédures stockées virtuelles. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 79

Objets de données logiques. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 79

Propriétés de cache d'objet de données logique/de table virtuelle . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 80

Cache de l'ensemble des résultats du service de données SQL. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 81

Mise en cache de l'objet de données. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 82

Journaux de service de données SQL. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 82

Surveillance des services de données SQL. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 83

Index. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 84

iv Sommaire

PréfaceLe Guide des services de données SQL Informatica traite des services de données SQL, des données virtuelles, de la configuration, de la connexion à un service de données SQL avec un outil tiers et du dépannage. Il fournit également des instructions sur ces concepts. Ce guide est destiné aux développeurs de services de données. Il suppose que vous avez une compréhension des fichiers plats et des bases de données relationnelles dans votre environnement.

Ressources Informatica

Portail Mon support InformaticaEn tant que client Informatica, vous pouvez accéder au portail Mon support Informatica sur http://mysupport.informatica.com.

Ce site contient des informations sur les produits et les groupes d’utilisateurs, des bulletins d’information, un lien vers le système de gestion des dossiers d’assistance à la clientèle d’Informatica (ATLAS), une bibliothèque de procédures Informatica, une base de connaissances Informatica, ainsi que la documentation nécessaire sur les produits Informatica et l’accès à sa communauté d’utilisateurs.

Documentation InformaticaL’équipe Documentation d’Informatica s’efforce de fournir une documentation précise et utilisable. N’hésitez pas à contacter l’équipe Documentation d’Informatica par courriel à l’adresse [email protected] pour lui faire part de vos questions, commentaires ou suggestions concernant cette documentation. Ces commentaires et suggestions nous permettront d’améliorer notre documentation. Veuillez préciser si vous acceptez d’être contacté au sujet de ces commentaires.

L’équipe Documentation met à jour la documentation chaque fois que nécessaire. Pour obtenir la toute dernière version de la documentation concernant votre produit, consultez la Documentation de produit sur http://mysupport.informatica.com.

Site Web InformaticaVous pouvez accéder au site Web d’entreprise Informatica sur http://www.informatica.com. Le site contient des informations sur Informatica, son expertise, les événements à venir et les bureaux de vente. Vous y trouverez aussi des informations sur ses produits et ses partenaires. Les rubriques de service du site fournissent des informations importantes sur le support technique, la formation et l’éducation, ainsi que les services d’implémentation.

v

http://mysupport.informatica.com

mailto:[email protected]


http://www.informatica.com

Bibliothèque de procédures InformaticaEn tant que client Informatica, vous avez accès à la bibliothèque de procédures Informatica sur http://mysupport.informatica.com La bibliothèque de procédures Informatica est une collection de ressources destinée à vous familiariser avec les produits Informatica et leurs fonctionnalités. Elle regroupe des articles et des démonstrations interactives qui permettent de résoudre des problèmes courants et de comparer les fonctionnalités et les comportements, et qui vous guident lors de la réalisation de tâches concrètes spécifiques.

Base de connaissances InformaticaEn tant que client Informatica, vous avez accès à la base de connaissances Informatica sur http://mysupport.informatica.com Utilisez la base de connaissances pour rechercher des solutions documentées aux problèmes techniques connus concernant les produits Informatica. Vous y trouverez également la réponse aux questions les plus fréquentes, des livres blancs et des conseils techniques. N’hésitez pas à contacter l’équipe Base de connaissances Informatica par courriel à l’adresse [email protected] pour lui faire part de vos questions, commentaires et suggestions concernant la base de connaissances.

Canal YouTube du support InformaticaVous pouvez accéder au canal YouTube du support Informatica sur http://www.youtube.com/user/INFASupport. Le canal YouTube du support Informatica contient des vidéos concernant les solutions qui vous guident dans l'exécution de tâches spécifiques. Si vous avez des questions, commentaires ou suggestions concernant le canal YouTube du support Informatica, contactez l'équipe de support YouTube par courriel à l'adresse [email protected] ou envoyez un tweet à @INFASupport.

Informatica MarketplaceInformatica Marketplace est un forum où développeurs et partenaires peuvent partager des solutions qui permettent d'augmenter, d'étendre ou d'améliorer les implémentations d'intégration de données. En tirant profit des centaines de solutions disponibles sur Marketplace, vous pouvez améliorer votre productivité et accélérer le temps d'implémentation de vos projets. Vous pouvez accéder à Informatica Marketplace à l'adresse http://www.informaticamarketplace.com.

Informatica VelocityVous pouvez accéder à Informatica Velocity à l'adresse http://mysupport.informatica.com. Développé à partir de l'expérience concrète de centaines de projets de gestion de données, Informatica Velocity représente le savoir collectif de nos consultants, qui ont travaillé avec des entreprises du monde entier pour planifier, développer, déployer et tenir à jour des solutions de gestion des données efficaces. Si vous avez des questions, des commentaires et des suggestions sur Informatica Velocity, contactez le support des services professionnels Informatica à l'adresse [email protected].

Support client international InformaticaVous pouvez contacter un centre de support client par téléphone ou via l'assistance en ligne.

L'assistance en ligne requiert un nom d'utilisateur et un mot de passe. Vous pouvez demander un nom d'utilisateur et un mot de passe sur http://mysupport.informatica.com.

vi Préface



mailto:[email protected]

http://www.youtube.com/user/INFASupport

http://www.informaticamarketplace.com



Les numéros de téléphone du support client international Informatica sont disponibles sur le site Web Informatica à l'adresse http://www.informatica.com/us/services-and-training/support-services/global-support-centers/.

Préface vii

http://www.informatica.com/us/services-and-training/support-services/global-support-centers/

C H A P I T R E 1

Introduction aux services de données SQL

Ce chapitre comprend les rubriques suivantes :

• Présentation des services de données SQL, 1

• Exemple de service de données SQL, 1

Présentation des services de données SQLUn service de données est un ensemble d'opérations réutilisables que vous pouvez exécuter afin d'accéder aux données et de les transformer. Un service de données SQL est une base de données virtuelle que les utilisateurs finaux peuvent interroger. Il contient les schémas virtuels et les tables virtuelles ou les procédures stockées qui définissent la structure de la base de données.

Créez un service de données SQL pour que les utilisateurs finaux puissent exécuter des requêtes SQL sur les tables virtuelles via un outil client tiers. Les utilisateurs finaux peuvent interroger les tables virtuelles de la même façon qu'ils le feraient sur des tables physiques. Ils peuvent également utiliser un outil client tiers pour exécuter des procédures stockées virtuelles.

Vous pouvez créer un service de données SQL dans l'outil Developer. Afin de le rendre disponible aux utilisateurs finaux, incluez-le dans une application que vous déploierez dans un service d'intégration de données. Lorsque l'application est en cours d'exécution, les utilisateurs finaux peuvent se connecter au service de données SQL à partir d'un outil client tiers en fournissant une chaîne de connexion. Après la connexion au service de données SQL, les utilisateurs finaux peuvent lancer des requêtes SQL via l'outil client.

Exemple de service de données SQLCréez un service de données SQL pour rendre une base de données virtuelle disponible, que les utilisateurs finaux peuvent interroger. Créez une base de données virtuelle pour définir des vues uniformes de données et pour isoler les données des changements de structure. Vous pouvez par exemple créer un service de données SQL pour définir un aperçu uniforme des données client et pour permettre aux utilisateurs finaux d'exécuter des requêtes SQL sur les données.

Deux sociétés qui stockent des données client dans plusieurs sources de données hétérogènes fusionnent. Un développeur de la société fusionnée a besoin de créer un aperçu unique des données client disponibles

1

pour d'autres utilisateurs de la société. Les autres utilisateurs ont besoin de faire des requêtes SQL sur les données pour extraire des informations telles que le nombre de clients dans une région ou la liste des clients dont les achats ont dépassé une certaine somme.

Pour atteindre ce but, le développeur crée un service de données SQL qui contient des schémas virtuels et des tables virtuelles qui définissent une vue unifiée pour un client. Le développeur crée des mappages de table virtuelle pour lier les tables virtuelles du client avec les sources et pour standardiser les données. Pour rendre les données virtuelles accessibles aux utilisateurs finaux, le développeur inclut le service de données SQL dans une application et la déploie.

Après le déploiement de l'application, les utilisateurs finaux peuvent faire des requêtes SQL dans des vues standardisées du client grâce à un outil client JDBC ou ODBC.

2 Chapitre 1: Introduction aux services de données SQL

C H A P I T R E 2

Données virtuellesCe chapitre comprend les rubriques suivantes :

• Présentation des données virtuelles, 3

• Services de données SQL, 4

• Tables virtuelles, 5

• Tables temporaires, 8

• Mappages de table virtuelle, 10

• Procédures virtuelles stockées, 12

• Plan de requête SQL, 14

Présentation des données virtuellesCréez une base de données virtuelle pour définir des vues uniformes de données et pour mettre les données à disposition des utilisateurs pour des requêtes. Les utilisateurs finaux peuvent exécuter des requêtes SQL sur les tables virtuelles de la même façon qu'ils le feraient sur des tables de base de données physique.

Créez une base de données virtuelle pour effectuer les tâches suivantes :

• Définir une vue uniforme des données que vous pouvez exposer aux utilisateurs finaux.

• Définir le flux virtuel de données entre les tables sources et les tables virtuelles. Transformer et standardiser les données.

• Fournir aux utilisateurs finaux un accès aux données. Les utilisateurs finaux peuvent utiliser un outil client JDBC ou ODBC pour exécuter des requêtes SQL sur les tables virtuelles de la même façon qu'ils le feraient sur des tables de base de données physiques réelles.

• Isoler les données des modifications de structures de données. Vous pouvez ajouter la base de données virtuelle à une application autonome. Si vous apportez des modifications à la base de données virtuelle dans l'outil Developer, la base de données virtuelle de l'application ne change pas jusqu'au prochain redéploiement.

Vous devez créer un service de données SQL pour créer une base de données virtuelle. Un service de données SQL contient les schémas virtuels et les tables virtuelles ou les procédures stockées qui définissent la structure de la base de données. Si le schéma virtuel contient des tables virtuelles, le service de données SQL contient également des mappages de table virtuelle qui définissent le flux de données entre les sources et les tables virtuelles.

Après la création d'un service de données SQL, vous pouvez l'ajouter à une application et déployer l'application pour rendre le service accessible aux utilisateurs finaux.

3

Ils pourront interroger les tables virtuelles ou exécuter des procédures stockées dans le service de données SQL en entrant une requête SQL dans un outil client tiers. Lorsque l'utilisateur entre la requête, le Data Integration Service extrait les données virtuelles des sources ou des tables de cache, si un administrateur spécifie que n'importe laquelle des tables virtuelles doit être mise en cache.

Remarque: Un mappage de table virtuelle échoue s'il contient un paramètre défini par l'utilisateur.

Services de données SQLUn service de données SQL est une base de données virtuelle que les utilisateurs finaux peuvent interroger. Il contient un schéma et d'autres d'objets qui représentent les données physiques sous-jacentes.

Un service de données SQL peut contenir les objets suivants :

• Schémas virtuels. Des schémas qui définissent la structure de la base de données.

• Tables virtuelles. Tables virtuelles de la base de données. Vous pouvez créer des tables virtuelles à partir d'objets physiques ou logiques, ou vous pouvez les créer manuellement.

• Mappages de table virtuelle. Mappages qui lient une table virtuelle aux données sources et qui définissent le flux de données entre les sources et la table virtuelle. Si vous créez une table virtuelle à partir d'un objet de données, vous pouvez créer un mappage de table virtuelle pour définir les règles de flux de données entre l'objet de données et la table virtuelle. Si vous créez une table virtuelle manuellement, vous devez créer un mappage de table virtuelle pour lier la table virtuelle à la source de données et pour définir le flux de données.

• Procédures virtuelles stockées. Jeux d'instructions de flux de données qui permettent aux utilisateurs d'effectuer des calculs ou d'extraire des données.

Définition d'un service de données SQLPour définir un service de données SQL, créez-en un et ajoutez-y des objets.

1. Créez un service de données SQL.

Vous pouvez créer des tables virtuelles et des mappages de table virtuelle au cours de cette étape.

2. Créez des tables virtuelles dans le service de données SQL.

Vous pouvez créer une table virtuelle à partir d'un objet de données ou la créer manuellement.

3. Définissez des relations entre tables virtuelles.

4. Créez ou mettez à jour des mappages de table virtuelle pour définir le flux de données entre les objets de données et les tables virtuelles.

5. Créez des procédures virtuelles stockées (facultatif).

6. Consultez les données de la table virtuelle (facultatif).

Création d'un service de données SQLCréez un service de données SQL pour définir une base de données virtuelle que les utilisateurs finaux peuvent interroger. Lorsque vous créez un service de données SQL, vous pouvez créer des schémas virtuels, des tables virtuelles et des mappages de table virtuelle qui lient les tables virtuelles aux données sources.

1. Sélectionnez un projet ou un dossier dans la vue Explorateur d'objets.

4 Chapitre 2: Données virtuelles

2. Cliquez sur Fichier > Nouveau > Service de données.

La boîte de dialogue Nouveau s'affiche à l'écran.

3. Sélectionnez Service de données SQL.

4. Cliquez sur Suivant.

5. Saisissez le nom du service de données SQL.

6. Pour créer des tables virtuelles dans le service de données SQL, cliquez sur Suivant . Pour créer un service de données SQL sans des tables virtuelles, cliquez sur Terminer.

Si vous cliquez sur Suivant, la boîte de dialogue Nouveau service de données SQL s'affiche à l'écran.

7. Pour créer une table virtuelle, cliquez sur le bouton Nouveau.

L'outil Developer ajoute une table virtuelle à la liste de tables virtuelles.

8. Saisissez le nom de la table virtuelle dans la colonne Nom.

9. Cliquez sur le bouton Ouvrir dans la colonne Objet de données.

La boîte de dialogue Sélectionner un objet de données s'affiche à l'écran.

10. Sélectionnez un objet de données physique ou logique, puis cliquez sur OK.

11. Saisissez le nom du schéma virtuel dans la colonne Schéma virtuel.

12. Sélectionnez Lire dans la colonne Accès aux données pour lier la table virtuelle à l'objet de données. Sélectionnez Aucun si vous ne voulez pas lier la table virtuelle à l'objet de données.

13. Répétez les étapes 7 à 12 pour ajouter des tables virtuelles.

14. Cliquez sur Terminer.

L'outil Developer crée le service de données SQL.

Tables virtuellesUne table virtuelle est une table dans une base de données virtuelle. Créez une table virtuelle pour définir la structure des données.

Créez une ou plusieurs tables virtuelles dans un schéma. Si un schéma contient plusieurs tables virtuelles, vous pouvez définir des relations clé principale/clé étrangère entre les tables.

Vous pouvez créer des tables virtuelles manuellement ou à partir d'objets de données physiques ou logiques. Chaque table virtuelle a une méthode d'accès aux données. La méthode d'accès aux données définit comment le service d'intégration de données récupère les données. Lorsque vous créez manuellement une table virtuelle, l'outil Developer crée une table virtuelle vide et choisit la méthode d'accès « aucune ».

Lorsque vous créez une table virtuelle à partir d'un objet de données, l'outil Developer crée une table virtuelle avec les mêmes colonnes et les mêmes propriétés que l'objet de données. L'outil Developer choisit la méthode d'accès aux données « lecture ». Si vous changez les colonnes de l'objet de données, l'outil Developer met à jour la table virtuelle avec les mêmes modifications. L'outil Developer ne met pas à jour la table virtuelle si vous changez le nom ou la description de l'objet de données.

Pour définir les règles de transformation de données pour la table virtuelle, choisissez la méthode d'accès aux données « personnalisée ». L'outil Developer vous invite à créer un mappage de table virtuelle.

Vous pouvez prévisualiser les données de la table virtuelle lorsque la méthode d'accès aux données est « lecture » ou « personnalisée ».

Tables virtuelles 5

Méthodes d'accès aux donnéesLa méthode d'accès aux données d'une table virtuelle définit comment le Data Integration Service extrait les données.

Lorsque vous créez une table virtuelle, vous devez choisir une méthode d'accès aux données. Le tableau suivant décrit les méthodes d'accès aux données :

Méthode d'accès aux données

Description

Aucune La table virtuelle n'est pas liée aux données sources.Si vous choisissez la méthode d'accès aux données « aucune », l'outil Developer supprime le lien entre l'objet de données et la table virtuelle. Si la table virtuelle possède un mappage de table virtuelle, l'outil Developer le supprime.Le Data Integration Service ne peut donc pas extraire des données de la table.

Lire La table virtuelle est liée à l'objet de données logiques ou physiques sans transformation de données. Si vous ajoutez, supprimez ou modifiez une colonne dans l'objet de données, l'outil Developer effectue la même modification dans la table virtuelle. Cependant, si vous modifiez les relations de clé étrangère et de clé principale, si vous changez le nom ou la description de l'objet de données, l'outil Developer ne met pas la table virtuelle à jour.Si vous choisissez la méthode d'accès aux données « lecture », l'outil Developer vous propose de sélectionner un objet de données. Si la table virtuelle possède un mappage de table virtuelle, l'outil Developer le supprime.Lorsqu'un utilisateur final interroge sur la table virtuelle, le Data Integration Service extrait les données à partir de l'objet de données.

Personnalisation La table virtuelle est liée à l'objet de données logiques ou physiques grâce à un mappage de table virtuelle. Si vous mettez l'objet de données à jour, l'outil Developer ne met pas la table virtuelle à jour.Si vous choisissez la méthode d'accès aux données « personnalisée », l'outil Developer vous propose de créer un mappage de table virtuelle.Lorsqu'un utilisateur final interroge la table virtuelle, le Data Integration Service applique toute règle de transformation définie dans le mappage de table virtuelle aux données sources. Il renvoie les données transformées à l'utilisateur final.

Création d'une table virtuelle à partir d'un objet de donnéesCréez une table virtuelle à partir d'un objet de données physique ou logique lorsque la structure de la table virtuelle correspond à celle de l'objet de données. L'outil Developer crée un mappage de table virtuelle pour lire des données dans les objets de données.

1. Ouvrez un service de données SQL.

2. Cliquez sur la vue Schéma.

3. Faites glisser un objet de données logiques de la vue Explorateur d'objet vers l'éditeur.

La boîte de dialogue Ajouter des objets de données au service de données SQL s'affiche à l'écran. L'outil Developer répertorie les objets de données dans la colonne Objets de données.

4. Saisissez le nom du schéma virtuel dans la colonne Schéma virtuel.


L'outil Developer place la table virtuelle dans l'éditeur et configure la méthode d'accès « lecture ».


Création manuelle d'une table virtuelleCréez une table virtuelle manuellement lorsque sa structure ne correspond pas à celle d'un objet de données existant. L'outil Developer configure la méthode d'accès aux données de la table virtuelle « aucune », ce qui indique que la table virtuelle n'est pas liée à une source.


2. Dans la vue Présentation, section Tables, cliquez sur le bouton Nouveau.

La boîte de dialogue Nouvelle table virtuelle s'affiche à l'écran.

3. Entrez le nom de la table virtuelle.

4. Entrez le nom du schéma virtuel ou sélectionnez un schéma virtuel.


La table virtuelle apparaît dans la vue Schéma.

6. Pour ajouter une colonne à la table virtuelle, cliquez avec le bouton droit de la souris sur Colonnes, puis cliquez sur Nouveau.

Vérifiez que les noms de colonne virtuelle ne sont pas des mots réservés du standard SQL.

7. Pour créer une clé primaire de colonne, cliquez sur l'espace vide à gauche du nom de la colonne.

Définition des relations entre tables virtuellesVous pouvez définir des relations clé principale/clé étrangère entre des tables virtuelles dans un service de données SQL afin de montrer les associations entre colonnes dans les tables virtuelles.



3. Cliquez sur la colonne que vous voulez attribuer à une clé étrangère dans une table. Faites glisser le pointeur de la souris d'une colonne de clé étrangère vers une colonne de clé principale dans une autre table.

L'outil Developer utilise une flèche pour indiquer une relation entre les tables. La flèche pointe vers la table de clé principale.

Exécution d'une requête SQL pour prévisualiser les donnéesExécutez une requête SQL dans une table virtuelle pour prévisualiser les données.

Pour que la requête renvoie des résultats, la table virtuelle doit être liée à la source de données. La table virtuelle doit donc être créée à partir d'un objet de données ou liée aux données sources dans un mappage de table virtuelle.



3. Sélectionnez la table virtuelle dans la vue Structure.

La table virtuelle apparaît dans la vue Schéma.

4. Cliquez sur le vue Visionneuse de données.

5. Saisissez une instruction SQL dans la fenêtre Entrée. Par exemple :

select * from <schema>.<table>

Tables virtuelles 7

6. Cliquez sur Exécuter.

Les résultats de la requête s'affichent dans la fenêtre Résultats.

Tables temporairesUne table temporaire est une table créée sur une connexion de base de données relationnelle que vous pouvez utiliser pour stocker des données intermédiaires, temporaires. Créez des tables temporaires pour améliorer les performances.

Un administrateur doit configurer la Connexion de stockage de table dans les propriétés du Data Integration Service avant de créer des tables temporaires. Lorsque la connexion au service de données SQL est active, vous pouvez connecter le service via un client JDBC ou ODBC.

Chaque connexion à un service de données SQL peut créer son propre ensemble de tables. Vous pouvez créer des tables temporaires et effectuer des opérations sur les tables lorsque la connexion est active. Les tables temporaires pour tous les services de données SQL dans un Data Integration Service sont stockées sur la même connexion de base de données relationnelle. Le système attribue des noms de table afin d'éviter des conflits.

Les tables temporaires existent tant que la connexion sur laquelle elles ont été créées est active. Elles sont supprimées lorsque la connexion est supprimée ou lorsque le Data Integration Service est arrêté. Dans l'éventualité d'un échec de Data Integration Service, ou si la connexion relationnelle est perdue pendant l'arrêt du Data Integration Service, les tables sont supprimées au prochain démarrage du Data Integration Service.

Opérations de tables temporairesVous pouvez utiliser des opérations SQL dans une instruction SQL préparée ou régulière en appelant la méthode SQL execute pour créer, remplir, sélectionner dans ou ignorer une table temporaire.

Effectuez les opérations de tables temporaires suivantes :

Créez une table temporaire.

Utilisez la syntaxe suivante pour créer une table temporaire dans la base de données relationnelle :

CREATE TEMPORARY [SCHEMA.]TABLE emp (empID INTEGER PRIMARY KEY,eName char(50) NOT NULL,);

Vous pouvez spécifier le nom de la table dans le service de données SQL.

Créez une table temporaire à partir d'une table de base source.

Vous pouvez créer une table temporaire avec ou sans données provenant d'une table source.

Utilisez la syntaxe suivante pour créer une table temporaire à partir d'une table source dans la base de données relationnelle :

CREATE TEMPORARY [SCHEMA.]TABLE emp.backup as select * from emp [ [LIMIT n] <WITH> [NO] <DATA>]

Où « n » est une valeur entière qui indique le nombre de lignes devant être renvoyées pour l'instruction SELECT.

Lorsque vous créez une table temporaire avec des données, le Data Integration Service remplit la table de données. L'opérateur CREATE AS copie les colonnes d'une table existante dans la table temporaire. Vous ne pouvez pas maintenir les contraintes de clé étrangère ou de clé principale lorsque vous utilisez


la fonction CREATE AS. Vous pouvez annuler une demande avant que le Data Integration Service ne copie toutes les données.

Insérer des données dans une table temporaire.

Utilisez l'instruction INSERT INTO <temp_table> pour insérer des données dans une table temporaire. Vous pouvez utiliser l'instruction en appelant la méthode SQL executeUpdate. Vous pouvez insérer des données littérales et faire des requêtes sur des données d'une table temporaire.

Le tableau suivant fournit des exemples d'instruction SQL que vous pouvez utiliser pour insérer des données littérales et des données provenant d'une requête dans une table temporaire :

Type Description

Données littérales

Les données littérales décrivent un utilisateur ou une chaîne de caractères fournie par le système ou une valeur qui n'est pas un identificateur ou un mot-clé. Utilisez des chaînes de caractères, des nombres, des dates ou valeurs booléennes lorsque vous insérez des données littérales dans une table temporaire. Utilisez le format d'instruction suivant pour insérer des données littérales dans une table temporaire :

INSERT INTO TABLE <TABLENAME> <OPTIONAL COLUMN LIST> VALUES (<VALUE LIST>), (<VALUE LIST>)Par exemple, INSERT INTO TABLE temp_dept (dept_id, dept_name, location) VALUES (2, « Marketing », « Los Angeles »).

Données de requête

Vous pouvez faire des requêtes sur un service de données SQL et insérer des données de la requête dans une table temporaire. Utilisez le format d'instruction suivant pour insérer des données de requête dans une table temporaire :

INSERT INTO TABLE <TABLENAME> <OPTIONAL COLUMN LIST> <SELECT QUERY>Par exemple, INSERT INTO TABLE temp_dept(dept_id, dept_name, location) SELECT dept_id, dept_name, location from dept where dept_id = 99.Vous pouvez utiliser un opérateur défini, tel que UNION dans l'instruction SQL lorsque vous insérez des données dans une table temporaire. Utilisez le format d'instruction suivant lorsque vous utilisez un opérateur défini :

INSERT INTO TABLE <TABLENAME> <OPTIONAL COLUMN LIST> (<SELECT QUERY> <SET OPERATOR> <SELECT QUERY>)Par exemple, INSERT INTO TABLE temp_dept select * from north_america_dept UNION select * from asia_dept.

Sélectionner dans une table temporaire.

Vous pouvez interroger une table temporaire avec l'instruction SELECT ... from <table>.

Supprimer une table temporaire.

Utilisez la syntaxe suivante pour supprimer une table temporaire de la base de données relationnelle :

DROP TABLE <tableName>Si la table n'est pas supprimée de la base de données physique, le service de données SQL la supprime au prochain démarrage du Data Integration Service, si elle existe toujours.

Règles et instructions pour les tables temporairesPrenez en considération les règles et les instructions suivantes lorsque vous créez des tables temporaires et que vous exécutez des requêtes contre la table :

Tables temporaires 9

• Vous pouvez préciser le schéma et le schéma par défaut d'une table temporaire.

• Vous pouvez placer la clé principale, les contraintes NULL, NOT NULL et DEFAULT dans une table temporaire.

• Vous ne pouvez pas placer une clé étrangère ou des contraintes CHECK et UNIQUE dans une table temporaire.

• Vous ne pouvez pas faire une requête qui contient une expression de table commune ou une sous-requête corrélée contre une table temporaire.

• Une instruction CREATE AS ne peut pas contenir une sous-requête corrélée.

Mappages de table virtuelleUn mappage de table virtuelle définit le flux de données entre les sources et une table virtuelle dans un service de données SQL. Utilisez le mappage de table virtuelle pour transformer les données.

Créez un mappage de table virtuelle pour lier une table virtuelle avec des données sources dans un service de données SQL et pour définir les règles de transformation de données. Lorsqu'un utilisateur interroge la table virtuelle, le Data Integration Service applique les règles de transformation définies dans le mappage de table virtuelle aux données sources. Il renvoie les données transformées à l'utilisateur final.

Vous n'êtes pas obligé de créer un mappage de table virtuelle si vous ne voulez pas transformer les données. Lorsqu'un utilisateur final interroge la table virtuelle, le Data Integration Service récupère les données directement à partir de l'objet de données.

Vous pouvez créer un mappage de table virtuelle pour chaque table virtuelle dans un service de données SQL. Vous pouvez consulter des données de table virtuelle lorsque vous créez ou que vous mettez à jour le mappage.

Un mappage de table virtuelle contient les composants suivants :

• Sources. Objets de données logiques ou physiques qui décrivent les caractéristiques des tables sources ou des fichiers. Un mappage de table virtuelle doit contenir au moins une source.

• Transformations. Objets qui définissent les règles de transformation de données. Utilisez différents objets de transformation pour effectuer différentes fonctions. Les transformations sont facultatives dans un mappage de table virtuelle.

• Table virtuelle. Table virtuelle dans un service de données SQL.

• Liens. Connexions entre les colonnes qui définissent le flux de données entre les sources, les transformations et la table virtuelle.

ExempleSi vous voulez rendre les données concernant les commandes disponibles à l'un de vos clients.

Ces données sont stockées dans une table de base de données relationnelle qui contient les informations concernant plusieurs clients. Le client n'est pas autorisé à consulter les informations concernant les commandes des autres clients.

Créez un service de données SQL afin de récupérer les informations concernant les commandes. Créez une table virtuelle à partir de la table des commandes et définissez la méthode d'accès aux données personnalisée (custom). Ajoutez une transformation Filtre au mappage de table virtuelle pour supprimer les données appartenant aux autres clients.

Après avoir créé et déployé une application qui contient le service de données SQL, le client peut faire des requêtes sur la table virtuelle qui contient les informations relatives à ses commandes.


Définition d'un mappage de table virtuellePour définir un mappage de table virtuelle, créez-en un, ajoutez des sources et des transformations, puis validez-le.

1. Créez un mappage à partir d'une table virtuelle dans un service de données SQL.

2. Ajoutez des sources et des transformations au mappage et liez les colonnes.

3. Validez le mappage.

4. Consultez les données du mappage (facultatif).

Création d'un mappage de table virtuelleCréez un mappage de table virtuelle pour définir le flux de données entre les données sources et une table virtuelle dans un service de données SQL. Vous pouvez créer un mappage de table virtuelle pour chaque table virtuelle.

1. Ouvrez le service de données qui contient la table virtuelle pour laquelle vous voulez créer un mappage.

2. Cliquez sur la vue Présentation.

3. Dans la section Tables, choisissez la méthode d'accès aux données de la table virtuelle Personnalisée.

La boîte de dialogue Nouveau mappage de table virtuelle s'affiche à l'écran.

4. Saisissez le nom de la table.


L'outil Developer crée une vue pour le mappage de la table virtuelle et la place dans l'éditeur. Si vous avez créé la table virtuelle à partir d'un objet de données, l'outil Developer ajoute des objets de données au mappage en tant que source.

6. Pour ajouter des sources au mappage, faites glisser les objets de données de l'a vue Explorateur d'objet vers l'éditeur.

Vous pouvez ajouter des objets de données logiques ou physiques en tant que sources.

7. Ajoutez des transformations au mappage en les faisant glisser de la vue Explorateur d'objet ou de la palette de transformation vers l'éditeur (facultatif).

8. Liez des colonnes en en sélectionnant une dans une source ou dans une transformation et en la faisant glisser vers une autre colonne dans une autre transformation ou dans la table virtuelle.

L'outil Developer utilise une flèche pour indiquer que les colonnes sont liées.

Validation d'un mappage de table virtuelleValidez un mappage de table virtuelle pour vérifier que le Data Integration Service peut le lire et le traiter entièrement.


2. Sélectionnez l'aperçu du mappage de table virtuelle.

3. Sélectionnez Modifier > Valider.

L'aperçu Journal de validation s'affiche à l'écran. Si aucune erreur n'apparaît dans l'aperçu, le mappage de table virtuelle est valide.

4. Si l'aperçu Journal de validation répertorie des erreurs, corrigez-les et validez à nouveau le mappage de table virtuelle.

Mappages de table virtuelle 11

Prévisualisation des résultats de mappage de table virtuelleLorsque vous développez un mappage de table virtuelle, prévisualisez les données en sortie pour vérifier qu'il produit les résultats escomptés.

La table virtuelle doit être liée aux données sources.

1. Ouvrez le service de données SQL qui contient le mappage de table virtuelle.

2. Cliquez sur la vue du mappage de table virtuelle.

3. Sélectionnez l'objet pour lequel vous voulez prévisualiser les résultats. Vous pouvez sélectionner une transformation ou la table virtuelle.

4. Cliquez sur la vue Visionneuse de données.


L'outil Developer affiche les résultats dans la section Résultats.

Procédures virtuelles stockéesUne procédure virtuelle stockée et un ensemble d'instructions procédurales ou de flux de données dans un service de données SQL. Lorsque vous déployez une application qui contient un service de données SQL, les utilisateurs finaux peuvent accéder aux procédures virtuelles stockées et les exécuter dans le service de données SQL via un outil client JDBC.

Créez une procédure virtuelle stockée pour permettre aux utilisateurs finaux d'effectuer des calculs, d'extraire ou d'écrire des données dans un objet de données. Les utilisateurs finaux peuvent envoyer à et recevoir des données de procédure virtuelle stockée grâce à des paramètres d'entrée et de sortie.

Créez une procédure virtuelle stockée au sein d'un schéma virtuel dans le service de données SQL. Vous pouvez créer plusieurs procédures stockées au sein d'un schéma virtuel.

Une procédure virtuelle stockée contient les composants suivants :

• Entrées. Objets qui transmettent des données à la procédure virtuelle stockée. Les entrées peuvent être des paramètres, des transformations Lecture ou des objets de données physiques ou logiques. Les paramètres d'entrée transmettent des données aux procédures stockées. Les transformations Lecture extraient des données à partir d'objets de données logiques. Une procédure virtuelle stockée doit contenir au moins une entrée.

• Transformations. Objets qui définissent les règles de transformation de données. Utilisez différents objets de transformation pour effectuer différentes fonctions. Les transformations sont facultatives dans une procédure virtuelle stockée.

• Sorties. Objets qui extraient des données de la procédure virtuelle stockée. Les sorties peuvent être des paramètres, des transformations Écriture ou des objets de données physiques ou logiques. Les paramètres de sortie reçoivent des données des procédures stockées. Les transformations Écriture écrivent des données sur des objets de données logiques. Une procédure virtuelle stockée doit contenir au moins une sortie. Les procédures virtuelles stockées ne renvoient pas de jeux de résultats.

• Liens. Connexions entre les ports qui définissent le flux de données virtuel entre les entrées, les transformations et les sorties.

ExempleUn utilisateur final a besoin de mettre à jour les adresses e-mail des enregistrements de clients stockés dans plusieurs bases de données relationnelles.


Créez tout d'abord un modèle d'objet de données logiques pour définir un aperçu unifié du client, afin de permettre à l'utilisateur final de mettre à jour les adresses e-mail. Créez un objet de données logique qui représente une union des tables relationnelles. Créez un mappage écriture d'objet de données logiques pour écrire dans les tables relationnelles. Ajoutez une transformation Routeur afin de déterminer quelle table relationnelle contient l'enregistrement client que l'utilisateur final a besoin de mettre à jour.

Créez ensuite un service de données SQL. Créez une procédure virtuelle stockée, dans le service de données SQL, qui contient les paramètres d'entrée de l'identifiant client et son adresse e-mail. Créez une transformation Écriture basée sur l'objet de données logique, puis ajoutez-la à la procédure virtuelle stockée en tant que sortie.

Enfin, déployez le service de données SQL. L'utilisateur final peut appeler la procédure virtuelle stockée via un outil client tiers. L'utilisateur transmet l'identifiant du client et l'adresse e-mail mis à jour à la procédure virtuelle stockée. La procédure virtuelle stockée utilise la transformation Écriture pour mettre à jour les objets de données logiques. Le mappage écriture d'objet de données logiques détermine quelle table relationnelle doit être mise à jour en se basant sur l'identifiant du client. Il met alors à jour l'adresse e-mail du client dans la bonne table.

Définition d'une procédure virtuelle stockéePour définir une procédure virtuelle stockée, créez-en une, ajoutez des entrées, des transformations, des sorties et validez-la.

1. Créez une procédure virtuelle stockée dans le service de données SQL.

2. Ajoutez des entrées, des transformations et des sorties à la procédure virtuelle stockée, puis liez les ports.

3. Validez la procédure virtuelle stockée.

4. Consultez les résultats de la procédure virtuelle stockée (facultatif).

Création d'une procédure virtuelle stockéeCréez une procédure virtuelle stockée pour permettre aux utilisateurs finaux d'accéder à la logique métier dans la procédure via un outil client JDBC ou ODBC. Vous devez créer une procédure virtuelle stockée au sein d'un schéma virtuel.

1. Cliquez avec le bouton droit de la souris sur un service de données SQL dans la vue Explorateur d'objet ou Structure, puis sélectionnez Nouvelle > Procédure virtuelle stockée.

La boîte de dialogue Nouvelle procédure virtuelle stockée s'affiche à l'écran.

2. Saisissez le nom de la procédure virtuelle stockée.

3. Saisissez le nom du schéma virtuel ou sélectionnez un schéma virtuel.

4. Si la procédure virtuelle stockée a des paramètres d'entrée ou de sortie, sélectionnez l'option appropriée.


L'outil Developer crée un éditeur pour la procédure virtuelle stockée. Si vous sélectionnez des paramètres d'entrée ou de sortie, l'outil Developer ajoute une transformation Paramètre d'entrée, une transformation Paramètre de sortie ou les deux, dans l'éditeur.

6. Ajoutez des paramètres d'entrée ou des sources à la procédure virtuelle stockée.

7. Ajoutez des paramètres de sortie ou des cibles à la procédure virtuelle stockée.

8. Ajoutez des transformations à la procédure virtuelle stockée en les faisant glisser de la vue Explorateur d'objet ou de la palette de transformation vers l'éditeur (facultatif).

Procédures virtuelles stockées 13

9. Liez des ports en en sélectionnant un dans une source ou dans une transformation et en le faisant glisser vers un autre port dans une autre transformation ou dans une autre cible.

L'outil Developer utilise une flèche pour indiquer que les ports sont liés.

Validation d'une procédure virtuelle stockéeValidez une procédure virtuelle stockée pour vérifier que le Data Integration Service peut la lire et la traiter entièrement.

1. Ouvrez une procédure virtuelle stockée.

2. Sélectionnez Modifier > Valider.

L'aperçu Journal de validation s'affiche à l'écran. Si aucune erreur n'apparaît dans l'aperçu, la procédure virtuelle stockée est valide.

3. Si l'aperçu Journal de validation répertorie des erreurs, corrigez-les et validez à nouveau la procédure virtuelle stockée.

Prévisualisation des résultats de procédure virtuelle stockéeLorsque vous développez une procédure virtuelle stockée, prévisualisez les données en sortie pour vérifier qu'elle produit les résultats escomptés.

Une procédure virtuelle stockée doit contenir au moins un paramètre de sortie ou de source.

1. Ouvrez une procédure virtuelle stockée.

2. Sélectionnez la vue Visionneuse de données.

3. Si la procédure virtuelle stockée contient des paramètres d'entrée, saisissez-les dans la section Entrée.


L'outil Developer affiche les résultats dans la section Résultats.

Plan de requête SQLUtilisez un plan de requête SQL pour afficher une représentation semblable à un mappage de la requête que vous entrez lorsque vous prévisualisez les données de la table virtuelle. Vous pouvez afficher la requête d'origine et la requête optimisée que le service d'intégration de données exécute.

Lorsque vous consultez le projet de requête SQL d'une requête donnée, l'outil Developer affiche une représentation graphique de la requête similaire à un mappage. La représentation graphique a une source, des transformations, des liens et une cible. Consultez le plan de requête pour résoudre les requêtes que les utilisateurs finaux exécutent sur un service de données SQL déployé et comprendre les messages du journal.


Optimisation du plan de requête SQLLe service d'intégration de données optimise une requête SQL pour augmenter les performances lorsque vous sélectionnez un niveau d'optimisation. Les requêtes optimisées produisent les mêmes résultats mais s'exécutent plus rapidement.

Le service d'intégration de données peut effectuer les types d'optimisation suivants :

• Déporter les transformations vers des objets de données relationnels.

• Réorganiser des transformations dans le mappage.

• Déporter des opérations SQL définies, telles que UNION, UNION ALL, DISTINCT, INTERSECT, DISTINCT et MINUS vers des objets de données relationnels.

• Transférer le mot clé SQL LIMIT vers les objets de données relationnelles IBM DB2, MS SQL et Oracle.

Vous pouvez afficher le plan de requête d'origine et le plan de requête optimisé dans la vue Visionneuse de données. La requête optimisée résultante peut contenir des transformations différentes ou des transformations dans un ordre différent. Le service d'intégration de données peut déporter les transformations et les opérations SQL vers les objets de données relationnels afin de réduire la lecture des données depuis la source.

Vous pouvez configurer différents niveaux d'optimisation dans l'outil Developer. Des niveaux d'optimisation différents produisent des requêtes différentes. L'optimisation de requête dépend du niveau d'optimisation que vous sélectionnez et de la complexité de la requête. Lorsque vous exécutez une requête simple sur une table virtuelle, des niveaux d'optimisation différents peuvent produire la même requête optimisée. Lorsque vous exécutez une requête qui contient plusieurs clauses et sous-requêtes, des niveaux d'optimisation différents produisent des requêtes optimisées différentes.

Exemples d'optimisation du plan de requête SQLLe service d'intégration de données peut optimiser les opérations SQL et les transformations en les déportant vers un objet de données relationnel. Par exemple, vous pouvez interroger une table virtuelle de clients afin de sélectionner des clients distincts ou filtrer les données client par ID de client.

Opération SQL DISTINCTVous voulez interroger la table virtuelle CUSTOMERS dans un service de données SQL pour sélectionner des numéros de clients distincts. Le service d'intégration de données peut déporter des mots-clés SQL tels que Distinct vers l'objet de données relationnel avec le niveau d'optimisation normal.

Vous pouvez entrer la requête suivante dans la vue Visionneuse de données :

select distinct Customer_number from CUSTOMERSLa figure suivante affiche le plan de requête SQL qui s'affiche dans l'onglet Non optimisé :

La représentation non optimisée affiche le plan de requête en fonction de la requête que vous entrez avec l'opération DISTINCT.

Plan de requête SQL 15

La figure suivante affiche le plan de requête SQL qui s'affiche dans l'onglet Optimisé :

La représentation optimisée affiche le plan de requête tel que le service d'intégration de données l'exécute. Le service d'intégration de données déporte l'opération DISTINCT vers la source pour augmenter les performances.

Transformation FiltreVous voulez interroger la table virtuelle CUSTOMERS dans un service de données SQL pour filtrer et organiser les données client. Le service d'intégration de données peut déporter des transformations telles qu'une transformation Filtre vers l'objet de données relationnel avec le niveau d'optimisation normal.

Vous pouvez entrer la requête suivante dans la vue Visionneuse de données :

select * from CUSTOMERS where CUSTOMER_ID > 150000 order by LAST_NAMELa figure suivante montre le plan de requête SQL qui apparaît dans l'onglet Non optimisé :

La représentation non optimisée affiche le plan de requête basé sur la requête que vous entrez. L'outil Developer affiche la clause WHERE comme une transformation Filtre et la clause ORDER BY comme une transformation Trieur. L'outil Developer utilise une transformation d'intercommunication Expression pour renommer les ports.

La figure suivante affiche le plan de requête SQL optimisé qui s'affiche dans l'onglet Optimisé :

La représentation optimisée affiche le plan de requête tel que le service d'intégration de données l'exécute. Le service d'intégration de données déporte la condition de filtre vers la source car le niveau d'optimisation est normal. Déporter la condition de filtre améliore les performances des requêtes, car cela réduit le nombre de lignes que le service d'intégration de données lit dans l'objet de données sources.

Tout comme dans la requête non optimisée, l'outil Developer affiche la clause ORDER BY comme transformation Trieur. Le service d'intégration de données utilise les transformations d'intercommunication Expression pour appliquer les types de données que vous configurez dans les transformations logiques.

Consultation d'un plan de requête SQLAffichez le plan de requête SQL pour consulter une représentation similaire à un mappage de la requête que vous entrez lorsque vous prévisualisez les données de la table virtuelle.

1. Ouvrez un service de données SQL qui contient au moins une table virtuelle.


2. Cliquez sur la vue Visionneuse de données.

3. Entrez une requête SQL dans la fenêtre Entrée.

4. Vous pouvez également sélectionner une configuration de la visionneuse de données qui contient le niveau d'optimisation que vous voulez appliquer à la requête.

5. Cliquez sur Afficher le plan de requête.

L'outil Developer affiche le plan de requête SQL pour la requête que vous avez entrée dans l'onglet Non optimisé.

6. Pour afficher la requête optimisée, cliquez sur l'onglet Optimisé.

L'outil Developer affiche le plan de requête SQL optimisé.

Plan de requête SQL 17

C H A P I T R E 3

Requêtes du service de données SQL


• Présentation des requêtes du service de données SQL, 18

• Types de données, 19

• Opérateurs, 19

• Fonctions, 20

• Instructions et mots clés SQL, 28

• Requêtes, 29

• Mots réservés, 31

• Syntaxe d'échappement, 31

• Résolution de problèmes de services de données SQL, 34

Présentation des requêtes du service de données SQL

Un service de données SQL est une base de données virtuelle que vous pouvez interroger. Il fournit un aperçu uniforme des données éparpillées sur plusieurs sources de données disparates et hétérogènes. Vous pouvez exécuter des requêtes SQL lorsque vous prévisualisez des données de table virtuelle dans l'outil Developer. Vous pouvez également utiliser un outil client JDBC ou ODBC pour exécuter les requêtes SQL dans les tables virtuelles d'un service de données SQL.


• Des schémas virtuels qui définissent la structure de la base de données

• Des tables virtuelles

• Des mappages de table virtuelle qui définissent le flux de données entre sources et tables virtuelles.

• Des procédures virtuelles stockées qui prennent des entrées facultatives grâce à des paramètres, transforment les données et éventuellement renvoient des résultats grâce aux paramètres.

Pour permettre aux utilisateurs finaux d'interroger des tables virtuelles et d'exécuter des procédures virtuelles stockées dans un service de données SQL, un développeur crée et déploie une application qui contient le service de données SQL. Le développeur déploie l'application dans un Data Integration Service et un administrateur exécute l'application. Lorsque l'application est en cours d'exécution, les utilisateurs finaux

18

peuvent interroger les tables virtuelles et exécuter des procédures virtuelles stockées dans le service de données SQL.

Les services de données SQL prennent en charge les opérateurs communs, les fonctions, les instructions et les mots-clés SQL.

Types de donnéesLes services de données SQL prennent en charge des types de données SQL communs.

Les services de données SQL prennent en charge les 99 types de données SQL suivants :

• Bigint

• Binaire

• Booléen

• Char

• Date

• Décimal

• Double

• Int

• Heure

• Horodatage

• Varchar

OpérateursServices de données SQL prennent en charge les opérateurs communs. Utilisez des opérateurs pour effectuer des calculs mathématiques, associer ou comparer des données.

Les services de données SQL prennent en charge les opérateurs suivants dans une requête SQL :

• Opérateurs arithmétiques : (), + et - unaires, *, /, +, -

• Opérateurs de comparaison : =, !=, <>, <, <=, >, >=

• Opérateurs logiques : AND, NOT, OR

• || (chaînes de concaténation)

• BETWEEN

• CASE

• EXISTS

• IN, NOT IN

• IS NULL, IS NOT NULL

• LIKE, NOT LIKE

Types de données 19

FonctionsVous pouvez utiliser des fonctions SQL et Informatica pour lancer des requêtes dans un service de données SQL.

Certaines fonctions sont des équivalents de SQL et Informatica, telles que la fonction ABS. D'autres fonctions sont uniques à SQL ANSI ou à Informatica.

Remarque: Vous ne pouvez pas utiliser des conditions de filtre avec des fonctions Informatica dans le SQL.

Le tableau suivant fournit la syntaxe et les fonctions que vous pouvez utiliser pour faire des requêtes dans un service de données SQL :

Fonction Syntaxe Description

ABS ABS( numeric_value ) Renvoie la valeur absolue d'une valeur numérique.Fonction Informatica et SQL.

ADD_TO_DATE ADD_TO_DATE( date, format, amount )

Ajoute un nombre spécifié à une partie d'une valeur Date/Heure et renvoie une date au même format que celle que vous transmettez à la fonction.Fonction Informatica et SQL.

ASCII ASCII ( string ) Renvoie la valeur numérique ASCII ou Unicode du premier caractère de la chaîne transmise à la fonction.Fonction Informatica et SQL.

AVG AVG( numeric_value ) Renvoie la moyenne de toutes les valeurs d'un groupe de lignes.Fonction SQL.

CASE(Simple)

CASE input_expression WHEN when_expression THEN result_expression [ ...n ] [ ELSE else_result_expression ] END

Compare une expression à un ensemble d'expressions simples et renvoie un résultat associé à la première valeur correspondante.Fonction SQL.

CASE(Recherchée)

CASE WHEN Boolean_expression THEN result_expression [ ...n ] [ ELSE else_result_expression ] END

Évalue un ensemble d'expressions booléennes et renvoie le premier résultat ayant la valeur « true ».Fonction SQL.

CEIL CEIL( numeric_value ) Renvoie le plus petit entier supérieur ou égal à la valeur numérique transmise à cette fonction.Fonction Informatica et SQL.

20 Chapitre 3: Requêtes du service de données SQL


CHAR_LENGTH CHAR_LENGTH( numeric_value )

Renvoie le nombre de caractères dans une chaîne, y compris les blancs à la fin.Fonction SQL.

CHR CHR( numeric_value ) Renvoie le caractère ASCII ou Unicode qui correspond à la valeur numérique transmise à cette fonction.Fonction Informatica et SQL.

CHRCODE CHRCODE ( string ) Renvoie la valeur numérique ASCII ou Unicode du premier caractère de la chaîne transmise à la fonction.Fonction SQL.

COALESCE COALESCE ( first_argument, second_argument[, third_argument, ...] )

Renvoie le premier argument non NULL d'une liste d'arguments. Si tous les arguments sont NULL, la fonction COALESCE renvoie la valeur NULL.Fonction SQL.

CONCAT CONCAT( first_string, second_string )

Permet de concaténer deux chaînes.Fonction Informatica et SQL.

CONVERT_BASE CONVERT_BASE( string, source_base, dest_base )

Convertit une chaîne numérique non négative à partir d'une valeur de base en une autre valeur de base.Fonction Informatica et SQL.

COS COS( numeric_value ) Renvoie le cosinus, exprimé en radians, d'une valeur numérique.Fonction Informatica et SQL.

COSH COSH( numeric_value ) Renvoie le cosinus hyperbolique, exprimé en radians, d'une valeur numérique.Fonction Informatica et SQL.

COUNT COUNT( value ) Renvoie le nombre de lignes ayant des valeurs non nulles dans un groupe. Vous pouvez également inclure l'argument astérisque (*) pour compter toutes les valeurs d'entrée dans une transformation.Fonction SQL.

CRC32 CRC32( value ) Renvoie une valeur de contrôle de redondance cyclique 32 bits (CRC32).Fonction Informatica et SQL.

CUME CUME( numeric_value ) Renvoie un total cumulé. Un total cumulé signifie que CUME renvoie un total à chaque fois qu'il ajoute une valeur.Fonction SQL.

Fonctions 21


CURRENT_DATE CURRENT_DATE Renvoie la date actuelle sur le nœud qui héberge le Data Integration Service. Le format de la valeur renvoyée dépend de l'emplacement de la machine client.La valeur renvoyée ne change pas si cette fonction est exécutée plus d'une fois dans une instruction.Fonction SQL.

CURRENT_TIME CURRENT_TIME Renvoie l'heure actuelle sur le nœud qui héberge le Data Integration Service. Le format de la valeur renvoyée dépend de l'emplacement de la machine client.La valeur renvoyée ne change pas si cette fonction est exécutée plus d'une fois dans une instruction.Fonction SQL.

CURRENT_TIMESTAMP

CURRENT_TIMESTAMP Renvoie la date et l'heure actuelles sur le nœud qui héberge le Data Integration Service. Le format de la valeur renvoyée dépend de l'emplacement de la machine client.La valeur renvoyée ne change pas si cette fonction est exécutée plus d'une fois dans une instruction.Fonction SQL.

DATE_COMPARE DATE_COMPARE( date1, date2 )

Renvoie un entier indiquant quelle date est la plus récente :- -1 si la première date est antérieure

- 0 si les deux dates sont identiques

- 1 si la seconde date est antérieure

- NULL si une des valeurs de date est NULLFonction Informatica et SQL.

DATE_DIFF DATE_DIFF( date1, date2, format )

Renvoie l'intervalle entre deux dates.Fonction Informatica et SQL.

EXP EXP( exponent ) Renvoie e élevé à la puissance spécifiée (exposant), où e = 2,71828183.Fonction Informatica et SQL.

EXTRACT EXTRACT( YEAR|MONTH|DAY|HOUR|MINUTE|SECOND FROM date )

Renvoie la partie spécifiée d'une date comme valeur entière. Par conséquent, si vous créez une expression qui renvoie la partie jour de la date et que vous transmettez une date telle que Avr. 15 2007 00:00:00, EXTRACT renvoie la valeur 15.Fonction SQL.

FLOOR FLOOR( numeric_value ) Renvoie le plus grand nombre entier inférieur ou égal à la valeur numérique transmise à cette fonction.Fonction Informatica et SQL.



FV FV( rate, terms, payment [, present value, type] )

Renvoie la valeur future d'un investissement, lorsque vous effectuez des paiements constants et réguliers et que l'investissement bénéficie d'un taux d'intérêt constant.Fonction Informatica et SQL.

GET_DATE_PART GET_DATE_PART( date, format )

Renvoie la partie spécifique d'une date en tant que valeur entière. Par conséquent, si vous créez une expression qui retourne la partie du mois de la date et que vous transmettez une date telle que Avr. 1 1997 00:00:00, GET_DATE_PART renvoie la valeur 4.Fonction Informatica et SQL.

INITCAP INITCAP( string ) Met en majuscule la première lettre de chaque mot d'une chaîne et convertit toutes les autres lettres en minuscules.Fonction Informatica et SQL.

INSTR INSTR( string, search_value [,start [,occurrence [,comparison_type ]]] )

Renvoie la position d'un caractère défini dans une chaîne, en comptant de gauche à droite.Fonction Informatica et SQL.

IS_DATE IS_DATE( value [,format] )

Indique si une valeur de chaîne est une date valide.Fonction Informatica et SQL.

IS_NUMBER IS_NUMBER( value )

Indique si une chaîne est un nombre valide.Fonction Informatica.

IS_SPACES IS_SPACES( value )

Indique si une valeur de chaîne est constituée uniquement d'espaces. Il peut s'agir d'un espace vide, d'un saut de ligne, d'une nouvelle ligne, d'un retour chariot, d'une tabulation ou d'une tabulation verticale.Fonction Informatica.

ISNULL ISNULL( value ) Renvoie une valeur indiquant si une valeur est NULL. Évalue une chaîne vide comme FALSE.Fonction Informatica et SQL.

ISNUMERIC ISNUMERIC( value ) Indique si une chaîne est un nombre valide.Fonction SQL.

LAST_DAY LAST_DAY( date ) Renvoie la date du dernier jour du mois pour chaque date dans une colonne.Fonction Informatica et SQL.

LN LN( numeric_value ) Renvoie le logarithme népérien d'une valeur numérique.Fonction Informatica et SQL.

Fonctions 23


LOCATE LOCATE( string, search_value )

Renvoie la position d'un jeu de caractères à partir du début d'une chaîne.Fonction SQL.

LOG LOG( base, exponent ) Renvoie le logarithme d'une valeur numérique.Fonction Informatica et SQL.

LOWER LOWER( string ) Convertit les caractères majuscules de la chaîne en minuscules.Fonction Informatica et SQL.

LPAD LPAD( first_string, length [,second_string] )

Ajoute un ensemble d'espaces vides ou de caractères au début d'une chaîne pour définir la chaîne sur une longueur spécifique.Fonction Informatica et SQL.

LTRIM LTRIM( string [, trim_set] )

Enlève les blancs ou caractères du début d'une chaîne.Fonction Informatica et SQL.

MAKE_DATE_TIME MAKE_DATE_TIME( year, month, day, hour, minute, second, nanosecond )

Renvoie la date et l'heure à partir des valeurs d'entrée.Fonction Informatica et SQL.

MAX MAX( value ) Renvoie la dernière date, valeur numérique maximale, ou la valeur de chaîne la plus élevée se trouvant dans une colonne ou dans un groupe.Fonction SQL.

MD5 MD5( value ) Calcule la somme de contrôle de la valeur d'entrée.Fonction Informatica et SQL.

METAPHONE METAPHONE( string [,length] )

Encode des valeurs de chaîne. Vous pouvez spécifier la longueur de la chaîne que vous voulez encoder.Fonction Informatica et SQL.

MIN MIN( value ) Renvoie la date la plus récente, la valeur numérique minimale, ou la valeur de chaîne la plus basse se trouvant dans une colonne ou dans un groupe.Fonction SQL.

MOD MOD( numeric_value, divisor )

Renvoie le reste d'un calcul de division.Fonction Informatica et SQL.

MOVINGAVG MOVINGAVG( numeric_value, rowset )

Renvoie la moyenne (ligne par ligne) d'un ensemble de lignes spécifié.Fonction Informatica.

MOVINGSUM MOVINGSUM( numeric_value, rowset )

Renvoie la somme (ligne par ligne) d'un ensemble de lignes spécifié.Fonction Informatica.



NPER NPER( rate, present value, payment [, future value, type] )

Renvoie le nombre de périodes pour un investissement d'après un taux d'intérêt constant et des paiements constants et réguliers.Fonction Informatica et SQL.

PMT PMT( rate, terms, present value [, future value, type] )

Renvoie le paiement pour un prêt d'après des paiements constants et un taux d'intérêt constant.Fonction Informatica et SQL.

POSITION POSITION( search_value, string )

Renvoie la position d'un jeu de caractères à partir du début d'une chaîne.Fonction SQL.

POWER POWER( base, exponent )

Renvoie une valeur élevée à l'exposant que vous transmettez à la fonction.Fonction Informatica et SQL.

PV PV( rate, terms, payment [, future value, type] )

Renvoie la valeur actuelle d'un investissement.Fonction Informatica et SQL.

RAND RAND( seed ) Renvoie un nombre aléatoire entre 0 et 1. Pour la même valeur de départ aléatoire, le Data Integration Service génère la même séquence de nombres.Fonction Informatica et SQL.

RATE RATE( terms, payment, present value[, future value, type] )

Renvoie le taux d'intérêt reçu par période pour une obligation. Renvoie la valeur NULL si une valeur présente est plus élevée que le produit des termes et des paiements.Fonction Informatica et SQL.

REG_EXTRACT REG_EXTRACT( subject, 'pattern', subPatternNum )

Extrait des sous-tendances d'une expression régulière parmi une valeur d'entrée. Par exemple, à partir d'un modèle d'expression régulière pour un nom complet, vous pouvez extraire le prénom ou le nom de famille.Fonction Informatica.

REG_MATCH REG_MATCH( subject, pattern )

Indique si une valeur correspond à une tendance d'expression régulière pour valider des tendances de données telles que des identifiants, des numéros de téléphone, des codes postaux ou des noms d'état.Fonction Informatica.

REG_REPLACE REG_REPLACE( subject, pattern, replace, numReplacements )

Remplace les caractères d'une chaîne par une autre tendance de caractère. Recherche la chaîne d'entrée pour le modèle de caractères que vous indiquez et remplace toutes les occurrences par le modèle de remplacement. Vous pouvez également indiquer le nombre d'occurrences du modèle que vous voulez remplacer dans la chaîne.Fonction Informatica.

Fonctions 25


REPLACECHR REPLACECHR( CaseFlag, InputString, OldCharSet, NewChar )

Remplace des caractères d'une chaîne par un seul caractère ou aucun caractère.Fonction Informatica et SQL.

ROUND (dates) ROUND( date [,format] )

Arrondit une partie d'une date.Fonction Informatica et SQL.

ROUND (nombres) ROUND( numeric_value [, precision] )

Arrondit les nombres à un nombre de chiffres ou de décimales spécifié.Fonction Informatica et SQL.

RPAD RPAD( first_string, length [,second_string] )

Convertit une chaîne à une longueur spécifiée en ajoutant des espaces blancs ou des caractères à la fin de la chaîne.Fonction Informatica.

RTRIM RTRIM( string [, trim_set] )

Enlève les blancs ou caractères à la fin d'une chaîne.Fonction Informatica et SQL.

SET_DATE_PART SET_DATE_PART( date, format, value )

Définit une partie d'une valeur Date/Heure selon une valeur que vous indiquez.Fonction Informatica et SQL.

SIGN SIGN( numeric_value ) Renvoie une valeur indiquant si une valeur numérique est positive, négative ou égale à 0.Fonction Informatica et SQL.

SIN SIN( numeric_value ) Renvoie le sinus, exprimé en radians, d'une valeur numérique.Fonction Informatica et SQL.

SINH SINH( numeric_value ) Renvoie le sinus hyperbolique, exprimé en radians, d'une valeur numérique.Fonction Informatica et SQL.

SOUNDEX SOUNDEX( string ) Encode une valeur de chaîne en une chaîne de quatre caractères. Cette fonction utilise le premier caractère de la chaîne d'entrée comme premier caractère dans la valeur de retour et code les trois seules consonnes restantes sous forme de chiffres :- B, F, P, V = 1

- C, G, J, K, Q, S, X, Z = 2

- D, T = 3

- L = 4

- M, N = 5

- R = 6Fonction Informatica et SQL.

SQRT SQRT( numeric_value ) Renvoie la racine carrée d'une valeur numérique non négative.Fonction Informatica et SQL.



SUBSTR SUBSTR( string, start [,length] )

Renvoie une portion de chaîne. Compte tous les caractères, y compris les blancs.Fonction Informatica et SQL.

SUM SUM( numeric_value ) Renvoie la somme de toutes les valeurs dans la colonne sélectionnée.Fonction SQL.

TAN TAN( numeric_value ) Renvoie la tangente, exprimée en radians, d'une valeur numérique.Fonction Informatica et SQL.

TANH TANH( numeric_value ) Renvoie la tangente hyperbolique, exprimée en radians, d'une valeur numérique.Fonction Informatica et SQL.

TO_BIGINT TO_BIGINT( value [, flag] )

Convertit une chaîne ou une valeur numérique en valeur de type bigint. L'indicateur tronque la partie décimale si la valeur est true ou nonzero. Il arrondit la partie décimale si la valeur est false ou 0.Fonction Informatica et SQL.

TO_CHAR TO_CHAR( value ) Convertit des valeurs numériques ou des dates en chaînes de texte.Fonction Informatica et SQL.

TO_DATE TO_DATE( string [, format] )

Convertit une chaîne de caractères en type de donnée Date/Heure.Fonction Informatica et SQL.

TO_DECIMAL TO_DECIMAL( value [, scale] )

Convertit une chaîne ou une valeur numérique en valeur décimale.Fonction Informatica et SQL.

TO_FLOAT TO_FLOAT( value ) Convertit une chaîne ou une valeur numérique en nombre à virgule flottante de précision double (type de données double).Fonction Informatica et SQL.

TO_INTEGER TO_INTEGER( value [, flag] )

Convertit une chaîne ou une valeur numérique en nombre entier. L'indicateur tronque la partie décimale si la valeur est true ou nonzero. Il arrondit la partie décimale si la valeur est false ou 0.Fonction Informatica et SQL.

Fonctions 27


TRIM TRIM( [operand] string )

Retire les caractères du début et de fin d'une chaîne de caractères, ou les deux.Les opérandes sont les suivants :- LEADING [ trim_character FROM ]- TRAILING [ trim_character FROM ]- BOTH [ trim_character FROM ]L'argument trim_character transmet le caractère que vous voulez supprimer. Entourez le caractère coupé par des guillemets simples. Si vous omettez le caractère coupé, la fonction TRIM supprime des espaces.Par exemple, TRIM ( ' Mary ' ) renvoie Mary (pas d'espaces). TRIM( BOTH '*' FROM '**Mary*' ) renvoie Mary.Fonction SQL.

TRUNC (Dates) TRUNC( date [,format] )

Tronque des dates à une année, un mois, un jour, une heure, une minute, une seconde, une milliseconde ou une microseconde spécifiques.Fonction Informatica et SQL.

TRUNC (nombres) TRUNC( numeric_value [, precision] )

Tronque des nombres à un chiffre spécifique.Fonction Informatica et SQL.

UPPER UPPER( string ) Convertit les caractères minuscules de la chaîne en majuscule.Fonction Informatica et SQL.

Instructions et mots clés SQLLes services de données SQL prennent en charge les Instructions et les mots-clés SQL. Utilisez les Instructions et les mots-clés SQL pour définir les requêtes SQL et pour exécuter des procédures virtuelles stockées.

Pour interroger les tables virtuelles dans un service de données SQL, utilisez l'instruction SQL SELECT.

Pour exécuter les procédures virtuelles stockées dans un service de données SQL, utilisez l'instruction SQL CALL (PROCEDURE). La syntaxe est la suivante :

CALL proc_name( [parameter_1] [, parameter_n] )Vous pouvez utiliser les clauses suivantes dans une requête SQL :

• FROM

• GROUP BY

• HAVING

• ORDER BY

• WHERE


Vous pouvez utiliser les mots-clés suivants dans une requête SQL :

• ALL

• CROSS JOIN

• DISTINCT

• EXCEPT

• FULL OUTER JOIN

• INNER JOIN

• INTERSECT

• LEFT OUTER JOIN

• LIMIT

• MINUS

• RIGHT OUTER JOIN

• UNION, UNION ALL

RequêtesVous pouvez effectuer des sous-requêtes non corrélées, des sous-requêtes corrélées et des requêtes paramétrées lorsque vous interrogez des tables virtuelles et exécutez des procédures virtuelles stockées dans un service de données SQL.

Sous-requêtes non corréléesUne sous-requête non corrélée est une sous-requête qui ne dépend pas d'une requête externe. Utilisez des sous-requêtes non corrélées pour filtrer ou pour modifier les données lorsque vous interrogez des tables virtuelles dans un service de données SQL.

Vous pouvez utiliser des sous-requêtes non corrélées dans les endroits suivants :

• Expressions

• Opérateur BETWEEN

• Opérateur CASE

• Clause FROM

• Clause HAVING

• Opérateurs IN, NOT IN

• Instruction SELECT

• Clause WHERE

Vous pouvez utiliser des sous-requêtes scalaires non corrélées.

Vous pouvez utiliser des sous-requêtes non corrélées en tant qu'opérandes SET.

Sous-requêtes corréléesUne sous-requête corrélée est une sous-requête qui utilise des valeurs de la requête externe dans sa clause WHERE. La sous-requête est évaluée une fois pour chaque ligne traitée par la requête externe. Utilisez des

Requêtes 29

sous-requêtes corrélées pour filtrer ou pour modifier les données lorsque vous interrogez des tables virtuelles dans un service de données SQL.

Vous pouvez lancer une sous-requête corrélée à partir d'un client ODBC ou JDBC, ou à partir d'une fenêtre de plan de requête dans l'outil Developer.

La table suivante fournit des exemples de types de sous-requêtes corrélées que vous pouvez lancer dans un service de données SQL :

Type Description

IN Une sous-requête corrélée qui utilise le mot-clé IN dans une clause SQL WHERE pour sélectionner les lignes des valeurs renvoyées par la sous-requête corrélée.Par exemple, SELECT * FROM vs.nation a WHERE a.n_regionkey IN (SELECT distinct b.r_regionkey FROM vs.region b WHERE b.r_regionkey = a.n_regionkey).

Comparaison quantifiée

Une sous-requête qui contient un opérateur de comparaison dans une clause SQL WHERE.Par exemple, SELECT n_name FROM vs.nation a WHERE 2 > (SELECT 1 FROM vs.nation b WHERE a.n_nationkey=b.n_nationkey).

Configuration de sous-requêtes corréléesLe service d'intégration de données aplanit les sous-requêtes corrélées dans une jointure normale avant d'exécuter la requête. Si le service d'intégration de données ne peut pas aplanir une requête corrélée dans une jointure normale, il génère une erreur système et n'exécute pas la requête.

La table suivante montre les résultats d'une requête corrélée que le service d'intégration de données a aplanie :

Type Requête

Non aplatie SELECT huge.* FROM huge WHERE c1 IN (SELECT c1 FROM tiny)

Aplatie SELECT huge.* FROM huge, tiny WHERE huge.c1 = tiny.c1

Le service d'intégration de données peut aplanir une sous-requête corrélée dans une jointure normale lorsqu'elle répond aux exigences suivantes :

• Le type est IN ou une comparaison quantifiée.

• Elle n'est pas dans un opérateur OR ou ne fait pas partie d'une liste SELECT.

• Il ne contient pas le mot-clé LIMIT.

• Elle ne contient pas de clause GROUP BY, d'agrégats dans une liste SELECT ou d'opérateur logique EXIST ou NOT IN.

• Elle génère des résultats uniques. L'une des colonnes de la sous-requête corrélée est une clé primaire. Par exemple, si la colonne r_regionkey est une clé primaire pour la table virtuelle vs.nation, vous pouvez émettre la requête suivante : SELECT * FROM vs.nation WHERE n_regionkey IN (SELECT b.r_regionkey FROM vs.region b WHERE b.r_regionkey = n_regionkey).

• Si elle contient une liste FROM, chaque table de la liste FROM est une table virtuelle dans le service de données SQL.


Requêtes paramétrablesUne requête paramétrable utilise une instruction SQL précompilée comprenant des espaces réservés pour les valeurs qui changent. Les requêtes paramétrées peuvent améliorer l'efficacité des traitements et protéger la base de données d'attaques par injection SQL. Vous pouvez utiliser des instructions préparées et appeler des procédures stockées dans une requête paramétrée que vous lancez dans un service de données SQL.

Définissez les paramètres dans l'objet PreparedStatement ou CallableStatement dans un programme JDBC ou dans un handle d'instruction préparé par SQLPrepare pour un programme ODBC. Utilisez l'objet PreparedStatement pour stocker une instruction SQL précompilée que vous pouvez exécuter plusieurs fois. Utilisez l'objet CallableStatement pour appeler des procédures stockées.

Vous pouvez utiliser des méthodes d'appels standards et définir des méthodes dans l'objet PreparedStatement de la requête paramétrable.

Un service de données SQL accepte des types de données courants lorsque vous configurez des valeurs par défaut pour les paramètres de procédures stockées. Les types de données par défaut de la date, de l'heure et de l'horodatage sont au format ISO.

Vous ne pouvez pas utiliser les éléments suivants dans une requête paramétrée que vous exécutez dans un service de données SQL :

• Appels de méthode d'instruction préparée addBatch() et executeBatch()• Méthodes Set à partir de JDBC 6.0

• Les instructions DDL et DML qui renvoient des nombres de mises à jour

• Des procédures stockées qui renvoient des valeurs

• Des types de données tableau

Mots réservésCertains mots clés sont réservés à des fonctions spécifiques.

Les mots suivants sont des mots réservés :

• Tous les mots réservés de transformation de langage

• Tous les mots-clés 92-99

Pour utiliser des mots réservés dans une requête SQL, entourez le mot de doubles guillemets.

Syntaxe d'échappementLes services de données SQL prennent en charge les clauses d'échappement pour les fonctions, les formats de date, d'heure et d'horodatage.

Une clause d'échappement contient un mot-clé entre accolades.

Mots réservés 31

Le tableau suivant répertorie les mots-clés que vous pouvez utiliser dans une clause d'échappement :

Category Keyword Syntax

Functions fn {fn function_name( arguments )}Par exemple :

SELECT {fn SUBSTRING( EmpName, 1, 2 )} from Emp

Formats de date d {d 'value'}Le format d'une valeur de date doit correspondre au format de date par défaut du service de données SQL. Ainsi, si le format de date par défaut du service de données SQL est YYYY-MM-DD, la valeur de la date doit inclure une année sur 4 chiffres.Par exemple :

SELECT * FROM Orders WHERE OrderDate > {d '2005-01-01'}

Formats d'heure t {t 'value'}Le format d'une valeur d'heure doit correspondre au format d'heure par défaut du service de données SQL. Ainsi, si le format d'heure par défaut du service de données SQL est HH:MI:SS, la valeur de l'heure ne peut pas inclure des secondes fractionnaires.Par exemple :

SELECT * FROM Orders WHERE OrderTime < {t '12:00:00'}

Formats d'horodatage

ts {ts 'value'}Le format d'une valeur d'horodatage doit correspondre au format d'horodatage par défaut du service de données SQL. Ainsi, si le format d'horodatage par défaut du service de données SQL est YYYY-MM-DD HH:MI:SS, la valeur de l'horodatage ne peut pas inclure des secondes fractionnaires.Par exemple :

SELECT * FROM Sales WHERE TransactTime > {ts '2010-01-15 12:00:00'}

Syntaxe d'échappement pour le mot-clé fnLes services de données SQL prennent en charge certaines fonctions lorsque vous utilisez une séquence d'échappement de fonction.

Le tableau suivant répertorie les fonctions des services de données SQL lorsque vous utilisez une séquence d'échappement de fonction :


CURTIMESTAMP CURTIMESTAMP() Renvoie la date et l'heure actuelles sur le nœud qui héberge le Data Integration Service. La valeur renvoyée ne change pas si cette fonction est exécutée plusieurs fois dans une instruction unique.

EXP EXP( exponent ) Renvoie e élevé à la puissance spécifiée (exposant), où e = 2,71828183.



EXTRACT EXTRACT( YEAR|MONTH|DAY|HOUR|MINUTE|SECOND FROM date )

Renvoie la partie spécifiée d'une date comme valeur entière. Par conséquent, si vous créez une expression qui renvoie la partie jour de la date et que vous transmettez une date telle que Avr. 15 2007 00:00:00, EXTRACT renvoie la valeur 15.

FLOOR FLOOR( numeric_value ) Renvoie le plus grand nombre entier inférieur ou égal à la valeur numérique transmise à cette fonction.

LCASE LCASE( string ) Convertit les caractères majuscules de la chaîne en minuscules.

LENGTH LENGTH( string ) Renvoie le nombre de caractères dans une chaîne, y compris les blancs à la fin.

LOCATE LOCATE( string, search_value )

Renvoie la position d'un jeu de caractères à partir du début d'une chaîne.

LOG LOG( numeric_value ) Renvoie le logarithme népérien d'une valeur numérique.

LTRIM LTRIM( string ) Supprime les espaces au début d'une chaîne.

MOD MOD( numeric_value, divisor )

Renvoie le reste d'un calcul de division.

POWER POWER( base, exponent )

Renvoie une valeur élevée à l'exposant que vous transmettez à la fonction.

RTRIM RTRIM( string ) Supprime les espaces à la fin d'une chaîne.

SIN SIN( numeric_value ) Renvoie le sinus, exprimé en radians, d'une valeur numérique.

SINH SINH( numeric_value ) Renvoie le sinus hyperbolique, exprimé en radians, d'une valeur numérique.

SQRT SQRT( numeric_value ) Renvoie la racine carrée d'une valeur numérique non négative.

SUBSTRING SUBSTRING( string, start [,length] )

Renvoie une portion de chaîne. Compte tous les caractères, y compris les blancs.

TAN TAN( numeric_value ) Renvoie la tangente, exprimée en radians, d'une valeur numérique.

TANH TANH( numeric_value ) Renvoie la tangente hyperbolique, exprimée en radians, d'une valeur numérique.

Syntaxe d'échappement 33


TRIM TRIM( [operand] string )

Retire les caractères du début et de fin d'une chaîne de caractères, ou les deux.Les opérandes sont les suivants :- LEADING [ trim_character FROM ]- TRAILING [ trim_character FROM ]- BOTH [ trim_character FROM ]L'argument trim_character transmet le caractère que vous voulez supprimer. Entourez le caractère coupé par des guillemets simples. Si vous omettez le caractère coupé, la fonction TRIM supprime des espaces.Par exemple, TRIM ( ' Mary ' ) renvoie Mary (pas d'espaces). TRIM( BOTH '*' FROM '**Mary*' ) renvoie Mary.

UCASE UCASE( string ) Convertit les caractères minuscules de la chaîne en majuscule.

Résolution de problèmes de services de données SQL

Les solutions aux situations suivantes sont susceptibles de vous aider à résoudre des problèmes de services de données SQL.

Lorsque j'utilise un caractère spécial dans une requête de table virtuelle dans un service de données SQL, la requête échoue.

Si le nom de la table virtuelle ou de la colonne contient des caractères spéciaux, vous devez entourer le nom de guillemets doubles. Par exemple, un service de données SQL contient une table virtuelle du nom de « @Clients ». Pour renvoyer toutes les lignes de la table, saisissez la requête suivante :

SELECT * FROM "@Customers"Lorsque j'utilise la fonction CONVERT_BASE pour convertir un nombre négatif en une requête SQL, la requête échoue.

La fonction CONVERT_BASE convertit les chaînes numériques non négatives. Pour convertir des données binaires ayant des valeurs négatives, vous pouvez saisir la requête suivante :

CONVERT_BASE(TO_CHAR(X-ABS(value)), source_base, dest_base) ) X représente la base de destination élevée au nombre de bits.

Par exemple, la requête suivante utilise 2^16=65536 et calcule les entiers négatifs pour les données binaires ayant 16 bits :

CONVERT_BASE(TO_CHAR(65536-ABS(NEWFIELD)), 10, 2) )J'ai saisi une requête SQL qui convertit un nombre élevé en une valeur binaire en utilisant la fonction CONVERT_BASE et le résultat est tronqué.

Utilisez la fonction CAST() lorsque vous convertissez des nombres élevés en binaire. Par exemple, la requête CONVERT_BASE suivante convertit 2222 de base 10 en base 2 :

CAST(CONVERT_BASE( 2222, 10, 2 ) AS VARCHAR(100))


J'ai saisi une requête SQL qui convertit un nombre élevé en une valeur binaire en utilisant la fonction CONVERT_BASE et le résultat est tronqué.

Utilisez la fonction CAST() lorsque vous convertissez des nombres élevés en binaire. Par exemple, la requête CONVERT_BASE suivante convertit 2222 de base 10 en base 2 :

CAST(CONVERT_BASE( 2222, 10, 2 ) AS VARCHAR(100))Lorsque j'utilise la fonction TO_DECIMAL pour convertir une chaîne ou une valeur numérique en valeur décimale, la requête échoue avec une erreur de dépassement décimal ou la requête renvoie une valeur décimale inattendue.

Utilisez la fonction CAST () pour modifier l'instruction SQL lorsque vous utilisez la fonction TO_DECIMAL dans une requête SQL. Par exemple, la requête TO_DECIMAL suivante utilise la fonction CAST pour renvoyer la valeur décimale 60,250 :

CAST(TO_DECIMAL((60 + .25, 3))

Résolution de problèmes de services de données SQL 35

C H A P I T R E 4

Connexions du service de données SQL

• Présentation des connexions du service de données SQL, 36

Présentation des connexions du service de données SQL

Un service de données SQL est une base de données virtuelle que vous pouvez interroger. Il fournit un aperçu uniforme des données éparpillées sur plusieurs sources de données disparates et hétérogènes. Vous pouvez exécuter un outil client JDBC ou ODBC tiers pour exécuter les requêtes SQL par rapport aux tables virtuelles dans un service de données SQL et pour exécuter des procédures virtuelles stockées.


• Des schémas virtuels qui définissent la structure de la base de données

• Des tables virtuelles

• Des mappages de table virtuelle qui définissent le flux de données entre sources et tables virtuelles.

• Des procédures virtuelles stockées qui prennent des entrées facultatives grâce à des paramètres, transforment les données et éventuellement renvoient des résultats grâce aux paramètres.

Pour rendre les tables virtuelles et les procédures virtuelles stockées disponibles, un développeur crée et déploie une application qui contient le service de données SQL. Le développeur déploie l'application dans un Data Integration Service et un administrateur exécute l'application. Lorsque l'application est en cours d'exécution, vous pouvez interroger les tables virtuelles et exécuter des procédures virtuelles stockées dans le service de données SQL.

Lorsque vous interrogez une table virtuelle ou exécutez une procédure virtuelle stockée, le pilote JDBC ou ODBC envoie la requête au Data Integration Service. Par défaut, le pilote utilise le protocole HTTP pour communiquer avec le Data Integration Service. Si un administrateur active le protocole de sécurité TLS (Transport Layer Security) pour le domaine, le pilote utilise TLS pour communiquer avec le Data Integration Service.

Avant d'exécuter des requêtes SQL ou des procédures virtuelles stockées pour la première fois, vous devez configurer la machine à partir de laquelle vous voulez accéder au service de données SQL. Vous devez aussi configurer l'outil client pour qu'il se connecte au service de données SQL.

36

C H A P I T R E 5

Configuration de machine clienteCe chapitre comprend les rubriques suivantes :

• Présentation de la configuration de machine cliente, 37

• Connexions client JDBC, 38

• Connexions client ODBC sous Windows, 40

• Connexions client ODBC sous UNIX, 44

Présentation de la configuration de machine clienteAvant de vous connecter à un service de données SQL via un outil client tiers, vous devez configurer la machine à partir de laquelle vous voulez vous connecter. Vous pouvez configurer la machine différemment en fonction de si vous voulez vous connecter via un outil client JDBC ou ODBC.

Avant de configurer la machine cliente JDBC ou ODBC, vous devez obtenir les informations sur le domaine par l'administrateur Informatica. Si l'administrateur Informatica active la mise en cache des ensembles de résultats du service de données SQL, vous devez également décider si vous voulez pouvoir mettre les résultats en cache ou les extraire du cache.

Configuration requise de la machine clientLes informations de domaine sont nécessaires à la construction de la chaîne de connexion JDBC, URL ou ODBC de l'outil client.

Le tableau suivant décrit les informations de domaine nécessaires à la configuration de la connexion JDBC ou ODBC sur la machine cliente :

Informations nécessaires Description

Nom du Data Integration Service

Data Integration Service sur lequel l'application qui contient le service de données SQL s'exécute.

Nom de l'hôte du domaine Nom de la machine hébergeant le domaine Informatica.

Port HTTP du domaine Numéro de port HTTP du domaine Informatica.

37

Informations nécessaires Description

Nom du service de données SQL exécutable

Service de données SQL qui contient les tables virtuelles que vous voulez interroger ou les procédures virtuelles stockées que vous voulez exécuter.Par défaut, le nom de service de données SQL exécutable est :

<application name>.<SQL data service name>où <nom d'application> est le nom de l'application qui contient le service de données SQL.

Nom de domaine de sécurité Nom du domaine de sécurité Informatica. Nécessaire si le domaine de sécurité n'est pas natif.

Nom d'utilisateur Nom d'utilisateur du domaine Informatica. Nécessaire si vous ne pouvez pas renseigner ces informations dans l'outil client JDBC ou ODBC.

Mot de passe utilisateur Mot de passe utilisateur du domaine Informatica. Nécessaire si vous ne pouvez pas renseigner ces informations dans l'outil client JDBC ou ODBC.

Mise en cache de l'ensemble des résultatsLa mise en cache de l'ensemble de résultats permet au Data Integration Service d'utiliser les résultats mis en cache pour les requêtes du service de données SQL et les requêtes du service Web. Vous pouvez désactiver la mise en cache de l'ensemble de résultats pour une requête de service de données SQL lorsque le service de données SQL est configuré pour mettre en cache l'ensemble des résultats.

Les utilisateurs qui exécutent des requêtes identiques sur une courte période souhaiteront peut-être utiliser la mise en cache de l'ensemble de résultats pour réduire la durée d'exécution des requêtes identiques.

Lorsque vous désactivez la mise en cache de l'ensemble de résultats, le Data Integration Service ne met pas en cache les résultats de la requête et n'utilise pas l'ensemble de résultats pour renvoyer les résultats de la requête. Pour désactiver la mise en cache de l'ensemble des résultats de toutes les requêtes SQL, ajoutez la chaîne suivante à la fin de l'URL JDBC ou de la chaîne de connexion ODBC : &SQLDataServiceOptions.disableResultSetCache=true

Connexions client JDBCVous pouvez vous connecter à un service de données SQL via un outil client JDBC tel que SQuirreL SQL.

Avant de pouvoir vous connecter à un service de données SQL via un outil JDBC client vous devez effectuer les tâches suivantes :

1. Installez le pilote JDBC.

2. Mettez à jour la variable d'environnement CLASSPATH.

Remarque: Le pilote Informatica JDBC ne prend pas en charge la méthode setBingInt. Si vous utilisez la méthode setBigInt dans une requête paramétrable, le code client Java échoue à la compilation. Si vous devez lier des données à une colonne bigint, utilisez la méthode setLong.

38 Chapitre 5: Configuration de machine cliente

Installation du pilote JDBC InformaticaInstallez le pilote JDBC Informatica sur la machine depuis laquelle vous vous connectez au service de données SQL. Pour installer le pilote, exécutez le programme d'installation de pilote JDBC/ODBC.

La version du pilote JDBC Informatica doit correspondre à celle du Data Integration Service. Par exemple, la version 9.5.0 du pilote JDBC Informatica JDBC n'est pas compatible avec la version 9.1.0 du Data Integration Service. De même, la version 9.1.0 du pilote JDBC Informatica JDBC n'est pas compatible avec la version 9.5.0 du Data Integration Service.

Mise à jour de CLASSPATHMettez à jour la variable d'environnement CLASSPATH pour inclure le pilote JDBC. Le pilote JDBC Informatica est compilé avec Java 6.

Le pilote JDBC Informatica est installé dans l'emplacement suivant :

<InformaticaInstallationDir>\tools\jdbcdrv\infadsjdbc.jarSi vous avez installé un pilote JDBC tiers, le pilote est dans l'emplacement suivant :

<InformaticaInstallationDir>/externaljdbcjars/<driver name>.jar

Connexion au service de données SQLVous pouvez vous connecter à un service de données SQL via un outil client JDBC.

Pour se connecter via un outil client JDBC, la variable d'environnement CLASSPATH sur la machine où s'exécute l'outil client doit inclure le pilote JDBC.

1. Ouvrez l'outil client JDBC.

2. Entrez le nom de classe et l'URL JDBC.

Le tableau suivant décrit les options et valeurs JDBC que vous entrez :

Option Valeur

Nom de classe com.informatica.ds.sql.jdbcdrv.INFADriver

URL JDBC jdbc:informatica:sqlds/<optional security domain\><optional user name>/<optional user password>@<domain host name>:<domain HTTP port>?dis=<Data Integration Service name>&sqlds=<runtime SQL data service name>

Résolution de problèmes de connexion JDBC

Je me connecte à un service de données SQL via un outil client JDBC. J'obtiens une erreur lorsque j'essaie de lier des données à une colonne bigint via une requête paramétrable.Le pilote Informatica JDBC ne prend pas en charge la méthode setBingInt. Si vous utilisez la méthode setBigInt dans une requête paramétrable, le code client Java échoue à la compilation.

Connexions client JDBC 39

Si vous devez lier des données à une colonne bigint, utilisez la méthode setLong au lieu de la méthode setBigInt. Par exemple, le code suivant ne cause pas d'erreur du pilote JDBC :

String sql = "select * from VT where COL_BIGINT = ?";PreparedStatement stmt = connection.prepareStatement(sql);stmt.setLong (1,new Long("9223372036854775807"));

Connexions client ODBC sous WindowsVous pouvez vous connecter à un service de données SQL via un outil client ODBC tels que QlikView ou WinSQL.

Avant de pouvoir vous connecter à un service de données SQL via un outil client ODBC sous Windows, effectuez les tâches suivantes :

1. Installer ou mettre à niveau le pilote ODBC Informatica approprié. Pour PowerCenter, installez le pilote ODBC des services de données Informatica. Si vous effectuez une mise à niveau PowerCenter, vous pouvez éventuellement mettre à niveau le pilote ODBC. Pour les outils clients tiers, installez le pilote ODBC des services de données Informatica 9.5.1. Si vous mettez à niveau à l'outil client tiers, vous devez mettre à niveau le pilote ODBC des services de données Informatica 9.5.1.

2. Configurez le pilote ODBC Informatica.

Installation ou mise à niveau du pilote ODBC des services de données Informatica sous Windows

Installez ou mettez à niveau le pilote ODBC des services de données Informatica pour PowerCenter lorsque vous utilisez PowerCenter pour vous connectez à un service de données SQL. Installez ou mettez à niveau le pilote ODBC des services de données Informatica 9.5.1 lorsque vous vous connectez à un service de données SQL depuis un outil client tiers. Installez le pilote sur la machine depuis laquelle vous vous connectez au service de données SQL. Vous pouvez installer le pilote sur plusieurs machines en mode graphique ou silencieux.

Lorsque vous installez le pilote ODBC des services de données Informatica pour PowerCenter, le programme d'installation des pilotes JDBC/ODBC Informatica met à jour le chemin système pour inclure le répertoire de la machine virtuelle Java (jvm.dll). Si vous installez le pilote sur une machine avec un système d'exploitation Windows 64 bits, vous devez redémarrer la machine après l'exécution du programme d'installation de pilote JDBC/ODBC Informatica.

Installation en mode graphiquePour installer le pilote en mode graphique, exécutez le programme d'installation du pilote JDBC/ODBC Informatica.

1. Fermez toutes les autres applications.

2. Exécutez install.bat.

3. Sélectionnez l'une des options suivantes :

• Installer le pilote ODBC des services de données Informatica

• Mettre à niveau le pilote ODBC des services de données Informatica



La page Configuration requise pour l'installation affiche les spécifications système requises. Vérifiez toute la configuration requise de l'installation avant de poursuivre l'installation.


6. Sur la page Répertoire d'installation, entrez le chemin d'accès absolu pour le répertoire d'installation.

7. Sur la page Résumé pré-installation, vérifiez les informations d'installation et cliquez sur Installer.

Le programme d'installation copie les fichiers de pilote dans le répertoire d'installation du serveur. La page Résumé post-installation indique si l'installation est réussie.


Vous pouvez afficher les fichiers journaux de l'installation pour obtenir plus d'informations sur les tâches effectuées par le programme d'installation.

Installation en mode silencieuxPour installer le pilote sans intervention de l'utilisateur, installez-le en mode silencieux avec un fichier de propriétés contenant les options d'installation. Le programme d'installation du pilote lit le fichier pour déterminer les options d'installation.

Utilisez le mode d'installation silencieux pour installer le pilote sur plusieurs machines du réseau ou pour standardiser l'installation parmi les machines.

1. Utilisez un éditeur de texte pour ouvrir et modifier les valeurs des propriétés dans le fichier.

Le tableau suivant décrit les propriétés de l'installation que vous pouvez modifier :

Propriété Description

INSTALL_TYPE Indique s'il faut installer ou mettre à niveau le pilote.Si la valeur est 0, le pilote est installé dans le répertoire que vous indiquez. Si la valeur est 1, le pilote est mis à niveau.La valeur par défaut est 0.

USER_INSTALL_DIR Répertoire d'installation du pilote Informatica. Par exemple, C:\\Informatica\<version>.

2. Enregistrez le fichier de propriétés.

3. Pour exécuter l'installation silencieuse, double-cliquez sur silentInstall.bat.

Le programme d'installation silencieuse s'exécute en tâche de fond. L'installation silencieuse est terminée lorsque Informatica_<Version>_Driver_InstallLog.log est créé dans le répertoire de base.

L'installation silencieuse échoue si vous n'avez pas configuré le fichier de propriétés correctement ou si le répertoire d'installation n'est pas disponible. Affichez le fichier journal d'installation dans SYSTEM_DRIVE_ROOT. Par exemple, C:\silentErrorLog.log. Corrigez les erreurs et exécutez l'installation silencieuse.

Configuration du pilote ODBC d'Informatica Data Services pour PowerCenter

Avant de pouvoir vous connecter à un service de données SQL via un outil ODBC client sous Windows, vous devez configurer le pilote ODBC Informatica.

1. Ouvrez Outils d'administration dans le panneau de configuration de Windows.

Connexions client ODBC sous Windows 41

2. Ouvrez le raccourci Sources de données (ODBC).

L'Administrateur de sources de données ODBC apparaît.

3. Cliquez sur Ajouter.

4. Sélectionnez le pilote ODBC d'Informatica Data Services pour PowerCenter.


6. Configurez les options de pilote.

Le tableau suivant décrit les options de pilote et les valeurs que vous pouvez configurer :

Option Valeur

Nom de DSN Tout nom de source de données valide.

Chaîne de connexion jdbc:informatica:sqlds/<optional security domain\><optional user name>/<optional user password>@<domain host name>:<domain HTTP port>?dis=<Data Integration Service name>&sqlds=<runtime SQL data service name>

JDBC Jar <InformaticaInstallationDir>\tools\jdbcdrv\infadsjdbc.jar

Traiter la longueur en caractères (paramètres différés)* Activer cette option pour MicroStrategy uniquement.

Activé

Application multi-thread Activé

Configuration du pilote ODBC d'Informatica Data Services 9.6.0Avant de vous connecter à un service de données SQL via un outil client ODBC sous Windows, configurez le pilote ODBC d'Informatica Data Services 9.6.0.

1. Ouvrez Outils d'administration dans le panneau de configuration de Windows.

2. Ouvrez le raccourci Sources de données (ODBC).

L'Administrateur de sources de données ODBC apparaît.


4. Sélectionnez le pilote ODBC d'Informatica Data Services 9.6.0.


6. Configurez la méthode d'authentification.

7. Configurez les options du pilote.


Le tableau suivant décrit les options pour les méthodes d'authentification que vous pouvez configurer :

Option Définition

Authentification native ou LDAP

Se connecte au service de données SQL avec un compte utilisateur dans un domaine de sécurité natif ou LDAP. Vous pouvez utiliser cette option si vous n'utilisez pas l'authentification Kerberos dans le domaine Informatica.

Kerberos avec keytab

Se connecte au service de données SQL avec un compte d'utilisateur dans un domaine de sécurité LDAP. Vous pouvez sélectionner cette option si vous utilisez l'authentification réseau Kerberos dans le domaine Informatica et avez créé un keytab pour le compte utilisateur. Pour utiliser cette option, vous devez spécifier le chemin absolu du fichier keytab et devez disposer de la variable d'environnement KRB5_CONF sur la machine client. KRB5_CONF exige le chemin d'accès absolu du fichier de configuration Kerberos krb5.conf.

Kerberos avec nom d'utilisateur et mot de passe

Se connecte au service de données SQL avec un compte d'utilisateur dans un domaine de sécurité LDAP. Sélectionnez cette option si vous utilisez l'authentification réseau Kerberos dans le domaine Informatica et ne voulez pas utiliser un keytab pour authentifier le compte utilisateur. Pour utiliser cette option, vous devez définir dans la variable d'environnement KRB5_CONF le chemin absolu du fichier de configuration Kerberos, krb5.conf.

Utilisateur connecté Se connecte au service de données SQL avec le compte utilisateur actuellement connecté au client. Le compte utilisateur doit appartenir au domaine de sécurité natif ou à un domaine de sécurité LDAP du domaine Informatica. Si le domaine Informatica utilise l'authentification Kerberos, vous devez également définir dans la variable d'environnement KRB5_CONF le chemin absolu du fichier de configuration Kerberos, krb5.conf.

Le tableau suivant décrit les options de pilote et les définitions que vous pouvez configurer :

Option Définition

Nom de DSN Tout nom de source de données valide.

Nom d'hôte Nom de la machine hébergeant le domaine Informatica.

Port Numéro de port HTTP du domaine Informatica.

Nom de service de données SQL

Service de données SQL qui contient les tables virtuelles que vous voulez interroger ou les procédures stockées virtuelles que vous voulez exécuter.Par défaut, le nom de service de données SQL est :<nom d'application>.<nom du service de données SQL>où <nom d'application> est le nom de l'application qui contient le service de données SQL.

Nom du service d'intégration de données

Service d'intégration de données sur lequel l'application qui contient le service de données SQL s'exécute.

Nom d'utilisateur Nom d'utilisateur du domaine Informatica.

Mot de passe Mot de passe utilisateur du domaine Informatica.

Connexions client ODBC sous Windows 43

Option Définition

Paramètres facultatifs Vous pouvez utiliser les paramètres de configuration facultatifs du service d'intégration de données suivants :• optimizeLevel – définit le niveau d'optimisation de mappage.• highPrecision – exécute les mappages en mode haute précision.• defaultDateFormat – propriété de connexion qui spécifie le format de date.• defaultTimeFormat – propriété de connexion qui spécifie le format d'heure.• defaultTimeStampFormat – propriété de connexion qui spécifie le format de

date et d'heure.• dumpMapping – crée des fichiers XML qui représentent les mappages eDTM

optimisés et non optimisés.• ResultSetCacheExpirationPeriod – durée en millisecondes pendant lequel un

résultat est disponible pour utilisation après avoir été généré. Si la valeur définie est 0, la mise en cache de l'ensemble des résultats est désactivée.

Utilisez le caractère & pour séparer plusieurs valeurs.

Keytab pour le service de données SQL

Chemin absolu du fichier keytab local.

SPN pour le service de données SQL

SPN (Service Principal Name) que l'utilisateur et le service utilisent pour s'authentifier mutuellement.

Domaine de sécurité Domaine de sécurité de l'utilisateur.

Connexion au service de données SQLVous pouvez vous connecter à un service de données SQL via un outil client ODBC sous Windows.

Pour se connecter à un service de données SQL via un outil client ODBC sous Windows, la variable d'environnement PATH de la machine Windows doit inclure les éléments suivants :

• Le répertoire de la machine virtuelle Java (jvm.dll) si vous avez installé le pilote ODBC des services de données Informatica pour PowerCenter.

• Emplacement des fichiers binaires des pilotes si avez installé le pilote ODBC des services de données Informatica 9.5.1.

Connexions client ODBC sous UNIXVous pouvez vous connecter à un service de données SQL via un outil client ODBC tel qu'IBM Cognos.

Avant de pouvoir vous connecter à un service de données SQL via un outil ODBC client sous UNIX, vous devez effectuer les tâches suivantes :

1. Installer ou mettre à niveau le pilote ODBC Informatica approprié. Pour PowerCenter, installez les pilote ODBC des services de données Informatica. Si vous effectuez une mise à niveau PowerCenter, vous pouvez éventuellement mettre à niveau le pilote ODBC. Pour les outils clients tiers, installez le pilote ODBC des services de données Informatica 9.5.1. Si vous mettez à niveau à l'outil client tiers, vous devez mettre à niveau le pilote ODBC des services de données Informatica 9.5.1.

2. Mettez à jour la variable d'environnement de bibliothèque partagée.

3. Mettez à jour odbc.ini. et odbcinst.ini


Installation ou mise à niveau du pilote ODBC des services de données Informatica sous UNIX

Installez ou mettez à niveau le pilote ODBC des services de données Informatica pour PowerCenter lorsque vous utilisez PowerCenter pour vous connectez à un service de données SQL. Installez le pilote ODBC des services de données Informatica 9.5.1 lorsque vous vous connectez à un service de données SQL depuis un outil client tiers.

Installez le pilote sur la machine depuis laquelle vous vous connectez au service de données SQL. Vous pouvez installer le pilote sur plusieurs machines en mode graphique ou silencieux.

Installation en mode graphiquePour installer le pilote en mode graphique, exécutez le programme d'installation du pilote JDBC/ODBC Informatica.

1. Fermez toutes les autres applications.

2. Exécutez install.sh.

3. Sélectionnez l'une des options suivantes :

• Installer le pilote ODBC des services de données Informatica

• Mettre à niveau le pilote ODBC des services de données Informatica


La page Configuration requise pour l'installation affiche les spécifications système requises. Vérifiez toute la configuration requise de l'installation avant de poursuivre l'installation.


6. Sur la page Répertoire d'installation, entrez le chemin d'accès absolu pour le répertoire d'installation.

7. Sur la page Résumé pré-installation, vérifiez les informations d'installation et cliquez sur Installer.

Le programme d'installation copie les fichiers de pilote dans le répertoire d'installation du serveur. La page Résumé post-installation indique si l'installation est réussie.


Vous pouvez afficher les fichiers journaux de l'installation pour obtenir plus d'informations sur les tâches effectuées par le programme d'installation.

Installation en mode silencieuxPour installer le pilote sans intervention de l'utilisateur, installez-le en mode silencieux avec un fichier de propriétés contenant les options d'installation. Le programme d'installation du pilote lit le fichier pour déterminer les options d'installation.

Utilisez le mode d'installation silencieux pour installer le pilote sur plusieurs machines du réseau ou pour standardiser l'installation parmi les machines.

1. Utilisez un éditeur de texte pour ouvrir et modifier les valeurs des propriétés dans le fichier.

Connexions client ODBC sous UNIX 45

Le tableau suivant décrit les propriétés de l'installation que vous pouvez modifier :


INSTALL_TYPE Indique s'il faut installer ou mettre à niveau le pilote.Si la valeur est 0, le pilote est installé dans le répertoire que vous indiquez. Si la valeur est 1, le pilote est mis à niveau.La valeur par défaut est 0.

USER_INSTALL_DIR Répertoire d'installation du pilote Informatica. Par exemple, /home/Informatica/<version>.

2. Enregistrez le fichier de propriétés.

3. Pour exécuter l'installation silencieuse, double-cliquez sur silentInstall.sh.

Le programme d'installation silencieuse s'exécute en tâche de fond. L'installation silencieuse est terminée lorsque Informatica_<Version>_Driver_InstallLog.log est créé dans le répertoire de base.

L'installation silencieuse échoue si vous n'avez pas configuré le fichier de propriétés correctement ou si le répertoire d'installation n'est pas disponible. Affichez le fichier journal d'installation dans le répertoire de base. Par exemple, /home/<user name>/silentErrorLog.log. Corrigez les erreurs et exécutez l'installation silencieuse.

Configuration du pilote ODBC des services de données Informatica pour PowerCenter

Avant de pouvoir vous connecter à un service de données SQL via un outil client ODBC sous UNIX, vous devez définir les variables d'environnement de bibliothèque partagée et mettre à jour le fichier odbc.ini.

Mise à jour de la variable d'environnement de bibliothèque partagéeDéfinissez la variable d'environnement de bibliothèque partagée en fonction du système d'exploitation.

Mettez à jour la variable d'environnement de bibliothèque partagée pour inclure les répertoires dans lesquels existent les fichiers de bibliothèque de la machine virtuelle Java et de Driver Manager.

Le tableau suivant décrit la variable d'environnement de bibliothèque partagée pour chaque système d'exploitation :

Système d'exploitation Variable d'environnement de bibliothèque partagée

AIX LIBPATH

Linux LD_LIBRARY_PATH

Solaris LD_LIBRARY_PATH

Mettez à jour la variable d'environnement de bibliothèque partagée pour inclure les répertoires suivants :

• Le répertoire où réside la bibliothèque de la plate-forme libjvm ou j9vm.

• Le répertoire où réside les bibliothèques libodbc et libodbcinst. C'est habituellement le répertoire de la bibliothèque de Driver Manager.


Mise à jour du fichier odbc.iniAvant de pouvoir vous connecter à un service de données SQL via un outil ODBC client sous UNIX, vous devez mettre à jour le fichier odbc.ini.

1. Éditez le fichier odbc.ini ou copiez-le dans le répertoire d'accueil et éditez-le. Ce fichier se trouve dans le répertoire $ODBCHOME.

$ cp $ODBCHOME/odbc.ini $HOME/.odbc.ini2. Ajoutez une entrée pour l'utilisateur ODBC sous la section [<nom utilisateur>_odbc]. Par exemple :

[<user name>_odbc]ConnectionString=jdbc:informatica:sqlds/<optional security domain\><optional user name>/<optional user password>@<domain host name>:<domain HTTP port>?dis=<Data Integration Service name>&sqlds=<runtime SQL data service name>Driver=$ODBC_DRIVER_INSTALL_LOCATION/bin/$OS/libinfadsodbc.soIsMultiThreaded=trueJDBCDriverLocation=<Informatica Installation Directory>/tools/jdbcdrv/infadsjdbc.jarUseDetach=falseWCHARLengthInChars=true

Configurez WCHARLengthInChars seulement pour MicroStrategy.

Configuration du pilote ODBC Services de données Informatica 9.5.1

Avant de pouvoir vous connecter à un service de données SQL via un outil client ODBC sous UNIX, vous devez définir les variables d'environnement de bibliothèque partagée et mettre à jour le fichier odbc.ini et les fichiers odbcinst.ini.

Mise à jour de la variable d'environnement de bibliothèque partagéeDéfinissez la variable d'environnement de bibliothèque partagée en fonction du système d'exploitation.

Mettez à jour la variable d'environnement de bibliothèque partagée pour y inclure les fichiers binaires du pilote.

Le tableau suivant décrit la variable d'environnement de bibliothèque partagée pour chaque système d'exploitation :

Système d'exploitation Variable d'environnement de bibliothèque partagée

AIX LIBPATH

Linux LD_LIBRARY_PATH

Solaris LD_LIBRARY_PATH

Mettez à jour la variable d'environnement de bibliothèque partagée pour y inclure les répertoires suivants :

• Le répertoire bin/ où se trouve la bibliothèque libinfadsodbc.

La bibliothèque contient les fichiers binaires des pilotes ODBC. Vous pouvez trouver cette bibliothèque dans tools/odbcdrv pour l'installation client et serveur. En ce qui concerne l'installation autonome, cette bibliothèque se trouve dans le répertoire d'installation.

Si vous utilisez le gestionnaire de pilotes DataDirect, créez une variable d'environnement ${OBDCINST} pour désigner le fichier odbcinst.ini.

Connexions client ODBC sous UNIX 47

Mise à jour du fichier odbc.ini et odbcinst.iniAvant de pouvoir vous connecter à un service de données SQL via un outil client ODBC sous UNIX, vous devez mettre à jour les fichiers odbc.ini et odbcinst.ini.

Si vous utilisez le gestionnaire de pilote DataDirect avec le pilote ODBC, vous pouvez stocker le fichier odbcinst.ini à n'importe quel emplacement. Utilisez la variable d'environnement ${ODBCINST} pour désigner le fichier odbcinst.file.

Si vous utilisez le gestionnaire de pilotes unixODBC, vous devez stocker le fichier odbcinst.ini dans le répertoire <DriverHome>. Vous ne pouvez pas utiliser la variable d'environnement ${ODBCINST} pour désigner le fichier odbcinst.file.

1. Modifiez le fichier odbc.ini ou copiez-le dans le répertoire de base et modifiez-le. Ce fichier se trouve dans le répertoire $ODBCHOME.

$ cp $ODBCHOME/odbc.ini $HOME/.odbc.ini2. Ajoutez une entrée pour l'utilisateur ODBC sous la section [<DSN>]. Par exemple :

[<DSN>]DataIntegrationService=<Data Integration Service name>Driver=$ODBC_DRIVER_INSTALL_LOCATION/bin/$OS/libinfadsodbc.soHostName=<domain host name>Port=<domain HTTP port>SQLDataService=<runtime SQL data service name>Optional Parameters=defaultDateFormat=DD/MM/YYYY&defaultTimeStampFormat=DD/MM/YYYY HH24:MI:SS

3. Ajoutez le pilote et les entrées de configuration dans le fichier odbcinst.ini. [Informatica Data Services ODBC Driver 9.5.1]Driver=<Complete path to driver>Setup=<Complete path to driver>

Par exemple :Driver=$ODBC_DRIVER_INSTALL_LOCATION/bin/$OS/libinfadsodbc.soSetup=$ODBC_SETUP_INSTALL_LOCATION/bin/$OS/libinfadsodbc.so

Connexion au service de données SQLVous pouvez vous connecter à un service de données SQL via un outil client ODBC sous UNIX.

Pour se connecter à un service de données SQL via un outil client ODBC sous UNIX, la variable d'environnement bibliothèque partagée de la machine UNIX doit inclure les répertoires corrects avec le dossier libodbcdrv.dll dans le chemin. Le fichier odbc.ini doit aussi être configuré sur la machine.

Résolution de problèmes de connexion ODBC pour PowerCenter

L'application ODBC consomme de grosses quantités de données.Augmentez la quantité maximale de mémoire disponible pour la machine virtuelle Java (la valeur -Xmx).

Pour augmenter la valeur -Xmx, paramétrez la variable d'environnement INFA_ODBCJVM à -Xmx??m, où ?? est le nombre de mégaoctets. Par exemple, pour paramétrer la valeur -Xmx à 64 Mo, paramétrez INFA_ODBCJVM à -Xmx 64m. Si vous définissez la valeur -Xmx à une valeur élevée, par exemple supérieure à 500 Mo, le gestionnaire de mémoire ne pourra peut-être pas allouer la mémoire.


C H A P I T R E 6

Configuration d'outil client tiersCe chapitre comprend les rubriques suivantes :

• Présentation de la configuration d'outils client tiers, 49

• Configuration BusinessObjects, 50

• Configuration IBM Cognos, 50

• Configuration MicroStrategy, 52

• Configuration d'Oracle Business Intelligence Enterprise Edition 11g, 54

• Configuration QlikView, 55

• Configuration de SQL Server Business Intelligence Development Studio, 55

• Configuration du client SQuirreL SQL, 56

• Configuration de Tableau, 58

• Configuration Toad for Data Analysts, 59

• Configuration WinSQL, 60

• Dépannage d'outils clients tiers, 61

Présentation de la configuration d'outils client tiersAvant de vous connecter à un service de données SQL, vous devez configurer l'outil client tiers JDBC ou ODBC à partir duquel vous voulez vous connecter.

Vous pouvez vous connecter à un service de données SQL via les outils clients tiers suivants :

• BusinessObjects

• IBM Cognos

• MicroStrategy

• Oracle Business Intelligence Enterprise Edition 11g

• QlikView

• Client SQuirreL SQL

• Tableau

• Toad for Data Analysts

• WinSQL

49

Configuration BusinessObjectsVous pouvez accéder aux données virtuelles d'un service de données SQL via un univers BusinessObjects. Importez des métadonnées dans l'univers à partir du service de données SQL. Utilisez une application BusinessObjects pour interroger les données ou pour générer des rapports.

Créez la connexion ODBC via une application BusinessObjects telle que BusinessObjects Designer. Pour créer la connexion ODBC, utilisez l'assistant Nouvelle connexion de l'application.

Pour configurer BusinessObjects afin que le programme accède au service de données SQL, effectuez les tâches suivantes :

1. Ouvrez l'assistant Nouvelle connexion de l'application Business Objects.

2. Cliquez sur Ajouter pour créer une connexion.

La boîte de dialogue Définir une nouvelle connexion, Sélection d'intergiciel de base de données s'affiche à l'écran.

3. Entrez le nom de la connexion, puis sélectionnez un pilote de source de base de données générique ODBC ou ODBC3.


La page Paramètres de connexion s'affiche à l'écran.

5. Entrez les informations de connexion.

Le tableau suivant décrit les options de connexion :

Option Description

Mode d'authentification Sélectionnez Utiliser un nom d'utilisateur et un mot de passe spécifiés.


Mot de passe Mot de passe d'utilisateur du domaine Informatica.

Nom de source de données Nom de la source de données ODBC pour le service de données SQL.

6. Cliquez sur Tester la connexion pour tester la connexion.

L'application BusinessObjects affiche un message vous indiquant que le serveur a donné une réponse.

7. Cliquez sur OK.

Après avoir effectué cette tâche, vous pouvez importer des métadonnées à partir d'un service de données SQL dans l'univers et générer des rapports basés sur les données.

Configuration IBM CognosIBM Cognos Framework Manager est un outil de modélisation qui vous permet de créer et de gérer des métadonnées professionnelles à utiliser dans les applications Cognos 8 BI. Créez un projet avec Framework Manager. Vous pouvez créer des connexions de source de données et en importer des métadonnées dans un projet.

Lorsque vous définissez une source de données dans le Framework Manager, vous créez une connexion ODBC dans le service de données SQL. Cognos utilise les informations de la connexion pour se connecter

50 Chapitre 6: Configuration d'outil client tiers

au service de données SQL. Après la création de la connexion ODBC et l'importation des métadonnées du service de données SQL, vous pouvez créer un modèle Cognos basé sur le service de données SQL. Utilisez le modèle pour lancer des requêtes et pour générer des rapports dans les applications Cognos BI.

Pour exécuter des requêtes qui comprennent des agrégations, le fichier de configuration Cognos doit inclure les informations sur le pilote ODBC Informatica.

Pour configurer IBM Cognos afin que le programme accède à un service de données SQL, effectuez les tâches suivantes :

1. Mettez à jour le fichier de configuration IBM Cognos pour inclure les informations du pilote ODBC Informatica.

2. Créez une connexion ODBC vers le service de données SQL et importez les métadonnées du service de données SQL dans un projet Cognos.

Étape 1. Mettre à jour le fichier de configuration IBM CognosMettez à jour le fichier de configuration IBM Cognos pour inclure les informations de pilote ODBC Informatica. Les informations du pilote ODBC du fichier de configuration permettent au Data Integration Service de gérer les requêtes SQL qui incluent les agrégations. Si vous ne mettez pas à jour le fichier de configuration et que vous faites une requête sur un service de données SQL à partir d'une application IBM Cognos, la requête peut échouer si elle inclut des agrégations.

Le fichier de configuration IBM Cognos, cogdmod.ini se trouve dans les répertoires suivants :

• C:\Program Files\cognos\tools\c8\bin\• C:\Program Files\cognos\c8\bin\Vous devez mettre à jour les deux copies du fichier de configuration.

1. Arrêtez le service Cognos.

2. Sauvegardez les deux copies du fichier cogdmod.ini.

3. Ajoutez les entrées suivantes aux deux copies du fichier cogdmod.ini :

[Exceptions Set Operators DRIVER:INFADSODBC.DLL]Distinct="distinct"Except="except"Except_All=TIntersect="intersect"Intersect_All=TUnion="union"Union_All=T[Exceptions Tables DRIVER:INFADSODBC.DLL]Derived=TJoined=TSimple=TUniqueName_Prefix="coguda"[Exceptions OLAP Functions DRIVER:INFADSODBC.DLL]Olap_Max="max"Olap_Min="min"Olap_Sum="sum"Olap_Avg="avg"Olap_Count="count"Olap_Count_Star="count(*)"Olap_Distinct="distinct"

4. Redémarrez le service Cognos.

Configuration IBM Cognos 51

Étape 2. Créer la connexion ODBC et importer les métadonnéesCréez la connexion ODBC et importez des métadonnées de service de données SQL dans un projet. Créez le projet avec Cognos Framework Manager. Exécutez l'assistant Exécuter les métadonnées de Framework Manager pour créer la connexion et importer des métadonnées.

1. Démarrez Cognos Framework Manager.

2. Créez un projet.

3. Exécutez l'assistant Exécuter les métadonnées.

4. Dans la fenêtre Sélectionner la source de métadonnées, cliquez sur Sources de données.


La fenêtre Sélectionner la source de données s'affiche à l'écran.

6. Cliquez sur Nouveau.

L'assistant Nouvelle source de données s'affiche à l'écran.

7. Saisissez un nom et une description optionnelle pour la source de données dans la page de nom et de description.


9. Dans la page de connexion, sélectionnez le type de base de données ODBC, puis un niveau d'isolation, puis cliquez sur Suivant.

10. Dans la page de chaîne de connexion, saisissez le nom de la source de données ODBC du service de données SQL dans les champs Source de données ODBC puis Chaîne de connexion ODBC. Saisissez le dépassement de délai ou les informations de connexion, si besoin. Saisissez l'identifiant et le mot de passe utilisateur s'ils ne font pas partie de la chaîne de connexion du pilote ODBC Informatica.

11. Cliquez sur Tester la connexion pour tester la connexion au pilote ODBC Informatica.

12. Dans l'assistant Exécuter les métadonnées, sélectionnez la source de données.


14. Dans la page Sélectionner les objets, sélectionnez les objets que vous voulez importer et spécifiez comment l'importation gère les noms d'objets dupliqués.

15. Spécifiez les critères à utiliser pour créer des relations et cliquez sur Importer.

Le Framework Manager affiche le nombre d'objets importés et une liste des objets qu'il n'a pas pu importer.


Configuration MicroStrategyMicroStrategy est une plate-forme de veille stratégique qui permet d'analyser, de distribuer et de personnaliser des informations d'entreprise. MicroStrategy Desktop permet de créer des projets et des rapports. Vous pouvez créer des connexions de source de données et en importer des métadonnées dans un projet.

Pour configurer MicroStrategy afin que le programme accède au service de données SQL, effectuez les tâches suivantes :

1. Créez l'instance de base de données et la connexion.

2. Configurez les options de génération SQL.


Étape 1. Créer l'instance et la connexion de base de donnéesUtilisez MicroStrategy Desktop pour créer l'instance de base de données et la connexion à la base de données. MicroStrategy récupère les métadonnées du service de données SQL grâce à l'instance de la base de données.

1. Ouvrez MicroStrategy Desktop.

2. Créez un projet.

3. Sélectionnez Schéma > Catalogue de l'entrepôt de données pour ouvrir le catalogue de l'entrepôt du projet.

La boîte de dialogue Instance de base de données de l'entrepôt de données s'affiche à l'écran.

4. Cliquez sur Nouveau.

L'assistant Instance de base de données s'affiche à l'écran.


6. Dans la page Informations générales sur l'instance de base de données, saisissez un nom d'instance de base de données, puis sélectionnez DBMS générique comme type de base de données.


8. Dans la page Informations sur la source de données ODBC, sélectionnez le nom de source de données ODBC pour le service de données SQL et saisissez le nom et le mot de passe utilisateur du domaine Informatica.


10. Cliquez sur OK pour fermer la boîte de dialogue Instance de base de données d'entrepôt de données.

11. Sélectionnez Schéma > Catalogue de l'entrepôt de données pour ouvrir le catalogue de l'entrepôt de données.

12. Cliquez sur Options.

13. Sélectionnez Connexion de l'entrepôt de données.

14. Dans les paramètres Connexion de l'entrepôt de données, sélectionnez l'instance de base de données, puis cliquez sur Modifier.

La boîte de dialogue Instances de base de données s'affiche à l'écran.

15. Cliquez sur Nouveau pour créer une connexion à la base de données.

La boîte de dialogue Connexions de base de données s'affiche à l'écran.

16. Dans l'onglet Général, saisissez un nom de connexion de base de données, puis sélectionnez le nom de la source de données ODBC du service de données SQL.

17. Cliquez sur l’onglet Avancé.

18. Paramétrez les options suivantes :

• Sélectionnez le mode pilotes de base de données Multi-threaded.

• Sélectionnez l'option Utiliser des requêtes paramétrables.

• Paramétrez l'option d'encodage de jeux de caractères pour les pilotes Windows et UNIX UTF-16LE.

19. Cliquez sur OK pour fermer la boîte de dialogue Connexions à la base de données.

20. Cliquez sur OK pour fermer la boîte de dialogue Instances de base de données.

21. Dans le catalogue de l'entrepôt de données, sélectionnez Paramètres de lecture.

22. Dans les Paramètres de lecture, sélectionnez Utiliser des appels ODBC standards pour obtenir le catalogue de la base de données.

Configuration MicroStrategy 53

23. Cliquez sur OK.

24. Dans le catalogue de l'entrepôt de données, cliquez sur Enregistrer et fermer pour enregistrer les modifications.

Étape 2. Configurer les options de génération SQLLes tables virtuelles d'un service de données SQL sont en lecture seule. Configurez les options de génération SQL pour empêcher les utilisateurs de MicroStrategy Desktop d'essayer d'écrire des données dans la base de données virtuelle.

1. Sélectionnez Schéma > Options de génération SQL pour ouvrir les options de génération SQL.

2. Dans les paramètres Entrepôts de données SQL, sélectionnez l'instance de base de données à laquelle vous vous connectez au service de données SQL.

3. Cliquez sur Propriétés VLDB pour modifier les propriétés VLDB de l'instance de base de données.

4. Ouvrez les paramètres des Tables.

5. Dans les paramètres Méthode de suppression des tables temporaires, choisissez la méthode de suppression des tables temporaires Ne rien faire.

6. Dans les paramètres Type de table intermédiaire, choisissez le type de table intermédiaire Table dérivée.

7. Dans les paramètres Type de création de table, choisissez le type de création de table Table implicite.

8. Dans les paramètres Prise en charge de CREATE et INSERT, sélectionnez l'option Create et insert ne sont pas pris en charge.

9. Enregistrez et fermez les options de génération SQL.

Configuration d'Oracle Business Intelligence Enterprise Edition 11g

Vous pouvez accéder aux données virtuelles dans un service de données SQL avec Oracle Business Intelligence Enterprise Edition 11g (OBIEE 11g). Importez des métadonnées à partir d'un service de données SQL dans OBIEE 11g pour générer des rapports.

Importez des métadonnées à partir de bases de données et d'autres sources de données pour remplir la couche physique. Vous pouvez importer des schémas ou des portions de schémas à partir de sources de données. Vous pouvez créer des objets manuellement dans la couche physique.

Pour configurer le client OBIEE 11g afin que le programme accède au service de données SQL, effectuez les tâches suivantes :

1. Ouvrez l'outil d'administration Oracle BI.

2. Créez un nouveau référentiel.

La boîte de dialogue Nouveau référentiel s'ouvre avec le dossier Référentiel sélectionné par défaut.

3. Nommez le fichier <RPDfilename>.rpd et saisissez le mot de passe deux fois.

4. Sélectionnez la source de données créée pour la connexion ODBC.

5. Sélectionnez les Types de métadonnées à importer et cliquez sur Suivant.


6. Sélectionnez Objets de métadonnées et cliquez sur Finir.

Configuration QlikViewVous pouvez accéder aux données virtuelles d'un service de données SQL via QlikView. Pour lire les données à partir d'un service de données SQL dans votre document QlikView, vous devez utiliser l'éditeur de scripts. Le script que vous créez utilise une connexion ODBC pour se connecter aux données et pour les extraire à partir du service de données SQL.

1. Créez un document QlikView.

2. Sélectionnez Fichier > Modifier le script.

La boîte de dialogue Modifier le script s'affiche à l'écran.

3. Dans la vue Données, sélectionnez ODBC comme base de données, puis cliquez sur Connexion.

La boîte de dialogue Connexion à la source de données s'affiche à l'écran.

4. Sélectionnez la source de données ODBC du service de données SQL, puis saisissez le nom et le mot de passe de l'utilisateur du domaine Informatica.

5. Cliquez sur Tester la connexion pour tester la connexion.

6. Cliquez sur OK pour fermer la fenêtre de résultats de connexion.

7. Cliquez sur OK pour fermer la boîte de dialogue Connexion à la source de données.

8. Dans la vue Données de la boîte de dialogue Modifier le script, cliquez sur Select pour créer une instruction SQL SELECT afin d'extraire les informations du service de données SQL.

9. Cliquez sur OK.

10. Exécutez le script pour extraire les données du service de données SQL.

Configuration de SQL Server Business Intelligence Development Studio

SQL Server Business Intelligence Development Studio est un environnement de développement intégré que l'on utilise pour développer des solutions d'analyse de données et de veille stratégique qui utilise les Reporting Services sur serveur SQL. Vous pouvez accéder aux données virtuelles dans un service de données SQL avec SQL Server Business Intelligence Development Studio.

Utiliser l'assistant de création de rapports pour vous connecter à une source de données et pour créer un rapport. Business Intelligence Development Studio importe des données à partir d'un service de données SQL en se basant sur les informations de connexion.

Pour configurer SQL Server Business Intelligence Development Studio, vous devez effectuer les tâches suivantes :

1. Ouvrez Business Intelligence Development Studio.

2. Créez un projet puis sélectionnez Projet de veille stratégique comme type de projet.

3. Sélectionnez l'assistant de création de projet de serveur de rapport.

Configuration QlikView 55

4. Saisissez le nom du projet et cliquez sur OK.

La boîte de dialogue Assistant de création de rapport s'affiche à l'écran.


6. Sélectionnez Nouvelle source de données.

7. Saisissez le nom de la source de données, puis sélectionnez le type ODBC.

8. Cliquez sur Éditer.

La boîte de dialogue Propriétés de la connexion s'affiche à l'écran.

9. Entrez les propriétés de la connexion.

Le tableau suivant décrit les propriétés de connexion que vous entrez :

Option Description

Nom de source de données Sélectionnez le nom de source de données ODBC pour le service de données SQL.

Identifiant utilisateur Nom d'utilisateur du domaine Informatica.


10. Cliquez sur Tester la connexion pour valider la connexion.


12. Cliquez sur Générateur de requête et entrez le nom et le mot de passe utilisateur.

La fenêtre Générateur de requête s'affiche à l'écran.

13. Sélectionnez l'option de table Ajouter.

La boîte de dialogue Ajouter une table s'affiche à l'écran.

14. Sélectionnez les tables, puis cliquez sur Ajouter.

15. Attribuez une relation ou joignez les tables manuellement.

16. Exécutez une requête SQL et vérifiez que les données s'affichent comme prévu.

17. Cliquez sur OK.

18. Sélectionnez le type de rapport Tabulaire ou Matrice, puis cliquez sur Suivant.

19. Sélectionnez les champs disponibles et cliquez sur Suivant.

20. Entrez le nom du rapport, puis cliquez sur Terminer pour créer le rapport.

Configuration du client SQuirreL SQLVous pouvez accéder aux données virtuelles d'un service de données SQL via le client SQuirreL SQL. Le client SQuirreL SQL vous permet de consulter la structure d'une base de données, de parcourir et d'interroger les données.

Pour configurer le client SQuirreL SQL afin que le programme accède au service de données SQL, effectuez les tâches suivantes :

1. Copiez le pilote JDBC Informatica dans le répertoire de bibliothèque client SQuirreL SQL.

2. Créez le pilote JDBC Informatica et l'alias de base de données dans le client SQuirreL SQL.


Après avoir effectué ces tâches, vous pouvez importer des données d'un service de données SQL vers le client SQuirreL SQL.

Étape 1. Copier le fichier du piloteCopiez le pilote JDBC Informatica dans le répertoire de bibliothèque client SQuirreL SQL.

u Copiez le pilote JDBC Informatica, infadsjdbc.jar, du répertoire suivant :

<Répertoire d'installation Informatica>\tools\jdbcdrv\Vers le répertoire suivant :

<Répertoire d'installation client SQuirreL SQL>\lib\

Étape 2. Créez le pilote et l'aliasPour lire les données d'un service de données SQL dans le client SQuirrel SQL, créez une définition de pilote et un alias de base de données. Le client SQuirreL SQL utilise la définition du pilote et de l'alias de la base de données pour vous permettre de consulter la structure du service de données SQL, de parcourir les données des tables virtuelles et de saisir des requêtes.

1. Ouvrez la fenêtre de la liste des Pilotes.

2. Sélectionnez Pilote > Nouveau pilote.

La boîte de dialogue Ajouter un pilote s'affiche à l'écran.

3. Entrez les propriétés du pilote.

Le tableau suivant décrit les propriétés du pilote que vous pouvez entrer :

Option Description

Nom pilote JDBC Informatica

Exemple d'URL jdbc:informatica:sqlds/<domaine de sécurité facultatif\><nom d'utilisateur facultatif>/<mot de passe utilisateur facultatif>@<nom de l'hôte du domaine>:<port HTTP du domaine>?dis=<nom du Data Integration Service>&sqlds=<nom de service des données SQL d'exécution>

URL de site Web jdbc:informatica:sqlds/<domaine de sécurité facultatif\><nom d'utilisateur facultatif>/<mot de passe utilisateur facultatif>@<nom de l'hôte du domaine>:<port HTTP du domaine>?dis=<nom du Data Integration Service>&sqlds=<nom de service des données SQL d'exécution>

Chemin de classe supplémentaire

<Répertoire d'installation Informatica>\tools\jdbcdrv\infadsjdbc.jar

Nom de classe com.informatica.ds.sql.jdbcdrv.INFADriver

4. Cliquez sur OK.

Le client SQuirreL SQL affiche un message vous informant que l'enregistrement a réussi.

5. Ouvrez la fenêtre de la liste des Alias.

6. Sélectionnez Alias > Nouvel alias.

Configuration du client SQuirreL SQL 57

La boîte de dialogue Ajouter un alias s'affiche à l'écran.

7. Entrez les propriétés de l'alias.

Le tableau suivant décrit les propriétés d'alias que vous pouvez entrer :

Option Description

Nom Nom de l'alias.

Pilote Sélectionnez le nouveau pilote.

URL jdbc:informatica:sqlds/<domaine de sécurité facultatif\><nom d'utilisateur facultatif>/<mot de passe utilisateur facultatif>@<nom de l'hôte du domaine>:<port HTTP du domaine>?dis=<nom du Data Integration Service>&sqlds=<nom de service des données SQL d'exécution>



8. Cliquez sur Tester.

Le client SQuirreL SQL affiche un message vous informant que la connexion a réussi.

9. Cliquez sur OK.

Configuration de TableauVous pouvez accéder aux données virtuelles d'un service de données SQL via Tableau. Tableau utilise le pilote ODBC d'Informatica Data Services 32 bits pour lire les données source d'un service de données SQL.

1. Démarrez Tableau.

2. Cliquez sur Se connecter aux données.

3. Cliquez sur Autres bases de données (ODBC).

4. Sélectionnez DSN pour utiliser une connexion ODBC 32 bits existante ou sélectionnez Pilote pour fournir les justificatifs d'identité pour se connecter au service de données SQL à l'aide du pilote ODBC d'Informatica SQL Data Services.

Si vous sélectionnez Pilote, indiquez les informations de connexion pour vous connecter à un service de données SQL. Tableau enregistre les justificatifs d'identité et les options dans le fichier de classeur Tableau (.twb) lorsque vous enregistrez le rapport. Par défaut, les fichiers .twb sont situés dans le répertoire suivant : C:\Users\<username>\ Documents\My Tableau Repository\Workbooks.

5. Cliquez sur Connexion.

6. Utilisez Tableau pour créer un rapport dans un service de données SQL.

7. Si vous devez faire glisser et déposer des champs Date ou Numérique dans Tableau, effectuez les modifications suivantes dans le fichier de classeur Tableau :

a. Recherchez la ligne <connection-customization class='genericodbc' enabled='true' version='8.1'> et vérifiez que enabled =’true’.


b. Modifier le champ SQL_NUMERIC_FIELDS. Remplacez la valeur par 6029280 : <customization name='SQL_MAX_IDENTIFIER_LEN' value='0' /> <customization name='SQL_NUMERIC_FUNCTIONS' value='6029280' /> <customization name='SQL_ODBC_INTERFACE_CONFORMANCE' value='1' />

Pour plus d'informations sur la personnalisation de Tableau, consultez la documentation de Tableau.

LIENS CONNEXES :• “Configuration du pilote ODBC d'Informatica Data Services 9.6.0” à la page 42

Configuration Toad for Data AnalystsToad for Data Analysts est un outil de requêtes de base de données. Vous pouvez accéder aux données virtuelles dans un service de données SQL avec Toad for Data Analysts. Utilisez le gestionnaire de navigation dans Toad for Data Analysts afin de maintenir et de créer des connexions de base de données.

Si vous vous connectez à une ou plusieurs bases de données, utilisez la barre d'outils « Connexions » pour spécifier la connexion active afin d'attribuer la connexion de base de données à toutes nouvelles fenêtres ou opérations.

Pour configurer Toad for Data Analysts afin que le programme accède au service de données SQL, effectuez les tâches suivantes :

1. Sélectionnez l'option Nouvelle connexion dans la barre d'outils.

La boîte de dialogue Créer une nouvelle connexion s'affiche à l'écran.

2. Sélectionnez ODBC dans la zone de liste Groupe.

3. Cliquez sur le champ Nom de source de données.


5. Sélectionnez le pilote ODBC dans la liste, puis cliquez sur Terminer.

6. Précisez les propriétés de configuration requises pour la base de données dans la boîte de dialogue de configuration de Windows.

Le tableau suivant décrit les propriétés de configuration que vous pouvez spécifier :

Option Description




7. Spécifiez les propriétés de connexion dans la boîte de dialogue Créer une nouvelle connexion.

Configuration Toad for Data Analysts 59

Le tableau suivant décrit les propriétés de connexion que vous pouvez spécifier :

Option Description

Utiliser le nom de la source de données

Sélectionnez cette option pour afficher les noms de sources de données.Déselectionnez-la pour afficher les noms de pilotes.

Nom de source de données

Sélectionnez le nom de source de données que vous avez ajouté lors des étapes précédentes.

Utilisateur Saisissez le nom d'utilisateur à utiliser lors de la connexion.

Mot de passe Saisissez le mot de passe à utiliser lors de la connexion.

Base de données Spécifiez l'emplacement du schéma de base de données.

Nom de source de données

Affiche le nom de la source de données sélectionnée.

Pilote Affiche le pilote ODBC associé avec la source de données.

Catégorie Sélectionnez ou créez une catégorie si vous désirez donner des codes couleur aux onglets Éditeur pour une connexion spécifique. Ceci peut vous aider à différencier les bases de données de développement et de production. Vous pouvez également paramétrer une option pour donner un code couleur au panneau Explorateur d'objet et aux fenêtres de l'éditeur d'objets.

8. Cliquez sur Se connecter pour enregistrer la connexion et vous connecter immédiatement à la base de données, ou cliquez sur Enregistrer pour enregistrer la connexion sans vous connecter à la base de données.

Configuration WinSQLVous pouvez accéder aux données virtuelles d'un service de données SQL via WinSQL. Pour lire des données à partir d'un service de données SQL, créez une nouvelle connexion. WinSQL importe des données à partir du service de données SQL en fonction des informations de connexion.

1. Créez une requête.

2. Sélectionnez Fichier > Nouvelle Connexion.

La boîte de dialogue Source de données ODBC s'affiche à l'écran.

3. Entrez les propriétés de la source de données ODBC.

Le tableau suivant décrit les propriétés de la source de données ODBC que vous pouvez entrer :

Option Description



Option Description



Type de base de données (plug-in WinSQL)

Sélectionnez ODBC générique.

4. Cliquez sur OK.

Dépannage d'outils clients tiers

Une erreur se produit lorsque je lance une requête sur un service de données SQL à l'aide d'Oracle Heterogeneous Services (OHS).Si vous utilisez Oracle Heterogeneous Services (OHS) pour accéder aux services de données directement depuis une requête Oracle, ajoutez des guillemets autour du lien de base de données lorsque vous configurez l'environnement Oracle 11g à connecter à ODBC.

Vous pouvez utiliser la syntaxe suivante pour configurer le lien de base de données dans un environnement Oracle 11g :

CREATE DATABASE LINK "DataService_Link"CONNECT TO "userID" IDENTIFIED BY "password"USING 'DataService ODBC DSN';

Par exemple :

CREATE DATABASE LINK "IDS_LINK1"CONNECT TO "Admin" IDENTIFIED BY "Admin1234"USING 'ids1';

Un service de données SQL est sensible à la casse. Lorsque vous lancez une requête sur un service de données SQL, les nom du schéma virtuel et de la table doivent être identiques à ceux définis dans le service de données SQL.

Cette erreur se produit lorsque je teste une nouvelle connexion ODBC via le pilote ODBC d'Informatica Data Services :

[SQLCMN_10007] The SQL Service Module could not find an SQL data service on the server with the name [<SQL data service name>]. Check the SQL data service name.

Lorsque vous entrez le nom de service de données SQL, utilisez la syntaxe correcte. Voici la syntaxe correcte :

<application>.<SQL data service name>

Dépannage d'outils clients tiers 61

C H A P I T R E 7

Intégration de Informatica Data Director


• Présentation de l'intégration Informatica Data Director, 62

• Exemple d'intégration Informatica Data Director, 63

• Mappages de table virtuelle, 66

• Configuration de la sécurité pour la table virtuelle de l'onglet personnalisé, 66

• Mises à jour du fichier de configuration, 67

Présentation de l'intégration Informatica Data Director

Vous pouvez intégrer des données opérationnelles détaillées d'un service de données SQL avec des données Informatica Data Director (IDD) pour donner accès au gestionnaire de données à une vue complète des données.

Les gestionnaires de données peuvent consulter des données de tables virtuelles dans un onglet personnalisé lorsqu'ils sélectionnent un enregistrement principal dans IDD. Le contenu apparaissant dans l'onglet personnalisé est le même que celui que l'outil Developer affiche dans la Visionneuse de données lorsque vous saisissez une requête SQL au format SELECT * FROM <table virtuelle> WHERE <condition de filtre>.

Pour terminer l'intégration, les développeurs de services de données, les administrateurs de domaine et les administrateurs du Hub MDM Informatica effectuent différentes tâches. Un développeur de services de données crée le service de données SQL qui contient la table virtuelle et déploie l'application qui la contient. Un administrateur de domaine ajoute des gestionnaires de données au domaine et leur attribue des autorisations sur la table virtuelle. Un administrateur du Hub MDM Informatica configure l'onglet personnalisé via un fichier de configuration IDD XML.

62

La table suivante répertorie les tâches spécifiques que chaque utilisateur effectue :

Utilisateur Outil Tâche

Développeur de services de données

Outil Developer Importe des sources opérationnelles qui contiennent des données pour la table virtuelle en tant qu'objets de données physiques.


Outil Developer Crée un service de données SQL avec une table virtuelle qui inclut les données à afficher dans l'onglet personnalisé IDD.


Outil Developer Crée un mappage de table virtuelle qui inclut les sources de données opérationnelles et définit les règles de transformation de données. Si le gestionnaire de données a besoin de consulter des données pour un enregistrement principal particulier, le développeur inclut une table de recherche qui lie les enregistrements de la source opérationnelle à un enregistrement principal.


Outil Developer Inclut le service de données SQL dans une application et déploie l'application dans un Data Integration Service.

Administrateur de domaine

Outil Administrator Ajoute les gestionnaires de données au domaine et leur donne l'autorisation Sélectionner sur la table virtuelle.

Administrateur du Hub MDM Informatica

Gestionnaire de configuration IDD ou Éditeur XML

Met à jour le fichier de configuration IDD. Le fichier de configuration spécifie le nom de l'onglet, l'application et la table virtuelle, ainsi que la condition de requête qui définit les données à afficher sur l'onglet.

Administrateur du Hub MDM Informatica

Gestionnaire de configuration IDD

Importe le fichier de configuration et déploie l'application IDD.

Gestionnaire de données

Informatica Data Director

Navigue dans l'enregistrement principal et consulte l'onglet personnalisé.Si le gestionnaire des données n'est pas un utilisateur du domaine ou s'il n'a pas d'autorisation sur la table virtuelle, l'onglet personnalisé affiche une erreur d'autorisation.

Exemple d'intégration Informatica Data DirectorLes gestionnaire de données consultent les enregistrements principaux dans Informatica Data Director (IDD). Lorsqu'ils consultent l'enregistrement principal d'un médecin, ils veulent consulter les dépenses de ce dernier.

Les données principales des médecins sont stockées dans la banque de référence opérationnelle MDM. Chaque enregistrement principal de médecin inclut des champs tels que son nom, sa spécialité, l'adresse de son cabinet, son numéro de téléphone et l'hôpital dans lequel il travaille.

Les données de dépenses du médecin sont stockées dans une table de base de données relationnelle. Les données concernant les dépenses incluent l'identifiant de transaction, l'identifiant de médecin, son nom, le type de dépense, la date et la somme en euros. Il existe normalement plusieurs enregistrements de dépenses pour chaque médecin.

Exemple d'intégration Informatica Data Director 63

Les gestionnaires de données peuvent sélectionner un médecin dans IDD et consulter l'enregistrement principal le concernant dans la zone de sujet. Lorsque les gestionnaires de données consultent l'enregistrement principal d'un médecin, ils veulent également voir les données de dépenses transactionnelles le concernant. Ils souhaitent également voir les données de dépenses dans un onglet de la zone sujet.

Vous pouvez utiliser un service de données dans lequel intégrer les données de dépenses avec les données principales. Un service de données SQL contient des tables virtuelles que les développeurs de services de données peuvent déployer dans une application. IDD peut afficher ces applications dans des onglets personnalisés.

Pour afficher les données de dépenses dans un onglet personnalisé de l'IDD, le développeur de services de données, l'administrateur de domaine et l'administrateur du Hub MDM Informatica effectuent différentes tâches. Un développeur de services de données crée un table virtuelle, l'inclut dans une application et déploie l'application dans un Data Integration Service. Un administrateur de domaine ajoute les gestionnaires de données au domaine et leur donne l'autorisation Sélectionner sur la table virtuelle. Un administrateur de Hub MDM Informatica configure l'onglet personnalisé et déploie l'application IDD.

Après que l'administrateur de Hub MDM Informatica a déployé l'application IDD, les gestionnaires de données peuvent consulter l'onglet personnalisé lorsqu'ils sélectionnent l'enregistrement principal de n'importe quel médecin. L'onglet personnalisé affiche l'identifiant de ligne Hub MDM Informatica, l'identifiant de transaction, le type de dépense, la date et la somme en euros pour le médecin sélectionné.

Tâches du développeur de service de donnéesLes développeurs de services de données utilisent l'outil Developer pour créer et déployer une table virtuelle à afficher dans un onglet personnalisé IDD.

Les services de données effectuent les tâches suivantes :

1. Importation de la table de dépenses dans l'outil Developer en tant qu'objet de données relationnelles.

2. Importation d'une table de recherche relationnelle qui définit comment les données de la table de dépenses sont liées à chaque enregistrement principal. Le développeur importe la table de recherche en tant qu'objet de données relationnelles.

3. Crée un service de données SQL avec une table virtuelle qui inclut les colonnes suivantes : Transact_ID, Expense_Type, Date, et Dollar_Amt. Les développeurs de services de données incluent également une colonne Phys_Row_ID pour identifier l'enregistrement du médecin.

4. Crée un mappage de table virtuelle et ajout de table de dépenses au mappage en tant que source.

5. Ajout d'objet de données relationnelles de recherche au mappage en tant qu'objet de recherche. Extraction des identifiants de ligne Hub MDM Informatica par la transformation Recherche pour chaque médecin dans la table de dépenses.

6. Connexion de l'identifiant de ligne Hub MDM Informatica dans la transformation Recherche sur le port Phys_Row_ID de la table virtuelle.

64 Chapitre 7: Intégration de Informatica Data Director

La figure suivante montre le mappage de table virtuelle :

7. Enregistre le service de données SQL.

8. Intègre le service de données SQL dans une application.

9. Déploie d'une application dans un Data Integration Service.

Tâches de l'administrateur du domainePour s'assurer que les gestionnaires de données peuvent consulter l'onglet personnalisé, l'administrateur du domaine Informatica ajoute chaque gestionnaire de données au domaine.

L'administrateur de domaine effectue les tâches suivantes :

1. Il donne aux gestionnaires des données les mêmes noms d'utilisateur et mots de passe de domaine que ceux qu'ils utilisent pour se connecter à IDD.

2. Il donne aux gestionnaires des données certaines autorisations sur la table virtuelle.

Tâches de l'administrateur du Hub MDM InformaticaPour créer l'onglet personnalisé qui contient la table virtuelle, l'administrateur du Hub MDM Informatica doit le configurer, importer le fichier de configuration, et déployer l'application IDD.

L'administrateur du Hub MDM Informatica doit configurer l'onglet personnalisé dans le fichier de configuration. Le fichier de configuration précise le nom de l'onglet et la table virtuelle que l'onglet affiche.

Dans le fichier de configuration, l'administrateur crée l'onglet personnalisé dans la zone du sujet à l'aide de l'élément externalLinkChild. L'élément externalLinkChild contient l'élément externalLink, qui définit l'URL affichée dans l'onglet, la table virtuelle à afficher et la clause WHERE qui définit les lignes à récupérer.

Pour afficher les données de la table virtuelle de l'enregistrement principal d'un médecin, l'administrateur doit lier l'identifiant de la ligne Hub MDM Informatica du médecin avec l'identifiant de ligne de la table virtuelle du médecin. Pour ce faire, l'administrateur doit créer un paramètre dynamique nommé « physicianRowID » qui stocke l'identifiant de ligne Hub MDM Informatica. L'administrateur utilise le paramètre dans la clause WHERE pour renvoyer les données du médecin sélectionné.

L'administrateur définit le paramètre « physicianRowID » comme suit :

<param name="physicianRowID" bddParamName="<primaryObject TableUID>|ROW_ID_OBJECT" /> L'administrateur définit la clause WHERE comme suit :

<param name="IDS_WHERE" staticValue= "Phys_Row_ID=@physicianRowID" />

Exemple d'intégration Informatica Data Director 65

Mappages de table virtuelleLa table virtuelle définit les données à afficher dans l'onglet personnalisé. Créez un mappage de table virtuelle pour spécifier les sources de la table virtuelle et pour définir comment les données sources sont reliées à chaque enregistrement principal.

Créez un mappage de table virtuelle qui contient les éléments suivants :

Sources

Incluez les tables de données transactionnelles ou opérationnelles en tant que sources.

Table virtuelle cible

Ajoutez une colonne à la table virtuelle pour stocker l'identifiant de ligne du Hub MDM Informatica ou une autre valeur qui identifie chaque enregistrement principal de manière unique. L'administrateur du Hub MDM Informatica utilise cette colonne pour filtrer les lignes sur l'onglet personnalisé.

Par exemple, un gestionnaire des données consulte l'enregistrement principal d'un médecin. L'onglet personnalisé affiche des données de dépenses. L'administrateur du Hub MDM Informatica utilise la colonne identifiant de ligne du Hub MDM Informatica afin de s'assurer que l'onglet personnalisé affiche les données de dépense uniquement pour le médecin sélectionné.

Transformation Recherche

La transformation Recherche définit comment les données de la source sont liées à chaque enregistrement principal.

Par exemple, une table source contient un numéro d'identifiant de médecin qui n'est pas le même que celui de la ligne du Hub MDM Informatica pour le même médecin. Ajoutez une transformation Recherche dans le mappage de la table virtuelle qui récupère l'identifiant de ligne Hub MDM Informatica pour chaque identifiant de médecin.

Connectez le port d'identifiant de ligne Hub MDM Informatica dans la transformation Recherche au port d'identifiant de ligne Hub MDM Informatica dans la table virtuelle.

Configuration de la sécurité pour la table virtuelle de l'onglet personnalisé

L'IDD et l'outil Administrator ont besoin d'une authentification différente. Pour consulter l'onglet personnalisé, un gestionnaire des données doit posséder les autorisations appropriées dans l'application IDD. Le gestionnaire de données doit également être un utilisateur du domaine avec l'autorisation Sélection sur la table virtuelle dans l'outil Administrator.

Le nom et le mot de passe utilisateur du gestionnaire de données doivent être identiques dans les deux outils. L'administrateur de domaine doit donc mettre à jour les noms et les mots de passe des utilisateurs lorsque les gestionnaires de données modifient leurs noms et leurs mots de passe IDD.

Pour permettre aux gestionnaires de données de consulter l'onglet personnalisé, le fichier de configuration doit transmettre le nom et le mot de passe utilisateur au Data Integration Service. Le Data Integration Service authentifie l'utilisateur avec le domaine.

Pour transmettre les noms et mots de passe utilisateur au Data Integration Service, définissez les paramètres IDS_USERNAME et IDS_PASSWORD dans l'élément externalLink du fichier de configuration IDD. Vous pouvez transmettre des noms et des mots de passe cryptés ou non cryptés.


Pour transmettre des noms et des mots de passe cryptés, l'administrateur du Hub MDM Informatica et l'administrateur de domaine doivent paramétrer la clé de cryptage. L'administrateur du Hub MDM Informatica définit la clé de cryptage dans le fichier de configuration IDD en utilisant l'élément encryptionKey. L'élément encryptionKey est un élément facultatif dans l'élément bddApplication. L'administrateur de domaine paramètre la propriété personnalisée DataViewerOptions.EncryptionKey pour le Data Integration Service avec la même valeur de clé de cryptage.

Par exemple, l'administrateur du Hub MDM Informatica définit la clé de cryptage IDD dans le fichier de configuration comme suit :

<encryptionKey>{C5869460-4830-4231-9D6E-8A073A97F099}</encryptionKey>Le tableau suivant décrit la propriété personnalisée du service d'intégration des données que l'administrateur de domaine définit :

Nom Valeur

DataViewerOptions.EncryptionKey C5869460-4830-4231-9D6E-8A073A97F099

Mises à jour du fichier de configurationPour ajouter un onglet personnalisé à une zone de sujet dans IDD, l'administrateur du Hub MDM Informatica met à jour le fichier de configuration. L'administrateur du Hub MDM Informatica met à jour le fichier de configuration pour spécifier le nom de l'onglet personnalisé, la table virtuelle, et la condition de filtre qui extrait les données.

Pour ajouter un onglet personnalisé à la zone de sujet dans IDD, utilisez l'élément externalLinkChild. Cet élément définit la structure de l'onglet.

Dans l'élément externalLinkChild, l'élément externalLink définit l'URL affichée dans l'onglet. L'élément externalLink contient des paramètres nécessaires qui spécifient le nom de l'utilisateur et son mot de passe que le Data Integration Service authentifie avec le domaine. Il contient également des paramètres nécessaires qui identifient le Data Integration Service, le service de données SQL, la table virtuelle et la clause WHERE qui spécifie quelle ligne extraire. Vous pouvez spécifier des paramètres qui configurent le nombre de lignes affichées et l'intervalle d'interrogation de données (facultatif).

Exemple de fichier de configurationL'administrateur du Hub MDM Informatica crée l'onglet personnalisé via le fichier de configuration IDD. L'onglet personnalisé affiche des données de table virtuelle.

L'exemple suivant montre une partie d'un fichier de configuration IDD. L'exemple affiche un onglet personnalisé dans la zone de sujet « Organisation », avec pour nom d'affichage « Financiers ». Lorsque l'utilisateur consulte l'enregistrement principal d'une organisation, l'onglet affiche des informations de stock. Le Data Integration Service reçoit des demandes de données toutes les 500 millisecondes. Il renvoie les 500 premières lignes de données.

<subjectAreaGroup name="Customer" primaryObjectUid="C_PARTY"> <subjectArea name="Organization" displayName="Organization"> <primaryObject hmEntityTypeUid="Organization"> <subTypeQualifier columnUid="C_PARTY|PARTY_TYPE" filterValue="Organization"/> <layout columnsNum="3"> <column columnUid="C_PARTY|ORGANIZATION_NAME" editStyle="FIELD" required="true"/>

Mises à jour du fichier de configuration 67

</layout> </primaryObject> <externalLinkChild name="DIS_StockTicker_linkchild" displayName="Financials"> <externalLink name="DIS_StockTicker_link" type="IFRAME" url="http://InfaDS01:6005/DataIntegrationService/SQLService/DataViewer">  <param name="orgName" bddParamName="C_PARTY|ORGANIZATION_NAME" />  <param name="IDS_USERNAME" bddParamName="USERNAME" /> <param name="IDS_PASSWORD" bddParamName="PASSWORD"/>  <param name="IDS_DIS" staticValue="DIS01" /> <param name="IDS_SQLDS" staticValue="StockTickerApp.StockTickerSQLDS" /> <param name="IDS_TABLE" staticValue="STOCK" /> <param name="IDS_WHERE" staticValue="COMPANY=@orgName AND STATUS=1"/> <param name="IDS_ROWLIMIT" staticValue="500"/> <param name="IDS_ROWREFRESH" staticValue="500"/> </externalLink> </externalLinkChild> ... </subjectArea> </subjectAreaGroup>

Attributs d'élément externalLinkChildL'élément externalLinkChild est nécessaire à la définition de la structure de l'onglet. Cet élément a besoin de l'élément externalLink.

Le tableau suivant décrit les attributs externalLinkChild obligatoires à la création d'un onglet personnalisé :

Attribut Description

Nom Nom interne de l'onglet personnalisé. Il doit être unique parmi tous les onglets enfants personnalisés.

displayName Nom de l'onglet personnalisé tel qu'il apparaît dans IDD.

Attributs d'élément externalLinkL'élément externalLinkChild doit obligatoirement contenir un élément externalLink. L'élément externalLink définit l'URL affichée dans l'onglet personnalisé.

Le tableau suivant décrit les attributs externalLink obligatoires à la création d'un onglet personnalisé :

Attribut Description

Nom Nom interne du lien. Il doit être unique parmi tous les liens externes.

Type Type de lien externe. Doit être paramétré à « IFRAME ».

URL URL affichée dans l'onglet personnalisé. Doit être au format suivant :

http://<Data Integration Service host name>:<Data Integration Service HTTP port number>/DataIntegrationService/SQLService/DataViewer

Paramètres d'élément externalLinkL'élément externalLink nécessite des paramètres qui identifient l'utilisateur de domaine à authentifier et la table virtuelle à afficher dans l'onglet personnalisé. Vous pouvez spécifier des paramètres qui limitent le nombre de lignes de données affichées dans l'onglet et qui définissent l'intervalle d'interrogation de données (facultatif).

Les paramètres peuvent être statiques ou dynamiques. Utilisez des paramètres dynamiques pour renvoyer des données principales telles que des identifiants de ligne Hub MD Informatica. Si par exemple vous voulez créer un paramètre dynamique du nom de « orgRowID » qui renvoie l'identifiant de ligne Hub MDM Informatica pour une association. Renseignez la définition de paramètre suivante :

<param name="orgRowID" bddParamName="<primaryObject TableUID>|ROW_ID_OBJECT" />Utilisez ce paramètre dans la condition de filtre pour le paramètre IDS_WHERE afin de filtrer les données affichées sur l'onglet basées sur l'identifiant de ligne Hub MDM Informatica.

Le tableau suivant décrit les paramètres d'éléments externalLink :

Paramètre Description

IDS_USERNAME Nom d'utilisateur du domaine que le Data Integration Service par rapport au domaine. Vous pouvez spécifier un nom d'utilisateur crypté ou non crypté. Par exemple :

<param name="IDS_USERNAME" bddParamName="USERNAME" />Ou :

<param name="IDS_USERNAME" bddParamName="USERNAME_ENCRYPTED" />Si vous spécifiez un nom d'utilisateur crypté, vous devez configurer la clé de cryptage dans l'élément encryptionKey. L'administrateur de domaine doit également configurer la propriété personnalisée DataViewerOptions.EncryptionKey dans le Data Integration Service.

IDS_PASSWORD Mot de passe de l'utilisateur du domaine. Vous pouvez spécifier un mot de passe crypté ou non crypté. Par exemple :

<param name="IDS_PASSWORD" bddParamName="PASSWORD" />Ou :

<param name="IDS_PASSWORD" bddParamName="PASSWORD_ENCRYPTED" />Si vous spécifiez un mot de passe crypté, vous devez configurer la clé de cryptage dans l'élément encryptionKey. L'administrateur de domaine doit également configurer la propriété personnalisée DataViewerOptions.EncryptionKey dans le Data Integration Service.

IDS_DIS Nom du Data Integration Service. Par exemple :

<param name="IDS_DIS" staticValue="DIS01" />

IDS_SQLDS Nom du service de données SQL exécutable. Le nom du service de données SQL exécutable est par défaut <nom d'application>.<nom de service de données SQL> où <nom d'application> est le nom de l'application qui contient le service de données SQL. Par exemple :

<param name="IDS_SQLDS" staticValue="StockTickerApp.StockTickerSQLDS" />


Paramètre Description

IDS_TABLE Nom de table virtuelle. Par exemple :

<param name="IDS_TABLE" staticValue="STOCK" />

IDS_WHERE La clause WHERE que le Data Integration Service utilise pour filtrer les données affichées dans l'onglet.Le paramètre IDS_WHERE a le format suivant :

<param name="IDS_WHERE" staticValue="<filter condition>" />Renseignez la condition de filtre au format colonne <opérateur> valeur. Par exemple :

<param name="IDS_WHERE" staticValue="COMPANY=@orgName" />Vous pouvez utiliser tout opérateur mathématique SQL-92 dans la condition de filtre. Vous pouvez également utiliser les opérateurs logiques AND et OR. Les comparaisons de chaînes sont sensibles à la casse.

IDS_ROWLIMIT Limite facultative du nombre de lignes de données que le Data Integration Service renvoie pour la table virtuelle. Par exemple :

<param name="IDS_ROWLIMIT" staticValue="1000" />Si vous ne souhaitez pas spécifier ce paramètre, le Data Integration Service renvoie les 1 000 premières lignes de données.

IDS_ROWREFRESH Intervalle facultatif, en millisecondes, pendant lequel IDD interroge la machine qui héberge le Data Integration Service afin de déterminer si la table virtuelle est prête à s'afficher sur l'onglet personnalisé. Par exemple :

<param name="IDS_ROWREFRESH" staticValue="500" />Si vous ne spécifiez pas ce paramètre, IDD interroge la machine qui héberge le Data Integration Service toutes les 500 millisecondes jusqu'à ce que les données soient prêtes.

Règles et instructions pour le filtre IDS_WHERELe paramètre IDS_WHERE est un paramètre d'élément externalLink que vous pouvez utiliser pour filtrer des données affichées dans l'onglet.

Utilisez les règles et les instructions suivantes lorsque vous renseignez une condition de filtre :

Utilisez des opérateurs mathématiques SQL-92.

Tous les opérateurs mathématiques SQL-92 sont autorisés dans la condition de filtre. Par exemple, le filtre suivant renvoie des données pour les clients hors Californie :

<param name="IDS_WHERE" staticValue="state<>'CA'" />Vous pouvez utiliser des opérateurs logiques.

Vous pouvez utiliser des opérateurs logiques AND et OR dans la condition de filtre, par exemple :

<param name="IDS_WHERE" staticValue="state='CA' OR state='NV'" />Les comparaisons de chaînes sont sensibles à la casse.

Les comparaisons de chaînes dans la condition de filtre sont sensibles à la casse. Par exemple, si un champ État contient « CA », « Ca » ou « ca », définissez le paramètre IDS_WHERE comme suit :

<param name="IDS_WHERE" staticValue="UPPER(state)='CA'" />


Vous pouvez utiliser des paramètres dynamiques pour renvoyer des données pour des enregistrements principaux spécifiques.

Utilisez un paramètre dynamique dans la condition de filtre pour renvoyer des données pour un enregistrement principal spécifique. Par exemple, une table virtuelle contient des enregistrements pour plusieurs associations. Elle contient une colonne Org_ID qui stocke les identifiants de ligne Hub MDM Informatica pour l'entreprise. Lorsqu'un gestionnaire de données consulte un enregistrement de données principales pour une entreprise, vous souhaitez que l'onglet personnalisé affiche les données pour cette entreprise. Créez un paramètre dynamique nommé « orgRowID » qui retourne l'identifiant de ligne Hub MDM Informatica pour l'entreprise, comme suit :

<param name="orgRowID" bddParamName="<primaryObject TableUID>|ROW_ID_OBJECT" />Puis définissez le paramètre IDS_WHERE comme suit :

<param name="IDS_WHERE" staticValue="Org_ID=@orgRowID" />


C H A P I T R E 8

Administration des services de données SQL


• Gestion de la sécurité du service de données SQL, 72

• Configuration des propriétés du service de données SQL , 75

• Cache de l'ensemble des résultats du service de données SQL, 81

• Mise en cache de l'objet de données, 82

• Journaux de service de données SQL, 82

• Surveillance des services de données SQL, 83

Gestion de la sécurité du service de données SQLVous gérez la sécurité utilisateur à l'aide des privilèges et autorisations. Les autorisations définissent le niveau d'accès des utilisateurs à un service de données SQL. Vous pouvez refuser l'accès aux colonnes et aux lignes dans une table virtuelle. Vous pouvez utiliser les justificatifs d'identité pour restreindre l'accès aux données dans un service de données SQL.

Vous pouvez assigner des autorisations à des utilisateurs et groupes dans les objets suivants du service de données SQL :

• Service de données SQL

• Table virtuelle

• Procédure stockée virtuelle

Lorsque vous assignez les autorisations d'un objet de service de données SQL, l'utilisateur ou le groupe hérite des mêmes autorisations pour tous les objets qui appartiennent à l'objet du service de données SQL. Par exemple, assignez l'autorisation de sélection d'un utilisateur pour un service de données SQL. L'utilisateur hérite de l'autorisation de sélection pour toutes les tables virtuelles dans le service de données SQL.

Vous pouvez refuser des autorisations à des utilisateurs et groupes dans certains objets du service de données SQL. Lorsque vous refusez des autorisations, vous configurez des exceptions aux autorisations dont les utilisateurs et groupes disposent déjà. Par exemple, vous ne pouvez pas assigner d'autorisations à une colonne de table virtuelle, mais vous pouvez refuser à un utilisateur d'exécuter une instruction SQL SELECT qui inclut la colonne.

72

Vous pouvez restreindre l'accès à des colonnes et des lignes spécifiques pour empêcher les utilisateurs d'accéder aux données dans un service de données SQL lorsqu'ils demandent une table virtuelle. Configurez la sécurité au niveau des colonnes pour restreindre l'accès à des colonnes spécifiques dans une table virtuelle. Configurez la sécurité au niveau des lignes pour restreindre l'accès à des lignes de données spécifiques dans une table virtuelle.

Appliquez la sécurité d'intercommunication pour restreindre l'accès aux données dans un service de données SQL en fonction des justificatifs d'identité de l'utilisateur.

Types d'autorisations de service de données SQLVous pouvez attribuer les autorisations suivantes aux utilisateurs et groupes :

• Autorisation d'accorder. L'utilisateur peut accorder et révoquer des autorisations dans les objets du service de données SQL à l'aide de l'outil Administrator ou du programme de ligne de commande infacmd.

• Autorisation d'exécuter. L'utilisateur peut exécuter des procédures stockées virtuelles dans le service de données SQL à l'aide d'un outil client JDBC ou ODBC.

• Autorisation de sélectionner. L'utilisateur peut exécuter des instructions SQL SELECT dans les tables virtuelles du service de données SQL à l'aide d'un outil client JDBC ou ODBC.

Certaines autorisations ne sont pas applicables à tous les objets de services de données SQL.

Le tableau suivant décrit les autorisations pour chaque objet de service de données SQL :

Objet Autorisation d'accorder

Autorisation d'exécuter

Autorisation de sélectionner

service de données SQL Autorisation d'accepter et de révoquer l'autorisation dans le service de données SQL et tous les objets à l'intérieur du service de données SQL.

Exécutez toutes les procédures stockées virtuelles dans le service de données SQL.

Exécutez les instructions SQL SELECT dans toutes les tables virtuelles du service de données SQL.

Table virtuelle Autorisation d'accorder et de révoquer dans la table virtuelle.

- Exécutez les instructions SQL SELECT dans la table virtuelle.

Procédure stockée virtuelle

Autorisation d'accorder et de révoquer dans la procédure stockée virtuelle.

Exécutez la procédure stockée virtuelle.

-

Sécurité au niveau des colonnesLa sécurité au niveau des colonnes est la possibilité de refuser l'accès à des colonnes individuelles dans une table virtuelle. Lorsque les utilisateurs finaux demandent des colonnes qu'ils ne sont pas autorisés à afficher, le service d'intégration de données renvoie les valeurs de données de remplacement, les valeurs null ou une erreur.

Un administrateur peut refuser l'accès aux colonnes dans la table virtuelle d'un objet de données SQL. L'administrateur peut configurer le comportement du service d'intégration de données des requêtes par rapport à une colonne restreinte.

Gestion de la sécurité du service de données SQL 73

Les résultats suivants peuvent se produire lorsque l'utilisateur demande une colonne pour laquelle il ne possède pas d'autorisation :

• La requête renvoie une valeur de substitution à la place des données. La requête renvoie une valeur de substitution dans chaque ligne qu'elle renvoie. La valeur de substitution remplace la valeur de colonne dans la requête. Si la requête inclut des filtres ou des jointures, des résultats de substitution s'affichent dans les résultats.

• La requête échoue avec une erreur Autorisation insuffisante.

Sécurité au niveau des lignesLa sécurité au niveau des lignes est un niveau de sécurité qui limite les lignes de données depuis les utilisateurs ou groupes d'utilisateurs lorsqu'ils demandent une table virtuelle. Un administrateur peut créer un prédicat de sécurité qui limite l'accès de requête à des lignes de données spécifiques.

Un prédicat de sécurité est une clause SQL WHERE qui filtre les données en dehors de l'ensemble des résultats lorsque vous demandez une table virtuelle. Le service d'intégration de données modifie la requête basée sur les prédicats de sécurité.

Par exemple, une société de services financiers doit intégrer des données de commande stockées dans différentes sources de données et fournir une vue de commandes intégrées unique. Un administrateur peut créer une table virtuelle qui combine les données de commande, puis restreindre l'accès à la table avec les prédicats de sécurité, de sorte que les utilisateurs et groupes voient un ensemble de données particulier lorsqu'ils demandent la table. Les employés peuvent accéder aux données de commandes qu'ils possèdent et aux commandes dans leur région avec un montant de dollars spécifié.

Sécurité d'intercommunicationLa sécurité d'intercommunication est la capacité de se connecter à un service de données SQL avec les justificatifs d'identité de l'utilisateur du client au lieu de ceux d'un objet de connexion.

L'utilisateur peut avoir accès à différents ensembles de données en fonction de la tâche effectuée dans l'entreprise. Les systèmes du client limitent l'accès aux bases de données par le nom d'utilisateur et le mot de passe. Lorsque vous créez un service de données SQL, il est possible de combiner des données provenant de systèmes différents pour créer un seul affichage des données. Toutefois, lorsque vous définissez la connexion au service de données SQL, la connexion possède un nom d'utilisateur et un mot de passe uniques.

Si vous configurez la sécurité d'intercommunication, vous pouvez restreindre l'accès des utilisateurs à certaines données dans un service de données SQL en fonction de leur nom d'utilisateur. Quand un utilisateur se connecte au service de données SQL, le service d'intégration de données ignore le nom d'utilisateur et le mot de passe dans l'objet de connexion. L'utilisateur se connecte avec le nom d'utilisateur du client ou le nom d'utilisateur LDAP.

Configurez la sécurité d'intercommunication pour une connexion dans les propriétés de la connexion de l'outil Administrator ou avec la commande infacmd dis UpdateServiceOptions. Vous pouvez définir la sécurité d'intercommunication pour les connexions aux applications déployées. Vous ne pouvez pas définir la sécurité d'intercommunication dans l'outil Developer. Seuls les services de données SQL et les services Web reconnaissent la configuration de sécurité d'intercommunication.

Pour plus d'informations sur la configuration de la sécurité pour les services de données SQL, consultez l'article « Méthode de configuration de la sécurité pour les services de données SQL » de la Bibliothèque de procédures Informatica : http://communities.informatica.com/docs/DOC-4507.

74 Chapitre 8: Administration des services de données SQL

http://communities.informatica.com/docs/DOC-4507

Sécurité d'intercommunication avec mise en cache de l'objet de donnéesVous devez activer la mise en cache dans les propriétés de sécurité de sécurité d'intercommunication pour le service d'intégration de données si vous désirez utiliser la mise en cache de l'objet de données.

Lorsque vous déployez un service de données SQL ou un service Web, vous pouvez décider de mettre en cache les objets de données logiques dans la base de données. Vous devez indiquer la base de données dans laquelle stocker le cache des objets de données. Le service d'intégration de données valide les justificatifs d'identité de l'utilisateur pour accéder à la base de données de cache. Si un utilisateur peut se connecter à la base de données de cache, il peut accéder à toutes les tables du cache. Lorsque la mise en cache est activée, le service d'intégration de données ne valide pas les justificatifs d'identité utilisateur en relation avec les bases de données source.

Si par exemple, vous configurez la mise en cache pour le service de données SQL EmployeeSQLDS et activez la sécurité d'intercommunication pour les connexions. Le service d'intégration de données met en cache les tables des bases de données Compensation et Employee. Il se peut qu'un utilisateur n'ait pas accès à la base de données Compensation. Néanmoins, si l'utilisateur a accès à la base de données de cache, il peut sélectionner des données compensation dans une requête SQL.

Lorsque vous configurez la sécurité d'intercommunication, il faut par défaut interdire la mise en cache de l'objet de données pour des objets de données qui dépendent des connexions d'intercommunication. Lorsque vous activez la mise en cache de l'objet de données avec la sécurité d'intercommunication, vérifiez que vous n'autorisez pas des utilisateurs non autorisés à accéder à certaines des données du cache. Lorsque vous autorisez la mise en cache des connexions de sécurité d'intercommunication, vous activez la mise en cache de l'objet de données pour toutes les connexions de sécurité d'intercommunication.

Propriétés de la sécurité d'intercommunicationLe tableau suivant décrit les propriétés de la sécurité d'intercommunication :


Autoriser la mise en cache Autorise la mise en cache d'objets de données pour toutes les connexions d'intercommunication du service d'intégration de données. Renseigne le cache de l'objet de données à l'aide des données d'identification de l'objet de connexion.Remarque: Lorsque vous activez la mise en cache de l'objet de données avec la sécurité d'intercommunication, vous pouvez autoriser les utilisateurs à accéder aux données dans la base de données de cache auxquelles ils peuvent ne pas avoir accès dans un environnement sans cache.

Configuration des propriétés du service de données SQL

Configurez les propriétés du service de données SQL pour chaque service de données SQL que vous déployez dans un service d'intégration de données.

Pour afficher ou modifier les propriétés d'un service de données SQL dans l'outil Administrator, sélectionnez la vue Applications du service d'intégration de données, développez le nom de l'application dans le panneau supérieur et sélectionnez le service de données SQL. Les propriétés s'affichent dans la vue Propriétés.

Configuration des propriétés du service de données SQL 75

Propriétés du service de données SQLLes propriétés du service de données SQL comprennent les propriétés générales en lecture seule et les propriétés de configuration des paramètres que le service d'intégration de données utilise lorsqu'il exécute le service de données SQL.

Lorsque vous développez un service de données SQL dans le volet supérieur de la vue Applications, vous pouvez accéder aux objets suivants contenus dans un services de données SQL :

• Tables virtuelles

• Colonnes virtuelles

• Procédures stockées virtuelles

La vue Applications affiche les propriétés générales en lecture seule pour les services de données SQL et les objets contenus dans les services de données SQL. Les propriétés qui s'affichent dans la vue dépendent du type d'objet.

Le tableau suivant décrit les propriétés générales en lecture seule pour les services de données SQL, les tables virtuelles, les colonnes virtuelles et les procédures stockées virtuelles :


Nom Nom de l'objet sélectionné. S'affiche pour tous les types d'objets.

Description Brève description de l'objet sélectionné. S'affiche pour tous les types d'objets.

Type Type de l'objet sélectionné. S'affiche pour tous les types d'objets.

Emplacement Emplacement de l'objet sélectionné. Cela inclut le nom du domaine et du service d'intégration de données. S'affiche pour tous les types d'objets.

URL JDBC Chaîne de connexion JDBC utilisée pour accéder au service de données SQL. Le service de données SQL contient les tables virtuelles que vous pouvez interroger. Il contient également les procédures stockées virtuelles que vous pouvez exécuter. S'affiche pour les services de données SQL.

Type de colonne Type de données de la colonne virtuelle. S'affiche pour les colonnes virtuelles.

Le tableau suivant décrit les propriétés configurables des services de données SQL :


Type de démarrage Détermine si le services de données SQL est activé pour s'exécuter lorsque l'application démarre ou lorsque vous démarrez le services de données SQL. Entrez ENABLED pour autoriser l'exécution du service de données SQL. Entrez DISABLED pour interdire l'exécution du service de données SQL.

Niveau de trace Niveau des d'erreur écrites dans les fichiers journaux. Choisissez l'un des niveaux de messages suivants :- OFF- SEVERE- WARNING- INFO- FINE- FINEST- ALLLa valeur par défaut est INFO.



Dépassement du délai de la connexion

Nombre maximal de millisecondes à attendre pour obtenir une connexion au service de données SQL. La valeur par défaut est 3 600 000.

Délai d'expiration de la demande

Nombre maximum de millisecondes pendant lesquelles une requête SQL attend la réponse du service de données SQL. La valeur par défaut est 3 600 000.

Ordre de tri Ordre de tri que le service d'intégration de données pour trier et comparer des données lorsqu'il est exécuté en mode Unicode. Vous pouvez choisir l'ordre de tri en fonction de votre page de code. Lorsque le service d'intégration de données est exécuté en mode ASCII, il ignore la valeur de l'ordre de tri et utilise un ordre de tri binaire. Par défaut binaire.

Nombre maximum de connexions actives

Nombre maximal de connexions actives au service de données SQL.

Période d'expiration du cache de l'ensemble de résultats

Nombre de millisecondes pendant lequel le cache de l'ensemble de résultats est utilisable. Si la valeur définie est -1, le cache n'expire jamais. Si la valeur définie est 0, la mise en cache de l'ensemble de résultats est désactivée. Les modifications de la période d'expiration ne s'appliquent pas aux caches existants. Pour que tous les caches utilisent la même période d'expiration, purgez le cache de l'ensemble de résultats après avoir modifié la période d'expiration. La valeur par défaut est 0.

Durée d'activation du DTM

Nombre de millisecondes pendant lesquelles l'instance DTM demeure ouverte après le traitement de la dernière demande. Les demandes SQL identiques peuvent réutiliser l'instance ouverte. Utilisez l'intervalle de temps Garder actif pour améliorer les performances lorsque le délai requis pour traiter la demande SQL est limité par rapport au délai d'initialisation de l'instance DTM. Si la demande échoue, l'instance DTM prend fin.Doit être un nombre entier. Une valeur entière négative indique que la durée d'activation du DTM pour le service d'intégration de données est utilisé. 0 signifie que le service d'intégration de données ne conserve pas l'instance DTM en mémoire. Valeur par défaut : -1.

Niveau d'optimisation

Niveau d'optimisation que le service d'intégration de données applique à l'objet. Entrez la valeur numérique associée au niveau d'optimisation que vous voulez configurer. Vous pouvez entrer l'une des valeurs numériques suivantes :- 0. Le service d'intégration de données n'applique pas d'optimisation.- 1. Le service d'intégration de données applique la méthode d'optimisation de projection

précoce.- 2. Le service d'intégration de données applique les méthodes d'optimisation de projection

précoce, de sélection précoce, push-into, de refoulement et de prédicat.- 3. Le service d'intégration de données applique les méthodes d'optimisation de projection

précoce, de sélection précoce, push-into, de refoulement, de prédicat et de semi-jointure basées sur les coûts.


Propriétés SQLLe tableau suivant décrit les propriétés SQL du service d'intégration de données :


Durée d'activation du DTM

Nombre de millisecondes pendant lesquelles l'instance DTM demeure ouverte après le traitement de la dernière demande. Les demandes SQL identiques peuvent réutiliser l'instance ouverte. Utilisez l'intervalle de temps Garder actif pour améliorer les performances lorsque le délai requis pour traiter la demande SQL est limité par rapport au délai d'initialisation de l'instance DTM. Si la demande échoue, l'instance DTM prend fin.Doit être supérieur ou égal à 0. 0 signifie que le service d'intégration de données ne conserve pas l'instance DTM en mémoire. La valeur par défaut est 0.Vous pouvez également définir cette propriété pour chaque service de données SQL déployé dans le service d'intégration de données. Si vous définissez cette propriété pour un service de données SQL déployé, la valeur du service de données SQL déployé remplace la valeur que vous définissez pour le service d'intégration de données.

Connexion au stockage de tables

Connexion à la base de données relationnelle qui stocke les tables temporaires de services de données SQL. Par défaut, aucune connexion n'est sélectionnée.

Ignorer les fichiers journaux

Empêche le service d'intégration de données de générer des fichiers journaux lorsque la demande du service de données SQL est traitée correctement et que le niveau de traçage est défini sur INFO ou sur un niveau supérieur. La valeur par défaut est False.

Le tableau suivant décrit les propriétés SQL du processus du service d'intégration de données :


Nombre maximum de connexions simultanées

Limite le nombre de connexions à la base de données que le service d'intégration de données peut effectuer pour les services de données SQL. La valeur par défaut est 100.

Propriétés de tables virtuellesDéterminez si vous souhaitez mettre en cache les tables virtuelles pour un service de données SQL et configurez la fréquence d'actualisation du cache. Vous devez désactiver le service de données SQL avant de configurer les propriétés des tables virtuelles.

Le tableau suivant décrit les propriétés configurables des tables virtuelles :


Activer la mise en cache Mettre en cache la base de données virtuelle du service de données SQL.

Période d'actualisation du cache

Nombre de minutes entre les actualisations du cache.

Nom de table du cache Nom de la table à partir de laquelle le service d'intégration de données accède au cache de la table virtuelle. Si vous spécifiez un nom de table de cache, le service d'intégration de données ne génère pas le cache de la table virtuelle et ignore la période d'actualisation du cache.


Propriétés des colonnes virtuellesConfigurez les propriétés des colonnes virtuelles comprises dans un service de données SQL.

Le tableau suivant décrit les propriétés configurables des colonnes virtuelles :


Créer un index

Active le service d'intégration de données pour générer les index de la table de cache basée sur cette colonne. La valeur par défaut est False.

Refuser avec Lorsque vous utilisez la sécurité au niveau des colonnes, cette propriété détermine s'il faut remplacer la valeur de colonne restreinte ou faire échouer la requête. Si vous remplacez la valeur de colonne, vous pouvez choisir de remplacer la valeur par NULL ou par une valeur constante.Sélectionnez l'une des options suivantes :- ERROR. Fait échouer la requête et renvoie une erreur lorsqu'une requête SQL sélectionne une

colonne restreinte.- NULL. Renvoie une valeur null pour une colonne restreinte dans chaque ligne.- VALUE. Renvoie une valeur constante pour une colonne restreinte dans chaque ligne.

Valeur d'autorisation insuffisante

La constante que le service d'intégration de données renvoie pour une colonne restreinte.

Propriétés des procédures stockées virtuellesConfigurez la propriété des procédures stockées virtuelles comprises dans un service de données SQL.

Le tableau suivant décrit la propriété configurable des procédures stockées virtuelles :


Période d'expiration du cache de l'ensemble de résultats

Le nombre de millisecondes pendant lequel le cache de l'ensemble de résultats est utilisable. Si la valeur définie est -1, le cache n'expire jamais. Si la valeur définie est 0, la mise en cache de l'ensemble de résultats est désactivée. Les modifications de la période d'expiration ne s'appliquent pas aux caches existants. Pour que tous les caches utilisent la même période d'expiration, purgez le cache de l'ensemble de résultats après avoir modifié la période d'expiration. La valeur par défaut est 0.

Objets de données logiquesLa vue Applications affiche les objets de données logiques inclus dans les applications déployées sur un service d'intégration de données.

Les propriétés d'objet de données logiques incluent les propriétés générales en lecture seule et les propriétés de configuration de la mise en cache des objets de données logiques.


Le tableau suivant décrit les propriétés générales en lecture seule des objets de données logiques :


Nom Nom de l'objet de données logiques.

Description Brève description de l'objet de données logiques.

Type Type de l'objet. La valeur valide est l'objet de données logique.

Emplacement Emplacement de l'objet de données logiques. Cela inclut le nom du domaine et du service d'intégration de données.

Le tableau suivant décrit les propriétés configurables des objets de données logiques :


Activer la mise en cache Mettre en cache l'objet de données logiques.

Période d'actualisation du cache

Nombre de minutes entre les actualisations du cache.

Nom de table du cache Nom de la table à partir de laquelle le service d'intégration de données accède au cache d'objet de données logique. Si vous spécifiez un nom de table de cache, le service d'intégration de données ne génère pas le cache d'objet de données logique et ignore la période d'actualisation du cache.

Le tableau suivant décrit les propriétés configurables de la colonne d'objet de données logique :


Créer un index Active le service d'intégration de données pour générer les index de la table de cache basée sur cette colonne. La valeur par défaut est False.

Propriétés de cache d'objet de données logique/de table virtuelleLe tableau suivant décrit les propriétés de cache d'objet de données logiques et de table virtuelle :


Durée de suppression de cache

Nombre de millisecondes pendant lequel le service d'intégration de données attend avant de nettoyer la mémoire cache après une actualisation. La valeur par défaut est 3 600 000.

Connexion de cache Nom de connexion de la base de données qui stocke le cache d'objet de données. Sélectionnez un nom d'objet de connexion valide.



Nombre maximal de demandes d'actualisation simultanées

Nombre maximal d'actualisations de cache pouvant être exécutées en même temps. Limitez les actualisations de cache simultanées pour conserver les ressources système.

Activer le cache LDO imbriqué

Indique que le cache de données pour un objet de données logique imbriqué utilise le cache d'objets de données sous-jacents. Si cette valeur est False, l'exécution du cache accès à la source de données pour créer le cache de données.La valeur par défaut est False.

Cache de l'ensemble des résultats du service de données SQL

Le cache de l'ensemble des résultats permet au service d'intégration de données d'utiliser les résultats mis en cache pour les requêtes du service de données SQL. Les utilisateurs qui exécutent des requêtes identiques sur une courte période souhaiteront peut-être utiliser la mise en cache de l'ensemble des résultats pour réduire la durée d'exécution des requêtes identiques.

Lorsque vous configurez la mise en cache de l'ensemble des résultats, le service d'intégration de données met en cache les résultats du processus DTM associé à chaque requête de service de données SQL. Le service d'intégration de données met en cache les résultats de la période d'expiration que vous définissez. Lorsqu'un client externe effectue la même requête ou demande avant l'expiration du cache, le service d'intégration de données renvoie les résultats mis en cache.

Le gestionnaire de cache de l'ensemble des résultats crée des caches en mémoire pour stocker temporairement les résultats du processus DTM. Si le gestionnaire de cache de l'ensemble des résultats requiert davantage d'espace que celui alloué, il stocke les données dans les fichiers de cache. Le gestionnaire de cache de l'ensemble des résultats identifie les fichiers de cache par leur nom et leur emplacement. Ne renommez pas les fichiers de cache et ne les déplacez pas.

Effectuez les étapes suivantes pour configurer la mise en cache de l'ensemble des résultats des services de données SQL dans l'outil Administrator :

1. Configurer les propriétés de cache de l'ensemble de résultats dans les propriétés du processus service d'intégration de données.

2. Configurer la période d'expiration du cache dans les propriétés du service de données SQL.

Le service d'intégration de données purge les caches de l'ensemble des résultats dans les cas suivants :

• Lorsque le cache de l'ensemble de résultats expire, le service d'intégration de données purge le cache.

• Lorsque vous redémarrez une application ou exécutez la commande infacmd dis purgeResultSetCache, le service d'intégration de données purge le cache de l'ensemble de résultats pour les objets dans l'application.

• Lorsque vous redémarrez un service d'intégration de données, ce dernier purge le cache de l'ensemble de résultats pour les objets dans les applications qui sont exécutées dans le service d'intégration de données.

• Lorsque vous changez les autorisations d'un utilisateur, le service d'intégration de données purge le cache de l'ensemble de résultats associé à cet utilisateur.

Cache de l'ensemble des résultats du service de données SQL 81

Mise en cache de l'objet de donnéesLa mise en cache de l'objet de données active le service d'intégration de données afin qu'il puisse accéder aux objets de données logiques et aux tables virtuelles prédéfinis. Activer la mise en cache de l'objet de données pour augmenter les performances des mappages, les demandes de service de données SQL et les demandes de service Web.

Par défaut, le service d'intégration de données extrait les données source et construit les objets de données requis lorsqu'il exécute un mappage, une demande de service de données SQL ou une demande de service Web. Lorsque vous activez la mise en cache de l'objet de données, le service d'intégration de données peut utiliser des objets de données logiques mis en cache et des tables virtuelles. Vous pouvez stocker des tables de cache d'objet de données dans des bases de données IBM DB2, Microsoft SQL Server et Oracle.

Effectuez les étapes suivantes pour activer la mise en cache de l'objet de données pour les objets de données logiques et les tables virtuelles dans une application :

1. Configurez la connexion de la base de données de cache dans les propriétés de cache de l'objet de données logique/la table virtuelle du service d'intégration de données.

Remarque: Toutes les applications qui sont déployées vers un service d'intégration de données utilisent la même connexion.

2. Activez la mise en cache dans les propriétés des objets de données logiques ou des tables virtuelles dans l'application.

3. Pour générer des index sur les tables de cache en fonction d'une colonne, activez la propriété de création d'index dans les propriétés de colonne de l'objet de données logique ou de la table virtuelle dans l'application.

Par défaut, le gestionnaire de cache d'objet de données du service d'intégration de données gère le cache des objets de données logiques et des tables virtuelles dans une base de données. Vous pouvez choisir de gérer le cache avec un outil externe. Par exemple, vous pouvez utiliser un mappage PowerCenter CDC pour extraire les données modifiées des objets de données et mettre à jour progressivement le cache.

Pour gérer le cache d'objet de données avec un outil externe, spécifiez un nom de table de cache dans les propriétés de chaque objet de données logique ou table virtuelle dans l'application. Le service d'intégration de données utilise le cache stocké dans la table lorsqu'il exécute un mappage, une demande de service de données SQL ou une demande de service Web comprenant l'objet de données logique ou la table virtuelle.

Remarque: Si le cache d'objet de données est stocké dans une base de données SQL Server et que le nom d'utilisateur de la base de données n'est pas le même que le nom du schéma, vous devez spécifier un nom de schéma dans l'objet de connexion de base de données. Sinon, les mappages, les demandes du service de données SQL et les demandes du service Web qui accèdent au cache échouent.

Journaux de service de données SQLVous pouvez afficher les journaux de service de données SQL dans les journaux du service d'intégration de données. Affichez les journaux du service d'intégration de données dans l'onglet Journaux dans l'outil Administrator.

Les journaux du service d'intégration de données contiennent des journaux concernant les événements suivants :

• Configuration. Événements de journal relatifs aux modifications de configuration du système ou du service, déploiement ou suppression d'applications.


• Processus du service d'intégration de données. Événements de journal concernant le déploiement d'applications, l'actualisation du cache d'objet de données et les requêtes utilisateur pour exécuter les mappages.

• Interruptions du système. Événements de journal concernant les interruptions entraînant l'indisponibilité du service d'intégration de données, comme les interruptions de connexion du référentiel modèle ou l'interruption du service au démarrage.

Surveillance des services de données SQLVous pouvez contrôler les services de données SQL dans l'onglet Surveillance de l'outil Administrator.

Vous pouvez afficher les informations sur les services de données SQL inclus dans une application. Lorsque vous sélectionnez Services de données SQL dans une application du navigateur de l'onglet Surveillance, une liste des services de données SQL s'affiche dans le panneau de contenu. Le panneau de contenu affiche les propriétés de chaque service de données SQL, tels que le nom, la description et l'état.

Lorsque vous sélectionnez le lien d'un service de données SQL dans le panneau de contenu, celui-ci affiche les vues suivantes :

• Vue Propriétés

• Vue Connexions

• Vue Requêtes

• Vue Tables virtuelles

• Vue Rapports

Surveillance des services de données SQL 83

I N D E X

BBusinessObjects

création de la connexion ODBC 50erreur de connexion 48

Ccache d'objet de données

cache d'index 82configuration 82description 82gestion avec un outil externe 82

Cache d'objet de données configuration 80propriétés 80

cache de l'ensemble des résultats configuration 81propriétés du service de données SQL 76purge 81

caractères spéciaux Requêtes du service de données SQL 34

CLASSPATH mise à jour 39

Client SQuirreL SQL configuration 56copie du fichier du pilote 57création du pilote et de l'alias 57

configuration Client SQuirreL SQL 56configuration d'outil client 49configuration de machine cliente 37désactivation de la mise en cache de l'ensemble de résultats 38IBM Cognos 50MicroStrategy 52Oracle Business Intelligence Enterprise Edition 11g 54QlikView 55SQL Server Business Intelligence Development Studio 55Toad for Data Analysts 59WinSQL 60

connexion Service de données SQL 74

Connexion de cache propriété 80

connexions présentation 36protocole 36sécurité d'intercommunication 74

connexions client JDBC connexion à un service de données SQL 39installation du pilote 39mise à jour de CLASSPATH 39présentation 38résolution de problèmes 39

Connexions client ODBC sous UNIX connexion à un service de données SQL 48installation du pilote 45mise à jour de la bibliothèque partagée 46mise à jour du fichier odbc.ini 47présentation 44résolution de problèmes 48

Connexions client ODBC sous Windows configuration du pilote 41connexion à un service de données SQL 44installation du pilote 40présentation 40résolution de problèmes 48

connexions du service de données SQL présentation 36

Ddélai d'expiration de la demande

requêtes du services de données SQL 76dépannage

Outils clients tiers 61dépassement de délai

connexions du service de données SQL 76données virtuelles

présentation 3Durée de suppression de cache

propriété 80

Ffonctions

Requêtes du service de données SQL 20syntaxe d'échappement 32

IIBM Cognos

configuration 50création de la connexion ODBC 52mise à jour du fichier de configuration 51

Instructions SQL Requêtes du service de données SQL 28

Intégration de Informatica Data Director attributs d'élément externalLink 68attributs d'élément externalLinkChild 68autorisations sur les tables virtuelles 66Clause WHERE 70exemple 63exemple de fichier de configuration 67fichier de configuration 67mappage de table virtuelle 66mots de passe 66

84

Intégration de Informatica Data Director (a continué)noms d'utilisateur 66paramètre IDS_WHERE 70paramètres d'élément externalLink 69présentation 62sécurité 66tâches 62tâches de l'administrateur du domaine 65Tâches de l'administrateur du Hub MDM Informatica 65tâches du développeur de services de données 64

LLD_LIBRARY_PATH

mise à jour 46LIBPATH

mise à jour 46

Mmappages de table virtuelle

création 11définition 11description 10Intégration de Informatica Data Director 66prévisualisation des résultats 12validation 11

MicroStrategy configuration 52configuration des options de génération SQL 54création de l'instance de la base de données 53

mise en cache de l'ensemble de résultats désactivation 38

mise en cache de l'ensemble des résultats propriétés des procédures stockées virtuelles 79

mise en cache de l'objet de données avec sécurité d'intercommunication 75

mots réservés Requêtes du service de données SQL 31

Mots-clés SQL Requêtes du service de données SQL 28

NNombre maximal de demandes d'actualisation simultanées

propriété 80Nombre maximum de connexions actives

propriété du service de données SQL 76Nombre maximum de connexions simultanées

configuration 78

Oodbc.ini

mise à jour 47opérateurs

Requêtes du service de données SQL 19Oracle Business Intelligence Enterprise Edition 11g

configuration 54ordre de tri

services de données SQL 76outils client tiers

outils client tiers pris en charge 49

Outils clients tiers dépannage 61

Ppilote JDBC Informatica

installation 39pilote ODBC Informatica

configuration 41Installation sous Unix 45Installation sous Windows 40

Plans de requête SQL affichage 16exemple 15présentation 14

procédures virtuelles stockées création 13définition 13exécution 28présentation 12prévisualisation des résultats 14validation 14

propriétés de tables virtuelles configuration 78

propriétés des colonnes virtuelles configuration 79

propriétés des procédures stockées virtuelles configuration 79

QQlikView

configuration 55

Rrequêtes

Requêtes du service de données SQL 29Requêtes du service de données SQL

caractères spéciaux 34Fonctions SQL 20Instructions et mots clés SQL 28mots réservés 31opérateurs 19présentation 18requêtes 29requêtes paramétrables 31séquences d'échappement de fonction 32sous-requêtes corrélées 30sous-requêtes non corrélées 29syntaxe d'échappement 31types de données 19

requêtes paramétrables Requêtes du service de données SQL 31résolution de problèmes 39

requêtes SQL prévisualisation des données 7

résolution de problèmes conversion de gros chiffres en binaire 34conversion de valeurs négatives 34

Index 85

Ssécurité au niveau des lignes

description 74sécurité d'intercommunication

connexion au service de données SQL 74mappage des opérations de service Web 74propriétés 75

Sécurité d'intercommunication activation de la mise en cache 75

service de données SQL propriétés 76types d'autorisation 73

service Web journaux 82propriété de configuration 75

services de données SQL connexions client JDBC 38présentation 4

Services de données SQL connexion via JDBC 39connexion via ODBC sous UNIX 48connexion via ODBC sous Windows 44Connexions client ODBC sous UNIX 44Connexions client ODBC sous Windows 40création 4définition 4exemple 1présentation 1prévisualisation des données 7surveillance 83

sous-requêtes corrélées règles et instructions pour 30Requêtes du service de données SQL 30

sous-requêtes non corrélées Requêtes du service de données SQL 29

SQL Server Business Intelligence Development Studio configuration 55

surveillance Services de données SQL 83

syntaxe d'échappement Requêtes du service de données SQL 31

TTableau

configuration 58tables temporaires

description 8opérations 8règles et instructions 10

tables virtuelles création à partir d'un objet de données 6création manuelle 7définition des relations 7description 5exemple 1méthodes d'accès aux données 6prévisualisation des données 7

Toad for Data Analysts configuration 59

type de démarrage configuration des services de données SQL 76

types de données Requêtes du service de données SQL 19

Vvariable d'environnement de bibliothèque partagée

mise à jour 46

WWinSQL

configuration 60

86 Index

Informatica - 9.6.0 - Guide des services de données de SQL ... · Informatica Master Data...

Documents

Transcript of Informatica - 9.6.0 - Guide des services de données de SQL ... · Informatica Master Data...