HYPOCONDRIAC 1 er

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HYPOCONDRIAC 1 er Roi de Neurasthénie Opéra-bouffe de Jean-Marie LECOQ (livret) et Louis DUNOYER de SEGONZAC (musique) Mise en scène Gérard AUDAX, Jacques HADJAJE Avec : Estelle MICHEAU Julien CLEMENT Guy VIVES Gérard AUDAX Alexandre LEVY : piano et direction musicale Scénographie : Yvan RADUSZENSKA Costumes : Marine DUPONT CANARD Lumières : Emmanuel DELAIRE Avec les soutiens du Fonds de Création Lyrique, Conseil Régional du Centre, Caisse Régionale du Crédit Agricole Centre - Loire, Conseil Général du Loiret et la Ville de Saint Jean de Braye. Création 2008

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HYPOCONDRIAC 1 er

Roi de Neurasthénie

Opéra-bouffe

de Jean-Marie LECOQ

(livret) et

Louis DUNOYER de SEGONZAC (musique)

Mise en scène Gérard AUDAX, Jacques HADJAJE

Avec : Estelle MICHEAU Julien CLEMENT

Guy VIVES Gérard AUDAX

Alexandre LEVY : piano et direction musicale

Scénographie : Yvan RADUSZENSKA

Costumes : Marine DUPONT CANARD Lumières : Emmanuel DELAIRE

Avec les soutiens du Fonds de Création Lyrique, Conseil Régional du Centre, Caisse Régionale du Crédit Agricole Centre - Loire, Conseil Général du Loiret et la Ville de Saint Jean de Braye.

Création 2008

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À PROPOS DE

HYPOCONDRIAC 1 er

Roi de Neurasthénie

Sottise des hommes ! Travers et ridicules de nos sociétés ! L’art n’a pas la prétention de changer le monde. Il se contente d’apporter une lumière, une gaîté, un fugitif arc-en-ciel de rêve sur l’horizon souvent trop gris de nos esprits. Ce qui n’empêche pas de porter un regard critique et réfléchi sur la vie en utilisant les pinceaux de la satire. Retrouver la verve d’un véritable Opéra-Bouffe, son ironie, sa dimension caricaturale, son humour décapant : voilà la teneur du spectacle. « Hypocondriac 1er » est donc un ouvrage lyrique qui narre les aventures d’une princesse boulimique aux prises avec les volontés de son royal père, souverain du royaume de Neurasthénie. Théâtre, musique et danse au service d’une œuvre de divertissement dont la seule ambition est de nous renvoyer, comme dans toute comédie, l’image de nous-mêmes à travers les reflets d’un miroir à peine déformant, un miroir grossissant tout au plus. L’idée de cette écriture est née de l’observation quasi-obligée de la morosité ambiante relayée par le matraquage médiatique de tous les malheurs du monde. Existe-t-il des bonheurs louables ? « Hyponcondriac I er » nous invite à nous élever contre la fatalité imposée par le consensus social en peignant, pour s’en moquer, le tableau d’une microsociété qui se croit irrémédiablement malade et qui, gangrenée par le pessimisme, ne se complait que dans les complaintes de l’hypocondrie. Gérard AUDAX, Jean-Marie LECOQ, Metteur en scène. Auteur.

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À PROPOS DES

PERSONNAGES

HYPOCONDRIAC 1er : Le souverain du royaume de Neurasthénie.

TOUFOULKAN / ZINFOKATASTROFF / TÉRAPIDGRUPP

Grand commis à tout faire.

BOULIMIE :

Fille d’Hypocondriac.

PLACIDE DE

PLACIDE DE MOLLASSON : Prétendant de Boulimie

LE PIANISTE

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À PROPOS DE LA MISE EN SCÈNE Farce philosophique. Fiction guignolesque. Tricotage d’éléments « bouffe » et d’éléments « tragique », mélange de fantaisie et de drame, le lieu de représentation - plateau et salle - doit être champs de bataille, englobant belligérants et spectateurs. La futilité de ce présent intemporel sera rendue par le travestissement incessant du « premier sinistre interministériel » qui passera d’un poste à un autre, le temps d’une chanson. Les tensions et les enjeux du pouvoir sont orchestrés par le personnage du pianiste qui est « mélangé » au public. Ce spectacle, comme tout Opéra bouffe mélange les genres : tragique, comique, voire bouffon, se nourrissant d’éléments satyriques ou caricaturaux. Si la trame de l’histoire est sérieuse, même tragique, avec des thèmes tels que l’emprisonnement (délit de faciès pour les ramoneurs), la censure (élection au suffrage unipartiel), …il n’en demeure pas moins que la variété stylistique nous fait voyager du sérieux au burlesque, du tragique au grotesque. Le principe de l’alternance, chant – parlé, organise structurellement la pièce et donne une vitalité certaine au rythme dramatique. Cette alternance introduit de la variété, les dialogues permettent de faire des pauses, la réapparition de la musique remobilise l’action. Le tout, sur fond de burlesque. Eclats de rire ! Rires en éclats ! Non pas d’un rire métaphysique, mais d’un rire social ! Gérard AUDAX Jacques HADJAJE

LA MISE EN SCÈNE

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Gérard AUDAX Directeur artistique Cie Clin d’œil, metteur en scène • Formé à L’école d’art dramatique CHARLES DULLIN, a complété son parcours théâtral en suivant de nombreux stages (Carlo BOSO, Catherine DASTÉ, Pierre TRAPPET, Mas SOEGEN, Pierre ETAIX,…). • Comédien et metteur en scène, il fonde la COMPAGNIE CLIN D’ŒIL en 1986. A travaillé comme comédien avec Yves KERBOUL, Jean-Christian GRINEVALD, Jean-Luc PALLIES, Geneviève CASILE, Mario GONZALES, Daniel SOULIER, Yves JAVAULT, … • Il signe une quinzaine de mises en scène : GOLDONI, MARIVAUX, DARIO FO, VISNIEC, BRAZ,… au théâtre ; GUILLEVIC, Carl NORAC, CORBIÈRE,… en poésie ; CHAT NOIR, CHAHUT,… en cabaret ; CERVANTES, Jules VERNE, RABELAIS, SHAKESPEARE… en extérieur. • Pour renforcer les liens entre littérature et théâtre, il crée en 1988, un cycle de théâtralisation de nouvelles, dans lequel chaque création associe un auteur nouvelliste contemporain.

Jacques HADJAJE Metteur en scène

• Il joue une quarantaine de spectacles sous la direction de Georges WERLER, Nicolas SERREAU, François CERVANTÈS, Patrice KERBRAT, Jean-Pierre LORIOL, Florence GIOGETTI, Sophie LANNEFRANQUE, Richard BRUNEL, Robert CANTARELLA, Romain BONNIN, Balazs GERA, Carole THIBAUTt, Gérard AUDAX, Michel COCHETt, Jean-Yves RUF,…

• Il est également metteur en scène (L'échange de Claudel au CDN de Nancy et

plusieurs textes d'auteurs contemporains, dont ses propres textes Lucien et Adèles a ses raisons), auteur (bourses d'encouragement du CNL en 2000 et de la DMDTS en 2003) et pédagogue (enseigne dans plusieurs écoles de formation d'acteurs).

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À PROPOS DE LA MUSIQUE

DE LOUIS DUNOYER DE SEGONZAC Dans la musique d’Hypocondriac 1er, plusieurs influences musicales se côtoient avec le plus grand bonheur. Une volonté : le plaisir. Plaisir du rythme, du swing en particulier, faisant référence aux meilleurs moments du Jazz d’après guerre. Le duo Toufoulkan / Placide, le quintette de la leçon d’éducation sexuelle et le final tutoient le discours musical de Count Basie ou Duke Ellington. Plaisir de la mélodie : le premier air de Boulimie et le duo Boulimie /Placide, dignes du meilleur Maurice Yvain, portent avec charme les premiers émois amoureux de ces deux Bastien et Bastienne d’Hypocondrie. Plaisir de la voix, notre compositeur Louis Dunoyer de Ségonzac, formation classique oblige, a « écrit lyrique » tout au long de l’ouvrage. Les lignes de chant et les ensembles sont destinés à être servis par des chanteurs d’opéra confirmés. Plaisir de l’opéra revisité : entre autres dans l’ouverture où les voix se juxtaposent dans un crescendo saisissant à l’arrivée du Roi ou dans le Final où l’espoir renaît dans une mélodie planante reprenant le thème de l’Hypocondrie dans un halo fantastique. Enfin, la partie de piano, agrémentée de quelques notes d’harmonium, déborde d’énergie et de liberté, déroulant un tapis malicieux, sous les voix de nos héros. Malice et bonheur sont les ressorts de l’opéra - bouffe et de l’opérette dont Offenbach, Messager, Yvain, Scotto et Christiné ont écrit les plus grands airs. Pour le plus grand plaisir de tous les publics ? Alexandre LEVY (Pianiste, direction musicale)

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À PROPOS DES COMÉDIENS

Guy VIVÈS : chanteur/comédien Guy Vives a fait ses études au CNSM de Paris où il obtient un 1er prix à l'unamité du jury. Sous la direction de chefs tels que M.Rostropovitch , J.Nelson ,K.Nagano ou G.Prêtre,et de metteurs en scène tels que J.Savary , J. Mac Vicar ,il chante l'opéra , la musique baroque, l'opérette , l'oratorio et participe à de nombreuses créations contemporaines . Guy Vives a été l'invité des théâtres et des festivals les plus prestigieux, Opéra de Shanghai, de Washington, Theatro Verdi de Trieste, festival d'Aix en Provence, Opéra comique , Opéra du Rhin......

Alexandre LÉVY : pianiste, direction musicale Alexandre Lévy fait ses études au CNSM de Paris où il obtient cinq premiers prix. Il y travaille avec Édith Lejet et Michèle Reverdy. Il s’initie à la musique électroacoustique avec Michel Zbar au CNR de Boulogne. Ses activités musicales sont tournées vers la musique mixte dans des pièces vocales, instrumentales et des ouvrages scéniques dont plusieurs opéras et des musiques de scène. L’INA-GRM, la Fondation Beaumarchais, le Ministère de la Culture, la SACD soutiennent son travail depuis plusieurs années. Pianiste et chef de chant, il est associé à des productions de l’ARCAL, IFOB, les Ateliers Lyriques du Centre, les Hystériades, la Volute et aux maîtrises de Notre Dame et de Radio-France.

Este l le MICHEAU : chanteuse/comédienne Elle suit une double formation de théâtre et de chant au conservatoire d’Orléans. Elle reçoit, en 2007, le1er prix à l'unanimité en chant et musique de chambre. Elle travaille dans de nombreuses productions de spectacles musicaux (l’orchestre symphonique d’Orléans sous la direction de Jean-Marc Cochereau, Ensemble Philidor) dans lesquelles elle interprète divers registres : opéras, chants populaires baroques, opérettes, mélodies espagnoles. Elle travaille également avec plusieurs compagnies théâtrales de la Région Centre où elle étend son registre au théâtre musical : Le Capitaine Fracasse, Les mamz'elles et m'sieur Louis, La maison de Bernarda Alba, La balade des mythes, Hypocondriac 1er.

Jul ien CLÉMENT : chanteur/comédien

Comédien chanteur formé au conservatoire d’Orléans, il travaille dans plusieurs productions mises en scène par Gérard Audax: Le Capitaine Fracasse et Hypocondriac 1er de Louis Dunoyer de Segonzac et Jean-Marie Lecoq, C’est au chat noir, Les mam’zelles et m’sieur Louis. Il est également soliste dans l’ensemble vocal « La Sarabande » pour Membra Jesu Nostri de Dietrich Buxtehude, dans l’ensemble vocal « Ami-Voix » pour la Messe de l’orphelinat de W.A.Mozart et dans l’orchestre symphonique d’Orléans sous la direction de Jean-Marc Cochereau dans Mass de Léonard Bernstein. En 2007, il intègre l’Atelier Philidor qui réunit 12 jeunes chanteurs professionnels autour de François Bazola. En 2008 il est Peterman dans Monsieur Choufleuri restera chez lui de Jacques Offenbach, opérette produite par l’orchestre du Chapître sous la direction de Gildas Harmois.

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ET LA PRESSE, À PROPOS

« HYPOCONDRIAC I ER, c’est la fin de l’hypocondrie !

Cette comédie de la méchanceté, si allègrement chantée, jouée et mise en scène,libère le bonheur…Joli renouveau de » l’Opéra Bouffe ! » France INFO - Coup de cœur – « Prendre le risque du théâtre musical est une vraie audace. Avec Hypocondriac Ier, Gérard Audax le bien nommé rend ses droits et sa force au genre de l’opéra-bouffe, à travers cette fable souriante où un roi grognon et sa fille Boulimie cesseront de faire régner leur désespoir méchant sur leur pauvre peuple. » POLITIS - Gilles COSTAZ « Hypocondriac Ier. C’est finement écrit, mis sur des mélodies entraînantes, jouées par des acteurs qui savent chanter. Ce spectacle distille cette fantaisie qui fustige dans la légèreté. » France INTER - Le masque et la plume – « Hypocondriac Ier, un père UBU contemporain , sarcastique et léger… Un rire de RÉSISTANCE enchantant ! » LA MARSEILLAISE - André BENAYOUN – « Hypocondriac Ier, un spectacle burlesque qui embarque dans un « terriblifque » et « bouleversifiant » conte de fée, un livre d’images où l’on passe de la neurasthénie à la joie… Pour la politesse de l’humour. » LA RÉPUBLIQUE DU CENTRE - Jean – Dominique BURTIN – « Dans un festival de jeux de mots, tous égratignent la société à « chœur joie » et finalement redonnent ses droits à la joie » LE DAUPHINÉ « Humour royal et décapant… Hypocondriac Ier œuvre de divertissement ? La dimension caricaturale ( ?) fait mouche. On est ravi. » LA VOIX DU NORD « Loufoquerie et surréalisme… c’est du bonheur… Une superbe partition interprétée par une excellente distribution » OPÉRETTE MAGAZINE « Un spectacle divertissant, respectant tous les codes du genre, et cruellement ironique sur les mœurs du temps » FROGGY’DELIGHT

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À PROPOS DE

CLIN D’OEIL

- à Paris (Opéra Comique, Théâtre de la Renaissance, Théâtre du Lucernaire, Théâtre de la Main d’Or, Théâtre du Tourtour, Théâtre de

l’Épée de Bois,…),

- en Province (Scène Nationale MAC de Créteil, Scène Nationale Martigues, La Merise de Trappes, Centre Albert Camus d’Issoudun, Nouveau Théâtre de Vierzon,…),

- à l’Etranger (Burkina Faso, Roumanie, Québec, Mongolie, Centre Afrique,

Congo, Rwanda, Ontario,…), dans le cadre des tournées ATP, au Festival International de Sibiu (Roumanie), Festival IN de Chalons sur Saône,

- Festival Off d’Avignon ( Théâtre du chien qui fume, Maison du Théâtre

pour Enfants, La Fabrik Théâtre,…) - et de nombreuses villes de France (Tournées CCAS, Théâtres

municipaux,…. )

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