Dossier evenementiel

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243 OCTOBRE 2015 • 8 € NOUVEAU SAMSUNG Double 2 répond à l’appel du nouveau portable de Samsung P.6 GRAND ANGLE MONTAGNE Prendre de la hauteur dans les Alpes ! P.60 DESTINATION ARTISTES Les artistes à l’oeuvre dans l’événementiel P.38 DOSSIER

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8 €

NOUVEAU SAMSUNG

Double 2 répond à l’appeldu nouveau portable de SamsungP.6 GRAND ANGLE

MONTAGNE

Prendre de la hauteur dans les Alpes !

P.60 DESTINATION

ARTISTES

Les artistes à l’oeuvredans l’événementiel

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Les artistes à l’œuvredans l’événementiel

—« Travailler ce qu’il est des relations avec nous-mêmes,les autres, le monde selon un registre qui touche chacun dans sa sensibilité la plus profonde ». Ce à quoi les artistes peuvent contribuer par leurs interventions dans les entreprises pour progresser vers de nouveaux modes de management, pour aborder la communication différemment, pour développer le collectif autour de projets, pour créer du lien avec le vivant, pour partager et vivre des moments d’émotion et de sens, tout simplement. Par leur créativité et leur approche de l’environnement, ils ont beaucoup à offrir pour éveiller la valeur émotionnelle de chacun. D’autant plus dans une société en mutation bousculée par l’essor des nouvelles technologies. par Pascale Baziller

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Dialoguer avec des artistes et des personnes de la culture permet aux responsables d’entreprise de pro-gresser vers un mode de management non seulement plus dynamisant mais aussi plus épanouissant, pour

eux et pour les autres » expose Philippe Lukacs, professeur de management de l’innovation à l’École centrale de Paris dans une tribune parue dans L’Usine Digitale en août dernier. Pour répondre à l’essor des nouvelles technologies et à « un envi-ronnement économique devenu structurellement imprévisible » (…), il importe de manager autrement. L’art et la culture sont des appuis puissants » qui vont permettre de créer des dyna-miques entre des personnes et des groupes mais également de permettre à chacun de mieux utiliser sa raison mais plus en-core et surtout son imagination. « Or, la spécificité de l’art et de la culture, c’est de travailler ce qu’il en est des relations avec nous-mêmes, les autres, le monde, de le faire selon un registre qui touche chacun dans sa sensibilité la plus profonde et de le faire de façon imaginative. » Une réflexion qui pose la question de la place de l’artiste dans l’entreprise à l’heure où notre société mo-derne doit d’adapter à de nouveaux processus de production, de nouveaux modes de communication et de consommation reflétant notre mode de vie. Quelles relations entretient-il avec l’événementiel ? Et quelle est sa valeur ajoutée pour le secteur, qu’il soit musicien, comédien, peintre, danseur, graffeur… ?

Depuis vingt ans, La Ligue d’impro met au service des entre-prises, comédiens, auteurs, metteurs en scène, tous spécialistes de l’improvisation. Ou comment elle applique les techniques d’improvisation au monde de l’entreprise. « On fait du spec-tacle, des sketchs interactifs, des canulars, des performances d’impro, des restitutions de débat humoristiques, des mises en scène de collaborateurs ou encore des formations techniques d’impro » présente Nadine Rubeus de la Ligue d’Impro. Afin de créer de manière décalée des instants de respiration et d’aéra-tion « qui donnent aux participants du temps pour digérer les débats, comprendre les messages précédents et reprendre de l’énergie pour être prêt à entendre les débats suivants », indique Nadine Rubeus. À l’issue de débats, les artistes restituent les messages avec une vision extérieure éloignée de la dialectique habituelle de l’entreprise. Une vision construite sur la capacité de distanciation et de création propre à chaque artiste qui s’em-ploie à écrire un scénario avec une dose humoristique et d’au-todérision. « Dans une position de candide, le comédien voit et entend des choses que les salariés n’entendent plus, indique Na-dine Rubeus. Sa distance, sa non-implication dans l’entreprise lui autorise la prise de recul, et son regard extérieur lui donne à voir des choses que les salariés ne voient peut-être plus de l’in-térieur. Par ailleurs, il ne s’exprime pas avec les « tics »

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Dialoguer avecdes artistes (…) permet de progresser vers un modede management plus dynamisant, plus épanouissant

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pour augmenter leurs revenus. « Face à une baisse de programmation dans les lieux et une économie du spectacle plus chère, beaucoup d’artistes de la scène se sont ouverts aux entreprises et ont adapté leur spectacle, explique Éric De-bègue, dirigeant de Cristal Production. L’ouverture des artistes a ainsi permis le développement du marché qui a fini par répondre à cette nouvelle offre. » De leur côté, les entreprises sont en quête de nouveaux formats et nouveaux ou-tils pour communiquer auprès de leurs publics (interne/externe), créer du lien entre les salariés et renforcer la cohésion d’un groupe, les capacités d’écoute et de réactivité des participants lors d’un événement. L’artiste pourra ainsi dé-clencher le « vecteur émotionnel » avec pertinence et parfois impertinence pour ouvrir un nouveau champ des possibles, une nouvelle fenêtre d’expression dans un registre avec lequel les collabora-teurs ne sont guère familiers. Car c’est bien la rencontre avec l’humain qui est au cœur de ces approches. Les artistes sont moins sollicités pour accompagner des messages liés aux valeurs de perfor-mance de l’entreprise. Mais bien plus sur la collaboration et la cohésion du groupe où le salarié est partie prenante du pro-jet et du développement de sa société. À l’heure de la communication par les réseaux sociaux, les artistes créent du lien avec le vivant et entre les hommes. L’objet étant de favoriser l’écoute,

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de communication spécifiques à chaque entreprise. En revanche, il sait les repérer et les mettre en lumière, en jouer, les dé-tourner au besoin. » Clin d’œil au rôle de l’artiste du temps de Molière, comédien qui à la fois jouait la comédie et faisait passer quelques messages sur la société, la politique et les hommes en jouant du verbe. « Les artistes permettent de s’éva-der et créent les conditions propices à la réflexion permettant de faire avancer le monde. Ils ont leur place dans l’entre-prise, ils humanisent l’événement par leurs interventions et apportent un autre regard, un peu de folie et de culture à des gens qui n’auraient pas été forcément vers cette expression artistique, déclare René-Alban Fleury de l’Escadrille, com-pagnie de comédiens pluridisciplinaires qui crée des spectacles sur mesure dans le registre de l’humour, dans un esprit « bande dessinée vivante ». Richard Blanger, directeur de Creashow note

une évolution du rapport entre artistes et événementiel. « Outre leur vocation de divertir, les artistes sont désormais au service de la marque ou de l’entre-prise. Il y en a encore quelque temps, ils étaient sollicités uniquement pour leur savoir-faire. Aujourd’hui, ils font le lien avec le produit ou les messages. Ils ap-portent un souffle, une dynamique dans une plénière et permettent de renouveler les discours en construisant un contenu qui va interpeller et faire réagir. Notre savoir-faire est de traduire les messages d’une entreprise à travers une animation autour de comédiens et d’artistes qui s’investissent à nos côtés dans l’écriture et la réalisation. » Un marché qui a évolué ces dernières années en raison des mutations techno-logiques modifiant les process au sein de l’entreprise mais aussi l’économie du monde artistique. Contraignant ain-si les artistes à diversifier leur activité

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La Ligue d’Impro : spectacles, sketchs interactifs, canulars, performances et formations techniques d’impro au service des entreprises

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Creashow met en scène des artistes performers pour émerveiller le public

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Cela fait bien longtemps que le graffiti a gagné ses lettres de noblesse dans le milieu artistique. Art contemporain, art urbain, art expressif… reflet de la société, le graffiti est dans les rues, les galeries, les musées, les publicités. Mais également dans les en-treprises, un territoire investi par la société Déco Spray créée il y a dix ans. « Pendant des années, notre terrain de jeu était la rue sur des supports autorisés et non autorisés, raconte Rodolphe Morali, un des fondateurs de Déco Spray qui a fait des lettres son champ d’expression privilégié. Nous avons démarré notre société en réalisant des fresques murales, des trompe-l’œil, des ambiances dans différents lieux avant d’être sollicités de plus en plus par les entreprises pour intervenir en événementiel. » Les artistes peintres graffeurs apportent ainsi leur savoir-faire et leur expérience en termes de techniques artistiques et de messages pour répondre aux problématiques d’une entreprise lors de séminaires, conventions, workshops, soirées et inaugu-rations. En jouant dans différents registres de la fresque murale au team building en passant par les performances live. « Les ate-liers créatifs et participatifs permettent d’échanger sur un sujet, de favoriser les débats en rupture avec les codes conventionnels du travail mais également de dénouer certains nœuds et faire passer des messages forts, expose Rodolphe Morali. Quand les participants s’expriment par la peinture, ils arrivent à se décon-necter de leur quotidien… Je compare cela à un massage psycho-logique ! L’artiste est présent à leurs côtés pour leur enseigner les techniques mais également les guider dans leur approche et bien entendu apporter son regard créatif. » Un regard et une

lective, et team-buildings ou soirées. Si le partage d’émotions et de sens passe par l’esprit, il passe également par le corps. Danseuse, chorégraphe et fondatrice de Danaïade, Élodie Bergerault s’intéresse au mouvement sous toutes ses formes pour créer des chorégraphies sur mesure. « Aujourd’hui, les entreprises s’intéressent de plus en plus au mieux-être de leurs sa-lariés. On travaille sur le corps et ses mé-canismes en mouvement pour développer le lâcher prise, se positionner par rapport au stress engendré par un changement ». Le mouvement, pour communiquer avec

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la bienveillance, la confiance, le bien-être dans l’entreprise. Pour mieux participer à un projet collectif et mieux le partager jusqu’à en devenir le premier ambassa-deur. « Notre société moderne s’est édifiée sur des capacités logiques et linéaires, dominée par une forme de pensée essen-tiellement analytique. Mais cette dimen-sion n’est plus suffisante pour aborder le monde de demain. La cohésion d’équipe ne se décrète pas, elle se vit. Raison et émotions se mêlent pour construire ce que nous sommes et la façon dont nous intera-gissons. L’art, l’inventivité, l’empathie, la capacité à avoir une vue d’ensemble, la joie, la poursuite du transcendant… vont devenir déterminantes pour décider de la place de chacun. Les artistes ont beau-coup à offrir au monde de l’entreprise, pour guider les équipes vers cette aptitude à créer de la valeur émotionnelle et se re-lier aux autres dans l’empathie, » indique Laurent Mignard, chef d’orchestre du Duke Orchestra et fondateur de l’Agence Musicale qui propose conférences, ate-liers leadership/management pour faire émerger une nouvelle intelligence col-

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Le mouvement pour exprimer la matière lors de Campaign for Wool au Palais de Tokyo

soi, avec et auprès des autres. « C’est aussi apporter l’art où on ne l’attend pas avec une dimension esthétique pour faire passer des messages ». Cet été, Danaïade a imaginé le voyage d’un colis à travers une chorégraphie filmée à travers la gare Saint-Lazare pour promouvoir les points relais de la marque Pickup (filiale de La Poste). Résultat, 100 000 vues sur Face-book en une semaine. Ou encore fin septembre au Palais de Tokyo, la per-formance de danseurs pour exprimer la matière à l’occasion de l’événement Cam-pain for Wool (campagne pour la laine).

Quand les artistes signent…

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Les artistes peintres-graveurs de Déco Spray apportent leur savoir-faireen termes de techniques artistiques et messages

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créativité qui s’expriment à travers des œuvres inédites pour habiller les murs dans une entreprise. L’exemple le plus récent, la révélation de l’œuvre murale Stairway to Paris en juin dernier chez Ha-vas Paris à Puteaux. Une grande fresque de près de 3 000 m2 tapisse désormais les murs sur trois étages de quatre cages d’escaliers jusqu’ici peu empruntés. Du-rant trois mois, l’agence de publicité et de communication a ainsi accueilli en ré-sidence une quinzaine de street artistes aux influences variées. Parmi lesquels

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Le Glitter Painting mis en scène par Érik Black pour tenir en haleine le public pendant tout le numéro

Popay, figure incontournable du graffiti dit « le Goya du graffiti », Brusk, Gris1 mais aussi Retro ou Arnaud Liard qui y racontent leur histoire et celle du graffiti. La rencontre entre l’art pictural et l’événe-mentiel se fait ainsi lors de performances artistiques à travers le graff et le speed painting (peinture rapide), technique où l’artiste révèle au fur et à mesure du numéro son œuvre. Mais également le Glitter Painting (colle + paillettes) mis en scène par l’artiste peintre Erik Black. Le principe est de réaliser en direct un gra-

phisme ou un portrait qui apparaîtra lors du final, au moment du jeté de paillettes. « Cette performance de live painting per-met de garder le public en haleine durant tout le numéro et de créer une dynamique dans la salle, explique Erik Black (Erik Black Painting). La révélation du por-trait à la fin du numéro crée toujours un impact émotionnel très fort auprès des spectateurs. À l’issue de chaque perfor-mance, je reçois de nombreux followers sur les réseaux sociaux. » Ils seraient 14 000 000 à travers le monde à avoir vu l’une des performances de l’artiste, indique sur son site l’équipe de Black Painting. Un succès au-delà de nos fron-tières. Erik Black se produit en France et à l’étranger, notamment récemment au Japon. Portrait personnalisé, por-trait de célébrités, il affectionne parti-culièrement ceux de Marylin Monroe et Mickaël Jackson ou tous types de graphisme (logo, message…). Chaque prestation dure entre 4 et 7 minutes et demande un long travail de prépara-tion. « Suivant la complexité du dessin, je réalise entre 30 et 50 répétitions dans mon atelier pour m’imprégner des formes et des détails et être au plus juste de la réalité», indique Erik Black toujours en quête de nouveaux défis pour offrir des shows sur mesure.

L’art de l’image

Depuis quelques années, la photogra-phie artistique a pris un essor considé-rable chez les collectionneurs mais éga-lement dans les galeries et les musées. Un marché qui s’est développé dans un environnement bouleversé par l’avène-ment du numérique. Lequel a provoqué de nombreux changements techniques permettant ainsi l’accessibilité au plus grand nombre et la profusion d’images. Il a également permis à de nouveaux artistes de s’exprimer et a ouvert de nouveaux champs de création aux pho-tographes déjà confirmés. Fabienne Delattre est de ceux-là. Forte de son ex-périence dans les domaines du cinéma et de la photographie, elle a choisi de mettre sa passion et son art au service des entreprises en s’appuyant sur son expertise, sa créativité et les nouvelles technologies. Elle crée la société Image en marche et s’entoure d’une

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L’Image en marche conjugue prestations de reportage photos et animations photocall sur un événement

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Depuis près de 30 ans,

CREASHOW fait figure de référence en matière d’animation événementielle.

Fort de cette expérience, nous offrons aujourd’hui le meilleur

casting d’artistes répondant aux attentes des entreprises dans ce domaine.

De la création de concepts originaux à la production de jeunes talents,

notre quotidien est d’imaginer et de concevoir les animations qui feront

de votre séminaire, team building ou soirée corporate, un véritable succès.

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équipe de photographes profession-nels. « Tout le monde fait aujourd’hui des photos avec son Iphone ou son ap-pareil numérique, expose Fabienne Delattre, photographe et responsable commerciale de l’Image en marche. Mais une entreprise qui organise un événement éphémère souhaite garder une trace de ce moment, des lieux, des animations, du décor et disposer de photos de qualité qui pourront servir de supports de communication en in-terne ou en externe. Couvrir un événe-ment demande donc de l’exigence et de la technicité en termes de cadrage et de choix de lumière pour obtenir les images les plus naturelles. Les photo-graphes vont apporter ainsi leur regard dynamique et restituer les émotions qui se dégagent tout en œuvrant en toute discrétion. » Sur le terrain, l’Image en marche peut conjuguer prestations de reportage photos et animations photo-call (Photobox, ludique et connectée, 2.0). Comme lors du Warner Day au Grand Rex l’an dernier en présence

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Procurer de l’émotion, l’ambition des Ateliers du court métrage

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de 1 200 invités et superhéros. Avec la faculté de s’adapter à toutes les situations. Rester perché en haut d’un escabeau pendant 6 heures lors des 25 ans de Canal+ pour photogra-phier les invités (4000) dans un « plumard » avec Dexter ou les Desperate Housewives. Et sans trucage. Où le profession-nalisme et tout le talent de l’artiste est requis. Qui s’exprime différemment suivant les sujets, les environnements et le caractère des prestations. Celui du Studio Harcourt se dis-tingue par la technicité et la touche artistique « style Harcourt » qui se caractérise par une photo rapprochée du sujet pris sous le meilleur angle éclairé par la lumière de projecteurs de cinéma. Des portraits noir et blanc (personnalités, icônes nationales et internationales), une griffe reconnaissable à travers le monde. « Le style Harcourt est unique, indique Catherine Renard, la di-rectrice générale du Studio Harcourt. Il repose sur le travail en lumière continue qui permet de mettre en exergue le naturel et la personnalité de chaque sujet. Lequel est magnifié par le pho-tographe qui va en tirer sa substantifique moelle. » Si le Studio Harcourt invite les entreprises à investir ses lieux le temps d’un événement, il développe également une prestation événemen-tielle hors les murs, le studio éphémère. « Notre équipe artis-tique se déplace sur les événements en France et à l’étranger, ex-pose Catherine Renard. Elle installe un studio qui permet à un plus large public de toucher le mythe Harcourt. Chaque per-sonne repart avec sa photo en format 10x15 ou la reçoit sur son email. » Faire toucher du doigt l’artistique et embarquer les gens dans une histoire qui procure de l’émotion à travers l’image. C’est l’ambition des Ateliers du court métrage au cours de ses ateliers de fabrication d’un film, d’une bande-an-nonce, d’une publicité ou de ciné labo qui mélangent photo, arts plastiques et cinéma. Les artistes, comédiens, réalisa-teurs, scénaristes accompagnent les participants pour écrire un scénario, faire éclore des idées et découvrir leur rôle. « Le contenu d’un film peut surprendre, indique Christophe Lebon, le fondateur des Ateliers du court métrage. C’est le collectif qui porte le message qui peut être parfois à la fois dérangeant mais instructif pour le manager. Les entreprises sont de plus en plus ambitieuses à faire entrer l’artistique dans leur communi-cation pour répondre à certaines problématiques. »

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Le style Harcourt : un travail en lumière continue qui permet de mettre en exergue la personnalité de chaque sujet

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violon et chef d’orchestre, qui explique comment passer du collectif au rôle de leader devant des cadres d’entreprise. Enfin, l’Orchestre de Paris, ce sont aus-si des concerts privés en entreprise en France et à l’étranger, en formation de musique de chambre. Sous la direction

de coachs vocaux, d’auteurs et de mu-siciens, enregistrer une chanson dans un studio profes-sionnel fréquenté par de grands ar-tistes. Monter une comédie musicale et se produire sur une scène. Réaliser le tournage d’un

lip dub ou interpréter et enregistrer une chanson (après réécriture) dans un studio professionnel … Ou encore parti-ciper à un atelier percussions « Batuca-da »… Autant de formats (1h à 2 jours) de team buildings que propose Sing City pour faire découvrir et appréhen-der la musique sous différents

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Accord parfait en musique

L’Orchestre de Paris, 119 artistes musiciens et son chœur de 260 chan-teurs, l’une des plus prestigieuses pha-langes internationales sur la scène de la Philharmonie de Paris, son lieu de résidence. Où comment la musique peut-elle transcender le temps d’un concert ? Lequel s’accompagne d’une opération de relations publiques avec accueil personnalisé, cocktail et visite privée possible de la salle et des cou-lisses avant le concert. « Notre activité principale est la production de concerts à La Philharmonie autour desquels nous pouvons organiser des événements de prestige jusqu’à 800 personnes, indique Nathalie Coulon, responsable du mécé-nat et des relations entreprises de l’Or-chestre de Paris. Mais, nous proposons également aux entreprises une autre ap-proche de la musique à travers la décou-verte des lieux comme la bibliothèque des partitions et le foyer des artistes et la rencontre avec le chef d’orchestre et le soliste par exemple après le concert. Cela contribue à faire de l’événement un moment exceptionnel. De plus, cela per-

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L’Orchestre de Paris organise à La Philharmonie des événements de prestige autour de concerts

met de créer un contact humain avec la communauté d’artistes et de connaître les coulisses de la vie des musiciens. » Parmi les autres propositions de mani-festations privées, un réveil en musique avec petit-déjeuner suivi de la répétition générale, des rencontres avec des musi-ciens et des confé-rences animées par des personnalités représentantes de l’Orchestre de Pa-ris qui vont dresser des parallèles entre musique et entre-prise, entre œuvres de musique clas-sique et grands crus (Brahms et les vins de Bordeaux, Schubert et les grands crus de Bourgogne avec dé-gustations et concerts intimistes) ou tout simplement raconter une histoire. Comme celle du premier violon Roland Daugareil et de son stradivarius, une pa-role ponctuée par des intermèdes musi-caux. Ou bien Philippe Aiche, premier

L’Orchestre de Paris propose de connaître les coulisses de la vie des musiciens

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C’est la rentrée, OrGanIseZ vOs événements de fIn d’année : des lieux événementiels parisiens uniques autour d’une exigence commune.

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La nouveauté du mois de la rentrée : m O m a s e l e C t I O n e n t r e e n s e I n e !La compagnie des bateaux à roue passe sous le Pavillon Moma Group.

Des travaux de rénovation sont entrepris dans les mois à venir afin de relancer en grandes Pompes les 3 bateaux au printemps prochain!

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Jazz Around Midnight : Jazz swing, be-bop, bossa-nova, jazz manouche, chansons françaises… des prestations musicales haut de gamme

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Enregistrer une chanson dans un studio professionnel est une des propositions Sing City pour appréhender la musique

aspects en lien avec les besoins des en-treprises. Des animations et ateliers sur mesure fédérateurs pour des groupes de 5 personnes à plusieurs milliers autour de répertoires musicaux adaptés à la ty-pologie des publics. « Une opération de team building musical est fédérateur et à la portée de tous mais permet aussi de casser les codes et les hiérarchies », in-dique Fabrice Grimal, président de Sing

City qui propose également des presta-tions exclusives avec des artistes pour animer des événements. Comme une soirée pour une marque de spiritueux sur le thème des années folles avec or-chestre de jazz. Jazz Around Midnight est un collectif de musiciens talentueux de la scène jazz qui propose des pres-tations musicales haut de gamme à l’attention des professionnels de l’évé-

nement (agences de communication, agences événementielles et entreprises). Jazz swing, be-bop, bossa-nova, jazz ma-nouche, chansons françaises, electro-jazz sont au répertoire avec le concours de musiciens qui par ailleurs se produisent dans les clubs et grands festivals en France et à l’étranger. « Répertoire, look, scénographie, peuvent être conçus spé-cifiquement pour répondre aux attentes de nos clients », explique Alex Beker, directeur artistique du collectif. Notre particularité est la qualité des perfor-mances musicales que nous proposons. L’unicité de chaque artiste, le travail sous-jacent à chaque improvisation, chaque interprétation, apporte le petit plus que recherchent nos clients pour sublimer leur événement, gala, cocktail dînatoire ou lancement de produit et lui apporter une touche unique» Faire rêver ses clients ou collaborateurs et partager un moment de plaisir en assistant à la prestation d’une tête d’affiche ou d’un artiste reconnu (chanteur, performer…), pour « un budget raisonnable », c’est la proposition de David Hardit Manage-ment. « Aujourd’hui, nous travaillons avec des personnalités et des artistes confirmés qui se produisent sur scène lors d’une soirée et peuvent adapter le contenu pour délivrer des messages en adéquation avec les problématiques d’entreprises » indique David Hardit de la société éponyme.

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Les artistes, hôtes de ces lieux

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Des pièces iconiques de stars internationales tapissent les murs du Hard Rock Cafe

Il est des lieux pour lesquels, de prime abord, le lien avec le monde artistique n’apparaît pas comme une évidence. À la différence d’un théâtre, d’une salle de spectacle, d’une galerie, d’un musée ou tout autre espace dédié aux arts et à la culture. Et, pourtant, il suffit parfois d’une rencontre, d’une passion ou tout simple-ment du hasard pour que des artistes de-viennent en quelque sorte les « hôtes » d’un lieu. À l’instar du Hard Rock Cafe qui fêtera ses 25 ans en 2016. Pour la pe-tite histoire, « le nom du restaurant vien-drait du verso de la pochette de l’album Morrison Hotel des Doors sur laquelle on découvre un établissement du nom de Hard Rock Cafe », raconte Vanessa Mil-ler, responsable ventes et marketing pour Hard Rock Cafe Paris. Si c’est une ru-meur, toujours est-il que les deux améri-cains à l’initiative du projet souhaitaient mettre l’accent sur un lieu Rock’n’roll. Très vite, Hard Rock Cafe devient

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Moma Group insuffle dans chacun de ses lieux une dose artistique en invitant des talents à s’exprimer

un restaurant tendance et les artistes seront nombreux (au-jourd’hui encore) à laisser un objet personnel en souvenir. De nombreuses pièces iconiques, ayant appartenu à des stars in-ternationales tapissent les murs des établissements à travers le monde (203 établissements dont 156 Hard Rock Café dans 64 pays). Au Hard Rock Cafe Nice, la canne-épée d’Elvis Presley, la ceinture de Freddie Mercury (Queen) ou encore le chapeau de Michael Jackson porté pour le titre Smooth Criminal. À Pa-ris, des instruments et des objets de John Lennon, The Beatles, Jimi Hendrix mais aussi Black Eyes Peas, David Guetta, Ri-hanna…. « Le groupe possède aujourd’hui 73 000 pièces, indique Vanessa Miller. Un fond muséal qui fait pâlir bien des collec-tionneurs et attire en nombre visiteurs et clients. Parmi lesquels les entreprises qui y organisent leur événement pour partager une cuisine américaine authentique concoctée sur place et un moment de détente dans une ambiance rock. Des photos noir et blanc de Steeve Mac Queen, Meryl Streep, Dustin Hoffman et bien d’autres personnalités accrochées sur les murs du res-taurant le Victoria 1836 (Moma Group). L’on peut y lire un certain attachement à l’univers artistique défendu avec ferveur par Benjamin Patou, le président de Moma Group. Pour deux raisons principales. Une passion personnelle pour l’art, plus précisément le piano et l’art moderne et un choix stratégique. « Le marché de l’événementiel est confronté à une offre de plus en plus large et pléthorique et une demande plus faible en temps de crise, expose Benjamin Patou. Notre offre se démarque par sa

diversité de lieux différenciants, atypiques, ayant une âme, une histoire. Des lieux auxquels nous insufflons à chacun une dose artistique en invitant des talents à s’exprimer sur des sujets où on ne les attend pas. » Comme l’artiste Lenny Kravitz (studio Kra-vitz Design Inc) qui s’est vu confier le design du Club l’Arc Paris. Ou encore Arielle Dombasle metteur en scène d’un opéra pour Opéra en plein Air. « Moma Group est un créateur de marques et d’histoires. Toutes ses actions sont guidées par un modèle fé-dérateur de talents, précise Benjamin Patou. Un artiste est un témoin de son époque qui apporte sa sensibilité et son regard sur le monde. » Prochainement (fin octobre), c’est l’artiste Garou qui interviendra dans la création d’un cabaret « fantasmagorique » au Manko Paris, ancienne salle des ventes Drouot Montaigne, une des dernières acquisitions de Moma Group.

Metteur en scèned’événements…

Croisement d’une compagnie de création artistique et d’une agence événementielle artistique, Acta Fabula est une structure originale présente dans le secteur événementiel depuis presque 20 ans. Qu’on peut qualifier de metteur en scène d’événements qui puise sa créativité et son énergie d’un groupe d’artistes pluridisciplinaires de talent. Et qui conçoit et met en scène des spectacles, des animations et

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Acta Fabula est metteur en scène de spectacles, animations et ateliers cousus avec un sens aigu de l’esthétique

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des ateliers uniques cousus avec un sens aigu de l’esthétique, de l’élégance sans exclure pour autant la fantaisie et l’humour. « Nos interventions sont des expériences d’immersion complète du spectateur dans un univers grâce aux costumes, aux artistes aux talents va-riés », explique Florence Kadri, la fon-datrice d’Acta Fabula qui possède son propre lieu de répétition, un atelier de fabrication et un stock de 5 000 cos-tumes. Grâce à la compagnie intégrée, Acta Fabula c’est aussi un catalogue exclusif de thèmes clé en main comme Tim Burton, Gatsby le magnifique, Féérie baroque et vénitienne, Belle Époque, Nature et développement du-rable, So British… « Acta Fabula ap-porte son identité d’artiste créateur au sein de l’entreprise, indique Flo-rence Kadri. Le monde de l’entreprise est aussi sensible à la rencontre di-recte avec de vrais créateurs qui vont sublimer et amplifier leur message. Nous offrons des fabrications exclu-sives et sur mesure à l’écoute

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Nature et développement durable, Tim Burton,… Acta Fabula c’est un catalogue exclusif de thèmes clé en main

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Office +33(0)9 72 34 24 73Mobiles +33(0)6 85 83 44 47 +33(0)6 81 25 18 35

50 avenue Pierre Sémard94200 IVRY SUR SEINE [email protected]

www.remue-menage.com

des objectifs de nos clients. Au-delà du pur moment visuel ou divertissant, les artistes peuvent apporter plus de sens en stimulant l’émotion. Avec les contraintes budgétaires et le sou-ci de ne pas fabriquer seulement de l’ostentatoire, l’intervention des ar-tistes au sein de l’entreprise à travers des ateliers créatifs, la mise en scène de membres de l’entreprise permet aussi de travailler sur la valorisation humaine, l’adhésion au groupe et le lien social ». La Compagnie Remue Ménage met également en scène des spectacles pour animer des soirées et autres événements. Comme l’inaugu-ration de bâtiments avec la création de numéros en façades avec acrobates et pyrotechnie. Où la création se joue des éléments.

L’art de la fascination. Ou comment faire vivre des expériences hors du commun à l’aide du transfert d’énergie, de l’hypnose, du magnétisme et quelques autres techniques. C’est la proposition de Messmer Le Fascinateur qui remplit des Zénith en France et à l’étranger avec son spectacle Intemporel. Il sera à l’affiche du 26 au 29 novembre au Zénith à Paris où il tentera de battre le record du plus grand nombre de personnes hypnotisées avant d’entamer une tournée nationale en 2016. Entre ses performances scéniques, l’artiste intervient également en entreprises. « Nous proposons des formules privatisées de 60 à 70 minutes lors de séminaires, réunions ou soirées pour 100 personnes minimum, explique Antonin Coutouly, chargé de diffusion chez Book Your Show (tourneur). Messmer reprend ou adapte des numéros de son spectacle en fonction de la demande des clients. Le principe est de faire participer le public sur la scène, de lui faire vivre sous hypnose des aventures pleines d’humour et d’émotions à travers les époques, l’espace et le monde, aux confins du subconscient. C’est un spectacle bienveillant qui ouvre à la communication et crée du lien entre les participants. » Une prestation qui peut s’accompagner en préambule par une conférence sur l’hypnose, le magnétisme… Messmer ayant développé l’hypnose thérapeutique en cabinet dans les années 90 avant de se consacrer uniquement à ses performances scéniques.

MESSMER, LE FASCINATEUR INTEMPOREL

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CARNET D’ADRESSES

DRLa Compagnie Remue Ménage met en scènedes spectacles

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LE BILAN DU SALON EXPERIENTIEL ANIMAE

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Les membres de l’association Animaé réuinis

Le 7 septembre dernier, la Zalthabar accueillait le 2e sa-lon expérientiel Animaé conçu par Remark et co-organi-sé avec les 6 membres de l’association Animaé (Bacca-ra, Cinéréa Paris, CultureZen, Eat Sentiv, For Event et People Box). La manifestation ouverte au public de 10h à 19h a rencontré un grand succès auprès de 580 invités triés sur le volet. 22 animations étaient réparties sur les 4 niveaux de la Zalthabar et le jardin. Toute la journée, elles ont été animées par 70 professionnels. Cette édition était soutenue par de nombreux partenaires coup de coeur, no-tamment Trinity pour l’hôtessariat, Coisy Traiteur pour la restauration, Music and Meetings pour les animations mu-sicales, etc… La nouvelle formule de ce salon, entièrement repensée, a su séduire les visiteurs par son côté « comme à la maison ». Ainsi l’on pouvait se déplacer de pièces en pièces dans la grande bâtisse qu’est la Zalthabar et découvrir les animations proposées, tout en sirotant un jus, un verre de vin et en grignotant des bonbons mis à disposition. L’orga-

ANIMAÉ est la 1e véritable association de prestataires d’animations événementielles, qui se regroupent pour revendiquer une appellation d’origine : celle des concepteurs & producteurs d’animations de qualité.• Baccara : univers des jeux de casino.• Cinéréa Paris : univers des animations oenoludiques• CultureZen : univers animations zen & bien-être• Eat Sentive : univers des animations culinaires.• For Event : univers des animations techno-ludiques• People Box : univers des animations photos interactives

ANIMAE QU’EST CE QUE C’EST ?

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nisation avait prévu 4 parcours ( jaune, rouge, vert et bleu) pour les spectateurs selon leur envie d’implication et la ma-jorité du public a plébiscité les parcours les plus inclusifs ! Les participants ont pu déguster le champagne Charles Le-gend dans les salons dédiés aux affaires. La journée a été ponctuée de 2 conférences, l’une sur la Zalthabar et l’autre sur la communication digitale qui faisait le point avec trois cas pratiques sur le congrès ComInTech, sur Les sommets du digital et sur les coulisses du lancement de la candidature de Paris aux JO 2024.

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• L’agence (conception et logistique) : Remark • Le lieu : La Zalthabar• Les hôtesses : Trinity • La restauration en continu : Coisy Traiteur• Les animations Musicales : Music & Meetings• Les transferts en 2CV : Paris Authentic• Le mentaliste : Burt Wayne• L’application digitale: My Qaa• Le social wall : Oui Beat• Un regard international : MPI • Pour démultiplier l’influence digitale : Social Dynamite• Le champagne : Charles Legend• L’Événementiel était également partenaire presse de l’événement !

LES PARTENAIRES :

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Le salon a permis de présenter de nombreuses animations

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