OPÉRA ÉLECTROMÉCANIQUEPOUR MARIONNETTESDURÉE 1 HEURE 20 ENVIRONA PARTIR DE 12 ANS

LES ANTLIACLASTESLIEU DIT LA CHAUSSEE03190 MAILLET

CONTACTS :

PRODUCTION / DIFFUSION Sophie-Danièle Godoantliaclastes@gmail.com06 86 82 58 78 et 04 70 06 63 36

ARTISTIQUEPatrick Sims 06 15 06 93 35antliaclastes@gmail.com

LES ANTLIACLASTES

de Patrick Sims

LE VIEUX DE LAMONTAGNE/THE OLDMAN OF T

LE VIEUX DE LA MONTAGNE/THE OLD MAN OF THE MOUNTAIN

Ecriture, mise en scène, scénographie et marionnettes Patrick Sims

Masques, accessoires, costumes, marionnettes Josephine Biereye, Zana Goodall

Musique Ata Ebtekar Construction du fl ipper, création lumière Erik Zollikofer

Eléments sonores et musicaux Ergo Phizmiz, Oriol Viladomiu, Patrick Sims

Création vidéo Ilan Katin, Raúl Berrueco

Constructions Richard Penny, Nicolas Hubert

Machines électromécaniques et musicales Oriol Viladomiu

Création et réalisation du costume de « Ah ! Pook » Laure Guilhot

Mise en réseau électromécanique/nouvelles technologies Alex Posada

Contribution aux recherches Michael Lew, Philippe Hauer, Sophie Barraud

Régie lumière Sophie Barraud

Régie plateau Nicolas Hubert

Régie son et vidéo Oriol Viladomiu

Production et diff usion Sophie-Danièle Godo

avec Patrick Sims, Josephine Biereye, Zana Goodall, Richard Penny

CoproductionsCompagnie les Antliaclastes (production déléguée)Théâtre Vidy-LausanneEquinoxe, scène nationale de ChâteaurouxLe Fracas, Centre Dramatique National de MontluçonLa Comédie, scène nationale de Clermont-Ferrand. Avec le soutien de Ministère de la Culture et de la Communication/DRAC AuvergneCentre national du théâtre (Prix de la dramaturgie plurielle)Centre national du cinéma/DICREAMADAMIRégion Auvergne Département de lʼAllier

Remerciements Bruno Hocquard, Footsbarn theater, Céline Chevy, Gandalf, Laure Rivoal, Nicolas Nore, Pierre Meunier, Maryvonne Lafl euriel, Julia Montignies.

La compagnie est implantée à La Chaussée de Maillet (03)

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Projet à dimension internationale, cet opéra électromécanique met donc en scène le mythe de Hassan Sabbah, revisité à travers une persepective inven-tive où de géants «manipulacteurs» donnent vie aux marionnettes, objets que Patrick Sims aff ectionne tant pour leur capacité à transcrire les grandes lignes de la pensée dans une liberté optimale. Cʼest dans ce passage de lʼinerte au vivant que les mots – rares – prennent corps, transcendés dans les envolées de la poésie permuttative de William Burroughs, personnage récurrent de lʼaction.

De la fable médiévale à la culture pop, en traversant Le Jardin des Délices et invoquant lʼexpérimentale Beat Generation, le tout sous le patronage dʼAlfred Jarry, Patrick Sims entraîne le spectateur vers le pays de toutes les merveilles, des merveilles monstrueusement attractives.

Patrick Sims défi nit son spectacle comme une allusion aux tableaux de Bruegel ou de Jerome Bosch, pétris de références et de métaphores qui évoquent une reconstitution de notre société.Le spectacle le fait à travers le conte perse de la Forteresse dʼAlamut (le grand Hassan Sabbah, fondateur de la secte des Assassins) et à travers les apports de William Burroughs. Burroughs, auteur phare de la beat generation aux Etats-Unis a écrit sur la manipulation et les enjeux du pouvoir, en évoquant lui aussi Hassan Sabbah. Les thématiques principales de cette pièce sont la prohibition, le paradis artifi ciel, un éternel va-et-vient entre la per-mission et lʼinterdiction. Lʼunivers visuel et sonore fait référence à la culture américaine du XXème siècle.

La première piste de travail qui se présente est la construction dʼun mythe. Comment peut-il être constitué par diff érentes lectures, interprétations et fantasmes ? Ces légendes nous renseignent plus sur le comportement des auteurs que sur le personnage historique en lui-même. Partant de là, il sʼagit pour nous dʼexaminer les processus de création dʼun spectacle de marionnettes. Il se présente lui-même comme un récit mythique ancré à la fois dans le présent mais aussi volontairement hors du temps.Un occidental raconte lʼhistoire dʼun oriental. Cela provoque une rencontre des cultures et sans aucun doute une énorme incompréhension. La question de la connaissance, de lʼignorance, du renversement des valeurs est au cœur du projet.

« Il est plus facile à un chameau depasser par le chas d’une aiguille qu’à unriche d’entrer dans le royaume de Dieu. »

« Il est plus facile à un chameau de passer par le chas d’une aiguille qu’à un riche d’entrer dans le royaume de Dieu. »

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La pataphysique de Jarry, loin dʼêtre une simple élucubration de potache, se voulait «la science des sciences».

Non pas en ce quʼelle les regroupait toutes, mais en ce quʼelle sʼintéressait aux particularités de chacune. La pataphysique est la physique du cas particulier. Elle pose le principe de la marge dʼerreur de toute loi physique. La science est donc au cœur des créations de Jarry. La vision parcellaire du monde ouvre la porte aux monstres de lʼesprit, échappés des peurs et des fantasmes. Lʼesprit recompose ce quʼil croit être le réel à travers quelques détails. Il y a un pouvoir immense de création dans cette « conscience en sommeil » quʼest celle de lʼignorant. Ce pouvoir libère une énergie imaginative et terrorisée. Ainsi, la science et lʼignorance sont des pistes de travail que la Compagnie désire aborder dans ses recherches.

Dans le cadre de nos recherches autour de la science, nous voulions pouvoir développer diff érentes formes de conscience afi n de pouvoir confronter sur la scène à la fois des marionnettes robotisées, des comédiens masqués, des personnages strictement robotiques dont nous voulions tester le comportement. Cʼest le statut même du spectacle de marionnettes qui nous semble ici en jeu, la confrontation des réels, des formes du vrai, de lʼillusion, du possible et de lʼimpossible.

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«Qui a monopolisé lʼimmortalité ? Qui a monopolisé la Conscience Cosmique ? Qui a monopolisé lʼAmour, le Sexe et le Rêve ? Qui a monopolisé la Vie, le Temps et le Destin ? Qui vous a pris ce qui vous appartenait ? Vous le rendraient-ils à présent ? Nʼont-ils jamais fait cadeau de quoique ce soit pour rien ? Nʼont-ils jamais donné plus que ce quʼils avaient à donner ? Nʼont-ils pas toujours repris ce quʼils ont donné quand cʼétait possible, ce qui fut toujours le cas ?

Nʼécoutez pas Hassan Sabbah, «Ils vous le diront». Il veut emporter votre corps et tous ses plaisirs loin de vous. Ecoutez-nous. Nous servons Le Jardin Des Délices de la Conscience Cosmique et de lʼImmortalité, les plus Intenses Plaisirs de la Drogue. Et lʼamour, lʼamour, lʼamour dans des seaux pleins dʼeau croupie. Comment cela résonne-t-il en vous les gars ? Mieux quʼHassan Sabbah et son roc glacial, venteux et immatériel ? Pas vrai ? Ecoutez : Leur Jardin Des Délices est un égout terminal – Leur Conscience de lʼImmortalité Cosmique et de lʼAmour est un truc bas de gamme de seconde zone – Leurs Drogues sont du poison destiné à rayonner en Orgasme, en Mort et en Étuves de Nova – Restez éloignés du Jar-din Des Délices – Cʼest un piège mangeur dʼhommes qui sʼachève dans une vase verte !»Monologue de William Burroughs, acte II, extrait du texte original de la pièce Le Vieil Homme de la Mon-tagne par Patrick Sims | Traduction : Philippe Hauer.

til c cccccccccc c’cccccccccct cQui a monopolisé l’immortalité ?

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ENTRETIEN AVEC PATRICK SIMS

Alfred Jarry est un auteur important pour vous. Comment vous inspire-t-il ?

Cʼest la découverte de Jarry qui mʼa poussé vers la marionnette. Je considère la pataphy-sique comme une blague sérieuse, suffi samment sérieuse que jʼai donné cinq ans de ma vie pour lʼétudier. Pour lui, les potentiels dʼun objet sont déjà contenus dans sa forme, dans ses caractéristiques. Une métaphore est donc une extension de la matière, dʼune pensée ou dʼune autre métaphore. Ce qui me plaît dans la pensée de Jarry, cʼest sa vision de la vie comme un processus, un laboratoire où tout est possible, où les échecs sont aussi impor-tants que les réussites.

Vos spectacles nous invitent à entrer dans un univers étrange, proche du théâtre du merveilleux du XIXe siècle. Généralement, il nʼy a pas de texte ni de structure narra-tive classique. On peut même y voir une forme dʼésotérisme. Pourquoi cette forme dʼécriture ?

Je ne cherche jamais à être obscur, cʼest simplement ma façon de créer. Lʼalchimie mʼinté-resse et mʼinspire beaucoup, mais je ne cherche pas à être ésotérique. Dans mes spec-tacles, il y a aussi des références à la bande dessinée, aux romans, au cinéma, au cinéma dʼanimation, à la culture populaire. Les spectateurs vont les percevoir ou non, ce nʼest pas important. Ce qui est intéressant, cʼest de les laisser cachés, car cela raconte davantage. Le spectacle est construit sur le lien entre des éléments très disparates – ces liens ne sont pas toujours visibles, non plus. Je cherche surtout à ce que la pièce reste toujours vivante et originale, avec des surprises, des juxtapositions radicales, des contrastes violents ; quitte à inverser toutes les règles à la scène suivante.

Le spectacle est inspiré dʼune pièce de Jarry, qui raconte la légende dʼHassan Sab-bah, fondateur de la secte des Assassins, en Perse au XIe siècle. Quʼest-ce qui vous a attiré dans ce récit ?

Dʼaprès le mythe, Hassan Sabbah a entraîné ses soldats dans le jardin des délices, en les entourant de jeunes vierges, de drogues, de fl eurs, de musiques, de danses, avant de les envoyer faire la guerre. Cʼest un marionnettiste extraordinaire. Cʼest donc lʼhistoire dʼune manipulation des objets et dʼune manipulation des gens, et fi nalement dʼune révolte, la ré-volte des “marionnettes”. Dans le spectacle, il nʼy aura pas de texte. Il y aura une deuxième histoire, qui se passera aux États-Unis, au XIXe siècle, avec des personnages de cow-boys et de hobos. La véritable histoire est entre ces deux récits. Certains verront sans doute une analogie entre le spectacle et lʼactualité politique, mais ce nʼest pas un spectacle qui parle seulement de politique et de religion. Cʼest un spectacle sur diff érents sujets. Cela parle de lʼillusion, du contrôle, de la révolte. Cela parle aussi dʼamour, du manque dʼamour.

Tout le plateau est occupé par un immense fl ipper. Quel rôle a joué cette machine et les autres éléments technologiques dans lʼécriture du spectacle?

Dans tous mes derniers spectacles, la structure est basée sur une machine. Elle sert de modèle et mʼaide à construire les lois de lʼunivers du spectacle, à lui donner forme. Je choi-sis une machine qui est proche métaphysiquement de mon idée de départ. Pour «Hilum», cʼétait la machine à laver. Dans «Le Vieux de la montagne », cʼest un fl ipper géant, comme dans les salles de jeux à lʼancienne. Ce fl ipper électromécanique sert à représenter ce qui contrôle nos désirs. Je veux montrer les mécanismes. Le spectacle du mécanisme nʼex-plique pas “comment” ça marche, ce qui le rend encore plus mystérieux et ce qui en fait un objet magique. Dans ce spectacle qui raconte la défaillance dʼun système de contrôle, toute la haute technologie défaille, comme si elle était infestée par un virus. Sur scène, il y a donc un mélange entre quelques dispositifs de nouvelles technologies, cachés, et des techniques anciennes dʼillusionniste et de magicien.

À travers vos spectacles, que désirez-vous faire passer au public ?

Lʼessentiel, cʼest le plaisir, la magie. Quand des spectateurs disent “je nʼai jamais vu un truc pareil” ou “ça me fait penser à mon enfance”, cela me plaît. Même si ce nʼest pas du divertissement où lʼon rit tout le temps, mes spectacles veulent rendre les gens heureux de vivre, les réveiller, les faire vibrer et faire travailler leur tête. Provoquer un petit déclic. Oui, tout ce travail, seulement pour une petite étincelle...

Propos recueillis par Naly Gérard en mars 2012, à Châteauroux.

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LES ANTIACLASTES Fondée en 2010, par Patrick Sims et Josephine Biereye, Les Antliaclastes est une compagnie de théâtre de marion-nettes basée à Maillet au centre de la France. La compagnie réunit des artistes et des techniciens de tous horizons (USA, France, Irlande, Catalogne, Allemagne).Sous la conduite artistique de Patrick Sims, fondateur et ancien directeur artistique des Buchingerʼs Boot Marionnettes, Les Antliaclastes utilisent un mélange unique de techniques et styles de marionnettes, masques, machines et de bandes-son originales et très «organiques». Les spectacles essentiellement muets avancent aux rythmes des surprises incessantes et dʼimages contrastées.

PATRICK SIMSNé en 1975 dans le Vermont, Etats-Unis dʼAmérique, Patrick Sims pratique la marionnette depuis près de 16 ans. Sa première rencontre avec le monde de la marionnette remonte à ses études de fi lm et de cinéma dʼanimation au Middlebury College, aux Etats-Unis. Il a travaillé avec le Bread and Puppet Theatre, étudié le théâtre dʼombres à Java, et fait des études de doctorat au Trinity College de Dublin avec une thèse intitulée “Pataphysics of the Puppet, Alfred Jarry and the inhuman performer”. Pendant 5 ans, il a été directeur artistique, auteur, constructeur de marionnettes et marionnettiste pour la compagnie Buchingerʼs Boot Marionettes dont il était le co-fondateur. Actuellement, il est direc-teur artistique des Antliaclastes avec lesquels il prépare de nombreux projets, dans le domaine du cinéma, du théâtre, de lʼinstallation, de la musique, et de lʼopéra multimédia électronique.

JOSEPHINE BIEREYEComédienne de langue anglaise et de nationalité allemande, Joséphine Biereye est costumière, plasticienne et marion-nettiste. Elle a auparavant travaillé entre autres avec les compagnies Buchingerʼs Boot Marionnettes, le Footsbarn Theatre, Ton und Kirschen, le Théâtre Dromesko et le Royal Opera House London. Après avoir suivi la formation de comédien à lʼEcole Internationale Jacques Lecoq à Paris, elle se spécialise dans la création plastique et travaille le rap-port de lʼobjet à la scène.En 2010, elle cofonde Les Antliaclastes avec Patrick Sims. Elle fabrique tous les masques, les costumes et la plupart des marionnettes pour «Le Vieux de la montagne»/«The Old Man of the Mountain» et «Hilum», dans lequel elle joue également.

ZANA GOODALLArtiste de nationalité anglaise, Zana Goodall est née en 1984. Elle est la plus jeune de lʼéquipe du «Vieux de la mon-tagne» mais est loin dʼêtre sans expérience.Née à Genève pendant une tournée théâtrale de ses parents, alors tous deux membres du Foostbarn Travelling Thea-ter, elle a grandi dans le spectacle vivant. Musicienne et comédienne, elle participe aux spectacles dès lʼâge de 13 ans. Puis elle vit en Irlande et se forme aux techniques des costumes. Costumière pour de nombreuses productions théâtrales et cinématographiques en Irlande (pour Cork Opera House – de 2007 à 2009 – Cyclone Theatre Co, Janus Theatre Company, The Blue Teapots), elle joue aussi avec MacTeo Entertainments Company et pratique lʼart de la marionnette.Elle rejoint lʼéquipe des Antliaclastes en 2010 pour Hilum et continue sa route avec eux pour Le vieux de la montagne/The Old Man of the Mountain aux costumes et aux marionnettes.

RICHARD PENNYRichard Penny a étudié le théâtre en Angleterre (Theatre Design at Croydon College, et Dramatic Arts at Bretton Hall, Leeds University). Il est marionnettiste depuis 1987 et participe en 2004 à la fondation de la première compagnie de Patrick Sims, les Buchingersʼ Boot Marionnettes. Il les suit à Marseille et prend part à tous leurs spectacles jusquʼen 2011. En 2010, lors de Mir Caravan (convoi international de spectacles), Richard rencontre la Compagnie du Hasard avec laquelle il joue...Et maintenant il neige comme comédien, marionnettiste, accessoiriste, coconcepteur et constructeur de décor.

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BIBLIOGRAPHIEVladimir Bartol, Alamut, Paris, Éd. Phebus, 2001.

Charles Baudelaire, « Le Dandy », chapitre IX, Le Peintre de la vie moderne, dans Œuvres complètes de Charles Baudelaire, Calmann Lévy, 1885, pp. 91-96.

Alfred Jarry, Le Vieux de la montagne, Mercure de France Mayenne, 1964.

Arthur Rimbaud, « Matinées dʼivresse », dans Illuminations, Paris, Librairie Générale Française, 1989 (disponible dans le réseau de la Bibliothèque Communautaire de Clermont-Ferrand)

DISCOGRAPHIEAta Ebtekar aka Sote est un compositeur de musique électronique iranien qui travaille et vit entre Téhéran et San Francisco. Vous pourrez retrouver sa discographie exhaustive sur son site internet www.sotesound.com

LIRE, ECOUTER, VOIR, LES CHOIX DE PATRICK SIMS : LIVRESAlfred Jarry, Gestes et opinions du docteur Faustroll, pataphysicienFrançois Rabelais, La vie de Gargantua et de PantagruelJohn Kennedy Toole, La Conjuration des imbécilesThomas Pynchon, L̓ arc-en-ciel de la gravité

FILMSAndreï Roublev dʼAndreï TarkovskiIl était une fois la révolution de Sergio Leone2001, lʼOdyssée de lʼespace de Stanley KubrickBuff alo Bill de William A. Wellman

MUSIQUEHarry Smith, Anthology of American Folk MusicZeitkratzerMouse on marsLeadbelly

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SAISON 2012 / 2013

SEPTEMBRE OCTOBRE 2012 LE VIEUX DE LA MONTAGNE THÉÂTRE VIDY-LAUSANNE / Suisse CRÉATION du 5 au 21 septembre

LA COMÉDIE, scène nationale de Clermont Ferrand Du 25 au 28 septembre et du 1er au 4 octobre

OCTOBRE 2012 HILUM Du 18 au 20 octobre Festival TAM TAM Théâtre des Alberts Ile de la Réunion

DÉCEMBRE 2012 LE VIEUX DE LA MONTAGNE 4, 5, 6 décembre 2012 LE FRACAS Centre Dramatique National de Montluçon

JANVIER 2013 HILUM Le 22 janvier Yzeure Espace (03) Les 24 et 25 janvier Théâtre de Cusset (03)

FÉVRIER 2013 HILUM Les 7 et 8 février, Furies, lʼentresort, Chalons en Champagne

Du 12 au 14 février 5 représentations Centre Dramatique National de Bourgogne (Dijon) et ABC (Dijon)

MARS 2013 LE VIEUX DE LA MONTAGNE Du 28 AU 30 mars LʼÉQUINOXE, scène nationale de Châteauroux

AVRIL 2013 LE VIEUX DE LA MONTAGNE Du 16 au 27 avril 10 représentations THÉÂTRE LE MONFORT , PARIS

MAI 2013 HILUM Du 14 au 25 mai (relâche du 17 au 20) 8 représentations LA COMÉDIE scène nationale de CLERMONT FERRAND

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REVUE DE PRESSE

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©PHOTOS Mario Del Curto Delcurtomario@gmail.com

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PRODUCTION / DIFFUSION Sophie-Danièle Godoantliaclastes@gmail.com06 86 82 58 78 et 04 70 06 63 36

ARTISTIQUEPatrick Sims 06 15 06 93 35antliaclastes@gmail.com

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