CJA|H.F.S. NT Bulletin OR SHALOM...d’Egypte et la fin de l’esclavage, tout Israël se réunit...

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Bulletin OR SHALOM 20 avril 2019 / 15 Nissan 5779 www.orshalomddo.com | www.facebook.com/OrShalomDDO 514.624.0034 | 96, rue Fredmir, D.D.O. (Qc) | [email protected] CERTAINS POINTS SAILLANTS SHABBAT SHALOM ! SHABBAT - PESSAH HORAIRE DES OFFICES SHABBAT JOURS DE LA SEMAINE Allumage des bougies: 19h27 Minha/Kabalat Shabbat: 19h15 Chaharit: 8h15 Minha/Seouda Shlishit/Arvit: 19h00 Sortie du Shabbat: 20h35 Dimanche : 8h /19h00 Lundi / Jeudi : 6h / 8h / 19h00 Mardi / Merc. : 6h15 / 8h / 19h00 Vendredi: 6h15 / 8h KIDDOUSH Il n'y aura pas de kiddoush ce Shabbat. SEOUDA SHLISHIT La séouda shlishit est offerte par Huguette, Isaac, Ouri, & Shila Sevy à la mémoire d'Avraham Sevy ben Rachel zl Maurice Rodriguez à la mémoire d'Esther bat Pauline zl Colette Leb Elbaz, Nathan Saleh, Simon Shabat, Ewan Sauves, Jessica Benoualid, David Krespil, Ilana Sofia Abergel, Romy Philip, Yoram Perez, Emile Knafo, Brandon Abecassis NAHALA / YAHRZEIT ד" בסJOYEUX ANNIVERSAIRE REMERCIEMENTS OR SHALOM PRÉSENTE : SOIRÉE POKER 2ÈME ÉDITION DIM. 19 MAI - 18H00 À OR SHALOM Repas, boissons et chips de départ inclus | Rachat de chips illimité | lot de 3,600$ minimum pour les 6 derniers joueurs | Tombola et prix de présence Entrée : 100$ / pers. OR SHALOM|FÉDÉRATION CJA|H.F.S. PRÉSENTENT : SOIRÉE MIMOUNA SAM. 27 AVRIL - 22H À Or Shalom GRATUIT ! Musique orientale par l'Orchestre Maurice Titane | Moflettas, gâteaux marocains & autres délices Merci à Aviva & Robert Diamond et Joyce & Sharon Fraenkel pour avoir fait don de 50 livres d’Haggadah d e Pessah à la synagogue. Thank you to Aviva & Robert Diamond and Joyce & Sharon Fraenkel for donating 50 Passover Haggadah to the synagogue. Lundi 22 avril / 17 Nissan Avraham Sevy ben Rachel zl, père d'Isaac et Ouri Sevy Mardi 23 avril / 18 Nissan Esthr bat Pauline zl, mère de Maurice Rodriguez OROT PRÉSENTE : ISRAELI DANCE PARTY WITH MAURICE PERETZ (Pour femmes seulement) LUN. 6 MAI -18H30 À OR SHALOM Israeli Style Dinner |DJ | Photo Booth Deadline: May 1 Cost: $10 PESSA'H Pour les horaires de Pessa'h et un guide pour le seder, voir Édition spéciale - Pessa'h 5779 - Special Edition For the Pessa'h schedule and a guide for the seder « En ce shabbat de Pessah commémorant la Sortie d’Egypte et la fin de l’esclavage, tout Israël se réunit autour du repas du Seder, au cours duquel on lit la Haggadah (relatant l’histoire de la sortie d’Egypte) et l’on consomme la Matsah, pain dénué de toute trace de levain. Pourquoi manger la Matsah pendant les sept jours de la fête du printemps, quand elle constitue le centre du repas du premier soir de Pessah ? : «Tu ne dois pas manger de pain levé avec ce sacrifice; durant sept jours tu mangeras en outre des azymes, pain de misère, car c’est avec précipitation que tu as quitté le pays d’Egypte, et il faut que tu te souviennes, tous les jours de ta vie, du jour où tu as quitté le pays d’Egypte.» (Deut. 16: 3) » HAG SAMEAH La direction et les membres du conseil vous souhaitent, ainsi qu’à vos familles, de passer de très joyeuses fêtes de Pessah remplies de joies, d’amour et de paix. Hag Pessah Casher Vesamea’h !

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Bulletin OR SHALOM 20 avril 2019 / 15 Nissan 5779

www.orshalomddo.com | www.facebook.com/OrShalomDDO 514.624.0034 | 96, rue Fredmir, D.D.O. (Qc) | [email protected]

CERTAINS POINTS SAILLANTS

SHABBAT SHALOM ! SHABBAT - PESSAH

HORAIRE DES OFFICES SHABBAT

JOURS DE LA SEMAINE

Allumage des bougies: 19h27Minha/Kabalat Shabbat: 19h15

Chaharit: 8h15 Minha/Seouda Shlishit/Arvit: 19h00

Sortie du Shabbat: 20h35

Dimanche : 8h /19h00Lundi / Jeudi : 6h / 8h / 19h00

Mardi / Merc. : 6h15 / 8h / 19h00Vendredi: 6h15 / 8h

KIDDOUSH

Il n'y aura pas de kiddoush ce

Shabbat.

SEOUDA SHLISHITLa séouda shlishit est offerte par

Huguette, Isaac, Ouri, & Shila Sevyà la mémoire d'Avraham Sevy ben

Rachel zl

Maurice Rodriguezà la mémoire d'Esther bat Pauline zl

Colette Leb Elbaz, Nathan Saleh, Simon Shabat, Ewan Sauves, Jessica Benoualid, David Krespil, Ilana Sofia Abergel, Romy Philip, Yoram Perez,

Emile Knafo, Brandon Abecassis

NAHALA / YAHRZEIT

בס"ד

JOYEUX ANNIVERSAIRE

REMERCIEMENTS

OR SHALOM PRÉSENTE :

SOIRÉE POKER2ÈME ÉDITION

DIM. 19 MAI - 18H00 À OR SHALOM

Repas, boissons et chips de départ inclus |

Rachat de chips illimité | lot de 3,600$

minimum pour les 6 derniers joueurs |

Tombola et prix de présence

Entrée : 100$ / pers.

OR SHALOM|FÉDÉRATION CJA|H.F.S. PRÉSENTENT :

SOIRÉE MIMOUNASAM. 27 AVRIL - 22H À Or Shalom

GRATUIT !

Musique orientale par l'Orchestre

Maurice Titane | Moflettas, gâteaux marocains & autres délices

Merci à Aviva & Robert Diamond et Joyce & Sharon Fraenkel pour avoir fait don de 50 livres d’Haggadah d

e Pessah à la synagogue.

Thank you to Aviva & Robert Diamond and Joyce & Sharon

Fraenkel for donating 50 Passover Haggadah to the synagogue.

Lundi 22 avril / 17 Nissan Avraham Sevy ben Rachel zl, père

d'Isaac et Ouri Sevy

Mardi 23 avril / 18 NissanEsthr bat Pauline zl, mère de Maurice

Rodriguez

OROT PRÉSENTE :

ISRAELI DANCE PARTYWITH MAURICE PERETZ (Pour femmes seulement)

LUN. 6 MAI - 18H30 À OR SHALOM

Israeli Style Dinner |DJ | Photo Booth

Deadline: May 1

Cost: $10

PESSA'HPour les horaires de Pessa'h et un

guide pour le seder, voir

Édition spéciale - Pessa'h 5779 - Special Edition

For the Pessa'h schedule and aguide for the seder

« En ce shabbat de Pessah commémorant la Sortie d’Egypte et la fin de l’esclavage, tout Israël se réunit autour du repas du Seder, au cours duquel on lit la Haggadah (relatant l’histoire de la sortie d’Egypte) et l’on consomme la Matsah, pain dénué de toute trace de levain. Pourquoi manger la Matsah pendant les sept jours de la fête du printemps, quand elle constitue le centre du repas du premier soir de Pessah ? :

«Tu ne dois pas manger de pain levé avec ce sacrifice; durant sept jours tu mangeras en outre des azymes, pain de misère, car c’est avec précipitation que tu as quitté le pays d’Egypte, et il faut que tu te souviennes, tous les jours de ta vie, du jour où tu as quitté le pays d’Egypte.» (Deut. 16: 3) »

HAG SAMEAH

La direction et les membres du conseil vous souhaitent, ainsi qu’à vos familles,

de passer de très joyeuses fêtes de Pessah remplies de joies, d’amour et de

paix. Hag Pessah Casher Vesamea’h !

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UN MOT SUR LA PARACHAT A WORD ON THE PARASHAT HALAKHOT DE LA SEMAINE

Tout événement négatif est positif, en vrai...,Par Rav Yehonathan Geffen

Le compte du 'Omer

Le Kaporet repose sur l’arche : l’arche, c’est le cœur qui contient les Tables, et celles-ci représentent les conseils de vie (la Torah) qui émanent du coeur.

Pour résumer et aller plus loin dans la réflexion :

1) les deux Chérubins, c’est le couple.

2) Ils se regardent l’un l’autre et la parole divine intervient entre eux : la communication entre les conjoints est fondamentale.

3) Les Chérubins sortent du couvercle et dirigent leurs visages vers lui : chacun doit pardonner à l’autre ses erreurs, ses maladresses. On est à l’école de la vie, et nous avons besoin mutuellement les uns des autres, pour se parfaire. Donc pourquoi tenir rigueur ?

4) Les Chérubins étendent leurs ailes : protection de la vie privée et pudeur.

5) L’arche d’alliance, c’est le coeur. Ce qu’il contient, c’est le point positif, la nékouda tova. C’est avec tous les points positifs de tout Israël que D. écrivit la Torah, avant de créer le monde. En effet, D. s’est réjoui des âmes d’Israël, et Il a vu leurs actions futures, avant de les créer. Chaque lettre de la Torah est un point positif d’une âme d’Israël. Les Tables de la Loi contiennent toute la Torah, donc tous les points positifs de tout Israël, et elles résident dans le coeur, qui est l’Arche.

6) C’est sur cette base que l’Alliance entre D. et Israël se maintient : D. ne veut pas voir les égarements de Ses enfants. Il ne s’attache qu’aux points positifs, et nous devons en faire de même : ne voir que le bien en l’autre, et c’est ainsi que l’Alliance entre l’homme et la femme peut elle aussi se maintenir.

7) Ainsi, le couvercle de l’arche est le pardon, expression d’amour, qui couvre le cœur.

Celui-ci contient tous les conseils de vie : quand on s’attache aux points positifs que l’on découvre en l’autre, on mérite, en retour, d’être éclairé et de recevoir les conseils de vie.

Cela signifie deux choses : 1.réaliser les commandements de la Torah en les ressentant davantage (ils ont une âme) et 2. parallèlement, se sentir guidé au quotidien par le Créateur, en recevant de Lui des conseils qui se manifestent par une “voix intérieure”, celle du bon penchant.

8) Les Chérubins se regardent l’un l’autre : le visage de l’un est éclairé par le visage de l’autre, à travers les points positifs. C’est alors qu’on perçoit la direction divine : la voix de D. sort d’entre les Chérubins.

9) Les deux Chérubins formaient un seul bloc, mikcha a’hat. Mikcha est lié à kaché, difficile. Le couple doit être totalement uni, face aux difficultés de la vie.

Fron Torah L'Daas

« Ils mangeront la chair cette nuit-là ; ils la mangeront rôtie au feu, avec des azymes et des herbes amères. » (Chemot, 12:8)

Rachi explique que toute herbe amère est appelée « maror » — la Thora leur a ordonné de manger des herbes amères en souvenir du fait qu’ils rendirent leur vie amère. Tandis que les Juifs se préparaient à quitter l’Égypte, ils reçurent trois mitsvot (commandements) : le korban Pessa’h (l’agneau pascal), la matsa et le maror (les herbes amères). Malheureusement, nous sommes dans l’incapacité d’accomplir deux de ces lois, tel que la Thora nous le demande – le Korban Pessa'h et le Maror. Néanmoins, nous les évoquons toutes les trois le soir du Séder. En effet, l’une des parties les plus importantes de la Haggada de Pessa’h est le précepte de Raban Gamliel – « Toute personne qui n’a pas mentionné ces troischoses ne s’est pas acquittée de son obligation ; "Pessa’h, Matsa et Maror" ». Ces mitsvot sont très symboliques de ce que le peuple juif a vécu en Égypte ainsi que de l’exode de ce terrible exil.

Nous évoquons le korban Pessa’h en souvenir des événements qui eurent lieu au moment de la dernière plaie – la mort des premiers-nés et le fait qu’Hachem sauta au-dessus des maisons juives sans les frapper de ce fléau. La matsa nous rappelle la hâte dans laquelle le peuple juif quitta l’Égypte. Le Maror nous rappelle l’amertume de l’esclavage égyptien. Les commentateurs soulèvent une difficulté évidente sur cette partie de la Haggada – l’ordre chronologique n’est pas respecté. L’esclavage eut lieu avant l’exode alors qu’il est mentionné en dernier. Pourquoi Raban Gamliel n’a-t-il pas respecté l’évolution chronologique ? Cette modification vient nous apprendre un principe fondamental quant à la façon de vivre les moments difficiles. Quand un individu se trouve dans une situation douloureuse ou qu’il traverse une épreuve, sa réaction naturelle est de la considérer comme quelque chose de « négatif », qui ne présente aucun avantage. Bien entendu, la Thora voit les choses autrement – Hachem est Bon et Tout-Puissant et Il ne veut que notre bien. Nous savons que ce monde est un lieu d’efforts et de challenges et parfois, Hachem, dans Sa sagesse infinie, estime qu’il nous faut endurer quelques difficultés. Celles-ci ont toujours un but – elles peuvent être là pour nous aider à grandir dans un certain domaine, ou bien pour préparer le terrain pour d’autres événements positifs. Souvent, ces deux objectifs sont visés. Cependant, quand l’épreuve nous assaille, il est très difficile de se souvenir de cette vérité. Une façon d’y parvenir est de se souvenir de circonstances

douloureuses antérieures et de réaliser que leurs incidences furent positives. Ce phénomène est parfaitement illustré par l’exil égyptien et l’exode qui s’ensuivit. Les Bné Israël subirent d’incroyables souffrances en Égypte et il était impératif qu’ils atteignent le « nadir » avant d’être à leur apogée lors de l’Exode et du don de la Thora. Il était primordial qu’il soit parfaitement évident – pour tous – que l’exode était entièrement entre les mains d’Hachem, comme l’ont reflété les nombreux miracles accomplis. Ceci, parce que le début d’un événement est comme une graine qui va produire, à travers tout un processus, de nombreuses choses. Hachem voulait que le peuple juif soit une nation différente de toutes les autres, car il dépasse les lois de la nature et il fallait absolument que son début soit au-delà des lois de la nature. Si les Bné Israël n’avaient pas été dans une situation d’esclavage et de faiblesse absolue, s’ils avaient simplement vécu en Égypte puis l’avaient quitté, il nous aurait été facile d’attribuer leur succès à leurs efforts. Or la Thora nous met en garde quant à ce genre d’attitude, à savoir, la croyance que « ma force et ma puissance m’ont permis d’atteindre ce succès ». L’esclavage facilita l’aspect miraculeux qui caractérisa la sortie d’Égypte qui était manifestement l’expression de la Main d’Hachem, et qui n’impliqua aucune contribution humaine. Ceci étant clair, nous pouvons répondre concernant le korban Pessa'h et la matsa qui sont mentionnés avant le maror. La meilleure façon d’apprécier les bienfaits des souffrances que subirent nos ancêtres en Égypte est de se souvenir des conséquences positives de ce « malheur ». Ainsi, en évoquant l’esclavage, on en arrive à mieux comprendre et à apprécier le fait qu’il était essentiel pour notre avenir.

Il y a quelques mois, une jeune femme se mit à souffrir de fortes douleurs aux reins, signes de troubles sérieux pour lesquels il fallait avoir recours à une transplantation rénale. Quatre de ses frères étaient des donneurs compatibles, mais on n’arrivait pas à déterminer qui serait l’opéré. Le plus jeune frère était particulièrement hésitant – il était un jeune père de famille et craignait les effets d’une telle intervention. L’un proposa un tirage au sort et le jeune frère se joignit à cette décision, un peu à contrecœur, et c’est son nom qui fut pioché. Il s’affola et les frères acceptèrent de demander conseil à rav ‘Haïm Kanievsky chlita. Tous pensaient que le rav dispenserait le jeune frère compte tenu de ses appréhensions, mais à la surprise générale, il leur dit de mettre ce projet à exécution et il leur accorda sa bénédiction : « Que tout se passe au mieux. » Il subit l’opération; tout se passait bien jusqu’à ce que les chirurgiens stupéfaits découvrent une tumeur dans le rein qu’ils retiraient. Si l’organe n’avait pas été extrait, la vie de cet homme aurait pu être en grand danger, il aurait pu être atteint du cancer redoutable. Manifestement, ce qui était à ses yeux une mauvaise conjoncture lui sauva finalement la vie. Puissions-nous tous mériter de reconnaître l’aspect positif des événements difficiles que nous traversons.

Nous apprenons du verset Vayikra 23,15 et du verset Devarim 16,9, l’obligation de compter le ‘Omer depuis le 16 Nissan (2e jour de Pessa’h), jour où l’on offrait au Beth Hamikdach l’offrande appelée « ‘Omer », et de compter jour par jour pendant sept semaines, jusqu’à Chavou’ot.

A l’époque du Beth Hamikdach, c’était une mitsva de la Torah de compter le ‘Omer. De nos jours, d’après la majorité des décisionnaires, c’est une obligation d’ordre rabbinique en souvenir du Temple.

Comment compter le ‘omer ?La mitsva consiste à compter chaque soir : « Aujourd’hui nous sommes le éniène jour du ‘omer ». On compte le ‘omer le soir, de préférence dès la sortie des étoiles.

Il faut être debout, les personnes âgées ou malades peuvent rester assis. Si on a malgré tout compté assis, on sera quitte de notre obligation et on ne devra pas recompter.

Avant de faire le compte du ‘omer, on récite la bénédiction suivante :

Baroukh ata Hachem, Elo-kènou, melekh ha olam, asher kideshanou bemitzvotav, vètzivanou ‘al sefirat ha’omer

Béni Tu es, Hachem, notre D. Roi de l’univers, qui nous as sanctifiés par Tes commandements et nous as ordonné de compter le ‘omer.

Ensuite on comptera les jours et les semaines (par ex : « aujourd’hui nous sommes le Xème jour du ‘omer, ce qui fait X semaine(s) et X jours »). Après la séfira (compte), on dit : « HaRa’haman hou ya’hazir ‘avodath beit haMikdach limekoma bimehéra beyaménou » (« Le Miséricordieux restaurera le service du Temple, bientôt, de nos jours »).

The Gemarah in Pesachim (Mishna 116A,B) tells us the famous quote of Rabban Gamliel that we say the night of Pesah during “Magid" portion of the Seder: “Kol SheLo Amar Shloshah Devarim Elu B’Pasach, Lo Yatza Yedei Chovaso. Anyone who does not recite the following three things is not Yotze his obligation: Pesach, Matzo, UMaror.

The Maharsha tells us that we do this is to explain the reason of these Mitzvos as we do them.

The Tzelach asks the following question. Why do we add the word “Chovaso”, obligation? It would seem to be an extra word. In other places in Shas when the Gemarah talks about not being Yotzeh it ends with that word. It does not add the word “Chovaso” as does Rabban Gamliel here. For example: Hakoreah Es Shema VeLo Hishmia L’Aznov, Lo Yatza. Anyone who reads the Shema and his ears do not hear it is not “Yotze”. Not Lo “Yatza Yidei Chovoso”. What exactly is the intent of saying Yedei Chovaso?

The Tzelach answers that the Chov we are talking about here is the Chov of Shibud Mtzrayim. It is to explain to us how we fulfilled our obligation of being enslaved for 400 years by only being enslaved for only 210 years.

There is a Machlokes about how that obligation was fulfilled and among one of them, is the position that it was through the Avodah Kasha. Because of the extreme hardship of the labor of the 210 years, God counted it as four hundred years. That is, it was the equivalent of 400 years worth of labor. And this is why the order of saying it is done out of sequence.

Now since Matzah is is to remind us of the redemption, and Maror of the enslavement, the order of Matzah and Maror, should have been reversed to reflect the actual chronology of events. But the truth is that it was the Maror, the bitterness of the slavery that actually caused our redemption. And this is the intent of Raban Gamliel. It is to tell us that even though our time had not yet been completed and there were still left 190 of slavery to fulfill, we were never the less leaving Egypt. Our Chov, our obligation was indeed fulfilled... Yatza Yidei Chovaso... by the Avodah Kasha as symbolized by the Maror and that’s why we say it last after Matzah. In other words the Maror is the symbol of the completion of our oblgation, and the true redemption from slavery in Egypt.

Shabbat Shalom and Chag Sameyach!