Centraal station
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Transcript of Centraal station
GARE CENTRALE / CENTRAAL STATION
Qua cultuur is Brussel een droom
MarieAnge woont in centrum
Brussel en wil er niet meer weg. Als
kunstenares haalt ze haar inspiratie
uit de grootstad. Een gesprek over
de buurt waarin ze woont, haar visie
op de stad en de kunstwerken die
ze maakt.
Het appartement van MarieAnge
staat vol open kasten, gevuld met
pigmenten, borstels en potloden.
Hier en daar hangt een van haar
kunstwerken tegen de muur. De
houten vloer en de grote tekentafels
maken helemaal duidelijk dat ik in
een atelier ben beland.
MarieAnge woont al twintig jaar in
Brussel. Haar atelier bevindt zich in
de Wolvengracht, in het hart van de
hoofdstad. Drie maanden geleden
heeft ze van haar atelier ook haar
woonplaats gemaakt. Het is voor
haar een zeer bewuste keuze om in
het centrum te wonen, dicht bij het
openbaar vervoer. Ze rijdt niet met
de auto, maar kiest voor de metro
of haar plooifiets. “De combinatie
metro en fiets is ideaal in Brussel.’’
MarieAnge houdt van de hoofdstad.
De mix van verschillende mensen,
het openbaar vervoer, de leuke
winkels, de cultuur. “De bibliotheek
van de Munt gaat weer open, de
Leopoldstraat is heraangelegd, ik
kan te voet naar het Filmmuseum.
Dat is toch schitterend? Op het vlak
van cultuur is Brussel een droom.”
Geen plaats voor de gewone
mens?
Haar buurt heeft ze de laatste jaren
enorm zien veranderen. “Twintig
jaar geleden was Brussel dood, maar
de stad is opnieuw beginnen leven”.
Enerzijds vindt MarieAnge het een
goede zaak dat de stad opnieuw
investeert in het centrum. Krotten
worden neergehaald, sommige
straten zijn autovrij gemaakt, de
infrastructuur heraangelegd. Toch
wordt ze ook geconfronteerd met
de keerzijde van deze medaille.
In haar buurt worden enkel nog
luxewoningen gebouwd. Grote
kantoorgebouwen en luxehotels
rijzen als paddenstoelen uit de grond.
“Blijkbaar is er voor de gewone mens
geen plaats meer. En dat is spijtig,
want we moeten samenleven met
alle lagen van de bevolking. Het
is juist die mix die het interessant
maakt”. Het zijn vooral Eurocraten
die door de nieuwe luxewoningen
aangetrokken worden, de gewone
Brusselaars verdwijnen uit de
Wolvengracht en de rest van het
stadscentrum. Voor MarieAnge is
het duidelijk: er moeten meer sociale
woningen komen.
Het contrast tussen de luxe van
het centrum en de situatie in de
metro van Brussel is opvallend.
MarieAnge werkt overdag in haar
atelier in Brussel, maar geeft ook
avondlessen in Gent. Daardoor komt
ze vaak in het Centraal Station. De
vele mensen die de warmte van het
station opzoeken omdat ze geen dak
boven het hoofd hebben, het grijpt
MarieAnge enorm aan.
Emile Verhaeren als inspiratie
De kunstenares twijfelde dan
ook geen moment toen ze werd
uitgenodigd door het Provinciaal
museum Emile Verhaeren.
Verhaeren schreef in de negentiende
eeuw gedichten over de sociale
ongelijkheid, de verstedelijking en de
kwalijke gevolgen van de Industriële
Revolutie. Volgens MarieAnge zijn
de gedichten nog steeds actueel.
“De situatie is eigenlijk niet veel
veranderd. Verhaeren was voor op
zijn tijd.’’
MarieAnge besloot de mensen die
alleen de metro als hun thuis kennen
te fotograferen. “Ik probeerde ze
voor een witte achtergrond te
plaatsen, en dan begon ik ze te
portretteren. Die mensen hebben
een zeer laag zelfbeeld omdat ze op
straat leven. Ik heb discussies gehad
met mensen die zich niet wilden
laten fotograferen. Dat vind ik ook
normaal.” Uit de foto’s heeft ze een
selectie gemaakt van 6 portretten: 3
mannen en 3 vrouwen. Die heeft ze
op een specifieke manier bewerkt.
De portretten worden uit
hun context gehaald, in lagen
uiteengerafeld en vervaagd. Met een
naaimachine bewerkt ze de beelden.
Dat proces levert intrigerende,
donkere kunstwerken op, die een
mystieke sfeer uitademen. Een
sfeer die past bij de onderwerpen
waarrond MarieAnge werkt. De
kunstenares zoekt naar mensen die
de samenleving het liefst verborgen
houdt. Eerder werkte ze al met
psychiatrische patiënten, voor haar
volgende project zal ze gevangenen
portretteren. Haar kunstwerken zijn
dan ook niet vrolijk te noemen,
eerder duister en rauw. “Ik weet
dat het beklemmend is. Ik toon een
aspect van onze samenleving dat
altijd verborgen wordt. Ik vind het
mijn taak om dit te blijven doen.”
Pour ce qui est de la culture, Bruxelles est un rêve
MarieAnge habite au centre de
Bruxelles et entend bien ne plus
jamais quitter cet endroit. En tant
qu’artiste, elle trouve son inspiration
dans la métropole. Voici notre
conversation à propos du quartier
où elle habite, son point de vue sur
la ville et les œuvres d’art qu’elle a
créées.
L’appartement de MarieAnge est
rempli d’armoires ouvertes pleines
de pots de peintures, de pinceaux et
de crayons. Quelques œuvres d’art
ornent les murs. Le parquet et les
grandes tables à dessin ne laissent
aucun doute: je me trouve bien dans
un atelier.
MarieAnge habite à Bruxelles depuis
vingt ans déjà. Son atelier se situe
rue du Fossé-aux-Loups, au cœur
de Bruxelles. Il y a trois mois, elle a
élu domicile dans son atelier. Pour
MarieAnge, habiter dans le centre
est un choix très logique : elle se
rapproche ainsi des transports
publics. Elle n’a pas de voiture, mais
elle choisit le métro ou son vélo
pliant. «La combinaison métro-vélo
est idéale à Bruxelles.»
MarieAnge aime la capitale. Le
mélange de personnes différentes,
les transports publics, les magasins,
la culture. «La bibliothèque de
la place de la Monnaie rouvre
ses portes, la rue Léopold a été
reconstruite, je peux aller à pied au
musée du Cinéma. C’est fantastique,
non? Pour ce qui est de la culture,
Bruxelles est un rêve.»
Et les gens du commun?
Ces dernières années, MarieAnge
a vu son quartier changer
énormément. «Il y a vingt ans,
Bruxelles était morte, mais la ville
est revenue à la vie.» D’une part,
MarieAnge approuve que la ville
réinvestisse dans le centre. Les
taudis sont démolis, certaines
rues sont devenues piétonnières,
l’infrastructure s’améliore. D’autre
part, elle est confrontée au revers de
la médaille. Dans son quartier, on ne
construit plus que des habitations
luxueuses ou de grands immeubles
de bureaux et les hôtels de luxe
poussent comme des champignons.
«Apparemment, il n’y a plus de
place pour les gens du commun.
Et ça, c’est dommage, parce que
nous devons vivre ensemble,
toutes couches confondues. C’est
justement ce mélange qui est
intéressant.» Ce sont surtout des
Eurocrates qui sont attirés par ces
nouvelles habitations luxueuses, les
simples Bruxellois quittent la rue
du Fossé-aux-Loups et le reste du
centre-ville. Pour MarieAnge, il n’y a
pas de doute: il doit y avoir plus de
logements sociaux.
Le contraste entre le luxe du centre
et la situation dans le métro de
Bruxelles est frappant. En journée,
MarieAnge travaille dans son atelier
à Bruxelles, mais le soir, elle donne
cours à Gand. Si bien qu’elle passe
souvent par la Gare Centrale. La vue
des gens qui recherchent la chaleur
de la gare parce qu’ils n’ont pas de
domicile fixe la touche énormément.
Emile Verhaeren, son inspiration
MarieAnge n’a pas hésité une
seconde lorsqu’elle a été invitée par
le musée provincial Emile Verhaeren.
Au 19e siècle, Verhaeren écrivait
des poèmes sur l’inégalité sociale,
l’urbanisation et les conséquences
désastreuses de la révolution
industrielle. MarieAnge dit que ces
poèmes sont encore et toujours
d’actualité. «En fait, la situation
n’a pas changé. Verhaeren était en
avance sur son époque.»
MarieAnge a décidé de
photographier les personnes qui
n’ont que le métro comme domicile.
«J’essayais de les placer devant un
fond blanc, ensuite j’ai commencé
à faire leur portrait. Ces gens ont
une mauvaise image d’eux-mêmes
parce qu’ils vivent dans la rue.
J’ai eu des discussions avec des
personnes qui ne voulaient pas être
photographiées. Et c’est normal.»
Parmi ces photos, elle a sélectionné
6 portraits, 3 hommes et 3 femmes,
qu’elle a travaillé à sa manière.
Les portraits sont extraits de leur
contexte, effilochés en couches
et estompés. Avec une machine
à coudre, MarieAnge travaille les
images. Ce processus débouche
sur des œuvres d’art intrigantes
et obscures qui dégagent une
ambiance mystique. Une ambiance
qui correspond au sujet des œuvres
d’art de MarieAnge. Elle cherche
les personnes qui sont cachées
dans la société. Par le passé, elle
a déjà travaillé avec des patients
psychiatriques et son prochain
projet sera consacré aux prisonniers.
Ses œuvres d’art ne peuvent pas
vraiment être qualifiées de joyeuses,
elles sont plutôt crues et obscures.
«Je sais que c’est étouffant. Je
montre un aspect de notre société
qui est toujours caché. Je considère
de mon devoir de continuer à le
faire.»
Interview: Lore Gillekens Foto/Photo: Kaat De Clerq
Trouver le calme en ville
Aujourd’hui, j’ai rendez-vous avec
Meryem Kanmaz, une féministe
et spécialiste de l’islam d’origine
turque. À la sortie Madeleine de la
gare Centrale, j’aperçois la galerie
Bortier à ma droite. Ce repaire de
bouquinistes ne m’avait jamais
frappée.
J’entends une voix dire gentiment
«Tu dois être Kathleen.» Moins
d’une minute plus tard, nous nous
trouvons dans l’espace de vie de
Meryem Kanmaz au-dessus de
la galerie. Nous venons à peine
d’entrer que nous entendons la
sonnette. Pendant que Meryem
Kanmaz descend, j’examine la
vaste bibliothèque dans son salon.
Mon hôtesse apprécie visiblement
la lecture. Le hasard veut qu’elle
revienne quelques instants plus
tard chargée d’une boîte en carton
remplie d’une demi-douzaine de
livres. Elle m’explique qu’elle s’est
inscrite au jury des lecteurs du
‘Gouden Uil’ (la Chouette d’or),
un prix littéraire flamand. Elle doit
maintenant lire et évaluer six livres.
Je me dis que quelques heures
agréables attendent Meryem et
m’autorise une pointe de jalousie.
Meryem me montre un article de
‘Psychologies Magazine’ intitulé
Trouver le calme en ville (Stilte vinden
in de stad, uniquement dans la version
néerlandophone). Elle a déjà habité
dans plusieurs quartiers de Bruxelles:
d’abord près de la station de métro
Yser, puis à proximité d’Anneessens
et enfin, depuis 5 ans, devant la gare
Centrale, dans la galerie Bortier.
Lorsque je lui demande quel endroit
elle a préféré, elle peine à me
répondre. «Chaque quartier possède
sa propre atmosphère. Une ville exige
beaucoup mais donne tout autant,
que ce soit en positif ou en négatif
d’ailleurs.»
Ce qui lui a toujours plus, c’est le
calme qui règne ici, au cœur de
Bruxelles, aussi contradictoire que
cela puisse paraître. Lorsqu’elle a des
invités, ceux-ci s’étonnent toujours
de si bien dormir, sans être dérangés
par le bruit, en plein centre-ville. La
fenêtre près de la table ouvre sur
la galerie. À l’arrière, l’appartement
donne sur l’ancien Grand Casino,
qui se trouve aujourd’hui au
boulevard Anspach. On ne s’attend
pas du tout à tomber sur l’immense
toit d’un casino. Je me demande
immédiatement quelles surprises
recèlent encore ces façades
citadines.
Meryem Kanmaz a toujours
considéré la placette devant la
gare Centrale comme son jardin
personnel. «Mais je l’ai prêtée
aux clochards et plus moyen de la
récupérer maintenant.» J’entends
tout à coup sonner les cloches de
l’église de la Madeleine; il est temps
de clôturer l’entretien.
Interview: Kathleen Monsieur Foto/Photo: Pieter Verhaert
Stilte vinden in de stad
Vandaag heb ik afgesproken
met Meryem Kanmaz, een vrouw
van Turkse afkomst, feministe en
gespecialiseerd in de islam. Aan
de Magdalena-uitgang van het
Centraal Station aangekomen zie
ik de Bortiergalerij rechts van mij.
Deze unieke boekengalerij is mij nog
nooit opgevallen.
Ik hoor een vriendelijke “Jij moet
Kathleen zijn.’’ Geen minuut later
bevinden we ons in haar woonruimte
boven de galerij. We zijn nog maar
net binnen of er wordt aan de deur
gebeld. Terwijl zij naar beneden gaat
bewonder ik de lange boekenkast
in haar woonvertrek. Duidelijk
iemand die graag leest. Toeval wil
dat Meryem even later binnenkomt
met een kartonnen doos waarin
een zestal boeken zitten. Ze vertelt
me dat ze zich heeft opgegeven
voor de lezersjury van de Gouden
Uil. Nu mag ze 6 boeken lezen en
beoordelen. Ik vermoed dat ze veel
mooie uren tegemoet gaat en ben
een beetje jaloers.
Ze toont mij een artikel uit het
‘Psychologies Magazine’ dat
gaat over stilte vinden in de stad.
Ze heeft al aan verschillende
kanten van Brussel gewoond:
eerst aan metrostation IJzer, dan
nabij metrostation Anneessens
en sinds 5 jaar vertoeft ze in de
Bortiergalerij aan de metro van
het Centraal Station. Als ik vraag
waar ze het liefste woont dan
kan ze moeilijk antwoorden. “Elk
stadsdeel heeft zijn eigen sfeer.
Een stad vraagt veel van je maar
je krijgt er enorm veel van terug,
zowel positieve als negatieve
dingen.’’
Wat haar steeds is opgevallen, is
de rust hier in hartje Brussel, hoe
contradictorisch dit ook lijkt. Als ze
logés heeft zijn ze steeds verbaasd
hoe goed ze slapen, midden in de
stad zonder lawaai. Het raam aan de
tafel geeft uit op de boekengalerij.
Aan de achterkant heeft ze uitzicht
op het vroegere Grand Casino dat
nu verhuisd is naar de Anspachlaan.
Je verwacht totaal niet om op het
immense dak van een casino uit te
kijken. Ik vraag me onmiddellijk af
wat zich nog achter deze stadsgevels
bevindt.
Het voorpleintje aan het Centraal
Station heeft ze altijd als haar tuin
gezien. “Ik heb het ondertussen
uitgeleend aan de clochards en ik
krijg ze er nu niet meer weg.”
Op de achtergrond hoor ik de
klokken van de Magdalenakerk en
besef dat het tijd is om af te ronden.
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1920
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Jean Mich: een ongewone tattoo-kunstenaar
Een van de schoonheden van
Brussel is zijn onvoorspelbaarheid,
niet alleen van het weer, maar ook
van de mensen die je er elke dag
ontmoet. Ik ging naar het centrum
om er Jean Mich te interviewen, een
tatoeëerder.
Jean Mich is in 1968 geboren en
groeide op in het centrum van
Brussel. Hij had een ‘coole’ jeugd
en amuseerde zich met zijn broers,
ouders en vrienden. Voor Jean Mich
is zijn zes jaar oude dochter, die
sinds zijn scheiding bij hem woont,
het belangrijkste in zijn leven. Hij
wil nooit meer opnieuw trouwen
en is tevreden als alleenstaande
ouder.
Vóór hij tatoeëerder werd,
studeerde Jean Mich filosofie aan
de Université Libre de Bruxelles
(ULB). Hij wilde niet in zijn
studiedomein werken want leraar
filosofie worden was niet een van
zijn levensdoelen. Dat was veel
uren werken voor weinig geld
ook niet. Gedurende een jaar was
hij leraar aan een school maar dat
was geen goede ervaring.
Hij tatoeëerde zichzelf voor het
eerst toen hij achttien jaar was
en zijn eerste klant kwam in 1995.
Jean Mich tekent heel mooi maar
verkiest te tatoeëren. Zijn liefde
voor tatoeëren en kunst waren
de aanzet om een tatoeagewinkel
te openen, nu zeventien jaar
geleden. Hij vertelde hoe gelukkig
hij was om zijn eigen winkel te
hebben.
Toen hij met tatoeëren begon,
waren tattoos een levensstijl en
betekende tatoeëren veel voor hem.
Vandaag wil iedereen een tatoeage
en zijn er veel tatoeagewinkels,
maar toen hij begon, waren er
maar twee of drie in Brussel.
Tegenwoordig spreken tattoos
iedereen aan. Ze zijn slechts een
modeverschijnsel, maar vroeger
hadden klanten een persoonlijke
reden om een tatoeage te zetten
en was de tattoo belangrijk in zijn/
haar leven. Tatoeages zijn intussen
gecommercialiseerd en voor hem
zijn ze dan ook een middel om te
overleven.
Na een leuke babbel over zijn
baan, vertelt hij dat hij een andere
persoon is buiten zijn job. Wanneer
hij gedaan heeft met werken, gaat
hij naar huis om vader te zijn en
denkt hij niet meer aan zijn werk.
Als filosoof en alleenstaande
ouder is Jean Mich een ongewone
tatoeëerder.
Interview: Adham Alhelou Foto/Photo: Marie Charlot Vleminckx
Jean-Mich: un tatoueur pas comme les autres
Une des beautés de la ville de
Bruxelles, c’est son imprévisibilité.
Pas seulement en ce qui concerne
la météo, mais aussi pour les gens
que vous y rencontrez tous les
jours. Entretien avec Jean-Mich, un
tatoueur du centre-ville.
Né en 1968, Jean-Mich a grandi dans
la capitale belge. Il a eu une enfance
vraiment «cool», bercée par les rires
partagés avec ses frères, ses parents
et ses amis. Le trésor le plus précieux
de Jean-Mich, c’est sa fille de six ans,
qui vit seule avec lui depuis son
divorce, il y a cinq ans. Il ne veut plus
jamais se marier et il est satisfait de
sa vie de père célibataire.
Avant de devenir tatoueur, Jean-
Mich a étudié la philosophie à
l’Université Libre de Bruxelles (ULB).
Il n’a pas voulu travailler dans ce
domaine parce qu’être professeur
de philosophie ne faisait pas partie
de ses objectifs de vie, et puis il
n’avait pas envie de travailler de
nombreuses heures pour gagner
moins bien sa croûte. Il a bien été
enseignant pendant un an dans un
établissement scolaire, mais cette
expérience ne lui a pas tellement
réussi.
Il s’est d’abord tatoué lui-même à 18
ans, et a accueilli son premier client
en 1995. Jean-Mich dessine aussi très
bien mais il préfère tatouer. C’est
son amour pour le tatouage et l’art
qui l’a incité à ouvrir une boutique
voici 17 ans. Il évoque son bonheur
d’avoir son propre magasin.
Il explique ensuite que quand il a
commencé à tatouer, c’était tout
un mode de vie et que cela voulait
dire beaucoup pour lui, mais que,
maintenant, ce secteur est devenu
un business très concurrentiel.
Tout le monde veut tatouer et les
boutiques de tatouage sont légion,
alors qu’au début de son activité,
il n’y en avait que deux ou trois
à Bruxelles. Aujourd’hui, tout le
monde fait dans le tatouage. C’est
juste à la mode alors qu’avant,
quand les gens entraient dans un
tel magasin, c’était pour une raison
toute personnelle et le tatouage
devait représenter quelque chose
d’important dans leur vie. De nos
jours, le tatouage est devenu un
véritable commerce, et il s’est
transformé en moyen de subsistance
pour notre tatoueur.
Après une discussion agréable sur
son activité professionnelle, Jean-
Mich a tenu à souligner qu’il était
différent en dehors de son travail.
Quand il a fini sa journée, il rentre
chez lui, se métamorphose en papa
et ne pense pas à son boulot. Parent
célibataire et philosophe: Jean-Mich
n’est vraiment pas un tatoueur
comme les autres.
Open stad, open armen
Henk Van Hellem is een OCMW-
raadslid van de Stad Brussel. Ik
realiseerde me dat ik voor een
enthousiaste man zat die zich het
lot van behoeftigen persoonlijk
aantrekt. ‘‘De armen in onze
maatschappij hebben hulp en
geld nodig om te overleven. Ze
kunnen financiële steun krijgen
op het vlak van huisvesting en
medische zorgen. We werken
actief aan een programma voor
daklozen en de verstrekking van
dringende medische hulp.’’ Dankzij
een team dokters en verpleegsters
die de straten aflopen, kunnen de
daklozen aan noodhulp raken. Ze
geven hen soep en koffie en, als
het vriest, wordt hen een warm
bed aangeboden. ‘‘Dat is de warme
samenleving die we willen maken.’’
Kanker hield Henk drie jaar van zijn
werk. Gelukkig is hij hersteld. Ik
twijfelde eraan om naar zijn ziekte
te vragen maar raapte mijn moed
bijeen en vuurde de vraag af. Hoe
voelde het toen ze je voor de eerste
maal zeiden dat je kanker had? ‘‘Ik
reageerde met ongeloof. Ze zeiden
dat ik een darmobstructie had. Het
bleek kanker te zijn. Ik voelde mij
erg zwak. Mijn operatie duurde
zeventien uur en ik moest drie
weken in het ziekenhuis blijven,
verbonden aan allerlei buisjes. Roken
was streng verboden. Mijn leven
vóór en na de operatie is helemaal
verschillend. Niet zo makkelijk als
voordien. Ik was 49 en ik voelde
me ongelukkig toen ik de harde
werkelijkheid onder ogen zag.” Zijn
stem vulde zich met verdriet maar
klonk tegelijkertijd vastberaden. Hij
vertelde verder alsof hij een kritische
bespreking hield over zijn leven.
‘‘Het verandert je prioriteiten. Geen
geschipper meer. Het leven is te kort.
Je moet er het best van maken.’’ Ik
onderbrak hem en vroeg: ‘‘Bedoel
je ervan genieten?’’ Hij antwoordde:
‘‘Ja, maar van het leven genieten is
verschillend van anderen helpen.
Dat is essentieel. Je hoeft niet de
navel van de wereld te zijn om een
goed leven te leiden.’’
Henk beschouwt diversiteit als een
van de grootste kwaliteiten van de
maatschappij. ‘‘Het is niet omdat
anderen niet in dezelfde god
geloven dat ze slecht zijn. Sommige
mensen hebben een ander geloof,
anderen geloven helemaal niet;
sommigen geloven in man en vrouw,
anderen verkiezen huwelijken van
hetzelfde geslacht. Laat ons andere
meningen dulden, laat ons op alle
niveaus verschillen omarmen, of ze
nu linguïstisch, religieus of politiek
zijn.’’
En wat met de toekomst van Brussel?
‘‘Ik zie een positieve evolutie. We
moeten het rustiger aan doen,
omgaan met een vertraging van
de stad. Ik wil geen stad waar je
24/7 leeft. Je moet rust inbouwen,
genieten van de stille momenten.’’
Une ville ouverte, des bras tendus
Henk Van Hellem est membre du
Conseil de l’Action sociale élu par
le Conseil communal de la Ville
de Bruxelles. Je me rends compte
que je suis assis face à un homme
débordant d’enthousiasme et
soucieux d’aider les gens dans le
besoin. «Les personnes défavorisées
de notre société ont besoin d’aide et
d’argent pour survivre. Ils peuvent
recevoir une aide financière dans
les domaines du logement et de la
santé. Nous nous attelons à trouver
une solution pour les sans-abri
et à fournir des soins médicaux
urgents». Grâce à une équipe de
médecins et d’infirmières qui se
portent volontaires pour sillonner
les rues, les sans-abri peuvent
obtenir une aide d’urgence. Ces
bénévoles leur servent de la soupe
ou du café et, s’il gèle, ils les invitent
à aller dans un abri chauffé. «C’est
la société chaleureuse que nous
voulons créer», ajoute-t-il.
Henk a dû arrêter de travailler
pendant 3 ans à cause d’un cancer.
Heureusement, il s’en est remis.
J’hésite à poser des questions sur
sa maladie. Je prends quand même
mon courage à deux mains pour
lancer cette question: «Comment
vous êtes-vous senti quand ils vous
ont annoncé que vous aviez un
cancer?» «J’ai réagi avec incrédulité.
Ils ont dit que c’était une obstruction
intestinale. Et il s’est avéré que
c’était un cancer. Je me sentais très
faible. L’opération a duré 17 heures
et j’ai passé 3 semaines à l’hôpital,
connecté à toutes sortes de tuyaux.
Il était strictement interdit de fumer.
La vie avant et après une intervention
chirurgicale, c’est complètement
différent, ce n’est plus aussi simple.
À l’époque, j’avais 49 ans et je me
sentais malheureux, confronté à
une réalité difficile.» D’une voix
pleine de chagrin mais déterminée
à la fois, Henk poursuit comme s’il
passait en revue une partie de sa vie.
«Vos priorités changent. Finis les
compromis! La vie est trop courte,
vous devez en tirer le plus possible.»
Je l’interromps pour lui demander:
«Vous voulez dire, en profiter?»
«Oui», répond-il, «mais profiter de
la vie, ce n’est pas la même chose
qu’aider les autres, c’est vital. Pas
besoin d’être le centre du monde
pour avoir une vie épanouissante.»
Henk considère la diversité comme
l’une des plus grandes qualités
de la société. «Ce n’est pas parce
que d’autres ne croient pas au
même Dieu qu’ils sont mauvais.
Certains ont une foi différente,
d’autres n’ont pas la foi du tout;
certains croient à l’union entre un
homme et une femme, d’autres
optent pour le mariage de même
sexe. Soyons tolérants envers des
opinions divergentes, embrassons
les différences à tous niveaux, qu’ils
soient linguistique, religieux ou
politique!».
Et l’avenir de Bruxelles, comment
Henk le voit-il? «Je prévois une
évolution positive. Nous devons
nous calmer, ralentir le rythme. Je
ne veux pas d’une ville qui ne dort
jamais. Il faut s’arrêter, avoir des
moments de tranquilité.»
Interview: Suleiman Cabbad Foto/Photo: Diego Slosse
Metrolijn 5 anders bekeken
Gebruikers van het openbaar
vervoer, en zeker reizigers met de
metro, beschouwen hun traject vaak
als louter functioneel. Men stapt op
de metro zo dicht mogelijk bij de
vertrekplaats om er pas uit te gaan
bij de eindbestemming.
Brussel is nochtans een stad die
telkens opnieuw kan ontdekt worden
en telt enorm veel interessante en
toffe plaatsen. Waarom niet eens
een halte vroeger op- of afstappen
en een stuk van het overblijvende
traject per fiets of te voet afleggen?
De vraag klinkt eenvoudig, maar
voor velen is de drempel groot.
Ik ondersteun ten volle dit project
dat de bruisende, vaak ondergrondse
wereld van metrolijn 5 in contact
wil brengen met de wijken die zich
rond de 28 metrostations situeren.
Dankzij getuigenissen en foto’s van
de Brusselaars die wonen langsheen
het traject van metrolijn 5, krijgen
buurten een gezicht. Wijken worden
vermenselijkt en nodigen uit om
ontdekt te worden. Uiteraard niet
Un autre regard sur la ligne de métro 5
Les usagers des transports publics,
et en particulier les voyageurs
dans le métro, considèrent leur
trajet uniquement d’un point de
vue fonctionnel. On monte dans
le métro au plus près de l’endroit
de départ pour en descendre à sa
destination.
Bruxelles est pourtant une ville
que l’on peut redécouvrir à chaque
promenade et qui compte de
nombreux endroits agréables
et intéressants. Pourquoi ne pas
descendre ou monter à un arrêt plus
tôt et effectuer une partie du trajet
à pied ou à vélo? Cette question
semble simple, mais de nombreuses
personnes redoutent de faire le pas.
Je soutiens pleinement ce projet
qui a pour objectif de faire entrer
en contact ce monde, trépidant et
souvent souterrain de la ligne de
métro 5, avec les quartiers situés
autour des 28 stations de métro.
Les témoignages et photos des
Bruxellois qui habitent le long de la
ligne de métro 5 confèrent une iden-
tité aux quartiers. Les quartiers sont
humanisés et invitent à leur décou-
verte, et ce non seulement par les
visiteurs de notre ville, mais aussi
par les Bruxellois.
Je vous invite à commencer votre
expédition à l’aide de ce journal
ou de l’application sur votre
smartphone. Quittez cette station
de métro et entrez dans le monde
captivant de Bruxelles à pied ou à
vélo. Les histoires, photos et activités
qui vous sont proposées vous en
donnent déjà un bel aperçu. Mais
partez surtout à la découverte des
quartiers de la manière dont vous le
souhaitez: votre excursion n’en sera
que plus instructive.
Ministre bruxelloise des Travaux
Publics et des Transports
Metro 5: Moving People, Moving Stories
Metrolijn 5 doorsnijdt Brussel van
west naar oost, en heeft precies
28 haltes nodig voor zijn tocht
door een bonte mengeling wijken
en buurten. Tussen september en
december 2013 krijgt elke halte
een eigen krant, gemaakt door een
ploeg enthousiaste gelegenheids-
journalisten. Studenten en
medewerkers van de HUBrussel
en Luca namen de metro naar
een hun onbekende ‘Brusselaar’.
Deze inspirerende ontmoetingen
resulteerden in 112 unieke
portretten. Studenten van ISFC
gaven het geheel mee vorm. Om
metrolijn 5 verder in de bloemetjes
alleen door bezoekers van onze stad,
maar zeker ook door de Brusselaars
zelf.
Ik nodig u uit om met deze krant
in de hand of met de App op uw
smartphone uw ontdekkingstocht
aan te vatten. Verlaat dit metro-
station en stap of fiets de boeiende
wereld van Brussel in. De verhalen,
foto’s en activiteiten die men
aanbiedt zetten u al een flink eind
op weg.
Brussels minister van Openbare
Werken en Vervoer
te zetten zijn bij een aantal stations
leuke activiteiten gepland. Cactus
& Co gidst al wie wil gratis met de
fiets langs het metrolijn 5 parcours
en directe omgeving, met uitstapjes
naar de plekjes die in de interviews
aan bod komen.
Meer info via: www.facebook.com/
metro5be
Metro 5: Moving People, Moving Stories
La ligne de métro 5 traverse Bruxelles
d’ouest en est, et pas moins de 28
stations lui sont nécessaires pour
relier tous ces quartiers très bigarrés.
De septembre à décembre 2013,
chaque station aura son propre
journal, réalisé par une équipe de
journalistes occasionnels débordant
d’enthousiasme. Des étudiants et des
collaborateurs de la HUB et de Luca
ont pris le métro à la rencontre d’un
«Bruxellois» inconnu. Ces rencontres
inspiratrices ont débouché sur 112
portraits exceptionnels, que des
étudiants de l’ISFC ont mis en pages.
Pour garder les projecteurs braqués
sur la ligne 5, une série d’activités
seront organisées dans plusieurs
stations. Cactus & Co se fera un
plaisir de guider gratuitement tous
ceux qui souhaitent découvrir le
parcours de la ligne 5 et ses environs
à vélo et organisera des promenades
vers les lieux évoqués dans les
interviews.
Toutes les informations se trouvent
sur www.facebook.com/metro5be
Verantwoordelijke uitgever / editeur responsable: Dirk De Ceulaer, Warmoesberg 26, 1000 Brussel. Contact: [email protected] - 02 210 12 57. Ne pas jeter sur la voie publique. Niet op de openbare weg gooien.
Met de steun van de