Cahier Général des Charges

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LE CAHIER GENERAL DES CHARGES I PEB2021 EXCLUSIF

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EDITORIAL

Le cahier des charges est le document le plus important lors de l’établissement d’un dossier de construction. En effet, un cahier des charges vise à définir les spécifications des produits utilisés ainsi que leur mode de mise en oeuvre. Il définit aussi les objectifs à atteindre et a pour but de cadrer la mission confiée au Constructeur.

En interne, le cahier des charges sert à formaliser les besoins et à les expliquer à nos ouvriers, conducteurs et gestionnaires de chantiers. Il est considéré comme un référentiel contractuel partagé par le Constructeur, le Maître de l’ouvrage et son Architecte.

L’analyse approfondie du cahier des charges par le Maître de l’ouvrage est indispensable. Il est également important de vérifier si ce document reprend bien les indispensables prescriptions administratives.

Ce Cahier Général des Charges sera la base de toutes les réalisations DÔME CONSTRUCTION. Un Cahier des Charges Spécifique viendra l’enrichir en fonction des besoins de chacun.

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CHAPITRE 1

A. PRESCRIPTIONS ADMINISTRATIVES ET FINANCIERES

1. DOCUMENTS REGISSANT L’ENTREPRISE ............................................................................................................... 7

2. MODALITÉS DE PAIEMENT ...................................................................................................................................... 7

3. DELAI D’EXECUTION ................................................................................................................................................ 7

4. RECEPTION PROVISOIRE ......................................................................................................................................... 7

5. RECEPTION DEFINITIVE ........................................................................................................................................... 7

6. TRANSFERT DE LA PROPRIETE ET DES RISQUES .................................................................................................. 7

7. GARANTIE ................................................................................................................................................................. 7

8. ARCHITECTE – PEB – COORDINATEUR Sécurité/Santé ........................................................................................ 8

9. RESERVATION ........................................................................................................................................................... 8

10. CHOIX DES MATERIAUX ........................................................................................................................................... 8

B. PRESCRIPTIONS RELATIVES AU CHANTIER

1. MATERIAUX ............................................................................................................................................................... 8

2. LIMITE DE L’ENTREPRISE ........................................................................................................................................ 8

3. INSTALLATION – ETUDE .......................................................................................................................................... 9

CH2 - TERRASSEMENT .................................................................................................................................................... 10

CH3 - GROS-OEUVRE ....................................................................................................................................................... 11

CH4 - TOITURE ................................................................................................................................................................ 17

CH5 - MENUISERIES EXTÉRIEURES ............................................................................................................................... 19

CH6 - ELECTRICITÉS ........................................................................................................................................................ 21

CH7 - SANITAIRES ............................................................................................................................................................ 23

CH8 - CHAUFFAGE ........................................................................................................................................................... 26

CH9 - ETANCHEITE – VENTILATION .............................................................................................................................. 28

CH10 - ISOLATION TOITURE ............................................................................................................................................. 29

CH11 - PLAFONNAGE ...................................................................................................................................................... 30

CH12 - CHAPE ET CARRELAGE ........................................................................................................................................ 31

CH13 - MENUISERIES INTERIEURES .............................................................................................................................. 32

CH14 - LES ACCORDS ENTRE LES PARTIES ..........................................................................................34

TABLE DES MATIÈRES

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INTRODUCTION

Le présent Cahier des Charges (CDC) établi par la société DÔME CONSTRUCTION (Entrepreneur) vise à définir, pour la construction de la future habitation, les conditions administratives, financières et techniques qui régiront l’ensemble des travaux (Entreprise), les matériaux utilisés ainsi que les conditions de leur mise en œuvre.

Il cherche également à sortir du cadre purement technique et administratif destiné principalement aux différents intervenants professionnels de la construction pour s’adresser aussi à la clientèle profane (Maître de l’Ouvrage : MO), décrivant au mieux le choix des différents matériaux. Le CDC définit le niveau de finition et d’équipement des maisons DÔME CONSTRUCTION.Il décrit l’Entreprise garantissant dès AUJOURD’HUI... les caractéristiques d’isolation thermique, d’étanchéité, de performance énergétique et de ventilation imposées par les futures normes :

Au 1er janvier 2021, suivant les directives européennes, les bâtiments devront atteindre le standard NZEB (Nearly Zero Energy Building) ou Q-ZEN (bâtiment dont la consommation est quasi nulle ou bâtiment Quasi Zéro Energie).

A ces fins, les résultats du calcul PEB (Performance Energétique du Bâtiment) devront respecter des normes imposées pour obtenir l’indispensable certificat PEB à savoir :

— Niveau K = Max. 35 (niveau d’isolation thermique globale d’un bâtiment).Le niveau K dépend de l’isolation thermique des éléments de construction, de leur superficie, de la compacité du bâtiment et des nœuds constructifs (« ponts thermiques »).

— Niveau U (coefficient de transmission thermique de diverses parois : toiture, plancher, … chacune ayant son Umax à ne pas dépasser).

— Niveau E = Max. 45 (niveau de performance énergétique globale du bâtiment).

— Niveau E spécifique = Max. 85 (niveau de la consommation caractéristique annuelle d’énergie nécessaire pour le chauffage, le refroidissement, l’eau chaude sanitaire, les auxiliaires, la ventilation du bâtiment. Elle s’exprime en kWh/m de plancher chauffé/an).

Pour chaque « niveau », plus la valeur est faible, plus le bâtiment est performant.

Pour obtenir ces résultats, la finition des maisons DÔME CONSTRUCTION prévoit :

— Isolation optimale : Mur en brique = 140 mm d’isolation rigide PUR Mur en crépi = 18 cm d’isolation Toiture = 240 mm d’isolation d'une mousse

projetée ICYNENE H2Foam LITE — Sol = 120 mm d’isolation projetée PUR haute densité— Châssis Aluminium Triple Vitrage, avec intercalaire

isolant, classe 5 anti effraction,— Ventilation Mécanique Contrôlée (VMC) Double Flux avec récupérateur de chaleur— Chauffage par Pompe à Chaleur (PAC) Aérothermie Air/Eau— Panneaux Photovoltaïque— Étanchéité à l’air Haute performance.

Pour garantir ces résultats, la conception des maisons DÔME CONSTRUCTION recommande :

— Compacité maximale du Volume Chauffé— Garage, cave et combles HORS du Volume Protégé— De limiter les accès au Volume Protégé— Accès au sous-sol et aux combles dans la mesure du

possible HORS du Volume Protégé— Unité de Chauffage et de Ventilation dans le Volume

Protégé— D'éviter les appareils à extraction d’Air (Hotte,

séchoir, …)— De proscrire les poêles et/ou cassettes NON étanche

à l’air— D'éviter les percements de l’enveloppe du Volume

Protégé— Les compteurs d’énergie dans la mesure du possible

HORS du Volume Protégé— De limiter les ouvertures vitrées en exposition Nord

et un maximum de châssis fixes.— Orientation de la toiture Sud / Sud-Ouest pour un

rendement optimal des panneaux photovoltaïques

Le terme « Volume Protégé » signifie :L’ensemble des locaux d’un seul tenant qui sont protégés des déperditions thermiques vers des locaux NON chauffés (garage éventuel – grenier – cave) et vers l’extérieur.Seul le Volume Protégé est concerné par les techniques d’isolation et d’étanchéité renseignées.

Les travaux décrits par le présent CDC sont conclus sur base d’un Marché à Forfait ABSOLU.L’Entrepreneur s’engage à exécuter ces travaux pour le prix global, invariable et non révisable fixé dans son offre. En corollaire, aucun métré détaillé ne sera présenté ni annexé.

Sauf stipulation contraire indiquée dans l’offre de prix, les articles suivis de la mention (avec adapta-

tion) ne sont pas compris et feront l’objet d’une adaptation de prix soumise à l’approbation du Maître de

l’Ouvrage avant toute réalisation.

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A. PRESCRIPTIONS ADMINISTRA-TIVES ET FINANCIERES

1. DOCUMENTS RÉGISSANT L’ENTREPRISE

Outre le présent CDC, le devis, les plans et les détails techniques, l’Entreprise est régie par :

— Les règlements communaux, les prescriptions des permis de lotir, plans de secteur,

— Les Plans Particuliers d’Aménagement (PPA) et le Permis de Bâtir (PB).

— Les prescriptions techniques du Centre Scientifique et Technique de la Construction (CSTC).

— Les différentes normes en vigueur.— Les prescriptions de mise en œuvre des fabricants

des matériaux.— Le Règlement Général pour la protection du travail ré-

pondant aux demandes administratives du Coordina-teur Sécurité/Santé relatives aux Plans Préparatoires de Sécurité (PPS).

— Les règlements de police.— Le Contrat d’Entreprise (CE) établi conformément

aux prescriptions de la Loi du 9 juillet 1971, dite « Loi Breyne », réglementant la construction d’habitations et la vente d’habitations à construire ou en voie de construction.

2. MODALITÉS DE PAIEMENT

Le prix est payable de la manière suivante :

A. À la signature du Contrat d’Entreprise, un acompte d’un montant de 5% du prix de la construction du bâtiment.B. Au fur et à mesure de l’avancement des travaux et conformément aux conditions reprises au contrat d’Entreprise. L’obtention de labels et/ou de primes ne sont contractuellement pas garantis.

3. DÉLAI D’EXÉCUTION

Le délai d’exécution de l’Entreprise, mettant le bâtiment en état d'être reçu provisoirement, est de +/- 10 mois à compter du premier jour du terrassement. Toutefois, le délai exact sera précisé dans le Contrat d’Entreprise.

En cas de retard d'exécution ou de livraison imputable à l’Entrepreneur, celui-ci payera au Maître de l’Ouvrage, à titre d'indemnité un minimum de 30€ par jour de re-tard calendrier.

4. RÉCEPTION PROVISOIRE

Pour rendre la Réception Provisoire (RP) possible, les travaux doivent dans leur ensemble être terminés, nonobstant des imperfections mineures réparables durant le délai de garantie et le bien doit être en état d'être utilisé conformément à sa destination.La date de la réception provisoire constitue le point de départ de la responsabilité décennale.

5. RÉCEPTION DÉFINITIVE

La Réception Définitive (RD) du bâtiment se fera en-déans les douze mois de la réception provisoire.

Après la réception définitive la responsabilité de l’En-trepreneur ne peut plus être engagée que sur pied des articles 1792 et 2270 du Code civil relatifs à la respon-sabilité décennale.

6. TRANSFERT DE LA PROPRIÉTÉ ET DES RISQUES

Le Maître de l’Ouvrage sera propriétaire des construc-tions à ériger au fur et à mesure de la mise en œuvre des matériaux et de leur incorporation au sol ou à l'im-meuble en construction, le transfert des risques visés par les articles 1788 et 1789 du Code Civil ne s’opérant toutefois qu’à la réception provisoire.

7. GARANTIE

L’Entrepreneur répond relativement à la nature et à l’importance des travaux dont il est chargé, aux condi-tions de la loi du 20 mars 1991, organisant l’agréation des entrepreneurs. Il s’engage dès lors à constituer un cautionnement d’un montant égal à 5 % du prix du bâti-ment. Si cela n'était pas le cas, le client peut constituer une retenue du même montant égal à 5% du prix du bâtiment.

PRESCRIPTIONS GÉNÉRALES

CHAPITRE 1

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LE CAHIER GENERAL DES CHARGES I PEB2021 EXCLUSIF LE CAHIER GENERAL DES CHARGES I PEB2021 EXCLUSIF

8. ARCHITECTE – PEB – COORDINATEUR SÉCURITÉ/SANTÉ

L’Architecte, Le Responsable PEB ainsi que le Coor-dinateur Sécurité/Santé sont désignés et à charge du Maître de l’Ouvrage.Un Dossier d’Intervention Ultérieure (DIU) sera remis au Maître de l’Ouvrage au plus tard huit mois après la date de réception provisoire par le Coordinateur Sécu-rité/Santé. Ce dossier reprend les informations (plans, mode d’emploi, …) liées au chantier.

9. RÉSERVATION

Le Maître de l’Ouvrage peut, jusqu’à la signature du CE se réserver un ou plusieurs lots de finition.Si la réservation est prise après la signature du CE, une indemnité égale à 30 % de la valeur du lot sera due à l’Entrepreneur. La réalisation de ce(s) lot(s) appelée « Réservé MO » provoque une interruption du délai d’exé-cution égale à la durée de la réalisation de ce(s) lot(s).Pour ces travaux, le MO est assimilé à un Entrepreneur dans toutes ses obligations. Il devra donc respecter l’article 1. (Documents régissant l’Entreprise) dans son entièreté.

10. CHOIX DES MATÉRIAUX

Les différents libres choix des matériaux doivent être effectués par le Maître de l’Ouvrage pour la signature du CE. Un choix et/ou une modification ultérieure à la signature du CE pouvant éventuellement engendrer une revue de la conception, une adaptation du prix et du délai sera possible.

B. PRESCRIPTIONS RELATIVES AU CHANTIER

1. MATÉRIAUX

Tous les matériaux mis en œuvre seront de la meilleure qualité, de livraison récente et entreposés comme le prévoit le fabricant. Le prix décrit dans le devis prévoit la fourniture et la pose des matériaux.

2. LIMITE DE L’ENTREPRISE

2.1. Responsabilité du Maître de l’Ouvrage

Le Maître de l’Ouvrage est responsable de son terrain qui devra :

— Être borné— Être exempt de tous obstacles (plantations, souches,

clôtures, décombres, …)

— Avoir une résistance de portance supérieure à 1,5 kg/cm2, sans eau ni roche.

— Être accessible au charroi lourd (+/- 30 tonnes) et en tout temps.

— Disposer de suffisamment de place pour l’entrepo-sage des matériaux.

Le terrain devra obligatoirement, aux frais du Maître de l’Ouvrage, faire l’objet :

— D’une étude de portance du sol (Etude Géotechnique) afin de vérifier si sa résistance est d’au moins 1,5 kg/cm2. Les éventuels travaux supplémentaires (fondations spéciales) imposés par cette étude feront l’objet d’une adaptation de prix.

— D’une étude de perméabilité du sol (Etude Hydrologique) afin de définir le type et le dimensionnement du système de dispersion des eaux d’égouttage dans le terrain quand celles-ci ne peuvent-être raccordées à l’égout.

En cas de construction adossée à un bâtiment exis-tant, les adaptations éventuelles (démontage de maté-riaux sur mitoyen, reprise en sous-œuvre, déviation de conduites, …) ne sont pas comprises dans l’Entreprise et feront l’objet d’une adaptation de prix sur base d’une visite préalable des lieux.Les frais de mesurage, de rachat de mitoyenneté et l’état des lieux des bâtiments voisins existants restent aux frais du Maître de l’Ouvrage

En cas de construction sur une limite latérale du terrain (en mitoyenneté), le Maître de l’Ouvrage prendra toutes les dispositions nécessaires avec le propriétaire de la parcelle voisine afin que l’Entrepreneur puisse avoir libre accès pendant la durée de l’Entreprise. Après les travaux, la remise en état de la parcelle voisine reste à charge de l’Entrepreneur.

Les démarches pour les raccordements définitifs (Eau, Electricité, Gaz, Téléphone, TV) doivent être faites en temps utile par le Maître de l’Ouvrage. Tous les ren-seignements nécessaires concernant les utilités seront communiqués au plus tard le jour de l’implantation du bâtiment, par l’Architecte et/ou par le Maître de l’Ou-vrage.

2.2. Responsabilité de l’Entrepreneur

L’Entrepreneur est responsable de la propreté du chantier. Tous les dommages occasionnés pour ou par les travaux, ainsi que les contestations que ceux-ci feraient surgir avec les voisins ou toute autre personne, sont à la charge de l’Entrepreneur qui doit prendre toutes les précautions pour effectuer les dits travaux dans de bonnes conditions de maintien, de stabilité, de

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respect de la propriété d’autrui, des ordonnances de police et des règlements administratifs.La surveillance de chantier est du ressort de l’Entrepreneur. Il s’agit d’assurer le respect des prescriptions du CDC, du devis et des plans et implique le mesurage des éléments construits, de leur aplomb et du respect des implantations et des angles prévus.Le contrôle du chantier est du ressort de l’Architecte. Etant établi que l’Entrepreneur doit réaliser et surveiller un travail conforme aux prescriptions, la mission de contrôle de l’Architecte vise à confirmer et compléter sur chantier les documents préalablement réalisés : détails techniques, renseignements complémentaires, …Le contrôle du chantier par l’Architecte suggère des visites régulières hebdomadaires et des visites ponctuelles en fonction de l’état d’avancement des travaux, de l’importance d’un poste en particulier ou à la demande du Maître de l’Ouvrage ou de l’Entrepreneur.

Les différentes visites (réunions de chantier) se déroulent pendant les heures de bureau des jours ouvrables et à raison d’une fois par semaine ou en fonction de l'état d'avancement du chantier. Un procès verbal est établi confirmant ainsi l’état d’avancement des travaux et de leur mise en œuvre.

L’Entrepreneur prend à sa charge les frais de consommation en eau et en électricité nécessaires à l’Entreprise pendant le gros œuvre. Une fois l'installation électrique et sanitaire réalisée, l'entrepreneur peut s'il le souhaite utiliser le courant et l'eau disponibles sur chantier.L'eau et l'életricité utiliseés ne pourront servir que pour l'avancement du chantier ou une mise à température ( hors gel ) du bâtiment en période de froid. Si l'eau ou l'électricité devait être utilisée pour approvisionner d'autres chantiers à proximité, l'entrepreneur prendra à sa charge l'ensemble des suppléments.

3. INSTALLATION – ÉTUDE

3.1. Implantation et aménagement du chantier

Le tracé des ouvrages (implantation) est réalisé contra-dictoirement avec l’Architecte et conformément au plan qu’il aura dressé. Le Maître de l’Ouvrage prendra les mesures nécessaires quant à la vérification et la vali-dation de l’implantation auprès des autorités compé-tentes (Commune).

L’aménagement du chantier comporte tous les frais d’apport et de repli du chantier, les déplacements des machines nécessaires et les mesures d’usage de sécu-rité, d’hygiène et de santé.

Tous les déchets sont évacués du chantier à l’exception des déchets inertes (mortier, blocs, briques, tuiles, …)

qui seront utilisés comme coffre (fondation) des éven-tuels futurs accès ou terrasses.Si le Maître de l’Ouvrage préfère l’évacuation de ces déchets inertes ou si cela est imposé par la Commune, les frais d’évacuation feront l’objet d’une adaptation de prix.

3.2. Étude Ingénieur

Une étude de stabilité et de dimensionnement des élé-ments de structure nécessaires pour la construction est comprise et réalisée par un ingénieur spécialisé indépendant.

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II. - TERRASSEMENT

Le terrain est considéré comme étant non pollué, sans eau ni roche et sans massif enterré de quelque nature que ce soit. Des mesures particulières à envisager pour contrecarrer les éventuelles imperfections précitées feront l’objet d’une adaptation de prix.

1.1. ENROCHEMENT POUR ACCÈS CHANTIER

Un empierrement d’accès de +/- 40 m2 et d’une épaisseur de +/- 20 cm est réalisé si possible à l’endroit du futur accès au garage, car-port ou parking. En fonction de la configuration des lieux, cet enrochement, à la demande du MO, pourra être déplacé en fin de chantier sans supplément.

1.2. TERRASSEMENT GÉNÉRAL

Au droit de la surface occupée par le chantier (maison, accès) la terre arable (bonne terre) est enlevée sur une profondeur de +/- 20 cm. Elle est mise en dépôt sur le terrain à l’endroit le plus approprié et en fonction des disponibilités de celui-ci.

Les fouilles de l’assiette du bâtiment sont exécutées avec un espace de +/- 70 cm plus large que la surface occupée par la construction et sous le niveau du terrain naturel supposé horizontal, à une profondeur de 80 cm pour les parties Vides Ventilés et de 280 cm pour les parties Caves.Pour une construction située sur un terrain surélevé par rapport à la route et/ou pour un garage en sous-sol, une rampe d’accès est prévue sur une surface de 40 m2 et une profondeur de 60 cm.

1.3. TERRASSEMENT DES SEMELLES DE FONDATION

Le fond des fouilles est situé à un minimum de 80 cm sous la surface du sol fini extérieur. Les différences de niveau éventuelles sont exécutées par paliers horizontaux successifs. Pour les parties Vides Ventilés, elles sont réalisées sur une profondeur de +/- 30 cm par rapport au fond de l’assiette et une largeur de +/- 60 cm. Pour les parties Caves, les semelles de fondation seront coffrées sur l’assiette.

1.4. TERRASSEMENT POUR LES RACCORDEMENTS

Une tranchée avec 4 gaines suivant les impositions des différentes régies pour le raccordement des énergies (Eau, Electricité, Téléphone, TV) est réalisée sur une profondeur de 1 m et une longueur max. de 10 m. Une longueur supérieure nécessitée par l’implantation du bâtiment fera l’objet d’une adaptation de prix.

1.5. ÉVACUATION DES TERRES

Les terres excédentaires (hormis les terres arables) sont évacuées au moment du terrassement dans un seul lieu de versage à une distance routière de maximum de 5 km du chantier (hors frais de versage) ou étendues sur place. Le lieu de versage doit être accessible a un charroi de 40 tonnes sans aucune difficulté. Si étendue sur place, le raclage de la terre de surface initiale n’est pas compris. Il fera l’objet d’une adaptation de prix.

1.6. REMISE DES TERRES - NIVELLEMENT

Le remblayage des terres provenant du terrassement est exécuté en 2 phases :

— Remise en place après le « sous-sol » gros-œuvre pour permettre un tassement préalable, accroître la sécurité et le placement de l’échafaudage.

— Nivellement et profilage des terres arables à la fin du chantier à concurrence de 1 journée de machine (pas de limite périphérique maximum).

L’apport éventuel de terres supplémentaires n’est pas compris. Si les espaces d’accès sont inférieurs à 3 m, le choix de la machine devra être adapté et fera l’objet d’une adaptation de prix.

1.7. EMPIERREMENT DE FINITION

À la fin des travaux, lors du nivellement final, un empierrement de finition en gravier gris de granulométrie 7/14 (épaisseur +/- 4 cm) est réalisé sur un concassé 0/60 (épaisseur +/- 25 cm) posé sur un géotextile (voile filtrant) pour une surface de 75 m2.

1.8 BORDURES

Une bordure en béton gris clair de 30 cm/6 cm sur une longueur totale de 20 mètres est incluse. Celle-ci est posée et contre butée au stabilisé et sert d'arrêt pour l'empierrement. Elle est posée sur un terrain plat.

CHAPITRE 2PRESCRIPTIONS TECHNIQUESTERRASSEMENT

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CHAPITRE 3

III. – GROS-OEUVRE

2.1. FONDATIONS

2.1.1. Boucle de terre

La boucle de terre (liaison équipotentielle) est réalisée suivant les normes en vigueur et constituée d’un fil de cuivre plombé de section ronde sans soudure et déroulée en fond de fouille sur le périmètre du bâtiment. Les 2 extrémités remontent à l’endroit du futur compteur électrique.

2.1.2. Semelles de fondation en béton armé

Le béton coulé dans les fouilles est de qualité BENOR et sa composition est :

C25/30 S3 EE1 Dmax22 Fibré C25/30 = 250 à 300 kg de ciment par m3 de bétonS3 = Classe de consistanceEE1 = Classe d’exposition extérieureDmax22 = Granulométrie de maximum 22 mmFibres métalliques (25 kg/m3 de béton) … d’où dénomination de béton armé.

2.1.3. Dalle en béton armé pour sol de cave

La dalle coffrée est coulée en fond de fouille et est composée comme suit :

— Une membrane d’étanchéité (film de polyéthylène de 2/10 mm) passant sous la dalle de fondation rendant ainsi la cave parfaitement étanche.

— Une couche de béton BENOR C25/30 S3 EE1 Dmax22 Fibré 25 kg

— Une chape de finition de +/- 7 cm.

2.1.4. Radier (avec adaptation)

En cas de résistance du sol insuffisante (minimum 1,5 kg/cm2), un radier pourra être imposé sur base des résultats de l’étude géotechnique en remplacement des semelles de fondations (voir ci-avant).Un radier est un grand plateau composé en général d’une dalle de béton de +/- 25 cm d’épaisseur complémenté d’armatures métalliques spécifiques à concurrence de +/- 40 kg/m3 de béton ou de fibre métalliques selon l'étude d'ingénieur. L’exactitude de la composition est établie par l’ingénieur.

Le radier comprend :— Une dalle de béton — Une membrane d’étanchéité (film de polyéthylène de

2/10 mm) passant sous le radier rendant ainsi celui-ci parfaitement étanche.

— Un empierrement damé afin d'assurer un drainage du sol et une bonne répartition des charges.

Remarque :

Si l’habitation est prévue initialement avec des maçonneries de sous-sol uniquement réalisées en Vides Ventilés et que la planéité du terrain peut éventuellement le prévoir, le Radier peut alors éventuellement remplacer les semelles de fondations, les maçonneries de sous-sol (Vides Ventilés) et le plancher du Rez-de-Chaussée. On parle alors d’un bâtiment fondé sur un Radier Terre Plein.

2.2. MAÇONNERIE DE SOUS-SOL

La maçonnerie des sous-sols est exécutée de façon traditionnelle en blocs de béton lourd.Les différents murs sont liaisonnés entre eux par imbrication de l’appareillage sur la hauteur.La hauteur brute est de +/- 60 cm minimum (3 tas de blocs) pour les Vides Ventilés et de +/- 227 cm (11 tas de bloc) pour les Caves laissant une hauteur libre (après pose de la chape) de +/- 220 cm (hormis les éventuels éléments de structure tels que poutrelle... ). Les épaisseurs, définies aux plans, sont de 29 ou 39 cm pour les murs extérieurs, et de 9cm, 14 cm, 19 cm, 29 cm et/ou 39 cm pour les murs intérieurs en fonction des charges à reprendre.

Toutes les maçonneries apparentes (Caves, …) sont rejointoyées au fur et à mesure de l’élévation. Les autres (Vides Ventilés) sont brossées.

2.3. VENTILATION DES SOUS-SOLS

2.3.1. Té d’aération

La ventilation des sous-sols est assurée par des tuyaux en PVC de diamètre 160 mm en forme de « T » débouchant sous le plafond des Caves et/ou Vides

PRESCRIPTIONS TECHNIQUESGROS-OEUVRE

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Ventilés. L’extrémité supérieure extérieure s’arrête au niveau du sol fini et est équipée d’une grille. Il est strictement interdit de les obturer.

2.4. ÉTANCHÉITE

2.4.1. Membrane d’étanchéité

Pour empêcher la pénétration d’eau par remontée capillaire (humidité ascensionnelle), une membrane en polyéthylène étanche et imputrescible de marque « DIBA » est placée sur le dernier tas de blocs, au droit des hourdis, des linteaux, des seuils et à tous les endroits que préconisent les règles de l’art.

2.4.2. Cimentage et coaltar sur les murs enterrés

Pour une plus grande protection, les maçonneries des vides ventilés et des caves en contact avec les terres sont isolées contre l’humidité au moyen d’un cimentage recouvert d’un enduit bitumeux d’imperméabilisation (Coaltar).

2.4.3. Protection mécanique des murs de cave

En plus du cimentage et du coaltar, la protection des murs de caves en contact avec les terres est garantie par une étanchéité rigide en polyéthylène de haute densité PLATON. Cette étanchéité à structure alvéolée, fixée à l’aide de clous spéciaux, assure également la fonction de drainage vertical vers le drain périphérique en pourtour des caves.

2.4.4. Drainage périphérique pour cave

En pourtour des murs de cave (locaux en sous-sol) est réalisé un drain en PVC rigide de marque FRANKISHE. Ce drain rectangulaire, composé de 3 conduits superposés, est posé au niveau des semelles de fondation, garantissant ainsi le cheminement des eaux récoltées vers le réseau d’égouttage. Servant de coffrage à la dalle de fondation pour le sol des caves, le drain est recouvert sur une épaisseur de +/- 30 cm par un lit de concassés 20/40 mm lui-même enrobé d’un géotextile (voile filtrant).

2.5. RACCORDEMENTS ET FOURREAUX

Placement dans les fondations d’une « courbe de raccordements » munie de 5 gaines en PVC rigides ou souples pour l’entrée des énergies (Eau, Gaz, Electricité, Téléphone, TV). Selon les cas, cette courbe pourra être remplacée par des gaines réalisées sur place.Le raccordement des énergies au domaine public reste à charge du Maître de l’Ouvrage.

Différents fourreaux sont également prévus dans la maçonnerie pour le passage d’autres raccordements divers (eaux de pluie de la citerne,…).

2.6. ÉGOUTTAGE DES EAUX

Les canalisations rigides en PVC Ø 110 mm et agréées BENOR permettent l’évacuation des Eaux Vannes (WC), des Eaux Usées (cuisine, salle de bains, buanderie, sterfput...) et des Eaux Pluviales.

Par défaut le réseau d’égouttage comprend :

— Les canalisations y compris les accessoires de raccord (coudes, Y, T) à l’intérieur du bâtiment et jusqu’à une distance extérieure maximum de 10 m.

— Une chambre de visite (CV) ordinaire (contrôle) constituée d’éléments en béton préfabriqués de 60x60 cm extérieur, hauteur max. de 90 cm avec un double couvercle en fonte.

— Une chambre de visite (CV) siphon (coupe-odeur) constituée d’éléments en béton préfabriqués de 60x60 cm extérieur, hauteur max. de 90 cm avec double couvercle en fonte.

La ligne d’égouttage est la plus directe possible. L’Entrepreneur se réserve le droit de modifier le tracé du réseau dessiné sur les plans, de manière à s’adapter aux exigences des lieux.Les chambres de visites (CV) et/ou les cuves (voir ci-après) situées dans les zones de circulation des véhicules devront être renforcées et feront l’objet d’une adaptation de prix.

2.7. RÉCOLTE DES EAUX

2.7.1. Citerne d’eau de pluie

La cuve en béton « citerne d'eau de pluie » d’une capacité de 10.000 litres est équipée d’un filtre. Celui-ci empêche les composants solides (p.ex. feuilles mortes, résidus végétaux, sable, etc.) déposés dans les gouttières et entraînés par les eaux de pluie d’arriver dans la citerne.

Un tuyau « SOCAREX » placé dans une gaine souple et

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raccordé dans le bâtiment à un groupe hydrophore (Lot SANITAIRE), permet l’alimentation de divers appareils (WC,…).Une ouverture (CV filtre de 60x60 cm extérieur), munie d’un simple couvercle en fonte permet le contrôle et le nettoyage.

2.8. ÉPURATION DES EAUX (AVEC ADAPTATION)

Le système d’épuration des eaux à mettre en place dépend des prescriptions de chaque commune. Il devra être adapté aux différents cas décrits ci-dessous

A. L’habitation se situe le long d’une voirie équipée d’un égout raccordé à une station d’épuration communale (épuration collective).

Sauf avis contraire de la Commune, aucune épuration individuelle n’est requise. L’évacuation des eaux sera donc raccordée directement à l’égout.

B. L’habitation se situe le long d’une voirie équipée d’un égout NON raccordé à une station d’épuration communale (épuration collective).

Sauf avis contraire de la Commune, avant le raccordement à l’égout, l’évacuation des eaux passera par un système d’épuration comprenant une micro station d’épuration individuelle.

C. L’habitation se situe le long d’une voirie NON équipée d’un égout.

Sauf avis contraire de la commune, le système d’épuration individuelle du point B. sera requis. L’égout public sera remplacé par un drain de dispersion (épandage souterrain) étudié sur base des résultats de l’étude hydrologique.

2.8.1. Micro Station d’épuration

La cuve en béton Micro Station d’épuration 1-5 EH à 3 compartiments reçoit les Eaux Vannes et les Eaux Usées. Son fonctionnement est basé sur le principe d’un traitement microbiologique. Un apport d’oxygène (petit surpresseur électrique placé dans le bâtiment) assure le développement des bactéries aérobies. Les eaux sont ainsi épurées à plus de 80 %. Deux ouvertures (CV de 60x60 cm extérieur) munies d’un double couvercle en fonte permettent le contrôle et les vidanges.

Remarques :

— Avant la mise en route de la Micro Station d’épuration, il faut procéder à un simple remplissage d’eau claire sans l’ajout de quelconque produit.

— Faire l’objet d’un contrôle périodique. Selon les conditions d’utilisation, procéder à l’écumage des flottants et matières imputrescibles.

— Les boues digérées s’accumulent dans le fond. Selon les conditions d’utilisation, procéder à une vidange des boues jusqu’à +/- 5 cm du fond (réensemencement des bactéries) +/- tous les 10 ans.

— Remplir à nouveau d’eau claire avant la remise en service.

2.9. ÉVACUATION DES EAUX

2.9.1. Égout

Il est prévu le raccordement à l’égout si le terrain est équipé en domaine privé d’une « pipe » d’attente unitaire en PVC et en pleine terre (profondeur max. 2,5 m) et située à max. 5 m de la dernière chambre de visite. En dehors de ces conditions, une offre sera établie en cours de chantier.

2.9.2. Drain de dispersion (avec adaptation)

Si le domaine public ne possède pas d’égout, il faudra envisager un drain de dispersion.

Les eaux épurées seront dirigées vers un épandage souterrain composé en général, sauf avis contraire des impositions locales, comme suit :

— 3 tranchées distantes de +/- 2,5 m et partant d’une même chambre de visite sont ouvertes sur une largeur de +/- 60 cm, une profondeur de +/- 70 cm et une longueur à définir sur base des résultats de l’étude Hydrologique.

— Un tuyau en PVC de diamètre 110 mm et micro-perforés (drain) est placé dans la partie supérieure d’une couche de gravier de granulométrie 20/40 mm d’une épaisseur de +/- 40 cm, elle-même enveloppée d’un géotextile (voile filtrant).

— Une couche de terre arable (bonne terre) d’une épaisseur de +/- 30 cm.

2.10. PLANCHER

2.10.1. Hourdis pour sol : Rez – Étage

Sur base des descriptifs repris aux plans, les sols sont constitués par la juxtaposition d’éléments préfabriqués : Hourdis ECHO DOMODECK précontraints (prétention des armatures lors de la fabrication pour une résistance accrue) d’une épaisseur de 13,5 cm en béton armé de qualité BENOR pour une surcharge de 500 Kg/m2 – RF60 (résistance au feu de 60’). Longueur de 0,60 m à 5,2 m sans chape de compression (coulage d’une

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couche supérieure de béton).La face inférieure des hourdis est rugueuse dans les vides ventilés et dans les locaux destinés à être plafonnés (adhérence du plafonnage). Elle est lisse dans les locaux non plafonnés (caves).

Des épaisseurs différentes, des renforts éventuels et/ou des chapes de compression (pour les longueurs définies) seront pris en compte suivant l’étude du fabricant et ce SANS supplément.

2.10.2. Dalle de plancher en béton arméAux endroits jugés nécessaires et/ou suivant l’étude des planchers à prévoir, une dalle en béton armé peut-être prévue à la place des hourdis. Elle sera composée et réalisée sur base des directives de l’Ingénieur.

2.11. MAÇONNERIE EXTÉRIEURE

La maçonnerie extérieure d’une épaisseur totale de +/- 41 cm appelée communément maçonnerie mixte est composée d’un ensemble d’éléments dont l’essentiel est l’isolant.

Pour qu’il remplisse parfaitement sa fonction, la seule pose adéquate de l’isolant doit impérativement être réalisée « vue de face » … donc par l’extérieur.

Dans cette optique, la maçonnerie mixte sera TOUJOURS réalisée en 2 phases

— 1ère phase : pose du bloc par l’intérieur du bâtiment.— 2ème phase : pose de l’isolant et du parement

(brique, …) par l’extérieur du bâtiment.

Composition de la maçonnerie mixte (de l’intérieur vers l’extérieur) :

2.11.1.Mur en bloc

La maçonnerie intérieure du mur mixte est exécutée de façon traditionnelle en blocs de béton d’une épaisseur de 14 cm. Les linteaux des baies sont en béton armé préfabriqués, coulés sur place ou en atelier selon les charges à reprendre. Les murs des locaux non plafonnés sont rejointoyés au mortier au fur et à mesure de l’élévation.

Afin d’améliorer les performances thermiques (isolation des nœuds constructifs du volume protégé), le 1er tas de bloc est TOUJOURS réalisé en bloc cellulaire isolant YTONG pour créer une coupure thermique vis-à-vis du sous-sol (vide ventilé et/ou cave). Idem au niveau du plafond plat de l’étage pour cette coupure thermique vis-à-vis des combles quand ceux-ci se situent hors du volume protégé.

2.11.2. Isolant des murs en panneaux de polyuréthane ép. 14 cm

L’isolation est assurée par la pose de panneaux rigides en polyuréthane de 14 cm d’épaisseur muni sur les 2 faces d’une couche d’aluminium. Les panneaux sont placés et assemblés parfaitement grâce à un système à emboîtement lui-même recouvert d’une bande adhésive spécifique. Le panneau en polyuréthane se caractérise par son haut coefficient d’isolation thermique, son imputrescibilité et son insensibilité à l’humidité.

2.11.3. Coulisse

La brique étant un élément moyennement poreux, un vide de +/- 3 cm continu sur tout le périmètre de la construction empêche le cheminement éventuel de l’humidité vers l’intérieur de la construction. Pour permettre la ventilation de la coulisse et favoriser l’évacuation de l’humidité vers l’extérieur, des joints verticaux sont laissés ouverts à la base des murs de briques et au dessus des linteaux. En plus de la coulisse, l’étanchéité est garantie par le placement d’une membrane DIBA à tous les endroits que préconisent les règles de l’art.

2.11.4. Parement en Briques

Le parement est réalisé en briques de terre cuite dites « faites main » de format 210/100/65 mm.Elles sont posées en panneresse (grand côté de face) et liaisonnées au mur de blocs par des crochets spécifiques en acier galvanisé munis d’écarteurs pour le maintien de l’isolant et l’espace de la coulisse.

Les briques sont cuites dans des fours spéciaux. Selon leur emplacement dans celui-ci, les briques peuvent avoir une légère tolérance dimensionnelle, afin d'assurer une bonne qualité d'exécution, nous nous référons exclusivement aux données du CSTC ( Centre Scientifique et Technique de la Construction ) pour une qualité de parement dite "normale".

Les linteaux des baies sont réalisés en briques à plat ou en briques sur chant (briques debout) posées sur des cornières en acier galvanisé.

Au fur et à mesure de la montée du parement, les joints sont légèrement évidés pour permettre le rejointoyage ultérieur.

Les briques prévues ont une Valeur Achat (VA) de 0,60 €/pièces soit 35€/m2. Prix TVA Comprise valable sur les prix affichés de nos différents partenaires :Vandersanden – Wienerberger/DesimpelHeylen

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Ou :

Parement en Crépi

À l’exception du mur de blocs, l’ensemble de la maçonnerie mixte (isolant – coulisse – brique) est remplacé par un isolant en polystyrène expansé Graphité STO ou CAPAROL; Knauf 032 d’une épaisseur de 180 mm. Collé au mur de blocs, l’isolant est recouvert d’une armature synthétique enrobée d’une couche spécifique. Le crépi est ensuite placé en une couche. Il ne pourra pas être réalisé ultérieurement. Dans cette configuration, la maçonnerie mixte a une épaisseur totale de +/- 33 cm.

2.11.5. Pierres de parement (avec adaptation)

Le parement en brique et la coulisse sont remplacés par un mur en pierre (moellon) d’une épaisseur variant de 10 à 15 cm maçonné contre une étanchéité rigide en polyéthylène de haute densité « PLATON » elle-même appliquée contre l’isolant. Au fur et à mesure de la montée du parement, les joints sont légèrement évidés pour permettre le rejointoyage ultérieur (Article 2.11.13).

2.11.6. Bardage de parement (avec adaptation)

Le parement en brique est remplacé par un bardage de type et teinte à définir :Planche en bois à emboitement – Latte en bois ajourée – Panneaux Eternit Equitone – Planche Eternit Cédral à

emboitement ou à chevauchement.Une structure portante en bois de +/- 4 cm d’épaisseur est fixée au mur de blocs, au travers de l’isolant par des vis écarteur. Elle reçoit ensuite le bardage défini. Dans cette configuration, la maçonnerie mixte a une épaisseur totale de +/- 32 cm. Le Bardage est réalisé par le Charpentier.

2.11.7. Parement de sous-sol

Tous les parements de sous-sol visibles extérieurement situés sous le niveau 0.00 sont réalisés avec le même matériau que celui utilisé pour les parements extérieurs du mur mixte sauf s’il est prévu un soubassement spécifique (pierre, …). Sur base du profil exact du terrain repris sur les plans d’exécution, la surface pourra être modifiée et faire l’objet d’une adaptation de prix.

2.11.8. Mur de soutènement (avec adaptation)

Un mur de soutènement nécessité par le profil du terrain comprend :

— Terrassement— Fondation— Maçonnerie de sous-sol renforcée d’armatures ou L

béton— Etanchéité (cimentage – coaltar – platon - Drainage)

— Parement (brique – pierre – bardage – crépi)— Un couvre-mur en pierre bleue de 5 cm d’épaisseur

2.11.9. Éléments décoratifs des parements (avec adaptation)

Sur base des plans, différents éléments peuvent être intégrés à la conception du bâtiment et sont définis au devis : console en pierre bleue, encadrement des baies en pierre bleue, liaison entre différentes baies en pierre bleue, décalage de briques, …

2.11.10. Rejointoyage

À la fin des travaux, le rejointoyage des parements en briques ou en pierres est réalisé par panneaux de mur entier. Le resserrage entre les menuiseries extérieures et le parement est réalisé avec un joint de silicone.

Différents tons au choix sans supplément (gris clair – gris ciment – beige – blanc) sont réalisés en échantillons avant la réalisation du travail. D’autres teintes (joint de couleur) peuvent être prévues moyennant adaptation de prix.

2.12. MAÇONNERIE INTÉRIEURE

Les murs sont exécutés de façon traditionnelle en blocs de béton sauf cloisons à l’étage. Ils sont liaisonnés entre eux par imbrication de l’appareillage sur la hauteur, qui finie est de +/- 250 cm au rez-de-chaussée et +/- 240 cm à l’étage (hormis les éventuels éléments de structure tels que poutrelle). Les linteaux des baies sont en béton armé préfabriqué, coulé sur place ou en acier selon les charges à reprendre. L’épaisseur des murs, définie aux plans, est de 14 – 19 ou 29 cm et de 9cm en blocs d’Argex pour les cloisons l’étage.Les murs des locaux non plafonnés sont rejointoyés au mortier au fur et à mesure de l’élévation.

Afin d’améliorer les performances thermiques, le 1er tas de bloc des murs du rez du volume protégé est TOUJOURS réalisé en bloc cellulaire isolant YTONG. Cela crée une coupure thermique vis-à-vis du sous-sol (vide ventilé et/ou cave).

Dans la même optique, si un double mur sépare le volume protégé principal (Habitation) d’un volume secondaire NON protégé (exemple : Garage), un isolant en panneaux rigides (PIR) UNILIN UTHERM WALL ou RECTICEL EUROWALL de 12 cm sera prévu entre les 2 murs.

ATTENTION :

Les cloisons à l’étage en blocs de plâtre sont FORMELLEMENT INTERDITES.

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Aucune dérogation n'est possible car l’utilisation d’un même matériau pour tous les murs présente des avantages incontournables :

— Caractéristiques mécaniques identiques, d’où comportement homogène et uniforme limitant fortement les phénomènes de retrait et de dilatation.

— Contrairement à l’utilisation de matériaux différents (bloc de plâtre et bloc de béton), le format identique permet une liaison et imbrication parfaite entre les différents murs.

2.13. OUVRAGE EN PIERRE BLEUE

2.13.1. Seuil

Les seuils de 5 cm d’épaisseur sont en pierre bleue belge. La face supérieure et le chant vu sont meulés/adoucis. Ils sont posés avec un encastrement de +/- 5 cm de part et d’autre de la baie et avec un débordement de +/- 5 cm par rapport au nu de la façade. Le débordement est muni d’une rainure goutte d’eau dans sa partie inférieure empêchant ainsi un éventuel retour d’eau.Le seuil de la porte de garage est placé sans aucun débordement pour éviter un éventuel déchaussement lors du passage de la voiture.

Si le parement est réalisé en crépi et/ou en bardage, le seuil des baies non en contact avec le sol extérieur est réalisé en profil d’aluminium.

2.13.2. Couvre-Mur (avec adaptation)

Les couvre-murs (mur de soutènement, mur de rehausse de toit plat) de 5 cm d’épaisseur sont en pierre bleue belge. La face supérieure et le chant vu sont meulés/adoucis. Ils sont posés avec un débordement de +/- 5 cm par rapport au mur. Le débordement est muni d’une rainure goutte d’eau dans sa partie inférieure empêchant ainsi un éventuel retour d’eau.

2.13.3. Soubassement (avec adaptation)Des plaques de 2 cm d’épaisseur (hauteur à définir) sont en pierre bleue belge. La face vue est meulée. Elles sont collées sur un bloc de béton « ARGEX » qui remplace le parement prévu.

2.14. OUVRAGES EN BÉTON ARMÉ

Tous les ouvrages en béton armé spécifiés au plan et/ou nécessaires au maintien structurel du bâtiment sont réalisés suivant l’étude d’Ingénieur, sans supplément.

2.14.1. Eléments structurelsIl s’agit des poutres, des colonnes, des linteaux spécifiques, des appuis pour poutrelles appelés asselets.

2.14.2. Escalier (avec adaptation)Initialement prévus en bois, les escaliers peuvent être réalisés en béton armé coffrés et coulés sur place. Leurs finitions sont brutes pour permettre un revêtement ultérieur (carrelage, bois,…). Il n’est pas prévu de rampe ni de garde-corps.

2.15. OUVRAGES MÉTALLIQUES

Tous les ouvrages métalliques spécifiés au plan et/ou nécessaires au maintien structurel du bâtiment sont réalisés suivant l’étude d’Ingénieur, sans supplément.

2.15.1. CornièresLes linteaux en briques des parements sont maintenus par des cornières en acier galvanisé dont la face inférieure est visible.

2.15.2. Poutrelles – Colonnes Les poutrelles et colonnes éventuelles sont protégées par une couche de peinture antirouille.A la fin du gros-œuvre, une seconde couche sera appliquée sur les parties restées apparentes. En fonction de leurs dimensionnements et/ou de leurs fonctions, les poutrelles seront encastrées ou apparentes. Dans ce dernier cas, elles seront enduites de plafonnage.

2.15.3. Accès au vide ventiléQuand les sous-sols du bâtiment sont en partie cave et vide ventilé, l’accès à ce dernier est réalisé par une trappe cadre en MDF Hydofuge placée dans un mur séparatif cave / vide ventilé.

Quand les sous-sols du bâtiment sont complètement en vide ventilé, l’accès est réalisé par une taqueà carreler étanche à l’air.


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IV. – TOITURE

3.1. CHARPENTE USINÉE

La charpente usinée en bois SBP (Sapin Blanc du Pays) protégée par trempage contre les attaques de pourriture, champignons et insectes est constituée d’éléments structuraux dits « fermes » calculés suivant la portée, l’inclinaison, les charges à reprendre et un espacement de pose de +/- 60 cm. Les fermes sont assemblées en usine au moyen de plaques de jonction en acier galvanisé à chaud et munies de pointes assurant une résistance à l’arrachement.Un contreventement entre chaque ferme réalisé lors de la pose assure la stabilité de l’ensemble.

3.2. CHARPENTE TRADITIONNELLE

Si prévu aux plans, la charpente traditionnelle en bois SBP (Sapin Blanc du Pays) protégée par trempage contre les attaques de pourriture, champignons et insectes est constituée d’éléments structuraux dits « pannes et chevrons » calculés suivant la portée et les charges à reprendre. Les pannes reposent sur des murs porteurs ou des fermes qui conditionnent et délimitent la disposition des locaux de l’étage.

Dans cette configuration le plafond de l’étage est réalisé par un gîtage constitué de pièces de bois calculées suivant la portée et les charges à reprendre et placées avec un entraxe de +/- 40 cm. Si un espace grenier est prévu, un plancher en panneaux OSB est réalisé sur le gîtage.

3.3. COUVERTURE TOITURE EN PENTE

3.3.1. Tuiles

La couverture de la toiture est réalisée en Tuiles TERRE CUITE (Teinte au choix sans supplément)

— Plate Koramic Actua Migeon — Ondulée Koramic Bisch Alégra

Les tuiles, garanties 30 ans contre le gel par le fabricant, sont posées sur des lattes et contre-lattes

fixées à la charpente. Toutes les pièces de finition (rives, faîtières, arêtiers, ventilation,) sont prévues dans le même matériau. Les tuiles et finitions sont fixées suivant les normes.

D’autres tuiles terre cuite (style, marques) ainsi que d’autres types de revêtements (ardoises artificielles, ardoises naturelles,…) peuvent être obtenues moyennant adaptation de prix.

3.3.2. Sous-toiture

La sous-toiture est réalisée à l’aide d’une membrane ETERROOF 210 gr/m2 ou DELTA VITAXX quadri couches, souple, imputrescible, ultra résistante et perméable à la vapeur. Une fois posée entre les contre-lattes et la charpente, le bâtiment est considéré sous abri. Eterroof est un produit entièrement recyclable.

3.3.3. Costières et Rives

Les Costières (bas de versant) et les Rives (côté de versant) sont réalisées avec des planches en SBP traitées recouvertes d’un profil en zinc anthracite.

3.3.4. Zinguerie

Les chéneaux (corniches) en zinc sont, au choix sans supplément, moulurés (Mopac) ou demi-lune de teinte naturelle ou prépatinée ou anthracite. Ils sont suspendus par des crochets en acier galvanisé fixés à la charpente.

Les tuyaux de descente en zinc sont, au choix sans supplément, de type rond ou carré de section 80 mm, de teinte naturel ou prépatiné ou anthracite. Ils sont fixés au mur à l’aide de colliers en acier galvanisé et raccordés au réseau d’égouttage à l’aide d’un réducteur de jonction. Si nécessaire, des coudes de même type et section sont prévus de manière à ramener le tuyau de descente le long du mur.

Le raccord d’étanchéité (solin) d’une couverture en butée contre un mur, est réalisé à l’aide d’une « bavette » en zinc et/ou en plomb. Le raccord d’étanchéité à la rencontre de deux versants formant une « vallée » (noue) est réalisé à l’aide d’un revêtement en zinc fixé sur les contre-lattes (sous la couverture).

PRESCRIPTIONS TECHNIQUESTOITURE

CHAPITRE 4

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3.3.5. Fenêtre de toiture

Si prévue au plan, la fenêtre de toiture est de marque VELUX.Ouverture par rotation - finition intérieure en Polyuréthane Blanc – Triple vitrage super isolant avec vitre extérieure trempée.

3.4. COUVERTURE TOITURE PLATE

Suivant les plans, la structure de la toiture plate peut être réalisée de deux façons :

— Une structure en dalle de béton (Hourdis) + un béton de pente de +/- 2 cm par mètre.

— Une structure en bois (Gîtage) + cale de pente (+/- 2 cm par mètre) + plancher OSB.

Le reste du complexe formant l’ensemble de la toiture plate est identique aux deux structures :

— Une membrane pare-vapeur— Un isolant constitué de panneaux rigides en

polyuréthane UNILIN Utherm ROOF ou RECTICEL EUROTHANE bi-4 de 14 cm.

— Une membrane d’étanchéité en PVC d’une épaisseur de 1,5 mm

— Un voile de verre non tissé— Un lestage de finition en petit gravier d’une

épaisseur de +/- 5 cm.

Une tôle colaminée (tôle d’acier protégée contre la corrosion et recouverte en face supérieure d’une membrane synthétique de teinte anthracite) assure la jonction et le recouvrement de l’acrotère (mur remontant).

Le recouvrement du mur peut être remplacé par une pierre bleue (article 2.13.2) et fera l’objet d’une adaptation de prix.


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V. – MENUISERIES EXTÉRIEURES Les menuiseries extérieures sont réalisées en ALUMINIUM COULEUR DOUBLE FACE

Choix, sans supplément, dans TOUTE la gamme couleur RAL et en finition Lisse ou Structurée.

De la marque BLYWEERT Triton HI+ (Hyper isolant), les menuiseries extérieures sont conçues et fabriquées sur mesure avec des profils de 72 mm d’épaisseur adoptant un système à multi-chambres et multi-frappes offrant une parfaite isolation thermique et acoustique. Valeur isolante extrêmement basse atteignant une valeur de 1,0 W/m2K répondant aux exigences des maisons dites « Passives » et « Zéro Energie ».

Les châssis sont équipés de triples vitrages super isolants Saint Gobain (Coefficient Ug 0,5 W/m2.K) avec intercalaire en PVC noir. Tous les vitrages sont anti-effraction. Les charnière des ouvrants sont de type Invisible.

5.1. CHASSIS

Tous les châssis (à l’exception des fixes) sont équipés d’un système Ouvrant-Basculant (OB).Les châssis inférieurs à 60 cm de haut ont un système Simple Tombant (ST).Ils sont équipés d’une quincaillerie Sobinco Chrono Invision (invisible) à 5 points de fermeture avec serrure anti-effraction (ergot tête de champignon) Classe 5. La poignée d’ouverture Sobinco Chrono dans la même teinte que le châssis est prévue avec un cylindre (fermeture à clé).

5.2. PORTES-FENÊTRES

Les portes-fenêtres sont équipées d’un système Ouvrant-Basculant (OB) avec poignée d’ouverture identique aux châssis ci-dessus.Les portes-fenêtres sont de type Levant-Coulissant affleurant avec le carrelage intérieur. Dans ce dernier cas, elles sont uniquement ouvrantes (pas de système Basculant).

5.3. PORTES

Les portes sont équipées d’une serrure de fermeture à 4 points.La Porte d’entrée est prévue avec un Panneau Plein décoratif (différents modèles au choix sans supplément) ou d’un vitrage sécurit clair transparent ou sablé uni et munie d’un Tirant extérieur en inox de 100 cm.Les Portes secondaires (Garage – Buanderie, …) sont prévues avec un vitrage sécurit clair transparent et poignées de manœuvre Intérieure et Extérieure.Les Portes sont munies en partie inférieure, en plus du seuil en pierre bleue, d’un profil en Aluminium dit « seuil suisse » servant de battée à l’ouvrant de la porte garantissant de la sorte une parfaite étanchéité à l’air.

PRESCRIPTIONS TECHNIQUESMENUISERIES EXTERIEURES

CHAPITRE 5

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4.4. PORTE DE GARAGE

La porte de garage HORMANN LPU40 est sectionnelle à 4 panneaux horizontaux doubles parois en acier galvanisé isolés de 40 mm de PUR. Le panneau inférieur est muni d’un joint d’étanchéité en caoutchouc. La finition intérieure est de teinte blanche.Le design et la teinte extérieure des panneaux sont au choix sans supplément.La motorisation type "RAPIDE" ainsi que 2 télécommandes.

4.5. CHASSIS EN PVC (AVEC ADAPTATION)

À la demande du Maître de l’Ouvrage, les Menuiseries Extérieures peuvent être réalisées avec des profils en PVC super isolant de marque ALUPLAST Idéal 8000. Elles sont conçues et fabriquées sur mesure avec des profils de 85 mm d’épaisseur avec charnière invisible adoptant un système à multi-chambres et multi-frappes offrant une parfaite isolation thermique et acoustique.A choisir dans un nuancier de 30 couleurs, les châssis sont équipés de triples vitrages super isolant Saint Gobain et de quincaillerie AUBI Titan AF (invisible) anti-effraction Classe 5.


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VI. – ÉLECTRICITÉ

6.1. GÉNÉRALITÉS

L’installation est réalisée suivant la Règlementation Générale des Installations Electriques (RGIE). Elle sera réceptionnée par un organisme agréé choisi et pris en charge par l’installateur.

Un premier tracé est réalisé sur les plans entre l’Entrepreneur Electricien et le Maître de l’Ouvrage afin de déterminer l’emplacement de l’installation (tableau, prises, …). Le second tracé sur chantier, en collaboration avec le Maître de l’Ouvrage confirme l’emplacement prédéfini.

Le tubage des circuits d’alimentation est encastré dans les murs, sols et plafonds des locaux plafonnés. Il est apparent et sous tube dans les locaux non plafonnés.Les interrupteurs de marque NIKO blanc intense modèle design sont à bascule, les prises de courant sont assorties.

Le compteur et la colonne de raccordement (câble) sont fournis et placés par l’organisme de la région et restent à charge du Maître de l’Ouvrage.

L’installation générale commence au coffret divisionnaire et comprend :

— Coffret 25S60 équipé d’un sectionneur, destiné à recevoir le compteur électrique. Sans ce coffret, le raccordement par la Compagnie électrique sera refusé.

— Coffret divisionnaire pour la disposition des différents circuits bipolaires et 1 triphasé.

— Les circuits sont protégés au moyen de coupe-cir cuits automatiques (Blocs Disjoncteurs).

— 1 Différentiel Général et 1 Différentiel Secondaire (point eau).

— Liaison équipotentielle : raccordement à la terre (article 2.1.1. Boucle de terre)

— Alimentation pour chauffage PAC (Pompe A Chaleur)— Alimentation Unité INT – Alimentation Unité EXT —

Liaison INT/EXT – Alimentation Boiler— Alimentation pour le système VMC (Ventilation

Mécanique Contrôlée)

— Alimentation Unité VMC – Tubage + câblage pour la commande VMC

— 1 Tubage câblé pour thermostat— 1 Prise Groupe hydrophore— 1 Prise Ampli TV— 1 Prise Machine à Laver (circuit Indépendant)— 1 Prise séchoir (circuit Indépendant)— Sonnerie sur transformateur avec bouton poussoir

NIKO 05/540 + porte étiquette éclairé— Fourniture de 2 détecteurs d’incendie optique (sur

piles) agréés Région Wallonne (RW)— Schéma d’étude finale— Réception par un organisme agréé— Goulotte 50/100 Legrand centralisation RJ45 (3) +

une prise double hermétique— 10 Prises complémentaires OU 10 x 1 Point

Lumineux ou Interrupteur (Placement au choix à définir par le Maître de l’Ouvrage)

6.2. ÉQUIPEMENT

Le déplacement d’un élément (prise, …) d’un local à un autre n’a pas d’influence sur le prix établi.Les éventuels compléments se font directement avec l’Entrepreneur Électricien.

6.2.1. Hall de Cave (arrivée de l’escalier)— 1 Point Lumineux 2 Interrupteurs hermétiques — 1 Prise simple hermétique

6.2.2. Cave— 1 Point Lumineux 1 Interrupteur hermétique— 1 Prise simple hermétique

6.2.3. SI Garage— 1 Point Lumineux 2 Interrupteurs— 2 Prises simples— 1 Prise motorisation porte garage— 1 Interrupteur porte garage— 1 luminaire semi-hermétique 2 x 58 W (tube néon

inclus)

6.2.4. Buanderie— 1 Point Lumineux 2 Interrupteurs— 2 Prises simples— 1 luminaire semi-hermétique 2 x 36 W (tube néon

inclus)

PRESCRIPTIONS TECHNIQUESÉLECTRICITÉ

CHAPITRE 6

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5.2.5. Extérieur— 2 Points lumineux 1 Interrupteur + témoin— 1 Point lumineux 1 Interrupteur + témoin— 1 Prise simple

5.2.6. Hall d’Entrée— 1 Point Lumineux 3 Interrupteurs— 1 Prise simple

5.2.7. WC séparé— 1 Point Lumineux 1 Interrupteur

5.2.8. Séjour – Salle à Manger— 1 Point Lumineux 1 Interrupteur— 1 Point Lumineux 2 interrupteurs— 4 Prises simples— 2 Prises doubles— 1 Prise TV— 1 Prise RJ45 (compatible réseaux informatique

– téléphone – internet – Proximus TV)— 1 goulotte encastrée pour TV murale à écran plat

5.2.9. Cuisine— 1 Point Lumineux 2 Interrupteurs (central)— 1 Point Lumineux 1 Interrupteur (plan de travail)— 2 Prises simples— 1 Prise Four (circuit Indépendant)— 1 Prise Micro-ondes— 1 Prise tétra-polaire Cuisinière (circuit Indépendant)— 1 Prise Lave-vaisselle (circuit indépendant)— 1 Prise Frigo— 1 Prise Hotte— 1 Prise double (plan de travail)

5.2.10. SI Bureau – Pièce polyvalente— 1 Point Lumineux 1 Interrupteur— 2 Prises simples— 1 Prise RJ45 (compatible réseaux informatique –

téléphone – internet – Proximus TV)

5.2.11. Hall de nuit - Palier— 1 Point Lumineux 3 Interrupteurs— 1 Prise simple

5.2.12. Chambre Parents— 1 point lumineux 2 interrupteurs— 3 prises doubles— 1 Prise RJ45 (compatible réseau informatique téléphone-internet-ProximusTV)— 1 Prise TV (compatible VOO)

5.2.13. Chambre— 1 Point Lumineux 2 Interrupteurs— 1 Prise simple— 1 Prise RJ45 (compatible réseaux informatique –

téléphone – internet – Proximus TV)— 1 Prise double

5.2.14. Salle de Bains / Douches— 1 Point Lumineux 1 Interrupteur (plafond)— 1 Point Lumineux 1 Interrupteur (mural)— 2 Prises simples

5.2.15. Dressing / Débarras / Grenier— 1 Point Lumineux 1 Interrupteur— 1 Prise simple

5.3 Équipement luminaire— 15 spots à placer. Couleur blanc ou noir type Cube simple boxi — 5 au rez-de-chaussée — 5 à l'étage

5.3. PANNEAUX PHOTOVOLTAIQUES

Prévu pour une toiture en pente (idéal de 35° avec une orientation Sud – Sud/Ouest) un mesurage complet et précis sera effectué par l’Entrepreneur Electricien avant la réalisation du travail. Il devra avoir accès à la toiture et au compteur électrique.

L’installation comprend :

— 15 Panneaux Photovoltaïques VIESSMANN VITOVOLT 300 Monocristallins FULL Black 300AA Green Triplex PM275M00 Gen 2.0 de 300 WP soit une puissance totale de 4500 Wc. Garanti 10 ans

— 1 Onduleur SMA adapté au réseau et au nombre de panneaux ainsi qu’à leurs caractéristiques techniques. Garanti 5 ans

— Structure de fixation en aluminium et visserie inox adaptée au type de couverture.

La pose sera toujours prévue en superposition de la couverture.

5.4. ALARME

Un système d’Alarme ANB complet agréé INCERT est prévu et comprend :

— Le tubage et le câblage pour l’ensemble de l’installation. Il est encastré dans les murs, sols et plafonds des locaux plafonnés. Il est apparent et sous tube dans les locaux non plafonnés.

— 3 détecteurs volumétriques à double technologie— 1 clavier codeur digital— 1 sirène Intérieure avec batterie de sécurité— 1 sirène Extérieure avec batterie de sécurité— 1 centrale avec batterie de sécurité— L’alimentation électrique de l’ensemble des éléments— La programmation et mise en service de l’ensemble

pour Module SMS pour transmission d’alertes.


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VI. – SANITAIRE

7.1. GÉNÉRALITÉS

L’emplacement des différentes décharges et donc des appareils sanitaires doit être établi impérativement sur les plans d’exécution (avant le début du chantier).

Les canalisations d’alimentation en Eau Chaude et Eau Froide terminées par un robinet « shell » sont réalisées en tubes multicouches de polyéthylène/aluminium « Mutliskin ». Ces tuyaux sont déroulés en chape, encastrés dans les murs des locaux plafonnés et apparents dans les locaux non plafonnés. Les canalisations de décharge sont en PVC de qualité sanitaire. Elles restent apparentes dans les locaux non plafonnés. Elles sont raccordées aux canalisations placées par le maçon (Article 2.6. Egouttages des Eaux).Le compteur qui doit obligatoirement être prévu au plus près du mur de la façade avant et le tuyau de raccordement (socarex) sont fournis et placés par l’organisme de la région et reste à charge du Maître de l’Ouvrage.

L’installation générale commence après le compteur et comprend :

— Une vanne d’arrêt avec un robinet purgeur.— Un anti-retour et un robinet double service.— Les alimentations Eau Froide + Eau Chaude +

Décharge pour les appareils sanitaires— Une alimentation Eau Froide + Décharge pour le

chauffage PAC/Boiler— Une alimentation Eau Froide avec robinet double

service + Décharge pour le lave-linge— Une alimentation Eau Froide + Eau Chaude +

Décharge pour la Cuisine— Raccord du lave-vaisselle sur Eau Froide + Décharge

de la Cuisine— Un bac vidoir à dosseret en PVC avec mélangeur— Pour Eau Froide + Eau Chaude + Décharge (Buanderie

ou Garage).— Robinet double service extérieur (Eau Froide) + vanne

d’arrêt et purgeur intérieur

Groupe hydrophore LEADER PUMPS immergé dans la citerne eau de Pluie (pas de bruit) Y compris tuyau socarex de raccordement à la citerne et 1 robinet double service. Raccord sur demande, sans supplément, de différents points d’eau.— Attention : Pas de by-pass possible entre Eau de Ville

et Eau de Pluie— Un filtre à particules pour Eau de Pluie — Un triple filtre combine un filtre de 100 um, un filtre

fin de 25 microns et un filtre à charbon actif.

La cartouche de charbon actif filtre les particules fines et élimine les odeurs et les saveurs désagréables, elle élimine également les pesticides, les insecticides et les solvants chlorés.

7.2. APPAREILS SANITAIRES

7.2.1. WC suspendu (rez + étage)

— 1 Bati support GEBERIT avec réservoir encastré 3/6 Litres

— 1 plaque de commande double touche GEBERIT— 1 cuvette design rectangulaire système REEM FREE— 1 siège abattant HARO softclose avec charnières inox

PRESCRIPTIONS TECHNIQUESSANITAIRE

CHAPITRE 7

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7.2.2. Meuble Lave-mains (WC rez)

— 1 lave-mains rectangulaire 40/22 cm en porcelaine de teinte blanche

— 1 sous-meuble avec 1 porte et 1 étagère en verre Couleur au choix : Blanc, Rouge, Noir, Gris, Wengé

— 1 robinet Eau Froide KVR Drako S3371— 1 miroir rectangulaire 40/50 cm— 1 siphon bouteille + robinet d’arrêt shell— 1 sous meuble DETREMMERIE avec 2 tiroirs à

fermeture softcloseCouleur au choix : Laqué blanc, Laqué gris ou Chêne clair

7.2.3. Meuble Lavabo double 120 cm (SdBains)— 1 lavabo rectangulaire postformé en porcelaine de

teinte blanche 120/47 cm— 1 sous meuble DETREMMERIE avec 2 tiroirs à

fermeture softclose Couleur au choix : Laqué Blanc, Laqué gris ou

Chêne clair— 2 mitigeurs GROHE EuroCube ou HANSA + vidange

automatique— 1 siphon bouteille + 2 robinets d’arrêt shell— 1 armoire-miroir 2 portes avec éclairage Led et

1 prise intégrée— 1 colonne DETREMMERIE 40/160 cm avec 2 portes

et 1 tiroir.

7.2.4. Baignoire Double 180 cm (SdBains)

— 1 baignoire rectangulaire VILLEROY ET BOCH acrylique blanc de 180/80 cm double dossier

— 1 mitigeur Bain/Douche GROHE Eurocube ou HANSA + flexible et douchette

— Vidange centrale automatique combiné au trop plein

7.2.5. Douche (SdBains)

— 1 tub douche IDEAL STANDARD Ultra Flat S en composite minéral anti-dérapant de 90/160/3 cm

Couleur au choix : Blanc, Crème, Gris, Brun, Noir— 1 mitigeur thermostatique à commande encastré

GROHE Eurocube ou HANSA avec :Douche de tête carrée orientable de 250 mm

Douche à main + flexible toutes deux en sortie murale

— 1 grille siphon carré— 1 paroi fixe 160/200 cm en verre sécurit clair 8 mm

ou mur carrelé


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7.2.6. Meuble Lavabo 80 cm (SdDouche)

Si SdDouche : — 1 lavabo rectangulaire postformé en porcelaine de

teinte blanche 80/47 cm— 1 sous meuble DETREMMERIE avec 2 tiroirs à

fermeture softclose Couleur au choix : Laqué Blanc, Laqué gris ou Chêne clair

— 1 mitigeur GROHE Concetto ou HANSA + vidange automatique

— 1 siphon bouteille + 2 robinets d’arrêt shell— 1 miroir 80/50 cm

7.2.7. Douche (SdDouche)

— 1 Tub douche IDEAL STANDARD Playa Ultra plat en acrylique blanc de 90/120/4,5 cm

— 1 système mitigeur thermostatique GROHE Euphoria ou HANSADouche de tête Ø 180 mm orientable sur brasDouche à main massage Ø 110 mm + flexible sur

glissière


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VIII. - CHAUFFAGE

8.1. GÉNÉRALITÉS

L’installation prévue est un système de chauffage central réalisé au moyen d’un système :— Pompe A Chaleur (PAC)— Régulation— Chauffage SOL au Rez du volume chauffé, le Hall de

Nuit, les SdBains, les SdDouches ainsi que dans les éventuels locaux aménagés du sous-sol (Hall Entrée, Bureaux, …)

— Chauffage Sèche-Serviettes décoratifcomplémentaire dans la SdBains Principale.

8.2. POMPE À CHALEUR (PAC) – AÉROTHERMIE (air/eau)

La PAC prélève la chaleur présente dans l’environnement naturel (AIR), même en hiver, et vous la restitue pour chauffer ou rafraîchir votre bâtiment à un coût très économique. 75 % d’énergie naturelle + 25 % d’énergie électrique, vous donnent 100 % d’énergie de chauffage.Donc pour 1kWh électrique consommé (25 %), une PAC produit en moyenne 3 à 4 kWh de chaleur, soit une récupération gratuite de 3 à 4 kWh (COP : coefficient de performance de 3 à 4).

PAC DE DIETRICH ALEZIO Evolution AWHP/V200(Unité Intérieure et Extérieure) avec sonde extérieure. Possibilité de réversibilité (chauffer/rafraîchir). La production d’Eau Chaude Sanitaire (ECS) est assurée par un boiler intégré de 177 litres.

8.3. RÉGULATION

L’installation comprend un thermostat programmable digital à écran LCD :Thermostat Ambiance Modulant.

8.4. CHAUFFAGE SOL

Le chauffage par le sol consiste à chauffer l’entièreté de la surface du plancher à une température ne dépassant pas 25° dans les zones centrales et 30° dans les zones périphériques. C’est donc le principe de «basse température». Il n’y donc plus de sol chaud et désagréable.Il est réalisé avec des tuyaux multicouches de polyéthylène déroulés sur le sol avec un écartement de 10 à 30 cm selon les besoins de chaleur. Au rez-de-chaussée et à l’étage, les tuyaux sont clipsés sur l’isolant recouvert d’une feuille de polyéthylène de l’étage.

Pour limiter les pertes de charges, le système peut être composé de plusieurs circuits (boucles).Pour limiter les tensions, des joints de dilatation seront réalisés dans le revêtement (carrelage,…).

8.5. CHAUFFAGE SÈCHE-SERVIETTES

Un radiateur Sèche-Serviettes 180/60 cm avec ventillateur électrique intégré à tubes horizontaux de teinte blanc cassé est prévu dans la SdBains Principale en complément du chauffage sol.

PRESCRIPTIONS TECHNIQUESCHAUFFAGE

CHAPITRE 8

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8.6. CHAUFFAGE CENTRAL AU GAZ (avec adaptation)

L’installation commence après le compteur Gaz (fourni et placé par la compagnie distributrice et à charge du Maître de l’Ouvrage).

L’installation comprend les accessoires et les tuyauteries pour les raccordements au compteur, à l’eau froide, à l’électricité, à la décharge égout ainsi que la réception de l’ouvrage.

Chaudière murale à condensation HR TOP à haut rendement VAILLANT.Evacuation des gaz brûlés et amenée d’air par sortie murale (ventouse). Elle est équipée d’un vase d’expansion, d’un circulateur à vitesse variable et d’une régulation par sonde extérieure.

La production d’Eau Chaude Sanitaire par micro-accumulation offre un débit de 19 Litres/minutes.Si la voirie n’est pas équipée en Gaz Naturel (Gaz de ville), il y a lieu de prévoir une citerne Gaz Propane. La fourniture, la pose, le gainage vers l’habitation et le raccordement de la citerne à gaz ainsi que le boîtier de détente en façade sont à charge du Maître de l’Ouvrage. La Chaudière sera identique mais avec adaptation du brûleur.

La Régulation, le Chauffage SOL, le Chauffage Sèche-Serviettes sont identiques au principe de série qu’est la Pompe à Chaleur.


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IX. – ÉTANCHÉITÉ VENTILATION

9.1. ÉTANCHÉITÉ

L’étanchéité de nos bâtiments est renforcée par l’apport de points essentiels :

— Châssis Triple vitrage équipés d’un système multifrappes

— Une étanchéité pour le bas des Portes appelée « seuil suisse »

— Joint étanche en caoutchouc au bas de la porte de garage

— Placement d’une bande spécifique d’étanchéité CONTEGA (Article 9.1.2)

— Un système de Ventilation Mécanique Contrôlée (VMC) – voir ci-après.

Pour rappel … De par la conception de nos bâtiments, nous garantissons dès aujourd’hui des valeurs inférieures aux Normes max. qui seront imposées à partir de janvier 2021. Le certifcat PEB obtient donc déjà la meilleure valeur. Un test d’étanchéité à l’air (Blower-Door-Test) améliorant le certificat PEB est donc facultatif.

9.2. VENTILATION

Pour répondre aux normes exigées par la Région Wallonne (RW), les nouvelles constructions sont fortement isolées et rendues étanches à l’air. On crée donc une sorte de « boîte thermo » qu’il faut obligatoirement (RW) ventiler mécaniquement.

Le système installé est une VMC-DF : Ventilation Mécanique Contrôlée Double Flux.

Ventilation à entrée et évacuation unique avec récupérateur de chaleur ZEHNDER ComfoAir disposant d’une capacité de ventilation de 350 à 450 m3/h. Le système aspire de l’air extérieur qui est pulsé dans les locaux « secs » après qu’un échangeur l’a réchauffé en récupérant la chaleur de l’air vicié extrait des locaux « humides » qui est rejeté à l’extérieur. C’est le principe du double-flux. Equipée de filtres et d’un système Bypass automatique permettant le free-cooling en été.

La circulation de l’air entre les locaux secs et humides du volume chauffé (équilibre des dépressions) se fait par des Ouverture de Transfert (OT) prévues aux bas des portes intérieures (fente entre le sol et le bas de la feuille de porte).

La pulsion et l’extraction de l’air se font au travers de canalisations galvanisées dimensionnées suivant les besoins de chaque local. Elles sont placées horizontalement au plafond, sur le sol des combles et/ou verticalement le long d’un mur aux endroits les plus appropriés. Des faux-plafonds (Article 12.3.4.) et/ou des gaines cache-tuyaux (Article 12.3.1.) sont prévus dans les locaux plafonnés. Les gaines restent apparentes dans les locaux non plafonnés. Des bouches circulaires (murs ou plafond) terminent les orifices de ces gaines.

PRESCRIPTIONS TECHNIQUESÉTANCHÉITÉ - VENTILLATION

CHAPITRE 9

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X. – ISOLATION TOITURE

10.1. ISOLATION – FREINE-VAPEUR

9.1.1. Isolation ép. 24 cm

L’isolation de la toiture en pente est réalisée avec une mousse projetée isolante Icynene H2Foam LITE de 24 cm d’épaisseur offrant un coefficient Lambda ∆ = 0 ,037 W/mK.

Cette isolation est imputrescible et ininflammable. Elle est placée sur toute la surface des plafonds des pièces habitables et chauffées de l’étage jusqu’à réaliser la jonction avec l’isolant de la maçonnerie mixte.Les mousses ICYNENE sont les seuls isolants thermiques qui concilient étanchéité à l’air (pour être aux nouvelles normes thermiques) avec perméabilité à la vapeur.

Ne se tasse pas – sans HCFC, HFA, CFC, COV, ni formaldéhyde (classée A+) selon ISO 16000-9

10.2. LATTAGE

Des lattes en bois traité sont fixées avec un entraxe de 40 cm sur le plafond, les pans obliques et verticaux de la charpente. Elles sont placées perpendiculairement aux bois de charpente dans le but de créer un support résistant pour la fixation des plaques de Gyplat.

Rappel (LOT Electricité) :Si le Maître de l’Ouvrage envisage de placer des spots encastrés dans les plafonds de la charpente, il faudra prévoir un double lattage.

PRESCRIPTIONS TECHNIQUESISOLATION TOITURE

CHAPITRE 10

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XI. - PLAFONNAGE

Tous les locaux habitables du volume protégé (Sous-Sol, Rez et Etage) sont plafonnés. Le Garage et la Buanderie (s’ils sont situés au rez-de-chaussée) sont également plafonnés.

11.1. MURS ET PLAFONDS (HOURDIS/DALLE)

Le plafonnage des murs en blocs et des plafonds est réalisé au moyen d’un enduit monocouche lissé de plâtre KNAUF MP75 ou LAMBERT xp pro. Tous les angles saillants restant apparents sont renforcés au moyen de profilés spéciaux en acier galvanisé (cornières d’angle). Les ouvrages métalliques plafonnés sont préalablement enduits d’un primer accrocheur KNAUF Betokontakt et recouvert d’une armature de renforcement en voile treillis de polyester Gitex.

11.2. PLAFONDS (CHARPENTE)

Les plafonds sous charpente sont réalisés au moyen de plaques de plâtres cartonnées de type KNAUF Gyplat. Elles sont fixées perpendiculairement au lattage.Afin de réduire le risque éventuel de microfissures à la jonction des plaques est placée une armature de renforcement en voile treillis de polyester Gitex. Un enduit monocouche lissé de plâtre est ensuite appliqué sur toute la surface.

11.3. TABLETTES

Les tablettes de fenêtres des locaux plafonnés sont réalisées sur mesure en pierre bleue ou en marbre (plusieurs choix proposés sans supplément). Elles ont une épaisseur de +/- 2 cm et sont débordantes de +/- 2 cm par rapport au plafonnage.Les tablettes sont également prévues sur les murets de séparation et/ou garde-corps.

PRESCRIPTIONS TECHNIQUESPLAFONNAGE

CHAPITRE 11

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XII. - CHAPE ET CARRELAGE

12.1. CHAPE

12.1.1. Chape ISOLANTE

Une sous-chape isolante en polyuréthane (PU) de +/- 12 cm est projetée sur l’entièreté du « sol béton » intérieur du REZ du volume chauffé ainsi que sur le sol des locaux habitables plafonnés du SOUS-SOL. Une sous-chape isolante en polyuréthane de 4cm est d’ailleurs établie au niveau du hall de nuit et de la salle de bain.

12.1.2. Chape RECOUVRANTE armée

Une chape composée de sable de rivière, de ciment dosé à +/- 225 kg/m3 et de fibres d’une épaisseur de +/- 8 cm est exécutée sur tous les « sols béton » intérieurs des SOUS-SOLS, du REZ, de l’ETAGE et des COMBLES éventuels. Une bande flexible de désolidarisation en polystyrène est prévue sur le pourtour de chaque local.La chape est lissée (avec ajout d’un enduit de lissage) quand elle est destinée à rester apparente (cave). Elle est talochée quand elle est destinée à recevoir un revêtement (carrelage, parquet).

Selon les nécessités, des joints de dilatation sont réalisés aux baies des portes et à mi-longueur de grandes surfaces d’un même local.

12.2. CARRELAGE

12.2.1. Fourniture Carrelage

Le Maître de l’Ouvrage choisit le carrelage chez un fournisseur agréé par l’Entrepreneur.

Un encastrement pour installer un paillasson encastré devant la porte d'entrée y est compris.

La Valeur Achat (VA) prévue pour le carrelage SOL est de 60 €/m2 TVAC.La Valeur Achat (VA) prévue pour les plinthes est de 12€/m2 TVAC.(Prix valables sur les Prix affichés du Fournisseur)

Les locaux carrelés au SOL sont :— Sous-Sol : Tous les locaux habitables plafonnés

— Rez-de-Chaussée : Tous les locaux habitables plafonnés

— Etage : WC (local séparé) – Salle de Bains – Salle de Douches.

— Buanderie— Garage

Les plinthes sont prévues au bas des murs des locaux carrelés à l’exception des murs des locaux destinés à recevoir un carrelage mural (à préciser par le Maître de l’Ouvrage).La Valeur Achat (VA) prévue pour le carrelage MUR est de 50€ /m2 TVAC. Une niche (cavette de douche ) est comprise. (Prix valables sur les Prix affichés du Fournisseur)

Les locaux carrelés au MUR sont :

— Salle de Bains : Pour une surface comptée de 20 m2.— Salle de Douches : Pour une surface comptée de 10

m2.

Le(s) Garage(s) sont carrelés au sol au moyen du carrelage Grès Cérame pleine masse 30x30 cm disponible dans les teintes : Gris Anthracite, Beige, Gris Clair ou Noir. Les plinthes prévues sont assorties au carrelage.

12.2.2. Pose Carrelage

La pose au mortier colle est prévue pour un carrelage en grès de format carré de 30 x 30 cm jusqu’au format maximum de 60 x 60 cm. Elle est prévue droite parallèle aux murs. Le jointoiement est réalisé avec un mortier de ton gris ciment ou éventuellement blanc pour le carrelage mur. Les angles des murs carrelés sont réalisés à l’aide de profils spéciaux en PVC de ton blanc.Selon les nécessités, des joints de dilatations sont réalisés aux baies des portes et à mi-longueur de grandes surfaces d’un même local.

Pour rappel, quand les sous-sols du bâtiment sont complètement en vide ventilé, l’accès est réalisé par une taque carrelée 60/60 cm.

PRESCRIPTIONS TECHNIQUESCHAPE ET CARRELAGE

CHAPITRE 12

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XII. MENUISERIES INTÉRIEURESLe Maître de l’Ouvrage peut, moyennant une adaptation de prix, choisir chez un fournisseur agréé par l’Entrepreneur d’autres types de menuiseries intérieures (portes, finition d’escaliers, …) que ceux décrits ci-après.

13.1. PORTE

Les portes THEUMA CPL à chant plat sont des bloc porte disponibles en finition Surfacée Bois (plusieurs coloris) ou Laquée Blanche. La structure intérieure est en panneau à âme tubulaire.

L’ébrasement (épaisseur du mur) et le chambranle (contour de la baie du mur) sont en panneau de même décor que celui de la feuille de porte. Un joint de frappe périphérique en PVC augmente le confort d’utilisation.

La quincaillerie en aluminium éloxé est constituée de pentures (charnières) renforcées INVISIBLES réglables, d’une serrure à pêne et de deux clenches en inox.

Est comprise également 1 Porte en VERRE clair sécurit avec chambranle et ébrasement identique aux autres portes. Placement à l’endroit du choix du Maître de l’Ouvrage.

Aux accès du volume chauffé avec d’autres locaux « non chauffés » les portes sont du type CLIMATIC isolées. Elles sont équipées d’un joint étanche à l’air appelé « Kältefeind ». Joint encastré dans le bas de la feuille de la porte qui assure l’étanchéité au sol et rétractable à l’ouverture. Les portes des caves ne sont pas prévues sauf celles entre le Hall de Cave (quand celui-ci est en contact d’accès avec le volume chauffé du Rez) et les autres caves.

13.2. ESCALIER

13.2.1. Escalier Sous-sol (Cave) – Rez

L’escalier est réalisé avec des marches massives en hêtre 1ère qualité. Il est prévu sans contremarche et la rampe est fixée au mur (lisse sur mur).Si cet escalier fait partie d’un local OUVERT sur le Rez, il sera de même type que l’escalier Rez – Etage.

13.2.2. Escalier Rez – Étage

L’escalier Rez – Etage est réalisé avec des marches massives et une colonne de départ carrée chanfreinée de 80 x 80 mm.Essence de bois: Hêtre de 1ère qualitéTeinté et vernis d’usine au choix sans supplément : Naturel – Gris moyen – Chêne blanchi – Chêne clairChêne moyen – Chêne foncé.

Quand il est prévu au dessus d’un local fermé (WC) ou de l’escalier Sous-sol – Rez il est réalisé avec des contremarches simple face en multiplex de la même essence.

La rampe guide-mains, Rectangulaire, Postformée, Ronde ou Carrée chanfreinée est soutenue par une balustrade composée de fuseaux rectangulaires chanfreinés, de 3 barres parallèles (lisses) ou de 3 tubes inox horizontaux.La « tranche » du plancher apparent du sol de l’étage est pourvue d’un revêtement multiplex avec finition massive haute et basse (limon trainant).

13.2.3. Garde-corps

Les éventuels garde-corps (mezzanine) sont du même type que la rampe et les balustrades de l’escalier.

13.3. PARQUET

Un parquet stratifié QUICK STEP Perspective (teintes au choix, 1 seule teinte par étage) avec plinthes assorties, est prévu dans les Chambres, Dressing, Bureau (étage) et le Hall de nuit.

PRESCRIPTIONS TECHNIQUESMENUISERIES INTÉRIEURES


CHAPITRE 11

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13.4. DIVERS

13.4.1. HABILLAGE

La fermeture des faces verticales visibles de la baignoire (rectangulaire) est réalisée en blocs YTONG, en panneau de mousse dure de polystyrène extrudé armée des deux côtés d’un treillis de fibres de verre ou en panneau MDF Hydrophuge. La fermeture de la face des bâtis supports des WC suspendus est réalisée de la même façon.

13.4.2. Cloison de fermeture

La cloison de fermeture de l’escalier quand il est prévu au dessus d’un local fermé (WC) ou de l’escalier - Sous-sol – Rez est réalisée en Gyproc double face à ossature isolée bois ou métal.Dans le cas d’un local WC sous l’escalier, le plafond et la cloison arrière sont dans une finition identique.

13.4.3. Cache-Tuyaux

Les canalisations des appareils sanitaires et/ou les conduits de ventilation non encastrés dans les murs des locaux plafonnés (sauf Buanderie et Garage), sont dissimulés par des cache-tuyaux en panneau MDF vissés à peindre.

13.4.4. Trappe de visite

Un espace de +/- 60 x 60 cm est laissé libre dans le plafond de l’étage pour permettre l’accès aux combles perdus de la charpente. Cet espace est isolé et fermé par un panneau en multiplex marin ou MDF à peindre, déposé sur un chambranle de pourtour.

13.4.5. Escalier escamotable

Si un comble (grenier aménageable) est prévu dans le volume de la charpente, il est accessible par le placement d’un escalier escamotable de 60/120 cm repliable manuellement en 3 sections.

13.4.6. Faux Plafond

Les canalisations des appareils sanitaires et/ou les conduits de ventilation placés sous les plafonds des locaux plafonnés (sauf Buanderie et Garage) sont dissimulés par la réalisation d’un faux-plafond en Gyproc simple face sur une ossature bois ou métal.


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SIGNONSLES ACCORDS

XIV. LES ACCORDSTerminons par un dernier point fort, non négligeable …

Si le Maître de l’Ouvrage, l'Architecte ou l’Entrepreneur veulent modifier un procédé, des matériaux d'une qualité, origine, marque ou type déterminé différent que celui prévu dans le présent CDC, la modification devra être approuvée par les différentes parties.

L’Entrepreneur N’A PAS le monopole d’une quelconque modification SANS PRÉAVIS.

Fait le 01 novembre 2019, sous réserve de toutes modifications ultérieures des lois et prescriptions régissant les constructions, ainsi que les prescriptions urbanistiques qui régissent les lotissements ou qui découlent de l’application des réglementations régionales ou locales.

Pour accord, le ..........................................................................

L’Entrepreneur :

DÔME-CONSTRUCTION

Tél. +32 (0)4 289 09 33

Représenté par : ......................................................................

Le(s) Maître(s) de l’Ouvrage :

Nom – Prénom – Signature précédée de la mention :« La totalité du présent cahier des charges a été lue et approuvée »

Nom et Prénom :....................................................................... Nom et Prénom : ................................................................

Mention : ...................................................................................

Signature : ................................................................................ Signature : ..........................................................................


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NOTES :

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