Bizet

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BIZET

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BIZET

Page 2: Bizet

Vandaag gaat de kerk naar de mensen toe

Op een winderige dag ontmoet

ik de penningmeester van de

Bethlehemkerk in de Walcourtstraat

in Anderlecht. Theo Stevens staat

me om elf uur stipt op te wachten

aan het houten poortje voor de kerk.

Na een stevige handdruk begeleidt

hij me naar een warm zaaltje achter

het kerkje.

‘‘Ik heb altijd in Anderlecht

gewoond, tot vijftien jaar geleden”,

begint hij zijn verhaal. “Ik ben hier

geboren en getogen.” Samen met

zijn ouders woonde hij niet ver van

de kerk. Zijn vader had een eigen

klerenwinkel, waar Theo tegen wil

en dank moest werken. Jaren later

verliet hij dan toch de klerenwinkel

om bediende te worden bij een

verzekeringsmaatschappij. Theo had

geen diploma van het middelbaar

onderwijs, maar ging naar de

avondschool waar hij godsdienstles

volgde. “Ik heb een diploma van

godsdienstonderwijzer, maar ik heb

geen les gegeven.”

Naast zijn passie voor de kerk en zijn

geloof is hij een geschiedenismens,

zoals hij het zelf noemt. “Ik probeer

lessen te trekken uit de geschiedenis.

Wat er verkeerd ging, moet je

proberen anders te doen.” Zijn twee

grote interesses combineert hij nu

door een boek te schrijven over de

geschiedenis van de kerk. Dat hij

een trouwe gelovige is, bewijst zijn

wekelijkse bezoek aan de kerk in de

Walcourtstraat. Elke zondag zakken

hij en zijn vrouw af naar Anderlecht

voor de dienst.

Maar Theo doet meer dan dat.

Hij is ook de penningmeester

van de Betlehemkerk en zit in de

beheerraad van de kerk. Maar ook

bij hem slaat de twijfel toe. Almaar

minder mensen gaan naar de kerk,

en ook in de Betlehemkerk is die

afname voelbaar. “Wij zitten hier

hooguit met 15 mensen. Waarom

houden we het in stand? Waarmee

zijn wij eigenlijk nog bezig?”

Het contact tussen de kerk en de

buurt is vandaag miniem, en ook

dat was ooit anders. “Vroeger was

er veel contact met de buren; de

mensen woonden veel dichter bij de

kerk. Nu zijn we verplicht om zelf

contact te zoeken. Ze komen niet

meer naar ons, wij gaan naar hen.

Het is ook veel moeilijker omdat de

buurt veel Franser is geworden en

er heel veel mensen zijn met een

andere nationaliteit en een ander

geloof.”

Maar echte moeilijkheden hebben

ze nooit gehad. Integendeel.

“Onze pastoor woont in Kuregem,

een echte moslimbuurt. Maar hij

wordt daar herkend. Hij is daar een

uitzondering en hij komt ook nog

eens uit Nederland, maar toch letten

ze op hem, dat niemand hem kwaad

doet.” Ook Theo en zijn vrouw

hadden een goed contact met de

buurt. Ze woonden aan een pleintje

met een stukje groen in het midden

en hadden hele goede buren.

Maar ook in Kuregem, waar zijn

vrouw een winkel had, kwamen ze

goed overeen met de mensen. “Mijn

vrouw en ik hadden vroeger een

boetiek. Er kwamen hoofdzakelijk

Marokkaanse vrouwen naar onze

winkel en dat waren heel goede

contacten. Dat strookt echt niet met

het beeld dat je krijgt van de kranten

en de tv. Ze zeggen: ‘Marokkanen,

dat zijn slechteriken’ maar dat is dus

uiteraard niet zo.”

Vijftien jaar geleden besloten hij

en zijn vrouw te verhuizen naar

Tremelo, waar het huis van zijn zoon

leegstond. Tijdens de verbouwing

van het huis vielen ze als een

blok voor de mooie streek en het

pand. “Het is heel mooi, met een

zandweg helemaal van de straat

af. Heel leuk voor oude mensen,”

grinnikt hij. Ook wilden ze weg van

de stad en de drukte. Hoewel hij nu

in Tremelo woont, bezoekt hij nog

elke zondag de kerk in Anderlecht.

En zijn geboortestad zal hij nooit

vergeten, want in Anderlecht, daar

ligt zijn geschiedenis.

Page 3: Bizet

Aujourd’hui, c’est l’église qui va aux personnes

C’est par une journée venteuse

que je rencontre le trésorier de

l’église Bethléem, rue Walcourt

à Anderlecht. Il est onze heures

précises. Ponctuel, Theo Stevens

m’attend près du portail en bois

devant l’église. Après une poignée

de main vigoureuse, il me guide vers

une petite salle accueillante située

à l’arrière.

«J’ai toujours habité à Anderlecht,

jusqu’il y a quinze ans», c’est par

ces mots qu’il entame son histoire.

«Je suis né et j’ai grandi ici.» Il a

vécu avec ses parents à deux pas

de l’église. Son père possédait une

boutique de vêtements, où Theo

Stevens devait travailler, bon gré

mal gré. Des années plus tard, il a

tout de même quitté la boutique

pour occuper un poste d’employé

dans une compagnie d’assurances.

Il ne possédait pas de diplôme de

l’enseignement secondaire mais il

a suivi des cours du soir de religion.

«J’ai passé un diplôme de professeur

de religion même si je n’ai jamais

donné cours.»

Outre sa passion pour l’église et

sa foi, Theo Stevens est un homme

d’histoire, comme il se plaît à se

définir: «Je m’efforce de tirer des

enseignements de l’histoire. Il faut

tenter de s’y prendre différemment

quand quelque chose a mal

tourné.» Il marie aujourd’hui ses

deux grands centres d’intérêt dans

un livre sur l’histoire de l’église,

en cours de rédaction. Theo

Stevens est un véritable croyant

comme en témoignent ses visites

hebdomadaires à l’église de la

rue Walcourt. Chaque dimanche,

son épouse et lui descendent à

Anderlecht pour l’office.

Mais là ne s’arrête pas son investis­

sement. Il est trésorier de l’église et

siège à son conseil d’administration.

Ce n’est pas pour autant qu’il

échappe au doute. Le nombre de

personnes qui se rendent à l’église

est en diminution constante,

et l’église Bethléem ne fait pas

exception à la règle. «Nous sommes

maximum quinze. Pourquoi

continuer? Que faisons­nous encore

réellement?»

Aujourd’hui, les contacts entre

l’église et le quartier sont réduits

au strict minimum, mais il n’en a

pas toujours été ainsi. «Avant, il y

avait beaucoup d’interaction avec

les voisins; les gens habitaient

beaucoup plus près de l’église.

Aujourd’hui, nous sommes obligés

de chercher ces contacts. Les gens

ne viennent plus à nous, c’est nous

qui allons à eux. C’est d’autant

plus difficile que le quartier s’est

énormément francisé et que le

nombre d’habitants d’une autre

nationalité, d’une autre religion,

s’est considérablement accru.»

Mais il n’y a jamais eu de difficultés,

au contraire. «Notre pasteur habite

à Cureghem, un quartier très

musulman. Mais il y est connu. Il

constitue une exception dans le

paysage, surtout qu’il vient des Pays­

Bas. Pourtant, ils veillent sur lui et

font en sorte qu’il ne lui arrive rien

de mal.» De leur côté, Theo Stevens

et son épouse avaient de bons

contacts avec les gens du quartier.

Ils habitaient sur une petite place

dotée coin de verdure et avaient des

voisins très sympathiques.

Ils avaient des contacts tout

aussi bons avec leurs voisins de

Cureghem, où son épouse possédait

un magasin. «Ma femme et moi

tenions une boutique. Le public

se composait principalement de

femmes marocaines avec lesquelles

nous entretenions d’excellents

contacts. Notre expérience ne cadre

absolument pas avec ce qu’on lit

dans les journaux ou ce qu’on voit

à la télévision. Selon les médias, «les

Marocains sont de mauvaises gens»,

mais ce n’est pas vrai.»

Il y a quinze ans, son épouse et lui

ont décidé de porter leurs pénates

à Tremelo, car la maison que leur fils

y possédait était inhabitée. Durant

les travaux de rénovation, ils sont

tombés amoureux de la région et

de la maison. «C’est très beau, il y a

un chemin sablonneux totalement

isolé de la rue. Très sympa pour

des personnes âgées», dit­il en

riant de lui­même. Ils souhaitaient

en outre s’éloigner de la ville et

de son agitation. Bien qu’il habite

aujourd’hui à Tremelo, Theo Stevens

revient à Anderlecht tous les

dimanches. Il n’oubliera jamais sa

ville natale, car c’est à Anderlecht

que se trouve son histoire.

Interview: Valérie Renaers Foto/Photo: Diego Slosse

Page 4: Bizet

Notre but? Réunir les gens

Je descends à Bizet, une station de

métro dégageant une ambiance

familiale. Les murs de briques sont

décorés de dessins et de textes.

Découvrir l’art dans le métro, cela

vaut la peine, comme c’est le cas

dans beaucoup d’autres stations de

métro.

Quand je sors, je m’emmitoufle

dans ma veste. Il est nuageux et un

vent mordant me pique la figure.

Sur un petit morceau de papier,

j’ai écrit le lieu de rendez­vous, la

Gildenhuis. J’arrive 10 minutes trop

tôt. Ce n’est qu’à 14h que le foyer de

rencontre ouvre ses portes. Il s’agit

d’un quartier dynamique. Quelques

personnes âgées flânent dans le

bâtiment et des jeunes se baladent

agréablement et en papotant.

Je rentre, il fait beaucoup plus chaud

qu’à l’extérieur. Quelques personnes

du troisième âge assises à une table

bavardent en bruxellois. Les murs

sont pleins de cadres de différentes

associations qui y ont été actives.

Au comptoir, il y a un homme et une

femme. Il s’agit de Piet Dujardin et de

sa femme Florentine. Ils m’invitent

immédiatement à prendre place

quelque part. «Aujourd’hui, le club

de pétanque se réunit», raconte Piet.

«Je suis président du club et je dois

encore ouvrir quelques pistes de

pétanque.»

Cela fait 13 ans que Piet Dujardin est

responsable de la Gildenhuis. Lui et

Florentine vivent à Anderlecht. C’est

grâce à elle qu’il est entré en contact

avec la vie associative du quartier

Veeweyde. Avec enthousiasme, il me

raconte l’histoire du bâtiment. Il y a

longtemps, les guildes de la paroisse

se réunissaient ici. Aujourd’hui, c’est

un lieu de rencontre pour les jeunes

et moins jeunes de la paroisse.

Tant les néerlandophones que les

francophones sont la bienvenue.

Chaque semaine, des activités

sont organisées en deux langues.

«Mais cela n’empêche pas les gens

d’assister aux activités des autres»,

dit Piet. Quand je lui demande s’il

y a beaucoup de vieilles personnes

d’origine étrangère, la réponse est

négative. C’est surtout la différence

culturelle qui joue un rôle. Il souligne

que tout le monde est libre de venir

et de participer aux activités.

Quand il parle de Veeweyde, il est

très clair. «Vivre ici a ses avantages»,

dit­il. «Les gens aiment habiter ici et

nous nous trouvons près de la ville.»

Tout est donc bien accessible en

transports en commun. La ligne de

métro 5 joue un rôle très important.

Les embouteillages ne nous gênent

pas beaucoup, contrairement aux

gens qui prennent chaque jour la

voiture pour aller à Bruxelles. Tout

près, il y a aussi des endroits verts,

des terrains de jeu pour tous. Quand

les membres du club jouent une

partie de pétanque, ils se donnent

rendez­vous dans un terrain à

proximité. La piste cyclable le long

du canal est un point fort aussi.

Ce que je retiens de la conversation,

c’est que Piet est quelqu’un d’engagé

qui, malgré son âge, est actif dans de

nombreuses organisations. Je trouve

admirable tout ce qu’il réalise pour

les personnes âgées à Bruxelles.

Cela a été un très grand honneur

de pouvoir l’interviewer. Je tiens à le

remercier pour cet entretien à cœur

ouvert.

Interview: Björn Baevegems Foto/Photo: Diego Slosse

Ons doel is mensen samen brengen

Ik stap uit in Bizet, een metrostation

met een huiselijke sfeer. De

bakstenen muren zijn aan de

bovenzijde versierd met tekeningen

en tekst. Kunst in de metro, het

ontdekken waard, zoals in vele

andere metrostations het geval is.

Bij het buitenkomen trek ik mijn jas

stevig tegen me aan. Het is bewolkt

en een venijnige wind snijdt in

mijn gezicht. Ik heb op een klein

stukje papier de plaats van afspraak

geschreven, het Gildenhuis. Ik ben

10 minuten te vroeg. Pas om 14u

opent het ontmoetingscentrum zijn

deuren. Het is een bedrijvige buurt,

een paar oudere personen slenteren

het gebouw binnen en jongeren

wandelen gezellig keuvelend

voorbij.

Ik ga naar binnen en daar is het

veel warmer dan buiten. Een paar

senioren gezeten aan een tafeltje

doen een gezellig babbeltje in het

Brussels. De muren hangen vol

kaders van allerlei verenigingen

die hier actief zijn geweest. Aan

de toog staan een man en vrouw.

Het zijn Piet Dujardin en zijn vrouw

Florentine. Ze nodigen mij meteen

uit om plaats te nemen. “Vandaag

komt de petanque­club samen”,

vertelt Piet. “Ik ben de voorzitter

van de club en moet eerst nog de

petanque­banen openen.”

Piet Dujardin is al 13 jaar

verantwoordelijke van het

Gildenhuis. Hij en Florentine zijn

woonachtig in Anderlecht. Door

haar is hij in aanraking gekomen

met het verenigingsleven van

Veeweyde. Enthousiast vertelt hij

mij over de geschiedenis van het

gebouw. Vroeger kwamen de gilden

van de parochie hier samen. Nu is

het een ontmoetingsplaats voor de

alleroudsten en allerjongsten van de

parochie. Zowel Nederlandstaligen

als Franstaligen zijn welkom. In

beide talen worden wekelijks

activiteiten georganiseerd. “Maar

dat houdt de mensen niet tegen

om naar elkaars activiteiten te

komen”, zegt Piet. Wanneer ik hem

vraag of er veel senioren van een

vreemde herkomst hier langskomen,

moet hij mij teleurstellen. Vooral het

cultuurverschil speelt een rol. Hij

benadrukt mij wel dat iedereen vrij

is om te komen en deel te nemen

aan de activiteiten.

Over Veeweyde is hij heel duidelijk.

“Hier wonen heeft zijn voordelen.”

zegt hij. “De mensen wonen hier

graag en we zitten dicht bij de

stad.” Alles is dan ook eenvoudig te

bereiken via het openbaar vervoer.

Metrolijn 5 speelt hierbij een

belangrijke rol. Men heeft weinig

last van files, in tegenstelling tot

mensen die elke dag naar Brussel

rijden. Er zijn in de buurt ook nog

groene ruimtes. Speelpleinen voor

jong en oud. Wanneer ze met de

petanque­club een wedstrijd spelen,

spreken ze soms af op een veldje in

de buurt. Ook het fietspad langs het

kanaal vindt hij een pluspunt.

Uit het gesprek merk ik op dat

Piet een geëngageerde persoon

is die ondanks zijn leeftijd, in vele

organisaties actief is. Ik vind het

bewonderingswaardig wat hij

allemaal doet voor de senioren in

Brussel. Ik vond het een eer om hem

te mogen interviewen en wil hem

hierbij dan ook bedanken voor het

openhartig gesprek.

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tigst

e ve

rjaar

dag

van

de A

cade

mie

van

And

erle

cht

(201

1)

een

wal

viss

kele

t o

p d

e g

evel

van

het

gebo

uw a

an h

et D

appe

rhei

dspl

ein

17.

De

bolle

kas

seis

tene

n, k

lein

e hu

isje

s,

geve

lpla

nten

en

zich

t op

de

kerk

zor

gen

ervo

or d

at h

et P

orse

lein

stra

atje

wel

vak

er

omsc

hrev

en w

ordt

als

een

stu

kje

‘Bru

gge

in B

russ

el’ o

f he

t ‘B

russ

else

Mon

tmar

tre’.

De

oo

rsp

ron

kelij

ke a

rbei

der

swo

nin

gen

zijn

van

daa

g d

an o

ok

geg

eerd

op

de

vast

goed

mar

kt.

De

filos

oof

Eras

mus

ver

blee

f in

152

1

enke

le m

aand

en i

n di

t hu

is g

eleg

en a

an

de K

apit

tels

traa

t 31

. Je

vind

t er

van

daag

een

mu

seu

m m

et k

un

st u

it d

ezel

fde

peri

ode

en ti

jdel

ijke

tent

oons

telli

ngen

van

hede

ndaa

gse

kuns

tena

ars.

De

tuin

naa

st

het h

uis

best

aat u

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n fil

osofi

sche

tuin

en

een

tuin

met

gen

eesk

undi

ge k

ruid

en d

ie je

grat

is k

an b

ezoe

ken.

Een

com

biti

cket

voo

r

dit

mus

eum

en

het

nab

urig

e b

egijn

ho

f

kost

sle

chts

1.2

5€. G

eslo

ten

op m

aand

ag.

Op

de

Jose

ph

Wyb

ran

laan

vin

d j

e

aans

luit

ing

op d

e G

roen

e W

ande

ling.

Dat

is e

en t

raje

ct v

an m

eer

dan

60 k

ilom

eter

wan

del

­ en

fiet

sro

ute

s la

ng

s B

russ

else

par

ken

en

nat

uu

rzo

nes

. H

et t

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s

bew

egw

ijzer

d m

et g

roen

e b

ord

jes

op

hout

en p

aalt

jes.

De

Jose

ph

W

ybra

nla

an

verw

ijst

naar

het

voo

rmal

ig h

oofd

van

de

jood

se

gem

een

sch

ap

in

Bel

gië

. W

ybra

n

was

als

do

kter

wer

kzaa

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n h

et n

abu

rig

e

Eras

mus

ziek

enhu

is t

oen

hij

eind

‘88

om

het

leve

n w

erd

gebr

acht

Het

zie

ken

hu

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e U

niv

ersi

Libr

e de

Bru

xelle

s ki

jkt u

it o

p de

vel

den

en

gloo

iend

e he

lling

en v

an h

et P

ajot

tenl

and.

Van

hie

ruit

zie

je

de

ran

dg

emee

nte

n

Dilb

eek,

Len

nik

en S

int­

Piet

ers­

Leeu

w.

De

Vo

gel

enza

ng

wijk

d

raag

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naa

m v

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eek

en v

alle

i d

ie a

chte

r

het

kerk

hof

gele

gen

zijn

. D

e be

ek w

erd

vern

oem

d n

aar

de

18e

eeu

wse

kro

eg

‘Den

Vog

elen

San

ck’

en v

orm

t va

ndaa

g

de g

rens

van

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est

Brus

sel.

Via

de

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elza

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stra

at e

n M

ijlen

mee

rsst

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fiets

je la

ngs

een

natu

urre

serv

aat.

Dit

met

rost

atio

n o

pen

de

in 2

003.

Het

is

het

eer

ste

stat

ion

dat

ver

no

emd

wer

d na

ar e

en le

vend

per

soon

. Nog

een

pres

tati

e op

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mar

es v

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ijfvo

udig

tour

win

naar

Edd

y M

erck

x. O

h ja

, de

fiets

waa

rmee

hij

in 1

972

het

wer

eldu

urre

cord

tijdr

ijden

bra

k st

aat t

ento

onge

stel

d op

het

perr

on.

De

sch

ole

nca

mp

us

van

C

ERIA

/

CO

OV

I is

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egen

aan

de

Lijs

ters

stra

at.

De

twee

tor

eng

ebou

wen

zijn

dui

del

ijke

herk

enni

ngsp

unte

n w

anne

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op

de ri

ng

rond

Bru

ssel

(R0)

rijd

t of m

et d

e tr

ein

in d

e

rich

ting

van

Gen

t ga

at. D

e m

eest

rec

ente

tore

n is

een

ope

enst

apel

ing

van

lesl

okal

en

en le

skeu

kens

.

De

Ber

gen

sest

eenw

eg (

N6)

is

één

van

de n

egen

ste

enw

egen

die

ver

trek

ken

in h

et c

entr

um v

an B

russ

el e

n lo

pen

tot

de

gre

nze

n v

an h

et l

and.

De

N6

is 6

6

kilo

met

er la

ng e

n lo

opt

tot

de g

rens

met

Fran

krijk

.

Aan

de

Kla

vers

traa

t 30

vin

d je

VEL

OS

VD

D, e

en fi

etse

nwin

kel v

an e

en r

asec

hte

And

erle

chte

naar

. Dit

fam

ilieb

edri

jf be

staa

t

reed

s si

nds

1938

!

Tuss

en h

et k

anaa

l, h

et R

ad e

n d

e

spo

orw

eg l

igt

een

aan

tal

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rtve

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L’es

pac

e co

mp

ris

entr

e le

can

al,

La

Rou

e et

la

voie

fer

rée

est

occ

up

é p

ar

plu

sieu

rs t

erra

ins

de

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rt e

t p

elo

use

s.

L’en

droi

t rê

vé p

our

une

paus

e…

La R

ou

e co

mp

te q

uel

qu

es p

etit

es

perl

es a

rchi

tect

ural

es. L

’éco

le c

omm

unal

e

du

mêm

e no

m a

été

con

stru

ire

dan

s le

styl

e A

rt d

éco

(19

36).

Sa f

açad

e va

ut

assu

rém

ent

le d

étou

r.

La p

lain

e d

es L

ois

irs

se t

rou

ve a

u

cent

re d

e la

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é­ja

rdin

de

La R

ou

e. C

e

quar

tier

, à l’

orig

ine

ouvr

ier,

date

du

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t

du v

ingt

ièm

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ècle

. Les

nom

s de

cer

tain

es

rues

, la

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des

Hui

t H

eure

s et

la

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de

l’Ém

anci

pat

ion

par

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mp

le,

rap

pel

lent

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utt

e so

cial

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enée

par

les

ou

vrie

rs.

Des

tra

vaux

de

réno

vati

on o

nt t

oute

fois

amoi

ndri

l’un

iform

ité

des

mai

sons

de

ce

quar

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.

Le l

ong

du c

anal

, une

pis

te c

ycla

ble

très

co

nfo

rtab

le t

rave

rse

An

der

lech

t et

Mo

len

bee

k p

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r re

join

dre

le

cent

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Brux

elle

s.

La p

lace

Biz

et s

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tue

sur

la t

rès

fréq

uent

ée c

haus

sée

de M

ons,

on

ne p

eut

donc

pas

vra

imen

t la

qua

lifier

d’a

gréa

ble.

Elle

com

pte

cepe

ndan

t un

gra

nd n

ombr

e

de

bo

uti

qu

es,

un

arr

êt i

déa

l p

ou

r fa

ire

quel

ques

em

plet

tes.

Sur

l’ave

nu

e d

u R

oi

Sold

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le l

on

g

du

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c A

stri

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ous

pou

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emp

runt

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un c

hem

in n

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spha

lté

mai

s pr

atic

able

.

Vou

s év

iter

ez a

insi

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vo

ies

de

tram

s.

L’en

trée

du

parc

à l

a ha

uteu

r de

l’é

tang

est

acce

ssib

le à

vél

o.

Le p

arc

Ast

rid

(191

1), t

rès

pent

u, n

’est

pas

uniq

uem

ent

l’écr

in d

u st

ade

de f

oot

du R

SC A

nder

lech

t. Il

prop

ose

égal

emen

t,

ou

tre

un

éta

ng

po

nct

d’u

ne

île,

un

e

plai

ne d

e je

ux tr

ès a

nim

ée e

t une

terr

asse

accu

eilla

nte

avec

vue

sur

le p

arc.

Le c

afé

«Bel

le­V

ue»

(189

0) a

u nu

mér

o

2 d

e l’a

venu

e Pa

ul J

anso

n a

mar

qué

de

son

em

pre

inte

l’h

isto

ire

and

erle

chto

ise.

En 1

927,

ce c

afé

est

repr

is p

ar u

ne f

amill

e

de b

rass

eurs

, les

Van

den

Stoc

k. Q

uelq

ues

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ées

plu

s ta

rd,

ils b

apti

sero

nt

leu

r

célè

bre

krie

k et

leur

ent

repr

ise

du n

om d

e

ce c

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La

krie

k Be

lle­V

ue é

tait

née

. San

té!

Ch

aqu

e m

ercr

edi

aprè

s­m

idi,

la

pla

ce d

e la

Vai

llan

ce a

ccu

eille

un

pet

it

mar

ché.

Le

nom

bre

des

étal

s pr

opos

ant

des

pro

dui

ts a

limen

tair

es a

rtis

anau

x ne

fait

qu’

y cr

oît

re.

Cet

te p

etit

e p

lace

est

cein

turé

e de

caf

és e

t de

res

taur

ants

: un

atou

t co

nviv

ialit

é im

para

ble.

Au

num

éro

7 se

sit

ue l

e ce

ntre

com

mun

auta

ire «

De

Rin

ck»,

un

lie

u d

e re

nco

ntre

tout

le

mon

de e

st le

bie

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u.

L’ar

tist

e de

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bru

xello

is B

onom

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célè

bre

pour

ses

repr

ésen

tatio

ns a

nim

ales

.

Pou

r le

s q

uar

ante

an

s d

e l’a

cad

émie

d’A

nder

lech

t (20

11),

il a

orné

la fa

çade

du

num

éro

17 d

e la

pla

ce d

e la

Vai

llanc

e d’

un

sque

lett

e de

bal

eine

.

Pavé

s bo

mbé

s, m

aiso

nnet

tes,

pla

ntes

en

faça

de,

vu

e su

r l’é

glis

e,

tou

s ce

s

élém

ents

exp

lique

nt p

ourq

uoi l

a pe

tite

rue

Pors

elei

n es

t so

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t qu

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e «p

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pan

de B

ruge

s tr

ansp

lant

é à

Brux

elle

s» o

u

de «

Mon

tmar

tre

brux

ello

is».

Ses

mai

sons

ouvr

ière

s so

nt a

ujou

rd’h

ui tr

ès c

onvo

itée

s

sur

le m

arch

é de

l’im

mob

ilier

.

En 1

521,

le p

hilo

soph

e Ér

asm

e a

rési

quel

ques

moi

s da

ns l

a m

aiso

n si

tuée

au

31 d

e la

ru

e d

u C

hap

itre

. A

ujo

urd

’hu

i,

on y

tro

uve

un m

usée

con

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é à

l’art

de

cett

e ép

oq

ue,

qu

i ac

cuei

lle é

gal

emen

t

des

exp

osi

tio

ns

tem

po

rair

es d

’art

iste

s

con

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po

rain

s.

Le

jard

in

à cô

de

la

mai

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se

co

mp

ose

d

’un

ja

rdin

ph

iloso

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iqu

e et

d’u

n j

ard

in d

’her

bes

méd

icin

ales

. L’a

ccès

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gra

tuit

. Un

tick

et

com

biné

pou

r ce

mus

ée e

t le

bég

uina

ge

tou

t p

roch

e n

e co

ûte

que

1,2

5€.

Ferm

é

le lu

ndi.

Sur l

’ave

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ph W

ybra

n se

trou

ve

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n av

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Pro

men

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e,

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clis

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t pi

éton

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e

plus

de

60 k

ilom

ètre

s tr

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sant

des

par

cs

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es z

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urel

les.

Le

circ

uit e

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é

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ver

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rési

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Méd

ecin

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sep

h

Wyb

ran

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ailla

it à

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pita

l Éra

sme

tout

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he a

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d’ê

tre

assa

ssin

é fin

198

8.

L’h

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de

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Lib

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ne

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D’ic

i, vo

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qu

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la

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érie

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ik e

t Le

euw

­

Sain

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Le q

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tisé

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prè

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t la

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ère

le c

imet

ière

. Le

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son

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d’u

n ca

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é «D

en V

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en

Sanc

k» q

ui s

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essa

it là

au

dix­

sept

ièm

e

sièc

le. A

ujou

rd’h

ui, i

l mar

que

la f

ront

ière

de la

rég

ion

brux

ello

ise.

La

rue

du C

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d’oi

seau

et

la r

ue M

eyle

mee

rsch

long

ent

une

rése

rve

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relle

.

Cet

te

stat

ion

d

e m

étro

a

été

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guré

e en

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’est

la p

rem

ière

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port

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nom

d’u

ne p

erso

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haut

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palm

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du q

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vai

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ckx,

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très

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ent

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de B

ruxe

lles

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ain

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ruxe

lles

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Mo

ns,

ég

alem

ent

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s ne

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sées

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part

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du c

entr

e de

Bru

xelle

s po

ur

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es f

ront

ière

s de

not

re p

ays.

Elle

fait

66

kilo

mèt

res

de

lon

g e

t re

join

t la

fron

tièr

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ança

ise.

Au

num

éro

30 d

e la

rue

des

Trèfl

es s

e

trou

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VEL

OS

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D»,

un

mag

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s

tenu

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un

And

erle

chto

is p

ur ju

s. C

ette

entr

epri

se fa

mili

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exis

te d

epui

s 19

38!

11

22

3

3

44

5

5

6

6

7

7

8

8

9

9

10

10

11

11

12

12

13

13

14

14

15

15

16

16

17

17

18

18

19

19

20

20

12

34

4

5

6

789

10

11

12

13

14

1415

16

17

18 19

20

BERGENSE STEENWEG

Page 8: Bizet
Page 9: Bizet

Van baby veranderen als van auto

Ik belde aan en hoorde sleutels

rinkelen. ‘‘Dag mijnheer Pete. Ik ben

Mary van Hogeschool...’’ ‘‘Hemel!

Ik was ons interview helemaal

vergeten.’’ Hij bleef glimlachen,

schudde me stevig de hand en

verwelkomde mij in zijn huis.

‘‘Mijn excuses. Mijn huis ligt wat

overhoop.’’ Een gebruikelijke

uitdrukking van hoffelijkheid

wanneer je een onverwachte

gast ontvangt. ‘‘Als de kinderen

er zijn is het hier meestal beter

georganiseerd.’’ Ik keek naar deze

man op middelbare leeftijd. Ik

schatte hem in de vijftig. Naar wiens

kinderen verwees hij, vroeg ik me af.

Pete Martin woont in de buurt

van metrostation Bizet. Hij komt

oorspronkelijk uit Engeland maar

werkt als maatschappelijk werker

in Brussel. Hij is niet alleen een

enthousiaste werknemer, hij is ook

een gepassioneerd pleegouder.

Ik zette me neer in een comfortabele

fauteuil, de benen gekruist, een kopje

thee in de hand. Mijn fototoestel lag

op de tafel. Met het gezoem van de

klimaatregeling op de achtergrond,

begon ik mijn interview.

Hoe kwam u ertoe pleegouder te

worden? ‘‘Normaal gezien worden

kinderen in een familie opgevangen

en vaak heeft het pleeggezin al zelf

kinderen. Ik doe dit alleen. Hoe ik

hiertoe gekomen ben? Ik ben in

zo’n huis opgegroeid. Mijn ouders

waren ook pleegouder. Bovendien

heeft mijn zus in Engeland ook een

pleeggezin.’’

Zijn moeder is vijfenzeventig en

gaat nog steeds twee maal per

week langs bij de lokale school om

kinderen te helpen met lezen. Het

lijkt een familietrek te zijn. ‘‘Ik had

vroeger een buurman in Engeland

die zijn auto elk jaar verruilde voor

het nieuwste model. Mijn moeder

deed dat ook. Met baby’s’’, lacht Pete.

Maar Pete begon niet als

pleegouder alleen omdat zijn

ouders pleegouder waren. Hij haalt

hier vreugde en voldoening uit. ‘‘Ik

hou van kinderen! Ik hou ervan ze

in de buurt te hebben. Er heerst een

andere sfeer als er kinderen zijn. Het

is anders. Ik leef beter met kinderen

rondom mij. Mijn huis is meer op

orde en ik eet beter omdat ik voor

hen kook en dus ook voor mezelf.

Ik wandel niet in de tuin als zij er

niet zijn.’’

Ik kon goed aanvoelen dat Pete zich

hechtte aan zijn pleegkinderen. Ziet

hij de kinderen dan ooit terug eens

ze vertrokken zijn? ‘‘Nee. Je moet

beseffen dat je voor de kinderen

van iemand anders zorgt. Het is niet

hetzelfde als adoptie. Bij adoptie

weet je dat het jouw kinderen

worden. Ik weet vooraf dat ik ze

nooit meer terugzie eens ze het huis

verlaten hebben. Eigenlijk heb ik me

daarop ingesteld. Je moet weten

wanneer je moet loslaten. Met

sommige kinderen is het moeilijker

dan met andere. Sommige kinderen

zie ik écht niet graag vertrekken.’’

In tegenstelling tot auto’s, die elke

dag meer versleten raken, worden

de kinderen die opgenomen worden

in het pleeggezin van Pete, elke dag

beter.

Interview: Mary Akinbolusere Foto/Photo: Celikcan Emre

Changer d’enfant comme de voiture dernier modèle

Je sonne et j’entends des clés tinter.

«Bonjour Monsieur Pete, je suis Mary

de la Hogeschool…». «Oh! J’avais

complètement oublié l’interview!»

Il continue de sourire, me serre la

main avec fermeté et m’invite à

entrer chez lui.

«Désolé, ma maison est un peu

sens dessus dessous.» Une phrase

de courtoisie habituelle quand un

invité débarque à l’imprévu. «C’est

généralement plus organisé quand

les enfants sont là!» Je regarde cet

homme au début de la cinquantaine,

et je me demande de quels enfants il

peut bien parler.

Pete Martin vit près de la station

de métro Bizet. Il est originaire

d’Angleterre et travaille à Bruxelles

comme assistant social. C’est

un homme enthousiaste dans

son travail, mais aussi un parent

d’accueil passionné.

Je prends place dans un fauteuil

confortable, jambes croisées, en

tenant une tasse de thé brûlant, ma

caméra sur la table, le chauffage

bourdonnant, et je commence mon

interview.

Comment êtes­vous devenu parent

d’accueil? «Normalement, cela se

fait au sein d’une famille et souvent,

cette famille compte déjà des

enfants. Moi, je suis seul. Comment

je suis tombé là­dedans? Eh! Bien,

j’ai aussi grandi dans une maison

d’accueil. Mes parents accueillaient

des enfants placés. Et puis, ma sœur

en Angleterre fait la même chose.»

À 75 ans, sa mère fait toujours le

tour des écoles locales deux fois

par semaine pour aider les enfants

à lire. C’est dans la famille, dirait­on.

«En Angleterre, mon voisin avait

l’habitude de changer de voiture

chaque année pour avoir le dernier

modèle. Ma mère a fait pareil… avec

des enfants», lâche M. Pete en riant.

Mais il n’a pas commencé à être

parent d’accueil uniquement pour

suivre la trace de ses propres parents.

Il y trouve beaucoup de joie et de

satisfaction. «J’adore les enfants!

J’adore les avoir dans les parages.

Il y a une autre ambiance quand ils

sont là. C’est différent. Je vis mieux

quand il y a des enfants chez moi,

ma maison est plus ordonnée, je

mange beaucoup mieux parce que

je cuisine pour eux et donc aussi

pour moi. Je n’arrive pas à aller faire

un tour au jardin tout seul quand ils

ne sont pas là.»

Je sentais bien que M. Pete s’attache

aux enfants qu’il accueille. Les

revoit­il une fois qu’ils sont partis?

«Non. Vous devez avoir à l’esprit que

vous vous occupez des enfants de

quelqu’un d’autre; ce n’est pas la

même chose que l’adoption. Quand

vous adoptez un enfant, vous

savez qu’ils sont à vous. Je savais à

l’avance que le jour où ils partiraient,

je pourrais ne jamais les revoir. En

fait, je m’y suis préparé. Vous devez

savoir quand lâcher prise. Il arrive

que ce soit plus difficile avec certains

enfants qu’avec d’autres, car parfois

ils ne veulent tout simplement pas

partir.»

Contrairement aux voitures, qui

s’usent un peu plus chaque jour, les

enfants qui passent par la maison

de M. Pete ne font qu’aller mieux

au fil des jours.

Page 10: Bizet

Francis, een man van vele werelden

Klokslag twee komt een rijzige man

met grijs haar in een paardenstaart

de Mort Subite binnengestapt. Hij

is steeds precies op tijd dankzij

een computerprogramma dat hem

signaleert welke afspraken hij heeft

want het geheugen laat hem in de

steek. Daar is niet veel van te merken

zodra hij van wal steekt.

Francis is een man van de wereld.

Hij zong het Congolese volkslied

mee terwijl Kabila en de zijnen

wat lipten ­ in Zaïre was het lied

niet populair bij de elite. Hij gaf

Franse en Engelse les aan leerlingen

secundair onderwijs ­enkel jongens­

in Congo begin jaren zestig maar

ook geschiedenis van de muziek.

Voor de muzieklessen nam hij een

platenspeler mee om de leerlingen

naar een overzicht van de klassieke

muziek te laten luisteren. Maar het

was de rumbamuziek van François

Luambo Luanzo Makiad – of Franco

– die populair was bij de Congolese

jeugd van toen.

Francis schudt de anekdotes

en wetenswaardigheden uit de

Congojaren uit z’n mouw. Zo

was er in de Bas­Congo, waar hij

tussen 1960 en 1963 verbleef, geen

elektriciteit tussen 22:00 en 6:00.

De bewaker van de stuwdam waar

de elektriciteit werd opgewekt

was half doof en zou niet wakker

worden als het alarm zou afgaan.

Veiligheidshalve besloot men dan

maar de elektriciteitscentrale ‘s

nachts stil te leggen. Het woord

‘missie’ werd vervangen door

‘parochie’ na de onafhankelijkheid

van Congo omdat ‘missie’ een

beladen woord geworden was.

De ouderling van het dorp of de

clan had veel gezag. Anciënniteit

betekende heel wat in Congo.

Maar Francis is nu vooral een

man van Brussel. Hij is actief in

de wijkwerking van ’t Rad/La

Roue. ‘t Rad is een wijk gelegen in

Anderlecht, die begrensd wordt

door het Bizetplein, het kanaal,

CERIA en de Bergensesteenweg. Hij

heeft onlangs een lijvig document

vertaald naar het Nederlands voor

de buurt, het Groene Plan voor Wijk

‘t Rad – Anderlecht. Het plan is één

van de resultaten van een stadsatelier

waar inwoners, verenigingen,

technici en gemeentelijke diensten

samengewerkt hebben rond de

ontwikkeling van de wijk.

Francis is tenslotte ook een man

van de taal. Of Francis nu vertelt

over Congo of over Brussel, hij blijft

zoeken naar mooie zinswendingen

in Standaardnederlands. Zijn

zinnen meanderen en zijn

gedachten associëren ­ waar was

ik nu gebleven? Het timbre van zijn

stem past bij de nachtradio. Zijn

leerlingen in het Sint­Pieterscollege

in Leuven vonden trouwens dat

hij de stem van Jos Ghysen had,

die van het Schurend Scharniertje.

Maar zijn eerste taal is toch het plat

Leuvens dialect. Frans leerde hij in

de lagere school in Oudergem en

Engels tijdens zijn studies in Leuven.

Geen wonder dat hij zich in het

meertalige Brussel thuis voelt als

een vis in het water.

Francis, un homme de nombreux mondes

À deux heures tapantes, un homme

svelte aux cheveux gris rassemblés en

une queue de cheval pousse la porte

de la Mort Subite. Sa ponctualité, il la

doit à un programme informatique

qui lui rappelle ses rendez­vous car

il est sujet à des pertes de mémoire.

Mais rien ne le laisse deviner quand

il prend la parole.

Francis est un homme du monde. Il

a joint sa voix à celles qui chantaient

l’hymne national congolais pendant

que Kabila et les siens faisaient

semblant de chanter – au Zaïre, cet

hymne n’était pas très populaire

parmi les élites. Il a donné des cours

de français et d’anglais à des élèves

de l’enseignement secondaire –

uniquement des garçons – au Congo

au début des années soixante,

mais aussi des cours d’histoire

de la musique. Il emportait un

tourne­disque à l’école afin de faire

découvrir la musique classique à ses

élèves. Mais la jeunesse congolaise

de l’époque préférait la rumba de

François Luambo Luanzo Makiadi

ou, plus simplement, Franco.

Francis aligne sans interruption

les anecdotes et autres histoires

curieuses de ses années au Congo.

Par exemple, au Bas­Congo, où il a

résidé de 1960 à 1963, il n’y avait

pas d’électricité entre 22 heures et

6 heures de crainte que le gardien

à moitié sourd du barrage où était

produite l’électricité ne se réveille pas

au cas où l’alarme se déclencherait.

Le terme «mission» a été remplacé

par celui de «paroisse» après

l’indépendance du Congo, compte

tenu de la lourde connotation dont

il était chargé. L’ancien du village ou

du clan avait une grande autorité.

L’âge signifiait beaucoup au Congo.

Mais aujourd’hui, Francis est avant

tout un homme de Bruxelles. Il

s’implique dans la bonne marche

de son quartier: La Roue, ’t Rad

en néerlandais. La Roue est un

quartier d’Anderlecht délimité par

la place Bizet, le canal, le CERIA et la

chaussée de Mons. Dans ce cadre, il

a récemment traduit un volumineux

document en néerlandais: le Plan

vert La Roue – Anderlecht. Ce plan

est l’un des résultats de l’atelier

de travail urbain au cours duquel

des riverains, des associations,

des techniciens et des services

communaux ont œuvré ensemble

au développement du quartier.

Enfin, Francis est également un

homme de langue. Qu’il évoque

Bruxelles ou le Congo, il s’exprime

en néerlandais standard et cherche

systématiquement les plus belles

tournures. Ses phrases ondoient au

fil de ses pensées qui fonctionnent

par association – où en étais­je

donc? Le timbre de sa voix est

digne d’une émission de radio

nocturne. Ses élèves au collège

Sint­Pieter à Louvain trouvaient

d’ailleurs qu’il avait la voix de

Jos Ghysen, le chroniqueur de

l’émission néerlandophone «Het

Schurend Scharniertje». Mais sa

langue maternelle reste le dialecte

de Louvain. Il a appris le français

à l’école primaire d’Auderghem et

l’anglais, pendant ses études dans

sa ville natale. Pas étonnant dès lors

qu’il se sente comme un poisson

dans l’eau dans une ville multilingue

comme Bruxelles.

Interview: Ara Lee & Jihye Kim Foto/Photo: Kim Jacob

Page 11: Bizet
Page 12: Bizet

Metrolijn 5 anders bekeken

Gebruikers van het openbaar

vervoer, en zeker reizigers met de

metro, beschouwen hun traject vaak

als louter functioneel. Men stapt op

de metro zo dicht mogelijk bij de

vertrekplaats om er pas uit te gaan

bij de eindbestemming.

Brussel is nochtans een stad die

telkens opnieuw kan ontdekt worden

en telt enorm veel interessante en

toffe plaatsen. Waarom niet eens

een halte vroeger op­ of afstappen

en een stuk van het overblijvende

traject per fiets of te voet afleggen?

De vraag klinkt eenvoudig, maar

voor velen is de drempel groot.

Ik ondersteun ten volle dit project

dat de bruisende, vaak ondergrondse

wereld van metrolijn 5 in contact

wil brengen met de wijken die zich

rond de 28 metrostations situeren.

Dankzij getuigenissen en foto’s van

de Brusselaars die wonen langsheen

het traject van metrolijn 5, krijgen

buurten een gezicht. Wijken worden

vermenselijkt en nodigen uit om

ontdekt te worden. Uiteraard niet

Un autre regard sur la ligne de métro 5

Les usagers des transports publics,

et en particulier les voyageurs

dans le métro, considèrent leur

trajet uniquement d’un point de

vue fonctionnel. On monte dans

le métro au plus près de l’endroit

de départ pour en descendre à sa

destination.

Bruxelles est pourtant une ville

que l’on peut redécouvrir à chaque

promenade et qui compte de

nombreux endroits agréables

et intéressants. Pourquoi ne pas

descendre ou monter à un arrêt plus

tôt et effectuer une partie du trajet

à pied ou à vélo? Cette question

semble simple, mais de nombreuses

personnes redoutent de faire le pas.

Je soutiens pleinement ce projet

qui a pour objectif de faire entrer

en contact ce monde, trépidant et

souvent souterrain de la ligne de

métro 5, avec les quartiers situés

autour des 28 stations de métro.

Les témoignages et photos des

Bruxellois qui habitent le long de la

ligne de métro 5 confèrent une iden­

tité aux quartiers. Les quartiers sont

humanisés et invitent à leur décou­

verte, et ce non seulement par les

visiteurs de notre ville, mais aussi

par les Bruxellois.

Je vous invite à commencer votre

expédition à l’aide de ce journal

ou de l’application sur votre

smartphone. Quittez cette station

de métro et entrez dans le monde

captivant de Bruxelles à pied ou à

vélo. Les histoires, photos et activités

qui vous sont proposées vous en

donnent déjà un bel aperçu. Mais

partez surtout à la découverte des

quartiers de la manière dont vous le

souhaitez: votre excursion n’en sera

que plus instructive.

Ministre bruxelloise des Travaux

Publics et des Transports

Metro 5: Moving People, Moving Stories

Metrolijn 5 doorsnijdt Brussel van

west naar oost, en heeft precies

28 haltes nodig voor zijn tocht

door een bonte mengeling wijken

en buurten. Tussen september en

december 2013 krijgt elke halte

een eigen krant, gemaakt door een

ploeg enthousiaste gelegenheids­

journalisten. Studenten en

medewerkers van de HUBrussel

en Luca namen de metro naar

een hun onbekende ‘Brusselaar’.

Deze inspirerende ontmoetingen

resulteerden in 112 unieke

portretten. Studenten van ISFC

gaven het geheel mee vorm. Om

metrolijn 5 verder in de bloemetjes

alleen door bezoekers van onze stad,

maar zeker ook door de Brusselaars

zelf.

Ik nodig u uit om met deze krant

in de hand of met de App op uw

smartphone uw ontdekkingstocht

aan te vatten. Verlaat dit metro­

station en stap of fiets de boeiende

wereld van Brussel in. De verhalen,

foto’s en activiteiten die men

aanbiedt zetten u al een flink eind

op weg.

Brussels minister van Openbare

Werken en Vervoer

te zetten zijn bij een aantal stations

leuke activiteiten gepland. Cactus

& Co gidst al wie wil gratis met de

fiets langs het metrolijn 5 parcours

en directe omgeving, met uitstapjes

naar de plekjes die in de interviews

aan bod komen.

Meer info via: www.facebook.com/

metro5be

Metro 5: Moving People, Moving Stories

La ligne de métro 5 traverse Bruxelles

d’ouest en est, et pas moins de 28

stations lui sont nécessaires pour

relier tous ces quartiers très bigarrés.

De septembre à décembre 2013,

chaque station aura son propre

journal, réalisé par une équipe de

journalistes occasionnels débordant

d’enthousiasme. Des étudiants et des

collaborateurs de la HUB et de Luca

ont pris le métro à la rencontre d’un

«Bruxellois» inconnu. Ces rencontres

inspiratrices ont débouché sur 112

portraits exceptionnels, que des

étudiants de l’ISFC ont mis en pages.

Pour garder les projecteurs braqués

sur la ligne 5, une série d’activités

seront organisées dans plusieurs

stations. Cactus & Co se fera un

plaisir de guider gratuitement tous

ceux qui souhaitent découvrir le

parcours de la ligne 5 et ses environs

à vélo et organisera des promenades

vers les lieux évoqués dans les

interviews.

Toutes les informations se trouvent

sur www.facebook.com/metro5be

Verantwoordelijke uitgever / editeur responsable: Dirk De Ceulaer, Warmoesberg 26, 1000 Brussel. Contact: [email protected] ­ 02 210 12 57. Ne pas jeter sur la voie publique. Niet op de openbare weg gooien.

Met de steun van de