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DOSSIER DE PRESSE 2013 N°3 LE SANG D’ALDÉSIE Aurélie Genêt (illustration : Coralie Ruiz)

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Dossier De Presse 2013 n°3Le sang D’aLDésie

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Le Sang d’AldésieAurélie Genêt

Broché ◆ 18.95 € ◆ 294 pages ◆ Automne 2013ISBN : 979-10-92557-12-1

Epub ◆ 5.99€ ◆ Disponible

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Auteursfrancophones

La collection Fantasy Historique publie des œuvres porteuses d’une âme, des romans d’aventures singuliers ayant en commun : réflexion, divertissement, fantasy, richesse d’écriture et où la magie côtoie un monde réaliste.

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L’Aldésie — royaume analogue à la France du XVIIe siècle — est par le passé sortie victo-

rieuse de ses affrontements avec l’Empire Soarte, peuple de guerriers sorciers redoutable.

Aujourd’hui, Charles, monarque absolu, y règne d’une main de fer. Seul un bandit surnommé « le duc », Soarte aux pouvoirs étranges, s’oppose ouvertement à lui.

Un jour, contre toute attente, le souverain appelle à ses côtés Evy, son fils illégitime caché. Menant depuis l’enfance une simple vie paysanne, ce dernier se retrouve propulsé dans les pièges de la cour, au milieu des dentelles, des mots d’esprit et des duels.

Pourra-t-il déjouer le destin et trouver sa place ? Qui est sa mère ? Il apprendra à ses dépens la vraie raison de son retour en grâce.

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Le Sang d'Aldésie

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L’avis de l’éditeur Dans cet extraordinaire récit romanesque empli de re-

bondissements et de situations dramatiques, l’auteure par sa documentation précise sur le XVIIe siècle français offre un dépaysement complet. L’écrivaine, par sa belle écriture, nous faire revivre cette époque portant les atours d’une fantasy surprenante.

Le début de ce livre a été approuvé par le comité de lecture d’un des premiers forums francophones d’écriture pour la fantasy.

L’auteure, Aurélie Genêt, orthophoniste de profession, travaille au sein d’un comité de lecture des littératures de l’imaginaire.

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« Émotions, duels et magie vous attendent »

« J’ai vraiment lu avec passion ce livre qui a su me transporter dans cette époque révolue des rois et des princes. Le héros

est émouvant et ne ressemble pas aux autres. Les personnages secondaires sont bien campés. La scène de torture dans le Pavillon blanc a su ferrer mon intérêt et depuis je suis resté enchaîné à ce récit jusqu’à tant que je l’aie terminé. Je ne puis que le conseiller. Émotions, duels et magie vous attendent. Cet ouvrage m’a fait un peu penser à l’Assassin royal. L’Auteure est Française, je la salue bien bas. »

« Une ambiance d’une incroyable richesse »

« Un roman d’une grande qualité. Le monde complexe est attachant comme les personnages. Une ambiance d’une

incroyable richesse, une époque charnière d’un univers tellement différent dont certains éléments de l’histoire nous semblent pourtant familiers ! Et pour ne rien gâcher une qualité d’écriture qui n’a rien à envier aux plus grands. Un style affirmé et raffiné, et pourtant très accessible et sans complications inutiles. Naturel mais de haut niveau en somme. Il est tout entier au service du récit dont se dégage beaucoup d’émotion mais aussi de nombreux autres sentiments tant on s’approprie l’histoire et les personnages, mis en scène avec beaucoup de réalisme.

Je recommande vivement la lecture de ce roman ! »

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LECTEURS

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« Un style très riche mais facile à lire »

« Le style est très riche tout en restant facile à lire. On prend plaisir à parcourir les lignes. [...] Les descriptions sont

excellentes. On ne s’y ennuie pas, l’auteure les couple brillamment avec les pensées de ses personnages. Celles-ci sont par ailleurs fouillées, ce qui rend les acteurs vivants, réalistes. »

« Un fort potentiel »

« Ce roman présente à mon sens un fort potentiel induit par des personnages travaillés avec soin, des décors aboutis

contribuant à l’immersion des lecteurs dans le récit, et une trame qui suscite l’intérêt. »

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Le Sang d’Aldésie

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Prologue

La fillette ne dormait pas. Allongée dans l’obscurité, elle écoutait la respiration régulière de son père qui

sommeillait tout près d’elle. Ils partageaient le même grabat et le corps épais de l’homme la réchauffait au cours des froids hivers. Elle se réveillait souvent ainsi, en pleine nuit. Discrète, elle retenait son souffle pour se fondre dans l’ombre nocturne, espérant échapper à ces démons terribles qui viennent hanter les cauchemars des enfants. Un adulte eût chassé ses mauvais rêves en l’entendant crier ou pleurer, mais c’était une fillette calme et solitaire.

Son père, qui travaillait dur toute la journée sur son maigre lopin de terre, ne devait pas être dérangé par sa faute. Ils vivaient seuls, tous deux, et elle veillait sur lui tendrement, reconnaissante qu’il ne se fût jamais remarié. Parce qu’il n’avait pas cherché à lui imposer une marâtre, elle faisait de son mieux pour tenir la maison, imitant les gestes séculaires des villageoises. Pourtant, parfois, elle se sentait bien seule et remontait les draps sur son visage pour dissimuler ses larmes. Dans l’air paisible de la nuit, s’élevait alors une prière presque silencieuse, pleine d’espoir, pour la venue d’un petit frère.

Du haut de ses six ans, l’enfant avait compris : son père lui eût préféré un garçon. Il cherchait à le lui cacher, car il l’aimait cependant, mais il lui arrivait, oubliant sa présence discrète,

EXTRAIT

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de regretter à haute voix que sa femme eût quitté cette vie en ne lui laissant qu’une fille. Elle ne lui en voulait pas. Comment l’eût-elle pu ? Elle savait déjà que, dans le monde où elle vivait, mieux valait naître garçon, force de travail supplémen-taire et aide bienvenue pour nourrir des ventres trop souvent creux. Tous les efforts qu’elle pourrait faire ne remplaceraient jamais cette chance perdue.

La petite fille ferma les yeux, mit toute sa force en son éternelle prière.

Soudain, elle se redressa, tendant l’oreille en discernant, sous les bruits familiers de la nuit quelque chose d’inhabituel, comme une succession de coups réguliers. Elle écouta mieux. Les claquements secs se rapprochaient, étouffés par le sol terreux de la route. Elle reconnut le pas rapide d’un gros animal. Une vache ou un cheval, songea-t-elle. Non, les foulées étaient trop promptes, trop amples. Il ne s’agissait pas du piétinement lourd d’un bovin. Un cheval, pas de doute ! Or, il était bien rare que l’on en vît à Keloew. Les villageois des environs étaient trop pauvres pour posséder un tel animal. Seuls les moutons, les chèvres et les ânes s’accommodaient de l’herbe jaune, brûlée chaque été par l’impitoyable soleil du sud.

La fillette se leva d’un bond, en bousculant la volaille logée dans l’unique pièce de la masure. Elle courut à la fenêtre, s’appuya d’une main au torchis nu du mur, appliqua un œil curieux contre une déchirure du papier huilé. Alors, elle le vit : un cavalier, surgi de l’obscurité, nimbé de la lumière blanche du clair de lune, magnifique.

Un envoyé des dieux vient exaucer ma prière, pensa-t-elle. Pas un doute ne l’effleura. Devant la porte, l’homme arrêta

sa monture, hésitant. Puis il descendit de cheval, déposa un paquet sur le sol et se hissa prestement en selle. Lorsque

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l’inconnu lança l’animal au galop, le vent s’engouffra dans son long manteau noir qui se déploya dans la nuit, telle une aile de chauve-souris passant devant la lune. La petite fille ne sut s’il s’agissait là d’un bon ou d’un mauvais présage.

Emportée par la curiosité, oubliant, comme seule une enfant de son âge risquait de le faire, que l’inhabituel pouvait parfois être dangereux, elle se précipita à la porte et, écartant les linges qui composaient le paquet, découvrit le bébé sans éprouver aucune surprise.

— Mon petit frère, murmura-t-elle en s’accroupissant pour le prendre dans ses bras.

Elle s’assit, berça de mots caressants le bambin en sanglots, serrant tout contre son sein cet incommensurable trésor.

L’aube pointait. La petite fille se tira de sa douce rêverie où son cœur tendre avait bâti un avenir merveilleux avec ce frère venu du ciel. Elle ne connaissait que la misère, mais cela ne l’empêchait pas de garder une foi inébranlable. Son père lui avait appris que rien n’était jamais perdu, qu’il fallait toujours espérer. Les dieux se montraient bons parfois. S’ils répondaient si bien à ses supplications, elle deviendrait sans doute la plus comblée des fillettes.

Dans sa prodigalité d’enfant, elle songea à demander que son nouveau frère soit le plus heureux des petits garçons. Le bébé blond dormait, douillettement niché au creux de ses bras. Elle se leva avec mille précautions pour ne pas l’éveiller et se précipita à l’intérieur de la maison. Son père sommeillait encore, mais elle le secoua d’une main, tout en parlant :

— Les dieux m’ont entendue. Regarde, papa, regarde, ils m’ont amené un petit frère.

Dans un excès de joie, ses paroles mêlaient rires et bredouil-lements. L’homme mit un temps à comprendre. Il grogna :

— Que dis-tu, Mayalen ?

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Ouvrant les paupières, il vit le bébé. — Grands dieux, murmura-t-il simplement, grands dieux. Il se redressa, encore étourdi de sommeil, les yeux gonflés.

Puis il se leva avec lenteur, s’approcha d’un pas lourd du petit que la fillette avait délicatement posé sur la table grossière, à quelques pieds du grabat.

De taille modeste, robuste et trapu, l’homme, âgé d’environ trente-cinq ans, paraissait solide comme un chêne, pourtant son corps massif se voûtait déjà sous le poids du labeur quotidien. Ses épaules étaient larges, ses traits creusés par une vie difficile et tannés par le dur soleil du sud, ses mains épaisses et calleuses de ceux que le travail n’effraie pas.

Malgré un air bourru, un peu fermé, que lui donnaient son existence de misérable paysan et les fréquentes disettes d’une terre parfois inhospitalière, Jaiko possédait un grand cœur et adorait sa petite Mayalen. Il ne lui tenait pas rigueur de ce que son épouse aimée eût perdu la vie le jour de sa naissance, même si, depuis, il était plus silencieux et plus solitaire.

Maladroitement, l’homme tendit la main vers l’enfant inconnu, ébaucha une caresse sur la joue rose.

Le bébé semblait si minuscule, si fragile. Sa peau présentait une blancheur diaphane, délicate comme un bouton de rose à peine éclos. La chevelure déjà bien fournie pour un tout-petit commençait à dessiner des bouclettes sur la nuque.

Les linges qui le couvraient étaient trop fins pour paraître à leur place dans ce village paysan, l’enfant était trop blond pour cette région du sud du pays.

D’où venait-il ? Qui étaient ses parents ? Pourquoi avait-on abandonné ce petit être innocent à sa porte ? Un instant, Jaiko fut tenté de croire aux explications de sa fille : un dieu avait exaucé ses prières. Mais il savait différencier la réalité d’un joli rêve. Les bébés ne descendaient pas du ciel devant l’huis des veufs.

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Il ne pouvait décider seul de le garder, prendre cette res-ponsabilité sur ses épaules. L’affaire méritait d’être évoquée face à tout le village. L’arrivée inattendue de l’enfant les concernait tous. Les habitants avaient toujours pris ensemble les grandes résolutions.

Six heures sonnaient à peine que la fillette avait déjà couru d’une maison à l’autre pour annoncer la nouvelle et que tous se réunissaient sur la place encore sombre des brumes nocturnes. Malgré plusieurs jours maussades, cette matinée d’automne offrait un temps clément. Comme un signe. Des enfants se glissaient entre les jambes des adultes, des femmes se haussaient sur la pointe des pieds, des curieux se pressaient pour observer le bébé mystérieux.

— Regarde ces draps, dit un homme qui tâtait l’étoffe, jamais je n’en ai vus d’aussi fins. Sûr que c’est un fils de riches. Peut-être même un noble !

— Un bâtard dont ils ne veulent pas, ricana un autre, méprisant.

— Il va falloir l’habiller, l’élever. Encore une bouche de plus à nourrir, grommela une femme dans la foule.

— Mais il est si mignon, murmura presque imperceptible-ment sa voisine.

Les villageois commentaient l’événement en grognant. Bougons, ils se plaignaient de cette charge imprévue venue s’ajouter à leur fardeau quotidien, mais leurs yeux riaient autant que ceux de la fillette et leur voix vibrait déjà de tendresse à la vue de cet être sans défense que la providence leur confiait.

Un vieillard, resté silencieux jusqu’alors, se tourna vers Jaiko qui tenait le petit dans ses bras.

— Cet enfant porte en lui un sang que nous ne connaissons pas. Voyons ce qu’il a à nous dire.

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Chacun s’écarta avec une profonde considération à l’approche de Galoer. Son pouvoir de divination imposait le respect, moins toutefois que sa grande sagesse et sa bonté.

Le vieil homme tendit une main parcheminée par l’âge vers le bébé et posa sa paume sur les boucles blondes. La lumière bleue à la pureté de ciel d’été qui dessina un halo autour de lui émanait de son propre corps, telle la matérialisation d’une force supérieure accordée par les dieux.

Les villageois murmuraient entre eux en attendant le verdict, toujours aussi impressionnés par cette démonstration qui, ailleurs qu’au sein de leur petite communauté, eût été appelée sorcellerie et eût conduit Galoer au bûcher.

Le vieillard retira sa main avec la vivacité d’un homme brûlé. Il fit deux pas vacillants en arrière et tous se précipi-tèrent pour le soutenir. Utiliser son étrange pouvoir l’épuisait à chaque fois. Il tourna un visage grave vers les siens :

— L’esprit de cet enfant est habité par une grande souffrance. Il est né dans la douleur, la colère et la peur. Il est trop jeune pour se souvenir, mais cela aura des incidences sur sa vie future. Il a été marqué par les dieux. J’ignore cependant s’il est leur protégé ou maudit.

Les mots sonnaient avec une fatalité macabre. Pourtant, Jaiko regarda le bébé, puis les yeux implorants de sa fille accrochée à ses hardes. Un sourire éclaira son visage rond.

— Raison de plus pour le garder. Quels monstres serions-nous d’abandonner un enfant au mal ? Je me charge de rendre sa vie plus heureuse qu’elle aurait dû l’être, car il est mon fils à présent. Tu t’appelleras Evy, ajouta-t-il à l’intention du bébé.

Le vieux Galoer accueillit la décision d’un sourire discret. Il avait su dès l’origine quel serait le choix du brave paysan. Pourtant, il avait entraperçu dans le tout jeune esprit une

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grande violence et ressentait une certaine inquiétude à l’idée de ce que ce petit Evy ferait de toute cette souffrance qu’il portait.

Interrompant la fillette qui, dans sa joie, dansait en riant à perdre haleine, une vieille femme rappela :

— Ce petit est en très bas âge, pas plus de trois mois, je suppose. Il a encore besoin d’être allaité, sinon il ne vivra pas.

Toute l’assemblée pensa en même temps à Blanka. La femme, plus de la première jeunesse, veuve depuis quelques mois, venait de perdre son bébé deux jours auparavant. La blessure restait très douloureuse : elle n’avait pas d’autre enfant vivant. Elle était l’une des rares personnes à ne pas avoir quitté sa maison ce matin-là. Il serait dur, peut-être, de la persuader de prendre soin du nouvel arrivé.

Lorsqu’elle ouvrit sa porte, les Keloewois eurent de la peine à la reconnaître, avec son visage triste et pâle. Elle écouta sans prononcer un mot les explications embrouillées et mêlées de supplications du nouveau père adoptif du bébé. Quand il eut fini, elle prit silencieusement le couffin et rentra dans sa maison en fermant la porte derrière elle.

Le vieux Galoer sut que c’était gagné. Elle veillerait sur l’enfant et le nourrirait comme le sien, comme un miracle, une compensation envoyée par les dieux pour adoucir son deuil et combler son instinct de mère éprouvée par les aléas de la vie. Elle aimerait le bébé comme tous les habitants du village avec elle, et lui ferait oublier une existence commencée de si triste façon.

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Cet ouvrage est déjà disponible sur les principaux points de vente numériques :

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L’Aldésie — royaume analogue à la France du XVIIe siècle — est par le passé sortie victorieuse

de ses affrontements avec l’Empire Soarte, peuple de guerriers sorciers redoutable.Aujourd’hui, Charles, monarque absolu, y règne d’une main de

fer. Seul un bandit surnommé « le duc », Soarte aux pouvoirs étranges, s’oppose ouvertement à lui.

Un jour, contre toute attente, le souverain appelle à ses côtés Evy, son fils illégitime caché. Menant depuis l’enfance une simple vie paysanne, ce dernier se retrouve propulsé dans les pièges de la cour, au milieu des dentelles, des mots d’esprit et des duels.

Pourra-t-il déjouer le destin et trouver sa place ? Qui est sa mère ? Il apprendra à ses dépens la vraie raison de son retour en grâce.

Dans cet extraordinaire récit romanesque empli de rebondisse-ments et de situations dramatiques, l’auteure par sa documentation précise sur le XVIIe siècle français offre un dépaysement complet. L’écrivaine, par sa belle écriture, nous faire revivre cette époque portant les atours d’une fantasy surprenante.

Le début de ce livre a été approuvé par le comité de lecture d’un des premiers forums francophones d’écriture pour la fantasy.

L’auteure, Aurélie Genêt, orthophoniste de profession, travaille au sein d’un comité de lecture des littératures de l’imaginaire.

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ISBN 979-10-92557-12-1

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MAQUETTE DÉFINITIVE DU PRODUIT MAQUETTE DÉFINITIVE DU PRODUIT

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L’Aldésie — royaume analogue à la France du XVIIe siècle — est par le passé sortie victorieuse

de ses affrontements avec l’Empire Soarte, peuple de guerriers sorciers redoutable.Aujourd’hui, Charles, monarque absolu, y règne d’une main de

fer. Seul un bandit surnommé « le duc », Soarte aux pouvoirs étranges, s’oppose ouvertement à lui.

Un jour, contre toute attente, le souverain appelle à ses côtés Evy, son fils illégitime caché. Menant depuis l’enfance une simple vie paysanne, ce dernier se retrouve propulsé dans les pièges de la cour, au milieu des dentelles, des mots d’esprit et des duels.

Pourra-t-il déjouer le destin et trouver sa place ? Qui est sa mère ? Il apprendra à ses dépens la vraie raison de son retour en grâce.

Dans cet extraordinaire récit romanesque empli de rebondisse-ments et de situations dramatiques, l’auteure par sa documentation précise sur le XVIIe siècle français offre un dépaysement complet. L’écrivaine, par sa belle écriture, nous faire revivre cette époque portant les atours d’une fantasy surprenante.

Le début de ce livre a été approuvé par le comité de lecture d’un des premiers forums francophones d’écriture pour la fantasy.

L’auteure, Aurélie Genêt, orthophoniste de profession, travaille au sein d’un comité de lecture des littératures de l’imaginaire.

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